Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 26 janvier 2017

Belgique: opération antiterroriste en cours dans la région de Bruxelles

La police belge a conduit tôt ce matin des perquisitions dans huit habitations de la région de Bruxelles, dans le cadre d’une opération antiterroriste toujours en cours, a-t-on appris auprès du parquet fédéral.


Ces perquisitions ne sont pas liées aux attentats jihadistes de Paris en novembre 2015 ou de Bruxelles en mars 2016, a précisé à l’AFP un porte-parole du bureau du procureur fédéral.

Le porte-parole, qui confirmait des informations du site internet du quotidien belge La Dernière Heure, a ajouté que l’opération était toujours en cours et qu’il y aurait un nouveau communiqué aux environs de midi heure locale.

Selon le site de La Dernière Heure les perquisitions ont été menées dans des habitations situées à Molenbeek, Schaerbeek, Anderlecht et Laeken. Plusieurs personnes soupçonnées d’être en partance ou de retour de Syrie ont été emmenées pour audition, selon le site.

Source 

La mosquée El Fath se voit pousser une aile

Depuis 2014, la mosquée El Fath, route d’Ancerville, connaît des travaux sans précédent depuis sa construction en 1995 : un chantier d’extension pour proposerà la communauté un espace de partage et d’échanges, distinct du bâtiment de culte.

Source 

La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

Surnommé « Bilal Hamon », Benoît Hamon dénonce une « offensive de l’extrême droite »

Sablé-sur-Sarthe : tentative d’incendie criminel en l’église Notre-Dame

 

 
Une lectrice (merci M. F. G.) me signale un “fait divers” publié aujourd’hui dans le quotidien Ouest-France. L’affaire remonte au 7 janvier dernier…
 
 
 
 
4img134 - copie
Source

Benoît Hamon, l’imam trappiste ?


Après quelques années passées en région parisienne, le Breton monté à la capitale qu’était devenu Benoît Hamon déclarait : « La rupture a été terrible : la température, la culture, la manière de vivre, les odeurs, tout était trop différent. Quand je suis rentré à Brest, j’ai trouvé la ville très blanche. Pour être très honnête, j’ai même trouvé qu’il y avait trop de Blancs puisque Brest est une ville sans immigration. Cette attirance pour les autres cultures a certainement favorisé mon engagement politique. » Désorienté par son retour, ce Breton enraciné, premier d’entre les siens à quitter le Finistère, montrait son peu d’attachement pour son terroir natal.
Député des Yvelines et conseiller municipal de Trappes, Benoît Hamon est aussi un membre éminent de la « gauchosphère » qui a fait de l’horizon multiculturel sa réponse à notre sortie de l’Histoire. Maison témoin de ses ambitions politiques, la ville de Trappes appartient à ces « Molenbeek français » si justement décriés. Ils seraient au moins cinquante trappistes à avoir trouvé un idéal dans la lutte armée en Syrie. Ah, Trappes, cette ville modèle du sociétalisme à la française qui a vu naître Jamel Debbouze, le rappeur La Fouine ou le footballeur Nicolas Anelka !
Bénéficiaire des importants subsides alloués par les différents programmes de la « politique de ville » menée par les gouvernements de « droite » et de « gauche » confondus, Trappes a été correctement rénovée sans jamais enrayer la spirale communautariste ou la criminalité. Trafiquants et islamistes se côtoient au marché de la place des Merisiers, où il vous sera plus facile de trouver une barrette de shit qu’un saucisson. 

Les hommes sont souvent vêtus du kamis traditionnel et les femmes du niqab. De quoi expliquer les positions ambiguës du candidat Hamon sur la laïcité, partisan du burkini et de l’autorisation du port du voile islamique dans les universités ?
 
Fort de ce constat, Benoît Hamon a pourtant décidé de faire de Trappes un exemple de la politique qu’il entend mener pour la France. En le choisissant, on comprend que les socialistes ont intériorisé leur place dans l’opposition pour les cinq années à venir après l’élection présidentielle. Benoît Hamon représente cette gauche, déconnectée des questionnements contemporains, qui a renoncé au vote populaire et à la France périphérique. Un sondage Harris publié hier montrait d’ailleurs que l’électorat populaire et les jeunes avaient plutôt voté pour Manuel Valls. Preuve que le triptyque « sécurité – identité – immigration » est aussi un moteur du vote à l’intérieur même du Parti socialiste !

