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mardi, 19 décembre 2017

La « guerre des regards » : et Youssef tua Clément…

Ça s’est passé à Angerville, dans l’Essonne. Et c’est rapporté par Le Figaro. Clément et son ami Farouk étaient en voiture au fond d’une impasse. Youssef s’approcha et tira cinq coups de feu avec sa kalachnikov. Clément mourut sur le coup. Farouk en réchappa.

D’après le rescapé, le meurtre avait pour origine ce qu’il appela la « guerre des regards ». Croisant Youssef qu’il connaissait, Clément avait en effet osé le saluer sans le regarder ! L’offense était grave et méritait châtiment…

On sait les ravages que fait, en France, le « Tu m’as mal regardé ». Pour un regard jugé malveillant ou insuffisamment obséquieux, on peut être frappé et, plus rarement, battu à mort. Pour une clope refusée ou donnée avec retard, on encourt la même sanction. Pour Clément, il s’agissait juste – c’est plus original – d’un non-regard.

Ne vous laissez pas aveugler par les prénoms des protagonistes de cette pénible affaire. Youssef aurait pu aussi bien tuer Farouk quand il a tiré sur la voiture. Même si c’est Clément qui était visé pour son « incivilité ».

Ce qui est en cause, ici (ce que ce drame confirme), c’est l’existence, en France, de cages aux fauves. Et à la différence de celles du cirque, elles sont ouvertes : les fauves peuvent en sortir ! Là-bas, par émulation, par contagion, on apprend à frapper et à faire mal. Si tu ne frappes pas, tu n’es pas un homme ! Relisez La France Orange mécanique d’Obertone, tout y est.

Dans ces cages, que d’aucuns nomment HLM, la violence bestiale, abjecte, meurtrière est célébrée comme un culte. Et ce culte tient lieu de culture… Ni la misère ni la religion ni la délinquance ne suffisent à expliquer ce phénomène. Le choc des civilisations, peut-être ? D’ailleurs, faut-il vraiment chercher à l’expliquer ? Le mettre en lumière, c’est déjà beaucoup.

 Une atteinte à l’honneur, ou vécue comme telle, se règle à coups de poing, de pied, de couteau, de batte de baseball. Les endroits où ça se pratique sont appelés « quartiers populaires » par des sociologues bienveillants. « Populaires » ? Non, populaciers !

Cela se passe près de chez nous, en bas de chez nous. Chez eux. Eh oui, la tentation est grande de dire « eux ». Nous aussi, nous sommes « eux » pour eux.

Une histoire personnelle, maintenant, pour illustrer mon propos. Elle va sans doute paraître banale à tous ceux qui ont déjà vécu la même chose.

Un jour, je me rendais au théâtre, rue de la Michaudière. J’avais mon portable collé à l’oreille et je parlais à une amie.Un grand gaillard en survêtement et encapuchonné se planta devant moi. Sans égard au fait que j’étais en pleine discussion, il m’interrompit. « File-moi une clope ! » De bonne composition – ou peut-être avais-je un peu peur ? -, je lui fis signe d’attendre en lui faisant comprendre qu’il aurait sa clope. Le type se mit en colère. « J’ai pas que ça à foutre ! » Il s’approcha de moi et je reçus un coup de poing dans le ventre. En partant, le « jeune » me lança « sale race ». C’était sa façon de me dire au revoir.

Les codes du savoir-vivre ne sont pas les mêmes chez tous…

Benoît Rayski

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Travaux d’intérêt général : oui, mais…

Emmanuel Macron a annoncé, le mois dernier, qu’il souhaitait la création d’une agence des travaux d’intérêt général, afin d’étendre ce dispositif existant dans le cadre d’une politique carcérale plus humaine et plus efficace. L’idée paraît séduisante, bien qu’elle appelle de sérieuses réserves.

Le TIG existe depuis de nombreuses années. Il permet à un tribunal de substituer à une peine de prison une activité non rémunérée au service de la collectivité, sous le contrôle du juge de l’application des peines. La mesure est peu utilisée pour deux raisons : les peines prononcées, dans la majorité des cas avec sursis, ne s’y prêtent pas ; les travaux d’intérêt général ne sont pas proposés en assez grand nombre. La proposition présidentielle permettrait peut-être de remédier à la seconde raison. Reste la première…

TIG, d’accord ! Mais pour quoi faire, pour qui, et avec quelles conséquences ?

