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vendredi, 26 août 2016

Pays-Bas. Le parti d'extrême droite veut interdire mosquées et Coran

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Le parti néerlandais d'extrême droite PVV, en tête des sondages pour les législatives de mars 2017, veut « fermer toutes les mosquées » et « interdire le Coran », selon son programme électoral publié jeudi par son président, le député Geert Wilders.

« Toutes les mosquées et écoles musulmanes fermées, interdiction du Coran », indique, sans plus de détails, le document d'une page intitulé « Projet - Programme électoral PVV 2017-2021 » publié sur le compte Twitter du député qui écrit : « les Pays-Bas à nouveau à nous »

Le parti pour la liberté (PVV) souhaite « désislamiser » le pays, annonce-t-il, notamment en fermant les frontières et centres de demandeurs d'asile ainsi qu'en interdisant l'arrivée de migrants originaires de pays musulmans, le port du foulard dans la fonction publique et le retour aux Pays-Bas de personnes parties en Syrie. 

Parti en tête des sondages

Surfant sur la pire crise migratoire en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale, dans un pays qui se targue pourtant de tolérance multiculturelle, le PVV est en tête des sondages ces derniers mois, en avance sur les partis de la coalition gouvernementale, les travaillistes du PvdA et les libéraux du VVD, menés par le Premier ministre Mark Rutte. 

Les sondages prédisaient l'année dernière au PVV jusqu'à 38 sièges sur les 150 que compte la chambre basse du Parlement, mais la tendance s'est ralentie. Début août, un sondage Ipsos lui allouait 27 sièges, quinze de plus que ses douze sièges actuels. 

En procès pour incitation à la haine

Le député d'extrême droite, dont le procès pour incitation à la haine et à la discrimination doit s'ouvrir en octobre, rappelle également sa promesse de tout faire pour que soit tenu aux Pays-Bas un référendum sur une sortie de l'Union européenne et ce, malgré une première tentative ratée fin juin avec une motion au parlement rejetée par une écrasante majorité. 

Le parti de Geert Wilders veut également mettre fin au financement en matière d'aide aux pays en voie de développement, d'art ou encore d'innovation, tout en renforçant « considérablement » le budget de la police et de la défense. 

Source : Ouest France

Islamisation : « L'assimilation c'est terminé. Place à la remigration »

 

Source : aucoeurdunationalisme

Quel est l’impact économique de l’immigration ?

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Le débat sur la politique migratoire n’a jamais été aussi brûlant, à la fois dans la classe politique, mais aussi dans l’opinion publique. Certains n’hésitent d’ailleurs pas à brandir des études économiques diverses et variées au secours de leur argumentaire.

La science économique la plus standard (néo-classique) nous enseigne qu’un afflux d’immigrés est équivalent à un choc d’offre de travail, qui, si le marché du travail est suffisamment flexible, est facilement absorbé au bout d’un court laps de temps. Mais la réalité est autrement plus complexe, puisque certaines rigidités nécessaires (SMIC, contrats de travail, etc.) ralentissent les ajustements et créent donc des situations de chômage (ce que l’on voit actuellement en Allemagne avec l’afflux de réfugiés).

Dans son rapport du Conseil d’Analyse économique en 2009, G. Saint-Paul rappelle que cela peut conduire à une perte nette de richesse du fait de l’indemnisation de ce surcroit de chômage par les natifs.

Des économistes ont alors essayé d’estimer l’impact de l’immigration sur le PIB et le marché du travail, mais les conclusions divergent fortement. Quand Jean et Jimenez (2011) trouvent qu’un apport d’immigrés augmente temporairement le chômage des natifs, Damette et Fromentin (2013) concluent qu’il le réduit à court terme.

Le CEPII français trouve quant à lui qu’une hausse de 10 % de la part des immigrés dans une catégorie d’emploi dégrade d’environ 3 % le taux d’emploi des natifs ayant des caractéristiques individuelles similaires.

Concernant le PIB, Albis et al (2015) montrent, à l’aide d’une modélisation VAR (Vecteur autorégressif), que l’immigration a un effet positif, quand Kiguchi (2013) conclut l’inverse. Enfin, sur les finances publiques françaises, l’OCDE estime le coût de l’immigration à environ 10 milliards d’euros par an quand Chojnicki (2011) estime l’impact positif.

Cependant, cette dernière étude a recours à une méthodologie s’apparentant à de la  » cavalerie » , consistant à comptabiliser seulement les contributions actuelles des immigrés en omettant les créances futures auxquelles elles donnent droit (pensions de retraite, etc.).

Or, en intégrant l’ensemble du cycle de la vie d’un immigré, son coût avoisine les 8 700 euros selon Chojnicki (notamment en raison du fait que les immigrés sont plus âgés). Plus globalement, l’OCDE estime que la contribution nette au système social et fiscal d’un ménage immigré entre 25 ans (âge du chef de famille) et la fin de sa vie est de 80 000 euros inférieurs à celle d’un ménage natif.

