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jeudi, 21 octobre 2010

Jean Alcader : le vrai visage de l'islam...

Jean Alcader, participera jeudi 11 novembre à la 4ème Journée nationale et identitaire organisée au Forum de Grenelle (5, rue de la Croix-Nivert Paris XVème - métro Cambronne) par Synthèse nationale.

vendredi, 15 octobre 2010

A FORBACH (57) : Armand Weber, le délégué local de la NDP, publie une lettre ouverte au maire au sujet de la construction d'une mosquée...Titre de la note

mosquee6.JPGSuite à l'annonce de la construction d'une mosquée à Forbach, le délégué local de la Nouvelle Droite Populaire, Armand Weber, a adressé la lettre ouverte suivante au maire de cette ville mosellane, Laurent Kalinowski.

Monsieur le Maire.

Les pouvoirs publics apportent désormais 30 % des fonds nécessaires à l’édification des lieux de culte musulmans, en contravention avec la loi ou en la détournant.

Partout, des mosquées sortent de terre. Quelques 150 projets sont lancés. Les mairies utilisent de surcroît les activités culturelles de la mosquée, parfois un simple salon de thé, pour verser des subventions.

Le CFCM souhaite passer de 2 000 mosquées à 4 800.

Pourtant.

Savez-vous que l'islam n’est pas seulement une religion, mais qu’il préconise un ordre social basé sur la sharia (loi islamique résultant du Coran et des hadith) et la prééminence de l’ouma (la communauté des musulmans), ce qui est totalement antinomique avec les valeurs et les normes propres à notre société européenne ?

Savez-vous que les mosquées fonctionnent comme catalyseurs de l’islamisation des quartiers urbains, qu’elles insistent, de toute leur autorité au sein de la communauté musulmane, sur l’exigence d’une pratique stricte de l'islam, ce qui contribue à freiner l'intégration de ces minorités musulmanes ?

Savez-vous que certains musulmans placent les lois divines islamiques au dessus des lois civiles ? Qu'il existe en outre, parmi les populations musulmanes, une tendance à la radicalisation qui se manifeste par une animosité croissante à l’encontre de notre civilisation occidentale et des valeurs qui la fondent  ?

Savez-vous que 85% des Français sont contre le financement public des mosquées ?

Savez-vous que l’Europe est une terre de cathédrales et de beffrois et non de mosquées et de minarets ?

Avec tout le respect dû à votre fonction et dans le respect des lois de la République.

Armand Weber Délégué de la Nouvelle Droite Populaire à Forbach (cliquez ici)

mardi, 12 octobre 2010

Le sacrilège est-il passible d'une condamnation dans la République ?

1330595612.jpgPar Coclès

La Droite strasbourgeoise

La vidéo de cet internaute de Bischheim qui brûle un exemplaire du Coran avant d'uriner sur les flammes a provoqué un tollé parmi les musulmans alsaciens. Elle est toujours visible sur le Net.  Le délégué général de la mosquée de Strasbourg a annoncé son intention de porter plainte pour incitation à la haine raciale. Le parquet a suivi. Le prévenu, provocateur assurément, risque 3 années de prison.

Dans l'atmosphère qui prévaut ces temps-ci en Alsace où le vandalisme funéraire alterne avec les agressions visant des juifs ou des musulmans, on se plaît à mettre dans le même sac délits racistes et sacrilèges.

Une loi concordataire prévoit, c'est vrai, trois ans de prison pour de tels faits. Mais d'une part, elle est tombée en désuétude depuis des lustres et, d'autre part, on ne sache pas que malgré les efforts constants que font certains pour inclure l'islam dans le concordat, il soit au nombre des quatre confessions protégées par lui. Si par malheur il y était inclus on voit par avance l'usage qu'il ferait de ce privilège.

La qualification "raciste" d'un tel acte témoigne de la confusion des esprits. Sauf le respect que l'on ne doit pas aux névrosés obsessionnels  qui voient le racisme s'infiltrer partout, on ne savait pas que l'islam, religion universaliste, témoignait de l'appartenance de ses membres à une "race" particulière (qui par ailleurs n'existe pas comme nous le répète une rumeur insistante).

S'en prendre à des musulmans, des juifs, des chrétiens et des athées ou profaner leurs tombes, cela peut effectivement relever du racisme, mais s'en prendre au Coran, à la Torah ou aux Évangiles ne relève en rien d'un quelconque racisme et ne saurait tomber sous le coup de la loi.

Critiquer un groupe ethnique, essentialisé pour ce faire, à raison de son apparence, de ses origines, de ses moeurs ou de ses croyances, ce n'est pas la même chose que de soumettre une religion à l'examen critique, voire de ridiculiser ses croyances, et les catholiques en savent quelque chose, eux qui sont pris pour cible chaque jour que Dieu fait par tout les faux rebelles (qui ne s'en prennent qu'à ce qui est déjà à terre).

