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jeudi, 31 mars 2016

Italie – 50 mosquées dangereuses et plus de 250 mosquées clandestines

Ces dernières années l’Italie, dévoile le quotidien Il Tempo dans un long dossier anti-terroriste,  a connu un boom des associations islamiques : du Nord au Sud, elles ont plus de 1000. Et les mosquées non autorisées sont environ 280. A Rome elles sont au nombre de 43, dans la région du Lazio, au moins une soixantaine. La plus part sont des garages ou des caves.

Un phénomène en expansion depuis des années, notamment dans les quartiers à forte présence immigrée. Un phénomène qui est au centre de l’attention de l’Anti-Terrorisme qui a signalé la présence d’au moins 50 lieux de cultes « à risques ». Un univers qui reste dans la pénombre et qui inculque, par le biais d’imams itinérants salafistes, la doctrine pure de l’islam. Dans ces centres on prêche la guerre sainte.

Dans le monde musulman implanté en Italie on trouve des mosquées « modérées » composées de musulmans dévoués à la prière, eu jeûne et à l’aumône, à la limite de celles plus dangereuses des prédicateurs fondamentalistes et des recruteurs où, parfois, se cachent des « cellules dormantes ». Après les faits de Paris et de Bruxelles, l’Anti-Terrorisme a souligné le danger potentiel de ces cellules composées au maximum de trois personnes, dont des femmes.  Ainsi, de la Sicile au Piémont, est présent au moins un lieu de culte musulman dans les grandes villes et les petites cités. Toutes sont menacées par le risque d’infiltration terroriste. Toutes donnent le change en faisant croire que la prière reste une activité collatérale à d’autres comme l’enseignement de la langue de provenance des enfants ou l’étude du Coran. En réalité, dans les mosquées dangereuses, les salles sont attribuées en tout premier à la prière, au recrutement et à l’endoctrinement djihadiste.

Les mosquées sont par ailleurs le centre autour duquel vit et se développe la communauté islamique de la ville. Des petites Molenbeeck italiennes, toujours plus de zones extra-territoriales, où l’assimilation dans le pays d’accueil est une pratique inconnue et l’intégration inexistante. Dans ces quartiers un terroriste pourrait y trouver refuge sans problème comme Salam dans Molenbeeck l’arabe, ancienne cité belge.

Le panorama de l’islam italien compte de nombreux terroristes potentiels qui circulent entre les mosquées clandestines. Lieux de culte qui deviennent également, dans certains cas, le centre d’accueil et de tri des immigrés qui arrivent sans documents et donc sans identité. Les forces de l’ordre italiennes ont, dès la moitié des années 90, identifié la présence dans la péninsule de vétérans du conflit bosniaque et de la guerre civile algérienne, dévoués au prosélytisme djihadiste.

Un problème exponentiel avec l’arrivée massive aujourd’hui de combattants de l’État islamique cachés parmi des faux-réfugiés sans vrais papiers, reçus à bras ouverts par les fausses élites et réels criminels immigrationnistes, laïcs et ecclésiastiques, au pouvoir en Europe. Cette faiblesse politique, véritable folie sur le long terme, laisse présager de nombreux attentats et des lendemains de larmes et de sang…

Francesca de Villasmundo

Source : MPI

Les Molenbeek à la française : quand Manuel Valls profère des âneries

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Le ministre de la Ville Patrick Kanner a donc lâché cette vérité qu’il faudrait taire à tout prix : la France compterait une « centaine » de quartiers similaires à celui de Molenbeek, à Bruxelles, soit des nids de djihadistes en herbe.

Notre Premier ministre a aussitôt froncé ses sourcils broussailleux et déclaré mardi, lors de la réunion des élus du groupe socialiste, que « la comparaison avec Molenbeek n’est pas bonne, car Molenbeek est un quartier en plein centre-ville de Bruxelles », contrairement à nos abcès de radicalisme qui, eux, seraient cantonnés aux banlieues françaises.

Monsieur Valls est un tartuffe ou un incompétent, c’est selon. Car s’il est vrai que « nos » Molenbeek sont plus souvent à la périphérie des villes qu’en plein centre, cela ne change rien à l’affaire : les quartiers en voie de radicalisation sont des quartiers en voie de radicalisation ! Et on en trouve aussi dans les campagnes ! Mais que Manuel Valls se méfie toutefois, car lorsqu’on observe la communautarisation à outrance de certains quartiers parisiens, il se pourrait bien que la comparaison avec Molenbeek soit plus judicieuse qu’il ne le prétend.

