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dimanche, 11 décembre 2016

Perpignan: tags racistes sur la grande mosquée

 

 
Des "inscriptions à caractères racistes" ont été retrouvées ce samedi matin sur les murs de la grande mosquée de Perpignan, a-t-on appris auprès de la préfecture des Pyrénées-Orientales. Les tags ont été rapidement effacés, et une plainte pour "dégradations" doit être déposée, selon la même source.

Le préfet du département, Philippe Vignes, s'est rendu sur place dans la matinée "afin de témoigner de la solidarité du gouvernement à l'ensemble de nos concitoyens de confession musulmane", selon un communiqué du ministre de l'Intérieur, Bruno Le Roux. "Le racisme et tous ceux qui entendent diviser la communauté nationale n'ont pas leur place au sein de la République, qui respecte toutes les croyances", déclare le ministre. "Tous les moyens seront mis en oeuvre pour retrouver les auteurs de ces actes odieux et inacceptables", conclut-il.

En janvier, la mosquée a déjà subi des dégradations: les pattes et la tête d'un sanglier avaient été jetés dans l'enceinte de la grande mosquée et des tags, notamment le mot "dehors", avaient été inscrits sur les murs.

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Bruno Le Roux plonge dans le bain à remous de «l’islam de France»

 

 
Moins d’une semaine après son arrivée au ministère de l’Intérieur, Bruno Le Roux plongera lundi 12 décembre dans le grand bain à remous de «l’islam de France», dont les acteurs sont soumis à de fortes attentes dans un pays meurtri par les attentats jihadistes.

La place Beauvau accueillera la troisième réunion de «l’instance de dialogue avec l’islam», lancée en juin 2015 pour élargir et renforcer le débat avec la deuxième religion de France, forte de quatre à cinq millions de fidèles.

Pour mieux lutter contre la radicalisation violente, l’Etat a souhaité dialoguer avec d’autres voix que celles du Conseil français du culte musulman (CFCM). L’institution considérée comme représentative des quelque 2.500 mosquées et salles de prière souffre d’un déficit d’image et d’efficacité depuis sa création en 2003, même si sa légitimité n’est pas remise en cause.

Pour son baptême du feu sur ces sujets, le nouveau ministre de l’Intérieur et des Cultes devrait se glisser dans les pas de son prédécesseur Bernard Cazeneuve, promu à Matignon.
«Je poursuivrai (...) les actions engagées», a prévenu Bruno Le Roux lors de la passation de pouvoirs, en précisant qu’il le ferait avec sa «sensibilité» d’»élu de Seine-Saint-Denis», où vit une importante population musulmane.

Le nouveau ministre héritera de dossiers préparés par son prédécesseur, qui ouvrira cette nouvelle réunion de l’»instance de dialogue» en tant que Premier ministre.

Fraîchement créée, la «Fondation de l’islam de France», présidée par Jean-Pierre Chevènement, qui doit permettre de lever des fonds pour financer des projets éducatifs et culturels, sera au coeur des débats.

Le choix de l’ancien ministre, 77 ans, au profil de républicain très laïque et au verbe parfois rugueux, a d’abord suscité perplexité voire hostilité dans les cercles de l’islam français. Mécontente du sort qui lui était réservé - la présidence-strapontin du «conseil d’orientation» de la fondation -, la puissante Grande mosquée de Paris a menacé de boycotter l’»instance», avant de revoir sa position.


- Contribution sur le halal 


Mais la fondation, qui a tenu un premier conseil d’administration jeudi dernier, est sur les rails.

Elle peut compter sur le soutien de plusieurs grandes entreprises comme la SNCF, le groupe Aéroports de Paris et le bailleur social SNI. Et d’un capital issu du transfert de celui de la «Fondation des oeuvres de l’islam», mort-née en 2005 sur fond de dissensions entre fédérations musulmanes: près d’un million d’euros doté par l’industriel Serge Dassault.

Les participants à «l’instance de dialogue», qui représentent toutes les nuances de l’islam sunnite français - salafistes exceptés - se pencheront aussi sur la formation des imams, qui dépend pour l’instant beaucoup de l’étranger.

A côté de l’offre, insuffisante, des instituts français privés de théologie musulmane, et des diplômes universitaires de formation civile et civique désormais proposés par 14 universités, le gouvernement veut développer des cursus d’islamologie de haut niveau.

Prochaine étape, qui peine à prendre forme: la mise sur pied d’une association cultuelle nationale pour financer, sans recourir à des fonds étrangers, des projets en matière religieuse, autour du statut des imams et aumôniers, la construction de mosquées ou la production d’un contre-discours face à la propagande jihadiste.

