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samedi, 22 décembre 2012

Revue de presse : Synthèse nationale part en campagne contre SOS racisme…

P1030007.JPGUn entretien avec Roland Hélie, directeur de la revue nationale et identitaire Synthèse nationale, publié dans l'hebdomadaire Rivarol de cette semaine (cliquez là).

Vous venez de lancer une campagne militante pour la dissolution de SOS racisme. Pourquoi ?

Comme nous l’avons annoncé lors de la 6e journée de Synthèse nationale qui s’est déroulée à Paris le 11 novembre dernier, notre revue, au-delà de sa vocation purement éditoriale, entend désormais prendre des initiatives militantes afin de dénoncer les impostures qui gangrènent notre pays. Or, au premier rang de ces impostures, nous trouvons toutes les officines prétendument antiracistes. Depuis des années ces officines, grassement entretenues à coup de subventions publiques, polluent, à coup de diktats idéologiques pour les plus dociles et de procédures judiciaires pour les plus récalcitrants, le débat politique sur l’immigration. Elles servent les intérêts du mondialisme et portent une lourde part de responsabilité dans le processus de dilution de notre identité et, quelque part, elles favorisent aussi l’islamisation rampante de la France. Voilà pourquoi nous avons décidé de lancer cette campagne nationale pour la dissolution de la plus voyante d’entre elles, à savoir SOS racisme.

Mais SOS racisme n’est pas la seule officine de ce type. Pourquoi avoir concentré vos tirs sur elle ?

Certes elle n’est pas, loin s’en faut, la seule. Toutes ces organisations mériteraient effectivement que l’on s’intéresse plus à leurs agissements. Néanmoins SOS racisme est sans doute, par son histoire et ses combines douteuses, la plus emblématique.

Rappelez-vous dans quelles conditions elle fut créée. Au milieu des années 80, Mitterrand alors Président et en chute libre dans les sondages eut l’idée de favoriser le lancement de ce mouvement afin de rameuter dans le giron de la gauche une partie de la jeunesse qui semblait lui échapper. En jouant sur la crédulité et les bons sentiments SOS racisme, dont l’organisation avait été confiée à un groupe de militants trotskistes issus de la Ligue communiste révolutionnaire et rassemblé autour de Julien Dray (qui légitimait ainsi son admission au PS), s’imposa très vite comme une véritable machine de guerre contre « la droite » en général et contre le Front national en particulier. En dénonçant régulièrement, comme c’était le cas lors de gigantesques concerts sur la place de La Concorde, toutes velléités d’entente entre « la droite » et le FN, SOS racisme offrait à Mitterrand et aux siens la tranquillité de rester à l’Elysée pour longtemps. Il faut dire que la pusillanimité indécrottable de « la droite » servis largement aussi les intérêts de Julien Dray et de sa clique.

Depuis, à vrai dire, rien a changé… Les acteurs ne sont bien sûr plus tout à fait les mêmes mais SOS racisme joue toujours le même rôle néfaste. Voilà pourquoi nous avons décidé de le dénoncer.

Vous dites que SOS racisme sert les intérêts du mondialisme. Pouvez-vous nous expliquer pourquoi ?

sos racisme 2.jpgNous pensons que le monde n’est plus dirigé aujourd’hui par les gouvernements des Etats mais par les Conseils d’administration des banques apatrides. Ceux-ci ont réussi à se substituer aux pouvoirs politiques locaux afin d’imposer leur volonté de transformer la planète en un vaste marché mondialisé dans lequel l’Homme ne serait plus, à terme, qu’un vulgaire consommateur juste bon à enrichir les comptes des multinationales. Dans cette conception du monde, il n’y a bien évidement plus de place pour les nations, les civilisations, les races et tout ce qui fait les différences. Il en va de même d’ailleurs pour ce qui est des sexes si l’on s’en tient à la promotion faite de la fumeuse théorie dite « du gender ». Théorie qui fut, rappelons-le au passage, introduite dans les programmes scolaires par un ministre du gouvernement Fillon… Mais revenons à SOS racisme. Pour arriver à ses fins, l’hyper classe mondialiste a besoin de « forces de frappes » destinées à combattre toutes les formes de résistances qui pourraient se développer au sein des peuples et des nations. Voilà le rôle imputé à SOS racisme. Lancée il y a 30 ans avec la mission de servir de soupape à la gauche socialiste, elle s’est transformée en petite domestique servile du capitalisme international.

