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mercredi, 07 février 2018

Migrants: la «route de l’Espagne», itinéraire de tous les dangers

Par Laurent Ribadeau Dumas (avec AFP)

Lien direct car document lourd (geopolis)

Peut-on être issu de l’immigration et contre les migrants ?

 

Lien direct car document lourd

«On n’éradiquera pas l’excision sans changer les hommes»

Le militant marseillais Kélétigui Coulibaly a choisi de s’adresser aux hommes pour lutter contre l’excision.

 

« On n’éradiquera pas l’excision sans changer les hommes » : conteur en langue bambara et militant associatif à Marseille, Kélétigui Coulibaly a choisi de s’adresser aux maris et aux pères pour faire reculer cette mutilation génitale des femmes.

 

 

Vous êtes l’un des rares hommes à vous battre contre l’excision au sein de l’association marseillaise de lutte contre cette tradition, Gams Paca. Pourquoi est-il crucial de s’adresser aux hommes ?

 

 

Kélétigui Coulibaly : Ce sont des mamans elles-mêmes qui m’ont demandé d’aller parler à leur mari, car si un homme y allait, au moins il l’écouterait. Je suis originaire de la Côte d'Ivoire et du Mali, issu d’une caste de forgerons dont les femmes deviennent traditionnellement les exciseuses, donc les hommes savent qu’ils ont affaire à quelqu’un qui les comprend.

 
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Il est fondamental de parler aux hommes, si l’on veut que l’excision s’arrête. Ce sont les hommes qui sont à la base de la demande de l’excision. Pour eux, si la femme n’est pas excisée, elle n’est pas prête pour être mariée. Il faut aller les voir pour leur en expliquer les méfaits : si plus aucun homme n’exige une femme excisée, l’excision va disparaître.

 

 

Comment faites-vous pour les convaincre d’abandonner ce qu’ils estiment être une tradition ancestrale ?

 

 

Confrontés au choc culturel de l’immigration, les hommes se raccrochent aveuglément aux rares choses sur lesquelles ils peuvent garder la main, dont l’excision de leurs propres filles. Ils n’ont souvent pas conscience des conséquences, des souffrances des femmes. Dans leur tête, quand ils ont un rapport avec une femme, et qu’elle gémit, qu’elle se plaint, c’est un gage de leur virilité, c’est qu’ils sont puissants. Moi je leur dis : « oui, vous êtes puissants, mais elle devrait gémir de plaisir, pas de douleur ». Il y a une grande méconnaissance. Petit à petit, on leur explique : « vous voyez bien que cette femme, elle n’a pas de clitoris », et les gens commencent à comprendre.

 

 

Il faut combattre aussi les idées reçues : ces hommes se disent « le clitoris est un organe qui permet à la femme d’avoir beaucoup de sensibilité. Si ma femme retrouve le sien, elle aura sans cesse envie, elle va passer derrière mon dos, faire l’amour avec le voisin ». Je dois expliquer que les femmes excisées ont le sentiment d’avoir perdu quelque chose, de ne plus être une femme.

 

 

Une fois que les maris ont compris que l’excision est une mutilation génitale, la partie est-elle gagnée ?

 

 

Il est important aussi de faire aussi des actions auprès des jeunes garçons. Systématiquement un papa qui est marié à une dame dont il a exigé l’excision avant le mariage conseillera à son fils de faire de même. Il faut que les jeunes garçons puissent répondre, pour essayer de mettre un frein à ça.

 

 

Et il reste du chemin à faire : en dix ans, je n’ai vu qu’un seul homme avoir l’idée de proposer à sa femme la réparation (chirurgicale). D’une manière générale, les hommes ont du mal à accéder à ce niveau de compréhension. Même lorsqu’ils ont compris que l’excision est un tort qui a été fait à leur femme, pour beaucoup, accepter la réparation, c’est comme accepter qu’ils ne sont pas compétents sexuellement. Un mari m’a dit « si elle veut retrouver son clitoris, c’est qu’elle n’est pas satisfaite. Qu’elle se trouve un autre homme ».

 

LIRE AUSSI >Interactif. Excision : 200 millions de femmes mutilées dans le monde

 

laparisienne.com
 
Source

Un nouveau président élu à la tête de la Grande Mosquée de Clermont-Ferrand

Rédigé par Benjamin Andria

Depuis le décès de Hocine Mahdjoub en octobre 2017, la Grande Mosquée de Clermont-Ferrand n’avait plus de président à sa tête. C’est désormais le cas depuis la tenue d’une assemblée générale extraordinaire vendredi 2 février.

