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mardi, 19 décembre 2017

Europe : Ses églises « converties » en mosquée

 

Sur le Vieux continent, les églises se vident et les mosquées se remplissent… se remplissent tellement que les églises désaffectées deviennent, non seulement restaurants, hôtels, appartements, mais aussi mosquées !

Il y avait une fois une Europe des cathédrales, des clochers et des petites chapelles romanes… Il y avait ! Parce qu’aujourd’hui bien trop de clochers ne sonnent plus l’Angelus. Et rares ne sont pas les cas où ils se retrouvent transformés en minarets… L’Europe vend ses églises aux envahisseurs mahométans : là où se trouvait l’autel il y a maintenant des tapis, les bancs et les agenouilloirs ont disparu pour laisser place à des tables, et l’arabe retentit sous les nefs où pendant des siècles les fidèles ont prié en latin, la langue sacrée de la Chrétienté. Pendus au murs, ce ne sont plus des tableaux des saints et de la Vierge mais des horloges qui donnent l’heure et la position de La Mecque.

Une enquête réalisée par le quotidien italien La Stampa raconte ce changement d’identité, ce grand remplacement, qui parcourt l’Europe de la Sicile à la Scandinavie. Dans le nord de la Hollande, ces dernières années, presque un tiers des églises a changé de destination, et certaines sont devenues des mosquées. Même chose en Allemagne, en France, en Suède, en Belgique et au Royaume-Uni. Dans la nouvelle Angleterre, multi-ethnique, multi-culturelle et multi-confessionnelle, ce sont des dizaines d’édifices chrétiens qui ont été achetés à des prix avantageux par les représentants de la communauté islamique de Manchester, Bradford ou Londres. En Allemagne depuis les années 2000, pour 500 églises qui ferment leurs portes, ont été inaugurées plus de 100 mosquées, grâce aux donations provenant surtout de Turquie. A Duisburg, dans la région du Nord Rhin-Westphalie où se concentre la plus importante communauté salafiste allemande, la mosquée de la ville a pris la place d’une église. Même chose à Hambourg où une église abandonnée est devenue le centre islamique Al Nouar.

La plus grande mosquée de Scandinavie a été inaugurée, le printemps dernier à Malmö, en Suède, par la Wafk, fondation islamique sunnite suédoise, proche des Frères musulmans. Elle a été financée avec 3 millions d’euros provenant du Qatar.

En France aussi, les églises deviennent lieux de culte musulman. En chaire, à la place du curé, prêche l’imam en chair et os, turban et djellaba… Le cas le plus fameux est celui de l’ancienne église de Saint-Jean de-la-Rive-de-Graulhet qui en 1981 a été reconvertie en la mosquée Nour El-Mouhammadi. A Marseille, où les musulmans représentent, écrit le journal La Stampa, 40 % de la population, la synagogue à côté du Vieux Port a été vendue et transformée en un centre islamique. Et selon l’enquête du quotidien italien, reprise par Vatican Insider, l’association marseillaise islamique Al Badr a des vues sur d’autres édifices religieux du sud de la France : « Je ne serai pas étonné, déclare Omar, jeune algérien, soutien de al Badr, que d’ici quatre ou cinq ans, les églises et les synagogues converties en mosquée deviennent cinq à dix sur la côte d’Azur. Mais ce n’est pas une guerre de position, que cela soit clair, c’est simplement le monde qui change. »

En Italie, pour l’instant, seules deux églises ont été transformées en mosquées. Toutes deux dans la Sicile d’où les Normands chassèrent les arabes musulmans, au XIe siècle. Depuis les années 90, dans l’église de San Paolino des Jardiniers, à la place du Credo on récite la Shahādah. Ce fut la première église d’Italie à avoir été désacralisée et attribuée comme lieu de culte pour la communauté musulmane. L’autel baroque ad orientem a été enlevé pour laisser place aux tapis des fidèles tunisiens qui s’agenouillent dans la même direction mais pour prier vers la Kaaba.

Dans la capitale de la Chrétienté, les centres culturels islamiques se multiplient à vue d’œil. Dans les quartiers périphériques romains, comme celui multi-ethnique de Tor Pignattara, dans un rayon d’une centaine de mètres on compte des dizaines de mosquées dans des garages, des caves, des magasins. Les lieux de culte musulmans semblent être très bien intégrés dans le tissu social urbain. Parfois même, et c’est le cas de celui de Via Moncenigo, dans le quartier des Prati, ils se trouvent à deux pas de la Basilique Saint-Pierre…

Et il y en a qui osent parler de Grand Remplacement…

Francesca de Villasmundo

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Censure : Leetchi ferme la cagnotte des identitaires de Poitiers… et fermait les yeux sur les cagnottes islamistes !

 

Le site participatif de don en ligne Leetchi, qui a récemment fermé la cagnotte de cinq militants identitaires condamnés pour avoir déroulé une simple banderolle sur le chantier de la mosquée de Poitiers, a été épinglé en retour par des internautes engagés : plusieurs de ses cagnottes serviraient des causes islamistes.

Leetchi avait récemment fermé la cagnotte des militants identitaires qui avaient été condamnés à 5 ans de sursis le 7 décembre pour avoir occupé le toit d’une mosquée en construction à Poitiers en 2012. La cagnotte devait rembourser les frais d’avocat du dossier, ce qui est légal, mais Leetchi, après avoir défendu la démarche, a fini par se rétracter : dans un mail envoyé à Damien Rieu, l’un des cinq condamnés, l’équipe du site explique qu’elle n’a « pas pu collecter assez d’informations concernant la provenance des fonds » et qu’elle est dans l’obligation de bloquer la collecte.

En réponse, les militants identitaires ainsi que le site Fdesouche ont relevé plusieurs cagnottes douteuses, très vraisemblablement affiliées aux salafistes, que Leetchi avait visiblement contrôlé avec bien moins de zèle que la leur.

Leetchi avait donc laissé passer, par exemple, un appel aux dons qui a récolté plus de 11 000 euros pour la mosquée « Masjid Sounnah » du boulevard National, à Marseille. Mosquée dont la préfecture de police de la ville a ordonné la fermeture lundi pour six mois. Son imam est présenté par le préfet comme « une référence du salafisme » qui s’inscrit « dans la mouvance islamiste radicale »

D’autres cagnottes du même ordre ont été épinglées, comme celle qui totalise plus de 8000 euros, collectés auprès de 190 participants pour rembourser les dettes de la mosquée Abou Bakr Essedik, à Roubaix. La Voix du Nord indiquait en 2015 que cette mosquée a accueilli trois fois un cheikh saoudien interdit d’accès en France en tant « qu’individu susceptible de troubler l’ordre public en raison de ses prêches islamistes radicaux ».

Une autre demande d’argent vient en aide à une « famille muhajirun » (entendez : qui a quitté son pays), recommandée par plusieurs prêcheurs : l’un d’eux, Youssef Abou Anas, est cité comme un prédicateur « au discours extrémistes » par Libération, tandis qu’un autre, Abou Luqman, a été gouverneur de la ville de Raqqa, en Syrie, sous l’égide de l’État Islamique. etc ....

(Source : Valeurs Actuelles)

Curieux paradoxe que de vouloir vivre dans un pays qui les a tant oppressés …

 

Lu dans Minute :

M

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François Billot de Lochner : Non à la république islamique de France

 

Le document video

Relocalisation des immigrants illégaux : les pays du groupe de Visegrád ne reculeront pas

Jeudi dernier, la Commission européenne a porté devant la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) l’affaire de la relocalisation des demandeurs d’asile arrivés illégalement en Grèce et en Italie. Le plan adopté par le Conseil de l’Union européenne en septembre 2015 prévoyait que 120.000 immigrants illégaux, en plus des 40.000 qui avaient déjà été convenus, seraient « relocalisés » dans un autre pays de l’Union européenne selon un système de quotas obligatoires.

Aucun pays ne s’est dégagé de ses obligations, mais trois revendiquent officiellement leur refus de prendre ne serait-ce qu’un seul immigrant illégal : la Pologne, la Tchéquie et la Hongrie, au nom de leur souveraineté nationale. Ils expliquent que le système de relocalisation a fait la preuve de son inefficacité, ce qui ne semble pas perturber les eurocrates.

La veille de la procédure engagée par la Commission, le gouvernement portugais, bon élève du système de relocalisation, confirmait que sur 1.500 « réfugiés » accueillis, plus de 820 s’étaient déjà enfuis et l’on ne sait rien de leur lieu de séjour.

Dès jeudi, le Fidesz hongrois parlait d’une attaque de Bruxelles « à l’arme automatique » du fait que, le même jour, la Commission européenne avait également engagé une procédure devant la Cour de justice de l’Union européenne dans deux autres dossiers concernant la Hongrie au sujet des établissements supérieurs et des ONG. Dans un communiqué, le Fidesz accusait Bruxelles d’être sous l’influence de George Soros, ce qui n’est pas faux puisque le milliardaire américain était venu au printemps discuter de ces lois hongroises directement avec les dirigeants de la Commission européenne.

 Viktor Orbán affirme, par ailleurs, que Bruxelles s’en prend à la Hongrie à cause de son opposition au « plan Soros » (Dans un document publié en septembre 2015, George Soros: Here’s my plan to solve the asylum chaos, M. Soros explique que l’Union européenne doit accueillir au moins un million de demandeurs d’asile par an, et ce chiffre a été repris plus tard par Dimítris Avramópoulos, le commissaire européen grec chargé des questions d’immigration pour plaider pour une plus grande ouverture de l’Union européenne.)

En Tchéquie, le nouveau Premier ministre Andrej Babiš a remporté les élections en promettant de refuser les quotas de demandeurs d’asile de la Commission, et il pourra difficilement se dédire. Comme ses partenaires du groupe de Visegrád, il propose l’aide de son pays pour garder les frontières de l’Union européenne, mais pas pour faire venir des immigrants illégaux.

En Pologne, le ministre de l’Intérieur Mariusz Błaszczak a mis en avant l’impératif de sécurité face à la menace terroriste qui accompagnerait immanquablement la venue d’une partie des immigrants musulmans arrivés illégalement en Grèce et en Italie. Il a aussi fustigé les zones de non-droit dans les pays de l’ouest du continent, dont il a rappelé qu’elles étaient le produit de l’immigration et une base arrière du terrorisme islamique. Il a nommément cité la France comme l’exemple de ce qu’il ne fallait pas faire en matière d’immigration. Dans sa première interview télévisée jeudi soir, le nouveau Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki a confirmé son refus du système de relocalisation.
Les graves agressions antisémites qui ont eu lieu en Europe ces derniers jours et la toute nouvelle tentative d’attentat par un immigré musulman à New York (arrivé dans le cadre du regroupement familial) donnent encore une fois raison à ces pays et ils ne céderont pas.

