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lundi, 22 août 2016

Le burkini, une arme au service de l’islamisation de la France

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L’islam n’est pas une religion de paix et d’amour comme le prétendent ceux qui maudissent les Juifs et les Chrétiens dix sept fois par jour en priant mais celle du mensonge, de la falsification et du chaos organisé. Il s’est imposé au cours des siècles grâce aux torrents de sang, car sans sa violence sacrée, il serait passé depuis longtemps dans le domaine du folklore…
C’est une religion de haine et d’exclusion, c’est un apartheid voulu par Allah et son Envoyé contre tout non musulman, contre tout apostat et contre les femmes qui sont désignées comme les symboles de l’impureté et les alliées du diable ( El chaytane).
En cette période estivale propice à la détente et aux loisirs, une tempête médiatique est sciemment entretenue en France par les mahométans purs et durs ( c’est à dire les islamistes) qui tentent de faire passer le burkini comme étant un choix personnel des femmes musulmanes qui le portent pour ‘ bronzer’ et profiter ainsi des plaisirs de la mer comme si l’islam le recommandait.
Pourtant, au temps du beau modèle de Médine, il n’y avait pas de congés payés et encore moins les joies de la mer dont on pouvait profiter en famille. Il y avait uniquement une économie basée sur le bazar et les razzias où les femmes étaient une marchandise qui rapportait gros surtout lorsqu’elles étaient jeunes et esclaves sexuelles, comme le sont actuellement certaines filles et femmes yazidies aux mains de DAESH, que les médias du système mondial ignorent car ces malheureuses n’habitent pas dans une contrée qui regorge de pétrole comme en Arabie Saoudite.
Prétendre que le burkini est un choix de vie de la femme musulmane est une hérésie, c’est un mensonge éhonté que seuls les adeptes d’Allah savent produire en quantité industrielle dès qu’ils se sentent acculés, en jouant sur les fibres de la victimisation pour endormir les idiots utiles.
Il est bon de rappeler que selon l’orthodoxie musulmane, la femme musulmane doit se voiler intégralement et sous aucun prétexte se montrer en publique sans son khimar ( le voile intégral).
Par conséquent, le burkini est une innovation ( une bidâa) que l’islam condamne fermement, d’après ses textes fondateurs (coran, sunna, fiqh) .
Et toute bidâa est blâmable et ses initiateurs ou initiatrices sont voués à l’enfer, selon les quatre écoles sunnites (malékite, hanafite, chafiite, hanbalite).
Le burkini ne fait pas partie des accoutrements islamiques mais par contre le voile intégral (burqua) est un ordre d’Allah.

Dans la sourate 24 ( An-Nur) verset 31, il est écrit :
« Et dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur chasteté et de ne montrer de leurs atours que ce qui est paraît et qu’elles rabattent leur voile sur leurs poitrines ; et qu’elles ne montrent leurs atours qu’à leurs maris, où à leurs pères, ou aux pères de leurs maris, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs maris, ou à leurs frères, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs sœurs, ou aux femmes musulmanes, ou aux esclaves qu’elles possèdent, ou aux domestiques mâles impuissants, ou aux garçons impubères qui ignorent tout des parties cachées des femmes. Et qu’elles ne frappent pas avec leurs pieds de façon que l’on sache ce qu’elles cachent de leurs parures. Et repentez-vous tous devant Allah, ô croyants, afin que vous récoltiez le succès ».

Et dans la sourate 33 ( al-ahzab) versets 33 et 59, il est écrit aussi :
« Restez dans vos foyers ; et ne vous exhibez pas à la manière des femmes d’avant l’islam ( Jahiliyah). Accomplissez la salat (la prière), acquittez la Zakat(l’aumône) et obéissez à Allah et son Messager. Allah ne veut que vous débarrasser de toute souillure, ô gens de la maison (du prophète), et veut vous purifier pleinement ».
« Ô Prophète ! Dis à tes épouses, à tes filles, et aux femmes des croyants de ramener sur elles leurs grands voile : elles en seront plus vite reconnues et éviteront d’être offensées. Allah est Pardonneur et Miséricordieux ».