Ce n’est pas un hasard si, depuis quelques semaines, SOS racisme commence à agiter les idiots utiles de service (Emmanuelle Béart, BHL, le chanteur Renaud, Yannick Noah et les habituels pétitionnaires de la « bien-pensance » institutionnalisée…) pour faire accélérer l’instauration du droit de vote aux étrangers promis par François Hollande dans son programme présidentiel. Notre campagne tombe donc à pic pour contrer cette nouvelle attaque contre ce qui reste de spécificité à notre peuple.

Comment se déroule votre campagne ?

Capture 2.JPGCelle-ci a débuté par la diffusion d’un tract (cliquez ici) sur les réseaux sociaux que nous commençons à bien maitriser. Nous avons ainsi rassemblé en quelques jours des centaines de réponses venant de toute la France et parfois même d’au-delà. Nous venons de publier une plaquette (cliquez là) reprenant les arguments que nous développons et qui est envoyée à nos fichiers et aux personnes qui signent notre pétition. Nous avons aussi le soutien précieux de la Nouvelle Droite Populaire dont les militants s’activent localement pour relayer notre campagne.

Disposant hélas de peu de moyens financiers, nous demandons aux signataires de reproduire eux-mêmes notre tract et de le diffuser autour d’eux. C’est déjà le cas dans plusieurs dizaines de communes. Plus ce tract sera diffusé, plus nombreux seront nos compatriotes informés de cette véritable escroquerie publique qu’est SOS racisme. Nous demandons aussi à nos contacts de porter nos textes à la connaissance des élus de leurs villes respectives afin que ceux-ci réfléchissent à deux fois lorsqu’ils seront sollicités pour verser des subventions à SOS racisme. Il faut savoir que les subventions publiques représentent 98% du budget de cette association. Sans notre argent ces mouvements n’existeraient plus.

Pensez-vous que votre campagne changera les choses ?

En demandant la dissolution, nous avons volontairement placé la barre haute. Alors, même si nous n’obtenons pas gain de cause, car nous savons que nous n’avons rien à attendre du pouvoir actuel, nous aurons au moins réussi à informer nombre de nos compatriotes sur les agissements de cette officine parasitaire antinationale. Nous aurons aussi semé le doute chez de nombreux élus qui, jusqu’à présent souvent par conformisme intellectuel, accordaient les subventions à SOS racisme. En cela, ce sera déjà une victoire.

Trop souvent, la force de nos ennemis réside dans nos faiblesses. Il est temps que la peur change de camp.

Comment vous aider ?

Contactez-nous, nous vous adresserons notre plaquette ainsi que le tract à diffuser. Aidez-nous à amplifier notre campagne (vous pouvez nous adresser un don par chèque à l’ordre de Synthèse nationale) à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (cliquez ici).

Propos recueillis par Jérôme Bourbon

 

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jeudi, 13 décembre 2012

A Poitiers, la deuxième mosquée reste d'actualité...

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Source La Nouvelle République cliquez ici

Bouchaïb Kamali est depuis 2011 le président du conseil régional du culte musulman.

Le président du conseil régional du culte musulman défend le projet d’une seconde mosquée. Concernant la première, il souhaite la transparence.

A l'image du reste de la société, la communauté musulmane n'est pas constituée d'un seul bloc. A Poitiers comme ailleurs, des tiraillements, parfois de réelles divergences se font jour entre différentes tendances de l'islam. Elles émergent notamment au sujet de la future grande mosquée, encore en chantier du côté de la rue de la Vincenderie, dont le permis de construire fut accordé en octobre 2003 à l'UOIF ( Union des organisations islamiques de France).