Pour quoi ? Nettoyer des berges ou des bords de routes emplis de plastiques en tous genres, laver les façades maculées de graffitis, balayer les caniveaux, ramasser les crottes de chien, servir des repas dans des associations d’aide aux démunis, autant d’actions qui pèsent sur la puissance publique ou le bénévolat, et qui pourraient avantageusement être accomplies par des condamnés, pour le plus grand profit des finances publiques. Mais ce n’est pas suffisant.

Pour qui ? Inutile de se voiler la face, seuls les condamnés « sortables » sont éligibles à de tels travaux. Cela en exclut les criminels, les délinquants sexuels, les trafiquants de stupéfiants et l’innombrable cohorte des détenus pour violences. En bref, tous ceux dont l’incarcération est nécessaire pour protéger la société de leurs méfaits. Et ils sont une immense majorité. Reste la délinquance en col blanc (ou bleu), et tous les petits délits qui, souvent, n’ont rien à faire en prison, si ce n’est que la Justice les condamne par idéologie ou parce qu’ils sont récidivistes. Tous ceux qui ne présentent pas de danger particulier pour autrui seraient éligibles à cette mesure, au lieu des ridicules « stages de citoyenneté » à la mode actuellement.

 Comment ? La question est centrale : il est indispensable de prévoir un encadrement et une surveillance. Pour cette dernière, le bracelet électronique est sans doute une solution, qui permet de repérer la personne où elle se trouve et sans difficulté. L’encadrement ne s’improvise pas. Si l’objectif est d’éviter le pourrissoir de la prison, de payer une dette à la société en travaillant gratuitement pour elle et de donner aux délinquants un cadre de vie régulier, axé sur le travail, la discipline et le respect, c’est une vie quasi militaire qu’il faut leur imposer. Lever tôt, tenue uniforme et propre, horaires fixes, travail réel et contrôlé, tout ceci nécessite un encadrement sérieux et bien formé. Au regard des conditions de travail des surveillants pénitentiaires, il est permis de s’interroger. Mais pourquoi ne pas proposer cela à des sous-officiers à la retraite, d’anciens policiers, pompiers, gendarmes ?

En réalité, il s’agit d’envisager une alternative fondée sur le volontariat et le contrat : soit une peine de prison, soit une peine de TIG d’une durée deux fois moins longue. Avec le retour à la case prison en cas d’incartade, d’insubordination ou de travail bâclé. En quelque sorte le retour de colonies pénitentiaires. Auxquelles on pourrait ajouter, en prison, le même genre de dispositif pour les détenus qu’il est nécessaire de conserver en milieu fermé.

Nous sommes loin d’une simple agence des TIG. Utopie ? Sans doute autant que l’apparition de la prison il y a deux siècles. Et pourquoi ne pas essayer, à titre expérimental ? Purger une peine au profit de la société tout en évitant les pires inconvénients de l’incarcération aurait du sens.

Du bon sens, en quelque sorte.

François Teutsch

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La bataille de Poitiers n’est pas un mythe ! (1)

Entre Tours et Poitiers s’étend une vaste plaine au milieu de laquelle est un hameau qui porte le nom à jamais glorieux de Moussay-la-Bataille.

C’est là que, d’après une tradition immémoriale, fut livrée la bataille de Poitiers dans laquelle la chrétienté, servie par le bras de Charles Martel, écrasa les musulmans, arrêta de ce côté les progrès du croissant et sauva la civilisation européenne du plus grand péril qu’elle pût courir.

Tout est obscur dans les détails de cet événement considérable du 17 octobre de l’année 732.

Mais ce que l’on sait, ce que tous les chroniqueurs, arabes ou français, ont dit à l’envi, c’est que la journée de Poitiers fut une journée mémorable, qui vit deux religions, deux mondes, deux civilisations, deux races et, pour ainsi dire, deux pôles, le Nord et le Sud, se rencontrer et se heurter avec fracas.

Si Charles Martel avait été vaincu, à Poitiers, par Abdérame, comme l’empereur Constantin Paléologue le fut plus tard, à Constantinople, par Mehmed II, l’Europe aurait été la proie de l’islamisme, et Dieu sait ce que sont devenus les peuples qui ont eu à subir son joug !

