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dimanche, 04 février 2018

« Grand remplacement » : complot, fantasme ou réalité ?

Désaccord Majeur, avec Edouard Chanot. Face à l’immigration, les Français semblent de plus en plus nombreux à croire à une substitution de population. Mais le « Grand remplacement » et son inventeur, l’écrivain Renaud Camus, sont voués aux gémonies. À tort ou à raison ? Le chroniqueur Edouard Chanot donne son avis sur Radio Sputnik :

La Video

La perpétuité pour le malheureux Darren Osborne, auteur de l’attaque contre une mosquée de Londres !

Perpétuité assortie d’une période de sûreté de 43 ans.

J’ai mal pour Darren Osborne, ce soir. Son air de paumé. Ses 4 enfants. Sa vie de merde dans un univers de merde qui se dégradait chaque jour. Je m’étais demandé si son action constituait, dans sa tête, des représailles pour les attentats terroristes. Les juges anglais n’ont même pas envisagé la chose, même pas essayé de comprendre.

Les juges anglais ne lui ont pas fait de cadeau. Ils l’ont appelé terroriste, ils n’ont pas cherché à en faire un déséquilibré…

Ils n’ont pas cherché à lui donner des circonstances atténuantes avec les 3 attaques terroristes de musulmans qui avaient endeuillé Londres et Manchester.

Ils n’ont pas cherché à mettre en avant le rôle de l’alcool, de la dépression, du chômage….

Rien. La haine à l’état pur pour l’Anglais d’origine qui pète les plombs. Et ne tue pas ! Il n’a pas tué, il a essayé de tuer, et il se prend perpète avec 43 ans de période de sûreté.

L’homme qui avait lancé une camionnette contre des musulmans à proximité de la mosquée de Finsbury Park à Londres en juin 2017, tuant un homme et en blessant 12 autres, a été condamné vendredi à la prison à perpétuité. 

Darren Osborne, un Gallois de 48 ans, avait plaidé non coupable, expliquant qu’il était seulement le passager du van, conduit par un autre homme. Sa peine a été assortie d’une période de sûreté de 43 ans.

« Il s’agissait d’une attaque terroriste. Vous avez cherché à tuer », a affirmé la juge Bobbie Cheema-Grubb à l’énoncé du verdict, qui clôt neuf jours de procès devant le tribunal londonien de Woolwich.

Elle a affirmé que M. Osborne s’était « rapidement radicalisé ». « Votre état d’esprit était d’une haine malveillante », lui a-t-elle soutenu.

Le verdict a été rendu après une heure de délibéré entre les jurés. Ils ont jugé « inventée » l’existence d’un complice qui aurait été au volant au moment de l’attaque.

Darren Osborne, père de quatre enfants, sans emploi et sans ami proche, était, selon l’accusation, « obsédé » par les musulmans et s’était radicalisé dans les semaines précédant l’attaque.

« Darren Osborne a prévu et conduit cette attaque en raison de sa haine des musulmans », avait commenté jeudi la représentante du parquet, Sue Hemming, jugeant son récit « pas convaincant » face au « poids écrasant des preuves ». « Nous avons été clairs tout au long du procès sur le fait qu’il s’agissait d’une attaque terroriste et il doit maintenant faire face aux conséquences de ses actions », avait-elle ajouté.

« Dès le début de notre enquête, nous n’avons trouvé aucune preuve qu’Osborne aurait agi autrement que seul », avait expliqué jeudi à des journalistes le commandant Dean Haydon, chef du contre-terrorisme de Scotland Yard.

Il avait qualifié Osborne d' »individu perturbé, mauvais et rempli de haine », avec des « antécédents de violence, alcoolisme, toxicomanie et dépression ».

Cette attaque était survenue dans un climat d’extrême fébrilité au Royaume-Uni, après trois attentats en trois mois, à Londres et Manchester, ayant fait 35 morts et revendiqués par le groupe djihadiste État islamique (EI).

http://www.dhnet.be/actu/monde/l-auteur-de-l-attaque-pres...

 

Ce qui rend malade, ce soir, c’est de voir l’attention dont bénéficient, chez nous, les djihadistes demandant à revenir chez nous. La peur que les malheureux soient condamnés à mort par les Kurdes.Le traitement de luxe d’un Abdeslam. L’argent et les gens mobilisés pour ces monstres.

La prison modérée pour des terroristes avérés.

