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mardi, 05 juillet 2016

Livre : Le Grand rembarquement Emmanuel Albach

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Le Grand rembarquement

Emmanuel Albach

Edité par Dualpha et diffusé par

Les Bouquins de Synthèse nationale

390 pages

26 €

Sortie 1er juin 2016

En 2019, un président "consensuel" met en œuvre un projet d'une folle audace, qui se veut une solution définitive et magistrale au problème devenu explosif de la cohabitation des communautés : le "Projet SCSE". Mais qui a conçu ce "Projet SCSE" ? Et quel est son véritable but ? Et qu’est-ce qui se cache derrière ces initiales ? Une version inversée de l'exode de 1962 ? Et, si c'est cela, comment se fera cette fois ce grand déplacement de population, ce grand rembarquement ? Quand l’histoire s’emballe et que les hommes politiques en ont perdu le contrôle, tout peut arriver… Même une issue aussi inattendue qu’inespérée !

 

Emmanuel Albach est aussi l'auteur de Beyrouth 1976 Des Français aux côtés des Phalangistes... (Les Bouquins de Synthèse nationale, 2015)

Le commander en ligne cliquez ici

Le rassemblement organisé par Riposte laïque au Trocadéro : un acte de résistance à l'islamisation de Paris...

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Le rassemblement organisé par Riposte laïque place du Trocadéro s’est tenu sans incident, malgré quelques tentatives de jeunes crétins de type « Nuit Debout », rapidement canalisées par le service de sécurité.

Pierre Cassen, qui était l’animateur fit profiter le public ravi, de l’enregistrement de la chanson Anne Hidalgo sur l’air de la petite Marie. Il lut, pour démonter l’alibi d’Anne Hidalgo prétendant que la laïcité était compatible avec la commémoration du ramadan dans une mairie, un texte cinglant de Manuel Gomez paru il y a un an sur Boulevard Voltaire. Pierre termina sa première intervention en interpellant le million de militants laïques de gauche qui étaient dans la rue le 16 janvier 1994. Il affirma qu’ils devraient avoir honte de rester passifs devant un tel viol de la laïcité. 

Ensuite les deux principaux dirigeants du SIEL, Karim Ouchik et Frédéric Pichon intervinrent de manière très complémentaire pour dénoncer les compromissions de la mairie de Paris et de l’ensemble de la gauche devant l’islam. Ils appelèrent à un retour de l’amour de notre pays et à la mobilisation de nos compatriotes. 

Roland Hélie, Président de Synthèse nationale, se félicita de l’esprit unitaire qui réunissait des patriotes venus d’horizons différentes. Il rendit hommage au livre d’Emmanuel Albach, « Le Grand rembarquement », et encouragea l’ensemble des manifestants à se retrouver pour les dix ans de Synthèse nationale qui auront lieu le 2 octobre prochain. 

René Marchand se tailla un franc succès en décrivant ce que serait le prochain procès d’Hidalgo et il lui promit que ce ne serait pas devant la 17e chambre mais devant un tribunal traitant de la trahison devant l’ennemi en temps de guerre. (Vidéo à venir)

Car Lang, Président du Parti de la France démonta brillamment tous les vieux discours de la gauche sur le vivre ensemble, l’intégration et l’islam de France. Il appela les Français à résister à la guerre qui nous est menée sur notre propre territoire et les encouragea à s’organiser politiquement pour sauver la France. 

Entre chaque intervention Pierre lut différents messages de soutien qui lui étaient parvenus : Serge Ferderbusch, Président du Parti des libertés, Jean-Yves Le Gallou, Président de Polémia, Robert Ménard, Maire de Béziers.

Dans sa conclusion notre fondateur expliqua les raisons de l’engagement patriote de tous ceux qui avaient fait le choix de se déplacer ce soir (certains de très loin) et de tous ceux qui toute l’année impulsent les résistances patriotiques. Il cita de nombreux exemples d’engagement au service de son pays, et par ses paroles sur son amour indéfectible de la France, de son histoire, de sa civilisation, il émut énormément le public. En annonçant que plusieurs centaines, voire peut-être un millier, d’autocollants représentant Hidalgo léchant des babouches, avaient été placardés tout autour de la mairie de Paris, il déclencha un tonnerre d’applaudissements. 