Le courant de Benoît Hamon n’a strictement aucune chance d’être majoritaire au suffrage universel direct. Au moins en 2017. Car, n’en doutez pas, Benoît Hamon a déjà les yeux rivés sur les échéances de 2022 et 2027, se rêvant en François Mitterrand 2.0 d’une France qui aurait basculé démographiquement, totalement transformée. Il sera le premier secrétaire d’un Parti socialiste pleinement Terra Nova pour quelques années.

Gabriel Robin

Source 

La France raciste de Balotelli…

La France est raciste. C’est Mario Balotelli qui l’insinue. À l’issue de la rencontre disputée par l’OGC Nice, club où l’attaquant évolue depuis le début de la saison, à Bastia, dans l’enfer de Furiani, l’attaquant italien d’origine ghanéenne s’est demandé, après avoir été l’objet d’insultes à caractère raciste, si le racisme était légal en France.

Les quelques cris de singe entendus à Bastia sont évidemment déplorables et ne grandissent pas les sympathisants du club insulaire qui les ont proférés. 

En aucun cas on ne saurait justifier le racisme.

Rapidement, les médias, heureux de renouer avec leur grille de lecture traditionnelle – celle d’une France rance et repliée sur elle-même -, ont relayé l’information qu’ils ont agrémentée d’images « accablantes » pour les supporters corses. Ceux-ci, pourtant, n’étaient qu’une minorité à déraper.

Les autres insultes que l’on peut entendre sur les bandes-son, certes également regrettables, ne sont en rien racistes et sont à peu près celles que tous les joueurs, en tout cas les plus médiatisés d’entre eux, entendent sur les terrains du monde entier, toutes les semaines.
“Why always me ?” C’est la question qu’arborait fièrement Balotelli sur un T-shirt après avoir marqué un but sous la vareuse de Manchester City, un de ses clubs précédents, il y a quelques années. Pourquoi toujours lui, en effet ? Répondre à la question revient à comprendre pourquoi il est si souvent la cible des supporters adverses.

Mario Balotelli incarne ce que le football moderne a produit de plus détestable. L’homme fait éclater des pétards et des fusées sur le balcon de son appartement et trouve cela amusant, insulte tout ceux qui le contrarient, affiche partout ses richesses (« parce que je suis riche », répond-il à un policier qui lui demande pourquoi il a tant d’argent sur lui) et le mauvais goût qui souvent les accompagne, balance des fléchettes en direction de jeunes du club…

Footballistiquement, malgré quelques bonnes saisons, l’attaquant est pourtant bien loin de posséder les qualités d’un Ronaldo ou d’un Messi, voire même d’un Rooney qui est devenu, le week-end dernier, le meilleur buteur de l’histoire de Manchester United.
Partout, donc, Balotelli a fini par avoir des ennuis. En laissant sous-entendre, par un amalgame douteux, que la France était raciste, alors qu’il n’a été insulté que par une minorité de fans, il pourrait se mettre à dos un pays qui l’a pourtant bien accueilli après ses déboires passés.

Il ne reste qu’à espérer que le joueur italien se concentre à nouveau sur son sujet – le football — et que les incidents de Bastia ne portent pas à conséquence pour l’OGC Nice, club dont la forme actuelle rafraîchit le football français, lassé d’être dominé par un club certes mythique, mais qui n’a plus de parisien que le nom.

Gregory Vanden Bruel

Source 

Priorités de l’Éducation nationale pour 2017 : l’arabe et les migrants !