Olivier Bault

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Antiracisme : la chasse au Michel Leeb est ouverte

À chaque jour sa dinguerie. En trois huit, vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept. Les antiracistes jamais ne se reposent. Quelle énergie. Dernier trophée en date de ce safari permanent : Michel Leeb et ses fameux sketches sur les Africains. À la manœuvre, une certaine Eva Doumbia, cofondatrice du collectif Décoloniser les arts. Lequel appelle, ce jeudi 14 décembre, à un sit-in devant le Casino de Paris, là où l’humoriste donnera son prochain spectacle. S’asseoir pour mieux montrer qu’on se tient debout, en quelque sorte.

Eva Doumbia :

« Pour moi, c’est un grand retour en arrière, ce retour de Michel Leeb. C’est le retour d’une espèce de France raciste, où on peut se permettre de dire n’importe quoi, où on peut se permettre de ne pas prendre en compte 30 % de la population qui n’est pas blanche en France et qui est complètement niée et moquée. »

​‌”

Ah bon ?

Car ce qui est grave aujourd’hui l’est encore plus qu’hier, à l’en croire :

« Si, dans les années 1980, on subissait cette chose-là parce que nos parents étaient dans un grand souci d’intégration, donc en fait, il ne fallait pas faire de vagues. Les parents que nous sommes devenus, ayant ce souvenir-là, on n’a absolument pas envie que nos enfants subissent cette chose-là. Comme on ne peut plus mettre des Noirs en cage, on ne peut plus se moquer des Noirs et les comparer à des singes. Cela n’est plus possible, cela n’est pas drôle. »

​‌”

Vraiment ?

 

Si l’on résume, pour ne heurter personne, la seule poilade citoyenne consistera bientôt à ne railler que les blondes et les Belges, en attendant que ces derniers ne s’organisent à leur tour en collectif. Mais, petit détail, Michel Leeb incarnerait une « espèce de France raciste », parce que Blanc se moquant des Noirs. Et seuls les Noirs auraient donc le droit de se moquer des Noirs. Mais alors, quid d’un Dieudonné, fils d’un père noir et d’une mère blanche, qui brocarde indifféremment les Blancs et les Noirs ? Dans quelle case le ranger ? Celle de l’oncle Tom ? Non, on plaisante, évidemment.

Et quand Patrick Timsit, humoriste juif, se paye la tête des Juifs, faut-il le traîner en justice pour antisémitisme ? On pourra, bien sûr, doubler la mise avec Gad Elmaleh, autre humoriste juif et marocain, qui en sort souvent de belles sur les Marocains et les Juifs, pour judéophobie et arabophobie aggravées. On allait oublier Michou et ses plaisanteries de garçon de bain. Michou est un peu homosexuel, dit-on, mais n’hésite pas à faire rire des homosexuels. Homophobie ? Et quid des poursuites à engager si la cible de ses flèches, non contente d’être de la jaquette, se révélait être un Juif noir, genre Falasha, vivant en couple avec un Marocain ?

Il est probable qu’Eva Doumbia n’aille pas chercher aussi loin, car pour elle l’affaire est simple et déjà entendue de longue date : la seule victime qui vaille ne saurait être autre que noire. Soit un assez bel exemple de racisme inversé, puisque cantonnant ses frères et sœurs de peau en un éternel état d’infériorité.

Comme quoi tout n’est pas tout blanc bleu dans cette histoire, comme dirait le Schtroumpf noir.

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ACP du PNF : Non à l’invasion à Villars les Dombes !

Des militants de Savoie, de Haute Savoie, de Bourgogne et de l’Ain du Parti Nationaliste Français se sont réunis afin de dire non à l’accueil des envahisseurs (que les médiats menteurs et politiciens complices baptisent pudiquement « migrants ») à Villars les Dombes !

Pour la France aux Français !

Avec nous avant qu’il ne soit trop tard !

 

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Quelques mesures simples pour renforcer la sécurité des offices de nos paroisses

 Par ces temps troublés, où les éléments résiduels de l'État islamique défait en Syrie comme en Irak, vont porter ailleurs qu'au Levant le fer sanglant du Djihad, Stratediplo nous propose quelques mesures simples pour renforcer la sécurité des offices de nos paroisses. Comme il le conclut lui-même, "Cette fiche pratique pourrait utilement être discutée dans chaque conseil paroissial. Les compléments constructifs sont bienvenus en réponse à cet article. Pour mémoire, il est interdit de porter une arme blanche mais pas d'en posséder, il est loisible à un gendarme ou un policier d'aller à la messe en tenue, et rien n'empêche les chasseurs de tenir un rendez-vous cynégétique au café en face de l'église."

Les profanations d'églises se multiplient, les attaques de foules aussi et il y aura d'autres sacrifices de prêtres. Cependant le gouvernement, qui continue de protéger les synagogues et sécurise maintenant les manifestations religieuses mahométanes illégales dans la rue, laissera les églises sans défense jusqu'au jour où il interdira la célébration des offices de Noël, au prétexte de quelques attaques de marchés de parvis. Dans ce contexte la fiche sur la sécurité des rassemblements ecclésiaux, rédigée par Stratediplo il y a deux ans pour diffusion discrète par réseaux interparoissiaux mais malencontreusement objet d'une publication sensationnaliste sur internet, reste d'actualité. Tous les curés n'étant pas Dom Camillo, c'est une responsabilité collective des laïcs. Cette fiche se base sur le quadruple constat d'une montée de la violence commandée, de son inflexion de la terrorisation aléatoire des foules vers l'intimidation ciblée de communautés, de la défaillance de l'État à protéger les populations, et du caractère durable de cette situation. Son objet immédiat est la sécurisation des célébrations de Noël qui ne seront pas interdites.

1- Introduction

A terme l'orientation gouvernementale tendra certainement plus à faire fermer les églises qu'à les faire protéger par la police. Même l'effectif militaire maximum prévu en cas de crise majeure, récemment déployé avec solennité et à contre-emploi, n'y suffirait et n'était de toute façon pas tenable. Déjà pour la fête d'Hannoucah 2015, le gouvernement avait dissuadé les Israélites d'allumer leurs chandelles rituelles. Noël étant la fête chrétienne qui imprime le plus la vie civile en France, elle est le symbole que beaucoup de christianophobes veulent abattre.

2- Risques

Le risque à prendre en compte ici n'est pas celui de l'attaque chimique sur une ville, de la prise en otage d'une communauté par une bande armée ou du lancer d'un camion sur une foule, il est la commission d'actes spectaculaires par des individus isolés ou en très petit groupe, ciblant les communautés qu'ils sont chargés d'intimider : en clair, le massacre d'une église. Il s'agit d'un risque élevé et saupoudré, car il y a autant de cibles possibles que de paroisses, avec dans chacune des centaines de victimes potentielles, mais ces attaques sont imprévisibles et exceptionnelles. On peut considérer trois modes opératoires, le jeter d'une grenade ou d'une bombe artisanale, l'auto-explosion d'un "kamikaze", et la rafale d'arme automatique. Les deux premiers cas imposent d'être au milieu de la foule cible, le troisième cas impose d'en être proche et à vue.

3- Facteurs déterminants

Les attaquants gardent l'avantage de la surprise, du lieu et du moment ; tant qu'ils comptent sur l'impréparation de leurs cibles ils ne prendront pas la peine de se cacher, surgissant en pleine lumière les armes à la main (sans longue approche nocturne par les fourrés). D'autre part, et cela fait partie de leur stratégie de communication pour frapper les esprits et paraître une fatalité imparable, ils sont généralement consommables et agissent sans esprit de retraite ; prêts à mourir pour tuer, ils ne sont ni prêts à se battre, ni préparés ou équipés pour cela. Et leur apothéose finale étant aussi une déclaration, ils sont enclins à la commettre en tenue de "départ", en noir et avec la barbe (tant que ça n'est pas une entrave à leur circulation). Ceux qui prévoient d'en réchapper éviteront d'attaquer des églises urbaines.

4- Moyens de parade

Eu égard au devoir de protection on peut envisager une parade en trois temps, à savoir alerte, fixation et neutralisation.

Devant une église à l'heure de la messe (pas dans un quartier 24 heures sur 24) et selon la configuration des lieux, le dispositif d'alerte peut consister en une seule personne, qui ait une vision sur l'entrée de l'église et sur l'aire de stationnement. Compte tenu du délai très court (l'assaillant parcourt cinq mètres par seconde) il faut proscrire tout moyen d'alerte compliqué ou indirect comme radio où l'émetteur doit mettre en œuvre et parler, et le récepteur doit écouter et diffuser. Il faut un avertisseur instantané, même au prix de la vie du guetteur, et immédiatement entendu à l'intérieur du bâtiment (en dépit des chants) par tous, intervenants et public : sifflet puissant, pistolet d'alarme, sirène, klaxon de voiture ou gros gong.

Le dispositif de fixation, ou piquet d'intervention, a pour objet d'interdire ou de retarder l'irruption du ou des intrus dans le bâtiment. Il est donc constitué d'une poignée à une dizaine d'hommes, qui participent normalement à l'office mais restent groupés près de l'entrée sensible car ils n'auront que quelques secondes pour réagir et ne pourront pas traverser alors l'assistance.

Pour cette même raison leur équipement doit être sur eux (matraque téléscopique ou bombe de gel) ou aligné au mur près de l'entrée (manches de pioche). Dans la plupart des cas une poignée d'hommes suffira à fixer à l'extérieur un à trois agresseurs porteurs d'une bombe artisanale ou d'une ceinture explosive. Ceux-ci seront alors immobilisés jusqu'à l'arrivée des forces de l'ordre, ou se feront exploser sans avoir pu entrer. Dans le cas d'armes automatiques, le piquet d'intervention ne suffira pas à arrêter les agresseurs, bien qu'il leur fasse dépenser une partie de leurs chargeurs (ces gens-là pratiquent l'arrosage intensif), mais il aura retardé leur entrée d'une minute ou deux.

Le dispositif de neutralisation est subsidiaire, car plus délicat à mettre en place et moins systématiquement utile. Il s'agit d'une personne portant une arme à feu et chargée d'éliminer un terroriste porteur d'arme automatique. Si elle est équipée d'une arme d'épaule elle doit se trouver à l'extérieur, ou dans un bâtiment voisin, avec vue sur l'entrée où le piquet d'intervention retardera les attaquants pendant une minute. Si elle n'est équipée que d'une arme de poing elle doit rester cachée dans l'entrée pour neutraliser les assaillants par derrière lorsqu'ils feront irruption dans la nef, concentrés vers l'avant.

5- Conclusion

Alors que beaucoup d'établissements recevant du public ne sont que des lieux de passage, les paroisses sont des communautés organiques disposant d'un noyau de réguliers. De même qu'on organise un tour de quête ou de lecture, toute paroisse où se retrouvent régulièrement des habitués devrait pouvoir organiser au moins un tour de guet extérieur et un piquet d'intervention. Cela ne coûte rien, maintient l'affluence des fidèles rassurés, et peut sauver des centaines de vies. C'est aussi un début de responsabilisation, qui extrait de la passivité et prépare à d'autres relèvements. Le Chrétien a mission de témoignage, à l'opposé de la soumission ("islam" en arabe), et si la terreur soumet, la sécurisation libère. Les banques ont des vigiles pour rassurer les clients et les manifestations de rue ont des services d'ordre pour écarter les provocateurs.

