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lundi, 11 décembre 2017

Finkielkraut sur l'hommage à Johnny: "Les non-souchiens brillaient par leur absence"

 

Le Document

Lyon, triste exemple de l’insécurité dans nos villes

En France comme en Europe, les villes et particulièrement les métropoles sont le théâtre de violences de plus en plus fréquentes.

À Lyon comme ailleurs, nous avons pu en faire le douloureux constat. L’agression ayant fait le plus parler d’elle dans la deuxième région de France est probablement celle du jeune Marin, sauvagement assailli par plusieurs individus à coup de béquilles dans un bus tandis qu’il défendait un couple pris à parti parce qu’il s’embrassait en public. Néanmoins, l’attaque de Marin ne fut pas exclusive dans la ville de Lyon. En effet, de multiples incidents ont pu être dénombrés. Beaucoup moins médiatisés, ces incidents sont ceux que vivent les Lyonnais au quotidien : violences verbales, physiques, crachats… certains, exaspérés, décident d’en parler expressément. D’autres, bien moins promptes à prendre conscience de la réalité, préfèrent évoquer des événements « isolés », n’étant donc pas la cause du surplus migratoire que connait l’Europe depuis les trente années passées.

La dernière affaire en date dans les médias lyonnais, est celle du 16 novembre, où une conductrice de transport en commun a été violemment agressée à Bron, en périphérie lyonnaise. Celle-ci a été frappée et s’est fait tirer les cheveux par des passagères avant qu’un homme intervienne pour mettre fin aux brutalités. À peine quelques semaines précédemment, à Vénissieux, un chauffeur avait été roué de coups devant les voyageurs, après que trois individus aient brisé la fenêtre du véhicule. À Villeurbanne, cet été, une adolescente giflait un conducteur pour avoir attendu. Le mercredi 15 novembre, les chauffeurs se sont réunis à Villeurbanne pour protester contre les violences.

Quelques jours plus tôt, début novembre, un groupe de jeunes gens était brutalement attaqué sur le parvis de la cathédrale Saint-Jean au Vieux-Lyon. Aux abords de 2h du matin, deux individus, ne connaissant vraisemblablement pas les jeunes en question, se sont rués sur eux et les ont battus, sans aucune raison. Une fille a été frappée au visage, jetée au sol et rouée de coups. L’équipe a déposé plainte contre les agresseurs, mais ceux-ci n’ont pas été retrouvés par la police. Chose étrange, notamment compte tenu du nombre de caméras de vidéosurveillance qui équipent les lieux.

Agression beaucoup plus grave, le 29 octobre dernier, où un jeune homme est poignardé de trois coups de couteaux dans le 1er arrondissement de Lyon. Celui-ci avait pris la défense d’une fille d’environ 17 ans qui se faisait importuner dans la rue par deux individus à 1h30 du matin. La victime sera admise aux urgences dans un état préoccupant. Au début du mois de juin, dans le 7ème secteur de Lyon, c’est un homme de 30 ans, qui, à 2h30 est violemment poignardé pour avoir refusé de donner une cigarette ! Le blessé, retrouvé dans une mare de sang, le bras gravement endommagé, est hospitalisé avec un pronostic vital engagé. Le 25 juillet dernier, à Villeurbanne, un piéton muni d’un couteau et d’un Coran se jetait sur des policiers aux cris de « Allah Akbar ».

Le samedi 18 novembre au soir, ce sont des pompiers qui étaient pris à parti dans le quartier des Buers à Villeurbanne : ils ont été caillassés pendant une intervention. À peine trois semaines plus tôt, dans la nuit d’Halloween, du 24 au 25 octobre, d’autres secouristes étaient visés par des jets de pierre et de cocktails Molotov à Feysin. Le lundi 6 novembre, ce ne sont pas moins de 300 pompiers qui s’étaient mobilisés à Lyon pour protester contre les agressions récurrentes qu’ils subissent au quotidien.

