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samedi, 22 mars 2008

Sale temps pour l’Union européenne : Le fantasme d’une « Turquie laïque » a du plomb dans l’aile…

612230941.jpgLe procureur de la cour de cassation Abdurrahman Yalçinkaya a déposé vendredi devant la Cour constitutionnelle un texte d’accusations de cent soixante-deux pages pour demander l’interdiction du Parti de la justice et du développement (AKP), la formation de l’actuel Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan.

Le procureur accuse cette formation issue de la mouvance islamiste de vouloir transformer le pays en un Etat islamique, de détruire le système démocratique et d’être devenu « le foyer d’activités allant à l’encontre de la laïcité. » Il donne pour exemple pas moins de soixante et un discours prononcés dans le passé par M. Erdogan ainsi que la récente autorisation du voile islamique à l’Université ou encore l’invocation des oulémas plutôt que des juges pour trancher des questions de société.

« Le modèle d’Islam modéré préconisé pour la Turquie vise à établir un Etat gouverné par la charia et, si nécessaire, à recourir à cette fin au terrorisme. »

« Il n’est naturellement pas possible d’attendre jusqu’à ce que le parti établisse le modèle d’Etat qu’il préconise. »

« En Turquie il est évident que les mouvements de l’islam politique et l’AKP aspirent à terme à un système fondé sur la charia plutôt qu’à un Etat de droit. »

Le procureur estime que l’AKP se servira jusqu’au bout du takiyye – principe coranique légitimant le mensonge et la dissimulation – jusqu’à ce que les objectifs d’un Etat inspiré du modèle islamique soient atteints.

Le combat du procureur Yalçinkaya, en opposition frontale avec l’opinion turque, semble perdu d’avance. Le Premier ministre a eu beau jeu de souligner qu’en prônant l’interdiction de l’AKP, le magistrat entend passer outre « la volonté du peuple ». Volonté clairement affirmée lors des élections de juillet 2007 qui ont vu le parti de M. Erdogan l’emporter avec 46,5% des suffrages.

Mais tout cela ne devrait pas entamer la détermination des eurocrates (téléguidés par Washington) de nous fourguer coûte que coûte la Turquie entre les pattes. Pendant l’islamisation, les négociations d’adhésion continuent…

Henri Dubost pour Novopress France

Source : AFP

samedi, 15 mars 2008

Bruxelles majoritairement musulmane dans 20 ans ?

Par Yves Clarisse

BRUXELLES (Reuters) - Bruxelles pourrait compter une majorité de musulmans dans une vingtaine d'années, une évolution qui risque d'engendrer une situation explosive dans la capitale de l'Union européenne, estime un universitaire belge.

Un sondage réalisé pour le quotidien La Libre Belgique, la RTBF et l'Université catholique de Louvain (UCL) révèle mardi que, dans la partie francophone du pays, 46,9% des personnes interrogées se disent chrétiennes et 12% musulmanes, le reste de la population de disant "croyante", sans appartenir à une religion particulière, athée ou agnostique.Mais un tiers de la population de Bruxelles est déjà musulmane et, si la tendance actuelle se poursuit, les pratiquants de l'islam devraient, en raison de leur natalité, être majoritaires "dans 15 ou 20 ans", selon Olivier Servais, sociologue et anthropologue des religions à l'UCL.

L'explication tient d'abord à "l'intensité" de la pratique religieuse musulmane.

"C'est presque identitaire chez eux", a déclaré Servais à Reuters en ajoutant que l'autre explication tenait à la jeunesse de la population musulmane et à ses familles nombreuses.

Olivier Servais se veut prudent sur les projections à long terme, Bruxelles subissant des flux de population importants en tant que capitale de l'Union européenne et en raison de son élargissement à des pays de l'ancien bloc soviétique.

Mais la situation est selon lui lourde de dangers, la Belgique ne parvenant pas à institutionnaliser l'islam, comme le démontre l'échec de l'exécutif des musulmans de Belgique.

"Les formes institutionnelles qu'on a projetées sur l'islam sont purement occidentales", explique-t-il.

DES EXPLOSIONS SOCIALES ?

