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"Le résultat est sans appel : 60% des Français pensent que « l’islam représente une menace pour la République », selon un sondage Opinionway pour Sciences Po et le Cevipof.
En outre, une majorité (63%) considère qu’il y a « trop d’immigrés en France », et seuls 47% pensent qu’ils sont « une source d’enrichissement culturel » (en baisse de 8 points par rapport à 2016).
Dans le contexte d’un taux de chômage important (9,4%), 54% des Français estiment enfin qu’« en matière d’emploi on devrait donner la priorité à un français sur un immigré »."
L'Olra, qui se présente comme une association antiraciste, entend combler un vide. Elle est soupçonnée d'alimenter le discours identitaire.
Par Louis Chahuneau
Son apparition sur Twitter a déclenché une vague d'indignation. Sur YouTube, sa vidéo de présentation a été censurée avant d'être republiée. L'Organisation de lutte contre le racisme anti-Blanc (Olra), créée par Laurent de Béchade mi-janvier, a vécu des débuts compliqués. Sur son site internet, l'association explique vouloir prévenir les actes racistes contre les Blancs, et sensibiliser l'opinion publique sur le sujet. « Le racisme anti-Blanc est bel et bien réel, et l'absence de ce sujet dans la sphère médiatique entretient l'inaction dans le champ politique », peut-on y lire.
Le sujet est sensible. L'Olra a reçu des réactions mitigées : d'un côté, beaucoup de moqueries, et même des insultes de la part de militants antiracistes, de l'autre, des sympathisants identitaires félicitant le travail de l'association. En effet, le racisme anti-Blanc reste un cheval de bataille privilégié de l'extrême droite.
L'organisation a beau se présenter comme « laïque, apolitique et indépendante », Laurent de Béchade reconnaît : « Des extrémistes soutiennent notre cause, comme le Front national, mais on veut s'écarter de cela. » Ce n'est pas son interview au site classé à l'extrême droite boulevard Voltaire qui le lui permettra. « Je peux juste dire qu'on s'inscrit dans la ligne de SOS Racisme », insiste l'ancien conseiller bancaire de 28 ans. Le président de SOS Racisme, Dominique Sopo, s'étrangle : « C'est gaguesque, lunaire ! Défendre l'existence du racisme anti-Blanc, c'est rendre service à l'extrême droite. Cette association est à l'opposé de la lutte antiraciste. »
« Rejet de l'oppresseur »
Si des actes racistes à l'encontre des Blancs peuvent advenir ponctuellement, le concept du « racisme anti-Blanc » est loin de faire l'unanimité. Ces manifestations « concernent une faible proportion de personnes. Elles sont vécues uniquement dans l'espace public sous forme d'insultes, alors que le racisme [envers d'autres communautés] peut impacter l'accès au travail ou au logement, et se manifeste par toutes sortes de discriminations. Concernant les Blancs, il n'y a pas d'impact sur l'insertion sociale », remarque Carole Reynaud Paligot, chercheuse en histoire à la Sorbonne-Paris I, et auteur de plusieurs livres sur le racisme.
Elle s'appuie notamment sur l'enquête TeO (Trajectoires et origines), un des rapports les plus fouillés sur les discriminations en France, où les statistiques ethniques sont interdites depuis 1978. L'étude menée par l'Ined (Institut national des études démographiques) en 2008-2009 concerne 22 000 personnes et conclut que la population majoritaire peut déclarer des expériences de racisme, « mais dans une proportion beaucoup plus faible (15 %) que les minorités racisées, et surtout, ce racisme ne se produit qu'une fois, le plus souvent dans la rue ». En comparaison, 55 % des descendants de pays d'Afrique centrale et 38 % des descendants de Marocains et Tunisiens interrogés déclarent avoir été victimes de racisme explicite au cours de leur vie en France.
« La plupart du temps, les actes racistes anti-Blancs sont perpétrés par des personnes stigmatisées qui expriment leur frustration par un rejet de l'oppresseur. On appelle cela le retournement stigmate », explique Carole Reynaud Paligot, à l'origine de l'exposition « Nous et les autres, des préjugés au racisme » qui a eu lieu au musée de l'Homme en 2017.