Mohamed Berradi a été plébiscité pour prendre la tête du lieu de culte. Originaire du sud algérien, il a la qualité d’avoir été le compagnon d'école de Hocine Mahdjoub qui était très apprécié des fidèles.

« Comme lui, il est le pur produit des écoles et zawiyas soufies, celle très réputée d'Adrar », en Algérie, signale ainsi la mosquée dans un communiqué. « Lors de son premier prêche en sa qualité d'imam de Clermont, il a rendu un vibrant hommage à son prédécesseur auquel il a juré fidélité et amour indéfectible. »

Une cérémonie d’introduction du recteur aux autorités civiles et religieuses locales sera prochainement organisée.
 

Le Conseil théologique des imams du Rhône voit le jour

Rédigé par Hanan Ben Rhouma

Les imams du Rhône s’organisent. Une trentaine de ces cadres religieux officiant dans le département se sont réunis dimanche 4 février à la Grande Mosquée de Lyon. A l’issue de cette rencontre, ils ont annoncé le lancement du Conseil théologique des imams du Rhône (CTIR).

« Ce conseil, indépendant dans sa réflexion et ses décisions, est un espace organisé qui permettra aux imams de coordonner leurs efforts notamment dans le domaine du culte et d’harmoniser leurs avis religieux (fatwas) », avec pour ambition aux interrogations de musulmans « dans un esprit d’ouverture et de compréhension, loin des excès » expliquent les initiateurs dans le communiqué, qui espèrent « se doter des moyens nécessaires pour parfaire l'intégration du culte musulman au sein de la République » avec le CTIR.

Cinq commissions, répondant à plusieurs défis constatés par les imams, ont été installées : l’enseignement et la formation, la consultation religieuse (fatwas), les rites musulmans, la communication et le dialogue intereligieux, l’éthique et la déontologie.

Le CTIR – à ne pas confondre avec le Conseil théologique musulman de France (CTMF) dont la nouvelle instance est indépendante – indique vouloir travailler « en harmonie avec toutes les instances musulmanes de France dans un esprit de dialogue et de concertation ».
 

Des organisations féminines dénoncent la violence des migrants

La multiplication des meurtres et agressions sexuelles commis par des migrants, venus en masse depuis la politique d’ouverture des frontières engagée par Angela Merkel, inquiète de plus en plus l’opinion allemande, notamment les femmes, qui en sont les premières victimes.

Suite à plusieurs faits divers récents impliquant des réfugiés dans des meurtres de jeunes femmes, les initiatives féminines pour dénoncer l’insécurité qu’elles subissent se multiplient depuis quelques semaines.

Le 28 janvier dernier à Kandel, petite ville à la frontière franco-allemande, un rassemblement de mères de famille locales a organisé une manifestation pour rendre hommage à Mia, une adolescente de 15 assassinée un mois plus tôt par un migrant afghan, ainsi que pour défendre la sécurité à laquelle ont droit leurs enfants. La mobilisation a été un succès et a attiré entre 1 000 et 2 000 personnes.

Le 30 janvier, un groupe de jeunes femmes allemandes a lancé l’initiative « 120 Dezibel », pour appeler à dénoncer à voix haute la violence et les agressions sexuelles « importées » que subissent les femmes européennes.
Le mouvement s’est fait connaître par une vidéo virale diffusée sur plusieurs plates formes internet ainsi que par un site web ( http://www.120db.info/ ) et un hashtag #120dB.

Source et Video

 

Filmé 24h/24, salle de sport aménagée… comment est détenu Salah Abdeslam à Fleury-Mérogis

Le procès de Salah Abdeslam qui doit s’ouvrir lundi à Bruxelles nécessite la mise sur pied d’un dispositif de sécurité hors normes dans et aux abords du palais de justice. Au côté d’un complice, il comparaît pour sa participation présumée à une fusillade avec des policiers le 15 mars 2016 à Bruxelles, trois jours avant son arrestation. Mais sa détention à Fleury-Mérogis est elle-même exceptionnelle :

La Video

« Ils s’en prennent à tout le monde » : le ras-le-bol des Calaisiens concernant les migrants

Après les violents affrontements entre clandestins le 1er février qui ont fait 22 blessés dont cinq par balle, des Calaisiens reviennent au micro de RT France sur les relations difficiles qu’ils entretiennent avec les clandestins :

La Video

Estrosi et ses élus installent une nouvelle mosquée radicale dans des locaux municipaux !

