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lundi, 12 février 2018

Propagande : hier sur la 2, le plus vieil Anglais était Noir …

OUF !

L’honneur est sauf puisque, au moment où on apprend que Nefertiti était blanche, un reportage télévisé de la 2 nous apprend que des hommes à peau noire (le Cheddar Man, dont les traits sont d’ailleurs non négroïdes et les yeux bleus), peuplaient la Grande Bretagne il y a 10 000 ans.

Avec, bien entendu, de la part de crétins sélectionnés questionnés dans la rue, toutes sortes de commentaires visant à nous prouver que les migrants, c’est l’avenir!

Personnellement, si j’avais été interrogé, j’aurais pu répondre que, en toute logique on peut en déduire que lorsque l’Homme évolue, il devient blanc, mais bon, on ne m’a pas demandé mon avis….!

Source

Risques d’attentats dans les aéroports : les salariés sont-ils vraiment sous haute surveillance ?

Dans son livre « Les Mosquées de Roissy » paru en 2006, Philippe de Villiers dénonçait déjà, arguments et enquêtes à l’appui, l’islamisation d’un site aussi sensible qu’un aéroport. Outre la radicalisation alarmante des salariés de Roissy, Philippe de Villiers nous alertait également sur la présence de salles de prière clandestine, la corruption de certains syndicats et comités d’entreprise diffusant une propagande radicale et le maillage musulman de tout l’organigramme du personnel de l’aéroport. Plus grave encore, ce livre affirmait que des islamistes étaient parvenus à infiltrer les services de sécurité de ce grand aéroport parisien pour prendre le contrôle de zones entières où transitent bagages et passagers, avec la possibilité de faire passer librement des armes et des explosifs.

 En 2006, le témoignage de Philippe de Villiers souleva une vague d’indignation et personne ne prit au sérieux son cri d’alarme. Tout le monde s’étrangla devant les révélations de ce livre jugé à la fois raciste et islamophobe, que ce soient les médias, les associations musulmanes ou encore Dalil Boubakeur, le Recteur de la Grande Mosquée de Paris. Philippe de Villiers fut accusé de détourner les problèmes de sûreté à des fins politiciennes et personnelles.

Toutefois, après les attentats de 2015 en France, la polémique sur l’islamisation des aéroports refit surface avec l’arrestation de plusieurs salariés de la société ADP (Aéroport de Paris) soupçonnés de radicalisation. La montée du fait religieux et la multiplication d’incidents liés à la pratique fondamentaliste parmi les salariés de nos aéroports sont aujourd’hui avérées avec des pratiques prosélytes et agressives sur le lieu de travail. Le Préfet de Paris fut contraint notamment de supprimer les habilitations permettant l’accès à certaines zones sensibles des aéroports pour des salariés convertis à un islam radical ou faisant l’objet d’une fiche S. A l’aéroport d’Orly, quelques jours après les attentats de Paris, la Direction du Personnel exigea que ses salariés de sexe masculin ne portent plus une barbe trop longue ou mal entretenue, sous peine de licenciement

Source et Video

La Constitution belge ne permet absolument pas d’éviter de manière préventive l’installation de la charia !

J’ai des correspondants en Belgique depuis 20 ans et pour la première fois, l’année dernière, alors qu’on n’a jamais parlé de politique étant liés par une autre passion commune, ils m’ont écrit : « on n’en peut plus, on se sent envahis » !

Si la Déclaration de 1789 pourrait être mieux rédigée afin d’éviter les mouvements sectaires, la Constitution belge est carrément mauvaise à ce sujet. On comprend mieux pourquoi Molenbeck est en Belgique, pourquoi les djihadistes aiment tant se retrouver en Belgique avant d’agir en France, en Allemagne, en Espagne…
https://www.senate.be/doc/const_fr.html

D’abord, cette constitution se préoccupe de questions de mon point de vue négligeables : faut-il que le mariage civil précède ou suive, dans l’ordre, le mariage religieux ?
Article 21 : « le mariage civil devra toujours précéder la bénédiction nuptiale, sauf les exceptions à établir par la loi, s’il y a lieu ».
C’est purement symbolique à mes yeux : signifier que la loi civile générale est plus forte que la loi religieuse.
Je trouve même que la règle selon laquelle on doit d’abord se marier à la mairie n’a pas de sens, elle viole la liberté religieuse car les mariages civil et religieux sont distincts. Chacun évolue dans sa propre sphère. D’ailleurs, c’est au nom de cette distinction que les églises peuvent rester attachées au principe d’un mariage spirituel hétérosexuel même dans les pays où le mariage civil homosexuel est admis par ailleurs, puisque les liens sacrés et les liens temporels sont distincts. Mais c’est une autre question.

