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dimanche, 07 janvier 2018

Alès : course-poursuite de la police avec un islamiste criant « Allah akbar » et agressant les policiers

Lu dans Le Midi Libre du 5 janvier 2018 (extrait):

[…] Ce 31 décembre, après avoir ressassé dix jours durant un sentiment de trahison concernant la non-virginité hypothétique de sa future épouse, le prévenu, âgé de 21 ans et sans antécédent judiciaire, souhaite prendre conseil auprès d’un imam. Au cours du trajet, vers 12 h 50, l’équipage de police de la BAC le croise inopinément, prêt à s’engager dans le mauvais sens du giratoire de la cathédrale.

Une course-poursuite s’ensuit, à allure modérée, le conducteur grillant cependant plusieurs feux au rouge. Le jeune homme vêtu d’une djellaba de couleur claire, à la barbe fournie, insensible à toute injonction, fait naître, par son comportement, le doute d’une menace terroriste dans l’esprit des fonctionnaires de police. Le véhicule est finalement immobilisé sur la chaussée en direction de Saint-Christol-lèz-Alès, quand le policier entend alors l’homme hurler plusieurs fois “Allah akbar”[…] Lire la suite sur Le Midi Libre

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Les statistiques ethniques sont interdites sauf pour le CSA

 

Capture d’écran 2018-01-05 à 08.10.20Selon un baromètre du CSA, les "personnes non-blanches" (sic) ont été plus représentées à la télévision en 2017. Parmi les 50 000 personnes indexées dans plus de 1000 heures de programmes diffusés par 17 chaînes, le CSA a recensé 19% de personnes non-blanches, contre 16% en 2015. Les personnes perçues comme blanches restent largement majoritaires (81%).

Toutefois, dans les fictions comme dans les autres programmes, les rôles à connotation négative continuent cependant d'être occupés largement par des personnes perçues comme "non-blanches" (31% de ces rôles). Leur proportion est notamment très fortement supérieure dans les activités marginales ou illégales (45%). Il serait intéressant pourtant de faire les mêmes statistiques dans les prisons...

Le CSA a relevé que les personnes vues comme "noires" représentent désormais plus de la moitié des personnes perçues comme "non-blanches" dans les programmes audiovisuels (contre 45% en 2015). Les personnes vues comme "arabes" sont moins nombreuses en 2017 (22% contre 28% en 2015). La proportion des personnes vues comme "asiatiques" a également diminué et passe de 14% en 2015 à 11% en 2017.

On imagine les "sages" du CSA scruter les programmes télévisés et comptabiliser les personnes en fonction de leur couleur de peau...

Capture d’écran 2018-01-05 à 08.10.27Source

Tous les médias avaient diffusé la Fake News « pas de terroristes chez les migrants »

 

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Le soir du Nouvel An, des « gangs de Nord-Africains » ont semé la terreur à Florence

Lu sur FDesouche :

"Les places au pied du Ponte Vecchio ont été investies par une violence insensée, œuvre de gangs de Nord-Africains , dans une explosion d’agressions qui rappellent à quelque chose près ce qui s’est produit il y a deux ans à Cologne. (…) plusieurs victimes de ces bandes se sont retrouvées à l’hôpital. Elles ne se connaissaient pas mais ont partagé ce Nouvel An 2018 gâché.

Diego Capolongo, 28 ans, place de la Repubblica, vers 4h du matin. Résultat : 30 jours d’Itt et des blessures encore bien visibles. Mais il n’est pas le seul, un garçon de 17 ans figure aussi parmi les victimes des violences gratuites. Devant la boutique Apple, il a été frappé d’un coup de tête qui lui a fracturé le nez.