Communiqué FN du 2 février 2018 :

La majorité estrosiste (jusque dans ses composantes les plus « ciottistes ») aura donc voté à l’unanimité la délibération du Conseil municipal qui – sous prétexte de s’opposer à la mosquée En-Nour – entérine l’attribution immédiate d’un local municipal de 500 m² (au 43 route de Grenoble) pour y installer une mosquée qui sera co-administrée par la représentation locale de l’UOIF, émanation notoire des Frères musulmans dans notre pays. Pire, ces locaux ne sont qu’un hébergement provisoire en attendant que soit érigée une immense mosquée de 1000m², sur le terrain municipal de 3000m² mis à disposition par Christian Estrosi dans la plaine du Var.

Dans une ville marquée dans sa chair par le terrorisme islamiste (rappelons que le djihadiste du 14 juillet avait fréquenté la mosquée UOIF de Nice Nord), il s’agit d’une décision scandaleuse, d’une forfaiture qui restera à l’actif de TOUS les élus s’étant compromis par ce vote. Nous nous chargerons de leur rappeler, et de le rappeler à tous les Niçois.

Les élus du Front National, comme aujourd’hui au Conseil municipal, s’opposeront de toutes leurs forces – et par tous les moyens, même légaux – à cette nouvelle compromission de Christian Estrosi et ses élus avec l’islamisme.


Philippe Vardon
Vice-président du Groupe Front National – Région PACA
Responsable du bassin niçois

Marie-Christine Arnautu
Conseillère municipale et métropolitaine de Nice
Député français au Parlement européen

Sur le même sujet, lire notre reportage :  Nice: La librairie de l’imâm modèle d’Estrosi diffuse des livres radicaux (enquête)

Source

Carl Lang et le PdF à Ouistreham contre l'immigration clandestine

 

La Video

Affaire Théo : la police enfin réhabilitée

Dans l’ « Affaire Théo », durant un an, les policiers n’ont pas cessé d’être mis en cause politiquement et médiatiquement.

Par Philippe Bilger.

On a beaucoup parlé de l’interpellation de Théo au mois de février 2017 et des quatre fonctionnaires de police qui y avaient tant bien que mal procédé.

Une information a été ouverte et l’un d’eux a été mis en examen pour viol – il aurait délibérément sodomisé Théo avec sa matraque – et les trois autres pour violences en réunion.

La suspension de ces derniers a été levée et ils ont été réintégrés.

Durant un an, les policiers n’ont pas cessé d’être mis en cause politiquement et médiatiquement. Présumés coupables d’emblée, ils auraient pu le demeurer puisque par définition Théo était seulement un exemplaire jeune homme qui avait souffert à la suite de l’agression dont il affirmait avoir été victime.

Régulièrement TF1 nous donnait des nouvelles de sa santé et relayait les manifestations de ses proches et de ses soutiens.

Mon billet du 13 février 2017, « Théo, Toula et les autres », avait immédiatement dénoncé cette « chasse aux policiers » et la quasi-sanctification de Théo et de sa famille. La condamnation d’un de ses frères n’avait en rien altéré ce regard bienveillant porté sur cette famille puisque Théo, lui, était forcément digne d’intérêt et de considération. Les fonctionnaires de police incriminés n’avaient évidemment pas la moindre excuse même s’ils niaient ce qui leur était reproché, notamment, pour le plus gravement impliqué, le viol.

 Puis on a vu la vidéo de l’interpellation (Europe 1) et pour tous les observateurs de bonne foi la cause est entendue.

Il est clair qu’il y a eu empoignade, que Théo résistait, se débattait, refusait de se laisser appréhender et que quatre fonctionnaires n’étaient pas de trop pour le maîtriser après qu’un trafic de drogue avait été soupçonné dans son environnement.

Cette vidéo démontre par ailleurs l’essentiel : rien qui de près ou de loin relève d’une intromission volontaire de la matraque. Autrement dit, un fonctionnaire de police a été durant une année l’objet d’un opprobre amplifié par le fait que sa « victime » était l’objet d’une sollicitude exclusive.

Il suffit de se rappeler la visite du président Hollande à Théo sur son lit d’hôpital, ce qui a été perçu à juste titre par le corps de la police comme une provocation et une injustice totales.

Qui va s’excuser, se repentir, faire amende honorable ? Qui ? Personne pour l’instant sauf un boxeur très honnête, Patrice Quarteron, qui a admis avoir accablé à tort les policiers et s’est excusé auprès d’eux.