La Constitution belge ne permet absolument pas d’éviter de manière préventive l’installation de la charia !
Elle ne permet que la « répression des délits » sans davantage les préciser.

Si l’on est libre de manifester ses opinions « en toute matière », comme elle le prévoit, alors, on peut penser que cela interdit par exemple d’incriminer l’apologie au terrorisme islamique ou d’expulser un « fou d’Allah » ayant déclaré son intention de mener le djihad !

« Art. 19 – La liberté des cultes, celle de leur exercice public, ainsi que la liberté de manifester ses opinions en toute matière, sont garanties, sauf la répression des délits commis à l’occasion de l’usage de ces libertés ».
Certes, l’article 20 dispose : « nul ne peut être contraint de concourir d’une manière quelconque aux actes et aux cérémonies d’un culte, ni d’en observer les jours de repos ».

Mais rien n’est fait pour éviter que la Constitution soit renversée pour instaurer la charia qui impose le contraire. Il manque un dispositif préventif.

Pire encore, si l’on en croit l’article 21, l’Etat ne pourrait pas imposer la révocation ou d’expulsion d’un imam développant des prêches haineux, à moins de considérer que l’islam n’est pas une religion malgré le lieu commun en sens contraire :
« L’État n’a le droit d’intervenir ni dans la nomination ni dans l’installation des ministres d’un culte quelconque, ni de défendre à ceux-ci de correspondre avec leurs supérieurs, et de publier leurs actes, sauf, en ce dernier cas, la responsabilité ordinaire en matière de presse et de publication ».

L’article 11 paraît confirmer ce travers :
« La jouissance des droits et libertés reconnus aux Belges doit être assurée sans discrimination. A cette fin, la loi et le décret garantissent notamment les droits et libertés des minorités idéologiques et philosophiques ».

Et tout cela a lieu dans un « royaume »… preuve encore que le régime républicain n’y est pour rien !

En raison de l’article 19, la Constitution belge paraît s’opposer à ce que soit interdite une religion qui prône l’inégalité de l’homme et la femme, alors même que l’article 10 de leur Constitution consacre l’égalité sexuelle. Le texte français est meilleur sur ce point car notre Déclaration de 1789 permet que de telles opinions ne puissent être exprimées quand elles troublent l’ordre public : c’est une ré-daction plus ouverte que celle de la Constitution belge qui, elle, ne vise que les délits prévus par ail-leurs par la loi générale, laquelle apparemment ne peut restreinte la liberté d’expression consacrée très amplement « en toute matière ».

Mais encore faut-il en France qu’une loi intervienne et le moins qu’on puisse dire est que les différentes législatures qui se sont succédé n’ont jamais été très ambitieuses à ce propos. Tout reste à faire.

Alors, que peuvent faire les Belges face à un texte aussi mauvais ?

Restreindre l’immigration, la contrôler pour empêcher l’islamisation de leur société. Mais ils ne pourront le faire qu’en quittant l’Union européenne.

En effet, selon l’article 10 de leur Constitution, « il n’y a dans l’État aucune distinction d’ordres. Les Belges sont égaux devant la loi; seuls ils sont admissibles aux emplois civils et militaires, sauf les exceptions qui peuvent être établies par une loi pour des cas particuliers ».

En revanche, cette égalité ne profite pas aux immigrés non belges, avant leur naturalisation, qu’il est donc possible de sélectionner.
Finalement, si la France comme la Belgique veulent garder leurs textes consacrant de larges libertés à leurs citoyens, elles ne pourront le faire, si l’on est pragmatique et prévoyant, qu’en maîtrisant mieux leur immigration.
Tant que la libre circulation des personnes découlera de l’appartenance à l’UE, cet objectif sera impossible à réaliser.

Source

La soeur de Mennel Ibtissem abonnée à la mosquée UOIF de Besançon

Le compte Twitter de la soeur de Mennel, « ma principale source d’inspiration » selon la chanteuse, est abonné au Centre culturel islamique de Franche-Comté (CCIFC), affiliée à l’UOIF, connue sous le nom de mosquée de Fontaine Ecu.

