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dimanche, 10 décembre 2017

1 million pour Johnny, quelques centaines contre l’islamisation…

Comme Gainsbourg qui n’a pas craint que sa sépulture soit souillée ou gentiment illustrée de tickets de métro ou de paquets de cigarette au cimetière Montparnasse, Johnny aurait pu opter pour un cimetière parisien ou même belge au lieu de se transporter à St Barth qui n’est qu’un lieu de tourisme et un de ses lieux de sa propre vie d’agréments. En tout cas, loin de ses fans qui n’ont guère les moyens de s’offrir voyage et séjour dans l’île paradisiaque.

Enfin, bref, au moins aura-t-il eu droit à une Johnnymania et au million de manifestants sur les Champs Elysées, le million que je regrettais hier encore dans RL de ne pas voir défiler contre l’islamisation.

Où l’on voit qu’un pays a le peuple qu’il mérite et que notre temps est celui du jeu, du plaisir, de la rigolade, aujourd’hui de la nostalgie de notre jeunesse qui motive la plupart des fans de Johnny. Quand les paillettes posthumes retomberont demain, il faudra examiner de près l’état d’esprit de nos contemporains entre nounours et bougies, chansonnettes et autres grosses têtes. On cherchera mieux à savoir s’il est vraiment glorieux de devenir une « première radio de France » quand l’actualité est ciblée et triée entre chutes de neige et défunts célèbres.

Roger Champart

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“Trottoir des 40 000 migrants”: le calvaire des riverains du Xe arrondissement de Paris

Immigration. Les habitants résidant près de la Plateforme d'accueil des demandeurs d'asile (Pada), dans le Xe arrondissement de Paris, n'en peuvent plus des migrants qui campent jour et nuit devant le centre, indique Le Figaro.

Au 127, boulevard de la Villette, dans le Xe arrondissement, la Pada, gérée par France Terre d'asile, voit des centaines de personnes camper devant ses portes. Toutes, elles attendent de se procurer un certain nombre de rendez-vous, pour l'examen de leur dossier, dans l'une des huit préfectures d'Île-de-France. Depuis près de deux ans, les riverains ont compté que 40.000 réfugiés avaient dormi, parfois plusieurs nuits d'affilée, sur une centaine de mètres de ce boulevard, indique Le Figaro vendredi 8 décembre. Cette situation devient insupportable pour eux.  

“Des commerçants ont dit qu'ils allaient acheter un fusil”

“Forcée de marcher sur la chaussée, puisque les trottoirs sont perpétuellement occupés, Anne-Marie a plusieurs fois failli être renversée par une voiture”, précise Le Figaro, décrivant le quotidien des habitants. “Un voisin a été brûlé lors d'une opération de gazage, un autre n'a pas trouvé d'infirmière qui accepte de venir chez lui”, témoigne Pierre Vuarin, porte-parole du collectif des “habitants associés”. Et d'ajouter : “Parfois, le trottoir est complètement imbibé d'urine. Et le nettoyage, ce n'est pas tous les jours! Plusieurs habitants sont en dépression, certains ont bradé leur appartement”.

De son côté, Philippe Michielin, salarié de la Batscop, une entreprise toute proche de Pada, se plaint également : “Le matin, on doit enjamber les matelas devant notre porte. On ne peut plus recevoir de clients. Deux de nos collaborateurs, des Blacks, se font régulièrement interpeller. Et le pire, c'est que ça radicalise la population”. En effet, selon une autre riveraine, “des commerçants ont dit qu'ils allaient acheter un fusil ; qu'ils s'en fichaient d'aller en prison, car c'était ça ou la clé sous la porte…”. Comme le patron du café “L'imprévu”, en face de la Pada, ils ont peur de voir leur chiffre d'affaires baisser car les clients ne viennent presque plus.

Une grève de la faim

Pour résoudre ce problème, les habitants ont écrit “au ministre de l'Intérieur, au préfet de Paris, à la Maire de Paris, aux élus concernés, à l'Office français de l'immigration et de l'intégration”, indique Le Figaro. “Tout le monde se renvoie la balle”, fustige Pierre Vuarin. Même le chef de l'Etat, également contacté, ne semble pas pouvoir résoudre le problème. Si, selon l'Elysée, Emmanuel Macron “a pris connaissance avec attention des difficultés de cohabitation”, il renvoie sur le ministère de l'Intérieur, indique le quotidien.

De son côté, la maire du Xe arrondissement, Alexandra Cordebard affirme qu'“un déménagement de la Pada avant la fin de l'année avait été promis par l'État”. Le 18 décembre, les riverains attendent “les élus de tous bords” pour signer leur pétition. “Sans un engagement clair sur la fermeture du système avant le 1er janvier”, ils vont entamer une grève de la faim, ont-ils prévenu le chef de l'Etat, précise Le Figaro.

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La stèle municipale d'Abel Chennouf, le soldat tué par Mohamed Merah, a été dégradée

 

Capture d’écran 2017-12-07 à 22.03.00Son fils a été assassiné par un terroriste musulman. Albert Chennouf-Meyer, catholique, est de nouveau dévasté : la stèle municipale de son fils, parachutiste de 25 ans tué par Mohamed Merah le 15 mars 2012, a été dégradée. La photo accrochée sur la stèle dans le parc de la République à Manduel a été brisée.

"On m’a déjà menacé mais toucher la stèle de mon fils, pourquoi ?"

La mairie de Manduel vient de porter plainte pour dégradation de biens publics.

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ME FRÉDÉRIC PICHON : « JE SUIS ABASOURDI ! LE TRIBUNAL A DONNÉ RAISON AUX FRÈRES MUSULMANS… »

La décision du tribunal de grande instance de Poitiers vient de tomber : les cinq identitaires de Poitiers écopent de 40.000 euros d’amende, cinq ans de privation des droits civiques, un an de prison avec sursis.

Leur avocat, Maître Frédéric Pichon, compte bien sûr interjeter appel mais est sous le choc de ce jugement clairement politique. C’est, selon lui, une victoire des islamistes. Il fait, bien sûr, le parallèle avec l’incroyable impunité dont ont bénéficié les Femen à Notre-Dame et dénonce une justice à géométrie variable, tournée vers la destruction de la France et de son identité.

Il fait un appel aux dons, non pas pour payer l’amende car la loi l’interdit, mais pour les frais de procédure.

Le document audio

Progrès, République, Démocratie : la fin des mythes ? au menu de la Fête du livre le 10 décembre

 

Jean-Pierre Maugendre évoque pour Présent la 26e Fête du livre qui aura lieu le 10 décembre.

