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vendredi, 02 décembre 2016

Mohamed et Fatima font leur entrée au calendrier norvégien

Jusqu’à présent, ni Ali, ni Fatima ni Mohamed n’avaient leur propre jour de fête, mais cela va bientôt changer. À partir de 2017, dix prénoms musulmans et arabes vont être intégrés dans le calendrier […].




C’est la maison d’édition Almanakkforlaget qui est en charge de la liste des prénoms en Norvège […]

La liste des prénoms est modifiée une fois tous les dix ans. En collaboration avec des chercheurs de l’Université d’ Oslo, nous sommes parvenus à un [nouvel] ordre des prénoms, a déclaré Hans Olav Hoff, directeur des éditions Almanakkforlaget […]

Responsable du calendrier des prénoms , Solveig Wikstrom, de l’université d’Oslo, a fixé à 450 le nombre minimal de porteurs pour qu’un prénom figure au calendrier.

[…]

Les nouvelles fêtes* :

6 janvier – Aisha (725). Fêté avec Aslaug et Åslaug.
16 janvier – Hassan (1206). Fêté avec Hilmar et Hjalmar.
2 février – Omar (1252). Fêté avec Jostein et Jomar.
18 février – Fatima (1268). Fêté avec Frode et Frøydis.
7 mars – Ali (3258). Fêté avec Are et Arild.
16 avril – Mohammad (4119). Fêté avec Magnus et Mons. Autres formes : Mohamed (3055), Mohammed (2478), Muhammad (1601).
16 mai – Samira (498). Fêté avec Sara et Siren.
21 juin – Ahmed (2486). Fêté avec Agnar et Annar. Autre forme : Ahmad (1114).
10 juillet – Amina (1127). Fêté avec Anita et Anja.
8 août – Yasmin (555). Fêté avec Evy et Yvonne.

* Entre parenthèses le nombre de personnes portant ce prénom selon l’Office central des statistiques

(Traduction Fdesouche)

Source 

Faits divers en France L'immigration, une chance pour la France ?

Agressions,braquages,meurtres,escroqueries,bandes,viols,attentats…

Royaume-Uni : +335,000 immigrés de juin 2015 à juin 2016, plus haut niveau historique

L’immigration vers le Royaume-Uni a atteint des niveaux record juste avant que la Grande-Bretagne ait voté pour quitter l’Union européenne, selon des données de l’Office for National Statistics. 


Le solde migratoire (différence entre le nombre de personnes qui sont entrées sur le territoire et le nombre de personnes qui en sont sorties au cours de l’année) a atteint le niveau de +335,000 entrées dans le Royaume-Uni.


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 650 000 mille personnes sont venues au Royaume-Uni en 1 an, de Juin 2015 à Juin 2016, avec un nombre «historiquement élevé» de citoyens de l’Union européenne entrant dans le pays avant le vote Brexit. 

284 000 citoyens de l’UE ont immigré au Royaume-Uni au cours de l’année, ce que l’ONS estime être la «plus haute estimation enregistrée

Le nombre de personnes immigrant en Grande-Bretagne hors de l’UE était de 289 000.

Un grand facteur de l’immigration record de l’Union européenne dans le pays a été un nombre croissant de citoyens bulgares et roumains se déplaçant vers la Grande-Bretagne, la majorité d’entre eux se déplacant en Grande-Bretagne pour le travail.

Source 

Comment la laïcité dévoyée contribue à l’islamisation de la France

La notion de laïcité, telle qu’elle est utilisée par le Système dans les débats sur l’immigration, se révèle être d’une grande ambiguïté. Normalement la laïcité devrait conduire à contester l’islam qui est réfractaire à ce concept et à reconnaître son incompatibilité avec les principes qui régissent notre société.

Force est de constater que la classe politique et médiatique, qui se réfère pourtant en permanence à la laïcité, n’en tire nullement cette conclusion.