Olivier Servais craint que des partis communautaristes se présentent aux élections en capitalisant notamment sur le taux de chômage très élevé - plus de 20% de la population active à Bruxelles - qui frappe notamment la population musulmane.

"Il y aura peut-être une revendication claire d'islam", a-t-il poursuivi dans cet entretien téléphonique. "Je n'exclus pas des explosions liées à des explosions sociales."

Pour l'instant, la situation n'est pourtant pas comparable avec celle qui prévaut en France, où des émeutes agitent régulièrement les banlieues à forte population musulmane.

"L'essentiel de l'islam belge est un islam paisible et familial", explique Servais, selon lequel le "consensus à la belge" semble déteindre sur la population musulmane tandis que les partis politiques traditionnels présentent de plus en plus de candidats d'origine étrangère, notamment des musulmans.

"Mais c'est une réponse insuffisante", estime-il en n'excluant pas que des "groupes radicaux" profitent du vide pour présenter des listes islamistes qui pourraient potentiellement engranger 25% des voix aux élections locales.

lundi, 10 mars 2008

En Angleterre, on commence à prôner la fraude aux prestations sociales...

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Un prédicateur musulman radical a été filmé alors qu’il donnait une petite leçon sur les meilleures méthodes permettant de toucher frauduleusement les prestations sociales.

S’exprimant à la London School of Charia, le prédicateur Bidule encourageait son auditoire à tromper le gouvernement et les pouvoirs publics. On l’entend notamment déclarer : «Nous avons beaucoup d’argent aujourd’hui grâce aux prestations sociales et aux pensions d’invalidité. De toute évidence, lorsque vous recevez des prestations pour invalidité, assurez-vous que vous boitez lorsque vous sortez de chez vous, au cas où quelqu’un prendrait des photos.»

 

Sources : Vox Redekker et François Desouche

vendredi, 29 février 2008

Revue de presse : Le Kosovo a fait irruption dans la campagne municipale à Strasbourg.

2003416355.jpgArticle paru dans Le Monde du mardi 26 février 2008

Deux manifestations se sont affrontées, sans casse, mais dans une ambiance tendue, place Gutenberg, au centre-ville, samedi 23 février. D'un côté, des militants des mouvement Jeune Alsace et solidarité alsacienne, autour de Robert Spieler, tête de la liste aux municipales du mouvement régionaliste d'extrême droite Alsace d'abord, et quelques nationalistes serbes – en tout une centaine de personnes. Ils protestaient contre l'indépendance "autoproclamée" de ce petit Etat balkanique, à leurs yeux "province historique de la Serbie".

De l'autre, quelque 80 contre-manifestants, dont des adhérents de la LCR, des Verts, du PS, du PCF et du MoDem, venaient dénoncer le "racisme" et le "fascisme" des pro-Serbes. Robert Spieler, sous des drapeaux alsaciens (rouge et blanc) et l'aigle à deux têtes de la Serbie, a prononcé un plaidoyer contre "l'américanisation" et "l'islamisation" de l'Europe. Un militant pro-Serbe a lancé des œufs sur les contre-manifestants et a été interpellé par la police.

LE FN EN DIFFICULTÉ

Cet épisode anecdotique est symbolique de la campagne très active que mène Robert Spieler. L'ancien député Front national (1986-1988) a rompu avec Jean-Marie Le Pen à la fin des années 90. Il a créé le mouvement régionaliste d'extrême droite Alsace d'abord, qui met en avant, outre les slogans classiques de l'extrême droite, les thèmes de l'identité alsacienne, de l'Europe chrétienne et du "choc des civilisations".

Cette année, M. Spieler est stimulé par la campagne très discrète – et désargentée – de son concurrent Christian Cotelle (FN). Robert Spieler, ancien conseiller régional (1986-2004), ancien conseiller municipal de Strasbourg (1989-2001), compte en profiter pour retrouver un mandat politique ce printemps.

