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mercredi, 20 décembre 2017

Le rappeur « Fianso » tourne un nouveau clip sauvage

rappeur

Paris Vox – Cela devient véritablement la marque de fabrique du rappeur de Seine-Saint-Denis, « Fianso » ( Sofiane Zermani )  a une nouvelle fois fortement perturbé la circulation sur plusieurs voies publiques en tournant un clip sans autorisation.


Suite à ce tournage sauvage, une enquête préliminaire a été ouverte et le rappeur de 34 ans, a été interpellé dans un quartier de Gennevilliers (Hauts-de-Seine) et placé en garde à vue pendant 24 heures au commissariat de la ville.  Un autre homme participant au clip a également été interpellé car porteur d’une arme de poing.

« Fianso » a ensuite été laissé libre, sans poursuite à ce stade, dans l’attente de compléments d’information.

Ces tournages sauvages sont le moyen privilégié choisi par le rappeur pour se faire de la publicité,à quelques semaines de la sortie de son nouvel album.

En avril dernier, il avait déjà bloqué pendant plusieurs minutes l’autoroute A3 pour tourner un autre clip. Il sera jugé pour ces faits, ainsi que pour un autre tournage sauvage à Aulnay-sous-bois, le 22 janvier 2017.

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Clandestins : La Chapelle toujours sous tension

En juillet dernier, Emmanuel Macron avait promis que d’ici à la fin de l’année, il n’y aurait plus personne dans la rue. Cinq mois plus tard pourtant, rien n’a changé, notamment à Paris. Près de la porte de La Chapelle, des centaines de clandestins dorment chaque jour dehors. À l’occasion de la journée internationale des migrants ce lundi, un rassemblement avait lieu devant les locaux de France Terre d’Asile

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L’État islamique revendique l’attaque contre une église au Pakistan

 

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Et si le tueur de Magnanville n’avait pas agi seul ?

Paris Vox – Larossi Abballa a-t-il agi seul dans le cadre du double meurtre d’origine terroriste de Magnanville ? De nouveaux éléments laissent penser qu’il aurait été aidé par un complice.


Un double meurtre réalisé au couteau

La sanglante attaque de Magnanville en juin 2016 reste dans les mémoires collectives (https://www.parisvox.info/2016/06/14/hollande-reconnait-caractere-terroriste-meurtre-de-magnanville/). Ce double meurtre d’inspiration islamiste a été commis par un jeune terroriste de 25 ans, Larossi Abballa. Ce dernier avait été abattu lors de l’intervention de la police qui avait trouvé dans la maison le jeune enfant de 3 ans, seul survivant de cette effroyable attaque.

Cette affaire a laissé de nombreuses marques chez les fonctionnaires de police devenus cibles des terroristes jusque dans leur propre maison.

Larossi Abballa vraiment seul ?

Si jusqu’ici tout semblait indiquer que Larossi Abballa avait agi seul, contre toute attente, il pourrai,t en fai,t avoir bénéficié d’une complicité dans cette attaque.

En effet, selon nos confrères du Parisien, l’enquête est relancée depuis quelques jours. Des extraits ADN d’un autre homme ont été retrouvés sur l’ordinateur des victimes. L’ADN a été identifié et son origine remonte à un homme proche de Larossi Abballa. Il se nomme Mohamed Lamine A., selon le journal francilien.

Cet homme serait en outre lié à d’autres affaires terroristes telle que l’affaire des bonbonnes de gaz près de Notre-Dame de Paris ou encore l’assassinat par égorgement du père Hamel à Saint-Étienne du Rouvray.

Mohamed Lamine A. est actuellement en garde à vue depuis lundi 11 décembre. Les enquêteurs tentent de comprendre comment son ADN a pu se retrouver sur l’ordinateur des victimes. Notons qu’il avait déjà été interrogé dans cette affaire au même titre que son frère. Son frère avait par ailleurs été mis en examen dans cette affaire.

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Hollande et Abdel Hadi Doudi : islamo-gauchisme

 

 

 

YQuelques jours après les attentats de novembre 2015, 14 prédicateurs salafistes de mosquées de France écrivirent une lettre à François Hollande pour "redire [qu’ils n’ont] aucun lien avec Daech, al Qaida, Boko Haram", et condamnent fermement les attentats tout en exprimant leur solidarité avec les victimes. L’un de ces prêcheurs, l’imam Abdel Hadi Doudi, affirme alors avoir reçu un message personnel de remerciements du président de la République.
 