Et en Suède, c’est pas mal non plus, le terroriste Fouad Saleh condamné à perpète sait qu’il pourra sortir au bout de 10 ans…

http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/28/condamne-a-pe...

Pendant ce temps, Darren Osborne crève de solitude dans sa prison. Et sans doute aussi de peur. Les prisons anglaises, comme les prisons françaises, sont islamisées. Et entre les surveillants musulmans et les surveillants dhimmis, il est bien possible que le pauvre malheureux sont torturé, tabassé… jusqu’à ce que mort s’ensuive, jeté dans une cellule avec des musulmans. Comme ils ont essayé de faire avec Tommy Robinson. 

 

http://resistancerepublicaine.eu/2016/01/10/tommy-robinso...

Et que dire du triste sort de Kevin Crehan ?  Il avait mis du lard sur les portes d’une mosquée… Il est mort en prison

 

http://resistancerepublicaine.eu/2016/12/30/mort-en-priso...

http://resistancerepublicaine.eu/2017/01/22/tommy-robinso...

Source

 

Calais, ça suffit !

Atterrés, désemparés, défaits devant une situation de plus en plus ingérable, les Calaisiens n’en peuvent plus. Voilà quinze mois, on nous disait pourtant avoir réglé le problème. Les troupes mandatées par un François Hollande gonflé d’autosatisfaction embarquaient les habitants de la jungle dans des cars, direction les 280 centres d’accueil et d’orientation répartis dans toute la France.

Combien, sur les 6.500 personnes alors recensées, y ont réellement été conduites et combien, surtout, y sont demeurées ? Mystère. Ce qu’on sait, en revanche, c’est que des centaines de migrants (entre 600 et 800) venus de toute part rôdent encore autour de Calais. Et entre eux, ce n’est pas la tendresse.

Une rixe d’une violence inouïe a ainsi éclaté, jeudi, entre migrants afghans et africains à l’occasion d’une distribution de repas, près de l’hôpital de Calais. D’autres bagarres ont suivi jusque dans la soirée, à Marck-en-Calaisis puis dans la zone industrielle des dunes. Bilan : vingt-deux personnes hospitalisées, dont cinq touchées par balle sur lesquelles quatre sont dans un état critique. Il s’agirait de jeunes Érythréens visés, sans doute, par des passeurs afghans. Les autres – dont deux policiers – ont été blessés à coups de pierres, de barre de fer et d’arme blanche.

C’est la première fois, nous dit-on, que des armes à feu font leur apparition.

« C’est un degré de violence jamais connu », on a atteint une escalade de la violence devenue insupportable pour les Calaisiens et les migrants », a dit le ministre de l’Intérieur venu sur les lieux. Et Gérard Collomb d’ajouter : « Je suis venu réaffirmer notre mobilisation face aux passeurs qui nourrissent quotidiennement violences et rixes. »

Les passeurs, oui, mais pas que…

 Natacha Bouchard, maire de Calais, pointe d’autres responsabilités. Interrogée, vendredi matin, sur France Info, elle a évoqué « la complicité de certains passeurs, de certains activistes, de certains No Border ou de certains associatifs » qui, par intérêt pour les premiers et naïveté pour les seconds, entretiennent les faux espoirs des migrants. « Ils sont complices parce qu’ils sont en permanence avec les migrants, leur font commettre des actes délictueux et ne les incitent pas à rejoindre les dispositifs d’État qui sont mis en place », a-t-elle affirmé.

Pire que cela : interrogé par France Info lui aussi, un responsable associatif accusait, vendredi, les forces de police d’être à l’origine des émeutes. C’est « la faute au harcèlement », disait-il. On comprend, dès lors, que tous ces activistes/associatifs soient vent debout contre le projet de loi « asile et immigration » actuellement en préparation, lequel permettrait de recenser enfin les migrants présents sur notre territoire, puis de prendre officiellement en charge ceux qui sont fondés à y rester et de renvoyer les autres construire leur propre pays.

Seulement voilà, la question de l’immigration est éminemment politique. C’est même le dernier bastion idéologique d’une gauche moribonde, engloutie dans la faillite sociale et économique, et qui n’a plus, pour exister, que ses discours creux sur l’universalité de la fraternité humaine – propos démentis chaque jour dans les faits.

Dans ce jeu-là, les migrants sont des pions, tout comme les bénévoles qui, en toute bonne foi, se dévouent par altruisme. Aux belles années du communisme révolutionnaire, on les appelait « des idiots utiles ».

