Pour ceux qui doutent encore de la réalité du Grand Remplacement et de l’islamisation de pans entiers de notre territoire, le journal télévisé de 20 h 00 de France 2 du 7/12/2016, au cours duquel a été diffusée une enquête sur le sort des femmes dans l’espace public de nos quartier, a fait l’effet d’un électrochoc.
Alors que Bernard de La Villardière a subi les foudres de la critique suite à la diffusion de son documentaire sur l’islam en France, voici que David Pujadas crève à son tour l’abcès en s’intéressant au sort des femmes dans les territoires perdus de la République.
La nouveauté réside dans le fait que, pour une fois, ce n’est pas un site de réinformation – que certains se plaisent à caricaturer en l’appelant « fachosphère » – qui a diffusé ce reportage, mais une chaîne du service public.
Est-ce le signe d’une prise de conscience ?
Alors que Bernard de La Villardière a subi les foudres de la critique suite à la diffusion de son documentaire sur l’islam en France, voici que David Pujadas crève à son tour l’abcès en s’intéressant au sort des femmes dans les territoires perdus de la République.
La nouveauté réside dans le fait que, pour une fois, ce n’est pas un site de réinformation – que certains se plaisent à caricaturer en l’appelant « fachosphère » – qui a diffusé ce reportage, mais une chaîne du service public.
Est-ce le signe d’une prise de conscience ?
Saluons, en tout cas, le militantisme de ces femmes, en particulier celui de Nadia Remadna, qui dénoncent une réalité sur laquelle un tabou médiatique s’abat depuis des années : l’islam a remplacé les lois de la République dans nos quartiers, et le sort des femmes illustre l’obscurantisme lié à un mode de vie qui n’a sa place ni en France ni en Occident. Elles ne peuvent, en effet, se vêtir comme elles le souhaitent, ni circuler librement, encore moins fréquenter des espaces tels que les cafés…
À l’heure où la victimisation systématique des femmes voilées est utilisée comme une arme de propagande par les islamistes, via leurs réseaux d’influence (notamment le CCIF et l’UOIF), voilà donc une enquête journalistique qui, pour une fois – l’expression ne peut être mieux choisie –, lève le voile sur la discrimination faite aux femmes qui ne répondent pas à des codes dictés par la charia, c’est-à-dire la loi islamique.
Tournées à Sevran et à Rillieux-la-Pape, les images de ce reportage pourraient se décliner en des milliers d’autres lieux et doivent éclairer nos concitoyens sur l’impérieuse nécessité de reconquête de ces territoires, qui ne pourra se faire ni par l’aveuglement ni par le dialogue.
Ceux qui affirmeront le contraire nieront que c’est précisément pour acheter la paix sociale que les politiques ont choisi de renoncer aux libertés fondamentales qui définissent notre identité, en particulier l’égalité entre les hommes et les femmes, en livrant certains de nos territoires aux islamistes.
Les citoyens les plus modestes, ceux qui n’ont d’autre choix que de vivre dans ces secteurs, se retrouvent donc en première ligne et doivent courber l’échine en se soumettant à des codes issus de traditions extra-européennes et de traditions moyen-âgeuses directement importées du « bled », comme cela est clairement et fièrement assumé par un interlocteur dans le reportage.
C’est pourquoi il est urgent de rappeler que l’islam n’est pas compatible avec la République, et que Karim Ouchikh, président du SIEL, a raison d’affirmer qu’il doit être mis sous tutelle. Il y va de la sauvegarde de nos modes de vie, de notre identité et, plus simplement, de nos libertés.
À l’heure où la victimisation systématique des femmes voilées est utilisée comme une arme de propagande par les islamistes, via leurs réseaux d’influence (notamment le CCIF et l’UOIF), voilà donc une enquête journalistique qui, pour une fois – l’expression ne peut être mieux choisie –, lève le voile sur la discrimination faite aux femmes qui ne répondent pas à des codes dictés par la charia, c’est-à-dire la loi islamique.
Tournées à Sevran et à Rillieux-la-Pape, les images de ce reportage pourraient se décliner en des milliers d’autres lieux et doivent éclairer nos concitoyens sur l’impérieuse nécessité de reconquête de ces territoires, qui ne pourra se faire ni par l’aveuglement ni par le dialogue.
Ceux qui affirmeront le contraire nieront que c’est précisément pour acheter la paix sociale que les politiques ont choisi de renoncer aux libertés fondamentales qui définissent notre identité, en particulier l’égalité entre les hommes et les femmes, en livrant certains de nos territoires aux islamistes.
Les citoyens les plus modestes, ceux qui n’ont d’autre choix que de vivre dans ces secteurs, se retrouvent donc en première ligne et doivent courber l’échine en se soumettant à des codes issus de traditions extra-européennes et de traditions moyen-âgeuses directement importées du « bled », comme cela est clairement et fièrement assumé par un interlocteur dans le reportage.
C’est pourquoi il est urgent de rappeler que l’islam n’est pas compatible avec la République, et que Karim Ouchikh, président du SIEL, a raison d’affirmer qu’il doit être mis sous tutelle. Il y va de la sauvegarde de nos modes de vie, de notre identité et, plus simplement, de nos libertés.
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