Les soldats de Mahomet avaient conquis la moitié du monde : encore un effort, et tous les peuples seraient aux genoux des successeurs du Prophète. Le 28 avril 711, vingt-cinq mille musulmans, appelés par un traître, débarquent à Algésiras, battent les Goths à Xérès, anéantissent, après trois siècles d’existence, la monarchie wisigothe, deviennent maîtres de l’Espagne entière et établissent leur capitale à Cordoue.

Au printemps de l’année 732, Abdérame (Ab’ der-Rhaman), émir de Cordoue, obéissant aux instructions du calife Hescham, et déterminé à s’emparer de la Gaule, franchit les Pyrénées par la vallée de Roncevaux. Son armée était formidable. Elle comprenait la plus grande partie de ces vaillantes troupes qui avaient conquis l’Afrique et l’Espagne. Derrière les combattants venait une multitude énorme, vieillards, femmes et enfants, que certains historiens dignes de foi portent au chiffre de cinq cent mille âmes. C’était un peuple entier qui se jetait sur un autre, comme au temps des grandes invasions, et qui obéissait à la voix d’un des plus fameux capitaines de l’islam.

 Telle était l’armée qui s’avançait vers la Gaule chrétienne. L’aile gauche enleva d’assaut toutes les villes de Béarn sans rencontrer de résistance sérieuse. Oléron, Dax, Bayonne furent livrées aux flammes, et une foule de prêtres, de religieux et de religieuses furent massacrés.

L’aile droite débarqua en Provence et exerça ses fureurs sur Marseille et sur la Provence entière, puis sur la Bourgogne avec une étonnante rapidité. À Sens, un évêque, saint Ebbo, arrêta l’aile droite de l’armée.

Pendant ce temps, la grande armée musulmane, sous les ordres d’Abdérame, montait en Gaule. Après avoir incendié la ville de Bazas elle se présenta devant Bordeaux. La grande cité, capitale de l’Aquitaine, fut emportée d’assaut, la population fut égorgée, les églises furent pillées et brûlées, le faubourg et le monastère de Sainte-Croix livrés aux flammes. Le duc Eudes, désespéré, s’enfuit avec les débris de son armée. Abdérame le poursuivit, franchit la Garonne, enleva la forteresse d’Agen et tomba enfin sur l’armée ducale qui fut écrasée. « Ce fut, dit le chroniqueur Isidore de Beja, une déroute et un massacre effroyables. Dieu seul sait le nombre de Francs qui périrent en cette journée ! »

Les conséquences de la défaite furent terribles. En quelques mois, l’armée musulmane, gorgée de butin, s’empara de Périgueux, de Saintes, d’Angoulême, livrant tout le pays à feu et à sang, ne laissant rien derrière elle, et arriva sous les murs de Poitiers.
(À suivre…)

Extraits de : Ferdinand Hervé-Bazin, Les Grandes Journées de la chrétienté, réédition Édilys 2015.
Ferdinand Hervé-Bazin (1847-1889) fut avocat, professeur d’économie politique à l’Université catholique d’Angers. En écrivant ce livre après le désastre de 1870, il voulait montrer ces triomphes éclatants de l’Église, qui furent aussi des triomphes pour la civilisation, et qui s’appelèrent les journées du pont Milvius, de Tolbiac, de Poitiers, de Pavie, de Jérusalem, de Las Navas, de Grenade, de Lépante, de Vienne, de Peterwardein. Il pensait que de tels spectacles étaient de nature à faire aimer l’Église et aussi à relever les courages abattus.

Ferdinand Hervé-Bazin

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Plus de dix millions de Français déclarent vivre en insécurité

Selon la dernière enquête de l'Observatoire de la délinquance, 32 % des sondés disent avoir été les témoins d'au moins une infraction ces 12 derniers mois. Plus d'un Français sur cinq (21 %) affirme éprouver une crainte et parfois de la peur dans le quartier ou le village dans lequel il vit. Soit, au total, 10,8 millions de nos compatriotes âgés de 14 ans et plus. 43 % des sondés inquiets déclarent même «renoncer à sortir seuls dans leur quartier».

Un quart des femmes disent en souffrir, contre 16 % des hommes.

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Les médiateurs SNCF : «Madame, ces gens ne servent à rien du tout »

 

Lu sur La Gazette en Yvelines :

2048x1536-fit_illustration-mediateur-rer"[...] Ce jeudi-là, une adolescente habitant le quartier du Val Fourré se rend aux Mureaux pour aller au lycée. Mais, en descendant du bus pour prendre le train, elle se fait harceler par deux hommes bien plus âgés. Elle refuse sèchement leurs avances, mais l’un d’eux, âgé de 29 ans, lui assène alors une balayette, la faisant lourdement chuter au sol et brisant son téléphone portable qui lui échappe des mains.