Cette fiche pratique pourrait utilement être discutée dans chaque conseil paroissial. Les compléments constructifs sont bienvenus en réponse à cet article. Pour mémoire, il est interdit de porter une arme blanche mais pas d'en posséder, il est loisible à un gendarme ou un policier d'aller à la messe en tenue, et rien n'empêche les chasseurs de tenir un rendez-vous cynégétique au café en face de l'église.

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Des « familles syriennes » mendient dans le trafic sous le nez d’une police aveugle

Les policiers sont très peu attentifs quand une prétendue famille syrienne joue les toréros dans le trafic, enfants et vieillards compris, avec une pancarte en arabe en guise de muleta. Leur inattention provient parfois du fait qu’ils flashent les automobilistes au lieu de s’en prendre à ces piétons intouchables et surtout insolvables.

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À Castenaso, en Italie, l’Enfant Jésus de la crèche est un migrant !

Dans les sociétés devenues multiculturelles, ce qu’il reste de festivités chrétiennes est l’occasion de repartir à la charge contre toute manifestation de culture européenne.

Laïques contre chrétiens, musulmans contre catholiques, laïques contre musulmans (non, pardon, cela n’arrive étrangement jamais !), on s’en donne à cœur joie pour tenter de dégommer les dernières bribes de coutumes et traditions enracinées des peuples autochtones, comme si le consumérisme ambiant et l’athéisme prosélyte ne leur en avaient pas déjà porté un coup fatal.

Noël, syncrétisme entre les fêtes païennes célébrant le solstice d’hiver et l’anniversaire de la naissance de Jésus, en est le paradigme.

Et le plus souvent, les déconstructeurs proviennent de l’intérieur, comme ce fut le cas dernièrement à Castenaso, dans la province de Bologne, où la coutumière crèche sur la place du village a été quelque peu remaniée par le maire Partito Democratico 1 de la ville, qui a « voulu mettre en évidence le problème lié à l’accueil des migrants » selon ses propres propos.

Ainsi, la mangeoire où est traditionnellement déposé l’Enfant Jésus est représentée par un bateau pneumatique, faisant explicitement référence aux embarcations utilisées par les migrants qui traversent la Méditerranée. L’image a été reprise sur les cartes de vœux de ville.

 Une véritable action militante de la part des institutions locales, dénoncée sur le plan politique par l’association Terra Nostra – Italiani con Giorgia Meloni, qui a manifesté devant la crèche ; et critiquée sur le plan religieux par Mgr Ernesto Vecchi, évêque auxiliaire émérite de Bologne, pour qui la représentation de la Nativité devrait au moins refléter son sens originel : « Jésus dans une mangeoire pour animaux, c’est le signe qu’étant riche, il s’est fait pauvre pour nous… » Rien à voir, donc, avec une quelconque obligation morale à accueillir toujours plus d’immigrés.

L’Italien lambda commence, d’ailleurs, à être las de ce genre de chantage spirituel, fatigué qu’il est des continuelles et à peine voilées accusations de manque de foi, dont ce nouveau pape François est particulièrement friand, n’ayant de cesse de réitérer que tout clandestin est le Christ en personne et que nous sommes tous des réfugiés. 2

Par un curieux hasard, vous ne rencontrerez pas plus de migrants dans les rues du Vatican que dans les demeures des bobos en faveur du Grand Remplacement.

Notes:

  1. Partito Democratico, conduit par l’ex-Premier ministre Matteo Renzi

« Chacun de vous, réfugiés qui frappent à nos portes, a le visage de Dieu, et est la chair du Christ. Votre expérience de douleur et d’espoir nous rappelle que nous sommes étrangers et pèlerins sur cette Terre, accueillis par quelqu’un avec générosité et sans aucun mérite. » 19/04/16

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Damien Rieu : « Nous sommes très lourdement condamnés, mais nous irons jusqu’au bout si nous sommes soutenus par la communauté des patriotes ! »

Pour avoir occupé pacifiquement le chantier de la grande mosquée de Poitiers, Damien Rieu et quatre autres militants de Génération identitaire ont été condamnés en première instance à un an de prison avec sursis, une forte amende et la déchéance de leurs droits civiques pour cinq ans.

Une « cagnotte » a été ouverte sur le site Leetchi.com pour aider les condamnés à s’acquitter de leurs frais d’avocat. Cet appel aux dons vient d’être bloqué par le site.

Damien Rieu s’en explique au micro de Boulevard Voltaire.

Source et Document audio

France, Malte, Italie…, même invasion, même solution : foutons-les dehors !

Caen (Calvados) : le poumon perforé par 4 Pakistanais

Vers 17 heures, le mardi 28 novembre 2017, rue des Jacobins à Caen (Calvados), près du commissariat de police, 4 Pakistanais clandestins frappent un jeune homme à terre. De leurs fenêtres, des riverains hurlent d’arrêter. Le quatuor sera interpellé sous les arcades du théâtre, 100 mètres plus loin. La victime, un couteau planté dans le dos laiss derrière elle des traînées de sang sur le trottoir : poumon perforé sur 5 cm de profondeur.

Les quatre jeunes envahisseurs, arrivés « mineurs isolés » en France, sont encore scolarisé. En comparution immédiate au tribunal de grande instance de Caen, Abdul Saad, 19 ans et Arslan Afzal, 18 ans, écopent de six mois de prison ferme ; Qasim Ali, 18 ans, porteur du couteau et qui a fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français à Caen depuis deux ans, écope de 10 mois ferme, tout comme le porteur du poing américain, Ahsam Raza, 20 ans.

Des mesures d’éloignement non-exécutées qui auraient pourtant sans doute permis d’éviter ce nouveau drame de l’échec d’un « vivre-ensemble » imposé et qui est pourtant totalement utopique.

Ferrara (Italie) : une jeune femme passée à tabac par 5 envahisseurs

Sandra a été battue par 5 étrangers qui voulaient la voler. C’est arrivé à Ferrara, dans la région d’Acquedotto, il y a quelques jours. Son visage porte encore les marques des blessures et des coups violents : « Je ne me souviens pas s’ils m’ont frappé avant que je m’évanouisse ou si je m’étais déjà évanoui et s’ils ont continué à me frapper. La seule chose dont je me souviens est ma tête qui touche le banc et leurs poings sur le côté droit du visage. Je me suis réveillé avec des douleurs dans les côtes. »

Les cinq envahisseurs extra-européens n’ont pas encore été interpellés. « Ils n’ont pas été encore reconnus parce que je ne me souviens pas de leurs visages, et les caméras-surveillance ne les ont pas pris ».

« Être attaqué, battu, laissé inconsciente dans un endroit froid… Je ne pense pas que ce soit le résultat d’une ville tranquille », ajoute Sandra, approuvée en cela par Nicola Lodi, élu de la Ligue du Nord. Celui-ci a été l’un des premiers à réagir à ce fait divers. Il a appelé à la création de patrouilles citoyennes dans la zone où Sandra a été agressée.

Paris : 700 000 € pour les Marocains mineurs de la Goutte d’Or

La capitale française doit faire face à un arrivage incontrôlé de jeunes marocains errant dans le quartier de la Goutte d’or. Réfugiés là, ces envahisseurs âgés de 14 à 17 ans environ (aucune preuve ne pouvant attester de leur âge), dorment dans un square et vivent de larcins. Depuis le mois de février 2016, le quartier voit affluer ces silhouettes juvéniles. Les premiers arrivants avaient 9 ou 10 ans. La seconde vague, entre 14 et 17 ans. Certains sont à peine majeurs.

Côté sécurité, la police a procédé à 395 interpellations depuis septembre, essentiellement pour des vols, certains avec violence. « On n’est pas dans le simple chapardage », ajoute Michel Delpuech. « Ces clandestins sniffent de la colle, boivent, agressent les passants, volent et refusent les prises en charge proposées ». « Ils ont tous transité par l’Espagne où ils sont passés par des foyers d’accueil avant de poursuivre vers la France », assure la présidente de l’Amesip (Association marocaine d’entraide aux mineurs en situation précaire), Touraya Bouabid, mandatée pour une mission sur place fin octobre.

Et elle confirme qu’ils ne sont ni pauvres ni persécutés : « Presque tous sont issus de la classe moyenne et ont un membre de leur famille au Maroc », a-t-elle écrit dans son rapport…

Réaction d’Anne Hidalgo de la Ville de Paris : lors du prochain Conseil, le 11 décembre, une subvention de 684 967 euros sera soumise au vote de l’assemblée. Elle servira à lancer plan d’ampleur, sous convention avec le Centre d’action sociale protestant (CASP) qui travaillera en partenariat avec des associations rompues à la prise en charge des jeunes en errance : « Aux Captifs la Libération » et « Trajectoires ». La ville veut ainsi augmenter les dispositifs tels que les maraudes, les aides sociales à l’enfance et les suivis psychiatriques. L’enveloppe permettra également de financer un centre d’hébergement de nuit.

Malte : l’armée en renfort contre la criminalité des envahisseurs

La montée des « comportements antisociaux », imputable principalement à la communauté des envahisseurs provenant de Libye résidant dans la localité de Marsa, a poussé le gouvernement à faire appel à l’armée pour venir en aide à la police. Le ministre de l’Intérieur maltais Michael Farrugia a annoncé des mesures fortes afin d’assurer le maintien de l’ordre public, et tout particulièrement dans les points chauds frappés par la délinquance et la criminalité. « L’armée va aider la police en effectuant des patrouilles dans des zones problématiques telles que Marsa, Birzebbuga, Paceville et la Baie de Saint Paul », a ainsi déclaré le membre du gouvernement lors d’une conférence dans la localité de Marsa.

Une mesure adoptée pour faire face aux préoccupations croissantes des habitants quant à la multiplication des « comportements antisociaux », selon un quotidien, qui rapporte que ceux-ci, à Marsa, sont principalement imputables à la présence d’une importante communauté locale de ce que les médiats menteurs et politiciens complices nomment pudiquement « migrants »… 

Pourtant l’expulsion des fauteurs de troubles n’est même pas envisagée. Au contraire Michael Farrugia affirme que le pays a trop longtemps négligé les questions d’intégration. Et il a ainsi souligné la nécessité de renforcer les mesures d’éducation et d’intégration à l’égard de cette population sensible, précisant que son ministère consacrerait des fonds de l’Union européenne à des programmes visant à sensibiliser les communautés de ces étrangers aux lois et coutumes du pays…

A Lyon et Grenoble des universités occupés par les colons étrangers

A l’université Lumière Lyon-II puis à l’université Grenoble Alpes, des associations et des étudiants ont investi des locaux tout en demandant à l’Etat d’apporter une solution pérenne aux clandestins extra-européens qui déferlent un peu partout dans les grandes villes françaises.

