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mercredi, 15 novembre 2017

Le terroriste de Blagnac est membre d’une famille islamiste

Lu sur Actu 17:

Le frère d’Abdellah B., le suspect qui a volontairement renversé des étudiants à Blagnac ce vendredi a été déféré. L’homme est adepte d’un « islam rigoriste ».

L’affaire s’est déroulée dans la nuit de vendredi à samedi. L’homme a menacé avec une arme son colocataire explique La Dépêche.

Âgé de 32 ans, le suspect lui reprochait d’avoir contacté la police pour le dénoncer, suite aux agissements de son frère ce vendredi à Blagnac, interpellé pour tentative d’assassinats après avoir délibérément foncé sur des étudiants.

Interpellé, l’homme a été placé en garde à vue et a été déféré. Le suspect devra répondre ce mardi en comparution immédiate, des faits de « violences volontaires avec arme » indique La Dépêche.

L’individu de 32 ans est radicalisé, mais également « adepte d’un islam rigoriste » selon le média local.

Abdellah B., le conducteur de la voiture bélier a quant à lui été placé en détention. L’homme souffrirait de « schizophrénie » mais nul doute que les enquêteurs vont se pencher sur son entourage, et notamment son frère.

Source

Un immigré africain a touché 150.000 euros d’aides françaises en se faisant passer pour un mineur !

 

 Pas la peine de prétendre qu’il s’agirait d’une fake news diffusée par des sites d’extrême droite. L’information se trouve dans le journal Le Dauphiné qui décrit l’arnaque d’un migrant africain qui a vécu pendant quatre ans et demi sur le territoire français en tant que “mineur isolé”, pris en charge à ce titre par différentes instances, dont le conseil départemental.

Il avait à l’époque fourni un extrait d’acte de naissance attestant de son âge. Sa majorité approchant, il se rend en préfecture pour demander une carte de séjour. Selon le protocole, ses empreintes sont entrées dans le fichier. Le hic, c’est que sa fiche est ressortie avec un tout autre âge. L’homme aurait en fait 26 ans. Sur décision de la procureure de la République, il est envoyé à Lyon pour subir une série d’examens osseux, de la mâchoire et de la clavicule, mais également dentaires. Les résultats ont conforté son âge adulte. Il est donc poursuivi par la justice pour faux document et escroquerie. D’après les premières estimations, il aurait touché autour de 150 000 euros d’aides depuis quatre ans et demi. (…)

 

A votre bon coeur ! ...

 

Source : www.ledauphine.com

Un mouvement anti-islam souille le site de construction d’une mosquée avec du sang de porc aux Pays-Bas

Le mouvement anti-islam Pegida a provoqué l’indignation aux Pays-Bas en souillant dans la nuit de samedi à dimanche avec du sang de porc le lieu où doit être construit une mosquée .

Des membres du mouvement controversé se sont rendus sur le terrain de la future mosquée à Enschede et ont organisé un rituel lors duquel un homme habillé en prêtre a barbouillé à l’aide d’une brosse de toilette une croix en bois installée par ses acolytes, avec du sang de cochon. Les membres avaient également monté une tente qui leur servait « d’église ».

Les auteurs ont ensuite partagé une vidéo de leur « rituel » islamophobe sur Twitter et Facebook. Tôt le matin, la police s’est rendue sur place pour enlever la croix d’après des témoins.

Selon le maire de la ville, Onno van Veldhuizen, il s’agit d’« une action dégoûtante et digne du Ku-Klux clan ». Quatorze personnes auraient participé à ce rituel écœurant.

La nouvelle mosquée d’Enschede devrait être la plus grande des Pays-Bas. Le voisinage s’est opposé pendant longtemps à la construction de la mosquée par crainte des nuisances sonores, notamment lors de l’appel à la prière. Malgré les plaintes des riverains, le conseil municipal a récemment donné son feu vert à la construction de la mosquée qui sera inaugurée, selon les prévisions, en 2020.

Source

Domenico G., le djihadiste "branché combat" qui a voulu aider Abaaoud

Juste après les attentats de Paris, auxquels il a participé, Abdelhamid Abaaoud a pris le métro parisien pour revenir sur les lieux de l'attaque.

 

Après deux ans d'enquête, la justice a mis au jour de troublants liens entre ce Français d'origine italienne et le coordinateur du 13-Novembre. L'Express retrace le parcours de ce djihadiste inspiré "par la mafia napolitaine".

