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vendredi, 17 novembre 2017

Pour Jade Lindgaard, l’islamisme n’est pas grave. Qu’en pensent les victimes ?

Dans l’émission « C l’hebdo » (France 5), samedi dernier, Jade Lindgaard, journaliste à Mediapart – et auteur d’un bouquin, si l’on en croit Wikipédia, sur le réchauffement climatique, mais qui s’intéresse semble-t-il, aussi, à l’échauffement islamique…

Jour après jour, mois après mois, année après année, il est indéniable que des paliers sont franchis. Aujourd’hui, on peut donc affirmer posément sur une chaîne grand public que l’islamisme n’est « pas grave » sans que le CSA ne s’en émeuve, sans qu’aucun homme politique ne fasse une déclaration indignée, sans que personne, pour résumer, ne réagisse réellement en dehors de la « fachosphère » – qui, par définition, ne compte pas, parce qu’elle, au contraire, est grave, très grave, tragique, terrible. Et là, attention, c’est le rôle du journaliste de le dire. De le crier, même, sur tous les toits.

Oui, on peut donc « dédramatiser » l’islamisme à la télévision, vanter, par antonymie, sa bénignité, sans grand dommage ni grand courage, même flanquée sur la gauche d’une Élisabeth Lévy médusée et sur la droite d’une Natacha Polony ébahie.

Mais Jade Lindgaard compte-t-elle aller l’expliquer, de visu, avec la même candeur pleine d’aplomb, aux parents des deux jeunes filles sauvagement assassinées le mois dernier devant la gare Saint-Charles ?

Et, en ce mois de novembre, aux familles réunies à Paris pour commémorer le Bataclan ? L’islamisme, chers amis, ce n’est pas grave !

Et au mois de janvier, devant les locaux de Charlie Hebdo : l’islamisme, ça ne peut pas avoir de « conséquences fâcheuses » ni « entraîner de suites dangereuses » (c’est bien ainsi, non, que le Larousse définit la gravité ?).

 Et au mois de mars, à Toulouse, face à l’école Ozar Hatorah : « L’islamisme est un phénomène qu’il faut comprendre et expliquer. »

Et au mois de juin, tant dans l’Isère où un patron a été décapité qu’à Magnanville où un couple de policiers a été poignardé : « L’islamisme, en tant que tel, n’est pas, en soi, une chose grave. »

Et encore au mois de juillet à Nice, sur la promenade des Anglais puis en Normandie, dans l’église Saint-Étienne-du-Rouvray. L’islamisme n’est pas « important » ni « sérieux » (synonymes de « grave », selon le Littré).

Et enfin à Barcelone, à Londres, à Bruxelles, à Berlin, à Copenhague : « no es grave, nicht ernst, not serious ! » Mais pourquoi tous ces braves gens reniflent-ils dans leur mouchoir ? Puisqu’on leur dit, sapristi, que ce n’est pas grave ! Smile! Qu’il suffit de comprendre et d’expliquer. « Understand and explain, OK? » Ce n’est pourtant pas compliqué !

Autant que traquer les fake news, la moindre des honnêtetés consisterait à lutter contre les fake words, et ceux qui en usent sans vergogne, et en toute impunité, journalistes de la sanctosphère, gentillosphère, gauchosphère, complices d’une désinformation à dose filée par euphémisation d’une extrême… gravité.

Gabrielle Cluzel

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Quand le halal monte en gamme

 

La video en cliquant ici

Toulon le 29 novembre : L'Islam un défi pour l'identité chrétienne

 

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Saint-Denis : Chronopost ne livre plus les zones de non-droit tombées sous la coupe de la « diversité »

Des habitants de certains quartiers de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) sont en colère. Depuis plusieurs mois, ils se plaignent de ne pas recevoir à leur domicile des colis commandés via Chronopost.

La filiale du groupe La Poste aurait décidé de ne plus procéder aux livraisons dans les quartiers qu’elle considère « à risques », comme la cité du Franc-Moisin, du Delaunay-Belleville et d’autres… C’est-à-dire les zones de non-droit que les gouvernements successifs ont laissé se constituer et qui sont tombées sous la coupe des bandes ethniques qui y font régner leur « loi ».

Une « liste » de quartiers jugés sensibles à éviter

Thomas, un habitant du quartier Delaunay-Belleville, raconte au quotidien qu’il a tenté à deux reprises ces derniers mois de se faire livrer chez lui des couches pour bébé. A chaque fois, le colis est déposé au bureau de Poste situé à plus de 3 km de son domicile. « Je les ai contactés par Twitter et j’ai appris qu’ils avaient établi une liste de « quartiers sensibles » où les livraisons à domicile ne sont pas assurées », a-t-il expliqué.

