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mardi, 23 août 2016

57% des Français estiment qu’il y a trop d’immigrés en France

Une étude Ipsos publiée ce lundi 22 août et réalisée avant les attentats du mois de juillet met en lumière le climat anti-immigration en France.

Une femme se baigne en burkini

Ce lundi 22 août, un sondage Ipsos réalisé auprès de plus de 16.000 personnes dans 22 pays fait état de chiffres équivoques, essentiellement quand on sait qu’ils résultent de questions posées aux sondés avant les attentats de Nice et de Saint-Étienne-du-Rouvray. Par exemple, l’institut de sondage rapporte que 57% des Français estiment qu’il y a trop d’immigrés en France et seulement 11% trouvent que l’immigration a un impact positif.

Dans le même sens, l’étude rapporte que d’après 54% des sondés, l’immigration force la France à adopter des changements qui leur déplaisent et 60% des personnes interrogées estiment même que l’immigration a un impact négatif sur les services publics.

Concernant les réfugiés, sujet qui préoccupe l’Europe depuis plusieurs années, les Français sont 63% à penser qu’ils ne "pourront pas s’intégrer" et 45% voudraient la fermeture des frontières aux réfugiés. Les personnes interrogées pensent même à 67% que "des terroristes se font passer pour des réfugiés pour entrer dans l'hexagone". Inversement, ils sont 54% à estimer que la plupart des personnes se présentant comme des réfugiés "n'en sont pas véritablement".

Un constat inhérent aux pays touchés par le chômage

Dans le reste du monde, le climat semble être tout aussi xénophobe, puisque le pourcentage d’interviewés considérant que les immigrés sont trop nombreux dans leur pays monte à 85% et 65% respectivement en Turquie et en Italie, et à 40% en Espagne.

Selon Yves Bardon, directeur du programme Flair au Ipsos Knowledge Center, "dans des pays marqués par le chômage, on peut faire l'hypothèse que les interviewés se sentent menacés aussi bien par des immigrés susceptibles d'occuper les emplois peu qualifiés que par une immigration choisie, en mesure de les priver de métiers pointus en lien avec leur formation."

Source : Rtl.fr

La Suisse au cinquième rang européen pour le populisme autoritaire

La Hongrie, la Grèce et la Pologne sont actuellement les trois chefs de file sur le front du populisme autoritaire en Europe. La Suisse occupe la cinquième position, juste derrière l’Italie. C’est ce qui ressort de l’Indice 2016 publié par l’institut de recherche suédois Timbro, portant sur 33 pays.

Sous le terme général de «populisme autoriatire», l’auteur de l’étude Andreas Johansson Heinö classe les partis qui contestent le concept de démocratie libérale, auquel adhèrent tous les partis traditionnels en Europe et qui se trouve à la base des institutions européennes. Selon ce concept, la démocratie est considérée comme une acceptation des décisions de la majorité, mais dans le respect de certains droits individuels, ancrés dans la constitution et dans les traités internationaux.

L’«Indice Timbro du populisme autoritaire 2016» comprend donc des formations politiques – de droite comme de gauche – très différentes les unes des autres. Le chercheur suédois a analysé l’évolution de 206 partis, qui ont obtenu au moins 0,1% des voix à une élection dans un des 33 pays considérés, à partir de 1980. Pour mesurer leur degré d’influence, il a pris en compte deux indicateurs: le nombre de mandats obtenus au parlement et la participation au gouvernement.

La situation en 2016 est résumée dans le graphique ci-dessous, où l’on note que seuls trois pays européens - l’Islande, Malte et le Monténégro - sont totalement exempts de soutien électoral aux partis populistes autoritaires.

Le graphique montre la force des partis autoritaires et totalitaires aux dernières élections dans chaque pays. (swissinfo.ch)

Le graphique montre la force des partis autoritaires et totalitaires aux dernières élections dans chaque pays.

(swissinfo.ch)

La présence de la Suisse dans le «top 5» est due aux résultats électoraux aux législatives et à la présence au gouvernement de l’Union démocratique du centre (UDC). La Suisse et l’Autriche font partie des premiers pays dans lequel des partis autoritaires de droite se sont installés au gouvernement, note Andreas Johansson Heinö.