Le 19 septembre, dans l’Hérault, c’est une femme de 72 ans, accompagnée de sa mère, qui est agressée chez elles lors d’un cambriolage. Josette, la septuagénaire, aura le visage littéralement fracturé par coups qui lui ont été portés. Odile, âgée de 90 ans, ne supportera pas de voir sa fille violentée, les os brisés, et hurlant de douleur ; elle décédera d’une crise cardiaque. Mourad Chaloukh, Hedi Bennamar, Radouane Quabbari, auteurs de cette sauvagerie ont de 25 à 33 ans. Tous trois seront écroués.

Selon nos confrères de Breizh-Info, en Allemagne, au cours du premier semestre de 2017, ce sont 685 cas de viols qui ont été signalés. Pour la même période en 2016, c’est une progression de 48% qui est déplorée. Le nombre d’agressions sexuelles impliquant des clandestins aurait augmenté de 91%. L’immigration massive sur le continent européen est donc bel et bien l’une des causes indubitables de l’accroissement fulgurant des violences, en France comme en Europe, et la ville de Lyon, directement touchée, en est clairement l’exemple.

 Armand Desargues

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Islamisation ordinaire de la France : réveillons-nous !

 

« Le FLN essaye de se maintenir au pouvoir en distillant la haine de la France »

Emmanuel Macron a effectué, mercredi dernier, son premier voyage en Algérie en tant que président de la République française. Que faut-il retenir de cette visite ? C’est la question que Boulevard Voltaire a posée à l’historien Dimitri Casali.

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Contrats avec Daech : le Franco-Suisse LafargeHolcim dénoncé par un cabinet américain

À chaque guerre son inévitable part d’ombre ; voilà qui vaut également pour la Syrie. D’où la convocation, devant les juges, d’éminentes personnalités du monde des affaires, longtemps à la tête du cimentier franco-suisse LafargeHolcim : Bruno Lafont, PDG de Lafarge de 2007 à 2015, et Christian Herrault, ex-directeur général adjoint, qui ont été mis en examen vendredi soir pour « financement d’une entreprise terroriste » et « mise en danger de la vie d’autrui » et placés sous contrôle judiciaire. Jeudi, c’était Eric Olsen, directeur général du groupe après la fusion de Lafarge avec Holcim en 2015, qui avait été mis en examen pour les mêmes chefs.

Ce qui leur est reproché ? Avoir contribué à financer indirectement l’État islamique. En effet, de juillet 2012 à septembre 2014, Lafarge Cement Syria, filiale syrienne de l’entreprise, aurait versé 5,6 milliards d’euros à diverses factions armées, dont 500.000 euros à Daech. La direction était-elle au courant ? Le contraire serait étonnant, ce type de contrats ne pouvant se traiter sans l’aval de la hiérarchie. Ils ne pouvaient d’ailleurs pas être conclus sans que le gouvernement français soit, lui aussi, tenu au courant. Ce qu’a confirmé Christian Herrault aux enquêteurs du SNDJ, le Service national de douane judiciaire : « Le Quai d’Orsay nous dit qu’il faut tenir, que ça va se régler. »

Ainsi, faudrait-il être bien naïf pour imaginer que le business puisse cesser en temps de guerre, surtout dans la cimenterie, secteur incontournable une fois le conflit terminé et qu’il s’agit de réparer les dégâts qu’on imagine. Durant les deux guerres du Golfe, les homologues américains de LafargeHolcim n’étaient-ils pas les premiers à se disputer les contrats de reconstruction ? Toujours à propos de naïveté, on peut encore se poser la question de savoir pourquoi cette société charge un cabinet américain, Baker McKenzie, de faire la lumière sur la question. Comme si cette officine n’était pas, elle aussi, en liaison directe avec la Maison-Blanche, tel que LafargeHolcim l’était avec l’Élysée…