L’»instance de dialogue» va se pencher sur les ressources potentielles de cette association loi 1905, parmi lesquelles figurent une «contribution volontaire» sur le halal, voire un prélèvement sur les billets du hajj, le grand pèlerinage à La Mecque.

Mais «cette association est l’objet de luttes de pouvoir qui n’augurent rien de bon. Elle ne marchera pas si elle est gérée par des représentants de mosquées, or ils sont dans la place», peste le consultant Hakim El Karoui, porte-parole des signataires d’un «Appel des 41» personnalités de la société civile musulmane bien décidées à entrer dans le jeu.

Pas question cependant de saboter «une initiative qui part d’une bonne idée». «Il y a tellement de choses à faire» pour sortir de «l’islam des consulats» étrangers, plaide-t-il.

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Pour un élu mayennais, « L’argent du RSA sert à acheter de l’alcool, de la drogue et à la prostitution »

 

Le 24 novembre dernier, sur France Bleu Mayenne, Norbert Bouvet,, vice-président du Conseil départemental, déclarait que « l’argent du RSA sert à acheter de l’alcool, de la drogue et à la prostitution ».

Des propos tenus par le porte-parole du candidat François Fillon dans le cadre de la campagne des primaires de la droite et du centre qui ont choqué Guillaume Garot, chef de file de l’opposition au conseil départemental.

Pauvrophobie ? ou surenchère pour appâter les électeurs de l’extrême-droite ? Au cours de la session budgétaire du conseil départemental, Guillaume  Garot a dénoncé une insulte faite aux plus démunis et a demandé au président Olivier Richefou de condamner ces propos lequel a considéré que ce n’était pas le lieu.

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Tous unis pour l’islamisation des Français…

 

 

Fondation de « l’islam de France »

SNCF, Aéroports de Paris, SNI ou encore Dassault : tous ont balancé une fortune et se sont mis au service de cette fameuse « Fondation de l’islam de France », lancée officiellement jeudi, et dont la mission, nous dit-on, serait de « contribuer à mieux faire connaître la religion et la civilisation musulmanes » aux Français. En clair, à les islamiser !

« D’utilité publique » ?

Après la parution mardi au Journal officiel du décret portant création de cette Fondation « reconnue comme établissement d’utilité publique », son premier conseil d’administration s’est ainsi tenu jeudi à l’Assemblée, autour de son président Jean-Pierre Chevènement et de quelques personnalités dites « qualifiées », telles que l’écrivain Tahar Ben Jelloun, le théologien Ghaleb Bencheikh, le recteur de la grande mosquée de Lyon Kamel Kabtane, le cadre supérieur d’entreprise Najoua Arduini-Elatfani ou encore le président du CFCM, Anouar Kbibech.

Succédant à la « Fondation des œuvres de l’islam de France », créée en 2005 mais qui n’a jamais fonctionné en raison de dissensions liées à la rivalité des grandes fédérations musulmanes, cette nouvelle fondation, espère l’Intérieur, devrait contribuer « à faire émerger un islam de France pleinement inséré dans la République et à lui donner une visibilité accrue auprès du grand public ». Et c’est à cette fin qu’elle sera « appelée à soutenir des projets à caractère culturel, social ou éducatif », tels que la « recherche universitaire en islamologie » et la « formation profane des imams ». Sans oublier, bien sûr, « des initiatives en faveur de la jeunesse »…

Avec la complicité du Capital

En clair, sous couvert de lutte contre la « radicalisation », le gouvernement vient de mettre en place une vaste entreprise d’islamisation de nos compatriotes. Et cela, bien sûr, avec la complicité des grandes entreprises que sont la SNCF, Aéroports de Paris, SNI ou encore Dassault, qui a déjà versé près d’un million d’euros à la Fondation !
Et ce n’est pas fini. Car, comme le confiait un proche du dossier, si « d’autres entreprises, publiques ou privées, n’ont pas souhaité s’engager lors de la création de la fondation », celles-ci cependant « se sont dites prêtes à financer des projets spécifiques ».

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10 ans de prison pour le buraliste du Tarn qui avait tué un cambrioleur

 

 
  Peine alourdie pour Luc Fournié. Le buraliste du Tarn qui avait tué un cambrioleur de 17 ans a été condamné vendredi en appel à Toulouse à 10 ans de prison, soit trois ans de plus qu’en première instance, par la cour d’assises de Haute-Garonne.