S’agissant de la participation de l’UDC au gouvernement fédéral, il faut rappeler que dans le système suisse, en vertu d’une formule qui n’est inscrite ni dans la constitution ni dans la loi, mais que les partis ont convenue depuis 1959, les sept sièges sont répartis proportionnellement à la force des partis au parlement. La progression de l’UDC dans les deux Chambres a ainsi fait passer sa représentation à l’exécutif de un à deux ministres.

En moyenne, sur l’ensemble du continent, un électeur sur cinq vote aujourd’hui pour un parti populiste, qu’il soit de droite ou de gauche. Jamais dans le passé ces partis n’ont connu un soutien pareil dans toute l’Europe, souligne Andreas Johansson Heinö, précisant qu’il n’y a pratiquement pas un seul pays qui aille clairement à contre-courant. Pour l’auteur, cette évolution représente une grave menace pour la démocratie libérale.

Timbro est un think-tank voué à la promotion et à la diffusion des idées fondées sur les principes du libéralisme économique et politique et de la liberté individuelle.

Sonia Fenazzi

Source : Swissinfo.ch

A Hayange, le maire FN réitère la fête du cochon portée en symbole politique

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Le maire Front national d’Hayange (Moselle) organise de nouveau à la rentrée la «Fête du cochon» début septembre. Pour le maire frontiste, c’est un acte symbolique et politiquer fort où il répète son rejet de la place de l’islam dans la société. La mairie quant à elle promet qu’il n’y aura pas que du porc au menu.

Dès son arrivée, Fabien Engelmann, maire Front national d’Hayange en Moselle avait instauré cette fête en 2014 après sa victoire aux municipales. Dès sa première édition, les festivités ont attisé la polémique où les opposants de l’élu local l’ont rapidement accusé de vouloir rejeter la population musulmane.

En 2014, des militants l’Œuvre Française, groupuscule d’extrême droite interdit par l’ex-ministre de l’Intérieur (Valls, NDLR) en 2013. Le maire avait minimisé leur présence, affirmant qu’il y avait «deux ou trois personnes parmi des milliers d’habitants et de familles».L’année suivante, les identitaires s’étaient de nouveau invité à la fête. Sur une affiche diffusée sur les réseaux sociaux, on pouvait y lire : «Montrons une nouvelle fois aux habitants d’Hayange que loin des trahisons du FN, les véritables nationalistes sont toujours là, avec eux !». Le maire d’Hayange avait qualifié les militants +d’imbéciles+, selon cette même affiche.

Cette année, pour le maire FN d’Hayange, cette édition est l’occasion de «venir célébrer le "Vivre-Ensemble" à la française au cours d'une fête traditionnelle, familiale et régionale» indique-t-il dans un communiqué. «Cette troisième édition de notre rassemblement annuel et convivial est le témoignage-même que les grandes foires typiques de notre patrimoine ne sont pas choses du passé. Venez donc célébrer l’identité marquée et le terroir de notre pays, avec des stands de restauration pour tous, une exposition de vieux métiers et des animations populaires» poursuit M. Engelmann.

- Une fête qui fait polémique chaque année -

Outre la mise en avant de la cuisine du porc, la fête qui se déroule près de l’hôtel de ville le dimanche 4 septembre à 11H sera aussi l’occasion selon la mairie, d’assister au concert d’Herbert Léonard et de troubadours bavarois. La mairie a répondu au début de polémique en assurant qu’il «n’y aurait pas que du porc» proposé lors de cette fête rassemblant plusieurs centaines de participants chaque année.

Lors d’un discours pour la première édition, le maire s’était défendu de toute provocation ou de tout amalgame alors que les tensions étaient vives entre la communauté musulmane et le premier magistrat. «C'est une fête somme toute classique, comme dans des centaines de collectivités françaises qui organisent la traditionnelle fête de la saucisse ou du cochon» avait répété aux journalistes M. Engelmann. «Peuple de France amoureux des traditions, bienvenue ! À Hayange, le cochon ne date pas d'hier, contrairement à ce que les bonnes âmes et la cohorte véhémente de nos détracteurs voudraient laisser croire» avait-il lancé à la tribune. «La fête du cochon, c'est la solidarité, la joie palpable d'être ensemble et, n'ayons pas peur des mots, un apprentissage de la République. C'est l'oubli de soi et de ses petits intérêts pour davantage de fraternité et pour mieux vivre ensemble» avait-il assuré devant les habitants, Place de la Résistance.