La réalité est que notre Premier ministre ne connaît pas Bruxelles. Ou du moins connaît-il une ville qui n’est pas celle du commun. Il connaît le Bruxelles des institutions européennes, les quartiers riches des expatriés, la ville des « navetteurs », comme on les appelle là-bas ; soit les quelque 400.000 personnes qui viennent travailler chaque matin dans cette cité à l’urbanisme délirant 1 et s’en retournent chaque soir dans leurs banlieues tranquilles et cossues, en Flandre ou en Wallonie.

En 2013, bien avant Charlie et le Bataclan, Jean Quatremer (correspondant de Libération à Bruxelles) avait déclenché une vive polémique en décrivant une « Bruxelles pas belle » qu’il qualifiait de « congestionnée, incohérente, paralysée et sale… ». Avant que n’aient poussé les pains de sucre des tours vitrées, c’est en effet la vision qu’on avait en débarquant du Thalys. Comme le confiait alors à Slate.fr un géographe de l’Université libre de Bruxelles (ULB), il n’y a pas à Bruxelles de banlieues chaudes car la structuration de la ville s’est faite « sur un modèle très éloigné des villes françaises ». « Il n’y a pas eu, en Belgique, de politique des grands ensembles dans l’après-guerre. Historiquement, les quartiers populaires et ouvriers se situent au centre, à l’ouest et à l’intérieur du centre-ville », soulignait-il.

Ce qu’on appelle là-bas « le croissant pauvre », celui des quartiers populaires, abrite une majorité d’habitants d’origine immigrée, souvent venus du Maroc ou de Turquie. « À l’ouest, les pauvres, donc. Quant aux riches, ils vivent à l’est et ont investi le sud de la ville, et notamment la commune d’Uccle, là où Bernard Arnault a son pied-à-terre. Une immense majorité des 53.000 Français de Bruxelles se sont d’ailleurs installés dans ces quartiers tranquilles », les seuls, à l’évidence, que connaît M. Valls.

La « gentrification » qui transforme Paris à marche forcée, notamment depuis que la gauche gère la mairie, tente de chasser les petits revenus de la capitale. Bientôt, on ne trouvera plus intra-muros que des bobos CSP++ et des quartiers fortement « ghettoïsés », pour reprendre un mot cher à Manuel Valls.

Que le Premier ministre aille donc faire un tour à Château Rouge ou à la porte de Clignancourt et on en reparlera.

Notes:

  1. Plus de 13 m2 de bureaux par habitant contre 3 à Paris, dont les 100.000 m2 construits récemment pour « nettoyer » les zones pourries autour de la gare du Midi.

Marie Delarue

Source : Boulevard Voltaire

Sans Benzema, c’est vraiment mieux !

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Le temps de deux matchs en quatre jours, le débat qui agitait le Landernau footballistique et politique serait-il réglé ? L’équipe de France a marqué trois buts contre les Pays-Bas, ce vendredi, et quatre contre la Russie, ce mardi. Le tout sans Benzema, qu’une intense campagne médiatique tend à rendre indispensable à l’équipe de France.

Rappelons que ce joueur, aux statistiques fort moyennes en équipe de France (1 but tous les trois matchs, en tirant les penalties, c’est bien éloigné des scores des meilleurs attaquants du monde), qui ne cache pas son mépris pour la France, boude « La Marseillaise », crache par terre à la fin de l’hymne français, joué au lendemain des attentats du Bataclan, est impliqué dans quelques affaires de droit commun, dont le célèbre chantage à la vidéo torride contre son « copain » de l’équipe de France, Mathieu Valbuena, qu’il a qualifié au téléphone de « tarlouze ».

Cela n’a pas empêché le président de la Fédération française de football, le socialiste Noël Le Graët, d’éclater en sanglots, quand il a dû annoncer que « Karim » n’était pour l’instant plus sélectionnable avec un tel dossier. Ensuite, il a qualifié de « racistes » ceux qui s’acharnaient à dire qu’il ne pouvait plus revenir chez les Bleus. Puis Zidane, son entraîneur à Madrid, nous a expliqué que « Karim » était indispensable à la France. Enfin, L’Équipe nous a fait le coup d’un numéro spécial, avec une couverture « Le monde entier nous l’envie » – rien de moins.

On fait difficilement mieux dans la façon d’utiliser le football pour faire passer un message politique, au service de la société multiculturelle, des chances pour la France, pays colonialiste qui devrait tout au monde musulman. Surtout dans un contexte où une clique politico-médiatique fait tout pour absoudre l’islam (religion affichée de Benzema) des crimes de ses disciples à Paris et à Bruxelles. La France championne d’Europe grâce à « Karim », quel beau message pour les allumeurs de bougies et les adeptes des minutes de silence.

