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mercredi, 13 décembre 2017

Des Tunisiens agressent deux jeunes femmes à la sortie de la messe

Immigration. L’un d’eux, clandestin, a frappé l’une des filles au visage. Il a été condamné à six mois de prison ferme.

Jeudi 7 décembre, lors de la première soirée de la Fête des Lumières à Lyon, dans le Rhône, plusieurs Tunisiens alcoolisés ont harcelé et agressé deux jeunes femmes qui sortaient de la messe, sur le parvis de l’église Saint-Nizier, rapporte Lyon Mag, ce mardi.

“L’un d’eux a notamment eu des gestes déplacés et a frappé l’une des filles au visage”, précise le média local. Tandis que la victime trouvait de l’aide auprès des policiers de la BAC, l’auteur du coup de poing en situation irrégulière était interpellé. Il a depuis été condamné à six mois de prison ferme.

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La mosquée d'un influent prédicateur salafiste fermée à Marseille

Une mosquée située en plein coeur de Marseille est sous le coup d'un arrêté de fermeture de six mois en raison des prêches radicaux de son imam, El Hadi Doudi, un influent prédicateur salafiste.

Trois feuilles A4 sont scotchées sur la porte principale de la mosquée As-Sounna: par arrêté du préfet de police des Bouches-du-Rhône, ce lieu de culte qui a pignon sur rue depuis plus de 10 ans fermera jeudi.

En cause? Les prêches qui y sont tenus et la personnalité de son dirigeant, l'imam algérien El Hadi Doudi, arrivé en France en 1981 et qui "s'inscrit dans la mouvance islamiste radicale". Au point de devenir "une référence du salafisme", actif dans sa mosquée marseillaise et sur internet, selon l'arrêté.

Depuis la fin de l'état d'urgence en France, début novembre, deux mosquées, qui avaient déjà été frappées d’interdiction ont été fermées, et trois autres n'ont pas rouvert, selon des chiffres communiqués par le ministère de l'Intérieur.

"On a attendu longtemps cette décision", témoignait mardi le vice-président du Conseil représentatif du culte musulman (CRCM) en région Paca, Abderrahmane Ghoul. L'imam El Hadi Doudi est "le chef spirituel d'une tendance qui appelle à la haine et à la violence", martèle-t-il. "On l'a averti, on a essayé de le convaincre, mais malheureusement il n'écoute pas".

M. Doudi "est l'un des principaux référents de courant salafiste quiétiste" en France, a estimé sur Twitter le chercheur spécialiste de l'islam Romain Caillet. Ce courant fondamentaliste rejette la violence armée, contrairement au salafisme jihadiste qui la promeut.

A l'appui de sa décision, la préfecture relève des prêches qui légitiment "le djihad armé et la mise à mort des auteurs d'adultère et des apostats".

"Leçon"

Certains discours "appellent à la défaite et à la destruction des mécréants", "incitent à l’application de la loi du Talion à l’encontre de ceux qui combattent Dieu et son prophète et à l’égard desquels la sentence de Dieu est la mort ou la crucifixion" ou "présentent les Juifs comme des +impurs+, +les frères des singes et des porcs+ et incitent à prononcer la formule +Allah akbar+ dans les lieux publics pour +effrayer les mécréants+", poursuit-elle.

Plusieurs fidèles de la mosquée se sont réclamés ces dernières années d'Al Qaïda ou ont rejoint l'Irak et la Syrie, et des "messages de haine et de discrimination" qui y sont tenus sont relayés dans le quartier, le plus pauvre de France selon l'Insee, et dans ses établissements scolaires, souligne la préfecture.

Reçu début décembre, l'imam a reconnu "avoir produit des écrits qui ont pu inciter à la haine", indique-t-elle. Sollicité par l'AFP, M. Doudi n'était pas joignable mercredi.

A la sortie de la prière de la mi-journée, quelques dizaines de fidèles à la barbe fournie et habillés de qamis, les tuniques amples habituellement portées par les salafistes, exprimaient leur amertume.

"C'est de la diffamation! On est contre la violence, l'imam n'a jamais appelé au djihad ou à suivre Daesh", affirme Ahmed Tameur, un Français de 60 ans, responsable "de la discipline" à la mosquée et membre de l'association qui la gère.

"On ne fait pas de prosélytisme, et on n'a jamais appelé à la rébellion. (L'imam) Doudi est un rempart" contre les djiahdistes, assure de son côté Karim, 25 ans, catholique de naissance converti à 16 ans à l'islam et qui comme plusieurs fidèles se revendique du "salafisme quiétiste".

"On fait du mal à toute la communauté en fermant une mosquée où lors du prêche du vendredi il y a des gens qui viennent de toute la France", abonde Fayçal, un autre jeune fidèle.