Il espère même devenir l'arbitre de l'élection à Strasbourg. En 2001, sa liste avait frôlé la barre des 10 %, avec 9,2 % des voix contre 7,5 % à celle du FN. La tête de liste du FN était alors Jean-Louis Wehr. Ce dernier, cette fois-ci, a apporté publiquement son soutien à Robert Spieler.

vendredi, 22 février 2008

Samedi 23 février, Strasbourg : MANIFESTATION CONTRE L'ISLAMISATION DE L'EUROPE !

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Tous à Strasbourg, samedi 23 février à 15 h 00 pour manifester contre l'islamisation de l'Europe !

Manifestation organisée par Alsace d'abord,Jeune Alsace, Solidarité alsacienne, Les Villes contre l'islamisation et soutenue par Solidarité Kosovo et Synthèse nationale.

mardi, 19 février 2008

Suisse : plus de 200 000 signatures pour le renvoi des délinquants étrangers...

7f2facd5be8967217f9a5160a7b4f332.jpgL´UDC (la droite identitaire helvétique) n´a pas eu de problème à réunir des signatures pour son initiative populaire visant à expulser de Suisse tout étranger qui commettrait un délit. Elle a déposé 210 770 paraphes vendredi à la Chancellerie fédérale, alors que seuls 100 000 auraient suffi.

Thème de campagne électorale

La récolte a en outre été rapide, le délai maximum courant jusqu´au 10 janvier 2009. L´UDC affirme avoir récolté en tout 233 000 signatures, mais n´a déposé que celles qui ont été validées.

L´initiative “pour le renvoi des étrangers criminels” réclame qu´un étranger condamné pour meutre, viol, brigandage, trafic de drogue, effraction, traite d´êtres humains ou abus des prestations sociales soit privé de son titre de séjour. Expulsé, il ne pourrait revenir en Suisse pendant 5 à 15 ans, voire 20 ans en cas de récidive.

Le renvoi des criminels étrangers a été l´un des grands thèmes de la campagne de l´UDC pour les dernières élections fédérales. Le parti avait suscité la polémique avec ses affiches représentant des moutons blancs rejetant du pays un mouton noir.

Le Conseil fédéral puis le parlement vont maintenant se prononcer sur ce texte.

Sources : La Tribune de Genève et NOVOpress

lundi, 18 février 2008

La Carinthie (Autriche) interdit la construction de mosquées...

367bb8a74a0d756c77b2582410df4ac7.jpgLe parlement de Carinthie a amendé une loi sur l’aménagement du territoire qui interdit implicitement la construction de mosquées et de minarets

“Il s’agissait d’adresser un signe contre l’islamisation rampante”, a déclaré Jörg Haider (en photo). La législation modifiée ne désigne par directement les lieux de culte musulman mais exige des autorisations spéciales pour la construction de “bâtiments aux dimensions particulières”.

Pour l’opposition, qui a dénoncé avec le SPO (social-démocrate), les Verts et la communauté musulmane autrichienne une violation de la liberté de culte, la construction de salles de prière et de mosquées reste cependant possible. - Relire également ici.

Source : François Desouche

vendredi, 15 février 2008

Discours de Jean-François Touzé sur l'islamisation au colloque de Synthèse nationale.

975214fdad883cc8714080821b02b60b.jpgNous publions ici les principaux extraits du discours de Jean-François Touzé, conseiller régional d'Ile-de-France, prononcé à l'occasion du colloque organisé par la revue Synthèse nationale sur l'islamisation, qui s'est tenu à Paris samedi 2 février dernier :

 

 

Mesdames, Messieurs, Chers Amis,

Je voudrais, avant toute chose, remercier Roland Hélie pour son invitation, et saluer l’initiative qu’il a prise en organisant ce colloque.

Si nous sommes réunis ici ce samedi après-midi, c’est bien évidemment que nous sommes tous conscients de la menace mortelle que fait peser, non seulement sur nos villes, mais sur notre nation, notre continent, notre civilisation, la vitalité puissante, bouillonnante et offensive – même s’il s’agit encore d’une offensive contenue – d’un Islam qui, depuis quelques décennies, servi par une démographie galopante, par la lâcheté ou l’inconscience des gouvernements occidentaux, mais aussi par les erreurs d’une Amérique aveugle, a retrouvé en lui-même la force de sa marche collective et sa volonté eschatologique, tant il est vrai que demeurent chevillés au corps mystique de l’inconscient musulman, l’attente et l’espoir, pour les uns du rétablissement du califat, pour les autres du retour de l'Imam caché et du triomphe du Mahdi.