Un amphithéâtre du campus de l’université Grenoble Alpes (UGA) a été investi lundi 4 décembre par des associations afin de « mettre à l’abri » (selon la propre terminologie des anarcho-gauchistes) une centaine d’envahisseurs . « On ne veut pas faire dormir les gens ad vitam æternam ici, mais on veut mettre la pression sur la préfecture, qui est compétente, afin que soit trouvé un hébergement pérenne », a déclaré un militant de Droit au logement Isère, s’exprimant pour les associations et syndicats complices de l’invasion qui veulent la disparition des européens sur leur propre sol : Assemblée des mal logés, La Patate chaude, CNT, CGT, UNEF, Solidaires qui ont mené cette action. Une source à la préfecture a indiqué que celle-ci avait été « avisée » de cette occupation par la direction de l’université, mais qu’« il n’y a pas de demande d’évacuation »…

C’est la deuxième fois en quelques semaines que les militants de la disparition des peuples européens autochtones organisent une occupation illégale d’université par des clandestins étrangers. A Bron, dans la banlieue lyonnaise, un amphithéâtre de l’université Lumière Lyon-II est occupé depuis le 16 novembre par des étudiants qui y « logent » une cinquantaine de colons extra-européens, une situation « indigne » pour la présidente de l’établissement, Nathalie Dompnier, qui avait demandé une solution à l’Etat.

Après deux semaines d’occupation, la préfecture a proposé, vendredi, l’ouverture d’un gymnase à Meyzieu (banlieue est de Lyon) pour les accueillir une dizaine de jours. La solution a été refusée par les intéressés et les étudiants qui les soutiennent…

Paris : le « trottoir des 40 000 » boulevard de la Villette

« Le trottoir des 40 000  », c’est comme ça que l’ont baptisé les riverains. Car depuis près de deux ans, ils ont compté que 40 000 envahisseurs avaient dormi, parfois plusieurs nuits d’affilée, sur une centaine de mètres de ce boulevard de la Villette devant le « Pada » (Plateforme d’accueil des demandeurs d’asile). Étape indispensable pour les demandeurs d’asile primo-arrivants isolés, cet unique centre – un autre existe à Paris pour les familles -, géré par France Terre d’asile, délivre, chaque matin, un certain nombre de rendez-vous, pour l’examen de leur dossier, dans l’une des huit préfectures d’Île-de-France.

Devant l’afflux de ces nouveaux colons destinés à prendre la place des autochtones, le centrel est perpétuellement engorgé. Et aujourd’hui, les habitants sont « à bout ». Le 18 décembre, ils attendent « les élus de tous bords » pour signer leur pétition. « Sans un engagement clair sur la fermeture du système avant le 1er janvier », ont-ils écrit au président de la République, ils entameront une grève de la faim.

Un commerçant explique : « Cela devient invivable. Le matin, on doit enjamber les matelas devant notre porte. On ne peut plus recevoir de clients. » Lors des réunions d’un collectif, « des commerçants ont dit qu’ils allaient acheter un fusil ; qu’ils s’en fichaient d’aller en prison, car c’était ça ou la clé sous la porte »…

 

En Europe, partout le même déferlement d’envahisseurs extra-européens !

Une invasion migratoire encouragée et organisée par les associations de traîtres qui accomplissent le plan du judaïsme politique : le génocide des Européens par l’action conjuguée d’une immigration extra-européenne massive et de l’avortement généralisé. Le tout avec la complicité des gouvernements mondialistes et des médiats-menteurs !

Avec nous, avant qu’il ne soit trop tard, foutons-les dehors !

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Un an de prison avec sursis et plus de 40.000€ d’amende pour avoir occupé pacifiquement le toit du chantier de la grande mosquée de Poitiers !

Un an de prison avec sursis et plus de 40.000€ d’amende à l’encontre de Maxime, Benoit, Alban, Damien et Julien, 5 anciens militants de Génération Identitaire, telle est la décision rendue aujourd’hui par le Tribunal de Grande Instance de Poitiers à l’issue d’un procès intenté par l’Union des Organisations Islamiques de France (UOIF), antenne française des Frères Musulmans, organisation islamiste classée terroriste dans plusieurs pays ...

Leur crime ? Avoir organisé l’occupation pacifique du chantier de la Grande Mosquée de Poitiers en 2012. Plus de 70 militants de Génération Identitaire avaient occupé pacifiquement le toit du chantier de cette mosquée pour réclamer un référendum sur la construction de mosquées et l’immigration.

Les « 5 de Poitiers » et leurs avocats ont annoncé leur intention de faire immédiatement appel et de se battre jusqu’au bout.

Curieusement, lorsque ce sont des immigrés illégaux qui occupent des lieux divers et variés, la justice française se montre alors par contre très clémente. Vous avez dit préférence étrangère ?...

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Des centaines de millions d’euros en subventions annuelles à des associations au service des immigrés

Dans l’un de ses communiqués de la semaine, Civitas rappelle l’importance des montants accordés sous forme de subventions à des associations au service des immigrés.

Et comme le rappelle Civitas, cet argent, c’est le vôtre, celui de vos impôts !

Vous ne voulez plus que vos impôts
continuent à encourager l’immigration ?

L’annexe au projet de loi de finances pour 2018 concernant les subventions de l’Etat aux associations prévoit  que le gouvernement affecte aux associations de son choix un budget de 4 milliards 689 millions d’euros prélevé sur l’argent versé par les contribuables.

Sur ce budget, 306 millions d’euros sont affectés à des associations liées à “l’immigration, l’asile et l’intégration”.
Mais à ce montant astronomique, il faut encore ajouter des centaines d’autres millions d’euros affectés à des associations au service des immigrés sous couvert de programmes de sport, de jeunesse, d’accueil, de solidarité, d’égalité des chances, d’insertion ou de vie associative.

Avec vos impôts, le gouvernement offre des subventions à l’association France Terre d’Asile, à l’Association de Service Social et Familial des Migrants, à l’Association d’Aide aux travailleurs migrants de la région Nord, à l’Inter-Service des Migrants, au programme “Immigration et Asile” de la Croix Rouge, etc, etc. Sans oublier les subventions à la Ligue contre le Racisme et l’Antisémitisme (LICRA), à SOS Racisme, à la Maison des Potes, au MRAP et consorts.

Cet argent, répétons-le, c’est celui obtenu grâce aux impôts payés par les Français.

Voulez-vous que cela continue ainsi ? Ne faites rien, versez tranquillement l’intégralité de vos impôts réclamés sur vos revenus de l’année 2017 à ce gouvernement qui se chargera de le redistribuer aux officines de l’anti-France.

Voulez-vous au contraire empêcher que l’intégralité de vos impôts serve à détruire la France ? Profitez des dernières semaines de décembre pour faire à Civitas un don déductible d’impôt. Civitas est le parti qui réclame l’arrêt immédiat de toute immigration extra-européenne, l’organisation d’une rémigration en plusieurs phases et l’arrêt immédiat de toute subvention aux organismes servant la préférence étrangère.

Suivez la procédure ci-dessous pour faire un don à Civitas et obtenir la déductibilité fiscale. Un geste simple au service de la vraie France.

Alain Escada,
président de Civitas

Une manifestation contre l’esclavagisme au cri de « BHL assassin »

Passé tout à fait inaperçu, un rassemblement avait eu lieu l’après-midi du samedi 25 novembre, à l’appel du Comité Révolutionnaire International (CRI), devant l’ambassade d’Italie à Paris, pour dénoncer le rôle de l’Italie dans la chute de Kadhafi, cause du retour de l’esclavagisme en Libye. Les manifestants ont notamment scandé « BHL assassin ».

Les militants du CRI se sont ensuite rendus au pied de la Tour Eiffel pour appeler au retour du régime de la Jamahariya en Libye, seule garantie du retour à la paix en Afrique et au Moyen-Orient et de l’arrêt du terrorisme en Occident, et rempart contre les migrations incontrôlées vers l’Europe-proie.

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Maroc : une opération de police contre un camp de clandestins tourne à l’émeute

La tentative de la police marocaine de disperser un camp illégal de clandestins a déclenché un véritable chaos dans la ville littorale de Casablanca. Jets de projectiles et autres affrontements violents ont blessé plusieurs personnes :

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Le vrai visage de Nadia Daam

Nicolas Faure dresse le portrait de Nadia Daam, journaliste pour Europe 1 et Arte. Elle est connue pour s’être confrontée au forum JeuxVidéo.com, et affiche des thèses immigrationnistes bourrées de contradictions. Dans les faits, elle relève plus de la militante à qui on a confié un micro et un clavier que du journalisme :

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M. Blanquer se couche à son tour devant le Conseil d’État – et le voile islamique

Fort du soutien populaire qu’il recueille par ses options de bon sens en faveur d’un retour à des apprentissages efficaces des fondamentaux, M. Blanquer, après avoir lancé des « unités laïcité » qui ne trompent personne, vient s’aventurer sur le terrain plus concret de l’intrusion des signes islamiques à l’école.


Depuis l’affaire du voile de Creil en 1989, les différents ministres de l’Éducation nationale, derrière des proclamations de fermeté, ont tous cédé à ce prosélytisme qui n’a cessé de s’amplifier. Et la Justice française était là pour permettre aux signes musulmans de pénétrer dans l’enceinte des établissements, avec des arrêts du Conseil d’État, tous plus muslim-friendly les uns que les autres. Tout comme son « étude » de 2013 sur les accompagnateurs de sorties scolaires qui, n’étant pas fonctionnaires, n’étaient pas tenus à l’obligation de neutralité religieuse !
Précisant sa vision du problème dimanche, au « Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI« , M. Blanquer, que l’on aurait pu croire plus combatif que ses prédécesseurs, s’est en fait montré très conciliant, apportant la caution du « en même temps » macronien à toutes leurs démissions irresponsables :
« Mon approche personnelle, c’est que toute personne qui accompagne les élèves est en situation d’être ce qu’on appelle un collaborateur bénévole du service public […] qui doit se conformer à un certain nombre de devoirs. C’est ma position.
– Donc pas de voile pour les accompagnatrices, selon vous ?
– Normalement non. Maintenant, je respecte le droit, bien entendu, et il y a un état de la jurisprudence qui doit être consacrée.
Belle réponse sur laquelle on pourra méditer longtemps. M. Blanquer a inventé en direct le syllogisme de la soumission :
L’intrusion de l’islam est anormale.
Mais le droit l’autorise.
Or, je respecte le droit.
Donc je me couche devant l’entrée de l’islam dans les établissements scolaires.

L’Histoire retiendra que c’est un agrégé de droit public qui l’a formulé ou « consacré », pour reprendre son mot qui en dit si long. Une consécration de la soumission qui a, au moins, le mérite de la clarté : il ne faudra pas compter sur M. Blanquer pour changer ces lois qui « consacrent » le voile islamique à l’école.
Après la longue liste des ministres de l’Éducation nationale depuis M. Jospin en 1989, après le Conseil d’État, M. Blanquer est venu apporter, avec son syllogisme, sa pierre à l’édifice de la démission de l’État devant les exigences islamiques à l’école.