Grace aux nouvelles technologies (Periscope) 954 personnes ont regardé en direct ce rassemblement qui est à l’honneur de ceux qui l’ont organisé, ceux qui sont intervenus et ceux qui étaient présents.

Les vidéos de ces différentes interventions seront bientôt visibles sur ce site.

Jeanne Bourbillon Riposte laïque cliquez ici

Source : Synthèse Nationale

5 juillet 1962 : ces morts dont la France s’est moquée…

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J’accuse de Gaulle de complicité dans les enlèvements et les assassinats qui se sont produits à Oran, le 5 juillet 1962, en ordonnant à l’armée française de rester l’arme au pied, permettant ainsi au FLN et à l’ALN de massacrer, en toute impunité, 3.000 Français innocents, y compris enfants et femmes.

Le colonel Fourcade a témoigné sous la foi du serment, déclarant avoir assisté en début de matinée, ce 5 juillet, à l’entretien téléphonique entre le général Katz, qui informait le chef de l’État que dans toute la ville se perpétrait un massacre au « faciès blanc », et de Gaulle lui a donné l’ordre criminel le plus formel : « Surtout, ne bougez pas ! »

Le général Katz a décidé dans la matinée de survoler la ville en hélicoptère. Voici le témoignage du pilote :

Nous survolons la ville, partout des gens qui fuyaient et des cortèges de bras en l’air, escortés par des ATO (auxiliaires de l’Armée nationale populaire) ou des civils en armes. Nous avons survolé le Petit Lac, là aussi une foule compacte bras en l’air, des gens qu’on faisait entrer dans l’eau et qu’on abattait froidement. J’ai hurlé : “Mon général on abat des gens, je vois l’eau qui devient rouge de sang.” Le général m’a répondu : “Retour à la base.”

Les Européens étaient escortés jusqu’au commissariat central, où ils étaient torturés et tués, mais également vers le Petit Lac et la ville nouvelle. Ce massacre s’est poursuivi jusque vers 17 heures. 3.000 Européens massacrés sous les yeux du général Katz et sur ordre du chef de l’État français de l’époque : de Gaulle.

Ce chiffre de plus de 3.000 morts et disparus a été enregistré par Mme Sallaberry, militaire de carrière en poste au bureau des exactions.

Lors d’un entretien dans le magazine Le Point, en février 2002, Jean-Pierre Chevènement affirme :

À l’époque sous-lieutenant en Algérie, j’ai vécu un drame affreux en mars 1962. Plusieurs de mes moghaznis (supplétifs musulmans) ainsi que le chef du village de Saint-Denis-du-Sig ont été tués dans des conditions atroces par un commando du FLN. J’ai retrouvé Miloud, mon aide de camp, égorgé. J’ai appris que près de 20.000 personnes ont été torturées et égorgées dans le Village Nègre (quartier d’Oran).

Par la suite, il rectifiera à environ 3.000 morts et 800 disparus.

Sous-lieutenant, Chevènement avait des soldats sous ses ordres. Est-il intervenu ?

Ces morts, en France, on s’en est totalement moqué et les Français ne les ont guère pleurés.

Le général Katz, le bourreau d’Oran, publiera ses mémoires sous le titre Une destinée unique. Unique, il est vrai, mais parce qu’elle se termine dans le déshonneur et l’abject. Ses « restes » contaminent la terre d’Espagne, à Rosas, où ils ont été déposés.

Manuel Gomez

Source : Boulevard Voltaire

Salah Abdeslam a sa salle de sport privée… Pourquoi se gêner ?

Estomaqué, le député LR Thierry Solère raconte sa visite, accompagné de deux journalistes du Journal du dimanche, à la prison de Fleury-Mérogis.