D’après le coran, la femme musulmane n’a pas le droit de quitter son foyer sans sa burqua et sans l’autorisation de son tuteur.
Et ceux qui disent le contraire, n’ont qu’à apporter des preuves coraniques.
En vérité, les islamistes savent ce qu’ils font mais en conquérants pernicieux et fourbes, ils claironnent que la musulmane est libre pour obtenir le soutien des islamo-collabos afin d’islamiser la France sans faire de vagues.
Les idéologues de l’islamisme mènent le djihad conformément aux recommandations d’Allah et de son Prophète et ils ne sont pas aussi naïfs comment on essaye de les faire passer. Car contrairement à ceux en Occident qui permettent à l’islam de s’étendre, eux sauront utiliser sa violence sacrée au moment opportun pour créer le désordre et la peur.
En attendant, ils profitent des bienfaits de la démocratie et de la liberté, tout en continuant à propager le virus islamique en Occident. Mais ils n’oublieront jamais les hadiths de Mahomet qui considèrent la femme comme une éternelle mineure, incapable de réfléchir et qui doit avoir un tuteur (wali), son maître incontesté ici-bas et dans l’au-delà.
Et pour la bonne cause, certains dignitaires religieux musulmans essayent de vendre l’égalité homme-femme.
Faut-il les croire ?

En réalité, ils créent une tempête médiatique pour se faire passer comme étant des victimes du racisme gaulois. Leur mensonge ne pourra pas durer une éternité parce qu’un jour viendra, à ce moment-là, les non musulmans se lèveront pour dire stop à la terreur islamique. Ce n’est qu’une question de temps.
Selon la sunna, les croyantes doivent impérativement porter le khimar (ou niqab, djilbab), ce voile intégral qui ne doit laisser rien transparaître de leur corps afin qu’elles ne soient pas souillées par le regard des hommes. Dans le cas contraire, elles désobéissent à Allah et son Envoyé et elles savent ce qui les attend, le jour du jugement dernier.

Porter le burkini sur une plage au milieu des hommes, n’est-ce pas désobéir à Allah et son Envoyé?
Selon Muslim, Mahomet a dit : « toute femme qui se met du parfum et qui passe devant les hommes est une fornicatrice ».
Et celle qui se met en burkini sur une plage, n’est-elle pas une provocatrice ?

Dans sahih Bukhari, Mahomet a dit :
« Toute femme qui enlève son khimar (voile intégral) dans une autre maison que la sienne ou celle de son époux ôte l’enveloppe qui la protège devant Dieu ».
Une femme en burkini sur la plage, ne se montre-t-elle pas nue devant Allah et son Messager?

Mahomet a averti les musulmanes en leur disant : « Vous les femmes, vous n’avez pas le droit de marcher au milieu des hommes en sortant de la mosquée. Restez sur les côtés ».

Où est donc passée l’égalité homme-femme que les féministes islamistes  chantent à tue-tête ?
L’Apôtre d’Allah avertit aussi ses ouailles en les prévenant : « Il ne peut pas y avoir de tête-tête entre un homme et une femme sans que le diable ne s’en mêle et ne provoque le pire ».

Au moins, c’est limpide alors attention à la fornication, messieurs-dames du monde musulman.
Selon Abou Daoud, un hadit de Mahomet rapporté par Aïcha, la femme favorite de Mahomet, et mère des croyantes  dit :
«  Asma entra chez l’Apôtre d’Allah, avec des vêtements transparents, le prophète se détourna en disant : « Il y aura dans ma communauté des femmes habillées mais en réalité, elles sont nues. Sur leur tête, il y a comme des bosses de chameaux, maudissez-les car elles sont devenues maudites ; elles n’entreront pas au paradis et ne sentiront pas son odeur, bien qu’on puisse sentir son odeur de très loin ».

Et les femmes en burkini, les musulmans, doivent-ils les maudire ?
Une femme en burkini dès qu’elle est dans l’eau, son burkini devient moulant et ses rondeurs (qui sont parfois généreuses) sont visibles à un kilomètre à la ronde.
Où est donc passée la pudeur que les imams ressassent chacun vendredi dans leurs prêches ?
Mais pour eux, le burkini est licite parce qu’il participe activement à l’islamisation de la France au même titre que le ramadan, le voile islamique, la nourriture halal, la construction des mosquées, l’aïd al-adha et les accoutrements ostentatoires dans l’espace public.

Désormais, l’islam avance à visage découvert et aucun obstacle ne le gêne, à l’exemple de cette auto-école de Villefranche-sur-Saône, dont la gérante veut ouvrir une salle de cours réservée exclusivement aux femmes.
Hamdoulillah ! Machâa Allah ! Ina Allah âala kouli chayine kadir (Allah est capable de tout) !