 

 
Chacun le sait : la prochaine rentrée de vos enfants, en septembre, se prépare en ce moment. Les recteurs et les directeurs départementaux de l’Éducation nationale commencent à dévoiler les dotations, les ouvertures et les fermetures de classes.
Et, surprise, en ces temps de rigueur budgétaire, si la dotation pour le secondaire dans le Lot-et-Garonne (47) a été rognée, les responsables affirment qu’ils ont dégagé des moyens pour certaines priorités. Des plus contestables…

On aurait pu croire que le ministère et le recteur auraient eu à cœur de corriger les erreurs regrettables de la réforme du collège : suppression des classes bilangues en espagnol et allemand, réduction à la portion congrue du latin et du grec, heures perdues dans des EPI (enseignements pratiques interdisciplinaires) au détriment des disciplines fondamentales, et notamment le français.
Eh bien, non ! Le ministère, pour sa dernière rentrée Najat, persiste dans l’erreur. Non seulement il ne répare rien, mais il crée un choc profond parmi les enseignants et les parents d’élèves du département, et au-delà : il ouvre des sections… d’arabe, dès la 5e, dans deux gros collèges d’Agen et dans les deux lycées.
Une offensive massive qui laisse pantois.

Et on ne sait d’ailleurs pas ce qu’en pense le maire d’Agen (UDI) M. Dionis du Séjour. Aura-t-il le courage, comme d’autres maires, de dénoncer ces choix ?

Donc les heures d’espagnol, d’allemand, de latin, de grec et de français dont vos enfants ne bénéficient plus sont littéralement remplacées par des heures d’arabe.

Ce n’est pas un fantasme, c’est une réalité : le Grand Remplacement a commencé jusque dans les enseignements et les moyens attribués aux établissements. Les collèges et les lycées de vos enfants, sous la conduite de Najat Vallaud-Belkacem, mettent en œuvre dès la prochaine rentrée le Grand Remplacement de vos langues et de vos cultures européennes, avec l’étude de leurs racines.

Vous voulez savoir l’autre priorité pour vos enfants, dans le département ? C’est un autre dispositif qui va être étendu : les Unités pédagogiques pour élèves allophones arrivants (UP2A). Traduction ? Des classes et des moyens pour les enfants de migrants.
« Celles-ci ont fait leur entrée à la rentrée 2015 à Aiguillon, en 2016 à Agen (Joseph-Chaumié et Paul-Dangla). Une troisième sera ouverte en lycée, à Couffignal, à Villeneuve-sur-Lot. Et peut-être d’autres en fonction des besoins des établissements, »
​‌”
nous prévient, comme si de rien n’était, le quotidien Sud-Ouest, nous préparant à leur généralisation.

Désormais, les choses sont claires : des moyens financiers massifs sont consacrés à l’enseignement de l’arabe et à l’accueil des migrants au détriment du français et des langues européennes, auxquelles les Français sont justement attachés pour l’avenir de leurs enfants.

Tout cela est mené sans consultation des Français, à la fin d’une présidence discréditée, et par des socialistes qui ne parviennent même pas à mobiliser leurs propres militants.

Si le gouvernement avait voulu ajouter de la colère à la colère, il n’aurait pas trouvé mieux. Les Français, à qui est imposée cette autre forme de Grand Remplacement, savent désormais qu’ils ne disposent que d’une arme : le bulletin de vote. Pour un autre Grand Remplacement, au sommet de l’État et dans les ministères.

Dominique Monthus

Source 

Lorsqu’on monte au cocotier, il faut essayer d’avoir le caleçon propre !

 

 
Parfois, on nous reproche d’avoir la dent dure contre les partis de droite, vaguement patriotiques, ayant peur de tout mais qui arrivent à semer la confusion dans les esprits des électeurs dont les voix se perdent dans ces partis qui, en finale, ne font rien !
Ainsi, à l’occasion de la récente et lamentable affaire Publifin, le Parti Populaire ne s’est pas gêné de tirer à boulet rouge sur les politiciens, les cumuls, etc…Et c’est de bonne guerre.
Le hic, c’est que le conseiller communal du PP à Frameries, qui est un proche du président Moodrikamen, a 8 mandats rémunérés :
  1. HYGEA
  2. Intercommunaleommunale de Développement Economique et d’Aménagement du territoire
  3. Interercommunale Pure de Financement du Hainaut
  4. Administrateur IRSIA
  5. Administrateur Régie communale autonome RCA
  6. Administrateur Alteria
  7. Membre de 4 commissions communales
  8. Administrateur de la Fondation du Parti Populaire
Alors bien sûr, il n’y a rien d’illégal ! Bien sûr, les rémunérations des mandats ne sont pas forcément toutes aussi élevées qu’à Publifin (quoi que…). Mais les partis de « droite nationale », comme le PP, qui protestent contre ce genre de pratiques devraient eux-mêmes établir en interne des règles claires en ce domaine.
Décidément, ce système ne peut, ne doit pas être réformé ! Il doit être changé ! Et profondément !
 