Il se lève vers 11 heures tous les matins, dévoile un gardien, il cuisine beaucoup, « fait surprenant pour un homme de cette dangerosité » (remarque non moins étonnante de la part du figaro.fr, quand on sait qu’un petit moustachu qui se qualifiait lui-même comme « un ami des bêtes » était 100 % végétarien ET nazi !) et il regarde inlassablement les émissions de télé-réalité ; il prie et lit le Coran ainsi que des livres donnés par sa famille transmis par la prison, il se montre aussi d’une maniaquerie obsessionnelle… De qui s’agit-il ? De Salah Abdeslam. L’État ne peut rien refuser, selon ledit site, au « seul survivant des commandos terroristes du 13 novembre 2015 ».

Si ce n’était que cela ! Thierry Solère n’en est pas revenu : pas moins de quatre cellules mises à disposition pour le prisonnier le plus dangereux de France ! La première est évidemment occupée par Salah Abdeslam lui-même ; une seconde est dédiée au service de surveillance 24 h sur 24, la hantise de l’administration étant le suicide du détenu ; une autre est censée pallier une éventuelle dégradation de celle occupée par le terroriste — là, on croit rêver !

Mais ce n’est pas tout : alors que l’établissement enregistre un taux d’occupation de 190 %, le député a failli s’étrangler en constatant la présence d’un rameur dans la dernière cellule ! Mieux que des séances de pompes, n’est-ce-pas, pour à la fois secouer et canaliser un détenu perçu comme « fatigué et nerveux » par le député lui-même. Vous trouvez que les privilèges pour un tueur d’innocents, ça suffit ? D’autres appareils de musculation vont pourtant bientôt arriver. Et, logique pour un terroriste islamique placé à l’isolement, une aire de promenade a été spécialement aménagée sur le toit. Le tout financé par devinez qui ?

Quand on pense que l’État n’aurait jamais exonéré les familles des victimes des impôts dus par ces dernières si l’une d’entre elles ne s’était pas insurgée à la réception de sa feuille de déclaration, tant de sollicitudes à l’égard d’un Salah Abdeslam laissent pantois. Thierry Solère veut des explications. Nous aussi ! Dans une lettre adressée au garde des Sceaux Jean-Jacques Urvoas, il demande la raison de ce traitement de faveur. C’est le rameur qui lui reste en travers de la gorge, en plus d’avoir appris « que son usage était exclusivement réservé à cet individu »

Abdeslam nous coûte un pognon fou. Cela fait rager. Cependant, le plus amoral de cette histoire, c’est que ces privilèges sont réservés à un individu de cet acabit. Popote à demeure à volonté, télé par-ci, appareils de muscu par-là : plus tu es dangereux, plus tes conditions de détention s’améliorent… Et dire que, pendant ce temps-là, à l’extérieur, les Français rament…

Caroline Artus

Source : Boulevard Voltaire

Le Finxit prend-il de la vitesse?

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Les députés finlandais ont enregistré deux nouveaux projets de loi sur une sortie éventuelle du pays de l’Union européenne (UE) suite à un référendum d’initiative populaire.

Il s'agit de deux projets de loi présentés presque simultanément par l'ancien ministre du Commerce extérieur et du Développement, Paavo Väyrynen (Parti du centre), et le chef de l'organisation de jeunesse du parti d'extreme droite Vrais Finlandais, Sebastian Tynkkynen.

D'après certains médias locaux, les deux documents pourrait être unis en un seul projet en vue d'un éventuel référendum d'initiative populaire sur la sortie du pays de la zone euro, d'autant plus qu'une bonne occasion à cet égard se présentera sous peu, la Finlande célébrant le centenaire de son indépendance l'année prochaine.

Rappelons que le 26 juin, le parti Vrais Finlandais, connu pour ses tendances eurosceptiques, a appelé les citoyens à organiser un référendum sur un Finxit. Ainsi, une pétition élaborée en ce sens a recueilli assez de signatures pour être présentée au parlement du pays.