Hamdane Ammar

Source : Riposte laique

Toutes en burkini !

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Dans la presse étrangère c’est la stupéfaction et la risée devant les arrêtés municipaux interdisant le burkini sur des plages françaises. On marche sur la tête, en quoi une tenue de plage dont le visage n’est pas couvert porte t-il atteinte à la sécurité du territoire ou aux valeurs de la république. Est-ce du repli identitaire que des femmes choisissent de ne pas se balader sur les plages en bikinis, les seins nus, en strings voire carrément nues. Il est évident que ce n’est pas la tenue qui est visée mais celles qui la portent parce qu’elles sont musulmanes.

Sur fond d’attentats et d’état d’urgence, les ruées racistes contre les musulmans
se multiplient : après la peur du grand remplacement idéologisé par Eric Zemmour et le Front National, le fichage des élèves musulmans proposés par le scandaleux maire de Beziers, on interdit aux femmes musulmanes de porter des burkinis. Et pourquoi ne pas interdire la barbe des musulmans tant qu’on y est ?

Créer un lobby pro arabo-musulman

Face à cette spirale islamophobe, il faut que les français arabo-musulman s’organisent en lobby afin de peser dans le débat publique trop souvent accaparé par la droite et l’extrême droite. Ce n’est pas en propulsant Jean Pierre Chevènement à la tête de la Fondation pour l’ Islam de France que l’on va régler les problèmes, d’autant qu’à peine installer il a enjoint les musulmans à la discrétion.Ce qui à provoqué bien des moqueries sur Twitter. Il est scandaleux qu’un premier ministre, de gauche de surcroît, Manuel Valls apporte son soutien aux maires - majoritairement de droite - qui ont interdit le port du burkini sur les plages.

Le Conseil contre l’islamophobie en France (CCIF) a déposé à juste titre un recours contre l’arrêté de la ville de Cannes qui interdit aux femmes de porter des burkini sur la plage.L’association féministe Ni pute Ni Soumise dirigée par l’ancienne ministre Fadela Amara( qui pantoufle bien tranquillement dans un ministère) est bizarrement totalement absente du débat. Il faut que nos élites françaises d’origine arabo-musulmane investissent davantage le champ des médias, de la politique nationale afin de peser dans le débat. Que les pays du Golfe sanctionnent la France pour ses dérapages répétées contraire aux valeurs de la république en gelant leurs investissements ou en stoppant leurs achats d’armes et de produits de luxe.
Le burkini a été inventé il y a une dizaine d’années par le designer australien Aheda Zanetti, qui a repéré un business prometteur dans le marché des vêtements de sport islamique.

Source : France-moyenorient

Grèce. Débat sur la construction d’une mosquée à Athènes

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La décision de construire une mosquée à Votanikos, un quartier d’Athènes – la première mosquée moderne érigée dans le pays –, est importante pour des raisons historiques et politiques. Trente-trois ans après la première demande, les musulmans du pays, qui sont plus de 100’000 selon le Ministère des affaires étrangères grec, auront enfin droit à une vraie mosquée dans la capitale. C’est un pas important en termes d’égalité des cultes en Grèce. Pourtant, la décision a donné lieu à une polémique violente et les représentants d’ANEL (Grecs indépendants), parti de la droite extrême populiste qui participe au gouvernement, ont voté contre la motion. L’Aube dorée, le parti nazi, a aussi voté contre et ses députés ont attaqué un député musulman à l’intérieur du parlement. Thanasis Kourkoulas, membre de DEA [Gauche ouvrière internationale], du Réseau Rouge et de KAR [Mouvement « Déportez le racisme »], écrit ici en faveur de la création de la mosquée.

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L’islamophobie ne caractérise pas seulement les fascistes et l’extrême droite. Il s’agit d’une large campagne idéologique conduite par les médias, les politiciens nationalistes et les partis au pouvoir à une échelle d’ensemble et avec des appuis internationaux.

Après le 11-Septembre, les Etats-Unis et leurs alliés ont commencé une croisade incroyable contre « l’axe du mal », une croisade qui a pris la forme de deux guerres impérialistes en Afghanistan et en Irak, de la création des prisons illégales pour les musulmans dans divers pays et de la montée de la répression policière contre les musulmans et les Arabes dans les pays de l’Ouest.