 Frédéric Sirgant

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Ces si chères associations pro-migrants qui claquent la porte de Beauvau…

Pompe funèbre aidant, l’information est passée au second plan : vendredi dernier, les associations en pointe dans l’accueil des migrants (Médecins du monde, CIMADE, Emmaüs, entre autres) ont claqué la porte du ministère de l’Intérieur alors qu’elles étaient conviées à une réunion par Gérard Collomb. Ce dernier voulait leur expliquer comment le gouvernement comptait recenser les migrants dans les centres d’hébergement d’urgence, confiés à la gestion de ces associations, notamment en envoyant des « équipes mobiles ».


Ce recensement, aux yeux des associations, franchirait « trois lignes rouges » : l’accueil inconditionnel, la violation de la loi « Informatique et Libertés » et les éventuelles interventions de la police dans les centres. De son côté, le gouvernement veut savoir qui est hébergé dans ces centres afin de libérer de la place pour les sans-abri et de réorienter ceux qui relèvent d’autres structures, notamment les sans-papiers. Évidemment, les associations craignent que cette démarche s’inscrive dans une logique de retour au pays, pour ceux qui ne peuvent prétendre au droit d’asile, comme Emmanuel Macron l’a annoncé récemment.
Certes, les associations, qui ne veulent sans doute pas se fâcher avec Emmanuel Macron, n’ont pas usé de l’« éthique de la comparaison », pour reprendre les propos récents de la sénatrice EELV Esther Benbassa, qui osait comparer la situation des migrants dans les Alpes-Maritimes à celle des juifs durant la Seconde Guerre mondiale. Mais les mots « tri », « triage », « étiquetage » ont été employés. Car dans ce pays, où l’on vous trie, étiquette à longueur de journée, et pour un rien, du berceau au tombeau – informatique aidant -, un personnage devrait passer sous les radars de contrôle de la République : le migrant. On connaît déjà les zones de non-droit sur le territoire de la République, pour ne pas dire les zones de non-République. Les associations, qui font de l’accueil des migrants leur « fonds de commerce », ont-elle alors la prétention d’ériger leurs centres en zones où la République n’aurait pas son mot à dire ? Louis Gallois (l’ancien PDG d’EADS), président de la Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale, qui a dû se prendre pendant cinq minutes pour Jean Moulin, a déclaré : « On ne donnera pas le numéro de la chambre » et Emmaüs France a tweeté : « L’accueil inconditionnel est non négociable ! »
 Non négociable ? Une question me vient alors à l’esprit : les subventions données par l’État, ainsi que par les collectivités territoriales (régions, départements, communes) à ces associations sont-elles aussi non négociables ? Ainsi, la CIMADE (Comité inter mouvements auprès des évacués) déclare, dans son rapport de gestion pour l’exercice 2016, plus de 3,7 millions d’euros de subventions. Concernant Emmaüs, Contribuables associés nous révèle que cette respectable association a perçu, toujours en 2016, 43 millions d’euros. Quant à Médecins du monde, son rapport financier pour 2016 déclare plus de 43 millions d’euros de subventions publiques. Un montant en augmentation de 4,1 millions d’euros par rapport à 2015, soit une hausse de 10 %, et ce, « en raison du développement de nos missions sociales et notamment des missions Migrants », précise ce rapport financier.
Tout ceci est fort bien. Mais cela ne donne-t-il pas un peu le droit à l’État de regarder concrètement ce que font ces associations avec l’argent public, notre argent ?
Le très patelin M. Collomb devrait rappeler à ces associations, qui se drapent souvent dans le manteau des bons sentiments, que l’État régalien ne se réduit pas à un État qui régale et que leur action relève quelque part d’une délégation de service public. Quand on vit en grande partie sous perfusion de l’argent public, on a au moins la décence de ne pas claquer la porte à celui qui représente la puissance publique.

 Georges Michel

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Jo le Pheno condamné pour son clip anti-flics : « C’est accablant, quand même ! »

 

 
Jo le Phéno : le surnom aurait mieux convenu au défunt Johnny Hallyday qu’à Jois Ndjibu. Lequel n’a ni le talent de « l’idole des jeunes », ni son audace : quand Johnny avait été l’un des pionniers du rock en France, Jo suit sans originalité la mode du rap, qui sévit chez nous depuis une bonne vingtaine d’années.

Son audace à lui se limite à un clip intitulé « Bavure ». Un clip violemment « anti-flics », qu’il avait retiré de la Toile après une première condamnation en 2016 et qu’il a remis sur Facebook en février 2017. Il vient, pour cette récidive, d’écoper de deux amendes de 1.000 euros chacune, jugement qu’il qualifie « d’accablant ».
Le jeune rappeur, aujourd’hui âgé de vingt-trois ans, expliquait alors avoir été ému par « une accumulation de violences policières ». Évoquant des « contrôles de police musclés » auxquels, selon Les Inrockuptibles du 7 avril dernier, il aurait assisté. Sans se demander si ces policiers avaient eu d’autre choix que de montrer les muscles. Citant Lamine Dieng, un « grand » de son quartier mort en 2007 dans un fourgon de police, et, bien sûr, Adama Traoré. De clip dénonçant les innombrables violences commises à l’encontre de policiers ou le double meurtre de Magnanville, point. Le jeune homme a manifestement l’indignation sélective. Comme tant d’autres.
La défense présentée en 2016 par son avocat, Me Saïd Harir, est éloquente : « Jo n’est pas un méchant. C’est juste un jeune qui essaie de percer. » Et aujourd’hui, pour percer, il faut chanter la haine du flic. La chose, certes, n’est pas nouvelle. Brassens, en son temps, criait déjà « Mort aux vaches ! » dans sa fameuse « Hécatombe ».
 Mais il y avait chez le Sétois, tel celui de « L’Épave » , qui donne sa pèlerine au loqueteux transi, des flics sympathiques. Fussent-ils « bien singuliers ». Il y avait aussi, dans l’évocation des « mégères gendarmicides » occupées à « rosser les cognes », une vraie poésie : « La plus grasse de ces femelles,/Ouvrant son corsag’ dilaté,/Matraque à grands coups de mamelles/Ceux qui passent à sa porté’. » Une verve gaillarde, à mille lieues du « J’pisse sur la justice et sur la mère du commissaire » du rappeur, écœurant de vulgarité.
Il y avait, surtout, beaucoup d’humour. La violence des mots pouvait être extrême (« Moi, j’bichais car je les adore/Sous la forme de maccahbé’s »), elle était rachetée par l’invraisemblance comique de la scène. Le tribunal qui a condamné Jo vendredi dernier pointe justement l’absence de « distanciation fictionnelle » du clip. Le jeune rappeur nie que chanter « les condés, c’est des petits cons qui méritent de se faire plomber », « sans hésiter faut les fumer » soit une incitation à la violence, une « provocation non suivie d’effet au crime et [une] injure ». Le pire est qu’il est peut-être sincère. Peut-être s’imagine-t-il aussi qu’on peut tout dire et qu’au fond, rien n’a d’importance. À moins que les drogues qui lui ont valu une mise en garde à vue n’aient altéré ses fonctions cérébrales au point qu’il ne comprenne même plus la signification des trois misérables mots dont il dispose pour s’exprimer.
« Hécatombe » était une espièglerie rabelaisienne de mauvais garçon. La bêtise hargneuse de « Bavure » est le témoin et l’aliment de la haine que voue la racaille à ceux qui tentent de l’empêcher de nuire. Et Jo le reflet d’une jeunesse illettrée qui a perdu, avec le sens des mots, celui des réalités.
Un phénomène, Jo le Pheno ? Plutôt, hélas, le pur produit de son époque, de notre époque.

 Christine Célérier

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Funérailles de Johnny Hallyday : Alain Finkielkraut accusé (encore une fois) d’avoir dérapé

Les funérailles de Johnny ressemblaient à une chanson… d’Aznavour : « Ils sont venus, ils sont tous là… », un million de personnes dans la rue, 15 millions devant leur télévision.

Ils sont venus, ils sont tous là… même les plus improbables : saint Paul, mère Teresa, saint Ignace de Loyola, cités ou chantés par des starlettes, dont à première vue on serait tenté de dire qu’ils ne sont pas le livre de chevet… mais celles-ci y ont mis beaucoup de bonne volonté. 

Ils sont venus, ils sont tous là, même les politiques en costume sombre à mille lieues de la variété yéyé ont voulu se déplacer. Par amitié, ou par intérêt, cela ne nous regarde pas.
Ils sont venus, ils sont tous là, même la laïcité qui n’a pas pu s’empêcher de ramener sa fraise et sa police du goupillon, par la voix de Jean-Luc Mélenchon, éternel schtroumpf Grognon, et ses compagnons, pires redresseurs de tort que Mère-Marie-de-la-Consolation-et-autres-pieuses-rimes-en-tion, dans les années 50, quand elle épiait qui n’avait pas communié ou avait mal fait sa génuflexion : quôa ? Comment ça ! Il s’en est fallu de « deux doigts », comme le rapporte « Le Lab » d’Europe 1, qu’Emmanuel Macron esquisse un signe de croix ! Quant à Valérie Pécresse, enfer et damnation, elle a succombé à la tentation.
Mais eau bénite ou pas, frère Jean-Luc – est-ce le patronage de deux évangélistes qui explique son verbe haut ? – ne décolère pas. La participation du président de la République à « une messe dans l’église de la Madeleine, monument religieux contre-républicain, où la prostituée implore le pardon du Christ » est, en soi, un motif de désolation. On remarquera que, comme dans l’Hémicycle, il dispense au passage une petite leçon de caté. À se demander, parfois, s’il n’est pas cul béni infiltré chez FI.
On ne sait trop ce qu’il aurait préconisé ? Que l’on convainque le défunt, allongé dans sa bière, de choisir un lieu plus laïquement correct, ou que l’on s’asseye sur ses dernières volontés ? 
 Il est vrai qu’il est venu, ils sont tous là, même le hasard – « Dieu qui se promène incognito », selon Einstein -, et il n’a pas manqué d’humour en faisant coïncider cette « grand-messe », comme ils disent, « cette communion populaire », comme l’a décrite Philippe Labro, avec le jour anniversaire de la loi de 1905, que la République a donc fêté entassée dans une église, autour d’un crucifix. Merci, Johnny !
Et, justement, puisqu’on en parle, ils sont venus, ils sont tous là, y compris le petit Jésus sous lequel, dans son cercueil – et dans sa tombe à Saint-Barth -, le chanteur a voulu reposer et auquel il a cédé le pas pour rentrer dans l’église, montrant à ses fidèles, la précision n’étant pas superflue, que s’il y avait un Dieu, ce jour-là, ce n’était pas lui, Johnny.
Il sont venus, ils sont tous là, sauf, d’après, Alain Finkielkraut (RCJ), les « non-souchiens », qui « brillaient par leur absence » : c’est « le petit peuple des petits Blancs [qui] est descendu dans la rue pour dire adieu à Johnny ».
En soi, rien d’étonnant : Jean-Philippe Smet – dit Johnny – n’en était-il pas lui-même ? Et ses premiers fans historiques – ceux qui ont transmis le virus à leurs enfants – ne connaissaient pas, dans les années 60, la diversité. Le jour des obsèques de Charles Aznavour – encore lui -, commettra-t-on un crime si l’on remarque que nombre de ses inconditionnels sont d’origine arménienne ?
Ce n’est qu’un fait. Formulé en termes plutôt péjoratifs. Et auquel, du reste, adhère Laurent Joffrin lui-même : « C’est vrai que les banlieues n’étaient pas là lors de l’hommage à Johnny. »
Mais constater est déjà suspect. Faites donner la cavalerie, sonner les cuivres, lâcher les chiens. La semaine passée a été celle de l’union sacrée autour des défunts, c’est déjà terminé. Ils sont revenus, ils sont tous là. Toujours aussi zinzins.