Source : Loractu

L'extrême droite sort les chameaux et simule un attentat à Prague

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Sous les cris d'"Allahu Akbar", des opposants à l’islam ont simulé un attentat dans la capitale tchèque. Le coup de théâtre a semé la panique parmi les touristes.

Des Jeeps entrent dans le centre historique de Prague. Des gens vêtu en tenue traditionnelle musulmane sortent des voitures et font semblant de tirer dans l'air. Une personne déguisée en bédouine rejoint à chameau le lieu de l'"attaque".

Non, ce n'est heureusement pas un attentat, mais une simulation organisée par l'extrême droite tchèque, hostile à l'islam, raconte Der Spiegel. Selon l'organisation de cette action, il s'agit d'une parodie de prise de pouvoir par les combattants de Daech.

Certains touristes ont pris ce mauvais jeu au sérieux et se sont mis à courir, saisis de panique. Pour empêcher un mouvement de foule, la police est rapidement intervenue dans le but de mettre fin à ce spectacle de mauvais goût.

 Accusés d'avoir déclenché une fausse alerte, les participants à l'action risquent désormais une peine de cinq ans de prison.

Source : Sputniknews

Exigeant plus de protection, des Chinois de France victimes de nouvelles agressions

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Suite à de multiples cas d'agression contre des Chinois dernièrement à Paris, la communauté chinoise a manifesté à Aubervilliers pour obtenir plus de protection. Au lieu de cela, certains de ses représentants ont été victimes de nouvelles agressions. La dégradation de la situation sécuritaire dans le pays bat son plein.

Pendant une manifestation organisée ce dimanche à Aubervilliers par la communauté chinoise de France pour protester contre les violences dont elle est victime, plusieurs cas d'agressions et de vols se sont produits, suite à quoi le rassemblement a pris fin. D'après une des victimes, "des gens d'apparence africaine" les auraient agressées.

Selon le communiqué de presse du comité "Stop à la violence, sécurité pour tous", la communauté chinoise insiste sur le fait qu'"aucune action concrète n'a été proposée, aucune +fiche-action+ n'a été communiquée". Et de poursuivre:

"Nous attendons des réponses plus concrètes concernant l'action policière, judiciaire, mais aussi la prévention, la médiation et le soutien aux victimes, notamment lors de l'accueil dans les commissariats."

Il est à noter qu'auparavant, Olivier Wang, porte-parole du collectif des associations asiatiques de France, avait déjà pointé une dégradation de la situation sécuritaire dans le pays.

"La sécurité est l'affaire de tous. Le Comité invite ainsi tous les habitants, toutes les associations, tous les citoyens de tout horizon et de toutes origines à marcher ensemble contre la violence. Sécurité pour tous," lit-on dans le communiqué qui va encore organiser une grande manifestation à Paris le 4 septembre.

La mort de Zhang Chaolin, un Chinois de 49 ans, est loin d'être un cas isolé parmi les agressions contre les Chinois en France. Entre le 27 décembre 2015 et l'agression de Chaolin Zhang, le président de l'Association de l'amitié chinoise en France Hua Qin Cao a recensé près de 105 agressions de ce type au sein de sa communauté, dont la plupart dans le quartier des Quatre chemins à Aubervilliers.

Source : Sputniknews

Fleury-Mérogis: 10 détenus islamistes dispersés pour éviter une structuration en réseau

Selon une information du JDD, la situation se tend à la prison de Fleury-Mérogis où est incarcéré Salah Abdeslam, seul survivant du groupe terroriste qui a attaqué Paris et Saint-Denis le 13 novembre 2015. Selon l’hebdomadaire, l’administration pénitentiaire a identifié une « tentative de structuration en réseau » au sein de la prison francilienne, avant d’y apporter une solution. 