" L'entretien coûtera cher "

 « Déjà en 1998, rappelle le poitevin Bouchaïb Kamali, aujourd'hui président du conseil régional du culte musulman, un groupe avait commencé à réfléchir sur un projet de mosquée à Poitiers. » Puis le projet de la Vincenderie est arrivé, piloté par le président de la communauté musulmane Boubaker El Hadj Amor, l'un des dirigeants de l'Union des organisations islamiques de France, réputée proche des Frères musulmans.

A plusieurs reprises, le financement de la mosquée a posé question. D'où vient l'argent ? Des émirats arabes unis ? Des Etats du Golfe ? « Il n'y a pas de traçabilité et de transparence sur l'origine des fonds. Deux millions d'euros ont déjà été dépensés. Et puis c'est un grand monument dont l'entretien coûtera cher. Comment gérer l'après ? Je crois en fait que tous ces éléments n'encouragent pas la communauté musulmane locale à donner », déplore Bouchaïb Kamali, inquiet par ailleurs de la destination d'une certaine partie de la future mosquée.

 « Un institut de formation ou une école d'imams ? J'émets toutes mes réserves sauf si l'encadrement est fait par l'Etat, de manière claire et transparente. La formation des imams doit se traiter au niveau national. La question ce n'est pas de finir la mosquée, c'est son entretien et son utilisation, une fois construite… »

Aujourd'hui, Bouchaïb Kamali affirme qu'il est en train de travailler « sur un projet poitevin de deuxième mosquée. Une mosquée de proximité qui intégrerait toutes les nationalités et communautés, des Turcs aux Algériens… »

Repères

L'interlocuteur du pouvoir

- Créé en 2003 par Nicolas Sarkozy, le Conseil français du culte musulman (CFCM) se veut l'instance représentative du culte musulman en France. Il intervient notamment dans les relations avec le pouvoir politique français, dans la construction des mosquées, dans le marché des aliments halal ou la gestion des lieux de culte.

- Plusieurs grandes fédérations y sont affiliées parmi lesquelles le rassemblement des musulmans de France (RMF) plutôt soutenue par le royaume du Maroc, la grande mosquée de Paris (Algérie), l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), le comité de coordination des musulmans Turcs de France ou encore la fédération française des associations islamiques d'Afrique, des Comores et des Antilles.

- On dénombre actuellement 13 lieux de culte en Poitou-Charentes : Châtellerault (1), Angoulême (3), Parthenay (1), La Rochelle (2), Rochefort (1), Royan (1), Cognac (1), Niort (1), Poitiers (2).

- Contact CRCM : tél. 06.42.56.67.70

Via Terre et peuple Poitiers cliquez là

mardi, 11 décembre 2012

Révolte de CRS qui refusent qu’on leur impose la viande halal...

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Un tract syndical dénonce avec virulence de la viande halal au menu de CRS.
Un tract, rédigé par une section locale d’Unité SGP police FO (premier syndicat de gardiens de la paix) et affiché dans une caserne de CRS à Rouen début avril, dénonce en termes très virulents le fait que de la viande halal ait figuré au menu des policiers.

Nicolas Comte, secrétaire général de ce syndicat, s’est totalement démarqué de cette initiative “locale” qui n’est pas “la position de notre organisation profondément laïque et républicaine”. Dans ce tract en date du 6 avril, parvenu mercredi à l’AFP et dont l’authenticité a été confirmée de source syndicale, le bureau local de ce syndicat écrit au commandant de la compagnie de CRS 31 basée à Rouen. Il lui signale que les CRS, de passage en région parisienne et cantonnés à Pondorly (Val-de-Marne), mangent de la viande halal au mess “et ceci à notre insu”. Il lui demande de mettre fin “à des approvisionnements au rituel étranger à nos coutumes”, selon une argumentation proche de celle de l’extrême droite et éloignée des écrits habituels de ce syndicat.

