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jeudi, 25 août 2016

Combien de personnes sont-elles concernées par le regroupement familial en France ?


Combien de personnes sont-elles concernées par... par Europe1fr

 

Source : Europe 1

Livre Immigration : la catastrophe. Que faire ? de Jean-Yves Le Gallou

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Un livre indispensable car il résume tout notre combat actuel et à venir !

Je viens d’achever la lecture d’un livre dense de près de 500 pages que Jean-Yves Le Gallou consacre à l’immigration (Éditions Via Romana). C’est un livre repère. Un livre que tous les lecteurs de Boulevard Voltaire devraient lire. Une véritable encyclopédie qui, chapitre après chapitre (il y en a 48), fait l’historique, puis les constatations dramatiques de cette immigration qui aboutira tôt ou tard au remplacement de la population de souche si aucun gouvernement ne réagit à cette invasion physique, culturelle et spirituelle. Ses solutions sont celles que nous souhaiterions tous, enfin ceux d’entre nous qui ont une âme patriote, et un esprit lucide. Après Le Suicide français d’Éric Zemmour, voilà les pages qu’il faut avoir lues.

Le Gallou a réalisé un travail monumental, avec une documentation qui servira encore longtemps de référence. La somme de ce travail n’est pas contestable. L’immigration subie par la France et par l’Europe tout entière est destructrice de notre civilisation. Avant même l’arrivée récente de ces colonnes sans fin, de ces débarquements quotidiens sur nos côtes méditerranéennes, l’auteur montre, les preuves s’accumulant page après page, que l’immigration est nocive. Qu’elle est catastrophique et que, contrairement à ce que beaucoup de nos élites pensent, elle n’a jamais été et ne sera jamais une chance pour la France.

Il est évidemment impossible de résumer un tel livre. Notons que son découpage en chapitres facilite grandement et la lecture et la recherche. Le Gallou détaille 13 catastrophes : sécuritaire, scolaire, pour l’emploi, pour les salaires, pour le logement, pour les familles françaises. La catastrophe sanitaire, administrative, écologique, budgétaire. La catastrophe pour les libertés, pour la démocratie, pour la souveraineté française. Il termine ce premier chapitre en décrivant le Grand Remplacement des populations, puis celui, plus insidieux, de notre civilisation.

Le deuxième chapitre en étudie les causes majeures : le phénomène mutant des migrations, le promoteur historique de l’immigration en la personne du grand patronat, puis les intérêts de la superclasse mondiale qui nous a obligés à ouvrir nos frontières. Il clôt ce deuxième chapitre en accusant les droits de l’homme d’avoir trahi les particularités nationales.

Il a titré son troisième chapitre « La grande trahison », celle des ligues de vertu antiracistes, celle des grands lobbies communautaires, celle aussi des ambiguïtés de l’oligarchie catholique, celle des bons apôtres des ONG, celle des avocats de l’immigration, celle de la manipulation des médias et de leur « pas d’amalgame », celle des publicitaires du genre de Benetton, qui nous impose le métissage. La trahison des sondages, aussi, celle du juge « maton moral du politiquement correct », celle de Bruxelles, celle de l’État français et de nos politiques.

Les autres chapitres sont consacrés à l’esprit de résistance : il faut cesser de croire à l’intégration, à l’aide au retour, aux demi-mesures, à la carte d’identité infalsifiable, à l’illusion des valeurs républicaines. Il faut prendre en compte les leçons de l’Histoire et il décrit les principes de redressement : abroger les lois liberticides, revoir l’enseignement, adopter la préférence nationale et bien d’autres options pour, enfin, conclure qu’il va falloir envisager la remigration concertée et planifiée.

Un livre indispensable sur notre table de nuit car il résume tout notre combat actuel et à venir !

Floris de Bonneville

Source : Boulevard Voltaire



L’immigration a encore moins la cote que François Hollande

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En 2011, 54 % d’opinion défavorable ; en 2016, 11 % d’opinion favorable. Ce n’est pas de la cote de popularité de François Hollande avant et pendant son mandat qu’il s’agit, mais du sentiment des Français sondés par Ipsos MORI sur l’immigration. Ce chiffre est rapporté par Le Figaro, dans le compte rendu de cette enquête publiée le 11 août dernier. 22 pays ont été couverts et les résultats sont similaires pour les autres pays européens : en Hongrie comme en Italie, plus de 60 % des sondés ont répondu « impact négatif ».

Des statistiques qui illustrent bien la situation actuelle de l’Europe. Depuis que la Syrie et la Libye sont devenues des États faillis, depuis qu’une partie du Moyen-Orient est à feu et à sang, beaucoup de pays européens sont confrontés à une immigration – il faut bien le dire – majoritairement musulmane qui leur donne du fil à retordre en termes d’intégration. En témoigne, dans le cas de la France, la polémique autour du burkini. Dans le même temps, ces pays subissent régulièrement des attentats terroristes islamistes. La macabre litanie, désormais bien connue, des villes et des quartiers frappés le rappelle cruellement aux Français.