Les prédicateurs fréristes de l’UOIF assurent les conférences dans cette mosquée, à l’instar de Hassan Iquioussen, pro califat (ses prêches ultras sont retranscrits ici) dont les conférences sont justement relayées compulsivement sur les comptes sociaux de Mennel. On retrouve aussi Larabi Cherbi , « professeur de charia » à l’école d’imâms de l’UOIF, l’IESH. Diplômé en shari’a de l’université de Médine, Cherbi est, indique la mosquée, membre du Conseil Européen de la Fatwa et de la Recherche et de l’Union Internationale des Savants Musulmans, deux institutions présidées par Youssef Al-Qaradawi qui prescrit de tuer les apostats, tuer les juifs et qui voit la Shoa comme un « châtiment divin » (biographie). Est également venu en conférence dans cette mosquée Moncel Zenati, autre pilier de l’UOIF. Pour Zenati, la charia est supérieure qualitativement aux lois humaines (droit positif) « La Charia correspond à la Loi Divine. La Charia correspond à l’ensemble des Lois, toutes les Lois, concernant tous les domaines. […] Le droit positif reflète l’imperfection de l’être humain et sa faiblesse » (Conférence « Qu’est-ce que la charia ? » du 12 avril 2014 à Paris). Il s’opposa vigoureusement  au « Forum mondial pour une réforme islamique » lancé par les musulmans réformistes Ghalib Bencheikh et le converti Félix Marquardt.

Le président du Centre Culturel Islamique de Franche-Comté, Khalid Jarmouni, a fomenté des manifestations contre l’interdiction du voile à l’école et a fait pression pour l’obtention de menus sans porc dans les cantines. Par ailleurs, il a réussi à créer des liens avec une petite association de femmes qui a le projet d’ouvrir la première école confessionnelle musulmane de Besançon, avec le soutien de l’UOIF.

http://islamisation.fr/2018/02/10/la-soeur-de-mennel-ibti...

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Pour lutter contre l’antisémisme, l’Obs veut faire venir encore plus de « migrants »

Et de deux !

Après un reportage consacré à « l’inquiétant exode des juifs de Seine-Saint-Denis » en novembre 2017,  l’Obs récidive avec « les nouvelles haines antisémites » avec, en couverture, des jeunes (des jeunes quoi, au fait ?) brûlant un tissu imprimé de l’étoile de David.

Les médias se réveillent petit à petit de leur torpeur subventionnée mais quand on lira, au Monde ou à Libé, une tribune défendant l’honneur des Identitaires ou de Christine Tasin, les poules auront des dents…

La couverture de l’Obs montre donc des « jeunes de la diversité », attifés des traditionnels torchons de la cause palestinienne, immolant à Berlin, en décembre 2017, un Magen David de tissu.

Il était clair que ce n’étaient plus les mêmes allemands qui scandaient « morts au juifs » pendant la Nuit de Cristal (1938).

L’Obs allait-il mettre les points sur les i et appeler un chat… un chat ? La lecture de l’hebdomadaire de Jean Daniel promettait d’être alléchante.

« Que s’est-il donc passé pour qu’on assiste à l’expression décomplexée de cette haine nauséabonde vis-à-vis des juifs d’Europe ? » demande sa fille, Sara, journaliste spécialiste du Moyen-Orient.

Depuis longtemps, les lecteurs de Résistance Républicaine et toute la réinfosphère ont bien une petite idée du péril qui menace, et l’Europe, et les juifs, mais, classés définitivement « fachos » et n’ont pas droit au chapitre médiatique (ou si peu), sauf à se contenter de remplir les actualités judiciaires de la 17e chambre correctionnelle de Paris.

Jean Daniel et sa fille retombent dans le même travers en posant un parallèle entre antisémitisme musulman et montée des « populismes ». Pour parler des nazislamistes, on met d’abord en avant le bon vieux « facho » européen et on les renvoie dos à dos.

« Il y a d’abord eu, bien sûr, la montée des extrêmes : de la démocratie « illibérale » (NDA : néologisme macronien signifiant qu’un président « populiste » ne peut être légitime, même démocratiquement élu) de Victor Orbàn en Hongrie ; de l’AfD devenu troisième force politique du Bundestag ; du FPÖ en Autriche ou du Parti nationaliste flamand en Belgique. Ces partis institutionnalisent au cœur de l’État leur révisionnisme. »

Bon, les heures les plus sombres de l’histoire sont encore de retour, on connaît la chanson.

« L’Europe est confrontée à une vague de judéophobie ». Ha la peur du juif ? Nouveau ça. C’est peut-être la crainte d’être circoncis de force par un mohel fou ou de mourir empoisonné par un gefilte fish, un soir de shabbat ?