Quatre victimes affirment que les auteurs de ces violences seraient des nord-africains d’une vingtaine d’année. La police enquête en espérant que les caméras de surveillance auront enregistré ces agressions. (…)

Le premier à dénoncer publiquement la violence était Massimo Paesani, oncle de Capolongo et militant au mouvement 5 étoiles. « A 04h10, Place de la République, des dizaines d’Africains du Nord ont effectué un raid contre des citoyens italiens qui venaient de célébrer et de porter un toast à la nouvelle année, » a-t-il déclaré dans un post Facebook."

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Le père Hamel a-t-il été victime d’une bavure ?

Mediapart a publié une enquête comme quoi Adel Kermiche, l’un des terroristes musulmans ayant égorgé le père Jacques Hamel, aurait singulièrement manqué de discrétion sur une messagerie électronique. Les détails qu’il a donnés sur lui auraient permis de l’identifier, et il aurait été assez explicite sur ses intentions.

Un policier de la préfecture de police de Paris en charge de la surveillance des réseaux aurait donc rédigé une note afin d’alerter qui de droit. Pas de chance : il faut quatre validations hiérarchiques avant que qui de droit ne soit informé, et nous étions au mois de juillet 2016 : trop de vacanciers parmi les éminents gradés en charge de statuer sur l’information. Elle reste donc en attente. Et le père Hamel subit le sort que l’on sait.

Au vu de la boulette, la hiérarchie de ce policier lui aurait intimé de falsifier sa note pour lui donner une date postérieure, ce qu’il aurait fait. Sauf que les falsifications d’un système informatique laissent des traces quasi indélébiles. Et Mediapart, en ces temps où Anastasie reprend du service sur l’injonction de notre Président, se sent assez sûr de lui pour publier le scoop : la police fait comme si la boulette n’existait pas, même au prix de tripatouillages honteux.

Le zéro défaut n’existe pas, nulle part. Il serait vain de l’espérer, et c’est mentir que de le promettre. C’est vrai dans l’industrie comme dans le commerce, dans l’éducation ou dans la médecine, ou dans la police. Mais l’air du temps nous vend du risque zéro, alors chacun veut être exonéré de toutes les menaces qui pourraient peser sur lui. Toutes ? Toutes !

 Le travail de renseignement en matière de prévention du terrorisme, ce n’est pas une science exacte et c’est comme le diagnostic : il y a des faux positifs et des faux négatifs. Les faux négatifs, c’est le drame de celui qui, jusqu’à son passage à l’acte, est resté sous le radar. Le vrai positif est traité discrètement et c’est très bien ainsi : en dire le moins possible sur l’identification et la neutralisation des terroristes potentiels permet, dans une certaine mesure, d’éviter aux réseaux de s’adapter. Il n’est pas choquant qu’une validation intervienne pour tenter d’évaluer si l’information recueillie n’est pas un faux positif, parce qu’un faux positif, c’est une logistique d’investigation lourde et coûteuse déployée en pure perte là où ça ne fait pas mal (et, par conséquent, pas ailleurs). Mais quatre validations sont-elles vraiment nécessaires avant d’agir ?

C’est triste à dire, mais savoir si le père Hamel aurait pu être sauvé est une spéculation intellectuelle dont l’intérêt est limité : les faits sont passés. Que la police tente de ne pas ébruiter sa carence constatée ne me choque pas : la place publique n’est pas le meilleur endroit pour faire sa lessive. Les seules questions qui importent vraiment sont : le nombre de validations a-t-il été réduit ? Une amélioration de la rapidité et de la fluidité des transmissions d’informations a-t-elle été constatée ? Le génie qui a organisé cette bureaucratie a-t-il été viré ou mis en retraite ? À moins que la préfecture de police n’ait préféré ne rien changer à une méthode qui perd. Auquel cas, il conviendrait de nettoyer les écuries d’Augias.

Rémy Mahoudeaux

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Pour le migrant, ils ont tout prévu : il aura sa carte bancaire, et les sous !