“Il serait inutile de vous rappeler que tout musulman qui entre dans notre corporation se voit proposer un régime au regard des us et coutumes de sa religion”, écrit ainsi le bureau local. “Ce qui ne veut pas dire, ajoute-t-il, que les catholiques de notre unité doivent +avaler+ toutes les couleuvres qu’on leur propose et que les athées ou agnostiques ne revêtiront pas la +burka+ (sic) après avoir digéré, avec beaucoup de mal, les indigences de nos gérants” du mess des CRS. Le tract ajoute que “manger halal, c’est payer l’impôt islamiste”. Il ajoute : “Nous ne voulons pas être complices de cette déviance, et nous ne voulons plus manger Halal à l’avenir“.
Interrogé par l’AFP, le syndicat, par la voix de son porte-parole national Yannick Danio, avait jugé dans un premier temps ce tract “très indélicat”. M. Danio a ajouté que son organisation “enquêtait” sur le “problème soulevé” par le tract à savoir que de la viande halal serait bien au menu de plusieurs compagnies de CRS “apparemment dans un souci d’économie”.

Source cliquez ici

samedi, 08 décembre 2012

IL FAUT DISSOUDRE SOS RACISME !

sos racisme 2.jpgEn 1984, François Mitterrand, en délicatesse dans les sondages, notamment parmi les jeunes, favorisa l’émergence d’un mouve­ment destiné à appâter une partie de la jeu­nesse qui lui échappait en s’appuyant sur la naïveté qui souvent la caractérise.

Ce fut la naissance de SOS racisme, association qui, au-delà des calculs électoraux, prétendait mo­biliser les Français contre un prétendu racisme dans la nation certainement la moins raciste au monde. Vaste défi apparent mais la pusillanimité de nos contemporains lui facilita grandement la tâche.

De puissants parrainages permirent à l’association naissante d’atteindre rapidement une notoriété média­tique sans commune mesure avec le poids de ses maigres troupes. Le Grand Orient de France, la MNEF, les CFDT, l’UEJF (Union des étudiants juifs de France) et la FEN (Fédération de l’éducation nationale) accueilli­rent avec un enthou­siasme actif et généreux la création de l’officine dont la fonction essentielle et l’action se résumè­rent à calomnier les Français de souche et à ma­nipuler les immigrés afin de leur faire redouter un racisme latent sinon exprimé chez leurs hôtes, et cela bien mal­gré eux. Du côté des personnalités, l’incontournable Ber­nard-Henri Lévy (alias la « mouche du coche »), Jacques Attali (le poly­graphe compulsif), Marek Halter (l’homme à l’imagination débordante), Jack Lang et de nom­breux « intellectuels » apportèrent leur soutien in­conditionnel à l’expérience trostko-socialiste.

A ces grandes âmes se joindront les soutiens son­nants et trébuchants émanant de Christophe Ri­boud, le fils du milliardaire Antoine Riboud, ou d’un Pierre Bergé, co­propriétaire du quotidien Le Monde et propriétaire de Têtu, le magazine de prédilection des homosexuels branchés et quelques autres généreux riches mécènes.

A ces prestigieux parrainages vint s’agglomérer l’inévitable cohorte des « idiots utiles » tels Simone Signoret, Yves Mourousi, Dominique Baudis, Jacques Toubon et quelques dizaines d’autres notoriétés dont la motivation profonde ne relève bien souvent que de leur vie intime et des fan­tasmes y afférents.