Seulement, toutes ces études font l’impasse (par manque de données) sur l’immigration de deuxième génération, c’est-à-dire la contribution des enfants d’immigrés. Pourtant, Algan et al (2010) montre que les enfants d’immigrés des pays en développement ont un taux d’emploi inférieur à celui de leurs parents, contrairement aux secondes générations des pays d’Europe du Sud par exemple.

Pour estimer l’impact de l’immigration sur la croissance du PIB, on recourt à une modélisation VECM (vector error correction model), fréquemment utilisée en économétrie, qui permet de simuler l’impact d’un choc d’immigration sur le PIB par habitant et le taux de chômage par exemple.

En utilisant les données de l’OCDE (pour calculer le taux de migration), et de l’INSEE (pour le PIB par habitant et le taux de chômage) sur la période 1984-2013, on trouve que l’augmentation permanente de 1 % du taux d’entrées légales d’étrangers conduit à une baisse de 0,17 % du PIB par habitant au bout de 5 ans (soit environ 10 euros par an), et une hausse de 0,3 % du taux de chômage.

Pourtant, avec une méthodologie similaire, mais sur une période plus restreinte, Albis et ses confrères (étude mentionnée plus haut) ont trouvé, pour la France, un impact positif de l’immigration sur le PIB (5 euros par an pour l’augmentation du 1 % du taux de migration).

Ceci accrédite la thèse selon laquelle les outils statistiques et économiques actuels ne permettent pas toujours de conclure à un effet économique bénéfique de l’immigration, mais aussi que l’immigration avec un grand I, homogène et monolithique n’existe pas. Les effets économiques dépendent du niveau de qualification des immigrés, de l’état du marché du travail du pays d’accueil et de bien d’autres paramètres.

Alois Navarro

Source : Fdesouche

Femme voilée verbalisée : enquête ouverte pour menaces contre les policiers

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L'enquête contre X porte sur des "menaces écrites" retrouvées dans des tweets et pour "outrage à personne détentrice de l'autorité publique".

L'affaire de la baigneuse voilée verbalisée agite la classe politique, qui se déchire même au sein du gouvernement. Une enquête a été ouverte à Nice à la suite de menaces proférées sur les réseaux sociaux contre des policiers municipaux photographiés pendant la scène de verbalisation.

L'enquête contre X porte sur des « menaces écrites » retrouvées dans des tweets et pour « outrage à personne détentrice de l'autorité publique ». Des menaces prises au sérieux après l'assassinat en juin d'un couple de policiers à Magnanville (Yvelines) perpétré au nom du groupe État islamique. Les policiers, comparés à la Gestapo dans certains tweets, sont facilement identifiables sur les images réalisées pour l'agence Best Image et publiées non floutées dans la presse britannique. « En plus des photos, on peut mettre directement l'adresse des policiers, pour un égorgement plus rapide », indique un post.

Indignation en France et à l'étranger

Les photos du contrôle mardi sur la Promenade à Nice ont relancé la polémique sur l'application des arrêtés municipaux d'une trentaine de communes interdisant cet été les tenues sur les plages publiques ne respectant pas le principe de laïcité, et en particulier les maillots intégraux dits « burkinis ». L'indignation en France et à l'étranger tient notamment à l'un des clichés où l'on voit la baigneuse faire le geste d'ôter sa tunique devant les policiers. Selon la mairie de Nice, elle ne s'est pas dévêtue ni n'a été forcée à le faire. Elle venait de se baigner, selon la mairie, et a montré aux policiers qu'elle avait un maillot de bain sous sa tunique, portée sur un legging. Comme elle refusait de se baigner autrement, elle a été verbalisée, a ajouté la même source.

Très peu de baigneuses portent un burkini, mais de nombreuses communes de la Côte d'Azur, gérées par la droite ou l'extrême droite, ont interdit ces tenues, estimant qu'elles constituent une provocation après la succession d'attentats islamistes en France depuis 2015.

Source : Le Point

Têtes de cochons contre réfugiés musulmans

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Le terrorisme islamiste et la radicalisation de jeunes musulmans nés en Europe ont mis la tolérance et le vivre ensemble des Européens à rude épreuve. Dès lors, les actes haineux et les provocations se multiplient, parfois sous l’impulsion d’hommes politiques

Cette histoire serait passée inaperçue comme une anecdote stupide et insignifiante. Mais parce qu’elle arrive en pleine période de controverses liées à l’islam, elle soulève un tollé. Comme dans l’affaire de l’interdiction du burkini en France, elle crée passion et haine chez les Musulmans. Il s’agit d’une provocation dont on se serait bien passé, mais voilà, l’imbécillité n’a pas de limites.