Arton629-f58a5"[...] Nous essayons d’abord de mettre en avant des auteurs qui ont des livres récents susceptibles de retenir l’attention de nos visiteurs. Dans ce cadre, la présence de Laurent Dandrieu avec son livrel’Eglise et l’immigration. Le grand malaise s’imposait tout naturellement. En effet, les positions du pape François sur ce sujet troublent de nombreuses personnes et il nous a paru utile de faire un point, textes en mains. Ensuite, Jean-Louis Harouel traitera d’un thème qui n’est pas sans liens avec le précédent : Les Droits de l’homme contre le peuple, titre de son avant-dernier ouvrage. La religion, car c’en est une, des Droits de l’homme, est devenue un système totalitaire qui étend son emprise sur tous les citoyens. Enfin, Patrick Buisson sera présent avec deux événements éditoriaux. Tout d’abord la sortie en DVD du film Il était une foi, présentation tout à fait exceptionnelle de l’œuvre de Gustave Thibon à partir de nombreux documents d’archives. Ensuite la publication du superbe album :La Grande Histoire des Guerres de Vendée, préfacée par Philippe de Villiers. Ce travail est désormais la référence sur le sujet, aussi bien sur le fond que sur la forme.

Cependant Patrick Buisson a souhaité traiter un sujet plus actuel : Progrès, République, Démocratie : la fin des mythes ?Je crois que nous vivrons tous un grand moment d’intelligence française, à la fois enracinée dans notre histoire et profondément actuelle. Comme vous le voyez, nous serons donc cette année sur des questions très politiques.

Combien d’auteurs ont répondu à votre invitation et seront là pour dédicacer leurs ouvrages ?

Nous en sommes aujourd’hui à 112 auteurs inscrits, ce qui est dans la ligne de la participation habituelle. Nos chiffres clés reposent sur un triptyque facile à mémoriser : 100 auteurs, 1 000 visiteurs, 10 000 livres. Participer à notre Fête du livre c’est, nous l’espérons, joindre l’utile à agréable en choisissant des cadeaux de Noël, utiles et militants, dans une ambiance familiale et amicale."

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L’Intérieur donne son accord aux islamistes pour la réouverture de la mosquée de Stains

 

SL’Intérieur accepte la réouverture de la mosquée de Stains, fermée depuis novembre 2016 car repérée comme un lieu influent de la mouvance salafiste. Or, l’interlocuteur qui a obtenu cette faveur est le secrétaire général de l’UAM93 qui fédère les principales mosquées du département, M’Hammed Henniche.Dans l'enquête Mosquées Radicales (DMM,2016), Joachim Véliocas, de l'Observatoire de l'islamisation, exposait les prises de positions ultra-radicales de cette association, qui, sur son site Internet officiel, défend le port du niqab et élève la Charia au dessus des lois de la république, le tout avec une tonalité très agressive :

Le principal contributeur des contenus du site de l’UAM93 se nomme Daniel Youssef Leclerc. Converti à l’islam en 1984 par le mouvement Tabligh, il créa l’association Intégrité. Leclerc, vieux routier de l’islamisme hexagonal, fut désigné membre permanent de la Ligue islamique mondiale (LIM) en 1999, instrument de l’Arabie Saoudite. Interrogé en 1992 par Jean-Paul Mari, un journaliste du Nouvel Observateur, Leclerc alors président de la Fédération nationale des musulmans de France (FNMF, intégrée au CFCM), avait déclaré que

« Si demain on avait une majorité dans ce pays, pourquoi est-ce qu’on imposerait pas la Charia progressivement ? Ca vous dérange? Tant pis ! »

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Des collégiens de 5e apprennent une chanson en arabe

Le collège François Rabelais à l’Escarène (06)est au centre d’une polémique : une enseignante a fait apprendre à ses élèves d’une classe de 5e un chant en arabe, « Lamma bada yatathanna ».

Des parents d’élèves ont attiré l’attention de l’association de parents d’élèves (la FCPE) en notifiant que le répertoire de musiques européennes était suffisamment vaste et large pour qu’on ait à puiser dans un répertoire étranger à notre culture.

La FCPE a prévenu la Principale du collège Mme Salima Boussehaba de la cabale qui s’installait, laquelle a répondu en s’appuyant sur les textes officiels de l’Éducation Nationale pour défendre le choix de sa prof de musique. La Fédération des Conseils de Parents d’Élèves s’est alors fendue d’un communiqué distribué aux parents dans lequel elle déplore la tournure qu’ont pris les événements, tout en défendant le choix du collège.

Cette histoire n’est pas sans rappeler ce qui s’était passé en Corse en 2016 où des parents avaient refusé que leurs enfants chantent en arabe la chanson « Imagine » de John Lennon.

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Comment répondre aux mensonges sur l'immigration ?


- Comment répondre aux mensonges sur l'immigration ? -

ARGUMENTAIRE XIII


Afin de vous donner les armes pour triompher dans les débats en société ou en famille, Les Identitaires vout proposent sur leur site une série d'argumentaires traitant des grandes questions d'actualité.

Le treizième d'entre eux démonte l'affirmation mensongère suivante :

 

« Les immigrés ont reconstruit la France. » 

 

Lire l'argumentaire.

 

 

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La fin du califat de Daesh

 

Analyse d'Antoine de Lacoste pour les lecteurs du Salon Beige :

Unknown-34"La dernière ville tenue par Daesh en Syrie a été reprise par l'armée syrienne il y a quelques jours : elle s'appelle Abou Kamal et se situe le long de l'Euphrate, près de la frontière irakienne. Cet évènement n'a été, à de rares exceptions près, que peu souligné par les médias. Il est vrai que ces derniers ont traité la guerre en Syrie de façon assez particulière depuis son déclenchement...

Pourtant, l'évènement est d'importance.

La proclamation du califat par l'Etat islamique le 29 juin 2014 a été un événement considérable car dans le monde musulman, le califat a une portée symbolique très forte. Il rappelle les grandes puissances que furent les califats de Damas, de Bagdad, du Caire et bien sûr le califat ottoman tout au long des siècles. Age d'or de l'islam, parfois très amplifié, mais qui continue à séduire et à susciter des engagements fanatiques comme l'a prouvé la guerre en Syrie.