10 détenus déplacés

En plein mois de juillet, la direction de la prison explique avoir « décidé de les déplacer dans d’autres établissements ». En cause: dix détenus condamnés pour leurs liens avec l’islam radical, et accusés d’essayer de s’organiser en réseau au sein de l’établissement.  

Tout en niant que ces détenus avaient établi un projet précis de mutinerie, l’administration pénitentiaire admet que le scénario inquiète. Auprès du JDD, un membre de l’administration reconnaît que « c’est très dur au quotidien avec certains » et évoque « une menace de l’intérieur comme de l’extérieur ». Les dix détenus concernés ont été dispersés dans plusieurs prisons d’Île-de-France. La direction de la prison précise toutefois qu’ils n’avaient aucun contact avec Salah Abdeslam. « Aucun contact n’est possible avec lui » assure-t-on auprès du journal. 

Source : Boulevard Voltaire



Fermée pour radicalisme, la mosquée attaque la Ville de Liège

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Les responsables du centre culturel islamique Markaz Attawhid, réputé comme radical, attaquent la Ville de Liège au Conseil d’État.

L’information a été diffusée par le journal La Meuse ce lundi matin et confirmée par le cabinet du bourgmestre de la Ville de Liège, qui rappelle que la décision de fermer la mosquée avait été prise avec les autorités judiciaires et policières, après avoir consulté plusieurs services juridiques et différents avocats.

En juin dernier, la Ville de Liège, représentée par le bourgmestre Willy Demeyer (PS), officialisait la fermeture du centre Markaz Attawhid, situé dans le quartier Saint-Léonard de la Cité Ardente. Deux arrêtés justifiaient cette décision. Le premier concernait une infraction urbanistique relative aux mesures de sécurité en cas d’incendie, et le second se justifiait par des motifs terroristes.

La fermeture, une première en Belgique

Six personnes, actuellement jugées, condamnées ou en attente de procès pour actes terroristes fréquentaient en effet la mosquée Markaz. Les individus avaient été interpellés pour avoir tenté de partir pour la Syrie ou incité d’autres personnes à le faire, sans pour autant tomber dans l’endoctrinement. La Ville de Liège avait dès lors agi pour atteinte à l’ordre public. Cette fermeture était une grande première en Belgique

La mosquée, qualifiée de «radicaliste» dans La Meuse, devait rester fermée tant que le niveau d’alerte de l’Ocam était maintenu à 3. Les responsables du centre islamique demandent aujourd’hui, non seulement sa réouverture, mais également que les motifs terroristes associés à la mosquée soient déclarés caduques. Ils justifient leur recours au Conseil d’État par un «acharnement» qui fait l’amalgame entre la religion et le terrorisme. La violation de la liberté d’association et de l’exercice du culte est également un argument énoncé par l’avocat qui représente la mosquée.

Du côté de la Ville de Liège, le cabinet du bourgmestre confirme les informations diffusées dans le journal La Meuse. Il y est rappelé que la décision de la Ville a été prise avec les autorités judiciaires et policières, après avoir consulté plusieurs services juridiques et différents avocats.

Source : Lavenir.net

 

Aquila, réfugiée algérienne en France : « pour un monde sans islam »

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Les éditions Tatamis font paraitre le 5 septembre prochain un livre coup de poing intitulé : « Pour un monde sans Islam ». Rédigé par Aquila, une Kabyle réfugiée en France, le livre apparait comme une réponse adressée à ceux qui estiment compatible une religion conquérante et politique avec notre civilisation.

Aquila est née au cœur de l’Islam en Algérie. Elle y (sur)vécut trois décennies avant de pouvoir s’en évader, comme d’une prison. Trois décennies dont une noire (ou rouge) : celle de la guerre civile au nom d’Allah, pendant laquelle le sang des Algériens et des étrangers (les moines de Tibhirine entre autres) y coule à flot.

Le terrorisme islamique par la terreur a mis à genou tout un pays. Contre vents et marées, en temps de paix comme en temps de guerre et au risque de sa vie, elle résiste et refuse de se soumettre à l’Islam.