Cet imam est aujourd’hui mis en cause pour ses positions radicales, qui ont menées à la fermeture provisoire de sa mosquée, à Marseille. La préfecture de police a pointé du doigt la gestion de l’imam Hadi Doudi, "référence du salafisme" et membre de "la mouvance islamiste radicale". Selon le préfet, l’imam "légitime le djihad et la mise à mort des auteurs d’adultère et des apostats".
 

L'Etat islamique avait récupéré du matériel de guerre livré aux groupes rebelles anti-Assad

 

Selon un rapport qui a nécessité 3 ans d’enquête de terrain entre Kobané, en Syrie, et Bagdad, en Irak... alors que les spécialistes avaient en vain mis en garde l'Occident sur l'aide apportée aux rebelles :

C1-n6HQWQAAZPha.jpg-large"40 000 pièces récupérées sur les lignes de front et soigneusement analysées, des dizaines de contrats d’achat et d’exportation passés au crible : le rapport sur les armes de l’organisation Etat islamique (EI), publié jeudi 14 décembre par l’ONG Conflict Armament Research (CAR), est l’étude la plus complète produite à ce jour sur ce sujet aussi explosif que complexe.

Il fait la lumière sur les filières d’approvisionnement souvent tortueuses mises en place par l’organisation djihadiste, via la Turquie en particulier, pour constituer et entretenir son arsenal. Il démontre qu’au-delà des saisies réalisées dans les stocks des armées syrienne et irakienne, l’EI est parvenu à récupérer beaucoup d’armes fournies aux groupes rebelles syriens par leurs parrains étrangers, notamment les Etats-Unis et l’Arabie saoudite. Il révèle enfin que ces livraisons ont été effectuées quasi systématiquement en violation des accords conclus avec les pays où ces armes ont été produites – principalement des Etats d’Europe de l’Est – qui incluaient une clause de non-réexportation.

[...] l’EI a su détourner à son profit une partie du flot d’armes introduit en Syrie par les soutiens de la rébellion syrienne. Grâce aux numéros de série relevés sur les pièces auxquelles ils ont eu accès, les experts de CAR sont parvenus à retracer une partie du circuit suivi par ces armes : de leur fabrication, dans une usine de Bulgarie ou de Roumanie par exemple, à leur exportation vers les Etats-Unis ou l’Arabie Saoudite, puis leur livraison à des formations rebelles syriennes, et leur réapparition, pour des raisons inexpliquées, du côté de l’EI.

Dans un cas précis – un lanceur de roquettes anti-tanks de type 9M111MB-1 ATGW – le rapport affirme que seulement deux mois se sont écoulés entre son achat en Bulgarie par les Etats-Unis, en décembre 2015, et sa saisie dans un stock de l’EI, à Ramadi en Irak, en février 2016. Le rapport signale, photo à l’appui, qu’une batterie anti-char portative du même genre, portant un numéro de lot similaire et un numéro de série proche, a été utilisée en décembre 2016 par une unité rebelle syrienne, Jaysh Al-Nasr. Une même remarque est faite concernant une autre formation anti-Assad, The New Syrian Army. [...]"

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La crèche non, mais dîner avec les islamistes de l'UOIF, oui

Au Conseil régional de Bourgogne, Julien Odoul (élu FN) dénonce l'attitude de la présidente Marie-Guite Dufay (PS) qui refuse les crèches de Noël au Conseil régional mais dîne publiquement avec les islamistes de l’UOIF.

 

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Soutenir Alain Finkielkraut, c’est soutenir la liberté d’expression !

La polémique récente autour des propos tenus par l’académicien Alain Finkielkraut en marge des obsèques de Johnny Hallyday pourrait, somme toute, être considérée comme une tempête dans un verre d’eau (une de plus) dont les médias sont friands. La chose est pourtant bien plus grave.

En effet, à l’initiative d’un militant de gauche, par ailleurs proche de Mediapart, en la personne de David Nakache, une pétition en ligne a été lancée le 11/12/2017, demandant ni plus ni moins le renvoi d’Alain Finkielkraut de l’Académie française.

Relayée par des sites communautaires, dont l’inénarrable Oumma.com, cette pétition a rapidement engrangé plusieurs milliers de signatures, s’appuyant sur un argument de poids : le philosophe aurait tenu des propos allant « à l’encontre du vivre ensemble et de la cohésion sociale » (sic).

Bien entendu, nul ne peut objectivement douter du fait que la demande des pétitionnaires n’a aucune chance d’aboutir. Cela n’enlève rien à leur intention : celle de nuire à ceux qui ont l’outrecuidance de ne pas penser comme eux et, pire encore, de l’exprimer !