Ce vieux rêve d'une unification musulmane qui abolit les frontières, héritage pour beaucoup de la colonisation occidentale, a repris corps lorsque Abou Bakr al-Baghdadi a proclamé le califat et exigé un serment d'allégeance des musulmans du monde entier.

Cet acte symbolique a eu un retentissement tel que des dizaines de milliers de volontaires sont venus en Syrie accomplir un devoir considéré comme sacré, car prélude à la conquête mondiale du monde par l'islam.

Les islamistes syriens se sont pourtant divisés sur cette question. Une partie des militants d'Al Nosra, affiliés alors à Al Quaida, étaient hostiles à cette proclamation car ils pensaient qu'une concrétisation territoriale avant la victoire en Syrie ne pourrait qu'aider le régime. En effet, un acte aussi symbolique risquait de faire basculer beaucoup d'indécis sunnites dans le camp de Bachar.

C'est en effet ce qui s'est passé tant la perspective de vivre sous la loi de l'Etat islamique était peu attrayante pour l'élite sunnite syrienne qui s'était toujours accommodée du régime alaouite.

Elle a également renforcé la volonté des alliés de la Syrie, Iran et Hezbollah libanais en tête, de ne pas laisser les islamistes sunnites gagner la guerre. La perspective de se retrouver avec un califat islamiste à leurs portes ne les enchantait pas vraiment...

En suscitant des milliers de volontaires caucasiens, elle a également aidé à l'intervention russe, guidée par bien d'autres raisons il est vrai. Mais la perspective de pouvoir éliminer l'élite islamiste tchétchène, ouzbeke ou turkmène a intéressé Poutine comme il l'a lui même déclaré.

Et pourtant l'Etat islamique a failli gagner : si la France et les Etats-Unis avaient effectivement bombardé la Syrie comme François Hollande et ses conseillers en rêvaient en août 2013, nul doute que cela aurait accéléré la déliquescence d'une armée syrienne assez démoralisée.

Al Nosra, d'où sont issues les forces vives de Daesh, était alors le mouvement islamiste le plus puissant et la proclamation de l'Etat islamique aurait pu se faire non à Raqqa mais à Damas...

Mais aujourd'hui Daesh est vaincu et il faut saluer cette bonne nouvelle. Il faut la saluer mais il ne faut pas se faire d'illusion : de nombreux militants de l'Etat islamique sont dans la nature et, pour certains, déjà en Europe.

De plus, Al Nosra a profité des derniers mois exclusivement consacrés à la lutte contre Daesh pour se renforcer. Ce mouvement a beau s'appeler maintenant Fatah al Cham et ne plus être affilié à Al Quaida, il est exactement le même et ses militants sont aussi sanguinaires que ceux de Daesh. Seule la question tactique divisait ces deux organisations.

Les Syriens sont encore loin d'en avoir fini avec les islamistes.

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L'immigrationnisme des libéraux a pour origine leur conception individualiste de la société

 

Robert Skidelsky, professeur émérite d'économie politique à l'université de Warwick, publie une analyse dans Les Echos

Images-11"La sociologie, l'anthropologie et l'histoire ont apporté d'importantes avancées au débat sur l'immigration. Elles permettent notamment d'affirmer que l'hostilité à l'égard de l'immigration de masse ne peut être réduite à une protestation contre les pertes d'emplois, la baisse des salaires et les inégalités croissantes. L'économie a certainement joué un rôle dans la montée de la politique d'identité, mais la crise d'identité ne sera pas simplement effacée par des réformes économiques. Le bien-être économique n'est pas la même chose que le bien-être social.

Commençons malgré tout par l'économie, en utilisant le Royaume-Uni, qui s'apprête à sortir de l'UE, comme un cas d'espèce. Entre 1991 et 2013, il y a eu un afflux net de 4,9 millions de migrants nés à l'étranger en Grande-Bretagne. La théorie économique nous dit que l'immigration nette, comme le libre-échange, ne profite à la population autochtone qu'avec un certain retard. L'argument ici est que si l'on augmente la quantité de main-d'oeuvre, son prix (les salaires) baisse. Cela permet d'augmenter les bénéfices. L'augmentation des bénéfices conduit à davantage d'investissements, qui vont augmenter la demande de main-d'oeuvre, ce qui va renverser la première tendance à la baisse des salaires. L'immigration permet ainsi à une population plus nombreuse de jouir du même niveau de vie que la population moins nombreuse dans la situation précédente, d'où une nette amélioration du bien-être total.

Une étude récente de l'économiste de l'université de Cambridge Robert Rowthorn a toutefois montré que cet argument comporte de nombreuses lacunes. Les prétendus effets temporaires en termes de travailleurs autochtones déplacés et de salaires plus bas peuvent durer cinq ou dix ans, alors que les effets bénéfiques supposent une absence de récession. Et même sans récession, s'il y a un afflux de migrants, plutôt qu'une augmentation exceptionnelle de la taille de la main-d'oeuvre, la demande de main-d'oeuvre peut constamment être en retard sur la croissance de l'offre. La « thèse selon laquelle les migrants occupent les emplois de travailleurs locaux et poussent leurs salaires vers le bas est peut-être exagérée, dit Rowthorn, mais elle n'est pas toujours fausse ».

Un deuxième argument économique est que l'immigration va rajeunir la main-d'oeuvre et va stabiliser les finances publiques, parce que les jeunes travailleurs importés vont générer les impôts nécessaires pour financer un nombre croissant de retraités. La population britannique devrait dépasser les 70 millions d'habitants avant la fin de la prochaine décennie, soit une augmentation de 3,6 millions, ou 5,5 %, en raison de l'immigration nette et de l'excédent des naissances sur les décès parmi les nouveaux venus. Rowthorn rejette cet argument. « Pour maintenir une fois pour toutes une réduction du taux de dépendance, il faut un flux incessant de migrants. Une fois que l'afflux s'arrête, la structure des âges revient à sa trajectoire d'origine. » Ainsi, même avec des résultats optimaux comme l'évitement de la récession, les arguments économiques en faveur de l'immigration à grande échelle ne sont guère concluants. Ainsi le noeud de la question est vraiment son impact social. 

David Goodhart, ancien rédacteur en chef de la revue « Prospect », a plaidé en faveur de la restriction d'un point de vue social-démocrate. Il tient pour acquis que la plupart des gens préfèrent vivre avec leurs semblables et que les décideurs doivent prêter attention à cette préférence. Une attitude de laisser-faire quant à la composition de la population d'un pays est aussi intenable que l'indifférence quant à sa taille. Pour Goodhart,l'origine de l'hostilité des libéraux à propos des contrôles migratoires est leur conception individualiste de la société. À défaut de comprendre l'attachement du peuple à des communautés sédentaires, ils taxent l'hostilité à l'égard de l'immigration de réaction irrationnelle ou raciste.