Un rare point dont convient le représentant du CRCM, Abderrahmane Ghoul : la fermeture de l'une des cinq plus vastes mosquées de Marseille "peut servir de leçon" à d'autres, mais va encore aggraver la pénurie de lieux de prières pour les musulmans de la cité phocéenne.

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Le Préfet des Bouches-du-Rhône annonce la fermeture de la mosquée Sunna à Marseille

Deux mois après notre article listant les douze mosquées salafistes dirigées par des étrangers présentes à Marseille, le préfet des Bouches-du-Rhône prend la sage décision de fermer la mosquée phare du salafisme en PACA, AS-Sunna, dirigée par un islamiste algérien ancien du FIS, El Hali Doudi, scandaleusement accueilli en France il y a vingt-ans :

Le préfet Olivier de Mazières. précise : « En dépit d’une condamnation des attentats survenus en France », les prêches tenus au sein de cette mosquée et parfois diffusés sur internet « légitiment le djihad armé et la mise à mort des auteurs d’adultère et des apostats« .

Reste à savoir si l’Intérieur osera expulser El Hadi Doudi, né en Algérie, ancien du FIS, et son acolyte Adel.M, né en 1975 en Algérie, fiché comme « appartenant à la mouvance djihadiste ». Car si on les laisse diffuser leur salafisme chez nous, rien ne sert de fermer leur mosquée.

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Saccage de locaux d’aide aux migrants : un identitaire condamné à Montpellier

Un militant identitaire âgé de 42 ans a été condamné mardi à un mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Montpellier.

Un militant identitaire a été condamné ce mardi à un mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Montpellier pour le saccage d’une association d’aide aux jeunes migrants, faits pour lesquels son père, dirigeant du groupuscule La Ligue du Midi, a été relaxé.

 

Olivier Roudier, 42 ans, a également été condamné à verser à l’association 1 500 euros pour le préjudice matériel et 500 euros pour le préjudice moral.

 

Le 5 décembre, le procureur de la République avait requis de la prison avec sursis contre son père Richard, le président de la Ligue du Midi âgé de 71 ans, et deux mois de prison ferme à l’encontre d’Olivier Roudier, déjà plusieurs fois condamné.

Une violente incursion et un saccage des locaux

 

Les prévenus, absents à l’annonce du jugement mardi, étaient poursuivis pour « dégradation de biens publics en réunion » dans le cadre de l’enquête sur une violente incursion menée le 30 juin 2017 dans les locaux de l’association Réseau accueil insertion Hérault (Raih), qui prend en charge des mineurs étrangers isolés à Montpellier.

 

Sur la vidéo postée par des militants du groupuscule d’extrême droite anti-immigration, Richard Roudier est visible, juché sur une table et dénonçant les subventions publiques accordées à des structures aidant les migrants, tandis que des militants, dont son fils, brisent de la vaisselle et jettent classeurs et dossiers au sol.

 

Le 5 décembre, Olivier Roudier, avait affirmé à la barre avoir voulu ainsi « rendre le désordre que cette association installe dans la ville ». Son père s’était présenté comme un « lanceur d’alerte ». Plutôt « un lanceur de haine », lui avait rétorqué Sébastien Etcheverrigarray, l’avocat de l’association visée.

 

L’audience s’était déroulée sous haute surveillance policière. Des dizaines de manifestants antifascistes s’étaient massés devant le tribunal pour dénoncer l’action de la Ligue du Midi à l’appel de plusieurs associations de défense des droits de l’Homme, qui ont déploré que le caractère « raciste » de l’attaque des locaux de l’association n’ait pas été retenu.

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Policiers tués à Magnanville : un proche du tueur mis en examen

Un homme de 24 ans a été mis en examen et placé en détention provisoire lundi soir notamment pour compicité d'assassinat, dans le cadre de l'enquête sur le meurtre de deux policiers en juin 2016 à Magnanville. Son empreinte génétique a été retrouvée sur l'ordinateur du couple.

L'attaque a eu lieu au domicile des victimes, à Manganville dans les Yvelines
L'attaque a eu lieu au domicile des victimes, à Manganville dans les Yvelines © AFP - Mathieu Alexandre

Les enquêteurs vont désormais s'atteler à déterminer quel rôle a pu jouer Mohamed Lamine Aberouz aux côtés du djihadiste Larossi Abballa, dans l'assassinat d'un couple de policiers dans leur maison, à Magnanville (Yvelines), en juin 2016. Cet homme de 24 ans, connu pour sa radicalisation, a été mis en examen notamment pour complicité d'assassinat sur personnes dépositaires de l'autorité publique en relation avec une entreprise terroriste, et placé en détention provisoire lundi soir, selon une source judiciaire. 