Extrait de l'enquête TeO menée par l'Ined en 2008-2009.
Le débat autour du « racisme anti-Blanc » ne date pas d'hier. En 2005, plusieurs personnalités publiques comme Alain Finkielkraut et Jacques Julliard avaient publié un manifeste contre les « ratonnades anti-Blanc » : des lycéens qui manifestaient s'étaient fait dépouiller par de jeunes voyous. À l'époque, SOS Racisme et la Ligue des droits de l'homme (LDH) avaient dénoncé un appel « irresponsable ». La polémique a refait surface en 2012, lorsque Jean-François Copé, alors président de l'UMP, avait dénoncé l'existence d'un « racisme anti-Blanc ». Najat Vallaud-Belkacem, ancienne porte-parole du gouvernement, y faisait allusion dans son livre Raison de plus !, évoquant ce « racisme anti-Blanc dont chacun peut convenir sans mal ni complaisance qu'il existe et qu'il est aussi condamnable et stupide que tout autre ». Même le journaliste sportif Pierre Ménès y était allé de sa déclaration en 2010, en évoquant des cas au sein de l'équipe de France de football.
Rapports sociaux
Peinant à s'accorder sur la définition même d'un racisme anti-Blanc, certains sociologues lui préfèrent le terme de « contre-racisme ». Éric Fassin, sociologue spécialiste des questions raciales à l'université Paris VIII, explique : « Lorsqu'on parle de racisme anti-Blanc, on revendique une conception purement individualiste, alors que le racisme repose sur des rapports sociaux. Le racisme est un phénomène de domination sociale, donc, par définition, il ne peut pas être symétrique. » Parler de racisme anti-Blanc est donc « absurde », selon lui.
Mais Laurent de Béchade n'en démord pas : « On n'est pas d'accord avec ce schéma dominant-dominé. Il n'y a pas de privilèges pour les Blancs. » « Mon privilège est lié à la réussite de ma famille, pas à ma couleur de peau », tente de convaincre le jeune homme. Pour Éric Fassin, le but de l'Olra est d'« installer ce concept de racisme anti-Blanc propre aux identitaires dans le langage mainstream. Et ils ont une chance de réussir ».
Le Conseil d’Etat confirme le 26 janvier 2018 la dissolution de l’association. Son président va-t-il être révoqué de ses fonctions professorales ? A 60 ans, il ne craint sans doute plus grand chose de ce point de vue (http://www.lepoint.fr/societe/aux-assises-l-ignorance-rev...).
Les motifs de la décision sont pourtant clairs : « (…) Aux termes de l’article L. 212-1 du code de la sécurité intérieure », encourent la dissolution « les associations ou groupements de fait ( …) qui, soit provoquent à la discrimination, à la haine ou à la violence envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, soit propagent des idées ou théories tendant à justifier ou encourager cette discrimination, cette haine ou cette violence ; / 7° Ou qui se livrent, sur le territoire français ou à partir de ce territoire, à des agissements en vue de provoquer des actes de terrorisme en France ou à l’étranger. (…) ». Or, « l’association Rahma de Torcy, en lien étroit avec la mosquée du même nom, promouvait un islam radical, propageait des discours haineux et violents, légitimait le djihad armé et avait ainsi le caractère d’un groupement provoquant à la discrimination, à la haine ou à la violence envers un groupe de personnes en raison de leur non-appartenance à une religion au sens du 6° de l’article L. 212-1 du code de la sécurité intérieure et pouvait être regardée comme se livrant sur le territoire français à des agissements en vue de provoquer des actes de terrorisme en France ou à l’étranger au sens du 7° de cet article. Il ressort des pièces du dossier, notamment de la » note blanche » versée au débat contradictoire, que l’association Rahma de Torcy Marne-la Vallée assure la gestion de la mosquée » Rahma » située sur le territoire de la commune de Torcy, que son président, M. B…, est l’imam de cette mosquée et que son suppléant, M.A…, est membre du conseil d’administration de l’association. Il ressort des éléments précis et circonstanciés figurant dans la note blanche versée au débat contradictoire ainsi que, dans une moindre mesure, des transcriptions de prêches fournis en défense par l’association requérante, que l’imam et son adjoint prêchaient au sein de la mosquée (…) un islamisme radical, marqué par une forte hostilité à l’égard des chrétiens, des juifs et des chiites, prônant un rejet des valeurs et de certaines lois de la République. Ils affichaient dans ces prêches leur soutien au djihad armé et à certains membres de la cellule terroriste dite de Cannes-Torcy ayant fréquenté régulièrement la mosquée, poursuivis pour avoir perpétré un attentat contre un magasin d’alimentation casher à Sarcelles le 19 septembre 2012. La mosquée a également accueilli des conférenciers ayant tenu des propos de même nature. Par ailleurs, M.B…, professeur de mathématiques dans divers établissements publics d’enseignement, a fait l’objet d’une procédure disciplinaire ayant justifié sa suspension, pour manquement à son devoir de réserve, au principe de neutralité et pour propos publics incompatibles avec les valeurs de la République.