Un afflux trop rapide de migrants affaiblit les liens de solidarité et érode à long terme les liens affectifs nécessaires pour maintenir l'Etat providence. « Les gens préféreront toujours leur propre famille et leur propre communauté, affirme Goodhart, c'est la tâche d'un libéralisme réaliste de s'efforcer d'obtenir une définition de la communauté suffisamment large pour inclure les personnes de différentes origines, sans être trop large au point de perdre toute signification. » Les libéraux économiques et politiques sont associés dans la défense d'une immigration sans restriction. Les libéraux économiques considèrent les frontières nationales comme des obstacles irrationnels à l'intégration mondiale des marchés. De nombreux partis politiques libéraux considèrent les Etats-nations et les loyautés qu'ils inspirent comme des obstacles à l'intégration politique plus large de l'humanité.

Sur ce point se joue le plus vieux débat des sciences sociales. Les collectivités peuvent-elles être créées par la politique et les marchés, ou bien est-ce qu'elles présupposent un sentiment d'appartenance ? Il me semble que quiconque réfléchit à ces questions est forcé d'accepter avec Goodhart que la citoyenneté, pour la plupart des gens, est une chose dans laquelle ils sont nés.Si la composition d'une communauté se modifie trop rapidement, cela arrache les gens à leur propre histoire, en en faisant des déracinés. L'anxiété des libéraux de ne pas passer pour des racistes leur cache ces vérités. Une explosion de ce que l'on appelle actuellement le populisme est une conséquence inévitable.

La conclusion politique à tirer est banale, mais il est bon de la rappeler. La tolérance d'un peuple au changement et à l'adaptation ne doit pas être étendue au-delà de ses limites. Plus précisément, l'immigration ne doit pas être poussée trop loin, parce qu'elle déclenchera à coup sûr l'hostilité."

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DANS CERTAINS COINS DE FRANCE, ON A LE CHOIX ENTRE LE HALAL… ET RIEN !

Pendant qu’une certaine France laïcarde frémit d’angoisse face à « l’invasion des crèches profanatrices de laïcité », le communautarisme musulman, tranquille comme Baptiste, use les nerfs de la nation.

Jugez plutôt : « La justice doit en effet trancher un litige opposant l’office de logement social de Colombes (Hauts-de-Seine), Colombes Habitat Public, au magasin d’alimentation Good Price, installé au pied des tours de la cité des Grèves, dans l’ouest de la ville. L’office, présidé par la maire Les Républicains de Colombes, Nicole Gouéta, reproche au commerce et à son gérant de ne pas respecter le contrat de location stipulant que le local doit être occupé par un “commerce général d’alimentation”. Or, Good Price est de facto une épicerie halal où le porc et le vin sont proscrits. Et l’office HLM attaque pour non-respect d’une clause du contrat dans l’intention affichée de ne pas permettre une “communautarisation” des commerces de la ville » (Le Figaro).

Mais comme l’a expliqué le gérant de l’enseigne incriminée, sa clientèle ne raffole pas du cochon et de l’alcool. Toutefois, la justice a tranché en ordonnant « la fermeture de l’épicerie halal qui ne vend pas de vin [estimant] que le commerce ne correspond pas à la “notion large d’alimentation générale” » (20minutes).

Ne boudons pas notre plaisir, pour une des rares fois que la justice décide de sonner la fin de la récréation à l’égard de ces exigences, pour la plupart incompatibles avec notre société.

Ces restrictions alimentaires islamiques s’invitent quelquefois violemment. En juin 2016, à Nice, une serveuse s’était vue menacée et giflée par un Tunisien – en situation irrégulière – parce qu’elle servait de l’alcool en période de ramadan. L’agresseur avait écopé de huit mois de prison ferme, au lieu d’être expulsé du territoiremanu militari.

 

Des violences qui ne datent pas d’hier. Déjà en 2010, un boucher-charcutier portait plainte suite à une énième agression subie au marché de Sarcelles (Val-d’Oise) parce qu’on trouvait de la viande haram sur son étal, « le seul endroit dans la ville où on peut acheter des côtes de porc », soupirait à l’époque une cliente (Le Parisien).

Pourtant, en 2012, Le Monde, avec son sens aigu du déni, parlait d’« un passage de témoin en douceur » lorsque le dernier boucher traditionnel de Pantin prenait sa retraite, ce dernier reconnaissant« la disparition des bouchers “traditionnels” et l’essor des “halal” ». Son successeur a ouvert une boucherie confessionnelle musulmane.

Au-delà des quartiers à forte présence musulmane – où les commerces traditionnels de bouche jettent massivement l’éponge et cèdent la place au halal –, il suffit de se promener dans les rayons des enseignes de la grande distribution pour constater que le halal s’est installé confortablement sur l’ensemble du territoire, ce qui pose de sérieux problèmes de vivre ensemble, cette antienne qu’on nous sert pourtant matin, midi et soir !

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COMME MIEUX VAUT UN PODIUM EN BURKA QUE L’ANONYMAT, APRÈS LE BURKINI, LE HIJAB DE SPORT !

Il paraît que la demande était « forte », alors Nike a cédé sous la pression. Faudrait pas croire, ces gens-là sont dévoués. Résultat, ce vendredi est arrivé sur le marché le premier« Nike Pro Hijab ». Pour le prix modique de 30 euros, un hijab « adapté aux sports de haut niveau ».

Donc, à ce qu’ils disent, la demande était si forte que « les designers de Nike ont alors commencé à se pencher sur la création d’un prototype, qu’ils ont envoyé à plusieurs athlètes afin qu’elles l’essaient dans leur discipline sportive respective », dit leur communiqué de presse. Cette tenue à haute performance énergétique a ainsi été réalisée en collaboration avec l’escrimeuse américaine Ibtihaj Muhammad, une vedette de renommée internationale depuis qu’elle est la marraine de la nouvelle Barbie-Hijab. Une jolie petite poupée « enchiffonnée » qui fera fureur sous le sapin (je n’ose pas dire à Noël…).

Elle a été assistée dans cette lourde tâche par la patineuse émiratie Zahra Lari, qui veut bien patiner les fesses à l’air à condition d’avoir la tête couverte. Enfin bon, j’exagère un peu. Elle est en combinaison moulante, ce qui ne laisse rien ignorer de ses formes généreuses mais il n’y pas un cheveu ni un poil qui dépassent. Et ça, hein, c’est l’essentiel !