La décision, prononcée après 5 heures 30 de délibéré, a entraîné une vague d’émotion et de colère chez la famille de Luc Fournié, alors que des pleurs résonnaient du côté des proches de la victime. L’accusé, qui comparaissait libre, a semblé assommé.


Mise en place d’un « stratagème » par Luc Fournié

Dans son verdict, la cour a écarté la légitime défense, jugeant qu’il y avait une « totale disproportion » dans la riposte de Luc Fournié, avec notamment la mise en place, au cours des jours précédents, d’un « stratagème afin de pouvoir tirer sur tout intrus qui entrerait ».

Jugeant le verdict « absolument aberrant, incompréhensible », Me Georges Catala, avocat de la défense, a indiqué son intention de se pourvoir en cassation. La cour a « refusé ce glissement dangereux de la légitime défense à l’autodéfense, que la force l’emporte sur le droit », s’est au contraire félicité Me Simon Cohen, avocat des parties civiles.

Dans son réquisitoire, l’avocat général avait exclu la légitime défense mais en requérant « cinq ans d’emprisonnement, en n’excluant pas l’octroi du sursis simple pour une partie, voire pour la totalité de la peine ». Il avait demandé aux jurés de retenir une peine « proportionnée, juste, équitable et socialement utile ».

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Mosquée de Villiers : un mois après la fermeture, les musulmans n’ont toujours pas de lieu de culte

 

 
Il est clair que cela n’est pas son sujet préféré. Un mois après la fermeture de la mosquée de Villiers, celui qui la présidait veut tourner la page. « Ce n’était pas une mosquée salafiste, persiste-t-il, les fidèles ne comprennent pas sa fermeture et l’autre jour j’en ai trouvé qui pleuraient devant… » Mais Ali Oumari a surtout envie de mettre tout cela derrière lui. A presque 80 ans, il « croit qu’[il] va démissionner ». « Pour le moment je tiens la barre, mais je ne suis plus aussi fort », lâche-t-il comme un aveu d’impuissance.
Le 2 novembre dernier, Bernard Cazeneuve, alors ministre de l’Intérieur, fait fermer administrativement la mosquée El Islah de Villiers. Dans l’arrêté préfectoral toujours placardé sur la porte, on peut lire qu’elle est un « lieu de référence influent de la mouvance salafiste, représentant par son fonctionnement et sa fréquentation, une menace grave pour la sécurité et l’ordre public ». L’Etat l’accuse également d’avoir permis à des djihadistes de se retrouver et d’avoir hébergé une école coranique. Quoiqu’il en soit, les quelques 800 fidèles de la mosquée ont dû s’organiser. « Certains vont à Bry, d’autres à Champigny… Mais tous me demandent de faire quelque chose », poursuit le président de la mosquée. Dans l’optique de créer un nouveau lieu où la communauté pourrait se réunir, Ali Oumari a trouvé un terrain, mais attend de pouvoir acheter un barnum. « Ils ont aussi un problème de nivellement du terrain à régler », précise le maire (LR), Jacques Alain Bénisti. Lors de la fermeture, ce dernier avait promis de ne pas laisser la communauté à la rue et de lui trouver un barnum, tout en précisant que sauf pour une fête exceptionnelle, il refusait de prêter un local pour une cérémonie religieuse.

 
Un argument rejeté aujourd’hui par une partie de l’opposition, qui estime que la mairie pourrait « ponctuellement », c’est-à-dire le vendredi, mettre un lieu à la disposition de la communauté. « A situation exceptionnelle, disposition exceptionnelle, assène Frédéric Massot, président du groupe socialiste à Villiers. Je me demande juste s’il y a bien un traitement égalitaire. »

Les musulmans de Villiers eux, préfèrent rester loin des querelles, inquiets qu’on puisse leur reprocher leur comportement. « Tout le monde aimerait que ça aille mieux, dit l’un d’eux. Mais on ne fera pas n’importe quoi ».

Clawdia Prolongeau

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L’Allemagne voudrait-elle organiser la « remigration » ?

 

 

En octobre 2017, Angela Merkel pourrait être sortie du pouvoir par les électeurs allemands de plus en plus furieux contre la funeste politique menée par la chancelière. Cela fait trois ans que Madame Merkel encourage les « migrants » à s’installer dans le pays de Goethe. Alléchés par l’aubaine, ils ont été plusieurs millions à débarquer dans l’espace Schengen, ouvert aux quatre vents.