En disant cela nous ne prenons pas le parti de l'internaute Bischheimois dont nous trouvons le geste d'autant plus déplacé qu'il le met au niveau d'un vulgaire taliban ou de ce pasteur américain cinglé qui défrayait la chronique il y a une dizaine de jours (on se demande bien pourquoi d'ailleurs). Nous ne faisons que nous interroger, car enfin admettre le caractère sacré du Coran, c'est admettre celui de la Bible, de la Torah, puis pour faire bon mesure, afin de ne pas exclure ce qui serait discriminer, du Bhagavad Gita, du Livre des Morts, et pourquoi pas de l'Iliade, du Capital, ou du Da Vinci Code...

"La liberté de croire ne saurait arrêter celle de se moquer." (Elisabeth Lévy). La République, tant qu'elle est laïque, n'a pas à se soucier du caractère sacré ou non d'un livre. Pour elle, ils se valent tous et c'est à chacun, en son for intérieur ou publiquement, d'en évaluer la pertinence. Si il fallait conserver une seule chose dans l'héritage des Lumières ce serait bien cette conquête qui est à l'origine de nombreuses libertés concrètes.

Les musulmans se disent outragés par le geste de ce jeune homme comme ils le furent par les caricatures de Mahomet. Mais son autodafé ne relevant ni de la haine, ni du racisme, c'est au nom d'un blasphème qui ne dit pas son nom qu'on l'inculpe. Un délit qui n'existe pas dans notre République, et c'est heureux.

En France les religieux de tout acabit ont fini par se faire une raison et les musulmans qui rechignent, c'est le moins qu'on puisse dire, à cette acceptation témoignent certes de leur fidélité à leurs moeurs mais non de l'esprit républicain de tolérance auquel ils se disent soit disant attachés. Il serait grave qu'à force d'extensions démesurées du concept de racisme on en vienne à accepter d'inclure dans sa définition des actes et des pensées qui ne tombent que sous le coup du mauvais goût, de la provocation et de la stupidité.

La République s'apprête-elle à des "accommodements raisonnables" pour faire leur place à des concessions dont personne ne sait où elles s'arrêteraient ? On sait trop bien que sur ses terres historiques l'islam punit de mort ceux qui prennent des libertés avec le Coran et son prophète et ce n'est pas demain la veille que l'on y reconnaîtra le droit au blasphème.

Si l'islam en France veut devenir l'islam de France, il faudra bien qu'il s'y fasse. Dans cette affaire le profanateur déclare : "On est en France et on peut brûler un livre de Winnie l'ourson comme le Coran" et l'autorité musulmane de rétorquer : "Si on ne réagit pas on autorise les gens à brûler un livre saint." Un véritable dialogue de sourd qui témoigne d'un décalage de civilisation.

La France pourrait être une chance pour l'islam. Une opportunité pour qu'il s'adapte à la société moderne dans ce qu'elle a de moins contestable.

Après l'affaire du chevalier François-Jean Lefebvre de La Barre, exécuté pour avoir mutilé une statue du Christ, il a fallu aux catholiques 150 ans pour s'adapter aux conditions de la modernité, et ceci aux prix de rudes combats. L'islam débarque dans un monde constitué qui semble douter de ses valeurs, où tout combat pour la laïcité apparaît comme une exclusion et un racisme. Bien sûr,  aucun croyant n'aime voir son credo ridiculisé ou ce qu'il tient pour sacré, profané. C'est pourtant le prix à payer pour recevoir le baptême républicain. Les juifs, les protestants, les catholiques sont d'accord là dessus. L'islam devrait-il faire exception ?

 

PS : on lire avec profit l'excellent article paru dans Causeur sur ce sujet brûlant.

mardi, 05 octobre 2010

Contre l'édification d'une mosquée à Boulogne-Billancourt, la campagne de la NDP redémare...Titre de la note

Boulogne.jpg 

Depuis la fin du mois de juin (cliquez ici), la Nouvelle Droite Populaire des Hauts-de-Seine mène une campagne militante active contre la construction d'une mosquée à Boulogne-Billancourt. Des milliers de tracts ont été distribués dans toute la ville et de nombreuses signatures nous sont parvenues.

Aujourd'hui, la NDP vient d'éditer un autocollant qui sera prochaînement aposé partout dans la ville afin de sensibiliser les habitants de Boulogne sur ce nouveau symbole de l'occupation de notre pays qui est en train d'être construit dans leur ville. Cette campagne se matérialisera aussi par l'édition d'un nouveau tract.

Si vous souhaitez aider les militants de la NDP des Hauts-de-Seine, écrivez à : ndp-92@orange.fr