On sent bien quand même le rapprochement avec l’islamophobie, cette crainte qu’il est urgent de criminaliser.

Allez, direction la Suède, paradis des féministes dingos et du migrant-roi :

Rebecca Gellert, 19 ans, juive de Malmö, a « déjà intériorisé les interdits de sa communauté. Peur des skinheads ? Toujours. La mouvance néonazie, qui réserve la plupart de ses exactions aux musulmans – mosquées incendiées et ratonnades-, se rappelle aussi régulièrement au bon souvenir des juifs ».

Tandis que le cœur battant de Malmö est « désormais le quartier chatoyant de Möllevangen, avec son marché, ses épiceries irakiennes, ses cafés à chicha et ses restaurants de falafels », l’Obs note un petit problème : « Mais tandis que la communauté musulmane s’agrandit, que les bulbes des mosquées sortent de terre, les juifs plient bagage. Ils ne sont plus que […] 1500 tout au plus, tandis que les musulmans seraient plus de 60 000. »

Quittons la Suède pour l’Allemagne, là où de vieux démons ressurgissent :

« […] 470 actes antisémites ont été recensés par la police en 2016, et 681 rien que pour la première partie de 2017. »

A qui la faute ?

« Entre les déclarations révisionnistes des leaders d’Alternative pour l’Allemagne (AfD), la propagation de la haine sur les réseaux sociaux, et les agressions par des néonazis, les derniers tabous semblent sauter un à un. »

L’antisémitisme allemand, c’est l’AfD, d’accord… Mais là aussi, dure confrontation à la réalité pour l’Obs : « deux manifestations en faveur de la Palestine ont dégénéré à Berlin […] où des manifestants ont brûlé des drapeaux israéliens et crié « mort aux juifs ». Problème : des réfugiés faisaient partie des manifestants. »

Diantre, l’antisémitisme prussien n’est plus ce qu’il était.

Passons par la Belgique : il est où l’antisémitisme belge, hein, il est où ?

Et bien chez les salauds de la N-VA, le puissant parti nationaliste flamand tenu par Bart De Wever, bourgmestre d’Anvers.

« Historien de formation, il sait en revanche la collaboration proactive du bourgmestre et de la police d’Anvers durant la guerre. Il sait surtout la complicité entretenue par la Ligue nationale flamande avec le national-socialisme […] Il sait d’ailleurs que des enfants et petits-enfants de collaborateurs et de Waffen-SS adhèrent à son parti, la N-VA. »

En France, c’est pareil. Si ça se trouve, les arrière-arrière-petits-enfants de Drieu la Rochelle ou de Fernand de Brinon votent FN. L’antisémitisme, c’est bien sûr héréditaire : on ne le tête pas qu’avec le lait de sa mère, c’est génétique.

Pourtant, la haine contemporaine des juifs provient essentiellement de ces « nouveaux Belges » peuplant les quartiers « défavorisés » d’Anvers ou de la capitale.

« Plus d’un tiers des jeunes Bruxellois sont musulmans et, selon une étude de l’Université flamande de Bruxelles, la moitié d’entre eux se déclarent ouvertement antisémites. »

« Plus il y a de personnes provenant de pays musulmans  qui immigrent en Europe, plus l’antisémitisme augmente » conclut, lucide, le rabbin Menachem Margolin.

 


Mohsin Hamid, écrivain anglo-pakistanais

 

Lucidité que ne partage vraisemblablement pas l’Obs qui appelle à accueillir toujours plus de « migrants ». Preuve en est cet entretien avec l’écrivain anglo-pakistanais Mohsin Hamid intitulé « Macron ne peut empêcher l’arrivée des migrants ».

Il souligne que ceux-ci vont arriver en masse en Occident et qu’il y voit UNE CHANCE (mis en majuscules par l’hebdomadaire) pour l’humanité.

L’Obs fait la promotion de son livre « Exil West » qui narre la fuite de Nadia et Saïd du Moyen-Orient dévasté à Mykonos, puis à un squat anglais pour finir s’installer en Californie.

Mohsin Hamid dépeint une Grande-Bretagne « débordée par le flux migratoire, auquel elle répond par la haine et la coercition ». C’est fou comme ces gens peuvent cracher sur leur terre d’adoption. Mais pour l’Obs, c’est du « Voltaire et Orwell, qui écriraient avec la sensualité d’un conte oriental. »

Pour Hamid, le nombre de migrants finira par dépasser largement celui des autochtones. C’est logique, dans l’ordre des choses, inévitable et souhaitable.