 Gabrielle Cluzel

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Alain Finkielkraut condamné par le buzz

 

 

Ce qu'il a vraiment dit, ce que "Les Inrocks" en disent

Bastien Gouly


Depuis hier, Alain Finkielkraut est victime d’une bronca médiatique pour une phrase sortie de son contexte. Mise au point.


On appelle ça un buzz. Cette information ou rumeur qui, selon le Larousse, a un « retentissement médiatique, notamment autour de ce qui est perçu comme étant à la pointe de la mode (événement, spectacle, personnalité, etc.) ».

Tout écouter pour mieux juger

Le dernier buzz en date s’attaque donc à un « dérapage », celui du philosophe Alain Finkielkraut. L’une de ses phrases fait désormais le tour de la France, de Belgique, peut-être même d’Europe. Se questionnant sur l’hommage massif rendu à Johnny, le coupable Alain Finkielkraut lâche au micro de RCJ : « Le petit peuple blanc est descendu dans la rue, les non-souchiens brillaient par leur absence ». Tollé général sur Internet.

 Je dois être honnête. Comme beaucoup, je me suis dit – trop – rapidement : « Comment cet intellectuel est-il tombé si bas ? » J’étais même gêné. Effectivement, si jusqu’à présent je concédais volontiers ne pas partager l’ensemble des idées d’Alain Finkielkraut, je défendais en permanence sa parole intellectuelle. Je fais partie de ceux qui regrettent que notre société de divertissement manque cruellement de raisonnement profond et de débat qualitatif.
En tant que journaliste, j’ai tout de même choisi de me faire ma propre idée de cette petite phrase, qui me paraissait tout droit sortie d’un propos du Parti des indigènes de la République (sa porte-parole Houria Bouteldja évoquant les « souchiens »):


J’ai donc écouté son intervention en intégralité.

Les Inrocks dégainent

Après cela, on appréhende mieux la furie des réseaux poussant l’individu à des instincts primaires de réflexe, à commenter sans réfléchir, sans prendre le temps d’écouter un raisonnement entier, ces 11 minutes d’Alain Finkielkraut sur la question de la fragmentation sociétale et culturelle. Pire : des médias, comme Les Inrocks, cautionnent cette déchéance intellectuelle, celle de ne pas prendre un moment pour saisir une parole.
L’écrivain s’est tout bonnement demandé si les funérailles de Johnny Hallyday, qui ont rassemblé plus de 500 000 personnes, ne seraient pas un symbole de fracture entre les jeunes, les vieux, les Français issus de l’immigration, les banlieues, les villes : « le divertissement prend presque toute la place mais il ne fait plus lien […] Il est omniprésent mais il est morcelé […] Il ne remplit plus la fonction sociale que lui reconnaissait Proust […] La France déculturée est une France fragmentée« , a argumenté Alain Finkielkraut face à Elisabeth Lévy sur RCJ.
Ainsi, il tente de se questionner, avec humilité, en laissant la problématique ouverte, sur le pourquoi du comment certaines portions du peuple ont des instincts de rassemblements si différents sur une culture. Elisabeth Lévy lui pose en effet la question : « Comment se fait-il que Johnny, cela ne marche pas dans nos banlieues ? ». Alain Finkielkraut répond que « cela ne marche pas non plus dans les autres pays. Johnny est absolument inexportable, il faut réfléchir, je ne sais pas pourquoi. »

Histoire d’un amalgame

Alain Finkielkraut est souvent assimilé par un milieu politico-médiatique à l’extrême droite, simplement parce qu’il s’interroge sur la question de ce qu’est une identité, une nation. Mais, lui, contrairement à la facilité réflexive, ne se range pas dans « le petit peuple blanc » qui a rendu massivement hommage au phénomène Johnny : « Ce qui me heurte, ce n’est pas l’émotion des fans, même si je n’en suis pas, c’est d’entendre du président de la République dire que Johnny Hallyday est un héros français […] Les élus de la nation disent comme une évidence que nous avons tous en nous quelque chose de Johnny ! Non c’est faux. Nous sommes un certain nombre dans toutes les classes sociales à n’avoir rien en nous de Johnny. »
Alain Finkielkraut ne fait qu’alimenter une réflexion sur la construction d’un phénomène culturel qui a rassemblé des jeunes et moins jeunes mais qui est, également, totalement indifféré ou repoussé par plusieurs pans de la société.

Chasse aux néo-réacs

Une fois n’est pas coutume, je serai ici « bourdieusien » car outré par le « télégénisme » ambiant qui ne supporte pas les pensées complexes. La conséquence ? L’individu doit faire face au matraquage médiatique consistant à simplifier à outrance les arguments philosophiques. D’ailleurs, cette homogénéisation provoque des paradoxes idéologiques : ne voit-on pas régulièrement surgir cette idée qu’Alain Finkielkraut, Michel Onfray, Eric Zemmour, Jean-Claude Michéa, Jacques Sapir, Natacha Polony, Régie Debray et compagnie seraient tous semblables ?
Bien que ces esprits développent des différences idéologiques, certes parfois subtiles, ils sont généralement placés, par le milieu politico-médiatique, dans un seul et même sac, celui des « néo-réacs ». Cela aboutit à un drame, une déchéance intellectuelle. Les raisonnements politico-médiatiques deviennent grossiers et superficiels et tout cela pluvine ensuite sur le citoyen. A la fin, à l’image de cette phrase finkielkrautienne sortie de l’analyse globale, c’est bien le buzz qui gagne et détruit toute la construction d’une pensée.

Europe : plusieurs millions de migrants sont en route

par Soeren Kern.

Traduction du texte original: Europe’s Migrant Crisis: Millions Still to Come

• Plus de six millions de migrants campent, dans différents pays autour de la Méditerranée, en attendant de s’embarquer pour l’Europe indique un rapport confidentiel du gouvernement allemand transmis à Bild.

• « Tous les jeunes ont des téléphones portables ; ils peuvent voir ce qui se passe dans d’autres parties du monde, et cela agit comme un aimant » (Michael Møller, directeur du bureau des Nations Unies à Genève).

• « Les mouvements migratoires les plus importants sont à venir : la population de l’Afrique va doubler dans les prochaines décennies … Le Nigeria [passera] à 400 millions d’habitants. À l’ère numérique, de l’Internet et des téléphones mobiles, tout le monde connaît notre prospérité et notre mode de vie … Huit à dix millions de migrants vont prendre la route » (Gerd Müller, ministre allemand du développement).

Le sommet Union africaine-Union européenne (UA-UE), qui a eu lieu à Abidjan, (Côte d’Ivoire), les 29 et 30 novembre 2017, s’est soldé par un échec retentissant. Cinquante-cinq dirigeants africains et vingt-huit dirigeants européens ont été incapables de se mettre d’accord sur un minimum de mesures capables d’empêcher plusieurs dizaines de millions de migrants africains d’embarquer pour l’Europe.

Malgré de grandes attentes et de grandes déclarations, la seule décision concrète de cette rencontre d’Abidjan a été la promesse d’évacuer 3 800 migrants africains bloqués en Libye.

Plus de six millions de migrants campent dans les pays autour de la Méditerranée, attendant le moment opportun pour gagner l’Europe, indique un rapport confidentiel du gouvernement allemand révélé par Bild. Selon ce rapport, un million de personnes attendent en Libye ; un autre million est positionné en Egypte, 720 000 en Jordanie, 430 000 en Algérie, 160 000 en Tunisie et 50 000 au Maroc. En Turquie, plus de trois millions de migrants sont contenus par le président turc Recep Tayyip Erdogan en raison de l’accord signé avec l’UE.

L’ancien chef de l’ambassade britannique à Benghazi, Joe Walker-Cousins, a prévenu qu’un million de candidats au départ en provenance de différents pays d’Afrique ont déjà pris la route pour la Libye puis l’Europe. Les efforts de l’UE pour former une garde côtière libyenne lui paraissent à la fois « trop peu et trop tard ». « Mes informateurs dans la région me disent qu’au moins un million de migrants, sinon plus, sont dans le pipeline depuis l’Afrique centrale et la Corne de l’Afrique. »

Le président du Parlement européen, Antonio Tajani, a déclaré que l’Europe « sous-estime » l’ampleur et la gravité de la crise migratoire et que « des millions d’Africains » inonderont le continent dans les prochaines années si des mesures urgentes ne sont pas prises.

Dans une interview à Il Messagero, Tajani a déclaré qu’un exode « de proportions bibliques impossible d’arrêter » se produira si l’Europe ne parvient pas à résoudre le problème maintenant :

« Croissance démographique, changement climatique, désertification, guerres, famine en Somalie et au Soudan : tels sont les facteurs qui forcent au départ.

« Quand les gens ont perdu espoir, ils prennent le risque de traverser le Sahara et la Méditerranée parce que les dangers qu’il encourent en restant sont pires. Si nous n’affrontons pas ce problème, nous allons nous retrouver avec plusieurs millions de personnes à notre porte d’ici cinq ans.

« Aujourd’hui, nous essayons de résoudre le problème posé par quelques milliers de personnes, mais une stratégie sera nécessaire pour gérer plusieurs millions de personnes. »

Quelques jours avant le sommet UA-UE, Tajani a appelé à un « plan Marshall pour l’Afrique » – un plan d’investissement à long terme de 40 milliards d’euros pour stimuler l’éducation et l’emploi sur le continent afin de dissuader les gens de partir. Il a mis en garde contre la croissance démographique en Afrique qui représente une « bombe » qui poussera des millions d’Africains vers l’Europe. « Sans stratégie, nous aurons le terrorisme, l’immigration clandestine, l’instabilité », a-t-il déclaré.

