Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 25 janvier 2017

Plus de 13 000 euros cachés au cimetière Montparnasse par des djihadistes

 

 

Selon Le Parisien, les enquêteurs sont parvenus à démanteler la cellule terroriste de Strasbourg en novembre dernier en faisant passer l'un des leurs pour un sympathisant djihadiste. Et ont découvert que des complices avaient dissimulé une grosse somme d'argent à Paris.

La planque des terroristes est plutôt surprenante. Selon Le Parisien, en juin 2016, les policiers antiterroristes ont récupéré 13 300 euros glissés entre les dalles d'une tombe à l'abandon du cimetière du Montparnasse (Paris 14e). L'argent était destiné à l'achat de fusils d'assaut par une filière djihadiste, démantelée fin novembre 2016 à Strasbourg et à Marseille. Le groupe s'apprêtait à commettre un attentat en France. 

Quelques mois plus tôt, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a reçu des informations indiquant qu'un certain Nil Shewil, alias Abou Taha Mohamed, préparait une action violente. Basé en zone irako-syrienne, il avait été filmé avec Rachid Kassim en train de décapiter deux otages.
  

"Prends un petit chemin de terre"

 

Pour déjouer ce projet, les policiers ont réussi à infiltrer le réseau. Le quotidien révèle ainsi qu'"ils ont réussi à faire passer l'un d'entre eux pour un sympathisant de la cause djihadiste". Contacté par l'émir, le policier infiltré a alors reçu pour ordre de trouver "quatre fusils d'assaut kalachnikov et seize chargeurs". 

Le "cyberpatrouilleur" reçoit plus tard un message sur l'application Telegram, utilisée par les terroristes, qui lui demande de récupérer l'argent dans le 14e arrondissement de Paris, ajoute Le Parisien: "Salam Aleykum frero, le paquet est dans le cimetière Montparnasse. Prends un petit chemin de terre qui part à gauche du panneau vert 28e division 3e section continue tout droit (...) tu trouveras la tombe au nom de (...), le paquet est entre la pierre tombale et la dalle de la tombe dans une fente." 

Six hommes arrêtés

 

Le lendemain, les policiers de la DGSI se rendent sur place et trouvent une enveloppe renfermant les 13 300 euros en billets de 50 et 100 euros.  

Entre novembre et décembre, six hommes ont été mis en examen et écroués, soupçonnés d'avoir voulu commettre cet attentat le 1er décembre en région parisienne, notamment à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et au 36 Quai des Orfèvres. Interpellés à Strasbourg et à Marseille pour, ils avaient fait allégeance au groupe Etat islamique et disposaient d'instructions "communiquées par un donneur d'ordre depuis la zone irako-syrienne".

Source  

Prières de rue après la fermeture d’une mosquée prônant le djihad

 

 

Islam. En décembre 2015, la mosquée de Lagny-sur-Marne avait été fermée car des fidèles avaient été soupçonnés de prôner le djihad. Depuis, des prières de rues sont organisées dans la ville.

Le maire UDI de Lagny-sur-Marne va être reçu le 15 février prochain par le ministre de l’Intérieur Bruno Le Roux. Au programme du jour ? La situation de la mosquée de Lagny-sur-Marne. Fermée en décembre 2015, la mosquée était fréquentée par des fidèles soupçonnés de prôner le djihad armé et de participer au départ de jeunes Français vers la zone irako-syrienne. 

 Par la suite, neuf personnes avaient été assignés à résidence et vingt-deux autres interdites de sortie du territoire. Mais cette fermeture a provoqué une conséquence inévitable : la multiplication des prières de rues dans la ville. “Ils sont là cinq fois par jour. Ils sont une quinzaine en semaine. Le vendredi, quand ils sont plus nombreux, ils débordent sur des espaces publics. Il est important que cette situation ne perdure pas”, affirme le maire de la ville, des propos que rapporte Le Parisien. Il souhaite rouvrir la mosquée alors que l’Etat ne le souhaite pas. 

Pour le maire de la commune, “à partir du moment où l’Etat accepterait qu’il y ait de nouveau un lieu de culte, il faut qu’une association se forme, qu’elle soit validée par les services de l’Etat”. Au contraire, si l’Etat pense que cette mosquée constitue toujours un danger, alors il faut que ce soit à l’Etat de faire “cesser les prières de rue”. 