Sauf que même dans le milieu politique, cela commence à couiner. Manuel Valls en personne, mais aussi le ministre des Sports, Patrick Kanner, ont fait savoir que porter le maillot des Bleus nécessitait une certaine exemplarité, ce qui, selon eux, n’était pas tout à fait le cas de Benzema. Et puis, surtout, il y a la réalité du terrain. Sept buts en deux matchs, un football champagne, des joueurs qui paraissent fiers de porter le maillot de l’équipe de France, qui chantent presque tous « La Marseillaise », cela nous change de l’équipe des islamo-racailles où nous devions subir la présence des Anelka, Ribéry, Nasri, Ben Arfa et Benzema, qui faisaient souvent la une de la presse, dans la rubrique « faits divers ».

Symbole terrible : Benzema tire tous les coups francs de l’équipe de France depuis des années et n’en a jamais mis un au fond. En deux matchs, Antoine Griezmann, le talent à l’état pur, et Dimitri Payet, ont mis deux superbes coups francs directs.

Rappelons que, malgré une campagne médiatique intense, 70 % des Français s’opposaient au retour de l’avant-centre du Real Madrid (sondage Odoxa réalisé pour RTL et Winamax).

Didier Deschamps, capitaine des champions du monde, en 1998, aujourd’hui sélectionneur des Bleus, ne peut pas ignorer que le patron de l’équipe 1998, Aimé Jacquet, avait laissé à la maison les deux meilleurs joueurs français du moment, Éric Cantona et David Ginola, pour préserver la cohésion du groupe. Dans cet esprit, il doit laisser Benzema à la maison et ne sélectionner que des joueurs qui aiment la France et sont dignes de porter son maillot.

Pierre Cassen

Source : Boulevard Voltaire

 

Je suis une guerre !

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Depuis les attentats de Bruxelles, je remarque qu’un important et inquiétant niveau de dhimmitude se développe. Au lieu de promouvoir la combativité ou la résistance, on tente de nous enrôler dans le pathos permanent. Ainsi, on nous encourage à allumer des bougies, à faire des dessins dégoulinants de larmes, à se repentir de nos honteux sentiments d’amalgames tout en nous poussant à huer des « hooligans » car, bien évidemment, un homme blanc qui préfère crier plutôt que pleurer ne peut être qu’un raciste empli de haine.

Et puis, pour pimenter un peu notre vie, on nous invite quand même à manifester le temps d’une après-midi afin de jouer au patriote. Alors, on nous autorise à arborer la banderole « Je suis Paris », « Je suis Bruxelles » ou, si l’on a envie d’exotisme et tenter d’être plus original que les copains, on peut aussi être « Je suis Tunis » ou plus récemment « Je suis Lahore »… Au moins, les attentats nous permettent de voyager.

Je pense qu’il est temps de remettre les pendules à l’heure. Je ne suis pas une ville, je ne l’ai d’ailleurs jamais été.

JE SUIS UNE GUERRE !

Et il serait temps d’y faire face correctement.

Quand je vois Federica Mogherini, chef de la diplomatie européenne, pleurnicher en pleine conférence de presse comme si elle était une adolescente malmenée par ses copines de classe, j’ai terriblement honte de me dire qu’elle me représente, et puis je me demande pourquoi elle n’a pas été virée dans la demi-heure qui a suivi afin de mettre à sa place quelqu’un qui aurait un caractère à la Margaret Thatcher.

À la différence de nous, les islamistes savent ce qu’ils veulent et ils l’obtiennent. Ils protègent leur ambition politique en la déguisant par de la « tolérance religieuse » puis ligotent nos pieds et nos poings en nous menaçant de racisme. Cependant, le racisme commence quand un immigré refuse de suivre les règles de son pays d’accueil et, à la place, demande à ce dernier de modifier ses lois afin de lui faciliter la vie.

Nous sommes la première génération qui n’a jamais eu à se battre pour sa liberté et cela se voit. Nous n’avons aucune idée d’où vient notre liberté ni n’avons de reconnaissance pour ce qu’elle a coûté. Tous les jours, nous voyons ce principe vital s’éroder au nom « d’accommodement raisonnable » afin d’obtenir cette chimère nommée « vivre ensemble ». Mais au final, nous avons appris à nos dépens que plus un pays est riche en diversité, plus il devient pauvre en liberté.

La première étape dans tout conflit est de s’armer mentalement. Nous commencerons à gagner cette guerre le jour où l’amour que l’on porte à nos enfants sera enfin supérieur à notre peur d’être traités de racistes, d’islamophobes, de fascistes ou que sais-je encore.