C’est amusant, d’ailleurs, car à bien y regarder, ces femmes pourraient tout aussi bien emprunter aux nageurs les combinaisons intégrales qui faisaient fureur voilà quelques années. Interdites parce que totalement imperméables : l’eau n’y entre pas mais n’en sort pas non plus. Du coup, je m’interroge : comment vit-on son sport de haut niveau dans une cabine de douche ?

Je vous en parle en connaissance de cause. J’ai dans mes très proches un sportif de haut niveau. Escrimeur comme Ibtihaj Muhammad. Je n’ose vous dire l’état de sa tenue après les assauts : à essorer. Sous le masque et la cuirasse, c’est l’enfer. Alors emmitouflée dans son chiffon, elle doit salement macérer, Mme Muhammad !

À ce propos, j’aimerais bien avoir l’avis du corps médical. C’est étrange, convenez-en : dans ce monde où la « Haute Autorité de santé » nous bombarde à longueur de temps de recommandations, d’injonctions et autres interdits, elle demeure muette sur les effets de la macération sous la bâche. Qu’en disent les dermatologues, par exemple ?

Enfin, questions subsidiaires : qu’en disent les féministes ?

Et qu’en dit notre ministre des Sports, Laura Flessel, escrimeuse hors pair elle aussi ?
En ces temps où la parité et l’égalité de traitement entre les femmes et les hommes sont au cœur de toutes les discussions, comment considère-t-on cette nouvelle entrave ? Car c’en est une, de concourir emmitouflée.

Paradoxalement, la réponse d’Ibtihaj Muhammad comme de Zahra Lari est de dire qu’en arborant leur voile, elles participent à l’émancipation des femmes musulmanes… À leur « visibilité ». Mieux vaut un podium en burka que l’anonymat. C’est aussi l’avis des instances sportives et du CIO. Pas le mien.

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Islam. La lourde condamnation de Génération identitaire pose la question du blasphème

09/12/2017 – 07h00 Poitiers (Breizh-info.com) – La justice est lente, très lente, ce qui ne l’empêche pas de prononcer parfois « des peines qui paraissent totalement démesurées eu égard des faits reprochés » selon un avocat du barreau parisien.

Ainsi, le tribunal de Poitiers a rendu son jugement jeudi 7 décembre dans l’affaire de l’occupation du toit de la mosquée (en construction) de Poitiers par un groupe de militants de Génération identitaire. Une action menée le 20 octobre 2012 et qui avait déjà valu de nombreuses gardes à vue ainsi que des contrôles judiciaires pour bon nombre de militants arrêtés.

Mais aux yeux de la justice, ce n’était pas assez : ainsi 4 personnes ont été reconnues coupables de provocation à la discrimination nationale, raciale, religieuse par paroles, écrits, images ou moyens de communication au public par voie électronique et de dégradations de biens d’autrui, commises en réunion.

Les peines prononcées à l’égard de ces 4 prévenus sont identiques :

 – condamnation à un an d’emprisonnement assorti du sursis total et d’une mise à l’épreuve pendant 2 ans
– obligation de réparer les dommages causés
– privation de tous les droits civiques, civils et de famille (article 131-26 code pénal) pour une durée de 5 ans, à titre de peine complémentaire.
– confiscation des objets saisis

Au total, les amendes et compensations pour les associations parties civiles s’élèvent à 40 000 euros…

Si les militants de Génération identitaire ont déjà annoncé leur intention de faire appel , c’est la lourdeur de la peine qui interpelle.

En effet, le « crime » de ces militants est simplement d’avoir déployé trois banderoles sur le toit de la mosquée en construction, l’une avec le nom de l’organisation, l’autre évoquant « 732 » , date à laquelle Charles Martel a repoussé les Arabes à Poitiers et la dernière – violence ultime – réclamant un référendum démocratique sur la construction de mosquées et l’immigration.

Pas de dégradation, pas d’injures, pas de violence, pas de résistance aux forces de l’ordre quand elles étaient venues déloger les militants. La décision du tribunal de Poitiers interroge, notamment si on la met en regard de la jurisprudence concernant des faits d’actualité récente :

Ainsi le tribunal de Saint-Brieuc a condamné cette semaine le patron d’une société de pêche à un an de prison avec sursis – la même peine donc que les militants de GI – pour homicide involontaire.

Fin novembre, un conducteur de train en état d’ivresse a lui aussi écopé d’un an de prison avec sursis pour « mise en danger de la vie d’autrui ». Il avait traversé à toute vitesse la gare de Nevers…

Pour l’agression violente d’un professeur en banlieue parisienne, un parent d’élève a écopé de la même peine fin novembre.

Une peine moindre a par ailleurs été requise contre les deux joueurs du Stade Français (rugby) accusés d’agression sexuelle et de violences.

A l’inverse, si l’on compare avec des peines infligées à des militants politiques pour des actions également symboliques, on se rend compte d’un certain « décalage » judiciaire – les faits incriminés ont reçu une qualification pénale parfois différente :

Le jeudi 4 septembre 2014, cinquante-cinq militants de Greenpeace étaient condamnés à des peines de deux mois de prison avec sursis pour une spectaculaire intrusion en mars dans la centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin), la doyenne des dix-neuf centrales françaises (violation de domicile).

En 2014, le tribunal correctionnel de Marseille avait prononcé des peines de quatre à dix mois de prison avec sursis et près de 70 000 euros de dommages-intérêts contre neuf militants de Greenpeace poursuivis pour « tentative d’introduction non autorisée dans un local ou terrain clos intéressant la défense nationale » et « complicité de dégradations d’un bien appartenant à autrui commises en réunion »

C’est également la « violation de domicile » qui avait été retenue pour condamner des militants de l’association L214, en octobre 2017.  Deux militants de l’association de défense des animaux L214 on été ainsi condamnés à une amende de 6 000 euros, dont 5 000 avec sursis, pour « violation de domicile ». Ils s’étaient introduits dans un abattoir.

Derrière cette sévère condamnation  de Génération identitaire, c’est avant tout la question de la liberté d’expression et d’opinion qui est posée : est-il encore autorisé de critiquer l’islam, de dénoncer l’islamisme, et d’évoquer l’islamisation de l’Europe – qui se confirme dans les faits statistiques – sans être menacé de finir en prison, ruiné, privé droits civiques ? Il parait que le délit de blasphème n’existe pas en France. Quand il s’agit de l’islam, il est permis d’en douter.