Cette menace, mes chers Amis, nous ne pouvons l’aborder de manière parcellaire. Elle est globale, tout à la fois planétaire, nationale et civilisationnelle.

Planétaire parce que, de l’Asie du Sud Est jusqu’à l’Afrique du Nord ou subsaharienne, du Golfe persique jusqu’au sous-continent indien, du proche-Orient à l’Asie mineure et aux territoires balkaniques jadis conquis par l’impérialisme ottoman, puis libérés et aujourd’hui en passe de devenir des républiques islamiques, c’est toujours la même logique prosélyte et conquérante que nous voyons à l’œuvre et, croyez-moi, cette logique ne saurait être à notre égard ni aimable, ni gracieuse ni généreuse.

Planétaire aussi par le développement d’un djihadisme meurtrier qui vient frapper le cœur de nos villes. Je ne crois pas qu’il existe un centre unique des opérations terroristes. Le mythe du « vieux de la montagne » n’est plus pertinent aujourd’hui. De la même façon, je ne pense pas qu’il faille voir derrière tout musulman un activiste militant… Mais, une fois de plus, je pense que la théorie du Président Mao sur « les poissons dans l’eau » conserve toute son actualité.

Nationale puisque, par l’installation de millions de femmes et d’hommes sur notre territoire du fait d’une immigration massive, devenue une immigration de peuplement, tout ce qui fait le substrat de notre société est en passe de se transformer, nos traditions, notre mode de vie d’être bouleversés et cela très au-delà des simples éléments visibles que sont le développement des boucheries hallal, la construction de mosquées, l’interdiction du porc dans les cantines, etc. Et je me dis : « Combien de temps encore ? »… Combien de temps encore resteront-ils dressés aux croisements de nos routes, ces calvaires de granit qui marquent, partout en France, notre appartenance ? Combien de temps encore, sans qu’elles ne soient désignées comme provocatrices, demeureront-elles offertes à notre émotion, ces niches murales qui, dans tous nos villages et dans beaucoup de nos villes encore, abritent les madones à l’enfant ? Oui, c’est bien dans la profondeur de notre histoire que se fait le travail de sape qui n’est rien d’autre qu’une orientalisation de notre vieille Patrie.

Civilisationnelle parce qu’il serait vain de nier l’existence de ce « choc des civilisations » qui, jusque dans nos milieux, effraie tant ceux qui refusent de voir la réalité. Civilisation, le mot est à la mode et comment ne pas revenir sur le discours de Ryad, prononcé quelques jours après celui de Saint-Jean du Latran, ce qui montre la cohérence du personnage, par Nicolas Sarkozy qui affirmait il y a quelques semaines que « l’Arabie Saoudite et la France partageaient les mêmes objectifs de civilisation » ? La politique de civilisation de Sarkozy est donc bien celle de la civilisation Wahhabite, un aveu qui ne nous étonnera pas de la part de celui qui, il y a trois ans, donnait aux éléments les plus radicaux les clés de ce qu’il nommait l’Islam de France.

Face à ce qu’il convient d’appeler la marche conquérante d’un Islam, dont nous savons qu’il est à la fois religieux et politique, spirituel et temporel, on peut, bien sûr, se lamenter. On peut se résigner, mais je sais que ce n’est pas votre cas, vous tous qui êtes ici. On peut aussi prier. On peut aussi, et à mon sens on doit, agir. Agir politiquement, et même si certains peuvent être découragés, plongés dans le désarroi, après les échecs électoraux de la Droite nationale, même si certains peuvent être amenés à considérer que nous sommes engagés dans une impasse, je dis, moi, qu’il faut la contourner, la dépasser et repartir sur la voie droite qui nous conduira à des victoires que je crois toujours inéluctables. Nous le ferons en sortant de la confusion et en proposant à nos amis un projet clair. Sur le sujet qui nous occupe aujourd’hui, il est bien sûr possible de scinder, comme le font certains, le religieux et le politique. C’est, me semble-il, se condamner à regarder couler le robinet d’eau tiède.