L’agresseur sera rattrapé quelques heures plus tard sur la dalle commerciale du Val Fourré, et est aujourd’hui incarcéré à la prison de Bois-d’Arcy (déjà connu des services de police, il était sorti de prison récemment, Ndlr). Si les deux femmes qui ont contacté La Gazette louent le travail efficace des policiers, il n’en est pas de même de celui des médiateurs de la gare, présents en journée avec leurs manteaux bleus.

« Il lui a fait une balayette et son téléphone a volé !, se souvient Binta Dabo, qui s’en allait prendre le même train que l’adolescente. Pendant ce temps-là, des personnes de la médiation étaient là, qui rigolaient ! Ils disaient à la petite  »calcule pas, fais pas attention », ils se moquaient d’elle en fait. J’ai vu qu’ils disaient à la petite fille de partir, elle était en train de pleurer, elle était choquée, je l’ai prise avec moi. » Par ailleurs, elle s’inscrit en faux face au responsable SNCF venu les voir ensuite pour affirmer qu’il avait été demandé à la jeune victime si elle souhaitait de l’aide ou appeler la police.

La mère de l’adolescente, Assma, n’en revient toujours pas non plus. Elle ne s’est d’ailleurs pas privée d’enguirlander sévèrement les médiateurs après avoir entendu les récits de sa fille et de la bonne samaritaine qui l’a aidée. Quant à leur inaction, dont elle s’est étonnée auprès des policiers recueillant sa plainte envers l’agresseur, celle-ci serait connue : « Ils m’ont dit : «Madame, ces gens ne servent à rien du tout » ».

Ce n’est pas la première fois que les médiateurs de la ligne J s’attirent les foudres d’une victime d’agression. En mai dernier, Le Parisien rapportait ainsi le témoignage d’une jeune femme de 21 ans, qui les accusait d’avoir fermé les yeux sur son agression sexuelle, se contentant des excuses de l’agresseur, avant d’aller jusqu’à « s’interposer entre le suspect et les policiers ». [...]"

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La stèle municipale d'Abel Chennouf, le soldat tué par Mohamed Merah, a été dégradée

 

Capture d’écran 2017-12-07 à 22.03.00Son fils a été assassiné par un terroriste musulman. Albert Chennouf-Meyer, catholique, est de nouveau dévasté : la stèle municipale de son fils, parachutiste de 25 ans tué par Mohamed Merah le 15 mars 2012, a été dégradée. La photo accrochée sur la stèle dans le parc de la République à Manduel a été brisée.

"On m’a déjà menacé mais toucher la stèle de mon fils, pourquoi ?"

La mairie de Manduel vient de porter plainte pour dégradation de biens publics.

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France – Algérie : rendons-leur les crânes et passons à autre chose !

En voyage éclair en Algérie, Emmanuel Macron a énoncé quelques vérités qui dérangent de part et d’autre de la Méditerranée. Tentant une énième fois d’en finir avec un passé qui ne passe toujours pas, il a voulu – parce qu’il est d’une autre génération que celle des derniers gouvernants – esquisser différemment, là aussi, un avenir commun à nos deux pays.

L’Algérie est un pays jeune : 30 % de la population y a moins de 14 ans, et 6 % seulement plus de 65 ans. Le taux de fécondité qui avait chuté au moment de la guerre civile (décennie 90) est reparti en flèche (3,1 enfants par femme, loin devant le Maroc, la Tunisie et la Libye). Selon les chiffres de l’INED publiés en septembre dernier, la population algérienne augmenterait de 55 % d’ici à 2050 pour atteindre 65 millions d’habitants, contre 42,2 millions à la mi-2017.

Cette population jeune est emmenée par un gouvernement autoritaire et militaire, sous la férule d’un vieillard cacochyme qui capitalise depuis l’indépendance sur la repentance de la France. Surtout, englué dans ses guerres intestines, le pouvoir algérien n’a pas su offrir à son pays les perspectives de développement qu’il était en droit d’attendre. Pire : il a entretenu dans sa population la certitude que ses maux étaient encore et toujours dus à la colonisation. Néanmoins, l’émigration algérienne vers la France ne s’est jamais ralentie et le mouvement ne semble pas près de s’inverser.