Plus tôt dans la journée de lundi, il avait été interpellé et placé en garde à vue, après la découverte de son empreinte ADN sur la scène de crime, plus précisément sur l'ordinateur portable du couple. Mais "à ce stade de la procédure, aucun élément du dossier ne vient pourtant confirmer la présence de monsieur Aberouz à Magnanville le soir des faits", ont réagi ses avocats, qui avancent que "l'ADN a été probablement transporté via le véhicule d'Abella", seul suspect su meurtre à l'heure actuelle. 

Pas présent sur les lieux ? 

Une autre source proche du dossier confirme que selon la géolocalisation de son téléphone portable, Mohamed Lamine Aberouz était "à la mosquée des Mureaux pour le ramadan, vers 21h30-22h, au moment où Abella était devant l'ordinateur" de ses victimes. L'enquête doit donc mettre au jour la nature de la complicité, si elle est avérée. 

Le 13 juin 2016, Larossi Aballa assassinait à coups de couteaux Jean-Baptiste Salvaing, 42 ans, et Jessica Schneider, 36 ans, tous deux policiers, à leur domicile, où se trouvait également leur fils de trois ans et demi à l'époque. Le suspect avait revendiqué l'attaque au nom du groupe Etat Islamique sur les réseaux sociaux. Les investigations ont montré que cette affaire était liée à la tentative d'attentat à la voiture piégée près de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris. 

Julien Baldacchino

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Un terroriste islamiste présenté comme martyr par une exposition d’art contemporain

Sur LCI, on nous apprend qu’une exposition d’art contemporain qui se tient en ce moment à Berlin présente un terroriste islamiste qui a sévi au Bataclan comme un martyr !

De quoi réconcilier l’Etat Islamique avec l’art contemporain ?

Pour le reste des propos des journalistes, on s’aperçoit que la notion de martyr leur est également étrangère puisque, pour eux, un exemple de martyr, c’est Martin Luther King…

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Terrorisme d’État? L’aventure de Dominique Gillet de Vigilance hallal fait froid dans le dos

A tous ceux qui s’occupent de ré-informer: des policiers peuvent à tout moment débarquer chez vous sous prétexte d’anti-terrorisme… C’est en tout cas l’aventure que viennent de vivre deux paisibles Français trop patriotes. Le terrorisme d’État n’est pas nouveau en France, c’est même par le régime de la Terreur que les terroristes qui dirigeaient la France durant la Révolution ont inauguré le régime républicain par la 1ère République. Sommes-nous en train de revenir aux sources ?

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A l’Université de Nantes, les « migrants » ont la belle vie

 

C’est le journal Libération – peu suspect de déviance nationaliste – qui l’annonce :

Depuis le 26 novembre, plusieurs dizaines de mineurs isolés étrangers et leurs soutiens occupent deux bâtiments universitaires, où ils dorment et suivent des cours. (…)
(…) le président de l’université de Nantes entend jouer «un rôle de médiateur» entre le collectif et les pouvoirs publics. «Quarante chambres» en cité universitaire vont donc être réservées «prioritairement aux migrants étudiants» à partir du 1er février 2018, quand les étudiants étrangers venus pour un semestre en France auront regagné leurs pays. Olivier Laboux a donc invité vendredi les migrants à s’inscrire à l’université : la présidence prendra à sa charge leurs frais d’inscription et leurs frais de restauration seront assumés par le CROUS.

Et pendant ce temps, des étudiants français se serrent la ceinture pour payer leurs études…

Question annexe : sur base de quelle scolarité préalable ces immigrés arrivés illégalement en France et auxquels on offre tout vont-ils soi-disant devenir des étudiants universitaires ? Pas besoin de diplôme, pas besoin de passer un examen d’entrée, il suffit d’être un « migrant »

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Immigration – La vidéo officielle du gouvernement polonais

Cette vidéo officielle du gouvernement polonais au sujet de l’invasion migratoire montre le fossé qui existe entre ce gouvernement patriote et les gouvernements de France ou d’Allemagne.

Voici le message qui accompagne les images.

Le gouvernement PiS a rompu avec la décision nuisible du précédent gouvernement PO-PSL de faire venir des immigrés du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord en Pologne. Nous avons été les premiers à montrer que tous les immigrés ne sont pas des réfugiés et que seuls quelques-uns fuient la guerre et la terreur. Deux ans après l’opposition du gouvernement polonais à l’admission des immigrés illégaux, les dirigeants européens commencent à peine à comprendre l’absurdité de leur politique de réinstallation forcée des demandeurs d’asile.

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Immigration en Suède – La banlieue de Rinkeby est devenue une « zone de guerre » selon le procureur général de Stockholm

 

 

Suède – Les médias européens francophones ne disent jamais rien de l’insécurité qui explose en Suède à la suite de cette immigration massive qui continue encore et encore. Pourtant, la situation est alarmante. Outre la hausse terrifiante des viols et agressions sexuelles, y compris sur enfants et adolescents, c’est la prolifération des zones de non-droit qui inquiète les plus lucides.