Gyorgy Schopflin, eurodéputé hongrois, s’est permis de suggérer que des têtes de cochons accrochées aux points de passages le long de la frontière hongroise pourraient dissuader les réfugiés musulmans de demander l’asile dans son pays. Ce n’est pas une plaisanterie; l’ancien employé de la BBC n’ignore pas que le porc est «haram» selon les croyances musulmanes.

La Hongrie est l’un des pays d’Europe les plus opposés à l’accueil des réfugiés. Les autorités ont aménagé une barrière surmontée de fil barbelé et stationné des milliers de militaires à sa frontière sud afin d’empêcher le flux migratoire. Le gouvernement invite même les Hongrois à rejeter la politique d’asile européenne via un référendum prévu le 2 octobre prochain.

Insultes et violences

Le terrorisme et la radicalisation de jeunes musulmans nés en France ont mis la tolérance des Européens à rude épreuve. Sous l’impulsion de formations politiques extrémistes qui ont le vent en poupe, de larges pans de la population n’hésitent plus à exprimer leur exaspération à l’égard des musulmans qui, tout de même, comptent pour 6% de la population globale en Europe.

Les propos blessants du député hongrois ne sont pas un acte islamophobe isolé. Des croix peintes en rouge sur une mosquée, du jambon et du lard déposés devant la porte d’un lieu de prière, boucherie taguée à la croix gammée, vitrines de commerçants musulmans brisées, insultes et violences verbales et propos diffamatoires sur les réseaux sociaux se multiplient.

C’est un phénomène qui gagne de l’ampleur et qui risque de devenir incontrôlable. D’autant plus que des hommes politiques, voire des hommes d’Etat n’hésitent pas à jeter de l’huile sur le feu. En Hongrie, Gyorgy Schopflin appartient à la même famille politique que le premier ministre Viktor Orban réputé pour son verbe antiréfugiés. En France, partant du principe que les odieux attentats terroristes islamistes justifient tout, deux candidats à la présidence alimentent allègrement la haine dans le but mesquin de glaner des votes.

Ram Etwareea

Source : Letemps.ch

Le débat sur le burkini ravit l’extrême-droite européenne

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La polémique burkini ne prend pas hors de l’hexagone, si ce n’est à l’extrême-droite.

La plupart des capitales européennes, Londres en tête, se gardent bien de commenter le débat français entourant le burkini. Même les candidats du parti de droite UKIP, dirigé par Nigel Farage, ont assuré ne pas être en faveur de l’interdiction du maillot couvrant, de peur d’être taxés de populisme et de racisme. L’utilisation du burkini reste en effet trop marginale en Europe pour que les personnalités politiques risquent un débat sur la liberté de religion.

Quelques centaines de personnes ont néanmoins exprimé leur intention de participer à une manifestation organisée par un groupe contre le racisme, et se rejoindront devant l’ambassade française à Londre le 26 août pour protester contre l’interdiction de porter le burkini.

Le 25 août, le maire de Londres, Sadiq Khan, s’est déclaré opposé à l’interdiction de porter le burkini, à quelques heures de sa rencontre avec son homologue parisienne, Anne Hidalgo. « J’estime que personne ne peut dire aux femmes ce qu’elles peuvent et ne peuvent pas porter. C’est aussi simple que cela. », a-t-il déclaré.

Les extrêmes à la charge

Toujours au diapason du Front National, Geert Wilders, du Parti pour la liberté néerlandais, qui s’est associé avec l’extrême droite française au Parlement européen, s’est quant à lui félicité de l’interdiction du port du burkini et de son application sur les plages françaises, qu’il trouve « fantastique ». Lors d’une interview, le dirigeant du parti antimusulman a également comparé le port de ce maillot couvrant le corps à l’affichage d’un svastika nazi.

Le gouvernement néerlandais a pourtant d’ores et déjà écarté la possibilité de copier l’interdiction française, qu’il qualifie de « bizarre ».

En Allemagne, le débat fait également rage depuis que certaines villes a ont proscrit le burkini dans les piscines publiques, arguant qu’il s’agissait d’une question d’hygiène et de confort pour les autres nageurs.

L’utilisation du burkini y a pourtant été entérinée par le tribunal de Francfort en 2013, comme la meilleure option pour les jeunes musulmanes devant suivre un cours de natation. L’Union chrétienne-démocrate, au pouvoir, a par ailleurs proposé l’interdiction, au niveau national, de tout vêtement qui couvre le visage – une proposition qui ne concerne donc pas le burkini, qui ne couvre pas le visage, les mains et les pieds.

C’est en Italie que le débat approche le plus celui qui secoue la France. Plusieurs municipalités côtières y ont également proscrit le fameux burkini, et la controverse y alimente la presse depuis quelques semaines.