Après tout, ce ne sont que des fonctionnaires de police qui tentent dans des cités difficiles de faire un sale boulot et ils n’ont que ce qu’ils méritent. Imagine-t-on des politiques de gauche et les médias partiaux et accusateurs venir sur le tard à résipiscence ?

Ce serait un miracle dans notre démocratie.

Il faut reconnaître au Monde une constance dans la fidélité à Théo. « La parole s’est libérée dans les cités… et la famille du jeune blessé… reçoit beaucoup de témoignages sur les violences sexuelles. » Théo est encore une icône pour ce quotidien.

Mais tout de même, depuis la vidéo, les inconditionnels de la cause de Théo le sont moins. Il s’agit d’un jeune homme qui, au lieu de se laisser contrôler et interpeller normalement (pourquoi d’ailleurs pour qui n’a rien à se reprocher ?), a contraint des policiers à une action qui, avec les préjugés pervers contre elle, aurait entraîné sa disqualification s’il n’y avait pas eu cette bienfaisante vidéo.

Décidément notre société a des icônes au rabais. Théo, Cesare Battisti (François Hollande lui avait également rendu visite), Jacqueline Sauvage (graciée deux fois par François Hollande).

Mais je ne boude pas mon plaisir : on va moins parler de Théo ou alors plus forcément en bien !

Source

A Dunkerque aussi, les migrants n’ont pas peur de foutre sur la gueule de la police

Vous avez sans doute été élevés, comme moi, avec la peur du gendarme. Ni Croquemitaine ni ogre, il représentait l’ordre et la loi et risquer de se retrouver en situation difficile face à lui n’était pas envisageable, pour la majeure partie de la population.

C’est fini. Les policiers, à Dunkerque, en ont fait une amère expérience de plus.

Ils ont interpellé un camion plein de migrants… et ont été attaqués, tout simplement.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/02/02/97001-201802...

Ainsi, non seulement le Français de base ne respecte et ne craint ni le maître d’école ni le gendarme, ni même le juge, mais l’épidémie touche tous ceux qui entrent chez nous. Enfin, chez nous… c’est partout pareil en Europe, comme cet assassin de 3 personnes, Fouad Saleh, qui, à l’énoncé du verdict ( perpétuité ) a fait ces doigts d’honneur aux juges suédois, hilare…

hilare…

Certes, Cohn Bendit et mai 68 sont passés par là, mais j’aimerais comprendre comment et pourquoi des gens qui ont paraît-il fui la guerre, la faim, des pays a-bo-minables où règnent des tyrans, avec une police implacable, à peine arrivés chez nous  osent taper nos flics.

Il n’y a pas 50 solutions. On les a prévenus, on les a chapitrés, on leur a montré le modèle.

Qui ça « on  » ?

Au choix. Les passeurs, briffés par les sympathiques associations droidelhommistes. Les dites associations qui accueillent, maternent, excitent… Les imams des mosquées de leurs pays, qui les ont encouragés à n’avoir que mépris pour les kouffars et leurs lois…

Dans tous les cas, on se fait marcher dessus, et ça prend une ampleur jamais atteinte.

Ça pourrait bien péter un de ces jours. Ils n’ont peur de rien. Le jour où les Français comprendront qu’ils n’ont plus rien à perdre et tout à gagner, la donne pourrait changer.

Source et Image

La mort assurée pour les islamophobes en prison, que font les députés pour les protéger ?

Illustration ci-dessus, celle de l’article http://resistancerepublicaine.eu/2016/12/30/mort-en...

J’espère que  Darren, l’homme condamné en Angleterre pour avoir renversé des musulmans sur le trottoir, pourra bénéficier d’une forme d’isolement pour ne pas être mélangé avec les « fous d’Allah », qui vont n’en faire qu’une bouchée autrement.
Il est intéressant de relever à cet égard qu’en France la prison de Borgo est présentée comme inadaptée par le Figaro : libre circulation des « fous d’Allah ».
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/01/19/01016-...

Ce régime s’applique-t-il en Angleterre ?
Pour Stratediplo, la prison en France est dangereuse pour les détenus islamophobes qui pourraient dans certaines conditions bénéficier de la protection de la CEDH… mais pour l’instant, aucun jugement de cette dernière n’est intervenue, son raisonnement est purement doctrinal et hypothétique :
https://ripostelaique.com/envoyer-un-francais-dans-une-pr...
Par ailleurs, pour Jack Lang, 2/3 des détenus sont musulmans : courrier de 2014 du président de l’institut du monde arabe
http://resistancerepublicaine.eu/2015/04/05/23-des-detenu...