Xavier Scot

Source : Boulevard Voltaire

 

Molenbeek à la française

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En déclarant qu’une centaine de quartiers, en France, « présentent des similitudes potentielles » avec le quartier de Molenbeek à Bruxelles, le ministre de la Ville Patrick Kanner a jeté un pavé dans la mare. Aussitôt, Jean-Christophe Cambadélis et Julien Dray se sont prononcés contre toute « stigmatisation ». Tandis que Manuel Valls évoquait une responsabilité collective de ceux ayant exercé le pouvoir au cours de ces dernières décennies.

Comme à l’accoutumée, tout était dit, et on pouvait continuer à faire comme si rien ne s’était passé. Pourtant, une analyse de notre passé révèle que les politiques de la ville liées aux politiques migratoires et sécuritaires désastreuses menées ces trente dernières années ont indubitablement conduit aux résultats que nous connaissons aujourd’hui en matière de criminalité et de terrorisme.

En ce qui concerne les politiques de la ville mises en œuvre depuis le milieu des années 80, les rapports successifs de la Cour des comptes, que l’on ne peut soupçonner de parti pris, n’ont cessé d’en dénoncer les dysfonctionnements. Que ce soit en 1995, en 2002 ou en 2012, les rapports de la Cour font les mêmes constats : trop de quartiers concernés, politiques insuffisamment pilotées, faible mobilisation des politiques publiques, répartition insatisfaisante des moyens, objectifs nationaux mal identifiés, projets urbains mal définis, et la liste est longue des reproches faits à une politique qui a coûté des milliards au contribuable français. Et, de fait, comme le souligne M. Valls, ces constats touchent autant les gouvernements de droite que ceux de gauche. Mais nous savons, depuis un certain M. Fabius, que l’on peut être responsable sans être coupable.

Pour ce qui relève des politiques migratoires mises en place en France au cours de ces dernières années, on sait maintenant qu’il s’avère impossible, notamment depuis 2009 et la réforme des types d’autorisations de séjour, de déterminer avec précision qui entre et qui sort du pays. Toutes les réglementations ne font que rendre plus difficile encore la gestion de ce dossier épineux qui s’avère porteur de graves dangers. L’actuelle crise des migrants, et les corrélations établies avec les actes terroristes survenus en novembre 2015 à Paris, en constituent la parfaite illustration.

Dans ce contexte, il appartient également aux élus locaux, pour lesquels la politique de la ville ne fut pendant longtemps qu’une simple manne financière destinée à subventionner des associations complaisantes, de se réveiller. Il ne suffit pas de déclarer qu’on n’a pas de « zones de non-droit » pour que ce phénomène disparaisse comme par enchantement. Le mal est aujourd’hui profond et ne pourra être combattu que par des responsables politiques déterminés. Si on continue de fermer les yeux, ce n’est pas une centaine de Molenbeek à la française qui sera à craindre – chiffre sans doute en dessous de la réalité -, mais des centaines puis des milliers.

Olivier Damien

Source : Boulevard Voltaire

 

 

Palmyre, ce n’est pas un site archéologique, c’est l’Histoire !

Mahmoud Arnaout, guide touristique en Syrie, réagit au micro de Boulevard Voltaire après la reprise de Palmyre par l’armée syrienne.

Source : Boulevard Voltaire

Les marques se mettent à la mode islamique : à qui la faute ?

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« Les marques se mettent à la mode islamique », claironne la presse ces derniers jours, comme elle titrerait « Le printemps revient, sortez vos espadrilles ». On lit que chez l’Anglais Marks & Spencer, on peut acheter des burkinis, ne laissant plus apparaître que le visage, les mains et les pieds, que chez le Suédois H&M, la dernière campagne publicitaire montre une musulmane portant foulard islamique, que le Japonais Uniqlo met en vente des hijabs, que l’Italien Dolce & Gabbana vient de créer une ligne « Abayas », comptant 14 longues robes, assorties de hijabs.

Bref, les grandes marques s’engouffrent dans ce marché juteux, qu’elles sont convenues d’appeler « pudique », sans doute parce que la femme qui ne s’habille pas à la façon islamique est impudique. Merci pour elle.

Laurence Rossignol, ministre des Droits des femmes, a fait part de sa colère sur BFM TV-RMC : elle juge ces marques « irresponsables », dénonçant « l’emprise grandissante de groupes salafistes dans certains quartiers » et affirmant que « son rôle est d’aider les femmes qui veulent résister à [leur] emprise ».

On peut reconnaître à Laurence Rossignol une forme de courage – sur Twitter, certains réclament déjà sa démission – mais son indignation est bien dérisoire, sinon indécente.

Car dans les « responsabilités » imbriquées qui ont conduit au franchissement de cette nouvelle marche dans la grande descente de l’Occident vers l’abdication, ces marques ne sont, finalement, qu’en bout de chaîne.