Sans surprise, la polémique française suscitée par les arrêtés interdisant « le vêtements religieux » (entendez « burkinis ») est alimentée par les personnalités habituelles de la droite et de l’extrême droite, qui sont cependant reprises par le PS. Au grand dam des détracteurs de l’interdiction, qui invoquent le droit des femmes à disposer librement de leur corps et dénoncent l’obligation de se dévêtir en public.

Ainsi, le Premier ministre, Manuel Valls, a dénoncé une « vision archaïque » de la femme et de son statut dans l’espace public, avant d’assurer que « la République d[evait] se défendre » contre ces « provocations » de la part des extrémistes. Une formulation qui n’est pas sans rappeler le tweet de Marion Maréchal-Le Pen.

Alors que le port du burkini est encore extrêmement marginal, en France et ailleurs, son interdiction et l’agressivité ceux qui se disent défenseurs de la laïcité doivent cependant être considérés dans le cadre de la crise migratoire, des attentats terroristes en France et d’une montée en puissance des extrêmes en Europe.

Le burkini de plus en plus en vogue

Le terme « burkini » a été inventé par Aheda Zanetti, une citoyenne australienne d’origine libanaise, qui a produit le vêtement pour assurer aux musulmanes la possibilité d’aller à la plage et de nager, comme tout le monde. « J’ai créé le burkini pour donner davantage de liberté aux femmes, pas pour les en priver », assure-t-elle aujourd’hui, un peu secouée par la controverse française.

Contrairement à la burqa, le burkini ne couvre pas le visage. Porter un burkini revient donc à être habillée et à porter un hijab, un voile qui ne couvre que les cheveux.

Si ce maillot de bain couvrant a été imaginé pour les musulmanes pratiquantes, elles ne sont pas les seules à s’en vêtir. Aheda Zanetti reçoit en effet beaucoup de commandes de femmes qui souhaitent avant tout se protéger du soleil. Les ventes n’ont jamais été aussi bonnes que depuis la médiatisation de la polémique.

Manon Flausch

Source : Euractiv

L'affaire Sisco : un cas d'école

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Dans Les 4 Vérités, Guillaume de Thieulloy revient sur la privatisation de la plage corse par des Maghrébins :

"[...] C’est d’abord un cas d’école de la propagande médiatique. Sans les réseaux sociaux et l’exaspération de nombreux Corses, jamais nous n’aurions connu la vérité sur cette affaire. Les médias bien-pensants étaient manifestement tout à fait disposés à faire des Maghrébins les malheureuses victimes d’agresseurs racistes.

C’est aussi un cas d’école des absurdes débats médiatiques. Tout l’été – avec un point d’orgue lors de cette affaire corse –, nous avons eu droit à cette polémique inepte sur le « burkini », ce maillot de bain islamo-compatible. Mais il est clair que ce n’est pas une question de mode vestimentaire. Nos aïeules se baignaient, elles aussi, bien plus couvertes que la plupart des femmes d’aujourd’hui – il suffit de revoir les photos des premiers congés payés, en 1936, pour s’en apercevoir...

Non, le problème n’est pas que quelques femmes tentent de remettre la mode « Front populaire » au goût du jour. Il est que le burkini est une déclaration de guerre à notre mode de vie. En d’autres termes, le problème, c’est, bien entendu, l’islam lui-même – et ses relations avec la civilisation occidentale – et non le burkini.

Au vrai, le problème est même, plus profondément, la plus ou moins bonne éducation. Toute personne bien élevée se comporte avec discrétion lorsqu’elle est invitée chez quelqu’un. En particulier, elle adopte, normalement, les coutumes de ses hôtes. « À Rome, fais comme les Romains », disait-on naguère.

Là, nous avons des « invités » – que la plupart des Français n’ont pas souhaité inviter – qui se comportent en terrain conquis, mettent les pieds sur la table et entendent chasser leurs hôtes de ce pays qui leur appartient depuis des générations.

Ce n’est pas une question de loi, ni une question de mode vestimentaire. Simplement une question de savoir-vivre. De toute évidence, le « vivre-ensemble » que l’école de Mme Vallaud- Belkacem est censée inculquer à nos « chères têtes blondes », en lieu et place du français et des mathématiques, a du plomb dans l’aile !

Mais l’affaire de Sisco est aussi, et surtout, un cas d’école de l’exaspération des Français. Toute personne qui a été sur les réseaux sociaux après cette affaire a pu le constater. Je conseille, en particulier, à ceux des lecteurs qui regardent régulièrement internet de visionner la vidéo d’Arnaud Seassari, jeune Corse, qui, en quelques minutes, explique aux internautes pourquoi il soutient ses compatriotes. Sa vidéo a été regardée des centaines de milliers de fois et en dit long. Mais on peut dire ce que dit ce jeune homme en une seule phrase : Nous sommes chez nous, et nous entendons bien le rester !

