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mercredi, 17 août 2016

Neuf migrants irakiens incarcérés après un viol collectif à Vienne

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Ce n'est pas la première fois que des réfugiés sont mis en cause dans ce genre de crimes sexuels, notamment en Autriche et en Allemagne.

Un tribunal autrichien a placé mardi neuf demandeurs d'asile irakiens en détention provisoire. Ces hommes sont accusés d'avoir violé une jeune Allemande à Vienne lors de la nuit de la Saint-Sylvestre.

Les agresseurs présumés de la jeune femme sont âgés de 21 à 47 ans et ont été arrêtés dans différents foyers du centre et de l'est de l'Autriche, lors d'un coup de filet de la police, ce week-end. Ils devront répondre du viol collectif de l'Allemande âgée de 28 ans, qui était fortement alcoolisée lors des faits survenus dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier 2016.

Les cas de viols par des réfugiés se multiplient

Cet événement, en particulier à cette date-là, n'est pas sans rappeler les centaines d'agressions sexuelles qui ont été commises à Cologne, en Allemagne. Des réfugiés étaient déjà mis en cause dans cette affaire. Le Parlement allemand a depuis renforcé sa législation dans le domaine. En Autriche, les mises en cause de réfugiés dans des cas d'agressions sexuelles et de viols se sont multipliées depuis l'arrivée massive de migrants, il y a un an. Cela a notamment alimenté une poussée de l'extrême droite qui est arrivée au second tour de l'élection présidentielle en mai.

Source : Le Point

 

 

Autriche: neuf migrants incarcérés pour viol

Un tribunal autrichien a placé aujourd'hui en détention provisoire neuf demandeurs d'asile irakiens, accusés d'avoir violé une jeune Allemande à Vienne lors de la nuit de la Saint-Sylvestre.

Les agresseurs présumés, âgés de 21 à 47 ans, ont été arrêtés dans différents foyers du centre et de l'est de l'Autriche, lors d'un coup de filet ce week-end. Ils doivent répondre du viol collectif de la jeune femme, âgée de 28 ans, qui était fortement alcoolisée lors des faits survenus dans la nuit du 31 décembre.

Les mises en cause de réfugiés dans des affaires d'agressions sexuelles et de viols se sont multipliées en Autriche depuis l'arrivée massive de migrants il y a un an, alimentant une poussée de l'extrême droite. En Allemagne voisine, la nuit de Nouvel An avait été marquée par des centaines d'agressions sexuelles à Cologne (ouest).

Le Parlement allemand a depuis renforcé sa législation dans le domaine.

Source : Le Figaro

Des filles entièrement voilées à la plage à Marseille, leur mère fait l’apologie du terrorisme islamique…

Deux gamines voilées et masquées intégralement, baignaient leurs burqas dans la mer sur une plage de Marseille lorsque deux gendarmes sont intervenus pour leur expliquer qu’elles étaient en infraction, mais la mère en véritable furie s’en est pris aux gendarmes, il faudra l’intervention des CRS pour en venir à bout. Conduite au poste de police elle sera jugée pour « outrage, menaces et apologie du terrorisme ». 

« La scène se joue vendredi soir, plage de l’Huveaune, avenue Mendès-France, à Bonneveine (8e). Deux mineures complètement voilées se baignent, mais les forces de police leur expliquent qu’elles sont en infraction. Les deux jeunes filles sortent de l’eau et ne font pas de difficultés, mais c’est leur mère qui s’agace de la situation et va s’en prendre de façon virulente aux policiers qui interviennent.

Les forces de l’ordre tenteront de ramener le calme, mais ce sera difficile. Face à l’outrance de la situation, la mère, âgée de 38 ans, a été interpellée et conduite au poste de police. Même les CRS ont dû intervenir. La mise en cause fait l’objet d’une procédure pour « outrage, menaces et apologie du terrorisme ». Elle a été interpellée et entendue. Elle fera finalement l’objet d’une convocation devant le tribunal correctionnel de Marseille où elle sera jugée prochainement. La loi du 11 octobre 2010, parfois appelée loi sur la burqa, interdit de « dissimuler son visage » dans l’espace public. » (La Provence)

Pas d’amalgame ni de stigmatisation, sauf contre les autochtones!

On apprend par ailleurs aujourd’hui qu’une autre rixe a eu lieu entre communautés dimanche à Carbuccia en Corse du Sud, mais là, il est impossible de trouver un témoignage. Les deux parties ont porté plainte de part et d’autre, selon Corse-Matin, tandis que BFMTV ajoute que l’altercation s’est déroulée près de la rivière Gravona sur le pont de Carbuccia:

Tout serait parti d’un échange de regards qui a mal tourné entre un groupe de jeunes originaires de l’île et un père de famille d’origine maghrébine vivant en Corse, d’après le procureur de la République d’Ajaccio. Eric Bouillard précise toutefois, qu’à ce stade de l’enquête, « le mobile raciste n’est pas établi ». Après l’altercation, les deux parties ont porté plainte réciproquement.

Tous ont été entendus par les enquêteurs mais personne n’a été placé en garde à vue. Le père de famille, qui a eu le nez cassé, évoque des propos racistes. Le jeune, qui serait à l’origine du coup, mineur, porte lui aussi des marques de lutte correspondantes à des traces légères données par un objet coupant.