Ce qui est intéressant, c’est de constater que parmi les personnes « sensibles » bénéficiant de l’isolement ou de l’aménagement de peine permettant de purger sa peine de prison dans un quartier spécifique, les islamophobes ne sont pas encore énumérés par wikipédia, qui fournit une liste d’exemples tirés de la pratique.
La loi n’énonce aucun exemple d’ailleurs :

https://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do;jsessionid=6... mais la pratique en fournirait qui sont évoqués par wikipédia :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Isolement_(prison)
« La loi française nomme « isolement » une mesure spécifique pour isoler une personne détenue du reste de la population pénale ou le protéger des autres personnes détenues (comme une personne médiatique). Cette mesure n’est pas à confondre avec la cellule disciplinaire (que les détenus appellent « mitard »), qui consiste certes en un isolement effectif du prisonnier mais à titre punitif et pour une durée limitée à 30 jours. Le régime portant l’appellation d’« isolement » n’a pas de durée maximale.
Le détenu placé à l’isolement dispose d’une cellule individuelle et n’a aucun contact avec d’autres détenus sans autorisation du chef d’établissement. Contrairement aux détenus du quartier disciplinaire, il n’est pas privé de télévision, d’achat en cantine ou du relatif confort des cellules ordinaires.
Le détenu à l’isolement est examiné au moins deux fois par semaine par un médecin qui peut recommander de mettre fin à l’isolement, mais contrairement à la cellule disciplinaire il n’émet qu’une recommandation, pas une décision.
(…) Dans certains prisons, comme les maisons d’arrêt de La Santé, Fleury-Mérogis ou Fresnes, il existe des quartiers spécifiques plus souples que l’isolement afin d’accueillir les détenus sensibles de part leur sexualité ou genre (homosexuels, bisexuels, prostitués, transgenre), leur métier (avocat, juge, huissier, policier, douanier…) ou leur affaire (affaire sexuelle, affaire avec un mineur, affaire médiatisée…). A l’inverse de l’isolement, les détenus de ces quartiers ont des activités et des promenades communes. »

La question qui pour l’instant n’est pas tranchée est aussi et surtout celle des recours de l’islamophobe emprisonné contre les refus de lui faire bénéficier d’un traitement spécifique pour protéger sa vie.
http://www.justice.gouv.fr/art_pix/6.pdf
L’isolement peut être administratif ou judiciaire. Seul ce dernier peut durer par principe pendant toute la peine.

Quid en cas de refus du juge d’accorder l’isolement ? La décision pourra-t-elle être l’objet d’un recours sur ce point en faisant valoir les caractéristiques de la population carcérale ? (sachant que les statistiques à ce sujet sont tabou malgré la déclaration de Jack Lang – qui aura fait au moins une chose bien dans sa vie, fût-ce involontairement : cette déclaration relative à la population carcérale apparemment officielle reprise par divers sites !)

« Isolement administratif
3 mois renouvelables trois fois, durant la 1re année.
4 mois renouvelables deux fois durant la 2e année.
Au-delà de 2 ans, la prolongation de l’isolement ne peut avoir lieu qu’à titre
exceptionnel et doit être spécialement motivée.
Pour comptabiliser la durée totale de l’isolement, on cumule les différentes mesures d’isolement sauf si elles ont été séparées par une interruption supérieure à un an.

Isolement judiciaire
La durée est précisée et décidée par le juge d’instruction dans la limite de la durée du titre de détention. A défaut de précision, la durée est considérée comme étant celle du titre de détention.
Un renouvellement de l’isolement est nécessaire à chaque prolongation de la détention provisoire.
Un isolement administratif peut faire suite à un isolement judiciaire. Dans ce cas, la durée effectuée sous le régime de l’isolement judiciaire n’est pas prise en compte pour calculer la durée totale de l’isolement.  »
C’est encore pire pour les décisions d’isolement administratif compte tenu du jeu des délais qui doit rendre particulièrement angoissante l’attente de la décision sur ce point, alors qu’un isolement judiciaire a au moins l’intérêt de durer en prison pendant toute la détention. N’a-t-on pas alors affaire à un cas de torture morale dans ce cas relevant effectivement de la CEDH comme l’évoque Stratediplo dans son article ?

A quand une modification de la loi pour prévoir de plein droit le bénéfice de l’isolement pour qui serait condamné en raison d’un propos ou d’une action pouvant froisser un « fou d’Allah » ?