Il n’y a pas de « règle dans la mode », objecte H&M. En tout cas, pas d’autre règle, dans notre société libéralo-libertaire, que de s’employer à faire de l’argent qui, c’est bien connu, n’a pas d’odeur. Et il est indéniable que le segment porteur est là. Et il faut reconnaître que les collections les plus ahurissantes, grotesques, ambiguës, parfois même avilissantes, ont défilé, par le passé, sur les podiums sans que personne ne prétende y mettre bon ordre. Alors pourquoi, d’un coup, interférer ? Disons-le cyniquement : à chacun son boulot, et le leur, trivial, est de vendre des fringues, pas de lutter contre le salafisme.

« C’est un signe d’ouverture », se défend Marks & Spencer. Va-t-on à présent leur reprocher – ce serait gonflé ! – cette « ouverture à d’autres cultures », ce premier commandement des nouvelles tables de la loi ?

Les vrais irresponsables, au premier chef, sont ceux qui ont « créé la demande », en laissant prospérer chez nous l’islamisme, par faiblesse ou par intérêt électoral, ceux qui ont fait venir, encore et encore, une population allochtone toujours plus importante et, le nombre faisant la force, toujours plus impérieuse dans ses revendications religieuses, toujours moins désireuse de se fondre dans la masse : à quoi bon réclamer des CV anonymes, à quoi bon refuser les statistiques ethniques, à quoi bon s’indigner que l’on distingue encore les Français de souche des « Français de puipeu », si l’on s’affiche en abaya et hijab ? Oui, à quoi bon, sauf si l’on conçoit l’intégration de façon diamétralement opposée, comme dans certains quartiers où l’on a passé le point de bascule. Où la « masse » n’est plus celle que l’on croit. Où l’envie de s’y « fondre », pour passer inaperçu, a changé de camp.

Ces irresponsables – vendeurs de camelote, il est vrai, eux aussi, à leur façon – ne s’appellent pas H&M, Dolce & Gabbana ni Marks & Spencer, mais Hollande & Valls. Pour ne citer qu’eux. Et ils sont les amis de Laurence Rossignol.

Gabrielle Cluzel

Source : Boulevard Voltaire

 

Condamnation de Karadzic : et si on rappelait les causes de la guerre ?

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La lourde condamnation de Radovan Karadzic par le TPIY ne peut surprendre personne, et certainement pas l’intéressé lui-même. Ce dernier aurait pu reprendre à son compte la déclaration de Slobodan Milosevic lors de sa présentation devant le même tribunal : « Je ne suis pas ici pour être jugé, mais pour être condamné. » C’est qu’en effet, cette machine judiciaire ad hoc n’a pas été instituée pour juger impartialement des hommes, ni même des actes commis par eux, mais pour écrire l’histoire dans le sens qui convient aux puissants qui l’ont instaurée.

En l’occurrence, la sentence qui vient d’être prononcée, comme toutes celles qui l’ont précédée, a pour but d’ancrer à jamais dans les esprits que les États-Unis ont agi pour le bien de l’humanité en détruisant la Yougoslavie, en écrasant la Serbie, et en favorisant l’instauration d’un État islamique en Europe. Ceux qui s’y opposaient étaient forcément coupables. C’est naïveté de croire qu’on jugeait les moyens, alors qu’on jugeait les fins (il suffit de constater la clémence avec laquelle le TPI a jugé les crimes de la partie adverse…).

La condamnation de Karadzic était tellement prévue qu’elle constitue un non événement. La seule chose qui mérite qu’on s’y arrête est la servilité avec laquelle nos médias ont accueilli la nouvelle, reprenant à l’occasion tout le catalogue du manichéisme déployé dans les années 90, et méprisant souverainement les apports faits par les chercheurs honnêtes pour rétablir la vérité des faits.

Dans le présent contexte international et national, la condamnation de Karadzic et l’obstination de nos médias dans la cécité prennent un caractère sinistrement ironique. Le propre des procès politiques est de focaliser l’attention sur les faits bruts (dans le cas présent : crimes de guerre, « génocides », violences en tout genre), au besoin en les trafiquant, et d’éliminer la prise en considération des causes et des mobiles. Aussi prend-on grand soin de ne pas rappeler ce qui a mis le feu aux poudres en Bosnie et mené aux événements (effectivement détestables) prétendument jugés.

Il est donc très politiquement incorrect (mais conforme aux exigences de la vérité historique) de rappeler que cette guerre civile a eu pour cause unique et déterminante le refus des Serbes de Bosnie (33 % de la population) de devenir les citoyens de seconde zone d’un État islamique, dans le cadre d’une sécession de la Fédération yougoslave unilatéralement décrétée par la partie musulmane, sous la conduite d’Izetbegovic (d’où le fait qu’ils aient eux-mêmes fait sécession au sein de la sécession).