Depuis lors, l’impopularité de cette fille de pasteur ne cesse de croître. Par son inconscience, elle a donné un signal à tous les candidats à l’exil, aussi nombreux que pressés. Toutefois, les élections approchant et l’Alternative für Deutschland menaçant le pouvoir conservateur en ne cédant pas au chantage moral que lui font subir médias et classe politique, Angela Merkel ne peut que revoir sa copie, non par conviction mais par opportunisme. C’est ainsi qu’après avoir pratiqué l’accueil illimité, le gouvernement allemand se trouve désormais dans l’obligation de lancer un programme de 150 millions d’euros destiné à l’aide au retour, concernant principalement les « demandeurs d’asile » déboutés mais aussi les oiseaux rares qui entendent tout simplement retourner dans leur pays.

L’Allemagne pourrait donc lancer la première vague de « remigration ». 


Enfin, une « remigration » animée par des principes utopiques. Gerd Müller, ministre du Développement (à ne pas confondre avec son célèbre homonyme champion de football), a indiqué au quotidien régional Augsburger Allgemeine que ce fonds serait l’occasion d’offrir un « nouveau départ » aux em> »migrants venus d’Irak ou d’Afghanistan », lesquels recevraient, pour les y aider, « de l’éducation, une formation, des emplois et des aides »
 
 On croit rêver.
 Évidemment, le discours tenu par la CDU est hypocrite et irréaliste, simplement mû par la volonté de ne pas laisser l’AFD accéder aux plus hautes responsabilités dans l’avenir. Ces 150 millions d’euros ne serviront strictement à rien. Qui peut, en effet, imaginer que ces hommes seuls qui ont tout quitté pour partir pourraient avoir envie de faire le chemin en sens inverse ?

Seule une politique de fermeté absolue, à la manière de ce qui est pratiqué par la grande démocratie qu’est l’Australie, sera à même de répondre à la crise migratoire ou, devrais-je dire, à la crise démographique que nous vivons. Dans cette perspective, une alliance stratégique avec les pays du Maghreb, confrontés aux mêmes problèmes, pourrait être envisagée. Leurs frontières sont régulièrement franchies de force par des migrants subsahariens, tant parce que la vie y est un peu moins rude que chez eux que dans l’espoir de pouvoir par la suite aller en Europe.


Dernièrement, les nouveaux Montaigne défonçaient la frontière hispano-marocaine. Rien ne saurait les retenir. Sévir ou subir ? Il faudra choisir.

 Gabriel Robin

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En route pour le Grand Remplacement : nos sociétés refusent la fertilité !

 

 
Le Québec souffre des conséquences d’un véritable génocide en douce à l’heure où l’IVG est sanctuarisée en France. Il importe de témoigner de la réalité avant que la police de la pensée ne finisse par imposer sa chape de plomb sur toute la francophonie.

La question de la liberté d’expression – dans le cas du projet de loi français sur le délit d’entrave à l’IVG – revient hanter tous les patriotes qui se mobilisent contre la pensée unique. En effet, une fois le débat sur l’IVG confisqué, l’oligarchie en place pourra légiférer sur le droit de discuter de l’immigration, des frontières ou du mariage. La gauche caviar perd, manifestement, les pédales à l’heure où elle risque d’être remerciée de ses services par le peuple.
Chez nous, au Québec, il est malaisé de traiter d’un sujet aussi controversé que l’IVG et, bien que nos lois soient moins liberticides que celles qui prévalent chez vous, plusieurs officines de la rectitude politique veillent au grain. C’est tout de même cocasse de profiter de la controverse qui entoure le nouveau projet de loi français pour venir s’épancher sur le sujet en profitant de l’hospitalité d’un site de réinformation comme le vôtre. On se sent, littéralement, entre l’arbre et l’écorce ! 