Quelque chose me dit que les poules auront des dents… lorsque le pouvoir politique le fera spontanément.
Faudra-t-il attendre qu’un islamophobe soit tabassé voire tué en prison pour que, SUR CONDAMNATION DE LA FRANCE PAR LA CEDH, une telle réforme soit entreprise ?
C’est hélas souvent ce qui arrive : la condamnation par la CEDH met en évidence alors la nécessité de réformer afin d’éviter qu’elle ne se reproduise.

Pourtant, les multiples agressions d’ores et déjà subies en prison, sur lesquelles les surveillants ont voulu attirer l’attention, rendent prévisible la nécessité d’une amélioration de la législation.
Il est vrai que pour l’instant, il semble n’y avoir eu que des condamnations avec sursis d’islamophobes, comme les identitaires jugés à Poitiers en décembre.
Quelle responsabilité pour le juge ou le directeur de prison refusant le bénéfice de l’isolement à un islamophobe ?

Les juges bénéficient d’une immunité et n’encourent pas le risque de condamnation pour mise en danger de la vie d’autrui. Il est temps que cela change. La question de la responsabilité des juges est de plus en plus soulevée, c’est le moins qu’on puisse dire, depuis bien longtemps…

Le personnel administratif également est protégé en raison des exigences élevées pour constituer la mise en danger de la vie d’autrui (https://fr.wikipedia.org/wiki/Mise_en_danger_de_la_vie_d%...). Pourra-t-on déduire du seul fait que l’isolement a été refusé à un islamophobe qu’il était manifeste que sa vie a été mise en danger ? Les juges appelés à juger ainsi un fonctionnaire de l’administration pénitentiaire ou le ministre de la Justice diront-ils alors : « pas d’amalgame » ou peut-on poser une présomption de risque d’agression ?
En effet prend la décision de placement à l’ isolement administratif :
« Le chef d’établissement : pour le placement initial et le 1er renouvellement de 3 mois.
Le directeur interrégional des services pénitentiaires : pour toute prolongation au-delà de 6 mois.
Le ministre de la Justice : pour toute prolongation au-delà d’un an. »
Le ministre peut être jugé au contraire devant la Cour de justice de la République, mais pour l’instant cette menace reste largement virtuelle puisque la CJR n’a jamais envoyé quiconque en… « tôle ».

Constitution article 68-1
« Les membres du Gouvernement sont pénalement responsables des actes accomplis dans l’exercice de leurs fonctions et qualifiés crimes ou délits au moment où ils ont été commis.
Ils sont jugés par la Cour de justice de la République.
La Cour de justice de la République est liée par la définition des crimes et délits ainsi que par la détermination des peines telles qu’elles résultent de la loi ».

Beaucoup de question qui restent en suspens.

Cependant, la justice a envoyé en prison ferme un identitaire en 2016, même si pour l’instant, comme il a fait appel, sa condamnation n’est pas définitive. Pourra-t-il contraindre l’Etat à lui octroyer des modalités d’emprisonnement protectrices en cas de condamnation définitive ? Affaire à suivre…

Ce sujet mériterait d’alerter les députés et sénateurs, il faut leur demander de déposer une proposition de loi ou une modification de la loi dans ce sens :

– LISTE DES DÉPUTÉS
http://www2.assemblee-nationale.fr/deputes/liste/alphabet...

– Liste des Sénateurs par ordre alphabétique
http://www.senat.fr/senateurs/senatl.html

– Liste des maires des grandes villes françaises
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_maires_des_grandes...

http://www.interieur.gouv.fr/Contact/Ecrire-au-ministre-d...

Source

La natalité musulmane explose en France, pourtant certains agressent les non musulmanes enceintes !

Nous savons tous aujourd’hui qu’un des principaux facteurs de l’islamisation de la France, avec l’immigration, c’est l’explosion de la natalité musulmane dans notre pays. Selon les statistiques, il y a de nos jours environ 3 ou 4 enfants dans une famille musulmane vivant en France pour 1,8 enfant dans une famille française d’origine. Des prénoms musulmans comme « Mohamed » seront bientôt en tête de liste chez les nouveaux nés français.