Aquila ne s’est jamais sentie musulmane. Elle a rejeté très tôt la religion de sa naissance. Elle force son destin en quittant l’Algérie à 30 ans pour une terre non-musulmane : la France. Elle coupe les ponts avec sa famille qui voulait la forcer, même en France, à un mariage avec un musulman, et lui interdire d’épouser un non-musulman.

Devenue femme libre et indépendante en France, elle découvre que la France et l’Occident sont à leur tour des terres en voie de conquête par l’Islam. Le vecteur est l’immigration musulmane légale et illégale encouragée et subventionnée par la lâcheté des politiques et la naïveté des peuples qui les élisent.

Alors que des populations d’origine musulmane déferlent par milliers, parmi eux des terroristes déguisés en réfugiés, sur les rivages sud de l’Europe dans la sidération générale d’une société désarmée, elle quitte avec sa famille chrétienne la France pour un îlot de paix du Pacifique pour se soustraire à l’islamisation de l’Occident et au risque d’affrontement qui s’annonce. C’est au fil de ce périple, tant géographique que spirituel, qu’Aquila nous dévoile le visage de l’Islam qu’elle voit.

Elle nous alerte sur les dangers de l’islamisation du monde libre et de ce qui pourrait arriver si les gouvernements et les peuples d’Europe continuent d’ignorer la déclaration de guerre ouverte d’un courant de l’islam contre l’Occident. Un regard implacable et critique de l’intérieur, un témoignage précieux, une torche qui éclaire les ténèbres et montre la voie vers la lumière.

extrait : « Au nom d’Allah Akbar et de l’Islam, des militaires, des policiers, des journalistes, des intellectuels, des écrivains, des artistes, des hommes politiques, des étrangers furent assassinés par balles ou déchiquetés par des bombes de voitures piégées.

Au nom d’Allah Akbar et de l’Islam, des moines et des étrangers furent décapités.
Au nom d’Allah Akbar et de l’Islam, des voitures bourrées d’explosifs explosèrent en plein centre-ville, tuant des centaines de civils.
Au nom d’Allah Akbar et de l’Islam, des femmes enceintes furent éventrées, des foetus et des bébés furent fracassés aux murs ou mis aux fours.
Au nom d’Allah Akbar et de l’Islam, des milliers de jeunes filles furent violées et voilées, et des centaines furent prises comme butins de guerre et comme les Yazidis aujourd’hui, réduites en esclavage sexuel dans les maquis.
Au nom d’Allah Akbar et de l’Islam, de simples citoyens furent massacrés à la hache et démembrés …

Cet extrait d’un article datant de l’époque décrivant une scène devenue ordinaire presque quotidienne d’un massacre vous donnera une petite idée de l’horreur : « Pendant que les étendards de la mort happaient les âmes des innocents, nourrissons, enfants et femmes au milieu de flots de sang, les voisins attendaient leur tour [pour être égorgés] dans un état d’hystérie et d’épouvante poussé à l’extrême. » (Al Khabar, 24 septembre 1997)

L’auteur : Aquila est une kabyle née en Algérie où elle a vécu 30 ans, avant de pouvoir enfin partir en France pour s’y réfugier. Fuyant un mariage forcé, une culture où la femme est systématiquement rabaissée, et un climat de terreur permanente, elle a refait sa vie en France. C’est son premier livre, dix ans après son départ de la terre natale. En librairie le 05 septembre 2016

Pour un monde sans islam – Aquila – éditions Tatamis – 20€. En librairie le 5 septembre 2016.

Source : Breizh-info

Les femmes, premières victimes des migrations de masse

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Mardi 16 août, un tribunal autrichien a placé en détention provisoire neuf migrants irakiens après le viol collectif d’une jeune femme, survenu à Vienne pendant cette même nuit de la Saint-Sylvestre que les habitantes de Cologne se rappellent si tristement. De son côté, le quotidien The Sun a révélé, le 31 juillet dernier, des chiffres alarmants communiqués par la police britannique : en 2015, 897 infractions, incluant des viols et des agressions sexuelles, ont été commises par des réfugiés syriens en Angleterre et au pays de Galles.