Il était au courant de la préparation des attentats du 13 novembre 2015. Depuis la Syrie, ce djihadiste français a même essayé, les deux jours suivants, d'aider Abdelhamid Abaaoud, le coordinateur des tueries, alors que ce dernier se terrait dans un buisson à Aubervilliers (Seine Saint-Denis). Pour cela, Domenico G. -alias "Abderrahmane al-Italy"- a sollicité, voire manipulé, sa soeur aînée pour qu'elle aille à la rencontre du terroriste. Et lui a fait ainsi courir le risque de devenir complice et de finir en prison.  

Comme l'a révélé Le Parisien, de longues investigations ont été menées ces deux dernières années sur Domenico G., 32 ans, Français d'origine italienne, converti à l'islam en 2012. Elles avaient pour objectif d'éclairer le parcours erratique et l'emploi du temps d'Abaaoud les cinq derniers jours précédant sa mort, lors de l'assaut du Raid à Saint-Denis. 

Un homme prêt à tout, "quitte à sacrifier ses enfants"

L'enquête permet de démontrer que le terroriste a tenté d'activer ses réseaux tous azimuts pour trouver une planque et préparer une nouvelle attaque. Selon l'analyse de l'une de ses lignes téléphoniques belges, Abaaoud a été en contact à de nombreuses reprises avec Anne-Marie G.*, 40 ans, une soeur de Domenico. Cette employée de bar a affirmé aux enquêteurs qu'elle ignorait totalement l'identité de son interlocuteur.  

En fait, c'est son frère Domenico qui l'a incité à prendre rendez-vous avec l'utilisateur du numéro, qu'il a présenté comme "un ami tranquille", sous prétexte de récupérer une somme d'argent. Les policiers pensent qu'il s'agissait d'un subterfuge pour aider Abaaoud -alors en cavale- à se cacher. Malgré les injonctions de son frère et une relance d'Abaaoud par SMS, la rencontre n'aura jamais lieu. Le cadre de Daech trouve finalement du soutien auprès de sa cousine, qui sera tuée en même temps que lui par les policiers. 

Mais Anne-Marie G. est restée traumatisée par l'épisode, stupéfaite du mauvais coup que lui a joué son cadet. Entendue en garde à vue fin novembre 2015, elle a finalement été remise en liberté sans charges retenues contre elle. Elle en a gardé une amertume contre ce frère, "prêt à tout" pour Daech, "quitte à sacrifier ses enfants", selon le témoignage de l'un de ses copains de quartier. 

Le 13 novembre, il appelle ses proches

Pendant un temps, les policiers se sont demandés si Domenico n'avait pas contribué au financement de la cause djihadiste, notamment par le biais de ses allocations familiales. Parti en Syrie dès février 2015, avec sa femme enceinte de cinq mois, "Abderrahmane al-Italy" a continué à percevoir mensuellement des prestations sociales de la CAF de Seine Saint-Denis. 

Le 5 novembre, selon un procès-verbal que L'Express a consulté, son compte bancaire est crédité de 612,44 euros. Plus surprenant, les enquêteurs découvrent, grâce à la vidéosurveilllance, qu'une jeune femme a retiré 450 euros sur le compte de Domenico, le 13 novembre, en fin d'après-midi. Si l'on ignore la destination finale de cette somme, l'enquête révèle que Domenico avait appelé sa soeur, la semaine précédente, pour lui demander de lui transférer en Syrie le montant de ses allocations familiales. Le 13 novembre, toujours, le djihadiste téléphone à plusieurs membres de sa famille. Dans quel but? Mystère.  

Un membre des "garagistes djihadistes" du Val-d'Oise

Sans être considéré comme un membre influent de Daech, Domenico G. est un proche de plusieurs djihadistes français cités dans des dossiers d'attentats. Avant de rejoindre le groupe terroriste, en passant par l'Italie et en prétextant d'ouvrir un magasin de chaussures à Milan, il semble se radicaliser entre 2013 et 2014 au contact du "groupe des garagistes" de Saint-Brice-sous-Forêt (Val-d'Oise). Son casier judiciaire comporte quelques mentions pour des délits de droit commun. 

L'homme est embauché en tant que mécanicien au sein de la société Auto services plus, un repère d'islamistes radicaux. Parmi eux, se trouvent Adrien Guihal, la "voix" ayant revendiqué depuis la Syrie l'attentat de Magnanville (juin 2016), et Macrème Abrougui, dont le nom apparaît dans la tentative avortée d'attaque d'une église à Villejuif (avril 2015). "A partir de ce moment, il regardait assidûment des vidéos de l'Etat islamique, affectionnant Daech, dont il évoquait la nécessité de rejoindre la cause pour combattre à leurs côtés", écrivent les enquêteurs dans un procès-verbal. 