Dans un courrier envoyé cet été à la mairie de Saint-Denis, le PDG de Chronopost aurait confirmé que l’entreprise avait dressé une « liste » de quartiers jugés sensibles à éviter. « Le 4 janvier 2017, un chauffeur a été agressé par trois individus à Saint-Denis », aurait-il expliqué. « Ceinturé » puis « immobilisé » contre un mur, le livreur aurait reçu des coups de poing avant d’être défaussé d’une partie de sa marchandise

Policiers, pompiers, médecins, postiers : égalité ! Tous agressés et dépouillés !

Sans honte Madjid Messaoudene, conseiller municipal délégué à l’égalité des droits à Saint-Denis (ça ne s’invente pas), s’indigne de la situation dont pourtant les siens, nouveaux envahisseurs et colons, sont les premiers responsables. Il ne se satisfait pas de la réponse de l’entreprise : « On ne peut pas condamner tout un secteur parce qu’un livreur a été agressé ».

En réalité il s’agit de plus de 51 chauffeurs qui ont été victimes de vols avec violence l’an passé ! Ça fait quand même plus qu’un seul livreur ! Certes il s’agit d’une évaluation concernant tout le territoire national mais on peut se douter que Saint-Denis figure en tête du palmarès.

Et il a demandé à Chronopost l’accès à cette fameuse liste. Sans doute pour pouvoir hurler à la discrimination lorsqu’éclatera la triste réalité de l’adéquation entre les quartiers colonisés par les envahisseurs extra-européens et les zones d’insécurité ne permettant plus aux préposés de Chronopost d’accomplir leur mission en toute sécurité ?

Le délégué du Défenseur des droits  en Seine-Saint-Denis aurait également été saisi par des habitants pour statuer sur cette affaire.

Il est plus que temps de lancer la reconquête et de les foutre dehors.

La France aux Français !

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L’ONG Oxfam, complice de l’invasion de l’Europe

 

Tariq Ramadan n’a pas harcelé l’épouse d’Edgar Morin, alors de quoi se plaint-on ?

Jany Leroy

Pas très à l’aise dans ses baskets de sociologue-philosophe, le gars Edgar Morin. Ses deux ouvrages cosignés avec Tariq Ramadan pourraient faire un peu désordre sur les étagères des bibliothèques. Mais il a « horreur du lynchage médiatique ». Nous aussi… Quoique « tant de fumée sans feu serait bien surprenant », nous dit un pompier de la région parisienne régulièrement caillassé par des représentants de cette religion dont Edgar nous explique qu’elle n’est pas si pire que le christianisme… Le philosophe est parfois farceur.

Sans aucune réserve sur la réalité des accusations, Edgar Morin droit dans ses babouches « était et reste très content de contribuer à établir un pont entre des cultures ou modes de pensée qui ne se comprennent pas… et où, même, l’incompréhension progresse de part et d’autre ». Prêt à témoigner au procès. Le pont ne tient plus que par des bouts de ficelle et ce ne sont pas les quelques supposées harcelées ou violées qui passent en dessous qui le feront s’écrouler. Tant d’efforts réduits en cendres par on ne sait quelles bonnes femmes, peut-être mythomanes, sans doute provocatrices et islamophobes… Ça, jamais !

« Lors de nos entretiens enregistrés, mon épouse avait tenu à y participer en l’interrogeant sur sa position (!) par rapport à l’égalité des femmes, ce sur quoi il avait développé une réponse en accord avec nos principes… » Ouf ! Devant une tasse de thé, l’islamologue suisse développait des idées de toute beauté. Un vrai délice. Langage châtié, petit doigt en l’air, après vous, je n’en ferai rien… Information capitale à verser au dossier : Tariq Ramadan n’a en rien harcelé et encore moins violé la femme d’Edgar Morin. Et ce ne sont pourtant pas les occasions qui lui ont manqué ! Lorsque le philosophe-sociologue allait rechercher des « P’tits LU » dans le placard de la cuisine, Tariq restait seul avec l’épouse… Alors, Monsieur le Juge ? N’est-ce pas la preuve que nous sommes face à une campagne de calomnie honteuse ?

« Huissier, faites entrer madame Morin… »

 La naïveté du philosophe amateur de « P’tits LU » est confondante. Les exactions et brimades en vigueur dans de nombreux pays islamisés s’effacent tout à coup parce qu’un théoricien plutôt ambigu ne contredit pas l’intellectuel occidental avide de bons sentiments et de ponts chancelants. Que croyait-il ? Que Ramadan allait tranquillement défendre la domination masculine sans partage, le droit de cuissage et la pédophilie ?

Edgar Morin a deux bouquins sur les bras. Deux annuaires bourrés de théories superbes, chacun fourni avec un plan de montage du pont entre « des cultures qui ne se comprennent pas »… Pour bricoleurs, exclusivement.