Lorsque, il y a de nombreuses années, je me suis rendu compte que l’immigration massive allait générer un processus d’islamisation, j’ai pensé que cette nouvelle donne pouvait progressivement faire éclater le consensus de la classe politique et médiatique en faveur de la politique d’immigration à tout va. Car c’est l’idéologie officielle des tenants du Système qui se trouvait ainsi mise en cause par l’islam et bien au-delà, d’ailleurs, de la laïcité. L’égalité des citoyens compromise par le statut d’infériorité réservé aux femmes, la démocratie contestée par la légitimité de la loi divine, les valeurs des lumières réfutées par la confusion du politique et du religieux, il était clair que l’islam n’était compatible ni avec la République ni avec les droits de l’homme.

Les symboles
Les symboles : le tchador et la croix
 
 Dès lors, on pouvait penser que ceux qui défendaient ces principes, les tenants de l’idéologie politiquement correcte, ne pourraient que s’inquiéter de la montée de l’islam et, ce faisant, rejoindre ceux qui contestaient la politique d’immigration massive suivie jusqu’alors.
Certains l’ont fait avec courage mais ils n’ont été qu’une petite minorité. L’essentiel du Système a choisi de rester sur une ligne immigrationniste et a entrepris un exercice idéologique acrobatique pour gommer les contradictions pourtant inhérentes à cette position. Pis : la manière dont ils manipulent leurs principes les amène aujourd’hui à transformer la laïcité en un instrument qui détruit notre identité et qui assure, en revanche, la promotion de l’islam.

La laïcité égalitaire

 

Ils ont en effet dénaturé la notion même de laïcité en y introduisant une idée d’égalité : l’idée que l’Etat et les pouvoirs publics doivent traiter également toutes les religions. Or cette dimension égalitaire, qui n’est nullement contenue dans le concept de laïcité, est naturellement celle qui est la plus utilisée par les tenants du politiquement correct. Lesquels vont dès lors utiliser la laïcité pour mettre sur le même plan la religion chrétienne et la religion musulmane, ce qui les conduit à faire reculer la première et à assurer la promotion de la seconde. N’est-ce pas d’ailleurs ce que l’on observe tous les jours ? L’islam est au centre des préoccupations des médias quand le christianisme en est pratiquement absent.

C’est en effet au nom de la laïcité, remise à l’honneur par la montée de l’islam, que le Système s’en prend maintenant à toutes les manifestations publiques du christianisme avec comme objectif de l’évacuer totalement de la sphère publique. C’est, par exemple, au nom de cette logique que certains réclament l’interdiction des crèches à Noël, que d’autres veulent faire taire les cloches des églises et que d’autres encore font la chasse aux croix dans l’espace public.

Amiens, cathédrale Notre Dame, excellent symbole de notre culture
Amiens, cathédrale Notre Dame, excellent symbole de la culture européenne

 Pis : lorsqu’on veut réglementer une pratique de l’islam contraire à nos traditions, on cherche à s’en prendre symétriquement à l’une de nos coutumes : ainsi, l’interdiction du port du tchador sera-t-elle étendue à tous les signes religieux ostensibles, y compris, bien sûr, au port d’une croix, lequel ne posait pourtant aucun problème.
De plus, cette vision d’un laïcisme symétrique et égalitaire conduit à nier la composante chrétienne de notre identité. Indépendamment de toute considération religieuse, que l’on soit catholique ou non, pratiquant ou non, personne ne peut nier pourtant que notre nation a été façonnée par le christianisme. Il suffit d’observer notre territoire si riche de calvaires, d’églises et de cathédrales, ou de s’intéresser au nom des lieux désignés pour beaucoup par le nom d’un saint, ou encore de se rappeler que les jours fériés correspondent pour la plupart à des fêtes chrétiennes. Or, si l’on nie cette réalité, si l’on cherche à l’occulter voire à la détruire au nom de la laïcité, on gomme tout un pan de notre identité face à l’identité conquérante de l’islam.