Le Président français expliquait ainsi, dans l’entretien qu’il a accordé au site TSA (Tout sur l’Algérie) : « J’ai entendu beaucoup de jeunes tout à l’heure en remontant la rue. Certains me disaient : les visas. J’ai répondu : qu’est-ce que vous voulez faire. Ils ne savaient pas ce qu’ils vont faire. Mais avoir un visa pour la France n’est pas un projet. » Plus véhément, au jeune homme qui l’interpellait, l’enjoignant d’assumer « son passé colonial » et l’accusant d’« éviter le sujet », Emmanuel Macron a lancé : « Qui évite quoi ? J’évite de venir vous voir ? J’évite de dire ce qui s’est passé ? Mais il s’est passé des choses, comme je l’ai dit… Il y a des gens qui ont vécu des histoires d’amour ici. Il y a des gens, français, qui aiment encore terriblement l’Algérie, qui ont contribué et qui ont fait des belles choses, il y en a qui ont fait des choses atroces. On a cette histoire entre nous, mais moi je n’en suis pas prisonnier. Mais vous, vous avez quel âge ? » Réponse : « 25 ans ». Et Macron de poursuivre : « Mais vous n’avez jamais connu la colonisation ! Qu’est-ce que vous venez m’embrouiller avec ça ? Vous, votre génération, elle doit regarder l’avenir. »

 

Beaucoup de Français, rapatriés d’Algérie dans les conditions qu’on connaît, ne pardonnent pas au nouveau Président d’avoir, durant la campagne, qualifié la colonisation de « crime contre l’humanité ». Lui comme ceux qui le fustigent pour ces propos se heurtent au piège terrible de l’Histoire : on ne peut juger avec les critères d’aujourd’hui ce qui fut perpétré hier, mais on ne peut, non plus, nier les faits. L’autre drame, avec l’Algérie, est qu’on s’en tient souvent aux derniers « événements » des années 60, terme pudique pour qualifier cette guerre civile qui a déchiré la France « de Dunkerque à Tamanrasset ». Mais lorsque Macron propose de rendre à l’Algérie les trente-sept crânes des derniers combattants fusillés puis décapités après la reddition d’Alger et la prise de la smala d’Abd el-Kader par le duc d’Aumale en 1843, il a parfaitement raison.

On se demande, d’ailleurs, ce que ces trophées (?) découverts en 2011 dans les réserves du musée de l’Homme, à Paris, pouvaient bien y faire ! Arrachés au terme de massacres d’une sauvagerie inouïe, massacres d’ailleurs rapportés par les militaires et les historiens dans leurs mémoires (cf. la révolte de l’oasis de Zaâtcha, en 1849, qui fit près de 800 morts, vieillards, femmes et enfants compris), ils furent rapatriés en France et stockés dans les collections d’anthropologie. Pour quel usage ? Y cherchait-on un « gène » de la révolte ?

Je le redis, ce geste me paraît aujourd’hui indispensable. Rien ne justifie qu’on conserve ces restes mortuaires. Qu’on les restitue donc à leurs descendants, mais à la condition, toutefois, que le gouvernement algérien n’en fasse pas un usage propre à raviver inutilement les plaies.

Marie Delarue

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Me Frédéric Pichon : « Je suis abasourdi ! Le tribunal a donné raison aux Frères musulmans… »

La décision du tribunal de grande instance de Poitiers vient de tomber : les cinq identitaires de Poitiers écopent de 40.000 euros d’amende, cinq ans de privation des droits civiques, un an de prison avec sursis.

Leur avocat, Maître Frédéric Pichon, compte bien sûr interjeter appel mais est sous le choc de ce jugement clairement politique. C’est, selon lui, une victoire des islamistes. Il fait, bien sûr, le parallèle avec l’incroyable impunité dont ont bénéficié les Femen à Notre-Dame et dénonce une justice à géométrie variable, tournée vers la destruction de la France et de son identité.

Il fait un appel aux dons, non pas pour payer l’amende car la loi l’interdit, mais pour les frais de procédure.

Source et Document

 

Bruxelles ma belle ? NON, Bruxelles poubelle !

Il ne se passe plus une semaine, sans que la capitale de l’Eurabia ne soit le théâtre d’émeutes. Elle est fort lointaine l’époque où Jacques Brel chantait « c’était au temps où Bruxelles brusselait …»

Ce samedi 25 novembre les casseurs, racailles et autres beurs ont choisi l’avenue Louise et le quartier Matongé pour détruire tout ce qui n’est pas à leur goût.