Tandis qu’en Europe un grand nombre de femmes subissent un véritable calvaire consubstantiel à la submersion masculine, il existe en amont une autre vérité tout aussi douloureuse et qui frappe les femmes africaines – ces oubliées du voyage vers le Vieux Continent. En effet, si les Syriennes sont presque à parité avec les hommes dans les camps de réfugiés de guerre au Proche-Orient, beaucoup moins nombreuses sont celles qui se risquent à traverser la Méditerranée – et très minoritaires les femmes en provenance du Maghreb ou d’Afrique subsaharienne. Tandis que les stricts migrants de guerre fuient paritairement les zones de combat, sans aucune distinction de sexe ou d’âge, la proportion des femmes est inférieure à 10 % sur les routes maritimes et africaines des grandes migrations économiques. Comment interpréter ce chiffre ? Pourquoi les femmes africaines ne sont-elles pas candidates à l’émigration massive ? Peut-être parce que si les hommes s’exposent au risque de la mer, elles en courent un second, qui meurtrit l’âme autant que le corps : celui des viols commis sur le long chemin des migrations, le nomadisme frappant toujours les femmes prioritairement.

Ainsi, une grande majorité d’entre elles restent seules au pays, prises en otage par la fuite de leurs fils, l’abandon de leurs frères. Si elles partent, elles s’exposent au risque du viol – chaque étape, chaque convoi, chaque navire devenant pour elles un piège en puissance. Si elles restent, elles sont désormais totalement vulnérables aux agressions sexuelles des hordes qui sévissent, n’ayant plus aucun protecteur au foyer. Ainsi, le Soudan a connu une épidémie de viols collectifs en juillet, dus aux conflits interethniques mais aussi à la fragilisation des femmes livrées à elles-mêmes au sein de structures familiales défaites, à surreprésentation féminine.

Pour celles qui se risquent au grand voyage, Le Figaro rapportait le 1er août dernier le témoignage édifiant d’une jeune femme d’Afrique de l’Ouest, emprisonnée pendant cinq mois en Libye pour clandestinité, torturée et menacée quotidiennement de viol dans sa geôle. Étape incontournable, la Libye est devenue un territoire de non-droit où les femmes qui s’y hasardent paient presque toujours le tribut du déshonneur. Lorsqu’elles parviennent sur nos rivages, leur sort n’est pas plus enviable. Ainsi, une équipe de l’Agence nationale de recherche sur le SIDA et les hépatites virales (ANRS) a présenté un rapport aux conclusions alarmantes le 19 juillet dernier : un tiers des femmes d’origine subsaharienne vivant en France et diagnostiquées séropositives ont ainsi été contaminées sur notre sol – leur immense précarité les conduisant à la prostitution pour obtenir de l’argent ou un logement, ou les livrant à toutes les prédations dans les foyers d’hébergement précaires.

Par ailleurs, précise ledit rapport,

les femmes venues en France parce que leur vie était menacée dans leur pays d’origine sont six fois plus à risque de subir un rapport sexuel forcé après leur arrivée

Sur les promoteurs médiatiques de l’accueil systématique pèse le poids de la prédation des femmes d’Europe et d’Afrique. Mais ils s’en lavent les mains. Ni leurs épouses ni leurs filles n’empruntent ni ne croisent la route des clandestins.

Thomas Clavel

Source : Boulevard Voltaire



Interdire le salafisme ?

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Voilà la dernière lubie en vogue dans la classe politique cet été. Elle trahit encore, hélas, leur niveau d’incompétence et d’ignorance.

Car l’État islamique n’est pas « salafiste ». Il est khawarij : cet islam originel, celui de l’épée, antérieur à la division entre chiites et sunnites. Dans le Sinaï, l’État islamique local capture et livre les salafistes au Hamas, qui les torture et les livre à son tour à Israël… Orient compliqué. Entrer dans ces raffinements, c’est déjà trop. Vouloir cibler tel ou tel style de voile, telle ou telle tendance mahométane, c’est déjà obéir à une injonction d’apprentissage de l’islam.