Source 

Le syndicat UNSA Police ose critiquer ces associations qui préfèrent aider les immigrés clandestins que les Français qui meurent de faim, de maladie ou de froid


« Alors que des dizaines de Français, quels que soient leur origine, sexe ou religion, meurent chaque année de faim, de maladie ou de froid, dans l’indifférence la plus totale, l’UNSA Police s’interroge sur la propension qu’ont ces associations à défendre les clandestins…

Commande politique, cash assuré en termes de subventions, ou les deux ? »
Pierre-Alain Depauw

Source 

Un viol diffusé en direct sur Facebook par des immigrés

 

 
Trois hommes ont été arrêtés à Uppsala, en Suède, accusés de viol collectif. Les médias locaux rapportent que la police est intervenue après avoir été informée qu’un viol était diffusé en direct sur Facebook via streaming. 
 
Les faits ont eu lieu tôt dimanche matin. La police en aurait été informée vers 9h00. 
 
Selon le journal local Aftonbladet, les membres d’un groupe Facebook fermé pouvaient assister en direct au viol. La jeune fille violée par un gang d’immigrés était presque inconsciente au moment des faits.
 
Lovisa, 22 ans, a expliqué à un journaliste qu’elle est venue sur la page par accident tout en bavardant en ligne. Ce qu’elle a vu l’a choquée, dit-elle. «Deux types poussant une fille sur le lit… J’ai d’abord pensé que c’était une plaisanterie mal orchestrée. Mais ce n’était pas le cas. »
 
Selon Lovisa, environ 200 personnes regardaient le viol en direct avant que la police n’arrive soudainement sur les lieux et que la vidéo s’arrête. 
 
Les violeurs sont d’origine immigrée. Ce qui explique probablement que la presse suédoise cache leurs visages. Le suspect principal se nommerait Emil Khodagholi et avait déjà été précédemment arrêté en 2012 pour avoir agressé un jeune de 16 ans avec une barre de fer.
 
Pierre-Alain Depauw
 

Immigration – Civitas irrite Régis Banquet, maire socialiste d’Alzonne et grand partisan de l’accueil des immigrés

 

 
Régis Banquet, le maire socialiste d’Alzonne (11), n’a pas du tout apprécié que Civitas diffuse un tract dans sa commune pour dénoncer l’invasion migratoire.
Sa réaction est publiée par la presse locale qui soutient la même politique d’installation de clandestins dans les communes rurales. Il accuse Civitas de mensonge alors qu’il accueille des Afghans sans demander l’avis de la population. Il se garde bien de mentionner s’ils sont réfugiés comme c’est répété par toute la propagande gouvernementale.
La « nouvelle pauvreté » est apparue en 1985 avec la création des Resto du Cœur. Ils sont une réaction généreuse à l’échec du gouvernement socialiste arrivé au pouvoir avec Mitterrand en 1981. La pauvreté a encore augmenté en 2015, sous un nouveau gouvernement socialiste, celui du calamiteux Hollande.
Fonctionnaire aux finances, l’administration chargée de collecter les taxes et les impôts responsables des faillites des entreprises et du chômage des Français ICI, Régis Banquet, le maire d’Alzonne manifestait encore récemment ICI toute sa servilité à l’égard du Président le plus impopulaire de toute la Ve République :
Respect pour l’élu, l’homme d’État, qui fait passer l’intérêt supérieur de la Nation avant toute autre considération personnelle ! Mais aussi respect pour le bilan de son action qui, n’aura malheureusement pas pu être à la hauteur de toutes les espérances. […] Mais, comme nos concitoyens que je rencontre tous les jours, je suis convaincu que l’essentiel, au-delà des trajectoires personnelles des femmes et des hommes politiques, réside dans l’action concrète, menée jour après jour, pour améliorer la vie quotidienne des Françaises et des Français.
Banquet refuse de voir cette terrible réalité du chômage qui touche nos compatriotes, comme il refuse de considérer le sort fait aux clandestins. Il n’est que le relai local de cette politique qui consacre ses budgets à loger des clandestins et à laisser mourir dans les rues les SDF français. Les SDF ne trouvent pas de logement car les « migrants » sont prioritaires ainsi que l’admet Le Monde ICI.
 
Maire, conseiller général, président de Carcassonne Agglo et fonctionnaire, Banquet cumule les mandats et les émoluments correspondants. Il peut s’en prendre à ceux qui dénoncent cette politique, et faire appel à une tradition humaniste qui est en réalité celle de la franc-maçonnerie.
 
En vertu de quelle tradition Alzonne aurait vocation à accueillir des musulmans Afghans ?
 