Le procureur général du parquet de Stockholm, Lise Tamm, a ainsi déclaré que la banlieue de Rinkeby, à Stockholm, était devenue une « zone de guerre ».

Mme Tamm, nommée à la tête de l’unité de lutte contre le crime organisé, a comparé le quartier de Rinkeby à une « no-go zone » comme on peut en voir en Colombie où des gangs criminels font régner la terreur. La magistrate compte d’ailleurs étudier les méthodes utilisées en Colombie et au Salvador pour l’inspirer dans la façon de réprimer la violence croissante dans les banlieues suédoises.

« Rinkeby est comme une zone de guerre. Quand la police se rend là-bas, elle doit agir comme des forces armées dans une zone dangereuse », a déclaré Lise Tamm à la radio suédoise ( Sverige Radio ).

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Des centaines de millions d’euros en subventions annuelles à des associations au service des immigrés

 

Dans l’un de ses communiqués de la semaine, Civitas rappelle l’importance des montants accordés sous forme de subventions à des associations au service des immigrés.

Et comme le rappelle Civitas, cet argent, c’est le vôtre, celui de vos impôts !

Vous ne voulez plus que vos impôts
continuent à encourager l’immigration ?

L’annexe au projet de loi de finances pour 2018 concernant les subventions de l’Etat aux associations prévoit  que le gouvernement affecte aux associations de son choix un budget de 4 milliards 689 millions d’euros prélevé sur l’argent versé par les contribuables.

Sur ce budget, 306 millions d’euros sont affectés à des associations liées à “l’immigration, l’asile et l’intégration”.
Mais à ce montant astronomique, il faut encore ajouter des centaines d’autres millions d’euros affectés à des associations au service des immigrés sous couvert de programmes de sport, de jeunesse, d’accueil, de solidarité, d’égalité des chances, d’insertion ou de vie associative.

Avec vos impôts, le gouvernement offre des subventions à l’association France Terre d’Asile, à l’Association de Service Social et Familial des Migrants, à l’Association d’Aide aux travailleurs migrants de la région Nord, à l’Inter-Service des Migrants, au programme “Immigration et Asile” de la Croix Rouge, etc, etc. Sans oublier les subventions à la Ligue contre le Racisme et l’Antisémitisme (LICRA), à SOS Racisme, à la Maison des Potes, au MRAP et consorts.

Cet argent, répétons-le, c’est celui obtenu grâce aux impôts payés par les Français.

Voulez-vous que cela continue ainsi ? Ne faites rien, versez tranquillement l’intégralité de vos impôts réclamés sur vos revenus de l’année 2017 à ce gouvernement qui se chargera de le redistribuer aux officines de l’anti-France.

Voulez-vous au contraire empêcher que l’intégralité de vos impôts serve à détruire la France ? Profitez des dernières semaines de décembre pour faire à Civitas un don déductible d’impôt. Civitas est le parti qui réclame l’arrêt immédiat de toute immigration extra-européenne, l’organisation d’une rémigration en plusieurs phases et l’arrêt immédiat de toute subvention aux organismes servant la préférence étrangère.

Suivez la procédure ci-dessous pour faire un don à Civitas et obtenir la déductibilité fiscale. Un geste simple au service de la vraie France.

Alain Escada,
président de Civitas

Policiers tués à Magnanville: un nouveau suspect mis en examen, l'enquête relancée

Le jihadiste Larossi Abballa a-t-il agi seul lors de l'assassinat d'un policier et de sa compagne dans leur pavillon de Magnanville en juin 2016?

La question est désormais posée avec la mise en examen lundi d'un proche du tueur, dont l'ADN a été identifié sur la scène du crime.

Mohamed Lamine Aberouz, connu pour sa radicalisation, a été mis en examen pour complicité d'assassinats sur personnes dépositaires de l'autorité publique en relation avec une entreprise terroriste notamment, et placé en détention provisoire, conformément aux réquisitions du parquet, selon une source judiciaire.

Il a également été mis en examen pour association de malfaiteurs terroriste et complicité de séquestration sans libération volontaire d'un mineur de moins de 15 ans, en l'occurrence l'enfant du couple alors âgé de trois ans et demi et présent lors de l'attaque.

Une empreinte génétique sur l'ordinateur du couple

Comme l'a révélé le journal Le Parisien, l'empreinte génétique de cet homme de 24 ans "a été retrouvée sur l'ordinateur" du couple, selon des sources judiciaire et proche de l'enquête.

"A ce stade de la procédure, aucun élément du dossier ne vient pourtant confirmer la présence de M. Aberouz à Magnanville le soir des faits", ont réagi ses avocats Vincent Brengarth et Bruno Vinay dans un communiqué transmis à l'AFP.