En plaçant ainsi sur le même plan une religion qui a marqué notre nation pendant quinze siècles et une autre qui n’est présente dans l’Hexagone que depuis quelques décennies seulement, on assure une promotion extraordinaire à l’islam, lui conférant de ce fait un statut de tout premier plan au sein de notre pays. Dévoyée par les tenants du Système, la laïcité conduit dès lors, indirectement et paradoxalement, à renforcer l’islam en l’installant et en le légitimant sur notre sol, tout en érodant par ailleurs notre propre identité.

L’impératif d’identité

 

Aussi, pour combattre la montée de l’islam faut-il sortir du schéma politiquement correct, car les valeurs républicaines comme celle de la laïcité ne sont pas suffisantes pour asseoir intellectuellement une opposition claire à l’islamisation de notre pays.

Sur le plan idéologique, c’est bien le recours au concept d’identité qui permet de lever toutes les ambiguïtés. L’islamisation doit être combattue car l’islam n’est pas compatible avec notre identité, ni sur le plan historique, ni sur le plan religieux, ni sur le plan des valeurs. En clair, il ne procède pas de la même civilisation. Et la défense, ô combien légitime, de notre propre civilisation nous impose donc d’empêcher l’islam de s’installer massivement sur notre sol.

Bruno Mégret

Source 

Vienne: des cambrioleurs dérobent la cagnotte d'une mère de famille veuve

Une mère de famille, domiciliée à Chasseneuil-du-Poitou (Vienne), a perdu son mari. En guise de soutien, les collègues du défunt ont fait tourner une cagnotte pour l’aider financièrement. Trois semaines plus tard, cette précieuse enveloppe a été dérobée par des cambrioleurs à son domicile, rapporte RTL et La Nouvelle République.

« J’avais caché l’enveloppe car je ne me sentais pas en sécurité », raconte Stéphanie au micro de RTL, précisant qu’elle avait pris rendez-vous à la banque le jour-même pour ouvrir un livret d’épargne. « Ils ont tout retourné pour trouver l’argent. On enlève le pain de la bouche de mes deux enfants, c’est un manque de respect pour eux, pour mon mari et pour ses collègues. »
Les auteurs du larcin ont mis à sac le domicile familial, en pénétrant par effraction dans le pavillon. Après avoir détérioré la baie vitrée donnant sur le jardin, ils ont fouillé consciencieusement les lieux, du bureau à la salle de bain, délaissant les bijoux de famille sans valeur pécuniaire pour mieux se concentrer sur l’argent liquide.
« On a vécu un grand malheur et maintenant ça… », déplore la mère de famille. « Ce n’est pas le vol en lui-même [qui est révoltant], c’est le geste. »
Le quotidien régional précise que de nombreux cambriolages se sont déroulés ces dernières semaines dans ce quartier d’ordinaire tranquille et que les baies vitrées sont un passage récurrent pour ces malfaiteurs.

Source 

Mille trois cents réfugiés bientôt hébergés chez des particuliers

La ministre du logement Emmanuelle Cosse a présenté jeudi 30 novembre le résultat de l’appel à projets pour l’hébergement citoyen de réfugiés. 1 361 migrants ayant obtenu l’asile vont pouvoir être hébergés entre trois et douze mois par des particuliers volontaires. Onze associations ont été sélectionnées pour organiser cet accueil.

 Depuis décembre 2015, Maïsara, un jeune réfugié libyen de 27 ans, vit chez Robert, retraité parisien. En 2015, Robert, qui se demandait comment apporter sa pierre à l’accueil des migrants, s’est inscrit à l’association Singa, qui a créé CALM (Comme à la Maison), une application destinée à mettre en contact réfugiés et particuliers prêts à les loger.