Il faut dénoncer ces élus et ces fonctionnaires prévaricateurs qui ont détournés les institutions à leur profit alors qu’elles devraient être au service du bien commun.
 
  Léo Kersauzie
 

Pays Bas: le 1er ministre durcit le ton contre l'immigration

 

 
Le premier ministre néerlandais, à l'approche des élections législatives qui se tiendront le 15 mars, a décidé de durcir le ton sur la question de l'immigration, rapporte aujourd'hui The Guardian.
Mark Rutte, chef du gouvernement depuis 2010, a publié une lettre ouverte dans laquelle il s'en prend aux étrangers qui ne s'intégreraient pas à la société néerlandaise. Il y indique que les personnes qui "refusent de s'adapter, et critiquent nos valeurs" devront "se comporter normalement ou s'en aller".

Les Néerlandais se sentiraient "de plus en plus mal à l'aise" avec ceux qui abusent des libertés une fois fois arrivés dans le pays. Par ailleurs, le premier ministre attaque les étrangers qui "harcèlent les homosexuels, sifflent les femmes en jupe courte ou jugent racistes les Néerlandais ordinaires".

Cette lettre n'est pas anodine dans un contexte de campagne électorale en vue des élections législatives de mars. Mark Rutte, également chef du Parti populaire libéral et démocrate (VVD), de centre-droit, doit faire face à la montée en puissance du mouvement d'extrême droite de Geert Wilders, le Parti pour la liberté (PVV). Allié du Front National, à l'échelle européen, le parti est connu pour ses prises de position contre l'islam et l'immigration.

Source 

Culte/ La Mosquée de Paris ne veut pas d’un non musulman à la tête de la Fondation de l’islam de France

 

 
Culte/ La Mosquée de Paris ne veut pas d’un non musulman à la tête de la Fondation de l’islam de France
 
La Fédération de la Grande Mosquée de Paris (FGMP), que préside le recteur Dalil Boubekeur, a décidée de ne pas participer à la mise en place de  la Fondation de l’islam de France. Celle-ci appelle même, dans un communiqué, toutes les organisations, associations et instances des musulmans à rejeter l’initiative du gouvernement français, en raison de sa volonté s’«ingérer» dans la gestion du culte musulman.
 
«La FGMP dénonce toute forme d’ingérence dans la gestion du culte musulman  et de sa représentation, d’autant que l’élaboration des dites structures n’a  jamais fait l’objet d’une large concertation avec les musulmans de France», dit Boubekeur dans un communiqué.
 
La Grande mosquée de Paris, liée à l’Algérie, précisent à chaque fois les médias français, avait déjà, au mois de novembre dernier, refusé de prendre part à une réunion consacrée à la préparation de la mise en œuvre de la Fondation de l’Islam de France. Mais, le refus de la FGMP de s’impliquer dans la Fondation, lancée rappelons-le, par le ministère français de l’Intérieur, ne s’explique pas seulement par des craintes de voir l’islam de France mis sous tutelle des autorités. Selon une source proche de la Grande mosquée de Paris, citée par l’APS, il n’est pas question qu’une institution qui a pour mission de gérer les affaires des musulmans de France confiée à un non-musulman.
 
En effet, c’est l’ancien ministre Jean-Pierre Chevènement qui a été désigné pour présider cette Fondation. De plus, la Fédération de la grande mosquée de Paris voit d’un mauvais œil le fait que sur les 30 membres de la fondation, seuls trois représenteront la FGMP, alors qu’elle se prévaut d’être l’institution la plus représentative des musulmans de France.
 
En tout cas, le problème de la représentativité des musulmans au sein des institutions du gouvernement français se pose depuis quelques années déjà. Par le passé, le grande Mosquée de Paris était en opposition également avec Conseil français du culte musulman (CFCM).
 
Elyas Nour
 

L’élu écolo (EELV) de Montpellier transforme le McDonalds en mosquée

 

 
1-mmajdoul_afficheLu dans Le Midi Libre  du 19 janvier (extrait) :

Les tags recouvrent murs, vitres. Au pied du Grand-Mail et de la tour d’Assas, à quelques centaines de mètres du stade de la Mosson, l’ancien McDonalds, déménagé vers Juvignac à l’été 2005, sept ans après son ouverture, ressemble… à rien ! Surtout pas à une mosquée. C’est pourtant le destin promis par le propriétaire, Mustapha Madjoul, élu municipal d’opposition EELV à l’association musulmane Vivre en paix.