Yann Vallerie

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Un violeur multirécidiviste condamné à du « sursis probatoire » en Belgique

Un homme âgé de 58 ans et habitant Waremme, dans la province de Liège, a été condamné, ce mercredi, à une peine de dix-huit mois de prison avec sursis probatoire par le tribunal correctionnel, après avoir commis une agression sexuelle dont la victime est une femme handicapée.

Les limites de l’indécent laxisme ont, une nouvelle fois, été franchies, d’autant plus lorsque l’on sait que l’homme avait déjà été condamné à de multiples reprises pour des faits similaires dans les années 80 et 90, notamment des faits de viols et d’attentat à la pudeur. 

En novembre 2015, le Waremmois avait incité la jeune femme de 23 ans, compagne de son neveu, à monter dans une camionnette afin de l’emmener dans une forêt de la région. Après les faits, il l’avait menacée de mort si elle venait à les dénoncer, ce qu’elle finit par faire à coups de confessions.

La condamnation à une peine de prison avec du sursis probatoire a forcément de quoi choquer dans un pays traumatisé par la répétition de scandales sexuels depuis l’affaire Dutroux (à propos duquel on parle, aujourd’hui, d’une libération prochaine).

En octobre dernier, une jeune femme avait été retrouvée morte dans son kot (chambre d’étudiant en Belgique), tuée par un violeur multirécidiviste qui l’avait au préalable menacée, sans que la police n’intervienne.

 L’avocat du bourreau avait déclaré, dans la foulée des faits et des aveux de son client, qu’il y a plus de mille délinquants sexuels en Belgique, chiffre qui ne manque pas d’inquiéter.

Pourtant, les médias si prompts à « balancer les porcs » se taisent dans toutes les langues du Royaume sur une vérité autrement plus dérangeante : d’après les chiffres officiels, il y aurait huit viols par jour en Belgique mais, selon des estimations officieuses, ce chiffre serait largement sous-estimé en raison des réticences des victimes à porter plainte. 

On peut, malheureusement, comprendre leurs réticences dans un pays où l’agression sexuelle sur une personne handicapée débouche sur du sursis probatoire.

Gregory Vanden Bruel

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La mosquée radicale de Stains réouvre !

Fermée en novembre 2016, la mosquée de Stains a dépêché le secrétaire de l’Union des associations musulmanes du 93 (UAM93), M’hammed Henniche, afin de négocier sa réouverture place Beauvau. Ce n’était pas gagné, étant donné que de nombreux djihadistes de l’État islamique s’y retrouvaient, et que l’imam, se faisant appeler « cheikh Abou Abdillah », au look de salafiste les cheveux longs et lissés, est un jeune homme né en 1986 qui avait été repéré pour ses prêches jugés extrémistes. Aussi, dans un documentaire diffusé à l’été 2016 sur Canal+, on avait vu devant l’édifice plusieurs jeunes fanfaronnant sur des projets d’attentat, l’un évoquant d’abattre un avion en référence à un aéronef qui passait au-dessus de sa tête.

L’opération mains propres a consisté à virer Abou Abdillah, ancien responsable de l’ONG Baraka City qui opérait en Syrie, et dont le directeur refusait de condamner l’État islamique sur Canal+.

Le président de la mosquée, Salih Farhoud, égyptien, était revenu brièvement au pays à la faveur de la prise de pouvoir des Frères musulmans. En 2014, un journaliste de la chaîne égyptienne Al-Hayat avait dû interrompre Salih Farhoud alors qu’il tenait des propos antichrétiens. Il était alors invité à commenter le changement de régime en Égypte. « Nous sommes très heureux. Nous espérons que tous les responsables de l’ancien régime [de Moubarak] qui ont fui l’Égypte seront arrêtés, tout comme Boutros-Ghali a été arrêté aujourd’hui. J’ai toujours dit qu’il est inconcevable qu’un ministre… Un chrétien ne peut être affecté au Trésor. Ce portefeuille doit être détenu par un musulman. » 

Le secrétaire de l’UAM93, qui a obtenu la réouverture de la mosquée, a récemment fait un grand nettoyage sur le site Internet de cette fédération de mosquées. Le principal rédacteur, Youssouf Leclerc, n’y allait pas de main morte pour fustiger la loi interdisant la burqa, en intitulant un article « Le Jihâd du niqab », avec une lecture toute personnelle de l’application de la loi : « Le port du niqab en France est l’objet d’une guerre sans merci entre les forces républicaines et celles des musulmans. » Malheureusement pour cette fédération de mosquées qui chapeaute celle de Stains, les archives du Net permettent de lire leurs écrits de combat. On lit aussi que : « Ultime provocation, on exige des Musulmans d’opter sans réserve pour les lois (humaines) de la République et de renoncer aux Lois de Dieu, sous peine de sanctions (…) les grands muftis de la République laïque pourront toujours aboyer cela n’empêchera pas la caravane islamique de continuer son chemin jusqu’à sa destination finale. »

 Une deuxième mosquée radicale !

Le 4 février 2017, les responsables de l’ Islamic Forum France (IFF), branche française de l’organisation islamiste Jamaat-e-Islami Bangladesh (JIB), ont organisé une réunion d’information dans les locaux du Centre cultuel islamique bangladais-Île-de-France (CCIBF) à Stains (Seine-Saint-Denis), afin de présenter le projet d’extension de leur mosquée. Il faut savoir que le Jamaat-e-Islami défend les Frères musulmans, dont ils demandent la libération des responsables emprisonnés en Égypte. Ses dirigeants se félicitèrent de l’acquisition récente d’un local jouxtant le CCIBF, ce qui leur permettra d’atteindre une superficie totale de 600 m2. Ils contrôlent plusieurs commerces leur permettant de trouver les fonds nécessaires et ont le soutien de la mairie communiste. Effectivement, lors de la réunion étaient présents Marie-George Buffet, le maire (également PCF) de Stains, M. Azzédine Taïbi, ainsi que M. M’Hammed Henniche, de l’UAM 93, qui est décidément partout. Mais Salih Mohamed Attia assistait aussi à la réunion, ce qui montre la solidarité des musulmans à Stains.

Joachim Véliocas

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La bataille de Poitiers n’est pas un mythe ! (1)

Entre Tours et Poitiers s’étend une vaste plaine au milieu de laquelle est un hameau qui porte le nom à jamais glorieux de Moussay-la-Bataille.