La Finlande s'était déjà penchée sur la question de la sortie du pays de la zone euro lorsqu'elle s'est retrouvée en pleine crise, en 2012.

Le 23 juin, les Britanniques se sont prononcés par référendum sur le maintien ou non du Royaume-Uni au sein de l'UE. Les premiers résultats ont été annoncés quelques minutes après la fermeture des bureaux de vote et donnaient les partisans du "In" gagnants. Toutefois, le résultat définitif a changé la donne. A 51,9% le pays a choisi de quitter l'UE. Un cas sans précédent.

Source : Sputniksnews

 

L’ immigration, un business de grand rendement

Les morts en Méditerranée, les cadavres éviscérés retrouvés dans les déserts, des esclaves enchaînés dans quelques fermes isolées : des malheurs qui rapportent.

On savait que l’immigration clandestine était une affaire de gros sous. A chaque tentative de sortir des frontières de son pays, le candidat au départ sait qu’il doit se constituer un petit pactole qui tarira en chemin, au gré des mille-et-un tracas à surmonter jusqu’à l’entrée sur le territoire européen. Chaque douanier, chaque garde-frontière, chaque policier contrôlant un passeport (ou le procurant) sont autant de sangsues sur la longue chaîne des relais jusqu’au but final (qui peut n’être que, corps anonyme, un cercueil ou quelque coin oublié d’une morgue en Egypte, au Soudan ou en Libye.

La longue liste des horreurs sur le chemin de l’immigration est régulièrement dénoncée par les enquêteurs ou les associations humanitaires, la presse ou les migrants eux-mêmes. Mais chaque fois, telle la paramécie, l’horreur se reproduit et ne dissuade que rarement les téméraires de tenter la chance à leur tour. La police a annoncé lundi avoir mené un vaste coup de filet contre un réseau de trafiquants de migrants sur toute l’Italie. L’opération, qualifiée de « particulièrement réussie » par le ministre de l’Intérieur Angelino Alfano, a été menée à bien grâce à la coopération d’un Erythréen.

Répondant au nom de Nuredin Wehabrebi Atta, l’homme avait été arrêté pour trafic de personnes en 2014. Depuis lors, la police a réussi à le retourner et à lui faire dire par le menu les détails d’organisation d’une véritable internationale du crime. Allant du trafic de migrants, au trafic d’organes humains en passant par le trafic de drogue ou de prostituées, l’organisation qui a été démantelée durant le week-end était générée par des Erythréens, des Ethiopiens, des Italiens et des Egyptiens.

Le ministre Alfano s’est réjoui que le coup de filet de ses services ait conduit à l’arrestation de 38 personnes en tout : 25 Erythréens, 12 Ethiopiens et un Italien. L’opération a concerné la région méridionale de Sicile, celle de Rome et de son pourtour du Latium ainsi que la Lombardie, au nord. « Pas de répit pour les marchands de mort », a affirmé le ministre de l’Intérieur qui a révélé que, pour la première fois en Italie, un étranger - Nuredin Wehabrebi Atta, l’Erythréen – a été placé sous la protection 24h/24 de la police ainsi qu’on le fait pour les repentis de la mafia.

L’opération, dénommée « Galuco3 », a permis de comprendre un peu plus les mécanismes et l’étendue des agissements de cette mafia transnationale. Nuredin Wehabrebi Atta a confié aux enquêteurs qu’il avait décidé de vider son sac « parce qu’il en avait assez : il y a eu trop de morts », a-t-il dit aux policiers. Les passeurs n’hésitaient pas à exiger le payement comptant. Pour ceux qui n’avaient pas la somme fixée, le sort était la mort, et le prélèvement ensuite de leurs organes revendus « à des trafiquants d'origine égyptienne ».

Tout était bon pour ce juteux trafic : importation et vente de la feuille de khat, sorte de drogue à mâcher fleurissant dans la Corne de l’Afrique où sa vente est interdite ; organisation de mariages blancs pour faire prendre le visa de venue en Europe à de faux époux/ses etc… Une affaire florissante, a affirmé la police qui révèle que la perquisition, en juin, d’une innocente parfumerie gérée par des hommes en lien avec les migrants au cœur de Rome, a permis la saisie de 526.000 euros (près de 345 millions de francs CFA) et 25.000 dollars en liquide !