Finalement, si on peut se réjouir de cette décision, on ne peut que s’inquiéter de la rédaction actuelle de l’article 212-1 du Code de la sécurité intérieure. https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTe... Sont dissous toutes les associations ou groupements de fait « (…) 6° Ou qui, soit provoquent à la discrimination, à la haine ou à la violence envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, soit propagent des idées ou théories tendant à justifier ou encourager cette discrimination, cette haine ou cette violence ; (…) Le maintien ou la reconstitution d’une association ou d’un groupement dissous en application du présent article, ou l’organisation de ce maintien ou de cette reconstitution, ainsi que l’organisation d’un groupe de combat sont réprimées dans les conditions prévues par la section 4 du chapitre Ier du titre III du livre IV du code pénal. »
Quand on sait que des poursuites sont parfois engagées pour pas grand chose vis-à-vis de ceux qui critiquent l’islam, le risque est d’envoyer dos à dos islamistes et anti-islam. Même les discours anti-immigration paraissent concernés : prôner la préférence nationale serait-il donc devenu officiellement délictueux ? Il est grand temps de modifier la rédaction du texte pour remettre les pendules à l’heure car la discrimination peut être justifiée rationnellement par le principe de précaution ou les particularités du lien de nationalité. Ce qui doit être interdit, ce sont les discrimination injustifiées rationnellement. De nombreuses discriminations sont justifiées et tout système juridique est par essence vecteur de discriminations car discriminer, c’est opérer un choix de société, une préférence au regard de principes préalablement établis (comme ceux qu’énoncent la Déclaration de 1789). Il n’y a que dans l’anarchie qu’on ne discrimine plus juridiquement et c’est alors « la loi de la jungle », loi du plus fort qui s’impose, ce contre quoi l’état de société et la justice sont censés nous protéger afin de réaliser de plus nobles idéaux.
Malheureusement, depuis quelques décennies, la liberté d’expression ou encore la liberté d’entreprendre sont menacées par l’interdiction de discriminer sans même pouvoir faire valoir le principe de précaution ou les particularités du lien de nationalité, pourtant consacrées dans la loi. Quant à l’appartenance à une religion, l’Etat se contredit lui-même avec cette législation, car en dissolvant une association qui prône une lecture littérale du Coran, une conception radicale de l’islam, il opère bien une discrimination à raison de l’appartenance à une religion ! Faudrait-il donc dissoudre l’Etat pour cette raison ? On voit bien que cette législation est profondément vicieuse et contradictoire…
L’islam, qui entend embrasser la TOTALITÉ des COMPORTEMENTS****, intervient de manière directe dans le domaine économique en particulier par la proscription du taux d’intérêt fixe. Depuis une quinzaine d’années, dans des pays à dominante musulmane, la référence croissante à l’islam a entraîné l’apparition d’institutions et de modes de fonctionnement nouveaux. Après avoir décrit la cadre religieux et juridique de l’islamisation de l’économie, l’ouvrage analyse les problèmes complexes que pose au système bancaire l’interdiction de l’intérêt, derrière lesquels se profilent parfois les luttes d’influence entre États, clergé musulman et société civile. À travers des exemples spécifiques sont successivement envisagés l’investissement, la mobilisation de l’épargne, le prélèvement de l’impôt, les dépensés publiques, le financement du déficit… Une confrontation entre les systèmes occidentaux et islamiques de régulation de l’économie devient dès lors possible. Certains théoriciens du FMI ne voient-ils pas dans ces derniers une solution de rechange face aux impasses que rencontre aujourd’hui l’Occident, confronté à l’instabilité monétaire et au chômage ?