Marie Delarue

Source

Jacobin et anticatholique, Chevènement veut « assouplir » la laïcité au profit de l’islam ! ...

Avec la progression fulgurante de la démographie invasion afro-musulmane, les masques tombent les uns après les autres.

Le principal promoteur du jacobinisme le plus anticatholique, Jean-Pierre Chevènement, s’est transformé en contempteur de la laïcité dont il exige « l’assouplissement » pour les mahométans !

« Je regrette que l’Islam se soit installé en France seulement après la loi de 1905. Parce que toutes les religions ont bénéficié d’un coup de pouce initial, de la part de l’Etat. Pour l’Islam il faudrait qu’une négociation s’engage entre les autorités musulmanes et l’Etat pour que certaines mesures puissent être prises, auxquelles on n’a peut-être pas pensé jusqu’à présent » affirme-t-il.

« On a évoqué le sujet crucial de la formation des imams : à la faveur des dispositions qui s’appliquent en Alsace-Moselle, ne serait-il pas possible de créer une faculté de théologie musulmane à Strasbourg ? » s’est interrogé l’ancien tenant de l’athéisme d’état en France.

« Le principe de séparation posé par la loi de 1905 ne doit pas être interprété de manière telle qu’il devienne un obstacle à l’organisation d’un culte musulman » a-t-il encore ajouté.

Le doctrinaire de l’athéisme, on le voit, n’attendait que l’affaiblissement complet des masses autochtones et leur apathie pour faciliter ensuite la progression de l’islam !

 

Source

Soros va utiliser 33 milliards de dollars pour faire sauter les gouvernements européens hostiles à l’immigration islamique (Farage) !

 

 Interrogé par un média hongrois sur le rôle joué par le milliardaire socialiste George Soros, la figure de proue de l’indépendantisme britannique Nigel Farage a fait part de ses inquiétudes quant aux plans du spéculateur américain Soros d’origine juive.

Visegrad Post (source) :

Le traitement que j’ai subi en Amérique est incroyable. Je serais désormais un antisémite parce que j’ai critiqué M. Soros. On m’a traité de tout au cours des vingt dernières années, mais ça, on ne l’avait jamais dit, jusqu’à ce que j’attaque M. Soros.
Je m’inquiète au sujet de M. Soros, parce que son Open Society a déjà injecté 15 milliards de dollars et s’apprête à y rajouter 18 autres. Dans le monde de la politique, on a jamais vu un groupe de pression disposant d’une telle masse d’argent. Ils ont plus d’argent que la plupart des gouvernements.
Pour ce que j’en vois, M. Soros veut détruire les États nationaux, il veut détruire la cellule familiale, il veut détruire toutes les normes de la société occidentale.
Je pense que c’est une chose très dangereuse. Je sais que quiconque serait sur son passage passera un mauvais quart d’heure. Il s’est engagé dans une bataille à mort contre votre premier-ministre dans votre pays. Je ne crois que la plupart des gens comprennent vraiment l’étendue de l’organisation de cet homme, tout l’argent qu’il y a derrière elle. C’est une énorme guerre de propagande qui est en train de se dérouler.
J’ai montré qu’il avait 226 de ses amis au sein du Parlement européen.
Je leur ai donc écrit à tous pour leur demander de déclarer quel était le niveau de leur engagement au sein de cette Open Society. Je n’ai pas eu une seule réponse. M. Soros constitue un réel problème, pas seulement pour la Hongrie.
George Soros est l’ennemi majeur de l’État Nation et de la culture chrétienne.

L’intervention de Nigel Farage sur le sujet au parlement européen en novembre dernier.

Source et Video

Marseille : 25% des musulmans déjà acquis à l’islam radical (Préfet) !

 

 

Au détour d’un article du journal parisien Le Monde, le préfet de police de Marseille révèle un chiffre particulièrement révélateur de la progression rapide de l’islam radical dans les enclaves afro-musulmanes.