Lucien Mpama
 

Irak: au moins 213 morts dans l'attentat revendiqué par Daesh à Bagdad, selon un nouveau bilan

Au moins 213 personnes ont été tuées dans l’attentat suicide à la voiture piégée perpétré à Bagdad et revendiqué dimanche par Daesh, ont indiqué lundi des responsables dans un nouveau bilan. Un précédent bilan faisait état de 119 morts. Cet attentat est le plus meurtrier à frapper la capitale irakienne depuis un an et l’un des pires jamais perpétré en Irak.

Un kamikaze du groupe extrémiste sunnite a fait exploser sa voiture piégée en pleine nuit dans une rue bondée du quartier commerçant de Karrada, faisant également plus de 200 blessés, selon des responsables de la sécurité.

Deuil national de trois jours

L’énorme déflagration a provoqué des incendies dans plusieurs immeubles et échoppes. Les rues du quartier étaient jonchées de décombres et la recherche puis l’identification des victimes pourraient être très longues. Cet attentat met en lumière l’incapacité du pouvoir irakien à instaurer des mesures de sécurité efficaces à Bagdad.

Le Premier ministre Haider Al-Abadi, qui a annoncé un deuil national de trois jours, a promis dimanche de « punir » les responsables. Malgré ses revers militaires sur le terrain face aux troupes gouvernementales, l’EI parvient à commettre des attentats très meurtriers au coeur même de la capitale.

Source : Boulevard Voltaire

Nice: deux Anglaises disent avoir été victimes d'un viol collectif

Deux jeunes filles sous le choc. Deux Anglaises, âgées de 16 et 20 ans, auraient été violées par deux hommes dans la nuit de vendredi à samedi en plein centre-ville de Nice. Selon Nice-Matin, qui rapporte l’affaire, les victimes ont été entendues une bonne partie du week-end au commissariat local.

Selon les premiers éléments de leur récit, il était aux alentours de deux heures du matin, dans la nuit de vendredi à samedi, quand les deux jeunes touristes ont quitté un bar, direction la promenade des Anglais et la plage. Sur place, elles sont abordées par deux hommes qui leur proposent d’aller boire un verre.

Deux suspects interpellés et relâchés

Le quatuor est sensé prendre la direction du Vieux-Nice. Etonnées du chemin emprunté, les deux jeunes filles sont poussées dans un recoin et agressées sexuellement. La scène se serait déroulée rue de Belgique, dans le quartier de la gare.

Une enquête a été ouverte au parquet de Nice. Des vérifications du récit des deux victimes ainsi qu’un visionnage des images de vidéosurveillance ont été menés. Deux hommes ont été interpellés samedi par une patrouille de la sécurité publique. Ils ont rapidement été mis hors de cause. Seul l’un des deux a été relâché. L’autre a été placé en garde à vue pour outrage à agents.

Source : Boulevard Voltaire

Attentat suicide près d'un consulat américain en Arabie saoudite

Un attentat suicide a été commis lundi près du consulat des Etats-Unis à Jeddah, sur la côte ouest de l’Arabie saoudite, a annoncé le journal en ligne Sabq, proche des autorités saoudiennes. Deux responsables de la sécurité ont été blessés « dans cet attentat manqué », a affirmé Sabq.

Source : Boulevard Voltaire

Royaume-Uni : le pro-Brexit Farage annonce sa démission de la tête de l'Ukip

Le leader du parti anti-immigration abandonne après avoir atteint son objectif : la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne.

 

Nouveau coup de théâtre. Nigel Farage annonce lundi 4 juillet qu'il démissionne de la tête du parti europhobe et anti-immigration Ukip, après avoir atteint l'objectif de sa vie : la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne.