Au lendemain des attentats du 13 novembre 2015, le Président François Hollande déclarait depuis le Palais de l’Elysée « la France est en guerre » et il décrétait trois jours de deuil national. Dans son allocution télévisée, François Hollande s’adressait aux Français dans ces termes: « Mes chers compatriotes, ce qui s’est produit hier à Paris et à Saint-Denis près du Stade de France, c’est un acte de guerre et face à la guerre le pays doit prendre les décisions appropriées. »
Plus de deux ans après ces attentats, nous constatons que nos dirigeants n’ont pris aucune mesure concrète pour lutter contre l’islamisme qui gangrène notre pays et face à la menace terroriste de plus en plus sévère en France. Les mosquées radicales n’ont pas été fermées, la propagande salafiste continue de sévir dans les médias et sur les réseaux sociaux, le voile intégral et la burqa n’ont pas été interdits et le retour des djihadistes en France est encouragé par notre gouvernement.
Face à cette situation d’impasse, les tensions se durcissent entre les Français d’origine et la communauté musulmane de France. C’est sur Internet que nous constatons cette montée des hostilités avec de nombreuses vidéos d’amateurs filmées dans la rue et qui témoignent de l’exaspération du peuple français face aux nombreuses revendications et provocations des musulmans. Or, c’est cette réalité tangible du terrain qui est la preuve flagrante que la situation devient explosive en France, au bord de la guerre civile.
Vous trouverez, ci-dessous, une sélection de vidéos publiées par des particuliers sur Youtube et qui confirment que le climat se dégrade fortement en France face à l’islamisation accélérée de notre pays :
1) Seine Saint-Denis (93) : Une femme française dans un bus face à une musulmane dont le visage est dissimulé derrière un voile islamique :
Après « Au théâtre ce soir », « Au tribunal aujourd’hui » avec Jawad Bendaoud présenté par vos chaînes d’info-divertissement préférées et la presse la plus déontologique qui soit.
Nous suivons son procès en direct comme un bon match de foot sans en perdre une miette. Jawad se menace, Jawad insulte, Jawad blague, Jawad délire… Tout cela est très divertissant, on ne manquerait pour rien au monde la suite.
On oublierait presque que « Le grand show de Jawad Bendaoud » (RTL) est un procès pour juger le présumé complice de l’attentat durant lequel les islamistes ont tué 130 personnes. On oublierait presque qu’avant d’être le « logeur de Daech », M. Bendaoud cumule treize condamnations depuis 2010 : stupéfiants, détention d’armes, conduite en état d’ivresse, violences conjugales, violences aggravées… Il suffit de lire le Code pénal pour estimer la légèreté des peines prononcées.
Selon l’avocat pénaliste Julia Katlama, « son attitude extravagante peut finalement lui être favorable » (franceinfo). Voilà de quoi dissuader les futurs Jawad d’être sous le feu des projecteurs.
On retrouve des similitudes avec le traitement médiatique de l’affaire Merah. La famille et les avocats des victimes avaient, à l’époque, demandé à France 3 d’annuler la diffusion d’un reportage qu’ils jugeaient indécent et obscène, tant les proches de M. Merah étaient mis en avant. France 3 avait maintenu la programmation, en ajoutant un débat à la fin du reportage – comme s’il y avait matière à discuter de goûts et de couleurs.