En même temps, le fondamentalisme chrétien à l’Ouest a été renforcé par les « croisés » de l’extrême droite, qui ne permettaient pas la création de mosquées à New York, qui interdisaient les minarets en Suisse et le voile intégral en France. En Grèce, un des slogans fondamentaux d’Aube dorée est « Pas de mosquée à Votanikos ». Les plus importants « arguments » des islamophobes sont que la civilisation chrétienne et la civilisation musulmane sont incompatibles, que l’islam est une religion réactionnaire et une source de terroristes, que le caractère « gréco-chrétien » du pays sera déformé, etc. Il s’agit d’arguments réactionnaires grotesques, lesquels – s’ils étaient avalisés par la majorité parlementaire (du gouvernement Tsipras) – pourraient créer ce qu’elle veut éviter : la réaction et le repli des musulmans sur une base religieuse, comme réponse à leur marginalisation et au refus d’’être intégrés égalitairement à la société.

Et quel est danger pour la religion dominante en Grèce quand il y a une église orthodoxe à chaque coin de rue ? Quand l’Eglise orthodoxe est le plus grand propriétaire de terre et d’immeubles du pays ; une machine gigantesque qui – au lieu d’être taxée – est financée par l’Etat ? Quand les salaires des prêtres sont payés par l’Etat ? Quand chaque jour les classes des écoles commencent par la « prière » ?

Il s’agit en fait d’un fondamentalisme orthodoxe tellement profondément ancré dans le système qu’il a le culot de renier la liberté de culte même dans sa forme constitutionnalisée, de refuser aux autres cultes tout droit démocratique d’expression religieuse.

Les femmes

Un argument central de la propagande anti-islamique concerne la position de la femme dans le monde musulman. Mais, à ce propos, les Eglises chrétiennes ne sont pas nécessairement plus progressistes. Selon la Bible, la première femme a été créée à partir d’une côte du premier homme. La « chute du paradis » a été la faute d’Eve, qui a entraîné Adam dans le péché. Lors des mariages orthodoxes les prêtres disent à la femme « d’avoir peur de l’homme ».

Jusqu’au XIXe siècle, dans les pays développés de l’Ouest, les rapports sexuels avant le mariage étaient défendus pour les femmes, les femmes devaient être couvertes jusqu’aux chevilles, les enfants conçus en dehors du mariage étaient stigmatisés, la propriété était héritée par le fils aîné et la femme n’avait pas le droit de demander le divorce.

Les différences entre « l’Est » et « l’Ouest » résultent du fait que l’Est est aujourd’hui moins développé économiquement que l’Ouest. Mais la raison n’est autre que l’exploitation de ces pays par les puissances impérialistes de l’Ouest au XIXe siècle comme au XXe siècle. Il ne s’agit pas ici d’un quelconque gouffre éternel entre civilisations « progressistes » et « réactionnaires » créé par la religion.

Des libertés religieuses

La concession des libertés religieuses aux musulmans va dépolariser les « différends religieux » et faciliter les luttes communes des travailleurs locaux et immigrés / réfugiés sur les problèmes que nous avons en commun et que nous devons affronter en commun : les mesures d’austérité barbares, la pauvreté et le chômage, les politiques des capitalistes et de leurs gouvernements.

C’est une grave erreur de manifester de l’indifférence pour ce qui a trait aux droits religieux des immigré·e·s et des réfugié·e·s en adoptant l’argument selon lequel les religions en général sont réactionnaires. C’est une erreur encore plus grave de soutenir les interdictions religieuses des gouvernements au nom du « progrès », comme une partie de la gauche est encline à le faire.

La défense des libertés religieuses des immigré·e·s et des réfugié·e·s crée la possibilité de former des relations spécifiques de confiance et facilite notre communication au sein du mouvement social et des salarié·e·s. Aujourd’hui, en particulier, au moment où leurs conditions de vie dans les camps de concentration sont déplorables, cette prise de position est plus nécessaire que jamais. Le « snobisme » ou le soutien à l’oppression religieuse dominante ne font que faciliter les ambassadeurs et les cliques religieuses réactionnaires d’agir au milieu des immigrés / réfugiés et de se présenter en tant que défenseurs de leurs droits. Aussi, ils renforcent parmi les immigrés / réfugiés l’opinion qu’ils n’ont pas seulement contre eux les gouvernements et les fascistes, mais toute la population locale. Cela crée ainsi une polarisation religieuse accentuée entre les exploité·e·s et les opprimé·e·s. (Article publié dans le bimensuel de DEA, le 9 août 2016, traduction Sotiris Siamandouras, édition A l’Encontre)

Thanasis Kourkoulas

Source : Alencontre

Ces Allemands qui quittent l’Allemagne pour fuir les migrants

Nos confrères d’Alsace Actu ont découvert un reportage de la chaîne allemande ZDT (télévision) à propos de ces Allemands qui commencent à fuir leur pays pour échapper à l’invasion migratoire. La politique migratoire initiée par Angela Merkel, et qui a abouti en 2015 à l’arrivée de plus d’un million de migrants, ne fait en effet pas que des heureux en Allemagne, ni en Europe de l’Ouest en général.