"Mon objectif de sortir de l'UE est atteint [...] j'ai accompli ma mission", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse.

Pour le leader du parti anti-immigration, le Brexit était l'aboutissement de sa vie politique et d'une carrière consacrée à dénigrer les institutions européennes.

"Pendant la campagne, je voulais retrouver mon pays. Maintenant, je veux retrouver ma vie", explique-t-il. "J'ai fait ce que j'avais à faire [...] Je ne pourrai pas mieux faire. [...] J'ai accompli ma mission."

Cette nouvelle survient après un autre coup de massue pour son camp : la décision de Boris Johnson, le leader des pro-Brexit, de ne pas briguer le poste de Premier ministre.

L. T. avec AFP

Source : le nouvel obs

Une obole versée d'abord à la mosquée

Pour verser leur zakat de fin du ramadan, les musulmans de l'Hexagone passent majoritairement par un intermédiaire. Selon une étude, que nous dévoilons, de l'agence de communication ethnique Solis*, ils sont 51 % à remettre leur don à la mosquée, qui ensuite le redistribue aux pauvres ou à une association caritative. Ils sont 28 % à préférer s'acquitter de leur obligation de la main à la main, en donnant à leur famille ou à des nécessiteux croisés sur leur chemin. Pour 16 %, l'aumône est envoyée vers le pays d'origine.

Selon cette même enquête qui s'est intéressée plus généralement à la générosité des Maghrébins de France (et pas seulement en période de ramadan), près des deux tiers (64 %) d'entre eux assurent effectuer des dons à des associations caritatives ou à une mosquée. Le geste est financier pour 86 % des donateurs. Ils sont ensuite 43 % à offrir des vêtements, 37 % de la nourriture et 11 % de leur temps sous forme de bénévolat.

182 € par foyer en moyenne

 L'association musulmane locale arrive en tête des bénéficiaires, lors de la dernière année (19 %). « C'est un peu comme le denier du culte chez les catholiques, cela permet de financer l'entretien et les frais de fonctionnement des mosquées, mais souvent aussi leur construction », décrypte Abbas Bendali, directeur de Solis. Les autres destinataires sont le Secours islamique (15 %), l'ONG islamique controversée BarakaCity (12 %), l'association d'entraide Une chorba pour tous (9 %), le Secours populaire (8 %), l'Unicef (7 %)... Le don d'argent moyen annuel par foyer est estimé à 182 €. « C'est une somme importante, souligne Abbas Bendali, car les ouvriers et employés dominent dans ces populations. »

V. Md.

* Enquête menée du 3 au 24 février auprès de 1 043 personnes de 18 à 64 ans, originaires du Maghreb et vivant en Ile-de-France, Rhône-Alpes et Paca.

Source : Le Parisien

 

Point de vue. Un pays sans immigrés ? Le Japon

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Le choc migratoire ébranle, aujourd'hui, toute l'Union européenne. Il menace la cohésion de nos sociétés et s'invite partout au coeur du débat politique. Le Japon, lui, s'en tient au principe de l'immigration zéro, ou presque.

Les chiffres sont éloquents. Il n'y a que 2 % de résidents étrangers dans la population du Japon, y compris les clandestins (contre presque 10 % en France). Le pays accorde environ 14 000 naturalisations par an, dix fois moins que chez nous ; être né au Japon ou s'y marier n'y donne aucun droit. Quant aux demandes d'asile, il n'en a accepté que 11 (!) en première instance en 2014, contre presque 18 000 chez nous.

Peu nombreux, les immigrés sont aussi peu visibles : plus de 80 % sont des Asiatiques (surtout Chinois, Coréens et Vietnamiens) ou des Sud-Américains de sang japonais, qui ne tranchent pas par rapport au reste de la population. Le problème de la religion et des modes de vie associés ne se pose pas, car les pays musulmans fournissent à peine 3 % des immigrés (0,06 % de la population).