Parce que c’est le sens de l’Histoire d’aller « vers plus d’égalité », de lutter contre les disparités : « pourquoi un individu né au Mozambique n’aurait pas les mêmes chances qu’un enfant né en Suède ? » s’offusque-t-il avant d’ajouter, « comment accepter le fait que, si vous êtes né à Mogadiscio, vous soyez condamné à mourir sous les bombes, alors que si vous êtes né à Minneapolis, vous puissiez mener une vie passionnante et jouir de l’existence ? ».

Bienvenue donc aux Mozambicains et aux Somaliens, NOS futures CHANCES pour l’humanité.

Quel sera alors le futur de l’Europe ? C’est simple : les vieilles générations identitaires vont crever.

« Que vous le vouliez ou non, les gens vont arriver […] La bonne nouvelle, c’est que ce que la génération d’avant jugeait intolérable […] finit par apparaître normal aux yeux de la génération suivante. […] Ce qu’il faut, c’est se demander comment on peut transformer cette apocalypse annoncée – l’arrivée massive des migrants – en quelque chose de très beau. »

Et pour lui, à l’instar de nombreux gauchistes du monde entier, l’État islamique et Trump, c’est du pareil au même car le langage de Trump est « raciste, xénophobe et violent ; très similaire à celui de l’État islamique. Et je ne sais pas qui a plus de sang sur les mains […] Il y a, entre les deux, une similarité très forte. »

Les Américains sont donc aussi sanguinaires que les nazislamistes, l’Occident toujours aussi raciste et xénophobe mais l’écrivain anglo-pakistanais et les « migrants » préfèrent quand même y vivre, dans l’attente de remplacer les générations précédentes. Si ce n’est pas de l’apologie du grand remplacement… ça y ressemble.

Mais il est vrai que pour la plupart des médias, cette thèse est complotiste. Et l’Obs, à propos de l’antisémitisme virulent des nouveaux-venus, de poser la question :

 « Est-ce à dire qu’il faut cesser d’accueillir des migrants […] ? Évidemment non ».

L’Obs n’a toujours rien compris.

Source

 

 

Des musulmanes dénoncent le harcèlement et les agressions sexuelles lors du pélerinage à la Mecque

#MosqueMeToo : des musulmanes dénoncent le harcèlement et les agressions sexuels lors du pèlerinage à La Mecque

#MosqueMeToo. (« #MosquéeMoiAussi ») Sur Twitter, les témoignages de femmes musulmanes affluent. Elles relatent le harcèlement sexuel voire les agressions dont elles disent avoir été victimes, notamment lors du hadj, le pèlerinage à La Mecque, qui rassemble quelque deux millions de pèlerins venus du monde entier chaque année en Arabie saoudite.

Le hashtag a été initié par une journaliste et féministe américano-égytienne, Mona Eltahawy, lundi 5 février, raconte la BBC (en anglais). « J’ai partagé mon expérience d’agression sexuelle pendant le hadj en 1982 alors que j’avais 15 ans dans l’espoir que cela aiderait les femmes musulmanes à briser le silence et le tabou qui entourent leur expérience de harcèlement ou d’agression sexuelle pendant le hadj ou dans des lieux sacrés », explique-t-elle dans un tweet.

 

Mona Eltahawy (@monaeltahawy) 6 février 2018

« 

Je n’ai jamais été autant harcelée que dans la ville sainte »

Dans la foulée, plus de 6 000 tweets ont été publiés sur le réseau social. « Une de mes amies a subi des attouchements durant le hadj et quand elle a fait des histoires, ses camarades de hadj lui ont demandé de laisser tomber », affirme Farisa Nabila. « Une des raisons pour lesquelles je ne dis jamais : ‘Oui’ quand les gens ont demandé, ‘Voulez-vous aller à La Mecque une fois de plus ?’ Je n’ai jamais été autant harcelée que dans la ville sainte », poursuit la jeune femme.

 

Aisha Sarwari (@AishaFSarwari) 6 février 2018

Farisa Nabila (@risanab) 6 février 2018

 

« C’était dégueulasse »

« J’ai aussi été harcelée à La Mecque et à Médine pendant le hadj quand j’avais une vingtaine d’années. C’était dégueulasse et ça m’a déroutée. Je l’ai dit à mes parents tout de suite, mais je n’ai pu donner les détails que l’année dernière », confie Bunga Manggiasih.