Tout comme « Les Guignols de l’info » qui donnaient une image fort sympathique d’Oussama ben Laden à travers sa marionnette, on insiste sur la bouffonnerie de M. Bendaoud en oubliant les victimes. Les victimes du terrorisme, également victimes de toutes ces condamnations de bac à sable qui n’ont, à aucun moment, mis hors d’état de nuire M. Bendaoud.
Évidemment, penser à tout cela donne vite un goût amer au pop-corn qu’on mâche devant BFM. C’est fou, ce que le réel peut gâcher la fête…
Un vieux monsieur, sa maison squattée, occupants sommés de déguerpir, maison récupérée : une fois n’est pas coutume, voilà une affaire rondement menée grâce à un robuste sentiment de solidarité !
Début décembre, monsieur Y apprend par la police que seize Roms se sont emparés de sa maison, à Garches-lès-Gonesse, inoccupée depuis plusieurs années. Arrivé sur place, constatant les faits, il leur ordonne de « dégager ». Les indélicats lui rient au nez et brandissent un « reçu de livraison de pizza » datant de plus de 48 heures. Reçu valant « attestation » de présence, avec l’attestation fournie par un militant des Droits de l’homme, qui fait office, en quelque sorte et le temps qu’une procédure d’expulsion arrive à son dénouement, de titre de propriété ! C’est la fumeuse loi des 48 h, bien connue des squatteurs et des associations gauchistes telles que le DAL (Droit au logement) puisque, passé ce délai, le malheureux propriétaire n’a plus d’autre recours que de faire valoir ses droits auprès du tribunal.
Fin janvier, l’homme de 76 ans raconte ses déboires au Parisien, qui publie l’article le 29. Et, ô miracle, le lendemain, les seize Roms avaient déguerpi sans (presque) demander leur reste ! Grâce à qui ? À Bassem Braiki, un internaute scandalisé par la situation, vivant à Vénissieux (69), qui a encouragé les « jeunes » des cités de Garches à aller ficher dehors le groupe de Roms. « Sortez, là ! Allez, (vous avez) deux minutes, deux minutes ! » Formidable solidarité nationale comme on aimerait la voir se traduire plus souvent, sans usage de violence, en plus, ce qui n’est pas tellement courant chez ce genre de galopins en virée. Sauf que…
Sauf que tout le monde n’a pas la chance de s’appeler Youcef.
Sauf que jamais ces « jeunes » n’ont manifesté la moindre solidarité pour des « Céfrans » dépossédés. Pas de Bassem Braiki ni pour une Odette ou une Maryvonne (84 et 83 ans) ni tous les autres. Une solidarité toute sélective de la part de cette population des cités.
Une solidarité de communauté qui, dans un pays normal, devrait donner à tous les défenseurs des Chances pour la France l’occasion de réfléchir, enfin, sur le sentiment d’appartenance chevillé au corps qui règne dans ces cités. Sur le camp qu’elles choisiront en cas de conflit majeur.
Sauf que le renoncement si rapide des Roms à s’incruster dans la maison en dit long, aussi, sur la capacité à impressionner, à terrifier de ces jeunes déboulant en bande bien unie là où des Français de souche doivent respecter cette inique loi DALO (droit au logement opposable) qui les spolie. Et contre laquelle, si eux cherchaient à récupérer leur bien par la force, en vertu de l’article 226-4 du Code pénal, ils encourraient jusqu’à un an d’emprisonnement et 15.000 euros d’amende…
Youcef, qui se dit « assez ému » et remercie [Bassem] « d’avoir organisé cette descente-là », a donc récupéré sa maison. Tant mieux pour lui.
D’un côté, des Français puissamment unis par leur origine et leur religion, de l’autre, des Français individualistes, désunis par la puissante idéologie islamo-gauchiste responsable de la destruction du sentiment patriotique. Et on s’étonne du pessimisme des Français sur leur avenir ?