Ils ajoutent qu'ils "demanderont le réexamen de cet élément à charge qui se singularise par son caractère extrêmement incertain et qui n'avait pas été découvert lors des premières expertises réalisées en juillet 2017".

La thèse, défendue par les deux avocats, est que "l'ADN a été probablement transporté via le véhicule d'Abballa".

"Il est incontesté qu'ils ont été des amis proches. Aberouz s'était souvent trouvé dans ce véhicule", ont-ils argumenté.

 

Le grand frère de Mohamed Aberouz remis en liberté

En outre, une source proche du dossier a affirmé que la géolocalisation du téléphone de Mohamed Lamine Aberouz montre qu'il se trouvait "à la mosquée des Mureaux pour le ramadan vers 21h30-22h00, au moment où Abballa est devant l'ordinateur" de ses victimes, le soir des assassinats.

Ce 13 juin 2016, Jean-Baptiste Salvaing, 42 ans, commandant adjoint du commissariat des Mureaux (Yvelines), et sa compagne Jessica Schneider, 36 ans, agent administratif d'un commissariat voisin, avaient été assassinés à coups de couteau par Abballa, qui avait revendiqué son acte au nom du groupe État islamique (EI) en direct sur les réseaux sociaux.

Le grand frère de Mohamed Lamine Aberouz, prénommé Charaf-Din et âgé de 31 ans, est lui aussi mis en examen dans ce dossier, soupçonné d'avoir fourni une aide logistique à Abballa.

Il a été remis en liberté le 29 septembre 2017, après "des vérifications faites sur les charges qui ont démontré que les indices n'étaient plus pertinents", selon son avocat Me Vinay.

>>LIRE AUSSI. Sarah Hervouët, la jeune djihadiste varoise, en garde à vue pour le double meurtre des policiers à Magnanville

Téléguidé

Le nom du petit frère apparaît dans un autre dossier possiblement en lien avec l'attaque de Magnanville: en septembre 2016, il a été mis en examen dans l'enquête sur le commando de femmes soupçonné d'avoir préparé un attentat à la voiture piégée près de la cathédrale Notre-Dame à Paris.

Alors compagnon de Sarah Hervouët, une des principales suspectes, il avait été mis en examen pour le délit de "non-dénonciation d'un crime terroriste".

Il avait été libéré en janvier 2017 après quatre mois de détention provisoire. En avril, il avait été à nouveau placé en garde à vue, tout comme Sarah Hervouët et la soeur d'Abballa, cette fois dans l'enquête sur Magnanville.

Les liens entre le double assassinat de Magnanville et l'attentat avorté de ce commando de femmes ont été mis en lumière par les enquêteurs via la figure de Rachid Kassim: considéré comme l'un des propagandistes francophones les plus dangereux du groupe Etat islamique (EI), il était en contact avec Abballa et le commando de femmes via la messagerie cryptée Telegram.

Il est suspecté d'avoir téléguidé les deux attaques depuis la zone irako-syrienne où il s'était réfugié. Sarah Hervouët avait auparavant été la "promise" de Larossi Abballa, puis d'Adel Kermiche, l'un des deux jihadistes qui ont tué un prêtre à Saint-Etienne-du-Rouvray, près de Rouen, le 26 juillet 2016.

Quant à Kassim, il a vraisemblablement été tué courant février dans un bombardement de la coalition contre l'EI près de Mossoul, en Irak, selon des sources américaines et françaises.

>>LIRE AUSSI. La lettre émouvante de la famille des deux policiers tués à Magnanville adressée aux Français

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« Le petit peuple blanc est descendu dans la rue, les non-souchiens brillaient par leur absence »

 

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La République Tchèque ne veut pas d'immigrés

 

TAndrej Babiš, le nouveau Premier ministre tchèque a répété qu’il n’y aurait pas de migrants dans son pays. Evoquant la procédure engagée par la Commission européenne devant la Cour de Justice de l’UE, il a déclaré :

« La Commission peut retirer les charges à tout moment. Nous devons négocier sur ce sujet, et offrir différents modèles, comme garder les frontières ou aider les autres pays. Mais nous ne voulons aucun réfugié. » « L’UE doit comprendre que si elle n’écoute pas nos propositions, alors l’influence de partis extrémistes comme l’AfD ou le SPD va grandir, dont la stratégie est de détruire l’UE. »

Le SPD tchèque, Liberté et Démocratie directe, est un nouveau parti nationaliste, qui a obtenu plus de 10% des voix et 22 sièges.

Andrej Babiš est tout autant contre l’euro que contre la politique migratoire de l’UE, et contre la bureaucratie bruxelloise.... Et pour une Europe des nations comme ses confrères du groupe de Visegrad.