Il ne manquait plus que trouver un secrétaire géné­ral suffisamment terne pour feindre de présider aux desti­nées de cette organisation exclusivement animée par des trotskistes issus le la Ligue com­muniste révolution­naire et de la MNEF et dont le véritable patron, Julien Dray, tirait l’ensemble des ficelles. C’est au jeune et falot Jean-Philippe Désir, alias Harlem Désir (tout un programme !), actuel président du PS, qu’incomba ce rôle de composi­tion. Ce métis, idéal représentant de la France plurielle, offrait à SOS ra­cisme la vitrine d’une France multicolore tout en évitant l’écueil d’éventuelles revendications identitaires. De fait, il fallait que ce ne fut ni un Maghrébin, ni un Africain, ni un Asiatique et encore moins un Français de type euro­péen qui présidât à l’association. Pour mieux comprendre la stratégie, il suffit de se réfé­rer à l’élection présidentielle des Etats-Unis.

Cette stratégie ne trompa d’ailleurs que ceux des­tinés à l’être et Jean-Philippe (Harlem) Désir fut immédiate­ment considéré par tous comme l’homme de paille de Julien Dray ainsi que le relate sans ambigüité aucune Serge Malik, l’un des mili­tants de la première heure, dans son « Histoire secrète de SOS racisme » parue en 1990 (chez Albin Michel).

Julien Dray, grand amateur d’objets de luxe et no­tam­ment de montres, fit l’objet d’une enquête pour abus de confiance, notamment motivée par d’étranges mouve­ments de fonds entre l’association des « Parrains de SOS racisme » et son compte en banque ainsi que pour de curieux prêts dont lui firent bénéficier Gérard Sebag, un commerçant d’Antibes, Marc Rozenbat, époux d’Isabelle Thomas, une pétroleuse de l’UNEF-ID dans les années 80 recyclée dans l’entourage de Mitterrand, et Pierre Bergé. Preuve s’il en fallait que les grands idéaux ne suffisent pas toujours au complet détachement des biens de ce monde. Ses tourments judiciaires mirent Julien Dray, Juju comme l’appellent ses proches, en relative dis­grâce parmi ses « amis » du PS. Sa dernière bourde n’arrangea certes pas les bidons : une se­maine avant le second tour de la dernière prési­dentielle, Dray invita Dominique Strauss-Kahn à son anniversaire, dans un ancien sex-shop trans­formé en restaurant, rue Saint-Denis, faisant fuir par des sor­ties dérobées de prestigieux invités parmi lesquels Sé­golène Royal, Emmanuel Valls ou Pierre Moscovici, peu en­clins à fréquenter l’infréquentable ex-patron du FMI (Fourre-Moi Im­médiatement persiflent quelques mau­vaises langues), surtout en un tel endroit symbolique. Est-on plus maladroit ?

Par ailleurs, la gestion n’est certainement pas le point fort de SOS racisme, épinglée systémati­quement par le Cour des comptes sans qu’apparemment les conseils de la docte institution ne modifient notoirement les pratiques. Nourrie aux subventions et dons divers, SOS racisme per­çut en 2010, 579 000 € de subventions auxquels s’ajoutent les dons à hauteur de 100 000 € pour Pierre Bergé, 72 000 € pour la Fondation Ford et, le bouquet, 348 000 € en 2009 pour le FASILD, asso­ciation dédiée à l’accueil des migrants qui elle-même vit de subventions... Sans parler des fonds spéciaux du Premier ministre mobilisés pour sauver SOS racisme de la banqueroute. On vous épargnera les détails des dé­mêlés judiciaires, les perquisitions, les fausses factures (affaire C.Discount), les ventes de tableaux à SOS ra­cisme, les gardes à vue, l’intervention de la Bri­gade financière et autres épisodes crapoteux. Pour simplifier, c’est 98% de ses ressources qui provien­nent de subventions et de dons tandis que les cotisa­tions n’en représentent que 2%.