« La Piété, notre salle sur le Grand-Mail, est trop petite (220 m², NDLR), détaille son président Rachid Aboutayeb. Les vendredis de grande prière comme durant le Ramadan, une centaine de fidèles se masse sur les allées… Les voisins s’en plaignent. »


Jusqu’à 500 fidèles


Le futur lieu de prière pourra, lui, abriter jusqu’à 500 croyants. « Nous avons signé le contrat de location il y a trois semaines avec Monsieur Madjoul sur la base d’un local commercial accueillant des activités cultuelles et spécifiques ». Mustapha Madjoul avait, dans ce même local, exploité une pizzeria hallal, baptisée Top’s, dès le printemps 2006. » Lire l’article intégral

Source 

La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

 

 

Quartier de Juvisy saccagé: quinze interpellations à Athis-Mons

Des voitures, portes d'immeubles et un appartement avaient été saccagés dans la nuit du 14 janvier. La police a arrêté ce mardi matin quinze personnes grâce à la vidéosurveillance.

Il y a une dizaine jours, Juvisy-sur-Orge (Essonne) a vécu une véritable scène de guérilla. Ce mardi matin, la police a arrêté une quinzaine de suspects à Athis-Mons et Paray-Vieille-Poste, deux villes voisines, révèle Le Point. Placés en garde à vue, ils sont suspectés d'avoir participé aux violences qui ont eu lieu dans la nuit de samedi 14 à dimanche 15 janvier: voitures vandalisées, portes d'immeubles fracturées, appartement saccagé. 

 "C'est probablement une histoire de bandes rivales entre différents quartiers de nos communes voisines, avait estimé le maire Les Républicains de la ville, Robin Reda. Ils cherchaient à régler des comptes avec quelqu'un. Manifestement, ils n'ont pas trouvé cette personne, ils se sont trompés d'appartement."  

Des jeunes de 15 à 22 ans

 

Au lendemain des faits, onze jeunes, âgées de 15 à 22 ans et qui font partis des arrestations de ce matin, avaient été interpellés. Faute d'indices, ils avaient été remis en liberté. Selon Le Point, la vidéosurveillance a permis de préciser le rôle actif de certains mis en cause. Ils étaient visiblement à la recherche d'un individu précis. 

La majeure partie des arrestations ont eu lieu dans la cité réputée difficile du Noyer-Renard, à Athis-Mons, a précisé une source policière. Ils ont été placés en garde à vue dans plusieurs commissariats du département. "Aucun mobile clair" de ce déchaînement de violences n'est encore apparu dans l'enquête, a dit la source policière. 

Un "sentiment d'insécurité persistant"

 

"Ce qui a frappé les gens, c'est le côté bande organisée", commentait auprès de L'Express un habitant, membre du bureau de "Juvisy c'est vous". L'association a lancé une pétition pour demander un "accroissement de la présence policière" dans la ville, pointant un "sentiment d'insécurité persistant".

"Les policiers sont en flux tendu depuis deux ans, poursuit-il. Après l'agression au cocktail Molotov de Viry-Châtillon [ville voisine] en octobre dernier, Bernard Cazeneuve avait promis plus de 100 policiers supplémentaires dans l'Essonne, on aimerait qu'une partie soit affectés à Juvisy-sur-Orge." En attendant, des patrouilles de la police municipale sont mises en place pour "rassurer les habitants".

Source 

Tentative d'entrisme islamiste dans la police ?

 

 
Un syndicat pose la question :
Téléchargement-112

2 février : conférence de Xavier Lemoine à Versailles sur l'islam

 

 

 

Capture d’écran 2017-01-20 à 18.05.13

Philippe de Villiers : « Nous sommes à la veille d’un changement de peuplement que nous ne voulons pas ! »

Bande de filles immigrées : le nouveau fléau marseillais

En Allemagne, les féministes anti-Trump défilent au cri d' »Allah Akbar »…

 

 

Benoît Hamon : « Arrêtons de faire de l’islam un problème de la République »

 

 

« Veilleur de Civilisation »

 

 

*****
Le groupe de rock identitaire français FTP, diffuse le clip du premier titre de leur troisième album, « Veilleur de Civilisation ». Cette chanson est un hommage aux Français qui se sont mobilisés lors des manifestations contre le mariage des invertis en 2012-2013. Ce titre est une véritable réussite et doit être diffusé au maximum. Album disponible ici.