Immigration et attentats dans le même paragraphe, voilà qui ferait saigner le cœur des pourfendeurs de l’amalgame.

Mais attention, personne n’a dit que tous les migrants musulmans qui cherchent à rejoindre l’Europe sont des terroristes en puissance. Cependant, s’il se trouve dans ces flux de migrants ne serait-ce que quelques individus qui menacent la sécurité intérieure de tout un pays, peut-on se permettre d’ouvrir tout grand nos frontières ? Peut-on continuer à louer, comme Angela Merkel, les bienfaits de l’accueil pour l’économie du pays et pour son image sur la scène internationale ?

Le sondage Ipsos montre que les peuples européens ne sont plus dupes : 61 % des sondés, en moyenne, pensent que des terroristes « se dissimulent parmi les réfugiés ». Il est temps de comprendre, précisément, que ces individus dangereux ne sont pas des épouvantails agités par le Front national et consorts. Ils existent vraiment : ce sont les terroristes du Bataclan et du Stade de France à Paris, ce sont les commandos qui avaient pour mission de terroriser Milan, selon les autorités libyennes.

Pour la France, quelles sont les solutions ? Interrompre l’immigration ? Fermer nos frontières en sachant pertinemment que des combattants de Daech déterminés trouveront quand même un moyen de frapper nos compatriotes ? Non, tout cela est bien irréaliste. Néanmoins, il est grand temps de définir la relation entre l’islam et la République, par exemple dans une sorte de loi 1905 de l’islam. Puisque l’expression « musulmans de France » est si populaire, mettons-la en pratique, non pas en créant un islam de France désolidarisé du reste du monde musulman, mais en montrant clairement que les fidèles qui vivent sur le sol français ont fait un choix. Celui du territoire de la République contre l’oumma.

Il est, aussi, grand temps d’en finir avec les demi-mesures. Voulons-nous ou ne voulons-nous pas accueillir ces réfugiés fuyant les pays que nos armées bombardent ? C’est notre devoir, en vertu des conventions internationales que nous avons signées. Alors, faisons-le en ayant à cœur l’intégration de ces populations, par le travail et par l’éducation. Pouvons-nous ou ne pouvons-nous pas ? Avec plus de 9 % de chômage et un système scolaire qui n’inspire plus confiance à nombre d’observateurs, la France est manifestement impuissante à donner un avenir digne aux réfugiés qu’elle prétend accueillir. Alors, il faut que les autorités l’avouent, au lieu de laisser se former des pépinières de haine et de précarité comme la jungle de Calais.

Romain Bussières

Source : Boulevard Voltaire

Burkini : vers un islam de marché ?

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En son temps, le bikini, « obscène » par nature, avait fait couler autant d’encre que de pollutions nocturnes adolescentes. Dans un semblable registre, le burkini fut donc le feuilleton de l’été, Marine Le Pen allant jusqu’à évoquer « l’âme de la France », opposant « plages de Vadim et de Bardot » et celles de « lugubres Belphégor »… Soit.

Dans le même temps, un fort joli dessin de Sergueï, dans Le Monde, où l’on voit deux mémères en string et seins nus, criant à « l’indécence » devant une nénette en… burkini. Comme quoi…

Comme quoi tout est relatif ; nos grands-mères, quand elles daignaient s’adonner aux bains de mers – luxe de riches –, ne laissaient que quelques centimètres de peau découverts. Idem pour leurs maris, sapés façon Brigades du Tigre à la manière Mr Bean. En attendant, c’est la fête du slip. Les féministes se bouffent entre elles ; les « autorités » musulmanes – ou ce qui en tient lieu – se déchirent. Après la bataille d’Hernani, celle du burkini.

Certains y voient le signe supplémentaire d’un islam de plus en plus intrusif. D’autres, la régression d’acquis féministes naguère conquis de haute lutte. Et certains, pour tout arranger, considèrent que le burkini en question serait trop moulant. C’est un point de vue : la fille bien gaulée sera encore plus bandulatoire qu’à l’accoutumée ; quant au tromblon, le vêtement susnommé la fera toujours plus ressembler à un étal de saucissons qu’à une Ursula Andress sortant des flots dans James Bond 007 contre Dr. No.

Mais, derrière la polémique de façade, un autre débat mériterait d’être posé : la marchandisation de l’islam. Car le communautarisme musulman est un bizness des plus juteux. Les ventes de burkinis explosent. À en croire le magazine Challenges, ses fabricants peinent à satisfaire la demande. De même, son confrère Capital consacrait récemment un volumineux dossier à la question, d’où il ressortait que le marché halal offrait des « opportunités les plus intéressantes du moment ».

