lundi, 22 février 2016
Islamophobie, nouveau délit ou légitime protection ?
Depuis novembre 2015, la France vit un curieux « état d’urgence », où de bonnes âmes estiment que l’on importune trop les gentils musulmans (alors que des musulmans ont massacré environ 150 honnêtes Français dans ce pays, en l’année maudite 2015). À la faveur de cet état bizarre, l’on voit procéder à des gardes à vue pour un nouveau délit de la pensée : celui d’islamophobie.
Or, l’actualité joue des tours à nos « chefs », grands quémandeurs d’emprunts, voire de dons d’origine islamo-pétrolière. Le vendredi 19 février 2016, le site anticonformiste voxnr cliquez ici, relayant le quotidien britannique The Independent – où les informations font généralement l’objet d’une stricte vérification et qui ne paraîtra bientôt plus que sur le Net - rapporte de curieuses nouvelles en provenance de l’Eden de la Charî’a : l’État Islamique.
Ces deux premiers mois de l’An 2016 qui promet d’être encore un grand cru de l’infamie islamique, trois adolescents ont été jugés puis égorgés rituellement (dont au moins deux en présence de leurs parents) parce qu’ils avaient manqué la prière solennelle du vendredi dans leur mosquée et un quatrième, âgé de 15 ans, pour avoir écouté de la musique occidentale dans l’épicerie paternelle de Mossoul.
The Independent ne faisait que reprendre des faits rapportés par un journal kurde, donc ennemi de l’EI, paradis terrestre d’Allah. Les informations sont donc à n’accepter qu’avec réserves et en attendant une confirmation ou une infirmation… toutefois, tout le monde a pu visualiser – avant censure exigées par les âmes délicates de notre gouvernement – des vidéos d’égorgements réalisées un peu partout depuis 2012 dans le monde merveilleux régi par la Charî’a. Les nouvelles narrées par Ara News n’ont donc rien d’inédit ni de surprenant a priori.
Deux remarques s’imposent. Une réflexion de forme d’abord, concernant la pudeur des journalistes so british qui parlent de « décapitation »… alors qu’il s’agit d’égorgement, indéniablement moins instantané et plus douloureux pour la victime offerte en sacrifice au buveur de sang dénommé Allah, qu’un couperet de guillotine. La seconde, au fond, porte sur l’espionnage de tous sur chacun en terres d’islam, correctement rapporté par nombre d’enquêteurs dès les années 1980, en Iran puis ailleurs : on en revient aux bons temps de l’Inquisition, de la Terreur française des années 1792-1794 ou du Guépéou.
De nos jours, en France – ex-terre des arts, des armes et des lois… ça, c’était avant, bien avant notre triste époque de médiocrité post-soixante-huitarde -, écrire la vérité sur les crimes immondes, sur la barbarie médiévale, sur l’obscurantisme des pays régis par les fous furieux de l’islam tout-puissant, devient un délit d’opinion : celui d’islamophobie… qui est en passe de devenir - après le racisme, l’homophobie ou le doute sur la pertinence des arguments scientifiques concernant un éventuel « réchauffement climatique » - un crime social majeur, passible du lynchage médiatique et de poursuites judiciaires.
Pourtant, les faits sont là. Pourtant, le risque croît d’année en année de voir s’implanter en Europe occidentale et danubienne – dans un délai de 25 à 50 ans, selon les endroits – des régimes de Charî’a. Pourtant, les clowns qui font semblant de nous gouverner osent parler de « Démocratie », soit un régime où la liberté d’expression est pleine et entière, sauf à faire dans la pornographie ou la calomnie. Est-ce calomnier l’islam que de dénoncer les sourates qui ordonnent à tout fidèle en bonne santé de se lancer dans le Djihâd, ou de dénoncer les pratiques de juges et de bourreaux qui suivent les commandements de la Loi coranique ou Charî’a ?
Il arrive un moment où l’excès de stupidité apparente dans nos règlements et leur application par des magistrats aux ordres ressemble trop à de la pure trahison des intérêts de notre Nation, pour que l’on ne se pose la question d’un « complot » contre la France, contre l’Europe… même si cela fâche des esthètes à double nationalité, franco-maghrébine.
Docteur Bernard Plouvier
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