L'immigration est un tabou absolu. La raison majeure est que les Japonais - même si l'histoire le dément - adorent se voir comme une race unique, présente sur l'archipel depuis l'origine des temps, et jamais mélangée. Dire ici que la France est « une nation de race blanche » est devenu politiquement incorrect. Les Japonais, eux, considèrent fièrement leur pays comme celui de la race japonaise, et d'elle seule. Ils y voient une force précieuse pour leur communauté. Dans ce contexte, pas un politicien ni un journal n'ose prôner la libéralisation.Scandale des « stagiaires »...Pourtant, le Japon en a besoin. La natalité est en panne, la population diminue et vieillit massivement. Cela ne présage rien de bon, ni pour l'économie ni pour le dynamisme national. Le pays manque de bras. Le chômage est au plus bas (3,5 %). Il faudrait 300 000 travailleurs de plus dans les services à la personne, 200 000 pour les chantiers des Jeux olympiques de 2020, et les clandestins sont indispensables à de nombreux secteurs de l'économie.

Pour Tokyo, la solution rêvée est de ne laisser entrer que des quotas de travailleurs sélectionnés en fonction des besoins de l'économie, avec des contrats à durée déterminée qui ne leur permettent ni de faire venir leur famille ni de rester en fin de contrat.

Sous couvert d'aide au développement, le Japon accueille ainsi, chaque année, 90 000 « stagiaires en formation », avec des CDD de trois ans. Pour être sélectionnés, ceux-ci s'endettent dans leur pays auprès de recruteurs spécialisés. Cette dette les livre sans défense aux employeurs qui en sont friands et les achètent littéralement à l'administration, à coups de pots-de-vin. Travaux durs et non qualifiés, horaires écrasants, paye de misère... Les moins dociles sont expulsés à la fin de la première année.

L'immigration choisie n'est pas condamnable dans son principe, mais encore faut-il qu'elle ne dégénère pas en esclavage moderne. Le sort des « stagiaires » commence à faire scandale... C'est pourtant ce modèle que le Japon entend développer, en doublant le nombre des contrats et en portant leur durée à cinq ans.

Quant à l'accueil des réfugiés, il peut arguer qu'il n'est pour rien dans les conflits qui provoquent les migrations massives que l'on sait. Toutefois, aux yeux du monde, pourra-t-il toujours se dérober ? La question, en tout cas, n'émeut pas encore les Japonais.

Jean-Marie Bouissou, directeur de recherche à Sciences Po.

Source : Ouest France

Une foule hystérique et armée rase une mosquée en Birmanie

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La Birmanie caracole en tête des pays islamophobes faisant de la vie des musulmans un calvaire au quotidien.
Les moines bouddhistes présentés par l’occident comme des êtres dénués d’une once de haine sont pourtant responsables de l’oppression menée contre les Rohingyas la minorité musulmane du pays.

En quelques jours ce sont deux mosquées qui ont été saccagées puis brûlées par une foule hystérique rapporte la presse locale.
Le gouvernement birman conscient du danger encouru par la population musulmane ferme les yeux sur les exactions commises par les bouddhistes.
Vendredi dernier dans la ville minière de l’Etat Kachin, c’est armés de «  bâtons, de couteaux et d’autres armes  » que les habitants de Hpakant sont arrivés la bave aux lèvres pour mettre le feu à la salle de prière de la ville selon le Global New Light of Myanmar.

«  La foule était entièrement incontrôlable. Le bâtiment a été rasé par les émeutiers  », décrit le journal. Une fois de plus, les autorités n’ont procédé à aucune arrestation se contentant de déployer les forces de sécurité.
Il y a huit jours ce sont une mosquée et une école musulmane qui ont été la proie des villageois bouddhistes.

Depuis 2012 les conflits inter-communautaires ont pris de l’ampleur dans le pays mais cette violence vise en priorité les musulmans qui sont les premières victimes de cette flambée islamophobe.
Une haine attisée par le moine Wirathu à la tête du mouvement MaBatha et par le silence du prix Nobel de la paix Aung San Suu Kyi qui a choisi le camp des oppresseurs.

Z. S.

Source : hallalbook