La vraie question qu’il faut poser, c’est celle de notre société occidentale. Au Caire, on peut se promener partout de jour comme de nuit : c’est la grande métropole la moins criminelle du monde. L’appel du muezzin est une injonction puissante : 1 homme sur 5 a la trace du tapis de prière sur le front. Chez certains, c’est de la corne. En 2013, il y a deux fois plus d’homicides au Luxembourg qu’en Égypte .

Lorsque le pape tente de nous interpeller sur la question de la violence dans nos sociétés, c’est la bronca. Pourtant, il ne s’adresse pas qu’au dernier million de Français qui va encore à la messe, mais à un milliard de catholiques. Et il parle d’une réalité qu’il connaît bien : celle de la violence en Amérique du Sud. Dérangeant pour nos idées reçues, n’est-ce pas ?

Voici le message prosélyte ultime : dans la maison de l’islam, on vit en paix. À l’extérieur, c’est la maison du désordre et de la guerre entre « communautés ». La troublante réalité est que l’islam ne connaît que la violence politique, celle qui impose son modèle social et sa paix civile. Convertissez-vous, braves gens, vous aurez la paix.

Et nous, que proposons-nous ? Quel idéal ? Quelle paix civile ? Hier, sur une radio nationale, des féministes engagées défendaient le « burkini », une liberté pour les femmes, au même titre que le « topless ». Qu’importe, pour ces belles âmes, si dans la maison de l’islam, le voile est aussi celui des privations de tous les droits civiques et sociaux. Sur les plages, il semble que la cohabitation du voile intégral et des seins nus soit impossible. Quelle alternative sociale avons-nous à proposer ? Le chômage, l’insécurité, le mariage homosexuel et les familles décomposées ? Où sont nos fidélités ?

Anarchie post-chrétienne ou nouvel ordre islamique ? Le problème est devant nous, il ne vient pas d’une énième guerre civile interne en terre d’islam, ou de telle tendance musulmane aussi radicale que subtile. Il vient de nos faiblesses. Le temps presse. Ne nous trompons pas d’enjeu : celui d’une guerre insurrectionnelle, c’est le contrôle des foules. Pendant des décennies, nos élus ont laissé prospérer l’islamisation de pans entiers de notre territoire : ce n’était qu’un sursis, d’un mandat à l’autre, pour avoir le calme dans leurs fiefs électoraux. Celui de cette guerre, c’est la conversion des foules à l’islam, ou le regain d’une foi chrétienne authentique qui ne soit pas seulement une posture identitaire ou un salmigondis de laïcité républicaine et de spiritualité « new age ».

Maxime de La Devèze

Source : Boulevard Voltaire



L’immigration en Europe est organisée par les États-Unis

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Au début du mois d’août, en catimini, une circulaire des ministères français de l’Intérieur et du Logement a pratiquement aboli la distinction entre immigration régulière et immigration illégale, permettant ainsi la régularisation massive des immigrés en situation irrégulière et facilitant, du même coup, l’arrivée torrentielle de nouveaux « migrants », auxquels on ne pourra désormais plus opposer le moindre obstacle administratif ou juridique.

Pourtant, de moins en moins de gens ignorent que l’invasion que nous subissons actuellement dans toute l’Europe est largement organisée par les USA, qui y voient un moyen « providentiel » de submerger le Vieux Continent, d’achever de dissoudre l’identité des nations qui le composent et de rendre celles-ci impuissantes à jamais en tant qu’États. Autant de gagné pour l’Empire !

Sait-on qu’il existe, à Genève, une agence intergouvernementale, l’International Organization for Migration (IOM), en grande partie financée par les Américains, dont une des principales missions est, précisément, d’accélérer la migration des populations africaines en direction de l’Europe ?

Le directeur général de cette organisation s’appelle William Lacy Swing. Il a 82 ans, c’est un diplomate chevronné, qui connaît parfaitement l’Afrique, où il a exercé de multiples fonctions.