On peut s’arcbouter sur la défense de la loi de 1905. C’est utile, ne serait-ce que pour enrayer et retarder l’avancée de cette islamisation à marche forcée. On peut aussi vanter les mérites de la laïcité et vanter les mérites de la République une et indivisible, sociale et laïque, usant ainsi très précisément des mêmes termes que ces représentants des obédiences maçonniques réunis le 23 janvier dernier au siège de la Ligue de l’enseignement. Je crois quant à moi que ce n’est pas là que l’on nous attend, que ce n’est pas ainsi que nous nous ferons entendre et que nous opérerons le réarmement moral nécessaire à l’accompagnement de notre entreprise de reconstruction.

C’est, au contraire, en nous souvenant de ce que nous sommes et d’où nous venons que nous agirons utilement. On a, depuis quelques temps, pris l’habitude, au sein de notre famille politique – cela malgré tout ce qui nous a opposé à lui et continue de nous opposer à ceux qui se réclament de son action -, de citer Charles De Gaulle à propos de l’héritage hellénique, chrétien et blanc de la France. Allons un peu plus loin encore et rappelons-nous de ces mots prononcés il y a plus de quarante ans : « La France ne mourra pas. Comme l’Eglise, elle est éternelle. L’essentiel, pour elle, est qu’elle reste fidèle à ce qu’elle est et, par conséquent, aux liens qui l’unissent à notre Eglise ».

Cette civilisation qui est la nôtre, ancrée dans ses patries charnelles, incarnée par le corps national et transcendée par une Europe qui sera de la puissance ou disparaitra - et avec elle les nations et les petites patries -, c’est à nous de la défendre en retrouvant le chemin de la mobilisation politique, qui passe par le rassemblement.

On connaît le mot du Général de Castelnau : « Verdun ne tombera pas, parce qu’il ne faut pas que Verdun tombe ». Notre civilisation ne s’effondrera pas, parce qu’il ne se peut pas qu’elle disparaisse et que nous allons faire ce qu’il faut pour la sauver.

Islamisation de l’Europe :

La force des conquérants repose toujours sur la faiblesse des conquis :

Marc Howell, l’un des cadres dirigeants de la Barclaycard de Londres, a été forcé de quitter son poste à 200.000 livres l’année pour une "remarque offensante" à l’égard des musulmans. Lors d’une réunion, commentant les chiffres du groupe, il aurait déclaré : "The results are like Muslims - some are good, some are Shi’ite." Jeu de mot entre Shi’ite et shit. Comprendre : "Les résultats sont comme les musulmans, certains sont bons, d’autres sont merdiques". Ses collègues se sont dépêchés d’aller dénoncer l’inconscient au big boss qui l'a licencié sur le champ. Certes, la réflexion est gratuite, mais notre homme serait certainement toujours en place s'il avait dit : "Les résultats, c'est comme les Irlandais...".

Pendant ce temps a  Amsterdam un groupe de plusieurs dizaines de "jeunes" d’origine marocaine ont pris d’assaut le commissariat du quartier de Slotervaart. Trois voitures de police et deux autres véhicules ont été détruits. Les fenêtres du commissariat ont été brisées. La police anti-émeute a été appelée mais n’a pas été mise en action. Aucune arrestation n’a eu lieu !

C’est dans ce même commissariat qu'un marocain musulman lié au groupe terroriste Hofstad était entré et avait frappé deux policiers de plusieurs coups de couteau il y a quelque temps. L’agresseur avait été abattu par une femme policière... Résultat ? Six jours d’émeutes et de dévastation. La municipalité avait alors jugé prudent de pratiquer une politique de "désescalade" et de retour au calme, en demandant à la police de ne pas interpeller les auteurs !

Avec JI Normandie

dimanche, 10 février 2008

La Charte de la campagne "Les villes contre l'islamisation" :

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Voici le texte de la charte “Villes Contre l’Islamisation” tel qu'il a été adopté le 17 janvier à Anvers lors de la réunion de lancement de la campagne européenne :

Les organisations participantes créent, avec cette charte, un réseau de villes “Villes Contre l’Islamisation”.

