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vendredi, 27 janvier 2017

La grande Mosquée a dépensé 1,2 million d’euros en 2 ans pour la diffusion de sa doctrine

 

 
Le Centre Islamique et Culturel de Belgique (CICB) a dépensé 1,2 million d’euros entre 2012 et 2014 pour rémunérer du personnel affecté à la propagation de son idéologie, a indiqué mercredi l’administrateur-général de la Sûreté de l’Etat, Jaak Raes, devant la commission d’enquête sur les attentats terroristes.

Le Centre Islamique et Culturel de Belgique (CICB) a dépensé 1,2 million d’euros entre 2012 et 2014 pour rémunérer du personnel affecté à la propagation de son idéologie, a indiqué mercredi l’administrateur-général de la Sûreté de l’Etat, Jaak Raes, devant la commission d’enquête sur les attentats terroristes.
 
Le CICB est connu pour abriter la Grande Mosquée du Cinquantenaire à Bruxelles et reçoit une grande partie de son financement de l’Arabie saoudite par le biais de la Ligue islamique mondiale. Ses administrateurs et son gestionnaire sont d’ailleurs liés au royaume saoudien, voire y sont domiciliés. L’institution a souvent été pointée du doigt comme le lieu de diffusion en Belgique de l’islam saoudien, soit le courant wahhabite, fondamentaliste et particulièrement rigoriste. Selon la Sûreté, il ne faut toutefois pas y voir le lieu de diffusion du djihadisme, les gens qui la fréquentent étant très massivement opposés au terrorisme. Le CICB a également distribué 600.000 euros sous forme de dons à des personnes et des associations qui propagent une vision « islamiste », d’après la Sûreté. Après les attentats de Paris, le ministre de l’Intérieur, Jan Jambon, avait demandé à la Sûreté de produire un rapport sur la Grande Mosquée. Il n’existe pas de « grand problème » de radicalisation qui soit liée à cette mosquée pas plus qu’à d’autres lieux de culte reconnus, avait affirmé le ministre sur la foi du rapport.

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Mormant (77) : enquête après la découverte de deux têtes de sangliers près d’un local d’une association musulmane

 

 
Une enquête de gendarmerie a été ouverte à la suite de la découverte de deux têtes de sangliers, près du local d’une association musulmane, à Mormant.

Le geste de braconniers, un acte islamophobe ou un simple abandon sur la voie publique. Une enquête de gendarmerie a été ouverte à la brigade de gendarmerie de Mormant, a-t-on appris, ce mercredi 25 janvier, de sources concordantes, confirmant une information de BFM TV.

Selon la gendarmerie, “cette découverte n’est pas une première en Seine-et-Marne puisque des dépouilles de sangliers sont souvent réalisées dans le département.”

 Toutefois, selon le maire de Mormant, les deux têtes n’ont pas été abandonnées devant le local de l’association musulmane mais dans un préau situé à proximité. “C’est un lieu ouvert où sont souvent entreposées des épaves de voitures, un appentis d’une ancienne école de la commune”, précise Sylvain Clérin, le maire, qui évoque “un non-événement.”

Le local est prêté par la municipalité depuis plus de 5 ans et il n’y a, selon lui, jamais eu un seul incident à signaler qui aurait visé l’association. Il ne fait d’ailleurs aucun lien “entre ce geste et la proximité de ce lieu, situé en centre-ville” mais évoque la possibilité du geste “d’une personne qui a souhaité s’en débarrasser voire de braconniers.

Mais les investigations doivent permettre de retrouver la ou les personnes qui les ont déposées afin de connaître le motif de ce geste.

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Sisteron (04) : sourates coraniques devant l’autel durant la messe de Noël

« C’est un sujet qui fait beaucoup parler dans le secteur de Sisteron. La messe du 24 décembre dernier n’arrive toujours pas à passer pour certains catholiques. Le soir de Noël, des musulmans auraient, selon des personnes présentes sur place, « récités des sourates coraniques devant l’autel en compagnie du curé ». Le Diocèse de Digne a été alerté par de nombreuses personnes. Les lettres anonymes sont aussi arrivées en mairie. L’affaire fait beaucoup de bruit, jusque sur Radio Notre-Dame à Paris. Le Prêtre de Sisteron, « est connu pour son attachement au dialogue entre toutes les cultures », précise le Vicaire du Diocèse. Ce qui ne semble pas plaire à tout le monde pour le soir de Noël. Source:  Dici.fr

330 voyageurs sont détroussés en moyenne chaque jour

 

 

 

UnknownEn 2016, selon l'Insee, le nombre de vols violents commis dans les transports en commun et enregistré par la police et la gendarmerie nationales a augmenté de 7 % (12.151 vols violents en 2016 contre 11.329 en 2015) alors que globalement, tous lieux confondus, il diminuait de 5 % (104.057 en 2016 et 109.515 en 2015).
 
Les agressions physiques et les vols sans violences ont respectivement bondi dans le même temps de 14 % et 17 % alors que ces types de délits restaient relativement stables (+ 2 %) sur le reste du territoire.
 
Au total, environ 121.000 vols ont été enregistrés l'année dernière dans les transports. Soit en moyenne 330 voyageurs détroussés chaque jour à travers le pays.
 

L’enlèvement de personnalités : la nouvelle stratégie de l’État islamique ?

Sur le front du djihadisme, les nouvelles n’ont rien de rassurant : les terroristes de Bruxelles projetaient d’enlever des personnalités belges (« une ou deux têtes ») afin de les échanger contre leurs camarades détenus dans les prisons du royaume.

C’est, en substance, ce que révèle le contenu des documents retrouvés dans l’ordinateur de Najim Laachraoui, un des kamikazes des attentats survenus à Bruxelles et à Zaventem le 22 mars dernier.

Les enquêteurs ont ainsi mis la main sur une conversation que celui-ci a eue avec les frères El Bakraoui, deux de ses complices, et un responsable de l’État islamique se trouvant en Syrie.

L’objectif était de faire libérer certaines personnes emprisonnées, comme Medhi Nemmouche, auteur présumé de l’attentat au Musée juif de Bruxelles en mai 2014, et de Mohamed Bakkali, logisticien présumé des attentats survenus en novembre 2015 à Paris.

Si l’échange de « prisonniers » fait partie de l’histoire des guerres et des conflits, notamment entre nordistes et sudistes lors de la guerre de Sécession, entre l’Union soviétique et les Occidentaux au cours de la guerre froide ou entre Israéliens et Palestiniens, l’éventualité d’un enlèvement de personnalités nous projette un peu plus dans une situation de conflit.

Le plan n’a pu être mis à exécution. Néanmoins, l’enlèvement de personnalités politiques ou de célébrités semble faire partie du projet de l’État islamique afin de terroriser davantage la population.

Par ailleurs, un rapport Europol révélait, cette semaine, que les terroristes de Bruxelles avaient pour intention préalable de viser la France, à l’aide de voitures piégées, avant de se rabattre sur la Belgique après l’arrestation de Salah Abdeslam.

Europol a profité de l’occasion pour rappeler l’étendue de la menace, principalement contre la France, « symbole de la culture occidentale ».

Plus tôt dans le mois, le ministre de la Santé britannique avait averti que l’État islamique prévoyait des attaques chimiques massives contre plusieurs pays de l’Union européenne.

La guerre contre le terrorisme est loin d’être terminée et, malheureusement, tout aussi loin d’être gagnée.


 Gregory Vanden Bruel

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