Eric Martin

Source 

La mort du féminisme européen ou l’abandon des féministes de pays musulmans

 

 

Énième refus de publication. Une revue féministe a publié, il y a quelques mois, la recension d’un livre Le Déni, écrit par deux femmes catholiques, critiquant la misogynie de la Bible et du Vatican. Je propose à cette revue une fiche de lecture du livre de Zineb El Rhazoui : Détruire le totalitarisme islamique. Refus. « Nous ne sommes pas sur la même ligne », m’écrit-on. C’est-à-dire, demandé-je ? Pas de réponse.

Nous sommes un certain nombre de féministes, y compris des féministes originaires de pays conquis par l’islam, qui critiquons les normes de toutes les idéologies, sans distinction ni restriction selon leur type : athée ou religieux ; ou leur lieu de prédominance : Europe ou autres continents.

Autrement dit : nous, féministes originaires de tous les continents (Europe, Asie, Afrique, Amériques), estimons parfaitement légitime d’analyser et de critiquer, le cas échéant, toute source de normes prétendant régir la vie des femmes, partout dans le monde.
Nous avons, par exemple, récemment écrit un texte intitulé « Les vraies féministes en colère », publié par L’Humanité.
Nous sommes universalistes et nous nous réclamons de l’universalité de droits humains fondamentaux, valables pour tous les êtres humains, quel que soit, entre autres critères possibles de distinction, leur sexe.
 
Il y a quelques années, nous étions durement opposées aux mouvements dits, en gros, « différentialistes » ou « relativistes ». Ainsi, nous nous opposions à des « psys » qui « comprenaient » l’excision… Aujourd’hui, nous sommes mises au ban des accusées par des féministes et des laïcistes qui, tout en se vantant de combattre « l’intégrisme » et l’interdiction du « blasphème », nous reprochent ce qui est la définition du blasphème selon les nombreuses législations anti-blasphème des pays européens : Allemagne, Autriche, Danemark, Suisse, Grèce, Irlande, Islande, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Portugal…

Ces lois interdisent, en effet, toute critique féministe des idées issues de religions, car toute critique de ces idées est offensante, effectivement, pour les croyants.

Elles étaient, jusqu’à il y a peu, tombées en désuétude. Qui les ravive aujourd’hui ? Tous les défenseurs de l’« islam ». Qui confondent allègrement sous ce nom foi, lois, idées, personnes, civilisations « islamiques ». Dont les antiracistes et féministes qui ne se privent pas, par ailleurs, d’attaquer les textes et dogmes juifs et catholiques, comme la naissance d’Adam avant Ève, le péché d’Ève, la virginité de Marie, etc. Mais affirment qu’attaquer l’« islam » — et pas seulement ce qui serait une mauvaise interprétation de l’islam, l’« islamisme » — est du racisme.

Aujourd’hui, le mouvement féministe européen paraît mort aux yeux des féministes de pays musulmans qui comptaient sur nous, féministes européennes, pour les aider à échapper à la loi islamique. Mort par chute dans le différentialisme le plus éhonté.

Elise Elisseievna

Source 

Obertone « enfariné » : petits arrangements entre « antifas » et médias

 

 
Un sociologue inspiré pourrait écrire, au moment de classifier les militants politiques selon leurs habitus, que les antifas chassent toujours en meute. Un politologue honnête ajouterait, quant à lui, qu’il est davantage question de fascisme dans le comportement, souvent violent, de ces jeunes gens de gauche que dans celui de leurs proies, souvent isolées.

Ce samedi à Lille, en marge d’une manifestation contre « La Citadelle », local du mouvement Génération identitaire, la cible se nommait Laurent Obertone, auteur de La France Orange mécanique, un des meilleurs ouvrages rédigés à ce jour sur l’ensauvagement, mais aussi d’Utoya, relatant l’épopée sanglante d’Anders Behring Breivik, de La France Big Brother, sur le conditionnement d’une population, et, plus récemment, de Guérilla, imaginant, en temps réel, l’embrasement de la France.
Dans l’article relatant les faits pour Les Inrocks, Cyril Castelliti décrit l’« enfarinage » dont aurait été victime le polémiste à succès : « D’un pas ferme, les militants investissent les lieux. Le ton monte alors que le groupe descend au sous-sol où se déroule la rencontre. Les insultes fusent, la farine aussi. »

Le calme revenu, un certain Marc commente son acte de résistance : « Il faut que les gens prennent conscience du danger de la situation. Nous assistons à une véritable montée des idées fascistes. 

Des brigades anti-racailles se forment en France. Il faut réagir. » L’heure est grave : la peste brune a fait sa réapparition dans nos villes. No pasarán !