« Eric Bouillard précise toutefois, qu’à ce stade de l’enquête, « le mobile raciste n’est pas établi », rapporte BFMTV !!! Comme si dans le contexte actuel en France, de massacres et agressions diverses d’origines islamiques, les soupçons ne pouvaient que se diriger contre les Français de souche

… Sans compter qu’un jeune qui riposte à une attaque « d’un objet coupant » avec son poing, ne peut être qu’un « raciste »… Quand à chaque fois ces rixes opposent des musulmans d’âge mûrs armés face à des adolescents ou des femmes désarmés…

Une histoire qui ressemble donc beaucoup à celle de Sisko, où des maghrébins d’âge mûr, aux cris d' »Allah akbar »,  s’en sont pris à des baigneuses avant de s’attaquer à des adolescents à coups de hachettes et de couteaux, pour des histoires vestimentaires d’ordre musulman, avant que des habitants de Sisko -eux-mêmes violemment agressés- aient pris la défense des jeunes et des touristes au cours d’une violente bagarre.

L’affaire de Sisko a pu être révélée grâce aux témoignages-vidéos des personnes agressées, lesquels ont échappés à la vigilance des autorités  et médias camoufleurs qui eux, tentent de faire reporter la faute sur du racisme insulaire, alors que les agresseurs s’écriaient « allah akbar! »… 

Une tentative renouvelée aujourd’hui-même à I-Télé où un petit reportage a tenté de faire porter le chapeau à l’extrême-droite, ce qui va dans le même sens que le soupçon de racisme évoqué par le parquet pour l’affaire de Carbuccia, alors que le soupçon premier devrait naturellement se porter sur la partie musulmane dans le contexte des attentats affreusement meurtriers, du meurtre du père Jacques Hamel, de l’affaire de Sisko et de celle des Hautes-Alpes au cours de laquelle un Marocain de 38 ans a agressé au couteau trois jeunes-femmes pour de semblables questions vestimentaires musulmanes. Et de combien d’autres affaires ? On n’arrive plus à en tenir le compte.

Mais le parti politiquement correct est plus que jamais déterminé à pactiser avec l’ennemi… La trahison est aujourd’hui pire que le danger encouru et l’aggrave amplement.

Emilie Defresne

Source : Mpi

Serbie : un Serbe du Kosovo arrêté après qu’il ait dégradé le minaret d’une mosquée près de Gnjilane.

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La mosquée est située à Donje Velikince, la municipalité de Gnjilane, au Kosovo et Metohija.

Le diffuseur RTV a déclaré que «après une heure de négociations avec le suspect, qui a ignoré les demandes des fonctionnaires et a continué à démolir le minaret la police a réagi et ont arrêté l’agresseur. » (…)

Source : Civilwarineurope

Les intellectuels face à l’islamisme : le déni continue

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Un lien de complicité unit le refus de « voir » et celui de « nommer ». Mais quand arrive le moment où l’on ne peut plus ne plus voir ? Eh bien, on en rajoute une bonne couche ! Après Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice et enfin Saint-Étienne-du-Rouvray, le déni peut bien s’offrir un ultime supplément pathologique en proposant de ne plus mentionner le nom des assassins… S’il suffisait de gommer celui de Hitler des manuels pour qu’il cesse d’en inspirer certains, nous l’aurions su… Comment ? Imposer une lecture « modérée » de Mein Kampf ? Hum, hum…

Notre déni s’obstine, plus droit que jamais dans ses pathologiques bottes : contraint et forcé d’admettre la réalité islamiste des récentes et successives boucheries, que peut-il faire sinon en extorquer, ces jours-ci, par la voix de divers spécialistes, voire de certains politiques, une genèse… populiste ? Suivez mon regard : à (l’extrême) droite toute !

Exemple de ce contorsionnisme sémantique (pas le premier ni le seul) dans le magazine Society du 5 au 18 août : Marc Crépon, CNRS et département philosophie de l’École normale supérieure. Si, selon Rémi Brague, entre « islam et islamisme […] il n’y a qu’une différence de degré, non de nature », Marc Crépon, lui, voit la même affiliation entre islamisme et populisme. Leur ressort commun serait celui du discours identitaire visant à « diviser les populations ». C’est sûr, la meilleure façon de ne pas « diviser » une population est encore d’y multiplier les musulmans… Applaudissant les « grandes autorités musulmanes [qui] ont raison de dire que dans la propagande de l’État islamique il n’y a rien qui relève de l’islam », il souligne, comme facteur aggravant (concernant les jeunes djihadistes ?), une « faillite de la religion ». Résumons : l’État islamique ne relève en rien de l’islam (une religion), mais il y a une faillite de « la religion ». Mais alors, de quelle religion en « faillite » peut-il bien s’agir ? Mystère et boule de gomme. (Indice : quand un prêtre pédophile fait la une des manchettes, s’agit-il d’une faillite de l’Église catholique ou bien d’une faillite de « la religion » ? Réponse : lisez vos journaux de gauche préférés.)

Marc Crépon peut bien souligner, également, l’aspect profondément paradoxal de « notre rapport à la liberté », voici comment, selon moi, cet aspect se traduit concernant l’islam. Tout le monde aura noté la multiplication, dans notre espace public, de jeunes adeptes de l’autocensure capillaire (voile), qui est précisément un de ces pieds de nez « identitaires » que Marc Crépon semble tant redouter. Ce bras d’honneur communautaire se réclame, bien sûr, de « la liberté ». Au même moment, en terre d’islam, (l’Iran, pour ne pas le nommer), des hommes se voilent sur les réseaux sociaux, en soutien à leurs compagnes courageuses qui réclament de pouvoir tomber le leur. Toujours au nom de « la liberté ». Je me demande pour qui le paradoxal cœur de Marc Crépon penche.

Silvio Molenaar

Source : Boulevard Voltaire