Houari Boumédienne, ancien Président algérien, nous avait prévenus lors d’un célèbre discours à la tribune de l’ONU en 1974 : « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère Sud pour aller dans l’hémisphère Nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire. »

 

En France, nos dirigeants politiques, pourtant alertés de cette menace, n’ont pris aucune mesure pour freiner cette démographie musulmane, aucune politique concrète de natalité avec préférence nationale n’a été mise en place en ce sens dans notre pays. Au contraire, les Présidents qui se sont succédé depuis 40 ans à la tête de la France ont encouragé l’islamisation de notre pays par le biais du regroupement familial, des allocations familiales et de nombreuses réformes en faveur de l’islam.

Or, la natalité est une véritable arme de guerre pour conquérir un pays. Toute femme musulmane vivant en France et qui dépasse le taux de natalité de la femme française d’origine devient de fait, même si elle ne l’a pas à l’esprit et ne le désire pas,  une conquérante, une colonisatrice. Battre le niveau de natalité du pays qui vous accueille, c’est se comporter en terrain conquis, sans respect pour la population autochtone qui vous offre l’hospitalité.

De nos jours, les femmes musulmanes vivant en France ont accès à tous les moyens de contraception et n’ont donc aucune excuse pour ne pas contrôler leurs grossesses. Mais les tabous sur la sexualité restent encore très vivaces au sein de la communauté musulmane qui reste imprégnée par des traditions islamiques et des rites ancestraux basés sur la notion de famille nombreuse. Nous pouvons citer le cas de Mme Fatima Charrihi, cette femme musulmane décédée dans l’attentat de Nice et qui était la mère de sept enfants. Après ce drame, les sept enfants ont été indemnisés par la France, aux frais des contribuables français, une des filles affirmant sans vergogne dans tous les médias où elle se rendait avec son voile islamique que sa mère fut la « première victime de l’attentat de Nice ».

Dans une vidéo tournée en 2017, un homme propose son explication  de la surnatalité musulmane en France, à savoir le désir de vengeance des musulmans sur la colonisation française, ces derniers considérant que ce serait à leur tour de coloniser la France. Cet homme poursuit son témoignage en affirmant que l’islam est un véritable danger pour l’humanité, l’islam ayant répandu ses massacres dans le monde entier. Il rappelle que ce qui compte pour les générations futures, ce n’est pas le nombre mais la qualité.

Source et Video

Forza Nuova ose : « Nous sommes avec Luca Traini « ( qui a tiré sur des migrants )

Le communiqué du petit parti Forza Nuova est sans ambiguïté. Soutien total. Cela n’aide pas forcément Luca Traini, puisque Forza Nuova est traité de parti d’extrême-droite, mais comme il est déjà traité de fasciste et compagnie, ça ne change pas grand-chose.

Il semble probable par ailleurs que la jeune fille démembrée ait été la petite amie de Luca Traini.

COUPS DE FEU SUR MIGRANTS, PHRASE CHOC DE FORZA NUOVA  :   NOUS SOMMES AVEC LUCA TRAINI.

Il gazzettino.

Ce sera politiquement incorrect, ce sera inconvenant, en campagne électorale personne ne fera un pas en avant, mais aujourd’hui nous nous tenons à côté de Luca Traini, le jeune homme de Macerata arrêté il y a quelques heures sous l’accusation d’avoir blessé des immigrants.

Voilà ce qui arrive quand les citoyens se sentent seuls et trahis, quand le peuple vit dans la terreur et que  l’Etat pense seulement à réprimander les patriotes et défend les intérêts de l’immigration.

Nous mettons nos liquidités à disposition pour payer les dépenses judiciaires de Luca, pour ne pas qu’il se sente seul, pour ne pas l’abandonner.

 

Note de Forza Nuova :   »  nous imaginons déjà les condamnations de l’ ANPI, des divers antifascistes et de ceux qui servent la cause de la substitution ethnique .

Nous entendons déjà les indignations de palais et des salons T.V.

Tandis que nous, nous avons dans les oreilles les pleurs déchirants de la famille de Pamela et les cris de rage d’une Italie qui veut réagir et ne veut pas mourir d’immigration ».

https://www.ilgazzettino.it/primopiano/cronaca/spari_su_m...

