Dans le champ des idées et du combat politique, tout est d’ordinaire bon pour la récupération.
Combien de fois les dénonciateurs de l’islamisme n’ont-ils pas été accusés de « récupérer » un attentat alors que la plupart d’entre eux mettent en garde contre les dangers du radicalisme depuis de nombreuses années déjà (quand, à l’époque, le multiculturalisme était encore forcément heureux) ?
C’est le sort connu par les partis patriotiques et souverainistes, les penseurs ayant déserté le sentier balisé par le politiquement correct et les citoyens les mieux informés.
Les « récupérateurs de drames » les plus chevronnés ne sont pourtant pas ceux que l’on croit. Le camp du politiquement correct n’a, d’ailleurs, jamais lésiné sur les moyens. Et, apparemment, les fêtes de fin d’année n’ont pas ankylosé les cerveaux de tout ce qui pense.
C’est le cas, notamment, en Belgique où l’on se désole, en ce moment, du « racisme décomplexé » qui aurait percolé dans le pays suite à la mort d’un Belgo-Turc lors de l’attentat d’Istanbul.
Rapidement, les médias sont donc montés au créneau pour dénoncer les quelques propos racistes apparus sur les réseaux sociaux, tels que : « un parasite en moins » ; « un musulman en moins, c’est bien ».
Bien sûr, ces propos sont abjects. Mais ils sont heureusement minoritaires.
Certains ont pourtant décidé de transformer les quelques commentaires malheureux en faits de société et de faire des Belges excédés d’odieux racistes. Ce sont les mêmes qui, lorsqu’il s’agit de l’islam, appellent à ne pas faire d’amalgames.
Unia, le centre interfédéral pour l’égalité des chances – en réalité le bras armé du politiquement correct -, a rapidement dégainé : « En Belgique, nous n’avions encore jamais vu autant de manifestations de haine que ces dernières années. Cela se répand très vite grâce aux réseaux sociaux. »
La haine la plus répandue, pourtant, n’est pas le fait de Belges de souche. Ceux-ci sont pourtant excédés et le font savoir, avec, pour l’immense majorité, beaucoup de retenue et la volonté de ne pas envenimer la situation. Que le « camp du bien » prenne exemple sur eux.
Gregory Vanden Bruel
Source
Combien de fois les dénonciateurs de l’islamisme n’ont-ils pas été accusés de « récupérer » un attentat alors que la plupart d’entre eux mettent en garde contre les dangers du radicalisme depuis de nombreuses années déjà (quand, à l’époque, le multiculturalisme était encore forcément heureux) ?
C’est le sort connu par les partis patriotiques et souverainistes, les penseurs ayant déserté le sentier balisé par le politiquement correct et les citoyens les mieux informés.
Les « récupérateurs de drames » les plus chevronnés ne sont pourtant pas ceux que l’on croit. Le camp du politiquement correct n’a, d’ailleurs, jamais lésiné sur les moyens. Et, apparemment, les fêtes de fin d’année n’ont pas ankylosé les cerveaux de tout ce qui pense.
C’est le cas, notamment, en Belgique où l’on se désole, en ce moment, du « racisme décomplexé » qui aurait percolé dans le pays suite à la mort d’un Belgo-Turc lors de l’attentat d’Istanbul.
Rapidement, les médias sont donc montés au créneau pour dénoncer les quelques propos racistes apparus sur les réseaux sociaux, tels que : « un parasite en moins » ; « un musulman en moins, c’est bien ».
Bien sûr, ces propos sont abjects. Mais ils sont heureusement minoritaires.
Certains ont pourtant décidé de transformer les quelques commentaires malheureux en faits de société et de faire des Belges excédés d’odieux racistes. Ce sont les mêmes qui, lorsqu’il s’agit de l’islam, appellent à ne pas faire d’amalgames.
Unia, le centre interfédéral pour l’égalité des chances – en réalité le bras armé du politiquement correct -, a rapidement dégainé : « En Belgique, nous n’avions encore jamais vu autant de manifestations de haine que ces dernières années. Cela se répand très vite grâce aux réseaux sociaux. »
La haine la plus répandue, pourtant, n’est pas le fait de Belges de souche. Ceux-ci sont pourtant excédés et le font savoir, avec, pour l’immense majorité, beaucoup de retenue et la volonté de ne pas envenimer la situation. Que le « camp du bien » prenne exemple sur eux.
Gregory Vanden Bruel
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