Le gouvernement belge pour sa part persiste dans le déni des réalités et semble ignorer les leçons à tirer des émeutes qui, depuis 1995, se multiplient au grand bonheur des complices de l’Islam conquérant. Parce qu’il ne faut pas porter les lunettes roses des politiciens socialo-écolo-marxistes pour constater que ces répétitions de déprédations gratuites ne sont pas l’œuvre de mécontents ardennais, flamands ou expatriés français.

Une responsable élue écolo de la commune de Molenbeek vient de découvrir l’eau chaude. Ce week-end elle déclarait aux médias : « C’est hallucinant de se dire que la plus grande mosquée de Bruxelles était aux mains du pays (l’Arabie Saoudite) qui défend l’Islam le plus rigoriste. » Cette idiote réclame en outre « encore plus de mixité », alors qu’à l’inverse les musulmans mettent tout en œuvre pour chasser les derniers blancs des quartiers qu’eux-mêmes occupent. Il suffit de circuler dans les zones de non-droit, non seulement à Molenbeek, mais aussi à Bruxelles, à Schaarbeek, à Forest ou à Anderlecht. Et lorsque les classes moyennes foutent le camp, les recettes fiscales diminuent.

FAIRE FACE !

Malgré les ravages économiques, sociaux, culturels et financiers, la secte socialo-écolo-libéro-capitaliste, au pouvoir de l’Agglomération de Bruxelles depuis bientôt 30 ans, refuse d’appliquer l’Ordre et la Loi sur son territoire et autorise, par laxisme et complaisance, toutes les dérives de la communauté maghrébine. Tous ont estimé que ces immigrés pouvaient s’intégrer ou s’assimiler à la société et aux mœurs des Bruxellois. Erreur ! C’est l’inverse qui s’est imposé avec la multiplication des mosquées, des boucheries hallal, des cantines sans cochon, des babouches, des kamis chouars et des burqas.

En conséquence et pour ne pas choquer la susceptibilité de ces « nouveaux Belges » les bourgmestres (maires) et les politicards à la tête des 19 communes bruxelloises interdisent à la police d’appliquer la loi envers la racaille et les délinquants qui, semaine après semaine, testent la résistance du Pouvoir à leurs débordements. Il ne faudrait quand même pas mécontenter ces électeurs potentiels … qui crachent sur notre civilisation.

QUAND CE N’EST PLUS SUPPORTABLE, ON NE SUPPORTE PLUS !

De nombreux électeurs bruxellois blancs en ont ras-le-bol de la mansuétude des élus vis-à-vis des exactions commises par des délinquants immigrés. En octobre 2018 de nouvelles élections communales auront lieu en Belgique. Mais face à l’immobilisme et à la lâcheté des édiles locaux, il est fort probable qu’une partie du corps électoral exprime son exaspération dans les urnes et que l’on assiste au renouveau des partis nationalistes et identitaires, les seuls ayant dénoncé au fil des ans le danger de l’immigration/invasion et de ses corollaires d’insécurité, de baisse du niveau scolaire, du chômage endémique, de la haine de l’Europe, de trafics divers ou du terrorisme. Même les touristes étrangers dénoncent la décrépitude de la capitale de l’Europe.

Pieter Kerstens

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Le terrorisme, 1ere préoccupation des Français ? – JT TVL 7 décembre 2017

 

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La désinformation bergoglienne en faveur d’un pays musulman et d‘une ethnie musulmane

En janvier 2017, le quotidien du soir Le Monde, que personne ne suspectera de pensée incorrecte et islamophobe, écrivait dans un article intitulé « Les réticences du Bangladesh face aux réfugiés rohingyas » : 

« Le Bangladesh est mal à l’aise. Pays à 90 % musulman, il affiche une solidarité des plus tièdes à l’égard des Rohingya musulmans persécutés, renvoyant parfois, au mépris même des lois internationales, des bateaux de réfugiés venus de Birmanie. Avec une population de 160 millions d’habitants et une densité parmi les plus élevées au monde, le « pays des Bengalis » est peu désireux d’accueillir sur son territoire des étrangers qui vont restreindre encore un peu plus son espace vital. […] La première ministre, Sheikh Hasina, a déclaré devant le Parlement le 7 décembre 2016 que son pays « ne peut pas ouvrir ses portes à des vagues de migrants ». Ajoutant cependant que, pour des « raisons humanitaires », le Bangladesh était prêt à « aider temporairement » les réfugiés déjà présents. « Les gens d’ici n’aiment pas trop les Rohingya, explique Moinuddin, un journaliste local. Leur présence alimente la prostitution, le trafic de drogues et d’êtres humains. »

Puisque c’est un journal de l’establishment médiatique qui révèle cette réticence du Bengladesh musulman vis-à-vis de leurs coreligionnaires Rohingyas, que les Birmans estiment être des immigrés bengalis illégaux, on veut donc bien le croire.