Cette société est malade, nous en serons les médecins !

 

 
Des rebondissements autour de l’affaire Publifin, où des élus socialistes (mais pas seulement) ont manifestement usé et abusé d’un système d’enrichissement, à l’histoire des résultats trafiqués de la primaire socialiste en France, le moins que l’on puisse dire est que partout en Europe les politiciens traditionnels n’en finissent pas de montrer leur vrai visage . Celui de de gens qui ne sont motivés que par la gamelle. Gamelle qu’ils essaient en plus de remplir à ras bord.

Et il ne s’agit pas de quelques débordements. Voici 30 ans que les scandales se succèdent. En Belgique, quand ce n’est pas le PS qui se goinfre, c’est le MR qui aide, contre généreuse rétribution financière, ses amis louches et cosmopolites à devenir belges…
Il ne s’agit pas de quelques brebis galeuses. Il s’agit bien d’un véritable système politico-financier qui fait que la majorité des décisions ne se prennent pas pour l’intérêt de tous mais bien uniquement dans celui de quelques-uns.

C’est bien pourquoi, nous le répétons sans cesse : il ne s’agit pas de réformer ou de corriger ce système…il faut le changer de fond en comble ! 

Cette société est malade, nous en serons les médecins !
 

Saint-Sulpice-sur-Risle (61) : ils avaient ligoté et menacé une retraitée avec une arme

 

 
Ils avaient ligoté la propriétaire d’une maison de Saint-Sulpice-sur-Risle avant de faire main basse sur 20 000 € de bijoux. Identifiés par leur ADN, trois hommes ont été condamnés à de la prison ferme.

Elle avait reçu des amis à dîner, ce soir du 28 avril 2014. Les invités ont quitté la demeure de Saint-Suplice-sur-Risle vers minuit. L’Ornaise de 61 ans a enclenché l’alarme avant de se diriger vers sa chambre. Sa fille de 27 ans était « montée se coucher » quelque temps plus tôt à l’étage.

Vers minuit et demi, l’alarme s’est déclenchée. Dans la foulée, la propriétaire a vu arriver, dans sa chambre, trois individus, gantés et encagoulés. « Ils m’ont ligoté les poignets avec des colliers de serrage et m’ont demandé où était le coffre, mes bijoux, mon argent ». L’un des trois hommes a pointé une arme sur sa tempe en lui demandant : « Ton argent ! ».
Son portable sonnait. « C’était la société de surveillance qui insistait et j’ai eu peur qu’ils découvrent ma fille. Son chien, qui était avec elle à l’étage, a aboyé. J’ai crié pour masquer l’aboiement. Mais l’un d’eux a dit : « Il y a un chien qui aboie » et ils sont partis ». Avec une « colonne de bijoux » d’une valeur de 20 000 €.
« J’ai eu peur de mourir », a confié la sexagénaire à la Cour d’Assises devant laquelle trois accusés étaient jugés pour vol avec usage ou menace d’une arme, lundi 16 et mardi 17 janvier. Depuis cette nuit d’avril 2014, la propriétaire a « renforcé l’alarme, fait poser des détecteurs de présence sur le chemin, des barreaux aux fenêtres et installer des alarmes fumigènes ».
(…)

La Cour d’Assises a finalement condamné Nagib R. (qui a reconnu les faits) à cinq ans de prison ferme. Mujdat K. et Akin K., qui ont toujours nié leur participation, ont, chacun, été condamnés à sept ans de prison ferme. Il leur est par ailleurs, interdit de détenir une arme sur une période de cinq ans.
(…)


Source 

La justice donne son feu vert pour édifier une grande mosquée à Marseille

 

 
Le tribunal administratif de Marseille a donné vendredi son feu vert à la résiliation, par la mairie de Marseille d'un bail, signé en 2007, pour terrain destiné à la construction d'une grande mosquée.
 