Dans un article publié sur ce site(1), Fabrice Garniron a clairement montré comment le prétendu « multiethnisme », dont on nous a rebattu les oreilles, était un miroir aux alouettes à l’intention des gogos de l’Occident, Izetbegovic ayant par ailleurs proclamé sans ambiguïté ses véritables intentions.

Maurice Pergnier

Source : Boulevard Voltaire

 

5 avril à Lyon : conférence de Bernard Antony "face au nihilisme du soi-disant anti-racisme : le combat de l'AGRIF"

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L'enfermement des "élites" face à l'immigration

Deux informations résument, ce mercredi, la crise identitaire française : la mort de Jean-Pierre Coffe, 78 ans, d’une part, et le coup de gueule de Laurence Rossignol, ministre du droit de femmes, contre les vêtements islamiques, d’autre part. Coffe, promoteur médiatique et gueulard ("C’est de la merde !") de la cuisine et de ses produits, était une sympathique incarnation de l’esprit français, de ses gouailles et de ses libertés. Il maniait intelligemment la truculence et l’impertinence, dans un respect perceptible pour la culture à la fois littéraire et populaire. Le cochon et le vin étaient évidemment les acteurs majeurs de son monde culinaire. Or, face à cet univers encore très gaulois et rabelaisien, survient désormais la culture musulmane qui incite de grandes marques de vêtements (H et M, Uniqlo,  Marks et  Spencer, Dolce et Gabbana, etc) à proposer pour les marchés français et européen, et non plus seulement moyen-oriental, des burkinis (maillots de bain recouvrant le corps de la femme), des hidjabs, des abayas, etc. Cette généralisation de la mode dite "pudique" a fait bondir la ministre du Droit des femmes qui, ce matin sur RMC, a dénoncé ces marques en les accusant d’être "irresponsables" et de faire "d’un certain point de vue la promotion de l’enfermement du corps des femmes".  Rossignol : "Bien entendu, nous observons que ces tenues sont accompagnées dans de nombreux quartiers de phénomènes sur la voie publique (…) Par exemple, on voit de moins en moins de femmes dehors, dans les rues, dans les cafés. On voit de moins en moins de femmes vivre de manière libre dans leur quartier".  Or cette constatation d’une réalité, qui rejoint celle du ministre de la Ville, Patrick Kanner, quand il reconnaît qu’une centaine de cités présente des risques de dérives islamistes, s’arrête à l’infranchissable seuil de l’immigration de peuplement, qui est pourtant la cause de ces bouleversements culturels et identitaires.
 
Dans ces premiers exercices de confrontation au réel auxquels commencent à se prêter des responsables politiques, à gauche comme à droite, les liens ne sont pas faits entre les multiples désordres dont ils s’indignent et l’apparition de la nouvelle contre-société qui en est le plus souvent la source. L’enfermement n’est pas seulement celui du corps des femmes. Il est celui des "élites" prétendument libérées intellectuellement. Il reste en effet impossible à un républicain, et plus encore à un socialiste, de convenir des effets néfastes d’une immigration extra-européenne de masse quand elle aggrave pourtant les ghettos, les ressentiments post-coloniaux, les désirs de revanche, les guérillas urbaines, les guerres intérieures. Il est ahurissant de constater qu’hormis le Front National personne n’ose encore formuler cette évidence d’une urgente baisse des flux, sachant que l’immigration légale fait venir 200.000 personnes par an, sans compter les clandestins, qui majoritairement ne s’intégreront pas davantage que leurs prédécesseurs. Toutes les lamentations entendues sur le sort des femmes des cités, la violence des jeunes désassimilés, le racisme généralisé, la guerre civile qui vient,  resteront autant d’hypocrisies tant que le problème de la réduction très significative de l’immigration de peuplement ne sera pas sereinement posé. Plutôt que de tenter de nier le phénomène en cours du Grand Remplacement démographique, les responsables politiques doivent aller au bout de leur lucidité poussive, en s’alarmant enfin de la fragilité de la nation laissée ouverte aux quatre vents. Il ne s’agit pas pour les Français de se claquemurer, mais de se protéger d’une lente dilution.
 
Je participerai, ce mercredi, à On refait le monde sur RTL (19h15-20h)
 

Les États-Unis totalement submergés par l’immigration non-blanche

Traduction de l’article de New Observer.

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Les immigrés non-blancs arrivés aux États-Unis depuis 1970, et leurs descendants, constituent désormais plus de 25 pourcents de la population dans six États, et plus de 15 pourcents de la population dans 16 États – pour un total de près de 61 millions d’envahisseurs. La part de la population blanche aux États-Unis est pendant ce même temps passée de 84 pourcents à moins de 62 pourcents.