Un journaliste très en pointe dans les affaires syriennes nous dit, sous couvert de relatif anonymat, car il se reconnaîtra : « Ce ciment était utilisé par les djihadistes pour construire des fortifications. On est alors passé à une guerre de position, non pas avec des tranchées, mais avec des bunkers souterrains. […] La quantité de ciment produite par Lafarge dans son usine de Jalabiyeh et remise aux djihadistes est équivalente à celle utilisée par le Reich allemand pour construire la ligne Siegfried. Ce sont ces bunkers que l’armée de l’air russe est venue détruire avec des bombes pénétrantes. »

 Il est un fait qu’à l’époque, en 2013, personne n’aurait misé un euro sur la survie du régime syrien. Les Russes et les Iraniens ne sont pas encore entrés dans le conflit et Daech n’est encore qu’une des innombrables factions en présence. Et le même de rappeler : « Laurent Fabius et le général Benoît Puga [chef d’état-major particulier du président de la République, NDLR] pensaient que la France et ses alliés renverseraient la République arabe syrienne et placeraient au pouvoir le général Manaf Tlass. »

Ce dernier, fils du puissant ministre de la Défense syrien, Moustapha Tlass, demeuré fidèle à Bachar el-Assad, est alors réfugié à Paris, où il est effectivement considéré comme le prochain homme fort de Damas. Quant à son frère, Firas, il n’est autre que l’administrateur de la même usine de Jalabiyeh.

Mais rien ne se passe comme prévu. L’État islamique n’est plus et Bachar el-Assad est toujours là. Quant à l’Armée syrienne libre, celle qui aurait pu appuyer Manaf Tlass, elle n’existe guère que sur le papier. Il convient donc de tout démonter, de faire le ménage et de faire payer quelques responsables : pourquoi pas ceux du cimentier franco-suisse ? Maintenant, il serait peut-être intéressant qu’un cabinet français diligente une semblable enquête sur les concurrents américains de LafargeHolcim. L’espoir fait vivre, dit-on.

Nicolas Gauthier

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Suède: les crimes sexuels en hausse de 33% entre novembre 2016 et novembre 2017

Selon la police suédoise, les signalements de crimes sexuels en novembre ont augmenté de 33 % par rapport à l’année dernière, certains prétendant que cette augmentation est due au mouvement #MeToo. Le nombre total de signalements de crimes sexuels en novembre s’élevait à 868, selon les statistiques du Conseil suédois pour la prévention de la […]

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Nantes : manifestation en soutien aux « mineurs étrangers isolés »

Environ 600 personnes, selon la police, ont manifesté ce samedi dans le calme à Nantes en soutien aux mineurs étrangers isolés dont le tribunal administratif a autorisé mardi l’expulsion des locaux universitaires, où ils sont actuellement hébergés. Le tribunal administratif a autorisé mardi leur expulsion des locaux universitaires où ils sont actuellement hébergés…

«Et si c’était toi, par exemple», pouvait-on lire sur des pancartes brandies par des manifestants, en référence à ces mineurs menacés de se retrouver à la rue. «Réquisition occupation» ou encore «Luttons contre l’isolement», pouvait-on lire encore sur de grandes banderoles.

Après la décision du tribunal administratif, le président de l’université de Nantes, Olivier Laboux, a fait savoir dans un communiqué qu’il demanderait «l’appui des forces de l’ordre pour faire respecter cette décision de justice» si l’un des deux bâtiments occupés n’était pas «libéré dans les plus brefs délais».

«Halte aux discours de haine, halte aux violences de l’extrême droite» qui cherchent à dresser, les uns contre les autres, résidents français et résidents étrangers, écrivent en substance la LDH et le Mrap. «Il s’agit bien d’obtenir sans délai de la part des pouvoirs publics la création de places d’accueil permettant à toutes les personnes vivant dans la rue d’avoir un toit dans des conditions dignes», écrivent ces deux organisations.

Dans leur communiqué, les syndicats dénoncent également les «actes intolérables de l’extrême droite nantaise» et apportent leur soutien «aux mineurs étrangers isolés», ainsi qu’«à toutes les personnes précarisées et à la rue». […]

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