Je conçois que les politiciens hors-sol ou les journalistes du Boboland comprennent mal cette réaction. Pour ma part, elle me semble extrêmement naturelle. Et même extrêmement saine. Rien de plus injuste, en effet, que cette situation où les Français se trouvent ainsi dépossédés de leur patrimoine, de celui de leurs ancêtres et de celui de leurs enfants. Oui, nous sommes chez nous et nous avons parfaitement le droit d’y vivre comme nous l’entendons.

Personne n’est obligé de vivre en France. Mais ceux qui l’ont choisi sont tenus d’avoir un minimum de respect pour notre mode de vie.

J’ose encore espérer que les « élites » vont sortir de leur torpeur utopique. Mais qu’elles se dépêchent ! Sinon, les Français se feront justice eux-mêmes et je crains que les échauffourées de Sisco ne fassent alors figure d’aimable plaisanterie..."

Michel Janva

Source : Le salon beige

Un "déséquilibré" français crie "Allah akbar" et tue une femme

 

Ca s'est passé en Australie : 

"Un Français âgé de 29 ans a tué une Britannique à coups de couteau en criant "Allahou Akbar" et a blessé deux autres personnes dans un hôtel du Queensland, en Australie, rapporte la police.

L'auteur de l'agression, qui a eu lieu à Townsville hier soir, dispose d'un visa de touriste en bonne et due forme et n'était pas connu pour être radicalisé, précise-t-elle, ajoutant qu'aucune piste n'a pour le moment été écartée. L'une des victimes, une autre Britannique âgée de 30 ans, se trouve dans un état grave. "Les premiers éléments de l'enquête montrent que des propos susceptibles d'être de nature extrémiste ont été tenus par l'agresseur présumé", a déclaré le commissaire adjoint Steve Gollschewski, de la police du Queensland. "Cette personne semble avoir agi seule. Il s'agit d'un visiteur et il n'a pas de lien local connu, mais l'enquête se poursuit", a-t-il ajouté".

Lahire

Source : Le salon beige

Normandie : malgré l'égorgement d'un prêtre la justice reste irresponsable

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Le parquet antiterroriste a fait appel de la décision d’un juge des libertés et de la détention de laisser en liberté, sous contrôle judiciaire, deux frères originaires du Calvados, mis en examen et placé sous contrôle judiciaire en décembre 2015 pour un séjour en Syrie qui se serait déroulé en 2014. Les deux frères n’avaient pas respecté les modalités de ce contrôle. Mercredi dernier, les policiers du Raid et de la DGSI, sont donc allés les interpeller. Ramenés devant le juge d’instruction, celui-ci demande leur placement en détention, car ils sont « signalés comme dangereux et proche de la mouvance radicale », et il précise que les deux frères avaient organisé une soirée d’hommage à un jihadiste français mort en Irak.

Une détention qui ne se justifie pas selon juge des libertés et de la détention. Ce magistrat a décidé de renouveler le placement sous contrôle judiciaire. Le parquet a fait appel.

Rappelons qu'Adel Kermiche, l’un des auteurs de l'égorgement du père Hamel à Saint-Étienne-du-Rouvray, était lui aussi assigné à résidence avec bracelet électronique.

La mise en examen du juge des libertés pour complicité de terrorisme, c'est pour bientôt ?

Michel Janva

Source : Le salon beige

Le burqini n’est pas un vêtement, c’est le jihad

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En raison du politiquement correct et de cette vaste intimidation qu'est l'invention de l'islamophobie, Yves Daoudal constate que les anti-burkinis ont de piètres arguments :

"Le débat à propos de l’interdiction du burqini sur les plages paraît absurde à beaucoup. D’abord aux libéraux conséquents avec leur idéologie aveugle, pour qui chacun se vêt et se dévêt comme il veut : il n’est pas plus extravagant d’être couvert de la tête aux pieds sur le littoral qu’y être nu comme un ver. Aux libéraux s’adjoignent éventuellement les cathos tradis (et pas forcément tradis), pour qui le burqini est plus décent que le bikini, n’est-ce pas. Et l’on doit ajouter les professionnels de la subversion, qui sont prêts à soutenir tout ce qui peut détruire le conformisme ou supposé tel.

Face à cet alliage pour le moins hétéroclite, les adversaires du burqini sont incapables d’un discours cohérent et argumenté. Quand on leur demande la raison de leur opposition, nombreux sont ceux qui se donnent le ridicule de mettre en avant « l’hygiène ». Les plus courageux parlent des « valeurs de la République » (comprenez-moi à demi-mot), et les plus héroïques évoquent la laïcité. Impossible d’aller plus loin, on sombrerait dans le péché mortel de l’islamophobie.