Lors de la réalisation d’un de nos visuels « saviez vous que » consacré aux illégaux, nous avions repris une photo trouvée sur Google. Dès le lendemain, l’auteur de cette photo, Olivier Papegnies, nous a contacté nous confirmant d’ailleurs ainsi que nos visuels sont très largement diffusés sur la toile. Très fâché et manifestement de gauche, il nous accuse d’utiliser illégalement sa photo. Nous promet de faire payer ses droits d’auteur qu’il reversera aux « réfugiés ».
Nous avons décidé de lui réponde publiquement.
Monsieur, à moins que vous préfériez citoyen du monde…
Nous avons bien pris connaissance de votre remarque et de votre désaccord. Comme quoi, la propriété n’est plus autant décriée à gauche qu’à une certaine époque…
Nous avons trouvé cette photo sur Google et n’avions pas noté un copyright particulier. Mais nous prenons acte de votre demande et retirons la photo…
Nous nous permettrons néanmoins de réagir à votre accusation comme quoi nous sommes dans l’illégalité. C’est assez amusant en sachant que vous soutenez des gens qui ne font que ça : être dans l’illégalité ! Je vous rappelle en effet que pénétrer sur le territoire d’un pays volontairement et sans papier est un acte illégal.
Je vous rappelle d’ailleurs qu’il existe une disposition dans le code pénal qui sanctionne celui qui aide un étranger à pénétrer ou séjourner sur le territoire belge en violation de la loi. Bien évidemment, cette règle est assortie d’une exception : si l’aide est offerte pour des raisons principalement humanitaires. Mais nous savons bien que cela n’a rien à voir avec l’humanitaire. Seulement à réaliser des utopies mondialistes.
Mais nous serons sympas, nous ne vous dénoncerons pas au Parquet. Même si nous aimons l’ordre, nous n’aimons guère jouer aux auxiliaires de police, contrairement aux gens de gauche…quand ça les arrange.
Avec un taux de chômage au plus bas, la Pologne connaît actuellement une pénurie de main d’oeuvre. Si elle se tourne vers l’immigration pour trouver des bras, ses choix sont limités du fait qu’elle se limite aux populations chrétiennes.
Alors que le chômage reste à un haut niveau en France, malgré une croissance à la hausse, certains pays de l’Est n’en finissent pas de flirter avec le plein emploi. C’est notamment le cas de la Pologne, qui est passée d’un taux de chômage de 5,3% au début de l’année 2017, à 4,4% en décembre dernier, d'après les données fournies par Eurostat. De quoi rendre jaloux le gouvernement français, mais le phénomène a aussi des désavantages. Les entreprises polonaises doivent faire face à un déficit de main d’oeuvre. Elles ont bien tenté d’augmenter les salaires pour attirer le maximum de candidats, mais le problème est que la pénurie a aussi été intensifiée par une émigration massive des travailleurs polonais.
C’est ainsi que l’on retrouve désormais énormément de travailleurs immigrés ukrainiens en Pologne, l’Ukraine étant en effet un pays majoritairement chrétien. Entre 2015 et 2016, du fait du conflit avec la Russie, 1,3 million d’Ukrainiens sont partis s’installer en Pologne, où ils occupent essentiellement des emplois peu qualifiés. Cela ne semble néanmoins pas suffire : en ne voulant pas des réfugiés qui affluent du Moyen-Orient, le gouvernement polonais prive le pays d’une résolution plus rapide du problème de la pénurie de main d’oeuvre.
Le gouverneur de la banque centrale de Pologne s’est récemment inquiété du choix de limiter l’immigration aux populations chrétiennes. “Trouverons-nous encore assez de bras immigrés pour compenser notre manque de bras ?”, s’est-il ainsi inquiété. Et ce ne sont pas les nouvelles générations de Polonais qui vont changer les choses : la Pologne a l’un des taux de fécondité les plus bas d’Europe (1,32 enfant par femme en 2015). Si le pays ne change pas de politique d’immigration, le problème semble parti pour durer.