Nous en avions vaguement entendu parler puis, le fil de l’actualité déversant quotidiennement son lot de nouvelles insupportables, nous l’avions oublié. C’est Bernard Monot, FN, député européen pour la circonscription Massif-Central-Centre, qui, par l’intermédiaire de sa page Facebook, nous le rappelle. Depuis avril 2016, les demandeurs d’asile bénéficient d’une carte de retrait bancaire (via La Banque postale, la Caisse d’épargne et le Crédit agricole) leur permettant de profiter de l’ADA (allocation pour demandeur d’asile), délivrée par l’OFII (Office français de l’immigration et de l’intégration) et octroyée généreusement par l’État. Service-public.fr se fait un plaisir de donner la procédure à suivre pour l’obtenir.

On apprend, ainsi, que les étrangers de plus de 18 ans (entrés par effraction dans notre pays… un détail) en possession de leur attestation de demandeur d’asile y ont droit. Mais, attention : ils devront « avoir accepté les conditions matérielles qui [leur] ont été proposées par l’OFII ». Eh oui, après avoir vécu l’enfer sur terre en fuyant leur famille abandonnée dans un pays en guerre, certains ne trouvent pas leur hébergement gratuit à leur goût. Quant à leurs ressources mensuelles, elles ne devront pas dépasser l’équivalent du RSA. Mais quand on sait que la traversée de la Méditerranée coûte entre 4.000 et 6.000 dollars par personne (chiffre rapporté par le chef de mission à l’Organisation internationale des migrations, pour TV5 Monde), on s’interroge, pour débourser pareille somme, sur leurs revenus perçus dans leur pays d’origine…

Le montant, maintenant. 6,80 euros pour une personne seule et par jour, soit 204 euros mensuel. 10,20 euros pour deux, et ainsi de suite jusque 37,40 euros pour dix personnes. Service-public.fr ne s’aventure pas au-delà de ce chiffre. 5,40 euros supplémentaires si le demandeur d’asile n’est pas hébergé. Pas de quoi faire la noce, rétorqueront les indécrottables immigrationnistes. Sauf qu’il y a cumul. Quand vous touchez l’ADA, vous êtes non seulement hébergé, mais vous avez droit « au transport, aux soins médicaux et à l’éducation ». 80.000 personnes étaient enregistrées en tant que demandeurs d’asile en 2015, plus de 85.000 en 2016, 100.000 en 2017, souligne Bernard Monot. Une courbe exponentielle que le gouvernement n’a, de toute évidence, aucune intention d’inverser.

Il serait vain d’énumérer tout ce à quoi d’autres ont droit, les étrangers illégaux ou légaux, pendant que dix millions de Français (ou quelque chose d’approchant) tirent le diable par la queue. Pendant que la classe moyenne, chez nous, mais aussi en Europe, décline lentement mais sûrement (Le Figaro, 2 mars 2016). Pendant que nos étudiants peinent à financer leurs études ou que des milliers de familles modestes attendent des années un logement social alors que, chaque nuit, rien qu’à Paris, 35.000 migrants sont logés gratis, s’insurge Bernard Monot, parfois même depuis des années…

 Et après cette énième « insulte à la France qui travaille », comme s’émeut ce député, le gouvernement, pour qui l’argent ne manque jamais pour les immigrés, en même temps qu’il nous demande à nous de faire des « efforts », a prévu pour cette année 300 millions de plus pour en accueillir encore plus. De son côté, l’Union européenne se servira des fonds de la PAC pour en implanter encore davantage dans nos campagnes, ajoute-t-il. Nos paysans apprécieront…

Cette ADA, aucun de nous jamais ne l’aura. Que penserait-on de parents qui légueraient leur héritage à de parfaits inconnus ? On les dirait injustes, indignes, immoraux. On dirait qu’ils ont trahi leurs enfants. Nos gouvernants ne font pas autre chose.

Caroline Artus

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Un homme condamné à 15 ans de prison pour avoir laissé de la viande de porc devant une mosquée !