"Pour lui, voler ce n'était pas grave si la victime est non-musulmane"

Très vite, le jeune apprenti prend ses distances avec les fidèles de la mosquée de Villiers-sur-Marne, où il avait ses habitudes. Il trouve ses anciens amis "pas assez pieux" ou leur reproche de fréquenter un institut religieux dont les cours dispensés sont mixtes. "Pour lui, voler ce n'était pas grave si la victime était un non-musulman [...] Domenico reprochait aux 'frères' de côtoyer des 'kouffars'", raconte aux policiers l'un des proches, mis en garde contre son côté "trop extrémiste."  

"Abderrahmane al-Italy" n'est pas très féru de théologie. Selon un autre de ses intimes, "il ne lisait jamais de livres" et passait son temps à surfer sur sa tablette. " Il était vraiment branché combat. La partie théorique ne l'intéressait que peu. Lui, c'était le djihad, les armes, la mafia napolitaine... Tout cela l'inspirait." En parallèle, il participe aux activités de Sanâbil, une association d'aide aux prisonniers musulmans dissoute récemment pour ses liens avec la mouvance djihadiste. 

Aux dernières nouvelles, fautes de renseignement sur son sort lors de la débâcle militaire de Daech en Syrie, Domenico G. est toujours considéré comme vivant. Selon une source judiciaire, il reste visé par un mandat de recherche international. Non pas dans le cadre de l'enquête sur le 13 novembre, mais pour "participation à une association de malfaiteurs en vue de préparer des actes de terrorisme". 

* Prénom modifié 

Boris Thiolay et Jérémie Pham-Lê

Source

Ils se sont dit oui !

 

Voilà des clichés qui méritent un concours de légende :

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2 ans après le massacre au Bataclan : "L'islamisme n'est pas une chose grave"

 

MMediapart choisit mal son moment... Mis en cause dans l'affaire Tariq Ramadan, à propos des frasques duquel les journalistes sont accusés d'avoir sciemment fermés les yeux, Jade Lindgaard, co-présidente de la Société des journalistes de Mediapart, refuse de s'indigner contre l'islamisme en invoquant la neutralité journalistique :

"Notre rôle de journaliste n'est pas de dire : ça c'est grave, ça c'est moins grave, ça c'est tragique, ça c'est terrible".

Natacha Polony lui a rappelé les réactions d'Edwy Plenel à la tuerie perpétrée dans la rédaction de Charlie Hebdo le 7 janvier 2015.

"Dès le lendemain de l'attentat, [ses textes] mettaient en avant l'islamophobie, comme si c'était le contexte d'islamophobie en France qui avait causé les attentats. [...] Edwy Plenel a toujours présenté les faits comme si c'est parce qu'il y avait une forme de 'racisme d'État' en France que des musulmans…"

En réponse, Jade Lindgaard revendique "la notion de racisme d'État", dénonçant un "système généralisé de racisme dans ce pays" : "ça, nous le pensons". Puis assure

"l'islamisme, en tant que tel, n'est pas en soi une chose grave, c'est un phénomène qu'il faut comprendre et expliquer".

Le 13 novembre 2015, des musulmans massacraient à Paris 130 personnes et en blessaient 413 blessés.

La video

Signez la lettre ouverte adressée à M. le Premier Ministre : Il faut un moratoire sur l’immigration!

 

La pétition en cliquant ici

Le prêche de l’imam Macron à Abou-Dhabi

L’avez-vous remarqué ? Lorsque notre bien trop jeune Président dont improvise son visage devient illuminé et sa parole, sinon mystique, un peu déjantée. Il me rappelle Albert Dupontel dans « Président » ou dans « Au revoir là-haut » jouant des personnages hallucinés ou hors-terre !

Hier, c’était dans une tranchée allemande, aux côtés du président Steinmeier où, sachant qu’il était filmé en direct, est parti dans une phraséologie politico-poétique pour expliquer les désastres de la guerre 14-18 et la formidable amitié franco-germanique. Avant-hier, à Abu-Dhabi, devant un parterre d’hommes vêtus de leur dishdash, il a emparé le glaive pour défendre l’islam.