Le Monde (source) :

Pour étayer la procédure soumise aux juges administratifs, le préfet de police a versé une note anonyme des services de renseignement.
Ce document révèle que, dans les Bouches-du-Rhône, « 25 % des fidèles se rendant régulièrement à la prière du vendredi fréquentent un lieu de culte salafiste, contre 5,5 % au niveau national ». Les autorités dénombrent « vingt-quatre mosquées salafistes dans le département dont quinze à Marseille » sur les quelque 80 lieux de culte musulman de la ville.
Unique raison, selon la préfecture de police, à cette surreprésentation d’un islam radical : « En un peu plus d’une quinzaine d’années, le prosélytisme patient et continu d’El Hadi Doudi a conduit à la diffusion du message salafiste à un quart des fidèles. »
La note recense dix-sept mosquées du département où s’exercerait l’influence de l’imam Doudi et où il « a implanté un de ses fervents disciples ».
C’est le cas à Gardanne, où l’imam qui « assure les cinq prières de la semaine à As Sounna délivre à une mosquée le prêche du vendredi ». A Aix-en-Provence, la mosquée du Calendal a été fermée, le 1er février 2017, en raison du « repli communautaire et des pressions quotidiennes exercées sur les habitants du quartier » par les responsables. L’imam était un disciple d’El Hadi Doudi. Ce dernier « y a animé des dars [cours religieux] », précise la note.

Le département des Bouches-du-Rhône compte 2 millions d’habitants dont plus de 200,000 musulmans pour la seule ville de Marseille (source).

Un phénomène identique à la situation brestoise qui, d’ici une vingtaine d’années, devrait accoucher d’un ville encerclée par des bastions salafistes hors de portée du gouvernement français.

Source

I-Média n°186 : Affaire Théo la fuck news dévoilée (interdit aux -18 ans)

 

La Video

Calais : nouvelle guérilla – JT TVL 2 février 2018

La situation empire à Calais. Jeudi, des affrontements entre clandestins afghans et érythréens ont fait 22 blessés, dont 5, par balles. Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, a dénoncé des faits « d’une gravité exceptionnelle » et pointe du doigt le rôle de certaines associations.

Source, document et video

Rencontre Kurz-Orbán. « Être reconnaissants envers la Hongrie »

02/02/2018 – 07h15 Vienne (Breizh-info.com) – Après sa tournée à l’Ouest, le chancelier autrichien Sebastian Kurz recevait le Premier ministre hongrois Viktor Orbán à Vienne mardi dernier. Une rencontre prometteuse pour les deux pays.

Un pont entre l’Est et l’Ouest

Alors que ces deux gouvernements sont parmi les plus observés en Europe ces derniers mois, la venue de Viktor Orbán en Autriche a retenu toutes les attentions. Un déplacement qui a officialisé les premiers échanges entre Sebastian Kurz, le nouveau chancelier autrichien , et le patron de l’exécutif hongrois.

Tandis que l’Autriche est pressentie comme un possible médiateur entre les pays de l’ouest de l’UE et le groupe de Visegrád, la rencontre de mardi a mis en évidence plusieurs points de convergence. Il faut préciser que la réception de Viktor Orbán n’était pas une réception officielle mais une « réunion de travail ». Parade sémantique afin de détourner les critiques ?

Toujours est-il que Sebastian Kurz a fait part de bienveillance à l’égard de la Hongrie et de ses alliés de Visegrád. Lors de la conférence de presse commune, il a ainsi déclaré : « En particulier depuis le début de la crise des migrants (en 2015) les tensions se sont accrues dans l’Union européenne ».

Puis d’ajouter que « Notre grand objectif en Autriche est d’être à cet égard un pont entre les États de Visegrád et les pays d’Europe occidentale ».

« Le plus grand danger… »

Sans surprise, les deux hommes d’État ont évoqué le sujet des migrants. Sujet sur lequel ils partagent des points de vue similaires. Pour mémoire, Viktor Orbán avait déclaré il y a quelques semaines que l’immigration était le « cheval de Troie du terrorisme » tandis qu’il percevait les migrants comme des « envahisseurs musulmans » au sein de l’Europe chrétienne.

Il a poursuivi sur le même ton en ce 31 janvier. « Le plus grand danger aujourd’hui pour l’avenir prometteur de l’Europe centrale est la migration des peuples », a affirmé le Premier ministre hongrois.

N’hésitant pas à enchaîner : « Quand je dis que l’avenir a besoin d’être protégé, je veux dire que nous avons une culture, une culture chrétienne… Nous avons un mode de vie, et nous voulons protéger ce mode de vie ».

« Mettre un terme à l’immigration clandestine »

Quant à Sebastian Kurz, il a également abordé frontalement la question migratoire. Sans oublier de féliciter le travail de la Hongrie en matière de lutte contre l’immigration illégale en Europe. Le pays a effectivement construit des clôtures en 2015 à sa frontière méridionale, une frontière extérieure de l’espace Schengen.