Officiellement, l’organisation qu’il dirige depuis 2008 a pour mission de veiller à ce que les millions de « migrants » qui envahissent l’Europe soient bien accueillis. Il dispose, pour cela, d’une armée de 8.000 fonctionnaires (excusez du peu !) qui organisent, contrôlent et facilitent sur place le travail des « exportateurs » et des « importateurs ».

W.L. Swing travaille tellement bien et ses patrons sont tellement contents de lui que, malgré son âge, il a été reconduit pour cinq ans, en 2013, à la tête de ladite IOM.

Le 7 janvier 2015, reprenant les termes d’une interview qu’il venait de donner à CNN, il déclarait sur Facebook : « Migration is inevitable, necessary and desirable, so let’s change the narrative. » Or, c’est notamment pour que cette migration « inévitable, nécessaire et désirable » s’accélère, aux frontières de l’Europe, au Proche-Orient et dans toute l’Afrique — et qu’avec elle s’accélère aussi le remplacement de nos populations — que les USA ont décidé, comme on sait, de détruire, avec leurs alliés de l’OTAN, cinq pays arabes dont les dirigeants ne leur étaient pas assez soumis : Irak, Égypte, Tunisie, Libye et Syrie.

La destruction de la Libye était particulièrement importante et urgente, ce pays constituant, de par sa proximité avec l’Italie, le lieu de passage obligé vers l’Europe des masses en provenance de l’Afrique subsaharienne.

Quand on sait, d’autre part, que l’oligarchie américaine ne verrait pas d’un mauvais œil l’islamisation de l’Europe (elle permettrait, notamment, d’en finir avec l’influence du catholicisme), on comprend l’intérêt que représente, pour elle, la décision des autorités françaises d’ouvrir tout grand les vannes à l’invasion.

Raoul de Gerrx

Source : Boulevard Voltaire



En Belgique, une députée d’origine marocaine veut faire interdire le burkini

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La querelle agitant la France, depuis une semaine, sur le port du burkini s’est exportée jusqu’en Belgique et son littoral s’étendant sur soixante-six kilomètres de plages et de coquettes stations balnéaires. Comme tout débat sociétal divisant la France, celui-ci a connu un écho dans le plat pays.

C’est une députée d’origine marocaine qui a mis le feu aux poudres : Nadia Sminate, membre de la Nieuw-Vlaamse Alliantie – que l’on pourrait traduire en français par l’appellation « Alliance néo-flamande » -, premier parti du pays, n’y est pas allée par quatre chemins :

« Il faut absolument éviter que des femmes se promènent en burkini en Flandre, que cela soit dans les piscines ou sur les plages. Je ne pense pas que les femmes veulent, au nom de la foi, se balader avec une telle horreur sur la plage. Si vous l’autorisez, vous mettez les femmes au ban de la société. »

Conséquente avec sa prise de position courageuse, Nadia Sminate espère voir une interdiction du port du burkini, estimant, « au nom des normes et des valeurs », que c’est « à la Flandre à déterminer les règles qui s’appliquent sur son territoire ».

La députée a été soutenue par son parti généralement (relativement) conservateur sur les questions de société. Dans un grand classique, les partis traditionnels ont, quant à eux, botté en touche. Pour le bourgmestre Open-VLD (libéral, parti d’un certain… Guy Verhofstadt, qui tance les souverainistes au Parlement européen) de Blankenberge, station balnéaire populaire, Patrick De Klerck, il n’y a « aucun problème avec le burkini ».

Nadia Sminate est, par ailleurs, la première bourgmestre d’origine marocaine du pays. Suscitant la curiosité après son accession au maïorat de la petite commune de Londerzeel, dans le Brabant flamand, elle déclara :

« Ma mère est flamande. Mon père est marocain. J’ai toujours habité à Londerzeel. Et j’ai été éduquée uniquement en flamand, même si ce n’était que la quatrième langue de mon père. »

Nadia Sminate est, avec sa coreligionnaire Zuhal Demir, autre talentueuse bretteuse quand il s’agit d’attaquer le Parti socialiste ou les syndicats, un brillant exemple d’intégration. Leur parti, pourtant, ne cesse d’être taxé d’extrémisme par les forces bien-pensantes.

Gregory Vanden Bruel

Source : Boulevard Voltaire