D’aucuns se souviennent sans doute de la démarche de Dominique Sopo, président de SOS Racisme, lorsqu’il a écrit une lettre (ouverte) à la présidence du Conseil supérieur de l’audiovisuel afin de demander que le journaliste Éric Zemmour soit interdit d’antenne. La logique est strictement la même : à la volonté de museler la parole de ceux qui expriment des idées qui dérangent s’ajoute celle de les atteindre dans leur vie sociale et professionnelle.

 Dans ce contexte, exit tout débat d’idée, toute confrontation d’arguments permettant d’extraire une opinion forgée librement. Il y a tout simplement ceux qui « pensent mal », contre lesquels tous les coups sont permis, et ceux qui se croient dans « le camp du bien ». La charia avant l’heure, en quelque sorte… Cela n’est pas acceptable.

C’est pourquoi j’ai pris l’initiative de lancer, sur le même site, une pétition demandant l’exact contraire, en l’occurence qu’Alain Finkielkraut soit maintenu à l’Académie française, non pas que cela puisse influer sur son statut d’immortel (soyons réalistes), mais pour que nous puissions exprimer notre attachement à la liberté d’expression, et notre opposition la plus ferme à ces méthodes dignes des régimes totalitaires qui se banalisent dangereusement.

Soyons nombreux à réagir !

Sébastien Jallamion

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Le Conseil national du numérique, une nouvelle tribune antiraciste ?

Selon l’article 1 du décret n° 2017-1677 du 8 décembre 2017, « le Conseil national du numérique est chargé d’étudier les questions relatives au numérique, en particulier les enjeux et les perspectives de la transition numérique de la société, de l’économie, des organisations, de l’action publique et des territoires. Il est placé auprès du ministre chargé du numérique. »

On est donc en droit d’attendre de cette institution une certaine sérénité pour appréhender les questions relevant de sa compétence. Dans cette perspective, le secrétaire d’État au Numérique, Mounir Mahjoubi, a demandé à « Marie Ekeland, présidente du CNNum, de revoir sa copie, quelques jours à peine après avoir dévoilé son équipe. Le gouvernement réclame le remplacement de la militante antiraciste Rokhaya Diallo, qui dénonce régulièrement ce qu’elle qualifie de “racisme d’État” et avait appelé fin novembre le ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer à porter plainte contre elle pour l’usage de cette expression » (Le Figaro).

En plus de ce qui lui est reproché par le secrétaire d’État, rappelons que Rokhaya Diallo vante aussi les mérites du rigorisme vestimentaire imposé aux femmes par l’islam radical ; défend l’initiative d’un camp d’été décolonial, réservé aux personnes non blanches ; nie évidemment le racisme anti-blanc et, enfin, se trouve être une proche des Indigènes de la République, où sévit Houria Bouteldja, dont Pascal Bruckner a fort justement confié à Robert Redeker qu’elle glisse « d’une protestation anticoloniale classique à un discours raciste et prosélyte au point de devenir un Ku Klux Klan islamiste » (L’Express). Cela fait beaucoup pour une seule personne, et son éviction coule de source, à mon humble avis.

De plus, Rokhaya Diallo ne saurait être rémunérée pour une mission au service de la France et, dans le même temps, l’invectiver sans cesse. Comme on dit, on ne peut vouloir le beurre et l’argent du beurre ! Ce que l’intéressée ne semble pas comprendre, qui déclare sur Twitter : « Donc je n’ai pas le droit de collaborer avec les institutions de mon propre pays parce que j’ose dire publiquement qu’elles sont imparfaites ? Quelle étrange conception de la démocratie. »

 Je ne crois cependant pas que la dénonciation des institutions, effectivement imparfaites, soit en cause dans cette affaire, mais plutôt la véhémence de Rokhaya Diallo. Au fait, caractériser un individu par sa couleur de peau – blanche, en l’occurrence –, est-ce vraiment démocratique, Madame ?

Reste maintenant le rappeur Axiom – dont la place n’est pas menacée pour l’instant – qui, outre sa discutable légitimé, pose problème parmi ce Conseil. Car il s’agit là d’un autre militant antiraciste, armé des poncifs afférents – voir les paroles de son ironique chanson « Des youyous dans ma mairie » – qui pourraient infléchir les décisions prises par le Conseil du numérique. À moins qu’il ne s’agisse là d’une autre officine idéologique bien-pensante ; auquel cas, il a toute sa place !

Charles Demassieux

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