Traduction pour Résistance républicaine par Valkyrie

Pour en savoir plus sur Forza Nuova :

Plateforme politique[modifier | modifier le code]

Le mouvement politique prétend œuvrer à la « reconstruction nationale » par la réalisation de onze objectifs:

  1. L’abrogation de la loi sur l’avortement;
  2. Une politique sociale qui favorise la natalité et la protection de la famille traditionnelle;
  3. L’opposition à l’immigration et le rapatriement humain des immigrants vers l’Italie;
  4. La lutte contre la mafia, l’interdiction de la franc-maçonnerie et toutes les sociétés secrètes, avec la sortie de l’OTAN et le retrait de la sphère d’influence américaine;
  5. La lutte contre l’usure et la radiation de la dette publique, ainsi que l’abolition du capitalisme;
  6. La restauration de l’accord de 1929 entre l’État et l’Église et la défense de l’identité nationale;
  7. L’abrogation des lois Mancino et Scelba, qui, pour Forza Nuova, détruit la liberté;
  8. La formation de guildes pour la protection des travailleurs;
  9. La suppression des régions;
  10. La promulgation de lois pour éliminer le revenu de seigneuriage bancaire et pour l’État d’émettre de la monnaie; monnaies complémentaires pour le commerce local, et la nationalisation des secteurs suivants: la santé, la banque centrale, les banques commerciales et les industries stratégiques;
  11. La reprise de la « religiosité chrétienne » et de la « foi dans l’Église catholique ».

Force nouvelle se caractérise également par un euroscepticisme radical; Roberto Fiore, chef des FN, a déclaré qu’il voulait s’opposer « par tous les moyens juridiques possibles » à l’entrée en vigueur du traité de Lisbonne 1.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Forza_nuova

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L’Italie sous le choc après le raid raciste

La fusillade anti-immigrés qui a secoué l’Italie samedi, plombe un peu plus la campagne électorale, à un mois pile des législatives du 4 mars.

“Ciao, je vais à Macerata faire un massacre” avait annoncé Luca Traini en commandant un café dans un bar, juste avant de s’élancer pour son raid raciste, raconte le Corriere della Sera dans son récit des événements qui se sont produits samedi matin dans la ville des Marches, dans le centre de l’Italie.

L’auteur présumé de l’attaque, âgé de 28 ans, a tiré à l’arme à feu, depuis sa voiture. Son but : viser le maximum d’étrangers. Il en a blessé six, tous africains. En sortant de son véhicule devant le monument aux morts de la ville, où il a mis fin à son raid, il s’est enveloppé dans un drapeau italien et a réalisé le salut fasciste en criant « L’Italie aux italiens », juste avant d’être neutralisé par les forces de l’ordre, selon les témoignages relayés par la presse italienne.

Militant d'extrême-droite

Luca Traini aurait agi pour répondre à la mort sordide de Pamela, dans la même ville, le 31 janvier dernier. Le corps de la jeune fille avait été retrouvé démembré, dans deux valises. Le suspect serait un immigré nigérien, sans papiers et déjà condamnée plusieurs fois par la justice italienne.
Outre son acte à caractère sans doute raciste, son aspect - le crâne rasé, un tatouage de dent de loup sur la tempe, un autre de croix celtique et des inscriptions en lettres gothiques traduisent assez clairement l’opinion du tireur. L’homme était en outre lié au parti de Matteo Salvini : il avait figuré sur les listes de la Ligue du Nord lors des élections municipales du printemps 2017.

Réactions politiques

Le leader de la Ligue du Nord Matteo Salvini a réagi en condamnant l’acte du délinquant mais a tenu à ajouter que « qui aime l’immigration, incite à la violence », précisant que « la responsabilité morale de chacun des actes de violence qui se produisent en Italie est à ceux qui ont rempli de réfugiés notre pays ». Silvio Berlusconi quant à lui, a fermement condamné « l’acte d’un déséquilibré », tout en rappelant lors d’une intervention au TG5 que « 600.000 immigrés présents en Italie représentent une bombe sociale prête à exploser, car ils vivent de délits ».
La présidente du parti de droite Fratelli d’Italia, Giorgia Meloni a parlé « d’un geste fou d’un criminel déséquilibré, sans aucune justification. Ainsi est réduite l’Italie entre les mains de la gauche ».
Le secrétaire du Parti démocrate Matteo Renzi et le vice-président de la Chambre et leader du Mouvement 5 étoiles Luigi Di Maio ont eux lancé un appel au calme. « Il faut du calme et de la responsabilité de la part de tous les partis », a souligné le leader du PD. Le candidat du M5S a lui appelé « tous les partis, à ne pas faire campagne sur la peau de Pamela et des six blessés ».
Le président du Conseil Paolo Gentiloni, a pour sa part soutenu que « La haine et la violence ne parviendront pas à nous diviser ».

A un mois pile des élections législatives du 4 mars prochain, la fusillade anti-immigrés de Macerata, risque pourtant de plomber encore plus la campagne électorale.

Par Marie-Astrid Roy

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