 

Bunga Manggiasih (@bungamanggiasih) 6 février 2018

 

D’autres témoignent avec pudeur de leur douleur intime. « Je trouve difficile de penser à la omra [le pèlerinage] maintenant, quelque chose qui aurait dû être l’un des meilleurs souvenirs de ma vie et qui aurait dû me rapprocher de Dieu a gâché ma vie« , écrit Mariha Syed.

 

Mariha Syed (@MarihaSyed) 6 février 2018

 

Pour beaucoup, la lecture de ces milliers de tweets a fait remonter à la surface d’« horribles souvenirs ». « Les gens pensent que La Mecque est l’endroit le plus sacré pour les musulmans, donc personne n’y ferait rien de mal.[C’est] totalement faux », assène Anggi Lagorio, qui se remémore son pèlerinage de 2010.

 

Anggi Lagorio (@AnggiAngguni) 6 février 2018

« Les femmes musulmanes comme toutes les femmes subissent du harcèlement, mais quand cela arrive dans un contexte religieux, on leur demande de se taire pour une cause plus importante qu’elles. C’est à la fois injuste et oppressif », dénonce Aisha Sarwari, éditorialiste et féministe.

 

Aisha Sarwari (@AishaFSarwari) 6 février 2018

 

https://www.francetvinfo.fr/societe/harcelement-sexuel/mo...

Christine Tasin

Ce n’est pas drôle, mais si au moins cela pouvait servir à faire comprendre aux musulmans ( surtout aux femmes ) et aux dhimmis que le voile n’a rien à voir avec la pudeur, qu’il n’empêche ni le harcèlement, ni les agressions ni le viol… On aurait fait un grand pas en avant.

Mais c’est sans doute trop tôt en ces temps de haine de la France et d’utilisation politique et fanatique du voile.

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Immigration choisie : Éric Brunet se trompe. Voici pourquoi…

Les lecteurs de Valeurs actuelles avaient déjà noté l’évolution très libérale d’Éric Brunet dont les chroniques sont surmontées de la devise « Liberté chérie ». Oubliant, au passage, un autre vers de « La Marseillaise » : « Amour sacré de la Patrie ». Dans le dernier numéro, Éric Brunet titre que « l’avenir, c’est l’immigration choisie » et sous-titre que « faire des migrants un atout économique, c’est possible ». Nous démontrerons qu’il se trompe ; plusieurs fois.

D’abord par l’emploi du mot fourre-tout de « migrant », car il faut distinguer les situations juridiques de « candidat à l’immigration », réfugié, clandestin, candidat à la régularisation, naturalisé, « regroupés familiaux », bénéficiaire de visas et permis de séjour d’études, de travail…

Mais, surtout, Éric Brunet se trompe gravement en laissant croire que l’immigration serait un fait acté, inéluctable, pour lequel la seule marge de manœuvre ne serait plus que le contrôle plus ou moins rationnel, selon les seuls critères économiques…

Or, le principe majeur est le « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes » introduit en 1945 dans la Charte des Nations unies. Plusieurs résolutions de l’Assemblée générale des Nations unies ont réitéré ce droit : résolution 1514 (15/12/1960, octroi de l’indépendance aux peuples colonisés et résolution 1541); résolution 2621 (12/10/1970) ; résolution 2625 (24/10/1970), Pacte de 1966 fondant la juridicité du droit des peuples. Ce droit des peuples est un droit de l’homme collectif, rappelé partout : article 4 du Pacte des Nations unies pour les droits civils et politiques : « Dans le cas où un danger […] menace l’existence de la nation, [celle ci] peut prendre des mesures [de sauvegarde] » ; article 1er de ce Pacte : « Les peuples assurent librement leur développement social et culturel » ; et la Convention africaine des droits de l’homme et des peuples affirme même (art. 22) « le droit au respect de l’identité des peuples ».

C’est à la nation française seule de décider de son immigration : zéro, négative ou positive. Or, elle n’a jamais été consultée sur cette grave question. Pire : ses dirigeants, trahissant la volonté souveraine des Français (référendum de 2005 sur la Constitution européenne), ont confié notre fragile destin sociologique de nation cohérente à Bruxelles (traité de Lisbonne 2008), notamment sur la question « migratoire ».