« Cette arrivée massive a engendré depuis un certain nombre de problèmes, parmi lesquels les agressions sexuelles de masse de Cologne et d’autres villes au Nouvel An, ou les attaques terroristes commises par des terroristes infiltrés parmi les masses de migrants. En outre, elle semble inciter un nombre croissant d’Allemands à quitter l’Allemagne pour des pays moins concernés par l’immigration extra-européenne. Si ce phénomène est connu parmi les populations retraitées, il commence également à toucher les jeunes. C’est à ce sujet que la chaîne de télévision allemande ZDF a réalisé un court reportage sur un couple de jeunes Allemands qui prépare son émigration en Hongrie, sur les bords du lac Balaton.» écrivent nos confrères.

La politique protectrice menée par Orban notamment en Hongrie, mais aussi celle menée en Slovaquie, en République Tchèque, en Autriche, en Pologne, incite de plus en plus d’Européens à se rendre dans ces pays. Et à songer, éventuellement, à s’y installer plus tard : « si la Bretagne venait à être touchée comme le reste de la France par l’immigration – et c’est déjà pratiquement le cas dans les grandes villes – alors nous choisirions de partir à l’Est » nous explique Laurent, un breton père de 5 enfants qui « le ferait la mort dans l’âme ». « Mais si c’est nécessaire pour assurer un avenir à mes enfants dans une société harmonieuse et réellement européenne, alors je le ferai. Nos parents et nos grands parents ont laissé faire cette situation et nous ont offert un cauchemar multiculturel, à nous de protéger nos enfants et de leur offrir un avenir meilleur ».

Source : Breizh-info

Sous les pavés, l’islam

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Les idiotes utiles de l’islamisation – entendez, par là, les féministes de tous bords -, ne savent plus comment décrêper le chignon, fût-il sous un voile ou une burka.

Depuis presque un demi-siècle, l’Internationale féministe nous broie les tympans menu avec le droit acquis de disposer de son corps, témoin (nous dit-on) de « la libre expression de la volonté et de la responsabilité individuelle » de celles qui y souscrivent. Cet apostolat est, en fait, le jumeau de celui de l’Internationale multiculturaliste, qui milite pour le droit à la différence et celui des minorités dites visibles. Ces deux combats sociétaux sont, d’ailleurs, souvent menés de front et de pair par les mêmes thuriféraires du progrès.

Des musulmanes voilées abreuvées de valeurs républicaines, tout récemment dévoilées féministes, se sont donc judicieusement réappropriées ce droit à disposer de leur corps selon leurs convenances. À l’instar des soixante-huitardes qui ont su se libérer à leur façon, ces bâchées – partiellement ou intégralement- se targuent désormais de faire ce qu’elles veulent de leur corps et de décider, légitimement, des parties de leur anatomie qu’elles souhaitent dévoiler et de celles qu’elles préfèrent occulter aux rétines masculines concupiscentes. Hier, à la plage, c’était « Aujourd’hui, j’enlève le haut », aujourd’hui, sur cette même plage c’est « Demain, j’enfile mon burkini »… et je vous emmerde parce que je suis une femme libérée !

En 68, le soutien-gorge était l’objet emblématique de la libération, pour la femme occidentale, du joug patriarcal ; de nos jours, le voile, la burka, le burkini seront probablement considérés (moyennant une plaidoirie, une démographie, une soumission et un électoralisme de circonstance) comme le signe emblématique de l’émancipation de la femme musulmane, qui use elle aussi de plein gré du droit de « disposer de son corps ». Et tous ceux qui, comme Manuel Valls, crieront à la provocation islamiste et à l’« apartheid » vestimentaire n’y feront strictement rien car, à ce jeu, les musulmans ont déjà prouvé qu’ils sont les plus forts, comme en témoigne la stricte non-application de la loi républicaine contre le voile intégral.