« Le plan de l’UE ne fonctionne pas… Nous devons mettre un terme à l’immigration clandestine afin d’assurer la sécurité en Europe. Je suis heureux qu’il y ait eu un changement de mentalité dans de nombreux pays européens ces dernières années ». Les mots sont clairs dans la bouche du chancelier autrichien.

Reconnaissance envers la Hongrie

Après son entretien avec Sebastian Kurz, Victor Orbán a ensuite rencontré le vice-chancelier Heinz-Christian Strache, par ailleurs chef du FPÖ. Ce parti est notoirement connu pour ses positions également hostiles à l’immigration.

« J’avais dit à l’époque que nous devions être reconnaissants envers la Hongrie d’avoir protégé les frontières extérieures de l’UE en restant sur le terrain du droit. Nous aurions dû coopérer plus étroitement et aider la Hongrie au lieu de la critiquer », a tenu à préciser Heinz-Christian Strache.

Quelques divergences

Des points de désaccords sur d’autres sujets sont toutefois à relever. Notamment sur le projet de l’Autriche de poursuivre la Commission européenne pour avoir autorisé la Hongrie à agrandir une centrale nucléaire.

De même, la volonté de Sebastian Kurz de réduire les allocations familiales pour les personnes travaillant en Autriche mais dont les familles vivent ailleurs n’est pas du goût de Viktor Orbán. Il juge cette mesure comme une « discrimination ». De nombreux travailleurs hongrois sont effectivement présents sur le territoire autrichien.

En définitive, l’Autriche devrait voir son poids diplomatique augmenter au centre de l’Europe. Il semble que le Premier ministre hongrois, et à sa suite le groupe de Visegrád, soient davantage réceptifs aux paroles de Sebastian Kurz qu’à celles de Jean-Claude Juncker.

Source

N. Farage : « Le but de l’Union européenne, c’est l’assimilation »

Nigel Farage, l’ancien président du UKIP, s’est prononcé au Parlement européen contre les alliés de George Soros et défend systématiquement Viktor Orbán dans le cadre des « débats sur la Hongrie ». Le précurseur du Brexit a déclaré au quotidien hongrois Magyar Hírlap que dans son état actuel, l’Union européennes rabaissait ses membres au rang de simples provinces et que les grands États dominaient les petits dans tous les domaines.

Que pensez-vous de l’état actuel des négociations sur le Brexit ?

C’est très lent ; on manque de vision et de courage. Il semble extrêmement improbable qu’il en résulte le Brexit pour lequel les gens ont voté ; à cause d’un gouvernement faible, à cause d’un Establishment qui veut toujours faire partie de l’Union européenne, et d’un Premier ministre qui ne croit simplement pas à ce qu’elle fait. Avec un peu de chance nous quitterons l’Union en mars de l’année prochaine, mais il semble, au mieux, que nous n’aurons le Brexit que formellement à ce moment-là. Il y a donc encore de nombreuses batailles à mener.

L’accord que Theresa May peut négocier avec l’Union européenne ne servira donc pas les intérêts du peuple britannique ?

Ils ne donnent pas la priorité aux intérêts des pays, des entreprises et des ouvriers européens. Ils ne s’occupent que du « projet », – le nouveau dieu que tous sont supposés adorer. À leurs yeux, si la Grande-Bretagne se sépare de l’Union en bons termes, alors d’autres pays voudront en faire de même. Je dis qu’il vaut mieux ne pas avoir d’accord qu’un mauvais accord. L’idée qu’on ne pourrait pas faire de commerce sans accord est une ineptie ! La Chine et les États-Unis ont une activité commerciale non négligeable avec le monde entier sans aucun accord mais selon les règles plutôt bonnes de l’OMC. Est-ce que je préfère que nous ayons un accord commercial ? Bien sûr, parce que cela simplifie la vie de tout le monde. C’est encore plus logique pour l’Union que pour nous. Du reste, le thème du référendum n’était pas les prévisions économiques mais d’être une nation indépendante.

Bruxelles en a-t-elle tiré les leçons ?