 Alors, que pèse la théorie de Brunet ? Rien. Notamment lorsqu’il s’en prend à la phrase de Laurent Wauquiez : « Il y a trop d’immigration en France […] nos capacités d’intégration sont saturées », ce qui, selon Brunet, suffit à « réveiller les vieux affrontement » droite-gauche ». Or, ce clivage n’existe plus et, sur le thème de l’immigration, il y a un consensus, y compris chez les Français issus de l’immigration, pour fermer la porte car : 12 % de chômeurs, 15 % de travailleurs et retraités pauvres, la jungle de Calais, la menace islamiste, les banlieues et l’école hors contrôle, les budgets sociaux exsangues…

La planète est confrontée à une expansion démographique sans précédent historique (de 1 milliard à 7 milliards et demi en un siècle) : l’humanité doit savoir que ce n’est plus possible et que l’Europe n’a pas vocation à absorber le boom nataliste des pays pauvres. Les démographies doivent être stabilisées.

Le vieillissement ? Il est la donnée désormais incontournable de cette stabilisation. On doit l’accepter et s’y adapter.

Les « exemples » du Canada et de l’Australie ? Que Brunet compare les densités ! Canada : 4 habitants au km² ; Australie : 3 ; France : 117 ; Allemagne : 232. Et les pays de départ ? Côte d’Ivoire : 63 ; Congo : 13 ; Soudan du Sud : 18 ; Maroc : 74 ; Algérie : 16. Quant aux USA, malgré leurs espaces, ils voient se constituer des communautés musulmanes refusant l’intégration, voire agressives (même numéro de Valeurs actuelles). L’expansion continue de l’humanité est finie. Il est temps de le comprendre et d’en tirer les conséquences. Migrationnismes libéral et gauchiste, même combat ?

Henri Temple

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Que révèle notre fascination pour le crime et les criminels ?

Le psychiatre, expert judiciaire, Daniel Zagury a écrit un grand livre, La Barbarie des hommes ordinaires, sous-titré Ces criminels qui pourraient être nous. Il explore brillamment « la clinique de la banalité du mal » et les basculements dans toutes sortes de crimes.

Si des gens ordinaires peuvent tomber dans la barbarie, la barbarie ne laisse jamais indifférents les citoyens ordinaires.

On se demande souvent, comme s’il s’agissait d’une curiosité honteuse, pourquoi les citoyens éprouvent une appétence pour les faits divers, voire une « fascination de l’horreur ». Une passion pour l’univers criminel en général et pour certains crimes en particulier, ceux de sang qui s’inscrivent dans une quotidienneté familière.

Pourtant, rien de plus normal que cette attention du public pour l’histoire infiniment diverse de ce qui blesse et bouleverse la société. Pour ces séquences si révélatrices où certains d’entre nous se permettent d’accomplir des actes qui nous renvoient avec stupéfaction à nous interroger nous-mêmes : aurions-nous pu commettre les mêmes transgressions ?

Je ne crois pas que « la fascination de l’horreur » soit le ressort fondamental pour expliquer l’intérêt que même ceux qui se prétendent indifférents éprouvent pour ces extrémités criminelles qui disent beaucoup.

D’abord la chose criminelle, une fois qu’elle est médiatisée, est en quelque sorte à la disposition de tous. Elle devient commune, elle crée paradoxalement un lien qui rassemble cette multitude indignée, soupçonneuse, inquisitrice ou vengée. N’importe qui a le droit d’exprimer une opinion et cette légitimité pour débattre et analyser, qui n’est plus seulement dévolue aux spécialistes mais à tous, constitue le crime comme une occasion provocatrice d’unité.

Ce crime qui vient d’être commis dont on n’a pas encore interpellé le ou les auteurs, on sait qu’il a été perpétré par des êtres qui relèvent de notre humanité même si, par facilité, on les qualifie de monstrueux, confondant l’acte avec l’acteur.

 

Ils sont donc de notre monde et quand ils ont été appréhendés, impossible de ne pas les ressentir, malgré toute leur cruauté ou notre ressentiment, pour des personnes qui offrent le visage banal de quelqu’un sur qui le crime n’était pas inscrit, sur qui le crime est survenu comme une odieuse parenthèse.

Ces criminels sont donc nous, évidemment, mais ayant poussé au-delà de nos honorables limites des pulsions, des instincts, des volontés homicides. Ils sont nous, donc, mais ne sont pas nous, nous offrant ce bonheur sombre et un peu malsain de sentir qu’eux ont dépassé honteusement, sans pitié, les bornes mais que nous sommes demeurés en deçà. Que nous sommes restés des humains alors que nous aurions pu nous imaginer dans certaines circonstances, par un cauchemar délibéré, impliqués dans le pire. Mais sans ignorer que nous nous faisons peur pour goûter de loin l’extraordinaire transgression, nous qui sommes des gens ordinaires.