Et puis, pourra-t-on parler de provocation, de pratique « archaïque », de « symbole d’un projet politique hostile à la mixité et à l’émancipation des femmes », comme le piaillait récemment le ministre des Droits des femmes, Laurence Rossignol, alors que les minorités dites visibles bénéficient d’une protection juridique, médiatique et de leur droit acquis à la différence ? Il n’est pas interdit à d’autres « minorités visibles » de s’accoutrer comme bon leur semble. A-t-on jamais entendu les trémolos républicains de Manuel Valls à la vue d’une plume entre les fesses d’un adepte de la Gay Pride, une muselière dans la gueule, vêtu intégralement d’une combinaison en latex et se faisant fouetter en public ? Est-ce de la provocation ou le droit à la différence ?

Main dans la main, le prosélytisme politico-religieux et le prosélytisme sociétal, les féministes et les progressistes, voilées et emburkinées : sous les pavés, la plage, la plage en burkini. Ou, plus succinctement : sous les pavés, l’islam.

Pierre Mylestin

Source : Boulevard Voltaire



L’Allemagne se déciderait-elle à lutter sérieusement contre l’islamisme ?

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Les Allemands auraient-ils enfin pris conscience de l’ampleur du danger causé par le terrorisme islamiste en Europe ? Certains indices pourraient a priori le laisser espérer. Deux nouvelles montrent que l’Allemagne a décidé d’agir : tout d’abord, le ministre de l’Intérieur allemand, Thomas de Maizière (descendant de huguenots, comme son nom l’indique), songe à une interdiction partielle de la burqa ; ensuite, l’Allemagne envisage la possibilité de déchoir les terroristes binationaux de leur nationalité allemande. Diverses mesures complémentaires, relatives aux moyens des forces de l’ordre, sont aussi en chantier.

Au cours d’une conférence de presse, Thomas de Maizière a déclaré :

« Les Allemands qui participent aux combats à l’étranger pour une milice terroriste et qui possèdent une autre nationalité doivent à l’avenir perdre leur nationalité allemande. »

Si cette position relève simplement du bon sens, elle ne va pas de soi dans l’Allemagne des droits de l’Autre d’Angela Merkel. Un temps, le gouvernement français avait envisagé une mesure similaire, avant d’y renoncer sous la pression de l’aile gauchiste de la majorité. Comme l’a rappelé M. de Maizière, la législation allemande permet déjà de priver de leur nationalité allemande les binationaux engagés dans les forces régulières de pays étrangers. Cet argument d’une logique implacable suffira-t-il à convaincre la puissante bobocratie outre-rhénane ? Pas si sûr.

Pour ce qui concerne le port de la burka, le gouvernement allemand semble vouloir l’interdire partiellement. Thomas de Maizière estime que l’interdiction générale du voile intégral serait « inconstitutionnelle », mais qu’il faudrait introduire

« le principe de montrer son visage là où [ce serait] nécessaire : au volant, lors de procédures administratives, dans les écoles et les universités, dans le service public, devant les tribunaux ».

Pour très largement insuffisante que soit cette déclaration, elle démontre une évolution positive dans l’appréhension du phénomène islamique par les autorités germaniques. De toute façon, l’Allemagne sera bien obligée, à plus ou moins long terme, d’interdire purement et simplement burqas et niqabs sur son territoire national.

Dernière chose, le ministère de l’Intérieur allemand proposera une batterie de mesures destinées à permettre au pays de mieux lutter contre les attaques terroristes : création d’un motif d’arrestation de « mise en danger de la sécurité publique » visant à placer rapidement en détention les étrangers soupçonnés de préparer des attentats ; accélération des procédures d’expulsion, direction unique des forces spéciales, augmentation importante des effectifs de police, investissement dans les technologies de reconnaissance faciale…

Ces bonnes décisions laissent pourtant un goût amer. Le gouvernement allemand, à l’identique du nôtre, n’entend pas lutter contre l’immigration massive, matrice du terrorisme islamiste en Europe. Le chef du renseignement bavarois avertissait, dernièrement, que des groupes liés à l’État islamique avaient pénétré en Allemagne, déguisés en « réfugiés ». Angela Merkel a ouvert la boîte de Pandore. Plutôt que de la fermer instamment, elle tente d’en limiter l’impact. Cruelle erreur historique…

Gabriel Robin

Source : Boulevard Voltaire