Michael Wolfe , de la Floride, qui a vandalisé une mosquée à Titusville, Brevard County, en janvier 2016, laissant un morceau de bacon à la porte, a été condamné à 15 ans de prison après avoir plaidé coupable aux accusations.

Âgé de 37 ans, Michael Wolfe doit purger une peine de 15 ans dans une prison d’État, suivi de 15 ans de probation pour son indiscrétion à la mosquée Masjid Al-Munin de la Société islamique de Floride centrale.

Le récit du bureau du procureur :

Selon les sources émanant du bureau du procureur de la ville, la condamnation avait été prononcée après délibération avec la police de la Société islamique de Floride centrale et de Titusville.

Un homme condamné à 15 ans de prison pour avoir laissé de la viande de porc devant une mosquée !

Selon Todd Brown, le porte-parole du 18ème district judiciaire de Floride, il a plaidé coupable mardi à un méfait criminel envers un lieu de culte, pour avoir commis un acte qui constitue un crime haineux.

 » Wolfe a renoncé à son droit à une enquête préalable à la sentence et a conclu un accord de plaidoyer en plaidant coupable d’avoir vandalisé la mosquée elle-même avec le renforcement du crime de haine « .

La vidéo de surveillance de l’incident qui remonte à 2016 montre un homme avec une tête rasée et portant un équipement de camouflage brisant les fenêtres, les caméras et les lumières de ladite mosquée à l’aide d’une machette, puis a placé le morceau de porc à sa porte.

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Attentats : les Français de moins en moins "Charlie"

Loin de l'union nationale qui a suivi l'attentat de Charlie Hebdo, les Français se sentent de moins en moins "Charlie", selon un sondage Ifop.

Qu'il est loin le temps où l'Hexagone se dressait comme un seul homme derrière la barbarie djihadiste. Trois ans après les attentats de Charlie Hebdo, l'esprit "Charlie" n'est plus aussi présent chez les Français, comme l'indique un sondage Ifop publié par Marianne ce vendredi 5 janvier.

"Être Charlie", une notion subjective

 

61% des sondés se disent ainsi "Charlie" en ce début 2018, contre 71% en janvier 2016. Une baisse non négligeable, particulièrement observée chez les sympathisants de droite et d'extrême droite, mais relativisée par Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l'Ifop. "Nous étions encore sous le coup des attentats du Bataclan", explique-t-il.

Surtout, l'étude révèle une autre information précieuse : "être Charlie" n'a pas la même signification pour tous les sondés, 46% d'entre eux estimant que cela signifie défendre la liberté d'expression. Pour 17%, il s'agit plutôt de la défense de la liberté de critiquer les religions. Enfin, 15% des sondés y voient la revendication d'un droit à caricaturer.

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Le nouveau texte anti-immigration de l'UDC validé par la Chancellerie

La Chancellerie fédérale a validé l'initiative "pour une immigration modérée" de l'UDC et de l'ASIN, a annoncé vendredi soir le président du parti Albert Rösti à la télévision alémanique SRF.

Le texte vise à mettre fin à la libre circulation des personnes avec l'UE. L'initiative (dite "de limitation") stipule que la Suisse règle de manière autonome son immigration. Si elle était acceptée par le peuple, le Conseil fédéral aurait un an pour négocier la fin de la libre circulation avec Bruxelles. Au cas où aucune solution ne serait trouvée, il faudrait dénoncer dans le mois qui suit les accords bilatéraux I, dont fait partie l'accord de libre circulation.

Répondre à la volonté du peuple

Pour la droite dure, la loi d'application de la première initiative contre l'immigration de masse, acceptée le 9 février 2014, ne répond pas fidèlement à la volonté du peuple. Avec cette deuxième initiative, le Conseil fédéral n'aurait plus aucun moyen d'esquiver une mise en oeuvre stricte.

La récolte de signatures devrait débuter le 16 janvier.

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