[…]

Michael Møller, directeur du bureau des Nations Unies à Genève, pense que l’Europe doit se préparer à l’arrivée de millions de migrants en provenance d’Afrique, d’Asie et du Moyen-Orient. Dans une interview à The Times, Møller, un Danois, a déclaré : « Nous avons assisté à l’une des plus grandes migrations humaines de l’histoire et le phénomène n’en est qu’à ses débuts. Les jeunes ont tous des téléphones portables et ils peuvent voir ce qui se passe dans d’autres parties du monde, et cela agit comme un aimant. »

Le ministre allemand du développement, Gerd Müller, a fait écho à cet avertissement : « Des mouvements migratoires plus importants encore nous attendent : la population de l’Afrique va doubler au cours des prochaines décennies ; l’Egypte atteindra 100 millions d’habitants, et la population du Nigeria croitra jusqu’à 400 millions de personnes. A l’ère numérique avec Internet et les téléphones mobiles, tout le monde connaît notre prospérité et notre style de vie. »

Müller a ajouté que seulement 10% des personnes qui ont pris la route sont arrivées en Europe : « Huit à dix millions d’autres migrants sont en chemin. »

Dans le Financial Times, Gideon Rachman a posé les termes de la difficile équation européenne : « […] même les Européens qui plaident en faveur de l’immigration ont tendance à soutenir que, bien entendu, les nouveaux venus devront se plier aux « valeurs européennes ». Ce qui est quelque peu irréaliste … La majorité des immigrants du Moyen-Orient et d’Afrique apporteront avec eux des attitudes culturelles conservatrices et sexistes. Et quelques cours d’éducation civique ne corrigeront le problème qu’à la marge …

Il n’est pas exclu que les nations insulaires de l’océan Pacifique, comme le Japon ou l’Australie, réussissent à contrôler l’immigration. Mais la tâche sera impossible à l’UE qui fait partie d’une masse continentale eurasienne et n’est séparée de l’Afrique que par l’étroite étendue de la Méditerranée. »

article paru sur le site LesObservateurs.ch.

(article complet : Gatestone Institute).

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À quand un Mohammed Labête à l’affiche ?

Le film connaîtra un grand succès populaire, dû en grande partie à l’excellence des comédiens, mais plus encore à l’intelligentsia de gauche qui le porta aux nues. Plus de 40 ans après, ce film se regarde surtout comme un documentaire d’époque intéressant (les immigrés y sont tous travailleurs et célibataires, le regroupement familial institué par le funeste gouvernement Giscard-Chirac date de 1976)…

Au-delà de la récupération politique, nul ne contestera que le racisme existait à cette époque-là, qu’il serait stupide de crier haro sur un tel scénario, malgré ses outrances certaines… Toutefois, serait-il aujourd’hui imaginable de produire un film dénonçant viol, lâcheté, bêtise et racisme, mais à l’intérieur de la communauté immigrée ? Après Dupont Lajoie en 1975, pourquoi pas un Mohammed Labête en 2017 ?

Les besoins amoureux des pseudo-réfugiés syriens dont eurent à pâtir plus de 600 Allemandes violées lors du réveillon de l’année dernière à Cologne pourraient être le point de départ d’un tel scénario…

Rappelons toutefois que le film Pierre et Djemilla de Gérard Blain et Michel Marmin en 1987 fut immédiatement étiqueté raciste, parce que justement il y dénonçait, de façon bien moins partisane et caricaturale, les préjugés raciaux et l’extrémisme religieux de toutes les communautés ! On ne le leur pardonnèrent pas !

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Conférence « Église et immigration » le mercredi 13 décembre - livre

A l’invitation de l’association « Amitiés Françaises », le journaliste Laurent Dandrieu sera à Bordeaux le mercredi 13 décembre (20h30 à l’Athénée municipal) afin de donner une conférence sur le thème : « Eglise et Immigration ».

Dans son dernier ouvrage (*), « Église et immigration : le grand malaise », le journaliste de Valeurs Actuelles revient sur l’histoire de l’Église catholique vis-à-vis de l’immigration. Auparavant rempart à l’avancée musulmane, l’Église a aujourd’hui changé de politique. Pour l’auteur, ce revirement est un danger.

Pour Laurent Dandrieu, « la position de l’Église sur les questions migratoires est véritablement une position politique, qui mérite d’être discutée comme telle. Et parce qu’il ne doit pas, il ne peut pas y avoir de fatalité à ce que le catholicisme, qui prétend nous inviter sur les chemins de la vérité, nous conduise sur les voies du désastre ».

Écartelés entre leur fidélité à l’Église et le légitime souci de protéger leur identité et leur civilisation, beaucoup de catholiques ressentent un malaise croissant. Plus largement, les populations européennes sont de plus en plus heurtées par un christianisme qui semble leur dénier le droit à la survie. Cette incompréhension est-elle une fatalité ? L’Église est-elle condamnée à être prisonnière de la « culture de la rencontre » tant vantée par le pape ? Existe-t-il une autre voie, qui permette de réconcilier les impératifs de la charité authentique et la défense de la civilisation européenne ? C’est à ces questions que répondra l’auteur dans quelques jours à Bordeaux.

Ouvrage disponible sur le site Livres en Famille : https://www.livresenfamille.fr/p13138-laurent_dandrieu_eg...

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La Cellule Municipale d’Echanges sur la Radicalisation de Miramas

Miramas 06 décembre 2017 (prouvenço-info.com)

C’est une première dans le département des Bouches-du-Rhône et sûrement pas la dernière avec l’installation par le préfet d’une CMER; lisez: cellule municipale d’échanges sur la radicalisation. Un mot « savant » pour la mise en place d’un énième « machin », fait pour rassurer les citoyens et qui en réalité ne sert pas à grand chose, si ce n’est à masquer l’incompétence ou la complicité de nos dirigeants.

La mise en place des CMER est le fruit d’une volonté politique pour laquelle les élus municipaux et les agents de terrain, en contact avec la population, ont pour mission de participer à la lutte contre le terrorisme et de signaler les individus radicalisés. Olivier de Mazières, le préfet de police précise que « l’intérêt des cellules est de prendre les signes de radicalisation au début, quand on peut les traiter non pas forcément sous l’angle policier, mais aussi sous l’angle social ».

Pour ce faire, il faudra former ces agents de terrain pour la détection au plus tôt et au plus vite des premiers signes de radicalisation d’un individu. Des experts accompagneront la mise en place de cette cellule. Celle-ci se réunira très régulièrement pour évoquer les nouveaux cas de radicalisation. Les informations ainsi récupérées seront transmises aux renseignements territoriaux et aux services de l’état.

Il semblerait que dans notre département il y ait a minima 650 personnes concernées et suivies pour radicalisation, le plus souvent de jeunes adultes ou des mineurs issus de familles monoparentales;  mais plus vraisemblablement le double selon une source bien informée.

Alors pourquoi Miramas? Et bien tout simplement parce que cette commune est en proportion le reflet d’une présence islamiste que l’on retrouve partout dans notre département. Un laboratoire en quelque sorte, mais significatif d’une réalité bien souvent édulcorée voire masquée par les medias « mainstream ».

Le maire de Miramas, Frédéric Vigouroux, toujours très politiquement correct, préfère parler d’échange d’informations et de prévention; le préfet quant à lui se devant d’assurer le lien entre prévention et répression. A contrario l’on peut légitimement penser que devant l’incapacité des forces de police à maitriser ces informations, travail qui incombait auparavant aux fameux RG, c’est à la population des élus et agents municipaux qu’incombe désormais cette nouvelle mission. Est-ce un transfert de compétences? Je n’en suis pas convaincu.

Nous suivrons l’avenir et le résultat des CMER avec grand intérêt.

 Marius BOUFFARTIGUES

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Lyon, triste exemple de l’insécurité dans nos villes

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En France comme en Europe, les villes et particulièrement les métropoles sont le théâtre de violences de plus en plus fréquentes.

À Lyon comme ailleurs, nous avons pu en faire le douloureux constat. L’agression ayant fait le plus parler d’elle dans la deuxième région de France est probablement celle du jeune Marin, sauvagement assailli par plusieurs individus à coup de béquilles dans un bus tandis qu’il défendait un couple pris à parti parce qu’il s’embrassait en public. Néanmoins, l’attaque de Marin ne fut pas exclusive dans la ville de Lyon. En effet, de multiples incidents ont pu être dénombrés. Beaucoup moins médiatisés, ces incidents sont ceux que vivent les Lyonnais au quotidien : violences verbales, physiques, crachats… certains, exaspérés, décident d’en parler expressément. D’autres, bien moins promptes à prendre conscience de la réalité, préfèrent évoquer des événements « isolés », n’étant donc pas la cause du surplus migratoire que connait l’Europe depuis les trente années passées.

La dernière affaire en date dans les médias lyonnais, est celle du 16 novembre, où une conductrice de transport en commun a été violemment agressée à Bron, en périphérie lyonnaise. Celle-ci a été frappée et s’est fait tirer les cheveux par des passagères avant qu’un homme intervienne pour mettre fin aux brutalités. À peine quelques semaines précédemment, à Vénissieux, un chauffeur avait été roué de coups devant les voyageurs, après que trois individus aient brisé la fenêtre du véhicule. À Villeurbanne, cet été, une adolescente giflait un conducteur pour avoir attendu. Le mercredi 15 novembre, les chauffeurs se sont réunis à Villeurbanne pour protester contre les violences.

Quelques jours plus tôt, début novembre, un groupe de jeunes gens était brutalement attaqué sur le parvis de la cathédrale Saint-Jean au Vieux-Lyon. Aux abords de 2h du matin, deux individus, ne connaissant vraisemblablement pas les jeunes en question, se sont rués sur eux et les ont battus, sans aucune raison. Une fille a été frappée au visage, jetée au sol et rouée de coups. L’équipe a déposé plainte contre les agresseurs, mais ceux-ci n’ont pas été retrouvés par la police. Chose étrange, notamment compte tenu du nombre de caméras de vidéosurveillance qui équipent les lieux.

Agression beaucoup plus grave, le 29 octobre dernier, où un jeune homme est poignardé de trois coups de couteaux dans le 1er arrondissement de Lyon. Celui-ci avait pris la défense d’une fille d’environ 17 ans qui se faisait importuner dans la rue par deux individus à 1h30 du matin. La victime sera admise aux urgences dans un état préoccupant. Au début du mois de juin, dans le 7ème secteur de Lyon, c’est un homme de 30 ans, qui, à 2h30 est violemment poignardé pour avoir refusé de donner une cigarette ! Le blessé, retrouvé dans une mare de sang, le bras gravement endommagé, est hospitalisé avec un pronostic vital engagé. Le 25 juillet dernier, à Villeurbanne, un piéton muni d’un couteau et d’un Coran se jetait sur des policiers aux cris de « Allah Akbar ».