L’étendue de l’invasion non-blanche a été étudiée dans une nouvelle analyse de la composition raciale de la démographie américaine conduite par le Centre pour les Études sur l’Immigration (CIS) (en), qui a remis en question la capacité du pays à absorber le flux migratoire dans les écoles et le marché du travail.

Selon les nouvelles cartes interactives établies par le CIS, il n’y avait aucun État en 1970 avec une population immigrée enregistrée représentant plus de 15 pourcents de sa population totale.

C’est aujourd’hui le cas d’un tiers d’entre eux : Californie, Nevada, Texas, Floride, New York, New Jersey, Washington, Arizona, Illinois, Maryland, Géorgie, Virginie, Massachusetts, Rhode Island, Delaware et Oregon. [ndt : en particulier, .]

Et la population des immigrés et de leurs enfants dépasse les 25 pourcents dans six États : Californie, Nevada, Texas, Floride, New York et New Jersey. [ndt : On remarque ici que les les États plus peuplés sont aussi les plus envahis.]

La Californie, par exemple, est passée de 13 pourcents d’immigrés en 1970 à plus de 37 pourcents l’an dernier. Le Texas est quant à lui passé de 5 pourcents à 25 pourcents au cours de la même période.

Faisant référence à leur analyse précédente évaluant à 61 millions le nombre d’immigrés légaux et clandestins ainsi que de leurs enfants, les experts ont écrit : « Ces nombres représentent une rupture totale avec l’histoire récente des États-Unis. En 1970, il y avait seulement 13,5 millions d’immigrés et enfants d’immigrés dans le pays, représentant un résident américain sur 15. »

Mais depuis 2000, le nombre d’immigrés a augmenté de près de 18,4 millions ; et désormais près d’un habitant sur cinq du pays est un immigré.

Sur ces 61 millions, il y a un nombre d’immigrés clandestins estimé à 15,7 millions.

Le nombre d’immigrés légaux et de leurs enfants est lui de 45,3 millions, soit environ les trois-quarts des 61 millions. Cela illustre une fois de plus que l’immigration légale venant du Tiers-Monde est en fait une menace tout aussi importante si ce n’est supérieure à l’immigration illégale.

« Ces nombres soulèvent des questions profondes qui sont rarement posées : Combien d’immigrés peuvent être assimilés ? Quelle est la capacité d’absorbtion de nos écoles, de notre système de santé, de notre infrastructure, et de notre marché du travail ? Quel est l’effet sur l’environnement et la qualité de vie de l’augmentation significative de la densité de population du pays ? » écrit Steven Camara, directeur de recherches du CIS.

« Avec 45 millions d’immigrés et enfants d’immigrés légaux déjà présents, est-ce logique de continuer à admettre plus d’un million de nouveaux résidents permanents par an ? », ajoute-t-il.

« Le nombre d’immigrés et d’enfants d’immigrés a augmenté six fois plus vite que la population totale du pays de 1970 à 2015 – 353 pourcents contre 59 pourcents. »

Cette augmentation a été « rien de moins que stupéfiante », écrit Camara, fournissant trois exemples :

-en Géorgie, cette population a augmenté de 3.058 pourcents (de 55.000 à 1,75 million), 25 fois plus vite que la population totale de l’État.

-au Nevada, elle a augmenté de 3.002 pourcents (de 26.000 à 821.000), 6 fois plus vite que la population totale de l’État.

-en Caroline du Nord, elle a augmenté de 2.937 pourcents (de 47.000 à 1.43 millions), 30 fois plus vite que la population totale de l’État.

Il est extrêmement clair qu’à moins que cette croissance soit non seulement stoppée, mais inversée, les États-Unis vont être à majorité non-blanche bien plus tôt que ce qu’affirmaient les précédentes prédictions.

Cela se produira en dépit de l’augmentation du nombre de blancs en Amérique. Les chiffres sont de 169,6 millions en 1970 et 196,8 millions en 2010 – auxquels il faut retirer environ 1,5 millions d’arabes en 2010, qui sont officiellement comptés comme blancs.

L’augmentation de la population blanche est largement surpassée par celle de la population non-blanche, essentiellement alimentée par l’immigration légale, qui est la première menace pour le statut des États-Unis comme pays développé.

On rappellera que les problèmes causés par les immigrés latino-américains, africains, indiens… sont largement le fait de leur nature raciale. De ce fait, aucune sorte d’intégration n’est viable. Leurs nombres sont suffisamment élevés pour leur permettre de former des communautés isolées ce qui rend le phénomène d’autant plus visible.