L’Église birmane affirme également sa réticence vis-à-vis de cette communauté turbulente et agressive :

« Il n’y a pas de tribu ou de race Rohingya, mais des migrants illégaux bengali qui emploient ce mot pour tenter d’obtenir un état séparé, comme les Kachin ou les Karens. Nous devons les aider, charitablement, mais non donner droit aux revendications d’un état séparé. »

La désinformation bergoglienne en faveur d’un pays musulman et d‘une ethnie musulmaneMais ces informations plus exactes, ces appels à porter un regard autre et affranchi de la doxa officielle propagée par l’ONU et la conscience morale universelle sur cette crise des Rohingyas, le pape François ne veut ni les entendre ni les écouter. Si en Birmanie, il a évité de parler des Rohingyas comme l’Église birmane le lui avait demandé, dès qu’il a posé le pied sur le sol du Bengladesh, jeudi 30 novembre, il est sorti de son silence et s’est à nouveau focalisé sur eux, sans pour autant prononcé le terme « Rohingyas », préférant employé la périphrase « réfugiés arrivés en masse par l’État de Rakhine ».

Dès sa première allocution devant le gouvernement, les autorités civiles et le corps diplomatique, il a tout d’abord louer « la générosité » du Bengladesh :

« Au cours des derniers mois, l’esprit de générosité et de solidarité, signes caractéristiques de la société du Bangladesh, a été observé de manière très vive dans son élan humanitaire en faveur des réfugiés arrivés en masse par l’État de Rakhine, leur procurant un abri temporaire et les premières nécessités pour vivre »,

a-t-il affirmé complètement à côté de la réalité. Il a ensuite appelé la communauté internationale à prendre des

« mesures décisives face à cette grave crise ».

Cet après-midi le pape rencontrera certains Rohingyas dans le cadre de la rencontre interreligieuse et œcuménique pour la paix prévue à Dacca, la capitale du Bangladesh.

Obsédé par les « migrants » en général, cet énième discours humanitariste et bien-pensant du pape François en faveur d’un pays musulman et des Rohingyas mahométans qui se sentent ainsi soutenus par la communauté internationale, ne fera qu’alimenter un peu plus l’embrasement de la région et amplifier les exactions islamiques.

Ce qui frappe d’ailleurs dans ce voyage apostolique voué aux « réfugiés », ce n’est pas l’occultation du terme Rohingyas puisque cette ethnie musulmane, dont il oublie les accointances avec le terrorisme islamique et les revendications injustifiées mais impérieuses, est bien au cœur de ses préoccupations, mais l’absence de soutien public aux réfugiés Karen, Karenni et Hachin, peuples birmans majoritairement catholiques, persécutés depuis des décennies par la junte militaire et les bouddhistes, pas aussi pacifiques que des bobos-occidentaux déchristianisés veulent le faire croire.

Mais entre les Karen catholiques et les Rohingya musulmans, le cœur de Jorge Maria Bergoglio ne balance pas : les uns, qui ne sont pas de son troupeau, reçoivent toute son attention officielle pendant que les autres, les brebis romaines, sont voués à l’oubli médiatique…

Francesca de Villasmundo

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L’Intérieur donne son accord aux islamistes pour la réouverture de la mosquée de Stains

 

SL’Intérieur accepte la réouverture de la mosquée de Stains, fermée depuis novembre 2016 car repérée comme un lieu influent de la mouvance salafiste. Or, l’interlocuteur qui a obtenu cette faveur est le secrétaire général de l’UAM93 qui fédère les principales mosquées du département, M’Hammed Henniche. Dans l'enquête Mosquées Radicales (DMM,2016), Joachim Véliocas, de l'Observatoire de l'islamisation, exposait les prises de positions ultra-radicales de cette association, qui, sur son site Internet officiel, défend le port du niqab et élève la Charia au dessus des lois de la république, le tout avec une tonalité très agressive :