La natalité est en baisse au Québec, comme en France, et l’augmentation incessante des ratios d’immigrants fait en sorte d’accélérer un phénomène que certains qualifient de « Grand Remplacement » chez vous. Plus de 50.000 immigrants déferlent, année après année, sur le Québec et les oligarques aux manettes aimeraient hausser la cadence jusqu’à atteindre le nombre fatidique de 75.000 nouveaux venus. On parle d’une véritable déferlante migratoire alors que la population totale du Québec avoisine les 8 millions d’âmes. Les Québécois tentent, bon an mal an, d’absorber un ratio d’immigrants deux fois plus élevé que chez leurs cousins français. Et il faut ajouter à ce tableau l’incontournable réalité des IVG qui dépassent le cap des 25.000 cas recensés chaque année.
Une donne qui est biaisée depuis que la loi n’oblige plus les praticiens à émettre une déclaration en bonne et due forme. La société du spectacle impose ses dogmes et ceux ou celles qui refusent de s’y soumettre s’exposent à en payer le prix. Prônant d’accessoires droits de la personne, asservis à la libre circulation du capital, la nouvelle inquisition libérale-libertaire mousse des plans qui sont manifestement destinés à dissoudre tout ce qui fondait la famille, socle de notre civilisation. Nos censeurs réclament l’ouverture des frontières à une immigration croissante et interdisent, d’office, tous les mouvements citoyens qui ambitionnent de défendre la famille. Voyez-vous, la famille, contrairement aux images d’Épinal véhiculées par la gauche institutionnelle, n’est pas une institution bourgeoise. Il s’agit de la fondation sur laquelle nous avons bâti nos sociétés depuis la nuit des temps. Il est peut-être temps que les hommes et les femmes se questionnent sur leur rapport avec une sexualité qui s’apparente, de plus en plus, à une fuite en avant.

L’IVG ne doit pas devenir une forme de contraception comme une autre. Notre société décervelée aurait besoin d’un temps d’arrêt pour que les hommes et les femmes puissent réapprendre à s’aimer. Puisque l’amour possède ses propres saisons qu’il importe de respecter, comme l’agriculture ou le temps de la chasse. Sans pour autant rejeter les méthodes contraceptives qui existent, il serait sage que la femme apprivoise les cycles qui fondent son bios. Et que l’homme sorte de sa léthargie libidinale ! Mais nous sommes loin de la coupe aux lèvres. Débattre de l’avortement ne consiste pas à vouloir l’interdire ou en faire la promotion, mais devrait plutôt, dans une société saine d’esprit, nous aider à prendre conscience de cette infertilité qui fonde nos rapports trop souvent égoïstes.

 Patrice-Hans Perrier

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La France une terre d’islam ? Philippe de Villiers : Les cloches sonneront elles encore demain ?

 

 
 

Immigration: Près de 400 personnes forcent la frontière Maroc-Espagne à Ceuta

 

 
Près de 400 migrants originaires d’Afrique subsaharienne ont forcé vendredi à l’aube la haute barrière entourant l’enclave espagnole de Ceuta au Maroc, l’assaut le plus important depuis plus de dix ans, a-t-on appris auprès de la préfecture locale.


Les migrants ont réussi à forcer les portes en deux points de la barrière de six mètres de haut entourant l’enclave, a précisé à l’AFP un porte-parole de la préfecture.

Les images publiées par le journal local El Faro de Ceuta sur son site montrent des dizaines de migrants euphoriques, certains torse nu ou pieds nus, criant « España! ».

Selon le ministre de l’Intérieur Juan Ignacio Zoido, en déplacement à Bruxelles, près 20% d’entre eux n’étaient pas encore localisés en début de matinée.

« Il faut remonter au début des années 2000 pour atteindre ce genre de chiffres », a déclaré à l’AFP un porte-parole de la préfecture.
Le secrétaire d’Etat à la Sécurité, José Antonio Nieto, a d’ailleurs annoncé un déplacement dans l’enclave à la mi-journée.

La Croix-Rouge affirme avoir soigné 103 migrants, dont 25 ont été transférés à l’hôpital pour des blessures sans gravité lors de l’assaut, essentiellement des points de suture.

Selon les images tournées par El Faro, certains semblent blessés, victimes d’écorchures aux pieds ou à la tête, et d’autres étaient encore en début de matinée perchés en haut de la double clôture.
La dernière entrée massive remonte au 31 octobre, quand près de 220 migrants avaient franchi deux portes d’accès de la barrière de Ceuta lors d’un « assaut » similaire qui avait fait 35 blessés dont trois gardes civils.

L’objectif des migrants, sans-papiers pour la plupart, est de se rendre au centre de séjour temporaire pour étrangers (CETI), où ils doivent en principe avoir la possibilité de présenter une demande d’asile.

Des organisations de défense des droits de l’Homme épinglent régulièrement l’Espagne pour le traitement réservé aux migrants dans les enclaves de Ceuta et Melilla, les deux seules frontières terrestres de l’Union européenne avec l’Afrique.

En novembre, Amnesty International a qualifié ces villes de « territoires de non-droit », dénonçant notamment des violences policières des deux côtés de la frontière et des refoulements illégaux de demandeurs d’asile entrés en territoire espagnol.

Karifa Zoumanigui 

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