En somme, il est demandé aux Français de payer tou­jours davantage pour se faire soupçonner de racisme et insulter par une organisation qui n’est qu’une, mais non la moindre, courroie de trans­mission du Parti socialiste destinée à recycler des trotskistes en recherche d’emploi, si possible pres­tigieux. La preuve ? Jean-Phi­lippe (Harlem) Désir, promu aux fonctions de secrétaire général du parti en question dont l’ancien locataire est devenu… Président de la république. Le tremplin semble puissant, c’est le moins qu’on puisse dire. Il n’est que temps de dissoudre cette coûteuse officine hostile à la France française.

 

Derrière SOS racisme :

la volonté génocidaire des mondialistes…

La France n’est plus maîtresse de son destin. Notre pays n’est plus dirigé par ce qui est censé être « son gouvernement » mais par les Conseils d’administration des banques apatrides. Ce sont eux qui décident quel sera l’avenir de la planète… Leur objectif : imposer une économie globale en transformant la terre en un vaste marché mondialisé dans lequel l’Homme ne serait plus qu’un consommateur docile juste bon à enrichir les comptes des multinationales.

Dans cette vision mondialiste des choses, il n’y aurait bien entendu plus de place pour les nations, les races et même pour les sexes. L’introduction par le gouvernement Sarkozy-Fillon de la théorie dite « du gender » à l’école est une étape vers cette destruction programmée des identités. L’homme idéal pour les mondialistes sera métissé, déraciné et asexué…

Mais pour arriver à leur but ils doivent par tous les moyens détruire toutes les formes de résistances natio­nalistes et identitaires. Pour cela ils se servent de petits collabos tels SOS racisme pour entretenir un cli­mat de haine permanente contre la France et contre son peuple.

Combattre SOS racisme, c’est combattre pour le renouveau de la France !

Combattre SOS racisme, c’est défendre notre identité européenne !

 

Pour prononcer la dissolution de SOS racisme, il suffit d’appliquer la loi !

L’article L 622-1 du Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile (CEDESA), « pu­nit de 5 ans de prison et de 30 000 € d'amende quiconque favorise l'en­trée, la circulation ou le sé­jour irrégulier d'un étranger en France ».

En soutenant les clandestins qui s’installent sur le territoire français, SOS racisme contrevient régu­lière­ment à l'article ci-dessus. SOS racisme doit donc être mis hors la loi. Pour cela, il suffit de se référer à l'ar­ticle 450-1 du Code pénal définissant comme une association de malfaiteurs « toute as­sociation établie en vue de la préparation ca­racté­risée par un ou plusieurs crimes ou délits punis d'au moins 5 ans de prison ». Ce qui est le cas de SOS racisme.

Les adversaires de ces dispositions, prétendent que SOS racisme, comme toutes les autres offi­cines du même type, détiennent leurs pouvoirs notamment du « Plan national d'action contre le racisme et l'anti­sémitisme » du 15 février 2012, pour la période 2012-2014, élaboré par MM Sar­kozy et Guéant.

Mais il faut savoir que ce plan fait référence à l'ar­ticle 10 du TFUE (Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne) dit "de Lis­bonne" qui sti­pule : « Dans la définition et la mise en œuvre de ses politiques et actions, l'Union cherche à com­battre toute discri­mination fondée sur le sexe, la race ou l'origine ethnique, la religion ou les con­vic­tions, un handicap, l'âge ou l'orienta­tion sexuelle ».

Ce que le Peuple refuse, le Con­grès l’impose !

Or, ce traité, et ce texte, ne sont que la reconduc­tion du « Traité pour une Constitution euro­péenne » rejeté massivement par le Peuple fran­çais lors du référendum en mai 2005 et sournoi­sement réintroduit par un vote du Congrès à Ver­sailles en 2008… sous la présidence de M. Sar­kozy. Il s’agit donc là, à nos yeux, d’une véritable forfaiture. La ratifica­tion de ce « Traité », dès lors, ne pouvant avoir de légitimité ni de valeur con­trai­gnante sur le territoire de la Répu­blique fran­çaise. Quel crédit peut-on en effet accorder à une as­semblée dans laquelle plus de 6 millions d’électeurs nationaux à la présidentielle sont re­présentés par seulement 3 députés alors que les Verts, avec 800 000 voix, ont près d’une vingtaine de députés.