Il inaugurait alors le Louvre des Émirats. Pas une mosquée. Pourquoi donc a-t-il achevé son beau discours intellectuel par cette envolée incompréhensible pour un président français censé défendre nos valeurs traditionnelles face aux valeurs arabo-musulmanes.

« Ce Louvre de la lumière et du désert, c’est ce message envoyé contre tous les obscurantismes, ce courage que vous avez voulu, celui de remettre votre religion dans ce qu’elle a toujours fait et que vous venez de rappeler…Ce message d’un syncrétisme profond, on ne peut pas aimer la religion qui est la vôtre si on ne se rappelle pas que dans cette région tous les grands monothéismes sont nés et que l’islam est né de ce palimpseste de cultures et de civilisations qui font que de manière indétricotable, irréductible, nos religions sont liées, nos civilisations sont liées. ET QUE CEUX QUI VEULENT FAIRE CROIRE, OÙ QUE CE SOIT DANS LE MONDE, QUE L’ISLAM SE CONSTRUIT EN DÉTRUISANT LES AUTRES MONOTHÉISMES SONT DES MENTEURS ET VOUS TRAHISSENT… »

Emmanuel Macron a voulu faire savant, selon son habitude, en appelant à la rescousse de son argument le terme de palimpseste. Mais peut-on lui rappeler que ce mot signifie exactement le contraire de ce qu’il souhaitait dire à cette assemblée de pieux hommes. Un palimpseste, selon le site des Études Littéraires est « un parchemin manuscrit dont on a effacé la première écriture afin d’écrire un nouveau texte ». Et c’est exactement ce que Mahomet a fait en rédigeant son Coran. Il a fait un copié-collé de la Torah et de la Bible pour en réécrire de nombreux passages et détruire ainsi les textes saints, originaux.

Alors qui ment effrontément, comme il en a l’habitude derrière un regard bleu regard tourné vers les cieux, le sourire figé ? Qui est celui qui nous trahit pour plaire à une assemblée prête à le suivre dans sa démonstration politico-religieuse ?

Comment Emmanuel Macron peut-il affirmer que l’islam n’a pas, historiquement, conquis une partie du monde au fil du sabre pour imposer sa version revue et corrigée de la Bible et de la Torah ?

Comment peut-il, enfin, faire une propagande éhontée de cette religion-code-de-vie, en reconnaissant que le Coran est la dernière révélation divine, annulant ainsi le passage du Christ sur terre au profit du dernier prophète Mahomet… Et puis dire que les trois religions monothéistes sont nées, ici, en Arabie, c ‘est une fois de plus, pour M. Macron, bien mal connaître la géographie !

Les imams et fidèles musulmans français doivent être fiers de leur Président… Pas nous !

Floris de Bonneville

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Ma cathédrale à La Mecque ?

Certains s’en souviennent-ils, il y a bien maintenant plus d’une vingtaine d’années, j’avais lancé la revendication inscrite sur les banderoles de Chrétienté-Solidarité : « Une cathédrale à La Mecque ».

 

Ceci en légitime exigence de réciprocité avec l’islam construisant à Rome une mosquée avec un minaret très élevé. J’avais à cette fin demandé à être reçu à l’ambassade d’Arabie saoudite à Paris. Les deux conseillers qui me reçurent, après m’avoir fait servir un bon café, manquèrent de s’étouffer dans le leur lorsque je leur fis part de l’objet de ma visite. 

 

Les années passèrent et, faute dans l’immédiat de pouvoir espérer une mosquée à La Mecque, je sollicitai alors épistolairement le richissime prince Al Walid Bin Talal Bin Abdulaziz Al Saoud. Ce dernier, pour la plus grande joie de Nicolas Sarkozy, venait de financer au Louvre des salles des arts de l’islam, notamment pour faire passer le message d’un islam de paix et de tolérance. 

 

Avec lui aussi, j’usais d’arguments de la réciprocité. Regrettant, faute de cathédrale, qu’aucune église ne soit construite en Arabie saoudite, je lui demandais d’intercéder pour le moins en faveur de la construction à Ryad du musée d’art chrétien que je sollicitais. Le prince ne me répondit pas.

 

Voilà qu’il a été arrêté et emprisonné dans le cadre de la grande épuration menée par le prince Bin Salman, qui devrait, sauf retournement fâcheux pour lui, bientôt monter sur le trône. Certes un « musée du Louvre » vient d’être inauguré à Abu Dhabi, un des « émirats arabes unis », par Emmanuel Macron. Mais ce n’est pas en Arabie saoudite et ce n’est pas un musée des arts chrétiens. 