D’où la balkanisation communautariste de nos supermarchés, avec rayons asiatiques, mexicains, juifs, portugais et – surtout – halal, à chaque coin de travée. Le tout orchestré dans un immense bazar faisant qu’un non-musulman peut manger halal à son insu, tandis qu’un musulman pensant manger halal consomme trop souvent un halal des plus approximatifs. Dans la foulée, produits de beauté halal, jouets halal et même… sex-shop halal, avec godemichets fabriqués à partir de jus d’hévéas tronçonnés en direction de La Mecque, on imagine. Gag : Paul Lamoitier, conseiller régional lepéniste du Nord-Pas-de-Calais, était, avant sa démission, en 2012, l’un des grossiums de la viande halal en France…

Dans cette affaire, au-delà des réactions hystériques de tels ou tels, féministes éberluées et complotistes voyant le Grand Remplacement jusque sous le tapis de leur salle de bains, une évidence s’impose : l’islam est devenu un marché comme les autres, tenu, tel qu’il se doit, par des aigrefins. Soit la progressive américanisation de l’islamisation de la France.

Dans cette affaire, les plus coupables sont encore nos musulmans qui, réduisant leur religion – magnifique hérésie chrétienne, soit dit en passant – à de simples interdits vestimentaires et à de banals codes vestimentaires, sont en train de parvenir à cet exploit consistant à chasser Dieu de leur propre religion. Remarquez qu’en la matière, ils ne sont pas exactement précurseurs : les protestants américains l’ont fait avant eux en mettant le même dieu sur leurs billets de banque et, en matière de puritanisme mercantile, Calvin fut bel et bien le premier des wahhabites, avec les funestes résultats qu’on sait.

Après, charge symbolique d’une pression migratoire des plus envahissantes mise à part, le burkini est à peu près aussi crétin que les scoubidous de notre enfance.

Nicolas Gauthier

Source : Boulevard Voltaire



Plus de la moitié des Français estiment qu’il y a trop d’immigrés

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Un sondage IPSOS réalisé avant les attentats du mois de juillet en France a relevé que les citoyens de ce pays pensent qu’il y a trop d’immigrés. Le résultat de cette étude démontre l’opposition des Français par rapport à l’immigration dans le pays.

Réticents par rapport à l’immigration

Lundi 22 août, l’institut de sondages français IPSOS avait publié les résultats d’une étude sur l’avis de Français concernant l’immigration dans leur pays. Ce sondage réalisé auprès de plus de 16.000 personnes dans 22 pays a été mené avant les attentats de Nice et de Saint-Étienne-du-Rouvray selon le site de RTL. Plus de la moitié, plus précisément 57% des Français pensent qu’il y a trop d’immigrés dans le pays. Ils sont seulement 11% à trouver que les migrants ont un impact positif pour la France.

Un sondage qui reflète les craintes des Français

Les 54% des sondés estiment que l’immigration contraint la France à engager des changements qui ne sont pas forcément bénéfiques pour le pays. Ils sont plus de 60% à penser que les migrants vont être un poids pour les services publics. De plus, près de 63% des sondés ont affirmé que les immigrés qui viennent en France ne "pourront pas s’intégrer". Pas étonnant que 45% des personnes qui ont participé à ce sondage IPSOS veulent que la France ferme ses frontières à l’immigration. En même temps, 67% estiment que "des terroristes se font passer pour des réfugiés pour entrer dans l’hexagone". D’ailleurs, plus de la moitié des Français jugent que les immigrés "n’en sont pas véritablement" des réfugiés.

Linfo.re

 

Plus de 204.000 Marocains affiliés à la sécurité sociale en Espagne

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Un total de 204.915 Marocains étaient affiliés à la sécurité sociale en Espagne à fin juillet dernier, a indiqué le ministère espagnol du Travail et de la sécurité sociale, mardi à Madrid.

Les Marocains sont toujours au premier rang des travailleurs étrangers hors pays membres de l'Union européenne (UE) cotisant à la sécurité sociale en Espagne, suivis des Chinois avec 96.063 personnes et des Equatoriens avec 71.662 personnes.

Le département espagnol a précisé dans un communiqué que le marché de l'emploi en Espagne a enregistré, à fin juillet, une très légère baisse de 0,04% du nombre des travailleurs immigrés inscrits au régime de la sécurité sociale. Au total, le nombre des travailleurs étrangers affiliés à la sécurité sociale en Espagne s’est ainsi établi à 1.747.114 de personnes, soit 688 individus de moins en comparaison avec le mois précédent de l’année en cours.

Selon l’Observatoire permanent de l’Immigration (OPI), le nombre de Marocains établis légalement en Espagne, au 31 décembre 2015, est estimé à 766.622 personnes. Ce chiffre est en baisse de 0,5% par rapport à fin 2014, toujours selon l’OPI, organisme relevant du ministère espagnol du Travail et de la Sécurité sociale.

Les Marocains représentent par ailleurs la première communauté étrangère hors UE légalement installée chez le voisin ibérique.

HuffPost Maroc avec MAP