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Leechti discrimine les Identitaires

 

Génération Identitaire avait appelé à une cagnotte sur le site Leetchi. Samedi c'était la destination des fonds qui posait problème. Ce lundi c'est... la provenance. Ladite cagnotte a été bloquée et les fonds déjà versés remboursés aux donateurs, avec une explication floue :

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En revanche pour la construction de mosquées, pas de souci de provenance des fonds :

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M. Blanquer se couche à son tour devant le Conseil d’État – et le voile islamique

Fort du soutien populaire qu’il recueille par ses options de bon sens en faveur d’un retour à des apprentissages efficaces des fondamentaux, M. Blanquer, après avoir lancé des « unités laïcité » qui ne trompent personne, vient s’aventurer sur le terrain plus concret de l’intrusion des signes islamiques à l’école.

Depuis l’affaire du voile de Creil en 1989, les différents ministres de l’Éducation nationale, derrière des proclamations de fermeté, ont tous cédé à ce prosélytisme qui n’a cessé de s’amplifier. Et la Justice française était là pour permettre aux signes musulmans de pénétrer dans l’enceinte des établissements, avec des arrêts du Conseil d’État, tous plus muslim-friendly les uns que les autres. Tout comme son « étude » de 2013 sur les accompagnateurs de sorties scolaires qui, n’étant pas fonctionnaires, n’étaient pas tenus à l’obligation de neutralité religieuse !

Précisant sa vision du problème dimanche, au « Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI« , M. Blanquer, que l’on aurait pu croire plus combatif que ses prédécesseurs, s’est en fait montré très conciliant, apportant la caution du « en même temps » macronien à toutes leurs démissions irresponsables :

« Mon approche personnelle, c’est que toute personne qui accompagne les élèves est en situation d’être ce qu’on appelle un collaborateur bénévole du service public […] qui doit se conformer à un certain nombre de devoirs. C’est ma position.

– Donc pas de voile pour les accompagnatrices, selon vous ?

– Normalement non. Maintenant, je respecte le droit, bien entendu, et il y a un état de la jurisprudence qui doit être consacrée.

 
Belle réponse sur laquelle on pourra méditer longtemps. M. Blanquer a inventé en direct le syllogisme de la soumission :

L’intrusion de l’islam est anormale.
Mais le droit l’autorise.
Or, je respecte le droit.
Donc je me couche devant l’entrée de l’islam dans les établissements scolaires.

L’Histoire retiendra que c’est un agrégé de droit public qui l’a formulé ou « consacré », pour reprendre son mot qui en dit si long. Une consécration de la soumission qui a, au moins, le mérite de la clarté : il ne faudra pas compter sur M. Blanquer pour changer ces lois qui « consacrent » le voile islamique à l’école.

Après la longue liste des ministres de l’Éducation nationale depuis M. Jospin en 1989, après le Conseil d’État, M. Blanquer est venu apporter, avec son syllogisme, sa pierre à l’édifice de la démission de l’État devant les exigences islamiques à l’école.

Frédéric Sirgant

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Funérailles de Johnny Hallyday : Alain Finkielkraut accusé (encore une fois) d’avoir dérapé

Les funérailles de Johnny ressemblaient à une chanson… d’Aznavour : « Ils sont venus, ils sont tous là… », un million de personnes dans la rue, 15 millions devant leur télévision.

Ils sont venus, ils sont tous là… même les plus improbables : saint Paul, mère Teresa, saint Ignace de Loyola, cités ou chantés par des starlettes, dont à première vue on serait tenté de dire qu’ils ne sont pas le livre de chevet… mais celles-ci y ont mis beaucoup de bonne volonté.

Ils sont venus, ils sont tous là, même les politiques en costume sombre à mille lieues de la variété yéyé ont voulu se déplacer. Par amitié, ou par intérêt, cela ne nous regarde pas.

Ils sont venus, ils sont tous là, même la laïcité qui n’a pas pu s’empêcher de ramener sa fraise et sa police du goupillon, par la voix de Jean-Luc Mélenchon, éternel schtroumpf Grognon, et ses compagnons, pires redresseurs de tort que Mère-Marie-de-la-Consolation-et-autres-pieuses-rimes-en-tion, dans les années 50, quand elle épiait qui n’avait pas communié ou avait mal fait sa génuflexion : quôa ? Comment ça ! Il s’en est fallu de « deux doigts », comme le rapporte « Le Lab » d’Europe 1, qu’Emmanuel Macron esquisse un signe de croix ! Quant à Valérie Pécresse, enfer et damnation, elle a succombé à la tentation.