La justice donne son feu vert pour édifier une grande mosquée à Marseille
 
Le tribunal avait été saisi en référé par l'association "la Mosquée de Marseille" après que la municipalité dirigée par Jean-Claude Gaudin (LR) eut résilié le bail en novembre 2016. 
 
Après des années d'atermoiements sur la construction d'une mosquée dans la deuxième ville de France qui compte environ un tiers de musulmans, la municipalité avait consenti, en 2007, un bail de 50 ans pour un terrain de 8.000 m2 sur le site d'anciens abattoirs, dans les quartiers nord. Une première pierre avait été posée en 2010, une arche avait ensuite été construite mais la mosquée n'a jamais vu le jour.
 
"On a imposé un budget 5 étoiles à cette association qui n'en a pas les moyens", a plaidé, lors de l'audience, Me Benoît Candon, avocat de l'association selon lequel le projet est "passé de 8,4 millions d'euros à 22 millions". 
 
"L'association va déposer un permis moins ambitieux", a indiqué l'avocat faisant valoir que la mairie avait par ailleurs "délivré un permis qui avait deux failles" qui ont conduit à son annulation en 2011 avant que la cour d'appel ne le valide en 2012. 
 
Au nom de l'association "la Mosquée de Marseille", Me Candon a défendu le projet de construire un lieu de culte pour les musulmans qui sont "300.000 dont 10 à 20% de pratiquants, soit 411 personnes dans les 73 mosquées" que compte la cité phocéenne. Elles sont trop petites pour accueillir tous ces fidèles, alors "les sermons sont faits en deux services, comme à la cantine !", a-t-il poursuivi. Sinon "le prêche a lieu dans la rue".  "Sans grande mosquée, on génère la multiplication des petites mosquées" avec "imams autoproclamés " et "hors contrôle", a-t-il encore plaidé.     
 
L'avocat de la mairie de Marseille, Me François Rosenfeld, a dénoncé "un procès mal venu" contre le maire "qui a soutenu ce projet depuis l'origine". 
 
Pour la mairie, "les conditions de la résiliation sanction sont remplies, le permis de construire est caduc" et le bâtiment n'a pas été réalisé dans les temps et le terrain n'a pas été entretenu.
La municipalité a encore invoqué un retard de paiement des loyers de plus de 62.000 euros. 
 
"La matérialité de l'ensemble des faits reprochés à l'association n'apparaît pas sérieusement contestable", a jugé le tribunal.
Lors du vote entérinant la résiliation du bail, le 3 octobre 2016, M. Gaudin s'est engagé à "faciliter" un éventuel projet, "si un jour la communauté musulmane veut ériger une grande mosquée".
 

Gravelines (59) : ils tirent à 15 reprises sur une voiture de police

 

 
Deux hommes sont en garde à vue depuis dimanche soir, après avoir fait feu à au moins 15 reprises sur une voiture des policiers de la brigade anti-criminalité, à Gravelines.
 


Gros calibre

Ce sont des riverains qui avaient appelé les forces de l’ordre après avoir entendu des détonations, vers 23 heures, rapportent nos confrères de La Voix du Nord.


Les policiers ont été pris pour cible dès leur arrivée sur les lieux. Leur véhicule a été criblé de balles de gros calibre. Aucun des policiers n’a été blessé.


Fortement alcoolisés






Les fonctionnaires de la BAC ont réussi à maîtriser les deux tireurs, deux hommes âgés de 55 et 33 ans, l’un originaire du Lot-et-Garonne et l’autre du Var. Fortement alcoolisés, ils ont été placés en cellule de dégrisement avant de pouvoir être interrogés.


Source 

Une journaliste refuse de croire au nombre de viols commis en France (iTELE)

 

 
Sur iTELE lundi 23 janvier, la journaliste Hélène Pilichowski a refusé de croire qu’une femme est violée toutes les sept minutes en France.