Oui, l’Union a décidé d’accélérer l’intégration. Elle en a tiré une conclusion des plus mauvaises. Merkel, Macron, Juncker ou Verhofstadt – ils disent tous la même chose. Ils veulent les États Unis d’Europe, une Europe unitaire, et même pas une Europe fédérale. Dans une Europe fédérale, la Hongrie pourrait décider la plupart de ses lois et avoir le libre choix de différents éléments de sa politique fiscale. Michel Barnier, le responsable des négociateurs européens, m’a dit: « Ce n’est pas une Europe fédérale, c’est une Europe unifiée ». J’appelle cela une Europe unitaire et centralisée. Et d’une certaine manière, il s’agit uniquement d’une version un peu plus droitière du communisme. La doctrine Brejnev de souveraineté limité après le Printemps de Prague, c’est l’Europe d’aujourd’hui. On peut débattre pour savoir si c’est une bonne chose ou une mauvaise chose. Mais de grâce, ne me dites ni que cela n’a pas lieu, ni que vous pouvez le changer – vous ne le pouvez pas ! Mais vous pouvez vous dresser contre cela. D’une certaine manière, c’est ce que fait M. Orbán, ce que font les Polonais, et ce que font les Roumains. Mais l’Union ne cédera pas d’un pouce. Il sont plus grands que vous, et ils sont plus forts que vous. Je pense qu’un jour ou l’autre, le débat que vous menez au sujet de votre avenir, va commencer à ressembler au nôtre. C’est un fait : vous ne pouvez pas être une nation à la fois autonome, indépendante et démocratique et être en même temps membre de cette Union européenne.

Le système de vote actuel en effet ne favorise pas les petits pays.

C’est un désastre pour les petits pays. Le système américain a été conçu pour faire en sorte que les grands États ne puissent pas dominer les petits États – à la différence de l’Europe. Deux ou trois grands pays avec quelques alliés sont en mesure de faire ce qu’ils veulent. Voilà l’enjeu de la militarisation complète de l’Union européenne, qui se place en conflit direct avec l’OTAN. Supposons qu’un jour, je ne dit pas qu’il en sera ainsi, mais supposons que la Russie redevienne une menace. En qui placeriez-vous le plus votre confiance ? M. Juncker et l’armée européenne, ou les Britanniques, les Américains et l’OTAN ? Ce sont là de grandes, très grandes et fondamentales question pour l’avenir. Je ne pense pas que la Hongrie ait déjà commencé à mener ce genre de débats, mais je pense qu’elle le fera.

Pour en revenir aux États-Unis d’Europe, quelle est votre opinion concernant la possibilité – plutôt absurde au regard de leur résultat aux élections – de ce que le parti de Martin Schulz se retrouve probablement à nouveau au gouvernement ?

J’ai vu récemment un sondage qui suggérait que ce parti socialiste, le SPD, se trouvait actuellement en dessous de 17% tandis que l’AfD, malgré ses problèmes, avait atteint les 13%. Il va donc se produire de grands changements qui vont balayer les partis socio-démocrates traditionnels dans toute l’Europe. C’est pourquoi Macron a dû inventer quelque chose de nouveau. Schulz et Merkel sont en grande difficulté, car l’AfD a complètement changé les rapports de force , et cela participe de ce qui se passe de partout. Il y a des gens qui disent qu’en 2016, le Brexit et Trump étaient une aberration à court terme, un accès de colère de courte durée de gens faiblement instruits, mais qu’ensuite avec la victoire du gentil M. Macron tout est rentré dans l’ordre. La réalité, en vérité, c’est qu’à travers toute l’Europe, l’opposition à ce concept d’État unitaire est en train de grandir. C’est ce dont il s’agissait avec le Brexit et avec Trump : l’État Nation était au cœur de ces deux prétendus grands chocs mondiaux. L’État Nation fonctionne parce que c’est l’entité à laquelle nous nous sentons appartenir, pour laquelle nous avons de la loyauté. Et au final, c’est l’entité pour laquelle nous sommes prêts à nous battre, que nous sommes prêts à défendre.

Nous avons tout de même besoin d’une certaine forme de coopération en Europe, non ?

Nous sommes des voisins. Oui, l’Europe a besoin d’une structure de coopération, de règles commerciales de bon sens et nous pourrions nous mettre d’accord sur quelques standards fondamentaux minimums communs. Mais tout cela peut être fait au moyen du Conseil de l’Europe. L’Union européenne est un projet qui se prétend coopératif, mais qui est en réalité assimilateur. Le pouvoir de décision est donné à des bureaucrates non élus basés au niveau central.