 

Pour l’heure, espérons donc que le probable nouveau monarque, qui annonce une volonté de remise en cause du rigorisme wahabiste, aura à cœur de la concrétiser par la mise enfin en chantier d’une cathédrale à La Mecque ou tout au moins à Ryad ou à Djeddah. 

 

Et de même, en y faisant construire un musée des arts du christianisme. 

 

 

Sur la décision du Conseil d’État de retrait de la croix du monument à Jean-Paul II de Ploërmel.

 

Nous avons eu la joie mercredi dernier d’une belle émission sur Radio-Courtoisie avec Jean-Louis Harouel à propos de son livre « Droite-gauche, ce n’est pas fini ». Jean-Louis Harouel est un éminent juriste, agrégé des facultés de droit et professeur émérite de droit constitutionnel à l’université de Panthéon-Assas.

 

Après l’article de l’avocat Gilles-William Goldnadel qualifiant la décision du conseil d’État de « prétexte juridiquement insensé du respect de la laïcité », il développe pour sa part les raisons de son opposition à cette mesure dans un important article dans Valeurs Actuelles du 9 novembre.

 

Pour cet éminent constitutionnaliste, il s’agit d’une interprétation de la loi de 1905 par des « laïcistes » s’inscrivant « dans l’actuelle chasse hystérique aux crèches et aux croix, qui manifeste une peur panique des traces religieuses de notre histoire et de notre géographie ». 

 

En convergence avec ceci, Monseigneur Jeanbart, l’archevêque grec catholique d’Alep en Syrie, a notamment déclaré : « Votre laïcité est malade ! ».

 

C’est en effet peut-être désormais aux chrétiens de se mobiliser pour une saine laïcité contre les laïcards qui font de leur laïcisme une idéologie de guerre civile.

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Prières de rue à Clichy: des responsables musulmans vont porter plainte

L'Union des associations musulmanes de Clichy-la-Garenne (UAMC) va déposer plainte contre X pour violence aggravée après un rassemblement d'élus contre les prières de rue dans cette ville, et contre le maire pour diffamation et incitation à la haine raciale, a annoncé lundi leur avocat à l'AFP.

Une centaine d'élus en écharpe tricolore ont tenté vendredi dans cette ville des Hauts-de-Seine d'empêcher des fidèles musulmans de faire leur prière dans la rue. Ces fidèles protestent contre la fermeture en mars de leur lieu de culte en centre-ville.

"Il est patent que les élus qui manifestaient (...) ont commis des actes de violence à l'encontre des personnes de confession musulmane, avec pour unique raison leur appartenance vraie ou supposée à cette religion", est-il écrit dans la plainte contre X qui sera déposée auprès du parquet de Nanterre et dont l'AFP a eu une copie.

La plainte va aussi être déposée pour "participation à un groupement formé en vue de la préparation d'actes de violences" et "manifestation illicite".

L'UAMC a en outre décidé d'attaquer le maire de Clichy-la-Garenne, Rémi Muzeau (LR), pour diffamation et incitation à la haine raciale.

L'association reproche à l'édile d'avoir porté des accusations graves à l'encontre des musulmans de sa ville, sur LCI vendredi dernier.

"Il y a eu des prêches en arabe, des prêches avec des appels au meurtre", avait-il assuré. "Il y a eu aussi des documents qui ont été mis dans la rue, qu'on a récupérés, avec des phrases terribles où on disait +si vous rencontrez un juif, tuez-le+, j'ai les documents", avait-il poursuivi.

Par ces propos, M. Muzeau a éveillé "un sentiment de haine et de crainte envers la communauté musulmane", détaille la plainte.

La manifestation des élus contre les prières de rue est "une manipulation de la droite et de l'extrême-droite visant à stigmatiser les musulmans", a assuré l'avocat de l'UAMC, Arié Alimi, à l'AFP.

Depuis mars, l'UAMC a été expulsé de sa salle de prière par la mairie qui souhaite y construire une médiathèque.

Le lieu accueillait jusqu'ici entre 3.000 et 5.000 fidèles d'après les responsables. Ils s'étaient vu proposer un autre lieu de culte, les Trois-Pavillons, géré par une autre association cultuelle à 1,5 km du centre-ville. L'UAMC juge cette mosquée excentrée, trop exiguë et ne respectant pas les normes de sécurité, ce que le maire récuse.

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