S’il n’y avait eu un tel abîme entre le talent des auteurs respectifs, on se serait cru dans L’Armée des ombres, de Joseph Kessel, avec, dans la peau de Philippe Gerbier et de Mathilde, des jeunes myrmidons vêtus de pulls à capuche.

La plume sous laquelle coule la bravoure est celle d’un « antifa » agissant sous le nom de « Kapsy Katrik » lorsqu’il chasse ses « ennemis bruns » et de Cyril Castelliti quand il revêt ses habits lustrés de journaliste (ou plutôt, pour rependre ses termes d’agent double, « d’infiltré dans les médias »). Une rapide visite sur Facebook ne laisse planer aucun doute sur la double vie du jeune homme.

C’est Laurent Obertone lui-même, niant par ailleurs avoir été « enfariné », qui a révélé le pot aux roses sur son journal en ligne, avant de poursuivre la réflexion : « Quoi qu’il en soit, Pigasse [ndlr : propriétaire du magazine] ne peut plus financer ça, et Les Inrocks n’ont pas le choix : soit ils virent ce militant infiltré, chargé de com’ des antifas, soit ils assument être l’organe officiel de la mouvance, et rémunérer des militants antifas actifs. »

Les Inrocks n’ont jamais caché leur tropisme gauchisant. C’est d’ailleurs leur droit le plus strict que d’assumer leur ligne éditoriale. Néanmoins, leur devoir, au moins déontologique, est de relater les faits dans leur véracité ou, au moins, de ne pas tromper leurs lecteurs sur le pedigree de leurs rédacteurs. 

Cliquez ici pour écouter notre entretien téléphonique avec Laurent Obertone.

Gregory Vanden Bruel

Source 

La requête de la Grande Mosquée de Marseille rejetée

 

 
Le tribunal administratif de Marseille, qui statuait en référé, vient de rejeter la requête de l'association de la Grande Mosquée de Marseille. Dans son ordonnance, le juge estime qu'"une reprise des relations contractuelles à titre provisoire (entre l'association et la mairie de Marseille) serait, dans les circonstances de l'espèce, de nature à porter une atteinte excessive à l'intérêt général". Le tribunal rappelle l'état de délabrement du site et notamment que l'association n'a pas respecté ses engagements, en ne payant pas ses loyers en 2015, ce qui la rend débitrice de plus de 62.259 euros. Il en conclut que "la matérialité de l'ensemble des faits reprochés à l'association n'apparaît pas sérieusement contestable".

Source 

La Mosquée de Paris se retire des nouvelles instances gouvernementales de l’Islam de France

La Mosquée de Paris se retire des nouvelles instances gouvernementales sur l’Islam de France

L’information est tombée ce soir. Dalil Boubakeur a fait savoir par la presse que la fédération de la Mosquée de Paris et ses mosquées inféodées se retiraient de l’instance de dialogue sur l’Islam initiée par Caseneuve mais également de  la fondation de l’islam en France du vizir Chevènement.
Un camouflet total pour le gouvernement PS qui aura tout fait pour faire revivre le cadavre de l’islam de France en la personne du CFCM. La Fondation de l’islam de France et l’instance de dialogue étaient en effet sensées donner un second souffle à l’organisation étatique de l’islam de France.
Cette reculade de Dalil Boubakeur sonne le glas de ces initiatives d’OPA du gouvernement sur l’Islam et la gestion de la communauté musulmane en France initiée par Valls et son second.
Une nouvelle fois le gouvernement français échoue dans sa volonté d’encadrement paternaliste de la communauté musulmane. Ce désaveu intervient alors que le nouveau ministre de l’intérieur avait demandé une accélération du processus … Il pourra encore attendre.
L’exclusion de la société civile musulmane, de sa jeunesse et de ses acteurs communautaires au profit de fédérations serviles inféodées à des ambassades étrangères ne paye plus. Même les serviteurs des ministères leur font maintenant défaut à face découverte. Un camouflet également pour les militants à mi-temps qui avaient accompagné lâchement cette initiative délétère en plein état d’urgence anti-musulman.
Dalil Boubakeur a même déclaré dans un style très Islam&Info :
« Nous dénonçons toute forme d’ingérence dans la gestion du culte musulman»
Une attaque directe contre la gestion néo-coloniale de l’islam de France voulue par les politiques et gouvernements.
Une gageure donc pour le gouvernement PS, ses services et son « islam discret » mais une victoire pour vos serviteurs à l’Islam en france et sans complexe