Il est manifeste que la chape de plomb du politiquement correct et du vivre ensemble fait que beaucoup n’osent même pas penser à la signification du « burqini ». Et les rares qui y pensent n’osent pas le dire. Mais la raison non formulée de l’opposition au burqini est fortement imprimée dans l’inconscient, assez fortement pour que des arrêtés soient pris, et validés par la justice.

Cette raison, il faudrait tout de même que quelqu’un ose la dire ouvertement. Le burqini n’est pas un vêtement, de même que le minaret n’est pas un clocher. « Les minarets sont nos baïonnettes », comme dit le poème cher à Erdogan. Le minaret est le signe visible de la conquête d’un territoire par l’idéologie islamique : c’est pourquoi les Suisses ont sagement interdit la construction de tout minaret sur leur territoire. Or les burqini ne sont rien d’autre que de petits minarets sur les plages : l’affirmation de la conquête de ce territoire par l’islam. Et le jour où il y a assez de « burqinis », on peut chasser les kouffar de la plage devenue halal. Comme à Sisco, par exemple.

Le burqini aussi, c’est le jihad, l’effort de conquête dans le sentier d’Allah, qui est une obligation pour tout musulman, comme le souligne à plusieurs reprises le Coran. C’est si difficile à comprendre ?"

Michel Janva

Source : Le salon beige

Le burkini : nouvel argument victimaire ?

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On croyait la polémique autour du burkini éteinte avec l’arrivée de la fin des beaux jours, elle continue pourtant à enfler. En effet, les lobbys islamistes utilisent les arrêtés anti-burkini (ou burka de bain, ne l’oublions pas) pour se victimiser, sachant pouvoir compter sur les forts contingents de collabobos, sensibles et autres idiots utiles pour relayer leur propagande.

Les débats sur les burkinis ont dévié, passant allègrement de la laïcité à l’hygiène, puis de la sécurité aux libertés publiques. J’ai déjà écrit que tout cela n’avait aucune importance. Au fond, la polémique du burkini interroge l’identité profonde de notre civilisation et, surtout, nous entraîne à déterminer si nous sommes encore en capacité de décider souverainement de ce que doivent être les mœurs nationales. Bref, le port du burkini sur les plages est une provocation d’un prosélytisme étranger, une agression visuelle intolérable. Nous n’en voulons pas. C’est ainsi. Les musulmanes doivent respecter les lois de la République, laquelle reste toujours française jusqu’à preuve du contraire. Si elles veulent se baigner en burkini, elles sont libres de le faire sous des latitudes plus tolérantes, notamment dans le golfe Arabique.

Les jérémiades des antiracistes professionnels m’ont, d’ailleurs, semblé d’une incroyable indécence, alors que la France vient de vivre des attentats islamistes terribles lors des deux dernières années. Jean-Pierre Chevènement a invité les musulmans vivant en France à faire preuve de plus de discrétion. Pourtant, en dépit de ces avertissements de bon sens, leurs représentants s’insurgent perpétuellement contre la France et les Français, toujours soupçonnés de velléités liberticides, « islamophobes », ou de vouloir installer une laïcité punitive. On croit rêver.

Hier, à Cannes, une femme a été verbalisée par la police parce qu’elle portait un burkini. Bien entendu, c’était une manipulation savamment orchestrée, comme le démontrent l’angle et la qualité des photos prises au moment de son « horrible arrestation », non violente et légitime. L’« expert » David Thomson y est même allé de son petit couplet, reprochant une politique qui servirait les desseins de l’État islamique. Il est aussi lâche qu’absurde de tenir de tels propos en se parant des atours du clerc. La France ne doit pas se situer par rapport aux conflits internes du monde musulman, mais mettre en place une politique en conformité avec ce qu’elle est.

Je crois important de relever une phrase de Marwan Muhammad, porte-parole du Collectif contre l’islamophobie en France, et vent debout contre les arrêtés anti-burkini : « Qui a le droit de dire que la France, dans 30 ou 40 ans, ne sera pas un pays musulman ? Personne, dans ce pays, n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là. De nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’islam. Personne n’a le droit de définir pour nous ce qu’est l’identité française. » Voilà les propos d’un djihadiste intelligent, d’un djihadiste patient. Car il s’agit bien là d’une phrase appelant au djihad contre la France, tout en en réécrivant l’Histoire. Vous remarquerez, à ce propos, que la menace terroriste sert autant à justifier qu’à minimiser la menace culturelle du projet politique islamique des Frères musulmans, dont le CCIF est une émanation 2.0.

Gabriel Robin
 

L’islamophobie n’existe pas…

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Il est grand temps de revenir à plus de cohérence. Le terme de « phobie » en dehors de son emploi médical est scandaleux.

La famille des phobies s’accroît sans cesse sans que ceux qui utilisent les mots qu’elle engendre semblent avoir conscience de la stupidité et du danger qu’ils contiennent. Les « phobies » sont avant tout des armes contre la liberté de penser et de critiquer.