 Désormais, Maïsara dispose d’une chambre chez Robert. Ensemble ils partagent des repas. Mais pas seulement. Apprentissage du français, soutien dans les démarches administratives, aide à la recherche d’emploi, le compagnonnage a bien fonctionné. Il y a trois mois, Maïsara a trouvé un emploi dans la protection incendie. Désormais, il cherche un logement autonome.

 

Un appel à projets

 

Exemplaire, la belle histoire de Maïsara et de Robert peut-elle faire des émules ? C’est en tout cas le pari de l’appel à projets lancé le 10 août dernier par Emmanuelle Cosse pour développer « l’expérimentation de dispositifs d’hébergement de réfugiés chez les particuliers ». Au départ calibré pour accueillir 1 000 réfugiés pendant deux ans, l’appel d’offres a rencontré plus de succès que prévu. Au total, 1 361 réfugiés vont pouvoir être hébergés dans des domiciles en région parisienne, mais aussi du côté d’Amiens, de Perpignan, de Lille, de Tours, ou encore de Lorient.

Sur les 19 structures qui ont candidaté pour organiser cet accueil particulier, 11, déjà connues pour leur expérience dans l’accueil des migrants et leur réseau de bénévoles de proximité, ont été retenues, a indiqué Emmanuelle Cosse, la ministre du logement, mercredi 30 novembre. Singa prendra en charge 400 réfugiés, souvent en association avec des partenaires locaux ; le Samu social organisera l’hébergement de 336 personnes ; la Fédération de l’entraide protestante s’occupera de 200 réfugiés. Et d’autres petites structures, comme la Pierre Blanche, Apremis, Entr’aide ouvrière, ou encore Horizon 77, en accueilleront chacune quelques dizaines.

 Le soutien de l’État à « la France bienveillante »


« Non seulement on trouve plus de familles volontaires qu’on le pensait, mais on a aussi des gens qui se portent bénévoles pour les accompagner », explique Pierre Dhonte, de l’association La Pierre Blanche, qui organise ce type d’accueil depuis deux ans dans les Yvelines et pilotera cette fois l’hébergement de 40 réfugiés. « Ce type de programme trouve un vrai écho auprès de la population », abonde Étienne Demangeon, président de l’Apremis, qui, pour accueillir 25 réfugiés près d’Amiens, va puiser dans le vivier de familles déjà volontaires.

« Avec cet appel à projets, commente Emmanuelle Cosse, j’ai voulu que les politiques publiques soutiennent cette France bienveillante, qu’elles la reconnaissent et lui donnent les moyens de structurer son action. Non pas à la place des grands dispositifs d’accueil d’État, mais en complément, avec la vitalité et l’originalité citoyennes. »

Un accueil gratuit pendant un an maximum

 

Selon le cahier de charges du projet, seules les personnes majeures et volontaires ayant déjà obtenu leur statut de réfugié pourront bénéficier de cet hébergement solidaire et gratuit, même si une participation symbolique, en fonction des ressources du réfugié, peut aussi être demandée. Pour accueillir, il faut pouvoir offrir une chambre privative, un canapé ne pouvant suffire. Car si cet hébergement citoyen ne saurait être pérenne, l’accueillant s’engage tout de même sur une durée qui peut aller de trois mois à un an.
L’accueillant pourra toutefois s’appuyer sur une association partenaire, qui sera l’interlocuteur central du projet. C’est à elle que revient ainsi la mise en relation entre les réfugiés candidats et les familles volontaires. « Nous allons voir les familles au domicile pour évaluer les motivations et vérifier aussi que le projet est bien porté par toute la famille », explique ainsi Christine Laconde, directrice générale du Samu social de Paris. Il revient aussi à l’association de régler les éventuels problèmes. C’est surtout à elle de s’occuper de l’accompagnement du réfugié, qu’il s’agisse du suivi médical, de l’apprentissage de la langue, de l’aide aux démarches administratives, à la recherche d’un emploi et d’un logement autonome pérenne.

Pour cela, les associations recevront 1 500 € d’aide par an et par réfugié suivi.

Nathalie Birchem