Il y a non pas une fascination de l’horreur mais probablement plutôt une fascination pour les processus qui ont fait d’un humain un humain criminel. Pour cette seconde, ces minutes, ces heures ou ces semaines qui ont fait surgir, de manière organisée ou non, la mort de l’autre comme une option. Le crime étant généralement le plus court chemin, pour des moralités défaillantes ou des faiblesses intellectuelles, pour aller d’un problème à une apparente solution vite battue en brèche par policiers, magistrats et prison.

Nul sadisme, donc, dans cette focalisation citoyenne sur ce qui, tout à coup, a ensanglanté la normalité, souvent dans un cadre qui nous rappelle le nôtre mais sans que l’innommable l’ait sali.

Sang pour cent : le crime, une passion ordinaire…

 Extrait de : Justice au Singulier
 
 

 

Vidéo TERRIFIANTE. Face à face avec un exécuteur de l’État islamique

Cette vidéo est extraite d’un documentaire de la BBC.

Âmes sensibles s’abstenir.

La Video

Pour l’heure, bien peu d’informations sur le lynchage de Montreuil ?

Tout ce que l’on a pu entendre à la radio ou lire dans le Parisien, c’est qu’un homme d’une trentaine d’années, d’origine tunisienne, a été « battu à mort » à Montreuil par une bande d’une quarantaine d’individus. Cela s’appelle pourtant un assassinat par lynchage. 

 

Mais cet assassinat-là, on ne peut semble-t-il l’imputer à quelque bande de « skinheads » (dons assimilés à de l’extrême-droite). Alors les medias n’y accordent qu’une très minimale attention. Comme si toute imputation raciste en était impossible.

 

Ainsi un lynchage caractérisé n’est-il traité que comme un fait divers sans grand intérêt dès lors que l’on ne peut, le commenter à la lumière de la dialectique de l’antiracisme.

 

Nous reparlerons de cela mercredi dans notre émission de la réplique sur Radio-Courtoisie. 

 

 

Élections législatives partielles dans le territoire de Belfort et dans le Val d’Oise.

 

Comme il peut hélas aujourd’hui en être assez souvent, on trouve plus matière à satisfaction en constatant une défaite qu’à la nouvelle des victoires.

 

Dans les deux cas, aucun succès d’un candidat de « droite de conviction » ne se profile pour le second tour.

 

Rappelons brièvement que les valeurs prioritaires d’une authentique droite de conviction sont celles du respect de la vie, de la liberté de l’enseignement (et de l’égalité de financement), de la défense de notre identité de civilisation, de lutte contre les totalitarismes.

 

À Belfort, on enregistre donc avec satisfaction la cinglante défaite de Sophie Montel, vice-présidente du parti jacobin de M. Philippot et militante prosélyte acharnée de l’avortement et autres contre-valeurs sociétales de gauche. Montel, avec moins de 2 % des voix, n’obtient que le quart du résultat du candidat du FN que le duo Philippot-Montel voulait battre. 

 

Cela dit, le score du FN est bien médiocre, ce qui ne nous afflige pas non plus tant ce parti n’est plus depuis longtemps représentatif des valeurs rappelées ci-avant et s’est installé dans une conformiste médiocrité « ni droite ni gauche » dont, sans doute, seul pourrait le tirer un changement significatif d’équipe dirigeante. 

 

 

Mercredi sur Radio-Courtoisie.

 

L’équipe de la réplique sera au grand complet avec Cécile Montmirail, Jeanne Smits, Hortense Sauveur, Pierre Henri et Jérôme Triomphe.

 

Au menu notamment :

 

En première partie : 

 

  • Politique intérieure:
  • La tromperie du nationalisme corse, maçonnique et immigrationniste.
  • Non au retour des jihâdistes
  • La question des prisons.

 

  • Politique internationale :
  • Le Congo de Laurent Kabila (le rôle de l’Église catholique – le poids de la Chine).
  • Les rivalités au Proche-Orient (Turquie – Iran – Syrie – Lybie – les stratégies de la Russie et des États-Unis – la question kurde).
  • Israël et l’immigration.

En deuxième partie : 

 

  • Le crime de Montreuil.
  • Les procès de l’AGRIF.
  • Hidalgo et Che Guevara – la manipulation « Mai 68 – mai 2018 ».

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