Le principal contributeur des contenus du site de l’UAM93 se nomme Daniel Youssef Leclerc. Converti à l’islam en 1984 par le mouvement Tabligh, il créa l’association Intégrité. Leclerc, vieux routier de l’islamisme hexagonal, fut désigné membre permanent de la Ligue islamique mondiale (LIM) en 1999, instrument de l’Arabie Saoudite. Interrogé en 1992 par Jean-Paul Mari, un journaliste du Nouvel Observateur, Leclerc alors président de la Fédération nationale des musulmans de France (FNMF, intégrée au CFCM), avait déclaré que

« Si demain on avait une majorité dans ce pays, pourquoi est-ce qu’on imposerait pas la Charia progressivement ? Ca vous dérange? Tant pis ! »

Source

Vidéo sur l’immigration du gouvernement polonais

Traduction :

Le gouvernement PiS s’est retiré de la décision nuisible du gouvernement PO-PSL de faire venir des immigrants du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord en Pologne. Nous avons été les premiers à dire que tous les immigrants ne sont pas des réfugiés, mais seulement quelques-uns fuient la guerre et la terreur. Deux ans après l’opposition du gouvernement polonais à l’admission des immigrants illégaux, les dirigeants européens commencent à comprendre l’absurde politique de réinstallation forcée des réfugiés.

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Solidarité tribale à la Gare du Nord : émeutes de colons africains en faveur d’un dealer ! (vidéo)

 Solidarité tribale à la Gare du Nord : émeutes de colons africains en faveur d’un dealer ! (vidéo)
 

Le 20 novembre, Massar D., un Camerounais à papiers espagnols, se trouvait en état de mort cérébrale. L’individu avait été plongé dans un coma à la suite de son interpellation à la gare du Nord, à Paris le 9 novembre. La patrouille de la police des réseaux ferrés avait procédé à l’arrestation de cet envahisseur parce qu’elle le soupçonnait de vendre de la drogue dans la gare.

Après une course-poursuite, Massar D. a été immobilisé au sol par les forces de l’ordre. Quelques secondes plus tard, le suspect a fait un malaise recrachant « 30 pochons de crack » qu’il cachait dans sa bouche ! Le vendeur de drogue était en arrêt cardiaque à l’arrivée des pompiers mais son cœur est ensuite reparti. Néanmoins les lésions cérébrales étaient déjà irréversibles. Selon plusieurs médiats, les médecins ont encore extrait deux autres pochons de drogues pris dans les voies respiratoires. Massar D. est mort le 22 novembre 2017 après 13 jours d’hospitalisation au service réanimation de l’hôpital Lariboisière.

Blocus Info, un pseudo-collectif et le site Démosphère, tous deux se prétendant « indépendants » dans la bonne vieille tradition gauchiste, appelaient à un rassemblement de protestation contre les violences policières dimanche 3 décembre à Garde du Nord. L’incongruité du lieu de rassemblement faisait déjà présager l’appel à l’émeute raciale sous-jacent : nul n’ignore en effet que Gare du Nord est ce haut lieu servant de terrain de jeu à la voyoucratie barbare et aux bandes ethniques…

Et effectivement dans l’après-midi du 3 décembre plusieurs dizaines de colons africains se revendiquant de la « Brigade anti-négrophobie » étaient rassemblées là. Dans leurs rangs, on trouvait encore la fine fleur des militantes racistes anti-blancs comme Rokhaya Diallo ou Sihame Assbague (organisatrice des camps d’été « décoloniaux et non-mixtes » c’est-à-dire interdit aux Blancs), venues exciter leurs troupes !

Au fil de l’après-midi, les tensions se sont accrues entre émeutiers étrangers et police, les décorations de Noël servant même de projectiles, jusqu’à ce que les forces de l’ordre fassent usage de gaz lacrymogènes pour disperser la foule.

Les images démontrent la haine qui anime ces colons étrangers.

Et leurs slogans, réclamant sans honte « justice pour Massar » (l’envahisseur africain vendeur de mort sur notre territoire !), témoignent de cette escalade de la provocation à l’égard d’un État dont les gouvernants (lâches ou complices ?) se refusent à donner les directives de rétablissement de l’ordre public dans ces zones abandonnées à la racaille étrangère.

Avec nous, avant qu’il ne soit trop tard, foutons-les dehors !