C’est là que, d’après une tradition immémoriale, fut livrée la bataille de Poitiers dans laquelle la chrétienté, servie par le bras de Charles Martel, écrasa les musulmans, arrêta de ce côté les progrès du croissant et sauva la civilisation européenne du plus grand péril qu’elle pût courir.

Tout est obscur dans les détails de cet événement considérable du 17 octobre de l’année 732.

Mais ce que l’on sait, ce que tous les chroniqueurs, arabes ou français, ont dit à l’envi, c’est que la journée de Poitiers fut une journée mémorable, qui vit deux religions, deux mondes, deux civilisations, deux races et, pour ainsi dire, deux pôles, le Nord et le Sud, se rencontrer et se heurter avec fracas.

Si Charles Martel avait été vaincu, à Poitiers, par Abdérame, comme l’empereur Constantin Paléologue le fut plus tard, à Constantinople, par Mehmed II, l’Europe aurait été la proie de l’islamisme, et Dieu sait ce que sont devenus les peuples qui ont eu à subir son joug !

Les soldats de Mahomet avaient conquis la moitié du monde : encore un effort, et tous les peuples seraient aux genoux des successeurs du Prophète. Le 28 avril 711, vingt-cinq mille musulmans, appelés par un traître, débarquent à Algésiras, battent les Goths à Xérès, anéantissent, après trois siècles d’existence, la monarchie wisigothe, deviennent maîtres de l’Espagne entière et établissent leur capitale à Cordoue.

Au printemps de l’année 732, Abdérame (Ab’ der-Rhaman), émir de Cordoue, obéissant aux instructions du calife Hescham, et déterminé à s’emparer de la Gaule, franchit les Pyrénées par la vallée de Roncevaux. Son armée était formidable. Elle comprenait la plus grande partie de ces vaillantes troupes qui avaient conquis l’Afrique et l’Espagne. Derrière les combattants venait une multitude énorme, vieillards, femmes et enfants, que certains historiens dignes de foi portent au chiffre de cinq cent mille âmes. C’était un peuple entier qui se jetait sur un autre, comme au temps des grandes invasions, et qui obéissait à la voix d’un des plus fameux capitaines de l’islam.

 Telle était l’armée qui s’avançait vers la Gaule chrétienne. L’aile gauche enleva d’assaut toutes les villes de Béarn sans rencontrer de résistance sérieuse. Oléron, Dax, Bayonne furent livrées aux flammes, et une foule de prêtres, de religieux et de religieuses furent massacrés.

L’aile droite débarqua en Provence et exerça ses fureurs sur Marseille et sur la Provence entière, puis sur la Bourgogne avec une étonnante rapidité. À Sens, un évêque, saint Ebbo, arrêta l’aile droite de l’armée.

Pendant ce temps, la grande armée musulmane, sous les ordres d’Abdérame, montait en Gaule. Après avoir incendié la ville de Bazas elle se présenta devant Bordeaux. La grande cité, capitale de l’Aquitaine, fut emportée d’assaut, la population fut égorgée, les églises furent pillées et brûlées, le faubourg et le monastère de Sainte-Croix livrés aux flammes. Le duc Eudes, désespéré, s’enfuit avec les débris de son armée. Abdérame le poursuivit, franchit la Garonne, enleva la forteresse d’Agen et tomba enfin sur l’armée ducale qui fut écrasée. « Ce fut, dit le chroniqueur Isidore de Beja, une déroute et un massacre effroyables. Dieu seul sait le nombre de Francs qui périrent en cette journée ! »

Les conséquences de la défaite furent terribles. En quelques mois, l’armée musulmane, gorgée de butin, s’empara de Périgueux, de Saintes, d’Angoulême, livrant tout le pays à feu et à sang, ne laissant rien derrière elle, et arriva sous les murs de Poitiers.
(À suivre…)

Extraits de : Ferdinand Hervé-Bazin, Les Grandes Journées de la chrétienté, réédition Édilys 2015.
Ferdinand Hervé-Bazin (1847-1889) fut avocat, professeur d’économie politique à l’Université catholique d’Angers. En écrivant ce livre après le désastre de 1870, il voulait montrer ces triomphes éclatants de l’Église, qui furent aussi des triomphes pour la civilisation, et qui s’appelèrent les journées du pont Milvius, de Tolbiac, de Poitiers, de Pavie, de Jérusalem, de Las Navas, de Grenade, de Lépante, de Vienne, de Peterwardein. Il pensait que de tels spectacles étaient de nature à faire aimer l’Église et aussi à relever les courages abattus.

Ferdinand Hervé-Bazin

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L’Europe Unie du grand remplacement : comment en est-on arrivé là ?

 

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Bernard Plouvier

Durant les Golden Sixties, il y a avait du travail et même beaucoup de travail, plus que les Européens ne pouvaient en assumer. En outre, le « peuple éternellement martyr » voulait assurer ses arrières en introduisant des cibles potentielles, en cas de nouveau déchaînement xénophobe.

Le résultat ne se fit pas attendre. On introduisit massivement des travailleurs, soit des hommes faits, provenant de Turquie (Allemagne), du Maghreb (France, où les Noirs ne sont arrivés que secondairement), d’Afrique noire et maghrébine (Belgique), d’Insulinde et de Guyane (Pays-Bas), des Antilles, des Indes et d’Afrique noire (Grande-Bretagne).

Là-dessus, se produisit un phénomène imprévu, tant il est vrai que les experts ne servent strictement à rien : ils ne prévoient jamais que ce qui ne se produit pas ! Dès le premier choc pétrolier et la montée en flèche de toutes les matières premières, en 1973, les Européens – qui n’étaient pas, alors, des réplicons de Nord-Américains -, réduisirent leur consommation et en revinrent aux ancestrales habitudes d’économie.

La grande distribution d’Europe occidentale, qui rêvait aux superbénéfices des cousins d’Amérique du Nord, se lança dans une opération de propagande humanitaire : il fallait absolument, au nom du Seigneur et des Droits de l’Homme réunis, regrouper les familles des pauvres travailleurs immigrés.

En France, deux politiciens très sensibles aux ukases des hommes d’argent, les sieurs Giscard d’Estaing et Chirac, édictèrent le Décret 76-383, du 29 avril 1976 (paru au JO du 2 mai), légalisant le regroupement familial. Et affluèrent femmes, enfants & vieillards ; coran, mosquées & imams ; jeunes (et moins jeunes) délinquants-racketteurs-vandales-violeurs ; trafiquants de haschich (Maroc), d’héroïne (via la Turquie), ecstasy, méth-amphétamine, cocaïne et autres merveilles de la chimie parfois casher (si, si !).