Mais eau bénite ou pas, frère Jean-Luc – est-ce le patronage de deux évangélistes qui explique son verbe haut ? – ne décolère pas. La participation du président de la République à « une messe dans l’église de la Madeleine, monument religieux contre-républicain, où la prostituée implore le pardon du Christ » est, en soi, un motif de désolation. On remarquera que, comme dans l’Hémicycle, il dispense au passage une petite leçon de caté. À se demander, parfois, s’il n’est pas cul béni infiltré chez FI.

On ne sait trop ce qu’il aurait préconisé ? Que l’on convainque le défunt, allongé dans sa bière, de choisir un lieu plus laïquement correct, ou que l’on s’asseye sur ses dernières volontés ?

Il est vrai qu’il est venu, ils sont tous là, même le hasard – « Dieu qui se promène incognito », selon Einstein -, et il n’a pas manqué d’humour en faisant coïncider cette « grand-messe », comme ils disent, « cette communion populaire », comme l’a décrite Philippe Labro, avec le jour anniversaire de la loi de 1905, que la République a donc fêté entassée dans une église, autour d’un crucifix. Merci, Johnny !

 Et, justement, puisqu’on en parle, ils sont venus, ils sont tous là, y compris le petit Jésus sous lequel, dans son cercueil – et dans sa tombe à Saint-Barth -, le chanteur a voulu reposer et auquel il a cédé le pas pour rentrer dans l’église, montrant à ses fidèles, la précision n’étant pas superflue, que s’il y avait un Dieu, ce jour-là, ce n’était pas lui, Johnny.

Il sont venus, ils sont tous là, sauf, d’après, Alain Finkielkraut (RCJ), les « non-souchiens », qui « brillaient par leur absence » : c’est « le petit peuple des petits Blancs [qui] est descendu dans la rue pour dire adieu à Johnny ».

En soi, rien d’étonnant : Jean-Philippe Smet – dit Johnny – n’en était-il pas lui-même ? Et ses premiers fans historiques – ceux qui ont transmis le virus à leurs enfants – ne connaissaient pas, dans les années 60, la diversité. Le jour des obsèques de Charles Aznavour – encore lui -, commettra-t-on un crime si l’on remarque que nombre de ses inconditionnels sont d’origine arménienne ?

Ce n’est qu’un fait. Formulé en termes plutôt péjoratifs. Et auquel, du reste, adhère Laurent Joffrin lui-même : « C’est vrai que les banlieues n’étaient pas là lors de l’hommage à Johnny. »

Mais constater est déjà suspect. Faites donner la cavalerie, sonner les cuivres, lâcher les chiens. La semaine passée a été celle de l’union sacrée autour des défunts, c’est déjà terminé. Ils sont revenus, ils sont tous là. Toujours aussi zinzins.

Gabrielle Cluzel

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[TRIBUNE] Finissons-en avec la repentance coloniale !

Tribune. Professeur d'histoire, Kevin Bossuet explique en quoi les récentes polémiques liées aux déclarations de Macron en Algérie en disent long sur notre incapacité à tourner la page de notre passé de puissance coloniale.

Mercredi dernier, alors que le président Macron était en déplacement sur les terres d’Abdelaziz Bouteflika, un jeune algérois l’a apostrophé au sujet de la colonisation. “Il faut que la France assume son passé colonial vis-à-vis de l’Algérie” lui a alors lancé l’irrévérencieux quidam. “Oui, ça y est, ça fait longtemps qu’elle l’a assumé”, lui a alors rétorqué benoîtement Emmanuel Macron. Mais, bien décidé à tenir tête au président français, le jeune homme peu accommodant l’accusa aussitôt d’être dans l’évitement. “Qui évite quoi ? J’évite de venir vous voir ?” lui objecta le chef de l’Etat, avant de lâcher : “Mais vous n’avez jamais connu la colonisation ! Qu’est-ce que vous venez m’embrouiller avec ça ? Vous, votre génération, elle doit regarder l’avenir”. Autant dire, que c’était plutôt bien envoyé !

L'opinion jetée dans une délicieuse confusion

Quelle étonnante réplique de la part de l’homme qui, pendant la campagne présidentielle, avait osé qualifier la colonisation française de “crime contre l’humanité” ! Il y a donc “un Macron candidat” qui passe à la télévision algérienne pour dire tout le mal qu’il pense de la colonisation, puis, “un Macron président” qui feint l’étonnement d’être malmené sur le même sujet en affirmant qu’il n’a désormais plus rien à en dire et plus rien à en faire. Autant dire que le revirement est déroutant, mais tactiquement intelligent ! Un coup à gauche, un coup à droite, laisser penser tout et son contraire afin de jeter l’opinion dans une délicieuse confusion pour mieux vampiriser l’opposition. La stratégie est bien ficelée, et Macron l’équilibriste peut alors continuer à avancer !