Vu de Hongrie, nous avons l’impression qu’à Bruxelles, ils ne sont tout simplement pas disposés à parler avec le gouvernement hongrois lorsqu’il s’agit de questions de souveraineté.

Tous les cinq ans, Viktor Orbán vient au Parlement européen. Tous sont alors impolis avec lui. Je prend la parole et je dis: « Vraiment, vous ne devriez pas être là, vous ne devriez pas vous laisser insulter par eux. Non, ils ne sont pas intéressés par ce que vous avez à dire. Ils sont en train de construire les États-Unis d’Europe et rien ne peut les arrêter. C’est comme une religion. Les membres de l’Union européenne ont capitulé face à une cour suprême ; ils ont renoncé à leur capacité législative – et sont devenus des provinces ».

L’Union européenne n’a pas été capable de traiter la crise migratoire. Quel rôle cela a-t-il joué dans le vote sur le Brexit ?

Oh, ils l’ont très bien traité. Ils ont exactement fait ce qu’ils concevaient de faire. M. Juncker, en avril 2015, a lancé une politique européenne très simple en matière de réfugiés : quiconque parvient à mettre le pied sur le sol européen pourra rester. Dans mes discours, je disais : « C’est de la folie ! Cela fera venir plusieurs millions de gens, et parmi eux, il y aura des terroristes ». C’est la conséquence directe de la mauvaise politique de Juncker et, dans une mesure plus importante encore, de Merkel, qui ont fait un choix très différent du nôtre. Nous, nous avons dit: « Nous ne voulons pas de cela ! »

Pensez-vous que la politique migratoire préconisée par les États du Groupe de Visegrád (Tchéquie, Hongrie, Pologne et Slovaquie) soit plus proche de veut la majorité des Européens ?

Sans aucun doute, et la majorité des gens en Allemagne et en France diraient la même chose. Vous êtes en train d’obtenir quelques petites victoires. Ils commencent à évoluer un petit peu. Tusk commence à réaliser également que la politique actuelle est grotesque, mais ne vous réjouissez pas trop vite !

Jusqu’où pensez-vous que Bruxelles puisse aller dans la procédure contre la Pologne ?

C’est une bonne question parce que nous nous trouvons là en terrain inconnu. On n’a encore jamais été dans cette situation. L’Union européenne n’a pas encore beaucoup de précédents en matière de revers, parce qu’elle a pratiquement toujours gagné.

La Roumanie se trouve aussi sur l’agenda de Bruxelles, mais lorsque récemment leur ancien premier-ministre a menacé de faire pendre des représentants de la minorité sicule, Bruxelles s’est tue.

Oui, ils choisissent eux-mêmes ce qui est une question intérieure et ce qui ne l’est pas. En Catalogne, quand on a tiré des femmes par les cheveux pour essayer de les empêcher de voter lors d’un référendum, c’était pour eux une question intérieure. Bruxelles est vraiment très hypocrite.

En Hongrie, nous connaissons cela très bien, parce que quoique dise notre Premier ministre, c’est important pour Bruxelles et ils se donnent le droit de critiquer.

Oui, absolument. Mais je veux dire que sur la Catalogne, c’est extraordinaire. « Une question purement intérieure. Il n’a été fait usage que de la force nécessaire ». Voilà leur ligne. La Catalogne leur pose un énorme problème, parce que non seulement la Catalogne veut se séparer de l’Espagne, mais elle veut aussi se séparer de l’Union européenne. Ces gens sont séparatistes à tout point de vue. C’est ce qui rend cela si fascinant. C’est vraiment très, très intéressant.

Votre discours au sujet de George Soros au Parlement européen a eu beaucoup d’écho en Hongrie.