Constatations :

“Villes Contre l’Islamisation” constate que, depuis la Renaissance, le monde occidental, en général, et l’Europe, en particulier, ont rejeté les dogmes religieux et les normes qui en découlaient et les ont remplacés par des principes et des règles de droit découlant d’une multitude de sources: l'antiquité ancienne, les valeurs judéo-chrétiennes, l'humanisme, les idées du Siècle des Lumières, le nationalisme, le libéralisme...

Suite à cette évolution, notre civilisation se caractérise maintenant par le respect des libertés et des droits fondamentaux. Cette civilisation est désormais basée sur des valeurs comme la séparation de l'Église et de l’État, la démocratie, la liberté d’expression, l’égalité de l'homme et de la femme...

Néanmoins, au début du 21ème siècle, les villes d'Europe occidentale, en raison d’une politique d'immigration trop laxiste menée par les autorités à tous les niveaux, se trouvent confrontées à des minorités islamiques numériquement importantes, peu intégrées, concentrées dans des ghettos sans cesse en extension.

“Villes Contre l’Islamisation” constate que l'islam n’est pas seulement une religion, qu’il préconise encore un ordre social basé sur la sharia (la législation islamique, résultant du Coran et des hadith) et la prééminence de l’ouma (la communauté des musulmans), ce qui est totalement antinomiques avec les valeurs et les normes propres à notre société européenne.

“Villes Contre l’Islamisation” constate également que certains musulmans placent les lois divines islamiques au dessus des lois civiles. Il existe en outre, parmi les populations musulmanes, une tendance à la radicalisation qui se manifeste par une animosité croissante à l’encontre de notre civilisation occidentale et des valeurs qui la fondent.

Les mosquées fonctionnent comme catalyseurs de l’islamisation des quartiers urbains, elles insistent, de toute leur autorité au sein de la communauté musulmane, sur l’exigence d’une pratique stricte de l'islam, ce qui contribue à freiner l'intégration de ces minorités musulmanes.

Les points de départ :

“Villes Contre l’Islamisation” se bat contre l'idéologie multiculturelle, selon laquelle les musulmans résidant chez nous pourraient introduire leurs propres valeurs dans la vie publique, ce qui mène de facto à l'institutionnalisation de l’islam.

“Villes Contre l’Islamisation” se bat contre l'institutionnalisation de l'islam, contre la reconnaissance des mosquées, l’octroi de subventions aux associations islamiques, aux écoles coraniques et aux mosquées, et de subsides aux imams... L'institutionnalisation de l'islam conduit en effet à la création d’un verrou fermant l’accès à l'intégration de la communauté musulmane.

“Villes Contre l’Islamisation” vise l'indulgence des responsables politiques pour l'islam, ce qui amène à écarter les valeurs et normes occidentales au profit des us et coutumes islamiques, lesquels sont souvent incompatibles avec les nôtres et nos mœurs.

“Villes Contre l’Islamisation” croit que la liberté de pratiquer la religion individuellement et librement doit être garantie y compris en ce qui concerne l'islam. Toutefois, la liberté religieuse ne doit jamais permettre la généralisation ou l'introduction de conduites discriminatoires ou anti-démocratiques. “Villes Contre l’Islamisation” se bat donc avec vigueur contre l'introduction de la sharia à la place des règles de droit en vigueur en Europe.

Initiatives :

L’islamisation n’est pas un problème local. Il s'agit en effet d’un phénomène qui se présente dans presque tous les pays et villes de l'Europe occidentale. La progression démographique rapide de la population islamique vivant en Occident conduira, dans quelques décennies, plusieurs villes d'Europe occidentale à être confrontées à des majorités islamiques.

Pour cette raison, les organisations participantes s'engagent à coordonner leurs initiatives, prises en vue de s’opposer à l’islamisation, à combattre ensemble et à échanger leurs informations, ceci dans la perspective d’améliorer leur combat et de coordonner leur lutte contre l’islamisation des villes d'Europe occidentale.