Un marché de Noël à quelques jours de la fête de la Nativité, au pied de l’église du Souvenir à Berlin… Évidemment, on aurait pu s’en douter. Beaucoup le craignaient. Le symbole était trop « beau »… D’ailleurs, ne nous avait-on pas prévenus ? « Risques importants de nouveaux attentats en France, en Grande-Bretagne, en Belgique et en Allemagne… » Ne nous avait-on pas avertis ? « Le problème n’est pas de savoir “si” mais de savoir “quand” » disait déjà Manuel Valls, alors encore Premier ministre, en juin 2015.
Et maintenant, qu’allons-nous faire ? Allumer de nouvelles bougies ? Laisser les patrouilles de musulmans « protéger » nos églises lors de la messe de minuit, le 24 décembre prochain, comme ils avaient déjà tenté de le faire l’an dernier ? Tendre le cou, dociles, jusqu’à la certaine prochaine fois ?
Vous me direz, que faire ? Comment résister ? Comment se protéger ?
Il existe bien quelques actions possibles, cent fois rappelées, rabâchées, comme une leçon qui, décidément, a du mal à rentrer. Fermeture des mosquées radicalisées, enfermement des fichés S, expulsion des imams salafistes, autorisation des gardes urbaines, à la manière de celle proposée par le maire de Béziers et retoquée par le sous-préfet, interdiction des « revenants », pour reprendre le titre du livre de David Thomson sur les retours des djihadistes en France… Oh, ce ne serait pas suffisant, bien sûr, mais aurait le mérite de montrer notre volonté de réagir, de ne pas se laisser faire, de se battre pour notre culture, notre civilisation, notre France.
Tout cela, on le sait, relève malheureusement du vœu pieux tant que François Hollande sera à la tête de notre pays. Enfin, à la tête, je me comprends… Parce que la palme des réactions indécentes revient, une fois encore, à notre illustre Président : « J’exprime ma solidarité et ma compassion à la Chancelière Merkel, au peuple allemand et aux familles des victimes de Berlin. »
Faire passer la chancelière allemande avant les victimes, quand on connaît la folle politique migratoire qu’elle a mise en place, c’est plus que maladroit, plus que douteux… Oserai-je « indécent » ?
Quand madame Merkel va-t-elle comprendre ? Quand nos dirigeants vont-ils ouvrir les yeux ? Quand vont-ils cesser de se vautrer dans la compassion et l’émotion pour réagir enfin en hommes et en femmes d’État ? Faut-il vraiment s’appeler Donald Trump pour oser nommer les choses ?
Emmanuelle Duverger
Source
Et maintenant, qu’allons-nous faire ? Allumer de nouvelles bougies ? Laisser les patrouilles de musulmans « protéger » nos églises lors de la messe de minuit, le 24 décembre prochain, comme ils avaient déjà tenté de le faire l’an dernier ? Tendre le cou, dociles, jusqu’à la certaine prochaine fois ?
Vous me direz, que faire ? Comment résister ? Comment se protéger ?
Il existe bien quelques actions possibles, cent fois rappelées, rabâchées, comme une leçon qui, décidément, a du mal à rentrer. Fermeture des mosquées radicalisées, enfermement des fichés S, expulsion des imams salafistes, autorisation des gardes urbaines, à la manière de celle proposée par le maire de Béziers et retoquée par le sous-préfet, interdiction des « revenants », pour reprendre le titre du livre de David Thomson sur les retours des djihadistes en France… Oh, ce ne serait pas suffisant, bien sûr, mais aurait le mérite de montrer notre volonté de réagir, de ne pas se laisser faire, de se battre pour notre culture, notre civilisation, notre France.
Tout cela, on le sait, relève malheureusement du vœu pieux tant que François Hollande sera à la tête de notre pays. Enfin, à la tête, je me comprends… Parce que la palme des réactions indécentes revient, une fois encore, à notre illustre Président : « J’exprime ma solidarité et ma compassion à la Chancelière Merkel, au peuple allemand et aux familles des victimes de Berlin. »
Faire passer la chancelière allemande avant les victimes, quand on connaît la folle politique migratoire qu’elle a mise en place, c’est plus que maladroit, plus que douteux… Oserai-je « indécent » ?
Quand madame Merkel va-t-elle comprendre ? Quand nos dirigeants vont-ils ouvrir les yeux ? Quand vont-ils cesser de se vautrer dans la compassion et l’émotion pour réagir enfin en hommes et en femmes d’État ? Faut-il vraiment s’appeler Donald Trump pour oser nommer les choses ?
« Des civils innocents ont été tués dans les rues alors qu’ils se préparaient à fêter Noël. L’État islamique et d’autres terroristes islamiques attaquent continuellement les chrétiens au sein de leurs communautés et lieux de culte. »
”
« Ces terroristes ainsi que leurs réseaux régionaux et mondial doivent être éradiqués de la face de la Terre, une mission que nous allons mener à bien avec tous nos partenaires épris de liberté. »
”
Il y a des jours où on envie les Américains…Emmanuelle Duverger
Source
Les commentaires sont fermés.