Le traitement que j’ai subi en Amérique est incroyable. Je serais désormais un antisémite parce que j’ai critiqué M. Soros. On m’a traité de tout au cours des vingt dernières années, mais ça, on ne l’avait jamais dit, jusqu’à ce que j’attaque M. Soros. Je m’inquiète au sujet de M. Soros, parce que son Open Society a déjà injecté 15 milliards de dollars et s’apprête à y rajouter 18 autres. Dans le monde de la politique, on a jamais vu un groupe de pression disposant d’une telle masse d’argent. Ils ont plus d’argent que la plupart des gouvernements. Pour ce que j’en vois, M. Soros veut détruire les États nationaux, il veut détruire la cellule familiale, il veut détruire toutes les normes de la société occidentale. Je pense que c’est une chose très dangereuse. Je sais que quiconque serait sur son passage passera un mauvais quart d’heure. Il s’est engagé dans une bataille à mort contre votre premier-ministre dans votre pays. Je ne crois que la plupart des gens comprennent vraiment l’étendue de l’organisation de cet homme, tout l’argent qu’il y a derrière elle. C’est une énorme guerre de propagande qui est en train de se dérouler. J’ai montré qu’il avait 226 de ses amis au sein du Parlement européen. Je leur ai donc écrit à tous pour leur demander de déclarer quel était le niveau de leur engagement au sein de cette Open Society. Je n’ai pas eu une seule réponse. M. Soros constitue un réel problème, pas seulement pour la Hongrie. George Soros est l’ennemi majeur de l’État Nation et de la culture judéo-chrétienne.

Article paru sur le site VPost.

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50 jihadistes tunisiens cachés parmi les migrants*

Ce n'est pas faute d'avoir été prévenus (ici, ici, ici et ici). Même le pape François a évoqué ce risque. C'est une révélation du Guardian qui ne surprendra donc que les naïfs :

"Le 29 novembre dernier, l’organisation internationale de police Interpol a envoyé une liste très précise aux agences européennes de renseignement, rapportant qu'une cinquantaine de combattants de Daech seraient arrivés sur le territoire européen par la mer, révèle le journal britannique The Guardian. (...) Ils seraient arrivés en Sicile via la route des migrants, entre juillet et octobre 2017, à bord de bateaux de fortune. L'un d'entre eux "a peut-être déjà traversé la frontière italo-française, pour atteindre le Gard", précise d'ailleurs Interpol (...)

Selon The Guardian, qui cite un officier antiterroriste européen, ces jihadistes auraient profité de la filière qui achemine les migrants économiques tunisiens sur la plage de Torre Salsa, à Agrigente, en Sicile, point de débarquement principal."

Et pendant ce temps-là, les auditeurs de France Info peuvent entendre à longueur de journée une jeune fille décidée à se battre pour le "droit" des étrangers et favorable à l'accueil de tous les "migrants"...

*le terme "migrant" désigne dans le novlangue des immigrés clandestins qui entrent illégalement en Europe et qui y resteront quelque soit leur véritable statut

Source

Les enseignants doivent s'adapter aux banlieues de l'immigration

 

CaptureC'est l'idée des députés Aurore Bergé (La République en Marche) et Béatrice Descamps (UDI, Agir et Indépendants), dans les conclusions de leur mission "sur les relations école-parents". Les deux élues ont été désignées en octobre par la commission des Affaires culturelles et de l'Education pour mettre à jour les préconisations d'une précédente mission d'information, menée en 2014.

Evidemment elles ne parlent pas de multiculturalisme ni de banlieues de l'immigration. Tout est dans l'euphémisme. Aurore Bergé et Béatrice Descamps expliquent que

"les enseignants sont, plus qu'auparavant, issus des classes les plus favorisées de la population française". "Lorsqu'ils sont affectés dans des quartiers difficiles, ils n'en sont le plus souvent pas originaires, ils n'en connaissent pas les spécificités et vivent de moins en moins là où ils enseignent.

Les deux députés recommandent ainsi la mise en place d'une formation spécifique pour tout enseignant qui prend ses fonctions dans un nouvel établissement.

"Il serait certainement utile aux enseignants qui arrivent en poste de connaître la sociologie du quartier dans lequel s'implante l'établissement..."

Sic. Devront-ils aussi lire le coran ? On ne sait pas, mais ils devront apprendre le langage des banlieues. Les deux députés recommandent que les enseignants évitent de recourir à un vocabulaire "involontairement opaque". Et surtout : éviter dans les bulletins scolaires les remarques "désobligeantes voire stigmatisantes sur le long terme pour l'élève et son orientation".

Malheureusement, les deux députés ont dérapé (pour écrire comme Le Monde). En effet, elles proposent que les enseignants organisent des "prétextes inclusifs" et des "rituels positifs" pour favoriser le retour à l'école des parents qui se sont éloignés de l'institution scolaire. Exemple cité par les deux députées : la mise en place d'une "semaine du goût" qui pourrait permettre à "chaque parent d'apporter une spécialité culinaire de son pays".

De son pays ? Mais de quel pays ? Ce ne serait pas la France leur pays ?

Source