Bref, revenons à nos moutons ! Qu’une cinquantaine d’années après le démantèlement des empires coloniaux, une altercation aussi anecdotique fasse le tour des réseaux sociaux et qu’on en soit encore à débattre des bienfaits ou non de la colonisation, en dit long sur notre incapacité à tourner la page. Mais comprenez bien, pour certains, les guerres d’indépendance ne doivent jamais se terminer, l’abolition de l’esclavage n’a jamais vraiment existé, et la France doit demeurer plus que jamais l’ennemie à abattre ! Il suffit pour s’en convaincre d’écouter la sempiternelle logorrhée du truculent Louis-Georges Tin, le président du CRAN (le Conseil représentatif des Associations noires), qui passe son temps à demander à l’Etat réparation pour tous “les crimes esclavago-colonialistes” qu’il aurait commis il y a plusieurs décennies. L’histrion a même réclamé il y a quelques semaines que l’on débaptise tous les collèges et les lycées Colbert au nom de la lutte contre l’esclavagisme ! Heureusement que le ridicule ne tue pas, on l’aurait lui aussi accusé de crime d’Etat… 

Alors oui, Emmanuel Macron a eu raison de recadrer dans les rues d’Alger le jeune maroufle, mais on aurait aimé qu’il en fasse autant vis-à-vis du PIR et de toutes ces associations “communautaro-indigénistes”, qui pompent l’air de la République depuis bien trop longtemps ! Oui, nous, Français, en avons plus qu’assez de devoir tendre la croupe pour recevoir le fouet revanchard et carnassier d’individus qui ne se complaisent que dans la victimisation à outrance ! Oui, nous, Français, n’en pouvons plus de devoir nous morfondre collectivement en excuses publiques pour contenter les ayatollahs de la bien-pensance ! Alors, finissons-en avec cette odieuse repentance coloniale, et assumons fièrement notre histoire ; et c’est seulement en faisant cela que nous réussirons à condamner à la déshérence, tous ces gens qui ne sont animés que par une seule chose : la haine de la France !

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Près de 6.000 jihadistes de l'EI pourraient revenir en Afrique

Près de 6.000 Africains ayant combattu au Moyen-Orient avec l'organisation jihadiste Etat islamique (EI) pourraient revenir en Afrique, a indiqué dimanche à Oran (ouest) le Commissaire de l'Union Africaine pour la paix et la sécurité, qui a appelé les pays africains à se préparer "fermement" à la gestion ces retours.

"Des rapports font état de la présence de 6.000 combattants africains parmi les 30.000 éléments étrangers ayant rejoint ce groupe terroriste au Moyen-Orient", a déclaré M. Smail Chergui, lors d'une rencontre sur la lutte contre le terrorisme.

L'EI a profité du conflit syrien, qui a éclaté en 2011 avec des manifestations contre le président Bachar al-Assad, pour s'implanter en Syrie et en Irak.

Après une montée en puissance fulgurante en 2014, qui a vu l'organisation extrémiste s'emparer de vastes pans de territoire dans les deux pays, l'EI a proclamé un "califat" en 2014 qui a attiré des milliers de combattants étrangers.

Mais le groupe a ensuite multiplié les revers et a perdu la totalité des territoires qu'il avait conquis en Irak et la plupart de ceux qu'il détenait en Syrie.

"Le retour de ces éléments en Afrique pose de sérieuses menaces sur la sécurité et la stabilité nationales et exige un traitement spécifique et une coopération intense entre les pays africains", a estimé M. Chergui, cité par l'agence de presse APS.

Le commissaire de l'UA pour la paix et la sécurité a appelé les pays concernés à notamment "échanger les renseignements sur les éléments armés regagnant leurs pays respectifs", après leurs défaites en Irak et en Syrie.  

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VIDÉO - Finkielkraut sur l'hommage à Johnny : “Le peuple des petits blancs était seul. Les non-souchiens brillaient par leur absence”

Controverse. Le philosophe a remarqué l’absence de Français issus de l’immigration lors de la cérémonie d’hommage au chanteur, organisée samedi à Paris.

“Le petit peuple des petits blancs est descendu dans la rue pour dire adieu à Johnny. Il était nombreux et il était seul”, a remarqué Alain Finkielkraut, sur Radio J ce dimanche, au lendemain de l’hommage national rendu au chanteur, à Paris (vidéo, à partir de 10:00).

“Les non-souchiens brillaient par leur absence”, a ajouté le philosophe, reprenant l’expression sulfureuse de Houria Bouteldja, la fondatrice du mouvement extrémiste et racialiste des Indigènes de la République (Pir) et “camarade” de la députée FI Danièle Obono.

“C’est vrai que les banlieues n’y étaient pas, j’imagine que ce n’est pas leur goût, chacun à ses goûts”, a aussi reconnu sur France 2 le directeur de la publication de Libération Laurent Joffrin. Sur les réseaux sociaux, les propos de l’académicien ont en tout cas suscité la polémique.

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