D’abord, le mot possède un sens rigoureux qui appartient au vocabulaire de la psychiatrie. La phobie est une peur paralysante, pathologique, démesurée par rapport à ce qui la provoque. Ainsi, un claustrophobe sera paniqué dans un ascenseur bloqué. Le fait d’être intellectuellement hostile à des idées, à des comportements, n’a strictement rien à voir avec une phobie. Ce n’est pas une peur irrationnelle mais une démarche argumentée. L’emploi du mot phobie pour désigner cette attitude est une escroquerie intellectuelle qui consiste à faire passer une opinion pour une maladie, procédé habituel des idéologies totalitaires. La phobie, peur excessive, dénuée de fondement objectif, va quitter le domaine médical pour la politique avec la xénophobie.

Le racisme est souvent confondu avec la xénophobie. Le racisme repose sur l’idée qu’il y a des groupes humains fondés sur une identité génétique qui leur conférerait une place dans une hiérarchie supposée de l’humanité. Le terme de race n’a aucune valeur scientifique. Il est utilisé pour justifier des politiques et des attitudes qui sont profondément inhumaines. Paradoxalement, c’est l’attitude qui se rapproche le plus d’une « phobie » puisque le racisme peut correspondre à cette peur de l’autre vu comme une menace fantasmée qu’il faut anéantir. L’antisémitisme des nazis est caractéristique de cette pathologie obsessionnelle.

La phobie dépend donc de l’absence de rationalité de l’attitude. Or, l’emploi politique du mot est d’autant plus fréquent qu’il désigne des opinions parfaitement rationnelles. C’est un terme orwellien, totalitaire, qui disqualifie a priori une pensée et celui qui l’exprime. L’homophobie en un exemple éclatant. Outre que ce mot ne veut rien dire (peur du même ?), il interdit toute critique de l’homosexualité. Cette opposition peut correspondre à une conception très logique et raisonnable de l’anthropologie. L’emploi du terme est donc excessif et deviendrait plus légitime face à une répression féroce. Or, celle-ci existe. Elle est le fait des islamistes qui assassinent les personnes homosexuelles.

Mais, attention ! La critique de l’islam, c’est de l’islamophobie ! Le procédé a fait recette. L’islamophobie présumée condamne a priori toute critique de la religion musulmane. Elle dresse un rempart à l’abri duquel on peut proclamer, contre toute évidence, que l’islam est une religion de paix et d’amour et en bas duquel les critiques pourtant fondées sur la lecture du coran et des hadiths, sur l’histoire et sur des pans entiers de l’actualité, passent pour de perfides attaques motivées par de méprisables préjugés. Il est parfaitement légitime dans une démocratie libérale, dans un État de droit, d’exprimer des opinions désagréables pour des personnes ou pour des groupes dès lors qu’il ne s’agit pas d’injures, ni d’insultes ou de diffamations. Si la critique des religions est mal supportée par les croyants, elle est légitime dans la mesure où la religion exprime des idées et qu’on a le droit de les contester. La jurisprudence de la CEDH est constante sur ce point. La zone grise de la critique réside dans la dérision, le ridicule, la caricature, mais paradoxalement notre système les admet plus facilement que les discours avec l’excuse de « l’art » ou du divertissement. Comme on le sait, des islamistes les tolèrent si peu qu’ils tuent pour cela.

Il est grand temps de revenir à plus de cohérence. Le terme de « phobie » en dehors de son emploi médical est scandaleux. Dans une société démocratique et libérale, il est indispensable que chacun puisse dire ce qu’il pense des idées ou des comportements d’autrui. L’islamophobie n’existe pas.

Christian Vanneste

Source : Boulevard Voltaire



Sarkozy: "Porter un burkini est un acte militant, une provocation"

Alors que la polémique autour des arrêtés anti-burkini enfle de jour en jour, Nicolas Sarkozy, qui s’est déclaré candidat à la primaire…

Alors que la polémique autour des arrêtés anti-burkini enfle de jour en jour, Nicolas Sarkozy, qui s’est déclaré candidat à la primaire de la droite et du centre en début de semaine, veut aller plus loin. Dans une interview accordée au Figaro, l’ancien chef de l’Etat, et désormais ex-président des Républicains, réagit aux polémiques nées autour du port du burkini sur les plages françaises. 

« Porter un burkini est un acte politique, militant, une provocation. Les femmes qui le portent testent la résistance de la République », estime Nicolas Sarkozy, ajoutant que « ne rien faire, c’est laisser penser que la France apparaît faible, et ce serait acter un nouveau recul de la République », en référence aux arrêtés anti-burkini pris par plusieurs communes du littoral méditerranéen depuis quelques jours.  

Une loi contre les signes religieux 

Et l’ex-président des Républicains de proposer « une loi qui interdise tout signe religieux ostensible non seulement à l’école, mais également à l’université, dans l’Administration et aussi dans les entreprises ».