Source : Blanche Europe

 

Laurence Rossignol sur le voile islamique: le PS va perdre son électorat musulman

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Ce matin sur RMC, Samira, une auditrice, infirmière dans les Yvelines a répondu à Laurence Rossignol, ministre des Droits des femmes qui avait qualifié “d’irresponsables” les grandes marques internationales qui ont décidé d ‘investir dans la mode islamique.

Source : islamisation.fr

Molenbeek: une manifestation d'extrême droite prévue samedi interdite

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Les autorités de la capitale belge ont décidé d'interdire une manifestation d'extrême-droite prévue samedi à Molenbeek, par crainte de débordements.

Le Roi accorde un don pour la construction d’une mosquée à Amsterdam

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Le Roi Mohammed VI vient d’accorder un don de 30.000 euros à une association hollandaise pour la construction d’une mosquée au centre d’Amsterdam, selon une information publiée sur la page o Facebook de Soufiane El Bahri.

 « Nous étions en train de collecter de l’argent pour la construction de la mosquée, mais nous ne attendions pas l’initiative du Roi Mohammed VI…c’est un homme avec un grand cœur… Nous lui sommes reconnaissants », a déclaré les membres de cette association, qui comprend des membres d’origine marocaine,  à Soufiane El Bahri.

Il est à rappeler que le souverain marocain est en visite privée en Hollande, depuis quelques jours suite à sa tournée en Russie, Tchèquie et Hongrie et qui a débuté la mi-mars.

Source : article19.ma

Migrants : la Libye menace d’ouvrir ses frontières

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Crise migratoire. Alors que des centaines de milliers de migrants stationnent en Libye et que le pays peine a retrouver une stabilité politique, plusieurs responsables de camps de réfugiés menacent d’ouvrir les frontières aux réfugiés

La semaine dernière, le ministre de la Défense, Jean-Yves le Drian, a estimé à 800 000 le nombre de migrants retenus dans les camps de réfugiés en Libye. Victime de la montée en puissance de Daech sur son territoire, de la faiblesse du pouvoir militaire laissé de fait aux milices locales, et de l’instabilité politique liée à la dispute du pouvoir par plusieurs gouvernements, le pays ne parvient pas à endiguer le flot d’arrivants.

Les camps d’accueils pour migrants sont particulièrement délaissés, et de nombreux officiers de l’armée menacent d’ouvrir les portes du pays si l’Occident ne les aide pas financièrement. « L’état est très pauvre et il n’y a pas d’argent. La plupart d’entre nous ne sont même plus payés » a expliqué au Times le Colonel Mohamed Bourgiba, qui dirige le camp de Gweea à 350 km à l’est de Tripoli. Comme de nombreux responsables de l’immigration en Libye, l’officier demande l’aide de l’Union européenne.

« Si rien ne s’améliore, on arrêtera simplement de travailler »

"Nous faisons fonctionner le camp avec moins de la moitié de ce qu’il faudrait, et nous n’avons pas reçu un seul euro de la part de l’union européenne" déplore-t-il avant de faire planer la menace d’une arrivée massive de réfugiés sur les côtes européennes. « Si rien ne s’améliore, on arrêtera simplement de travailler et on ouvrira les portes. Car pour l’heure, nous faisons tout cela pour rien » conclut le Colonel Bourgiba.

Selon le Times, près de 20 000 personnes seraient actuellement retenus dans des camps de réfugiés en Libye, mais ils seraient au total près de 800 000 sur le territoire à attendre de pouvoir rejoindre l’Europe par la Méditerranée.

Source : Valeurs actuelles

Mosquée radicale fermée : la dissolution suspendue

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Le Conseil d’Etat a suspendu ce mercredi pour un vice de procédure la dissolution d’une association qui gérait une mosquée radicale à Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne), fermée en décembre dans le cadre de l’état d’urgence.

Le Conseil d’Etat a suspendu ce mercredi pour un vice de procédure la dissolution d’une association qui gérait une mosquée radicale en Seine-et-Marne.

La plus haute juridiction administrative, saisie en référé par l’association des musulmans de Lagny-sur-Marne, a estimé que le décret de dissolution avait été "pris à l’issue d’une procédure irrégulière propre à créer (...) un doute sérieux quant à sa légalité".

Une quinzaine de jours après les attentats du 13 novembre, dans le cadre de l'état d'urgence, la mosquée de Lagny-sur-Marne avait été définitivement fermée. Selon le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, "ont été découverts lors des perquisitions chez les dirigeants de la mosquée, un revolver de 9 millimètres chez un individu, une école coranique non déclarée, un disque dur dissimulé, divers documents sur le djihad".

La mosquée était surveillée depuis plusieurs mois déjà. L'ancien imam était connu pour ses prêches radicaux.

Source : Le Dauphiné