Il ne manquait plus que quelques guerres néocoloniales, induites par les maîtres des USA et imposées à leurs valets des États européens, pour que surgisse le Djihâd et ses attentats aveugles, prouvant que l’on peut tuer beaucoup d’innocents avec des moyens rudimentaires.

En résumé, l’on en est arrivé là, parce que les opinions publiques européennes se sont laissé berner par de faux sentiments humanitaires. On avait besoin de travailleurs et on importa la misère, sous-douée & sous-productive, du Tiers-Monde. S’enrichit beaucoup la grande distribution, tandis que la foule des glorieux parasites d’associations humanitaires trouvait à s’occuper de façon particulièrement flatteuse pour l’égo de ses membres.

Manifestement, au moins 45% des citoyens des États d’Europe occidentale et scandinave ont compris l’origine de leur malheur, mais beaucoup n’osent s’affranchir de la propagande niaise et catastrophiste : que vont devenir nos gentils immigrés et notre économie si compliquée, lorsque les méchants populistes seront arrivés démocratiquement au pouvoir ?

C’est à répondre à ces questions que les populistes doivent s’attacher. Les remèdes existent, puissants, impitoyables, car adaptés à la situation très périlleuse des Européens. Il importe de les faire connaître en assurant les Nations autochtones qu’ils seront appliqués dans toute leur rigueur.

- Retour intégral des extra-Européens dans leurs continents d’origine, une fois terminées leurs études et leurs stages de formation.

- Retour à une politique économique de préférence continentale en matière d’emploi, de ré-industrialisation européenne, d’accords commerciaux négociés de pays à pays.

- Indépendance totale des États européens, avec abandon des tutelles de New York (Finance) et de Washington (Ukases politiques et militaires).

- Union intime de l’Europe occidentale et scandinave avec l’Europe danubienne et l’immense Russie.

En France, on en est loin, voire même à des années-lumière ! Le personnel politique est vieux, usagé, bon à mettre, très poliment, à l’hospice. C’est à la jeune génération de créer le nouveau populisme européen.

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Près de Nice, des parents d'élèves se plaignent d'une chanson arabo-andalouse

La courte partition, en arabe avec aide à la prononciation et traduction française, est à l'origine de la colère de certains parents et d'une vague de réactions racistes.

  • La principale du collège de L'Escarène, près de Nice, a porté plainte contre X après les récriminations de quelques parents fâchés par le choix d'une complainte arabo-andalouse du Moyen-âge en cours de musique et une vague de réactions racistes, a indiqué le rectorat vendredi.
  • "Suite à la réaction de quelques parents après l'initiative de la professeure de musique du collège Rabelais de l'Escarène, de faire chanter à une classe de 5e une complainte amoureuse arabo-andalouse du Moyen-âge, l'académie de Nice réagit contre tous propos discriminatoires ou racistes", a indiqué le rectorat dans un communiqué, en apportant son soutien au collège.
  • Alors que le feu couve depuis plusieurs jours sur les réseaux sociaux, "une plainte contre X pour atteinte à l'image de l'établissement a été déposée par la principale du collège", a-t-on précisé de même source. Seuls "quelques parents" ont réagi au départ quand l'enseignante a souhaité faire chanter à une de ses classes de 5e des chansons, dont cette fameuse complainte du XIIe siècle, souligne-t-on encore au rectorat.
  • La courte partition, en arabe avec aide à la prononciation et traduction française, a été retweetée par des internautes scandalisés, avec notamment la mention "résistance républicaine". 

"Mon problème c'est l'amour si ce n'est elle?"

Les paroles, datant d'une période d'essor artistique dans le sud de l'Espagne, disent ceci : "Quand elle est apparue marchant noblement, elle, mon amour, sa beauté nous a tués/Comme elle nous a regardé avec ses beaux yeux, une branche d'arbre s'est cassée/Mon problème c'est l'amour si ce n'est elle ?".

Les syndicats Sgen-CFDT, Snes-FSU, CGT Education et l'Unsa "condamnent les atteintes discriminatoires et racistes envers l'équipe du collège", selon un communiqué commun. "Les projets menés dans l'établissement et tous ce qui a trait au vivre ensemble sont attaqués et menacés par un certain nombre de sites d'extrême droite qui se sont emparés du sujet", s'inquiètent-ils.

Ils rappellent que le service public de l'éducation doit permettre aux enfants d'acquérir les connaissances et la culture nécessaires à l'exercice de la citoyenneté dans la société contemporaine".

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France: peine de prison pour 5 membres d’une ONG d’extrême droite pour attaque contre une mosquée

5 membres de l’association « Génération Identitaire » d’extrême droite qui ont endommagé il y a cinq ans, une mosquée en cours de construction à Poitiers et scandé des slogans islamophobes, sont condamnés à des peines de prison

France: peine de prison pour 5 membres d’une ONG d’extrême droite pour attaque contre une mosquée

5 membres de l’association « Génération Identitaire » d’extrême droite qui ont endommagé il y a cinq ans, une mosquée en cours de construction à Poitiers et scandé des slogans islamophobes, sont condamnés à des peines de prison.

La Cour pénale de Poitiers s’est prononcée sur le cas des 5 personnes accusées de « dommage aux biens » et « incitation à la haine religieuse et raciale ».

Le tribunal a condamné l’association d’extrême droite à une peine de 10 mille euros et ses cinq membres, Alban Ferrari, Maxime Frier, Julien Langella et Damien Lefèvre à un an de prison avec sursis. La justice les a également privés de certains de droits de citoyenneté pendant cinq ans.

Par ailleurs, un autre membre de l’association, Benoit Vardon a été condamné à un an de prison avec sursis et son droit d’éligibilité lui a été retiré pour 5 ans pour complicité.

Le président du tribunal Franck Wastl-Deligne a rejeté la demande des défenseurs consistant à évaluer l’acte dans le cadre de la liberté d’expression. Il a justifié les peines en disant que l’acte et les slogans ne sont pas uniquement de caractère haineux, mais également de nature à inciter à la haine raciale et religieuse contre les musulmans de la région.

La préfecture de Paris avait interdit le mois dernier une activité appelée « Défense de l’Europe contre l’Islamisation » de la Génération Identitaire connue pour son caractère raciste et islamophobe.

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