« La situation qui est la nôtre est profondément anormale. La majorité est aujourd’hui provoquée par des comportements minoritaires qui veulent s’imposer et qui sont à l’opposé de nos valeurs républicaines. (…) C’est la tyrannie des minorités », justifie par ailleurs Nicolas Sarkozy.

Source : Boulevard Voltaire 



25-28 août 2016 : un séminaire interdit aux Blancs à Reims !

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C’est ce que nous apprennent deux articles du Figaro du 21 et du 23 août. Un camp d’été de « formation à l’antiracisme politique » (sic) va être organisé par des « collectifs » proches des Indigènes de la République, du 25 au 28 août à Reims. Sa particularité ? Il sera interdit aux Blancs ! Cette colonisation momentanée d’une parcelle de nos terres ancestrales, avec un entre-soi excluant les Blancs, est une ségrégation raciale assumée, un apartheid qui en dit long sur les fantasmes politiques des gens qui l’organisent.

Ces Africains ou « afro-descendants » se disent victimes d’un racisme d’État. Cette représentation de la réalité relève de la pathologie mentale. Qu’est-ce que le racisme, en effet, si ce n’est un système d’avilissement. Et de quel avilissement d’État souffrent les Noirs en France ? Celui d’être accueillis par millions ? Et si tel était le cas, pourquoi les organisateurs de ce camp africain ne retournent-ils pas au milieu de leur peuple, sur ce continent noir où tant reste à faire ? Apartheid pour apartheid, non-mixité pour non-mixité, il faut pousser la logique jusqu’au bout : pas deux ou trois jours à Reims, votre vie entière dans cette Afrique profonde dont vous ferez, loin du racisme blanc qui vous empêche de réussir, un continent exemplaire, moderne et prospère.

En fait, les non-Blancs ne sont pas victimes du racisme d’État mais profitent de celui-ci. Car il y a effectivement un racisme d’État, c’est-à-dire un système d’avilissement structuré et institutionnel, mais celui-ci ne s’exerce pas contre les Noirs ou les musulmans mais, exclusivement, contre les Blancs.

Ce racisme structurel, le seul qui soit démontrable, repose d’une part sur la négation de la blanchitude (au contraire, notez-le bien, de la négritude constamment valorisée) et, d’autre part, de manière tout à fait paradoxale, sur la réduction de la blanchitude au racisme. Le Blanc et le Français de souche n’existent pas, si ce n’est à travers le racisme qui traverse toute leur histoire et qui explique, à vous Africains, votre statut d’opprimés et à nous, les Blancs, notre statut d’oppresseurs. Or, ce système d’avilissement du Blanc raciste est enseigné dans les écoles, est inscrit dans une historiographie « légale » (qui stigmatise les Blancs, mais est très indulgente avec vous, les non-Blanc), est véhiculé par les associations « antiracistes » subventionnées par l’État, sert de référence à la « justice » d’État, fait l’objet de campagnes antijaphiques 1 d’État… sans oublier que ce même État républicain utilise ce système d’avilissement pour expliquer l’échec de son modèle de société et s’en sert aussi, au passage, pour neutraliser les opposants à l’immigration. Le racisme d’État, structurel, institutionnel, le seul, le vrai, l’unique, est le racisme anti-blanc.

À l’heure où j’écris, les opprimés réunis à Reims n’ont fait l’objet d’aucune interdiction légale. On imagine sans peine les cris d’orfraie de la classe politico-médiatique, les manifestations, les envolées lyriques sur la bête immonde et les jours sombres de notre histoire si un séminaire organisé par des Blancs interdisait son accès aux Noirs ! « Rien ne permet d’interdire cette rencontre à ce jour », a fait savoir la ville de Reims, qui siège au conseil d’administration du centre de séjour (Cf. Le Figaro). Pour Martine Solczanski, directrice du centre de séjour, le séminaire n’interfère pas avec les principes de non-discrimination défendus par son établissement : « Nous avons traité leur demande de réservation comme tous les groupes et, professionnellement, ça ne me pose pas de problème », dit-elle (Cf. Le Figaro). SOS Racisme et la LICRA n’ont pas encore porté plainte, mais cela ne saurait tarder, bien que leur silence fût mystérieusement assourdissant lors de la rencontre « paroles non blanches », organisée en avril dernier à l’université Paris VIII.

Vous avez dit « vivre ensemble » ?

Notes:

  1. Noé avait trois fils : Sem, Cham et Japhet (Japhet étant l’ancêtre des Européens). Celui qui n’aime pas les fils de Sem est un antisémite (antisémitisme), celui qui n’aime pas les fils de Japhet est un antijaphite (antijaphétisme).

Antonin Campana

Source : Boulevard Voltaire