Le samedi 18 novembre au soir, ce sont des pompiers qui étaient pris à parti dans le quartier des Buers à Villeurbanne : ils ont été caillassés pendant une intervention. À peine trois semaines plus tôt, dans la nuit d’Halloween, du 24 au 25 octobre, d’autres secouristes étaient visés par des jets de pierre et de cocktails Molotov à Feysin. Le lundi 6 novembre, ce ne sont pas moins de 300 pompiers qui s’étaient mobilisés à Lyon pour protester contre les agressions récurrentes qu’ils subissent au quotidien.

Le 19 septembre, dans l’Hérault, c’est une femme de 72 ans, accompagnée de sa mère, qui est agressée chez elles lors d’un cambriolage. Josette, la septuagénaire, aura le visage littéralement fracturé par coups qui lui ont été portés. Odile, âgée de 90 ans, ne supportera pas de voir sa fille violentée, les os brisés, et hurlant de douleur ; elle décédera d’une crise cardiaque. Mourad Chaloukh, Hedi Bennamar, Radouane Quabbari, auteurs de cette sauvagerie ont de 25 à 33 ans. Tous trois seront écroués.

Selon nos confrères de Breizh-Info, en Allemagne, au cours du premier semestre de 2017, ce sont 685 cas de viols qui ont été signalés. Pour la même période en 2016, c’est une progression de 48% qui est déplorée. Le nombre d’agressions sexuelles impliquant des clandestins aurait augmenté de 91%. L’immigration massive sur le continent européen est donc bel et bien l’une des causes indubitables de l’accroissement fulgurant des violences, en France comme en Europe, et la ville de Lyon, directement touchée, en est clairement l’exemple.

 Armand Desargues

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La bataille de Poitiers n’est pas un mythe ! (2)

Charles Martel était maire du palais, duc d’Austrasie, et gouvernait l’État franc au nom de Thierry IV, roi mérovingien. C’était le fils de Pépin d’Héristal. Cette famille avait rendu à la Gaule et spécialement à l’Austrasie, depuis un siècle et demi, de grands services.

La lutte commença à Tours, se continua pendant toute une semaine par une série d’engagements et se termina enfin dans la grande plaine de Moussay-la-Bataille par une rencontre générale et décisive. Le premier choc eut lieu près de Tours, au lieu-dit Saint-Martin-le-Bel, suivant une tradition locale.

En apprenant l’arrivée du duc d’Austrasie et de son armée, Abdérame inquiet quitta Tours et s’avança à la rencontre des Francs. Les premiers combats furent favorables à l’armée chrétienne. Les Sarrasins reculèrent. Pendant sept jours, on se battit sans arriver à un choc général ; mais les guerriers francs s’habituaient peu à peu à la tactique arabe.

Le samedi 17 octobre, les deux armées, chrétienne et sarrasine, sortirent de leurs retranchements et se disposèrent pour la bataille. L’heure décisive avait sonné.
Les Sarrasins engagèrent l’action par une charge de toute leur cavalerie. Abdérame espérait sans doute enlever la victoire du premier coup ; c’est ainsi qu’il avait triomphé dans maintes batailles. Mais il fut trompé dans son attente. Charles avait prévu cette attaque furieuse et prévenu ses troupes. En un clin d’œil, ajoute le chroniqueur, les hommes du Nord groupèrent leurs masses compactes, immobiles comme un mur, ou plutôt comme un rempart de glace qui n’offrirait aucun interstice. Les Arabes essayèrent vainement de les rompre ; ils tombaient impitoyablement sous le fer des épées et des lances. Les guerriers d’Austrasie avaient sur l’ennemi l’avantage d’une taille plus élevée et d’une solide armure. Leur main de fer frappait en pleine poitrine .

Sachant que l’armée musulmane était gorgée de butin et que son camp était plein de richesses, Charles avait confié à Eudes d’Aquitaine le commandement de toute la cavalerie et l’avait chargé de tourner l’ennemi et d’attaquer le camp à une certaine heure de la journée.

La cavalerie arabe parvint à dégager le camp et à repousser l’attaque du duc d’Aquitaine ; mais le but de Charles fut atteint car, pendant ce temps, profitant du tumulte, l’armée d’Austrasie s’était jetée à son tour sur les troupes restées près d’Abdérame et les avait refoulées. Alors se produisit un fait qui décida du sort de la journée.

 Abdérame, probablement inquiet de la tournure que prenaient les événements, rallia tout ce qui lui restait de cavaliers, se mit à leur tête et s’élança sur les troupes franques pour arrêter leur marche. Mais rien ne pouvait rompre ce « rempart de glace » dont les écrivains arabes parlent tous avec tant de douleur et d’admiration. Les Sarrasins se brisèrent sur les soldats chrétiens et leur chef, Abdérame, tomba, frappé mortellement par un coup de lance.

La mort de l’émir et l’absence de commandement jeta le plus grand trouble dans l’armée musulmane, et à partir de ce moment les guerriers francs firent un massacre effroyable des ennemis du Christ : dans cette mêlée confuse, dit avec raison M. Guizot, « la haute stature et les fortes armes des Francs avaient l’avantage ».

Mais Charles, toujours prudent, maintenait l’ardeur de ses soldats. Quand la nuit vint, il donna l’ordre de cesser le combat. Sans se débander, les Francs élevèrent la pointe de leurs épées et de leurs lances comme pour défier l’ennemi, et couchèrent sur le champ de bataille.

Le lendemain, la plaine était vide et le camp abandonné ; les Sarrasins avaient profité de la nuit pour s’enfuir dans le plus grand silence. La bataille gigantesque était gagnée, et Charles, le glorieux vainqueur, le sauveur de la Gaule et de la chrétienté, fut acclamé par son armée et salué du nom de Tuditis, marteau de forgeron, parce qu’il avait comme écrasé sur l’enclume les bandes innombrables de l’émir.

Extraits de : Ferdinand Hervé-Bazin, Les Grandes Journées de la chrétienté, réédition Edilys 2015.
Ferdinand Hervé-Bazin (1847-1889) fut avocat, professeur d’économie politique à l’Université catholique d’Angers. En écrivant ce livre après le désastre de 1870, il voulait montrer ces triomphes éclatants de l’Église, qui furent aussi des triomphes pour la civilisation, et qui s’appelèrent les journées du pont Milvius, de Tolbiac, de Poitiers, de Pavie, de Jérusalem, de Las Navas, de Grenade, de Lépante, de Vienne, de Peterwardein. Il pensait que de tels spectacles étaient de nature à faire aimer l’Église et aussi à relever les courages abattus.

Ferdinand Hervé-Bazin

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« Le FLN essaye de se maintenir au pouvoir en distillant la haine de la France »

Emmanuel Macron a effectué, mercredi dernier, son premier voyage en Algérie en tant que président de la République française. Que faut-il retenir de cette visite ? C’est la question que Boulevard Voltaire a posée à l’historien Dimitri Casali.

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Contrats avec Daech : le Franco-Suisse LafargeHolcim dénoncé par un cabinet américain

À chaque guerre son inévitable part d’ombre ; voilà qui vaut également pour la Syrie. D’où la convocation, devant les juges, d’éminentes personnalités du monde des affaires, longtemps à la tête du cimentier franco-suisse LafargeHolcim : Bruno Lafont, PDG de Lafarge de 2007 à 2015, et Christian Herrault, ex-directeur général adjoint, qui ont été mis en examen vendredi soir pour « financement d’une entreprise terroriste » et « mise en danger de la vie d’autrui » et placés sous contrôle judiciaire. Jeudi, c’était Eric Olsen, directeur général du groupe après la fusion de Lafarge avec Holcim en 2015, qui avait été mis en examen pour les mêmes chefs.

Ce qui leur est reproché ? Avoir contribué à financer indirectement l’État islamique. En effet, de juillet 2012 à septembre 2014, Lafarge Cement Syria, filiale syrienne de l’entreprise, aurait versé 5,6 milliards d’euros à diverses factions armées, dont 500.000 euros à Daech. La direction était-elle au courant ? Le contraire serait étonnant, ce type de contrats ne pouvant se traiter sans l’aval de la hiérarchie. Ils ne pouvaient d’ailleurs pas être conclus sans que le gouvernement français soit, lui aussi, tenu au courant. Ce qu’a confirmé Christian Herrault aux enquêteurs du SNDJ, le Service national de douane judiciaire : « Le Quai d’Orsay nous dit qu’il faut tenir, que ça va se régler. »

Ainsi, faudrait-il être bien naïf pour imaginer que le business puisse cesser en temps de guerre, surtout dans la cimenterie, secteur incontournable une fois le conflit terminé et qu’il s’agit de réparer les dégâts qu’on imagine. Durant les deux guerres du Golfe, les homologues américains de LafargeHolcim n’étaient-ils pas les premiers à se disputer les contrats de reconstruction ? Toujours à propos de naïveté, on peut encore se poser la question de savoir pourquoi cette société charge un cabinet américain, Baker McKenzie, de faire la lumière sur la question. Comme si cette officine n’était pas, elle aussi, en liaison directe avec la Maison-Blanche, tel que LafargeHolcim l’était avec l’Élysée…

Un journaliste très en pointe dans les affaires syriennes nous dit, sous couvert de relatif anonymat, car il se reconnaîtra : « Ce ciment était utilisé par les djihadistes pour construire des fortifications. On est alors passé à une guerre de position, non pas avec des tranchées, mais avec des bunkers souterrains. […] La quantité de ciment produite par Lafarge dans son usine de Jalabiyeh et remise aux djihadistes est équivalente à celle utilisée par le Reich allemand pour construire la ligne Siegfried. Ce sont ces bunkers que l’armée de l’air russe est venue détruire avec des bombes pénétrantes. »

 

Il est un fait qu’à l’époque, en 2013, personne n’aurait misé un euro sur la survie du régime syrien. Les Russes et les Iraniens ne sont pas encore entrés dans le conflit et Daech n’est encore qu’une des innombrables factions en présence. Et le même de rappeler : « Laurent Fabius et le général Benoît Puga [chef d’état-major particulier du président de la République, NDLR] pensaient que la France et ses alliés renverseraient la République arabe syrienne et placeraient au pouvoir le général Manaf Tlass. »

Ce dernier, fils du puissant ministre de la Défense syrien, Moustapha Tlass, demeuré fidèle à Bachar el-Assad, est alors réfugié à Paris, où il est effectivement considéré comme le prochain homme fort de Damas. Quant à son frère, Firas, il n’est autre que l’administrateur de la même usine de Jalabiyeh.

Mais rien ne se passe comme prévu. L’État islamique n’est plus et Bachar el-Assad est toujours là. Quant à l’Armée syrienne libre, celle qui aurait pu appuyer Manaf Tlass, elle n’existe guère que sur le papier. Il convient donc de tout démonter, de faire le ménage et de faire payer quelques responsables : pourquoi pas ceux du cimentier franco-suisse ? Maintenant, il serait peut-être intéressant qu’un cabinet français diligente une semblable enquête sur les concurrents américains de LafargeHolcim. L’espoir fait vivre, dit-on.

 Nicolas Gauthier
 
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