Nous vivons actuellement sous un régime édic­tant des lois non fondées sur la volonté du peuple sou­verain, donc illégales sur le fond. Quelle légi­timité peut-on en effet accorder à des assem­blées qui ne représentent qu’une minorité de Français ?

ALLER AU-DELA…

Nous savons bien que nous n’avons pas grand-chose à attendre du « pouvoir » actuel complètement in­féodé qu’il est aux mondialistes. Notre but est avant tout d’éclairer notre peuple. Seule l’instauration d’un ordre nouveau, nationaliste, populaire, social et identitaire permettra à la France de retrouver sa liberté et son identité !

En réalité, au-delà du cas SOS racisme, se sont toutes ces pompes à fric, tels le MRAP, la LICRA, la LDH et autres qu’il faudrait mettre hors d’état de nuire. Par leur obsession procédurière et en se conduisant en véritable petits flics de la pensée, elles cherchent à détruire tous les formes de résistance nationales et identitaires à l’invasion de notre sol.

Un jour viendra où nos compatriotes seront bien obligés d’ouvrir les yeux…

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vendredi, 07 décembre 2012

Amplifions la campagne nationale pour la dissolution de l'officine SOS racisme !

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jeudi, 06 décembre 2012

Islamisation à Montargis : le Père Noël exclu d’une maternelle

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Le Père Noël n’est pas le bienvenu à l’école… pour cause d’islamisation.

La décision d’une maternelle de Montargis (Loiret) de déprogrammer sa visite annuelle suscite beaucoup d’inquiétudes, plusieurs parents d’élèves y voyant une reculade face aux revendications de certaines familles de confession musulmane.

« Je suis allée voir la directrice pour comprendre cette annulation, raconte cette mère d’une petite fille souhaitant garder l’anonymat, et elle m’a expliqué qu’elle ne voulait pas se faire taper sur les doigts par certaines familles de musulmans. » Un argument qu’a également invoqué la directrice, depuis quelques semaines à la tête de l’école du Grand-Clos, selon les services de la mairie qui l’ont appelée pour avoir des explications.

« Elle nous a avoué avoir appelé la directrice précédente pour savoir comment gérer les familles qui, chaque année, menacent de boycotter l’école le jour de la visite du Père Noël », se rappelle Jean-Paul Fonteneau, adjoint à l’enfance et à l’enseignement.

La directrice refuse de s’exprimer. Officiellement, les motifs de cette décision, entérinée en octobre lors d’un conseil d’école, sont d’ordre financier. Mais pour Jean-Paul Fonteneau, ils sont indéfendables car d’ordre confessionnel. « Je comprendrais à la limite qu’on s’attaque au côté mercantile de cette fête, mais s’attaquer à son emblème en invoquant la laïcité, ça n’a aucun sens! » Le maire UMP a d’ailleurs envoyé hier une lettre à l’inspection académique ainsi qu’à la fameuse directrice, en rappelant qu’à ses yeux, le Père Noël n’avait aucune connotation religieuse. Et c’est vrai que le bonhomme rouge à la barbe rouge est une tradition païenne.

DES PARENTS ABASOURDIS, L’INSPECTION ACADÉMIQUE AVEUGLE

Du côté de l’académie, on se refuse à y voir des motifs religieux. « Voir dans l’absence du Père Noël le fruit d’une pression religieuse n’a aucun sens, c’est une erreur d’interprétation », assure Denis Toupry, directeur académique des services de l’Éducation nationale du Loiret, sans vraiment préciser les raisons de l’annulation. Pas de quoi convaincre certains parents « abasourdis » par cette décision. « C’est choquant », lâche ce papa, amer, qui comprend d’autant moins cette décision que les musulmans qu’il connaît « n’ont aucun problème avec le Père Noël » !

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