Les propos ne manqueront pas de faire polémique. Sur le plateau d’iTELE lundi 23 janvier, durant l’émission L’heure des pros présentée par Pascal Praud, la journaliste Hélène Pilichowski était invitée, aux côtés du publicitaire Jacques Séguela et de la militante féministe Caroline de Haas, afin de débattre sur la sanction donnée à un professeur d’université pour avoir fait une remarque sexiste pendant son cours.

« Les chiffres sont gonflés » : Une journaliste… par closer

La discussion a pris un tournant assez lunaire lorsqu’Helène Pilichowski a pris la parole… « Il faut bien évidemment condamner cet enseignant qui a fait preuve d’une vulgarité absolument insupportable… Mais en même temps se méfier du déferlement médiatique et des réseaux sociaux qui tout de suite vous disent que toutes les femmes sont violées en France toutes les secondes ou à peu près…« , s’est-elle indignée.

La journaliste s’est tout de suite fait reprendre par Caroline de Haas, qui lui a rappelé que les statistiques sur le nombre de viols commis en France sont pourtant établies selon des enquêtes du ministère de l’Intérieur et l’INSEE. Mais rien n’y fait… « Eh bah moi je dis que c’est faux« , lui a répliqué Hélène Pilichowski, qui commençait même à s’agacer. Closer.fr vous propose de revoir cette séquence.

Source 

Sciences-Po veut 100 % de boursiers parmi les élèves venant de ZEP

 

 
Il y a quinze ans, l’Institut d’études politiques de Paris mettait en place la convention d’éducation prioritaire (CEP, son nom officiel) pour ouvrir ses portes aux élèves venus de lycées en ZEP. Mais l’an dernier, plus de 40 % des élèves admis par cette filière étaient issus de familles CSP + (catégories socio-professionnelles favorisées). L’établissement s’apprête à prendre des mesures pour tendre vers 100 % de boursiers.

 Au début des années 2000, Richard Descoings, le patron de l’école, s’inquiète de voir des élèves tous pareils, venant des mêmes établissements, situés dans les mêmes quartiers parisiens. Henri-IV, Louis-le-Grand, Victor-Duruy pour le public, Stanislas, Saint-Louis de Gonzague, l’Ecole alsacienne pour le privé, tous implantés dans les IVe, Ve, Vle, VIIe et XVIe arrondissements de Paris. Une machine caricaturale qui donne raison à Pierre Bourdieu, l’auteur de la Reproduction, qui dénonçait en 1970 une société figée dans laquelle les fils de prof deviennent prof. Les sociologues des riches, le couple Pinçon-Charlot notamment, parlent des «ghettos du gotha». […]
 
En quinze ans, 1 611 étudiants, issus de 106 lycées situés dans 19 académies, ont fait leur entrée à Sciences-Po Paris par la filière CEP, et tout le monde la reprend peu ou prou. D’où sortent alors ces «plus de 40 %» de «faux CEP» de Sciences-Po, ces contrebandiers de la mixité sociale ? De bonne ou de mauvaise foi, les lycées partenaires ont laissé venir à eux des élèves qui n’auraient sans doute pas dû avoir accès aux ateliers Sciences-Po. Pour les proviseurs de lycées qui se trouvent à Sarcelles (Val-d’Oise), Montreuil, Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), Sainte-Geneviève-des-Bois (Essonne) ou Roubaix (Nord), l’étiquette Sciences-Po permet d’attirer des enfants qui seraient partis ailleurs dans l’enseignement public ou dans le privé et donc de maintenir dans leur établissement une mixité sociale. D’où leur mansuétude, à laquelle s’ajoute la réticence des professeurs à refuser l’accès des ateliers Sciences-Po a des non-boursiers. Si l’objectif est de permettre aux uns de franchir les frontières sociales dans un sens, les enseignants se voient mal jouer aux douaniers sociaux en interdisant la présence d’un fils de prof ou de médecin dans ces ateliers. Ce qui explique les 40 % d’élèves CSP + venant de lycées situés en ZEP et le dévoiement de l’objectif fixé à l’époque. […]

Source