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L’édito du jour – La religion source de conflits en entreprise

Un article de l’express du 22 octobre 2017 révèle que la religion est source de conflits en entreprise. Une source de conflits croissants, même. Toutefois, si l’étude est factuelle quant aux faits et aux problèmes, elle passe sous silence que ces tensions viennent, pour une écrasante majorité des cas, des revendications musulmanes. Point contextuellement compréhensible dans la mesure où ces derniers croissent notablement dans la population active et que parallèlement les revendications identitaires musulmanes sont de plus en plus marquées dans la société dans son ensemble. Ce que François Billot de Lochner pointe du doigt dans son dernier ouvrage chronique de l’islamisation de la France. A cela nous pouvons ajouter que notre conception du travail et de son organisation sont nées progressivement en milieu catholique, même si la tendance à la déchristianisation a pu mettre à mal le repos dominical, la place de la famille ou encore les fêtes chômées. Les musulmans sont moins naturellement à l’aise dans nos cadres traditionnels. Mais alors que les autres religions, non chrétiennes, ne posent pratiquement aucun problème, la nature même de l’islam qui ne conçoit pas la laïcité ne conçoit pas non plus la neutralité qui est l’expression de la laïcité dans l’entreprise. Les entreprises ne sont pas des îlots coupés de la société dans laquelle elles s’insèrent. Elles sont perméables au climat ambiant.

Si le fait religieux, ainsi dénommé, pose problème dans sa version musulmane, on ne peut cependant pas dire qu’elle soit sans aspérité pour les juifs et les catholiques. D’une part les autres religions, comme les non croyants, sont de plein fouet confrontés aux problèmes posés par l’islam dans leur entreprise, d’autre part, il peut exister une tendance défensive à entrer soi-même dans la revendication, afin justement de ne pas laisser l’islam empiéter sur les autres revendications religieuses, ou sous prétexte de justice, afin d’avoir « comme les autres ».

L’institut Montalembert, met à jour presque chaque mois un Vademecum sur le fait religieux en entreprise. Vademecum que vous pourrez trouver dans notre rubrique formation. Avant que cette question n’exaspère les crispations, il est important de connaître le droit en la matière. Un droit qui, ici, est un vrai secours pour tout manager.

 

Cyril Brun, rédacteur en chef

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Peut-on récuser un jury parce qu’il ne comprend pas assez de musulmans ?

Philippe Kerlouan
 

Un quotidien britannique nous apprend qu’un homme, condamné pour viol et menaces de mort envers son épouse, a fait appel. Quoi de plus normal, direz-vous : l’appel est une voie de recours habituelle dans la procédure. En l’occurrence, c’est le motif de l’appel qui peut surprendre : le jury, majoritairement composé de catholiques blancs, était trop « homogène » et ne comprenait pas assez de musulmans !

Ce n’est pas une fausse nouvelle ni l’invention d’un site d’information parodique. C’est un fait rapporté par le très sérieux journal The Times, qu’on ne peut soupçonner de tomber dans l’islamophobie primaire.
Ainsi donc, à Londres, on peut faire appel si l’on estime que le jury n’est pas assez représentatif de la diversité. Passe encore qu’on récuse, avant le procès, quelques jurés susceptibles de n’être pas suffisamment impartiaux. Mais, dans cette affaire, le problème posé est bien plus grave qu’une simple récusation.
Le fait même qu’un tel argument puisse être tenu montre qu’il est susceptible a priori d’être entendu. Serait-ce le signe d’une société où non seulement le multiculturalisme est entré dans les mœurs, mais où l’idée qu’on ne jugerait pas les choses de la même façon selon sa religion passe pour naturelle ?
Allons jusqu’au bout du raisonnement. On peut mettre en doute des preuves ou les discuter mais, si le viol est incontestable, il devrait rester un crime quelle que soit la religion de l’accusé ou des jurés. En faisant appel, l’avocat du prévenu espère un jugement plus clément. Ce qui suppose qu’un membre du jury pourrait, en fonction de sa religion, se montrer plus ou moins indulgent face au viol ou aux mauvais traitements infligés à une femme. 
 Pire : un tel appel laisse entendre qu’un juré de confession musulmane pourrait mieux comprendre l’attitude de l’accusé. Son avocat, en utilisant ce recours, présume que le viol pourrait être moins lourdement condamné par des adeptes de cette religion.
Certes, on reconnaît généralement que la femme, dans l’islam, est par nature inférieure à l’homme. Une sourate est très explicite à cet égard : « Les hommes ont autorité sur les femmes à cause des qualités par lesquelles Dieu les a élevés au-dessus d’elles. » Ce qui n’est pas acceptable dans nos sociétés occidentales.
Mais on ne sache pas que le Coran prévoie expressément que les musulmans puissent violer leurs femmes – à moins qu’on ne prenne modèle sur les combattants de l’État islamique qui prient avant et après avoir violé leurs captives, en assurant que ces pratiques sexuelles satisfont Dieu.
La Justice se doit d’être universelle. Elle doit tendre à s’approcher de la vérité. En acceptant de tels recours, l’institution admet implicitement le relativisme de notre droit. Voilà qui donne raison, une fois de plus, à Pascal qui résumait l’incapacité de l’homme à trouver la justice dans sa formule devenue proverbiale : « Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà. » À part que, dans cette circonstance, c’est à l’intérieur d’un même pays que des divergences de jugement pourraient se manifester.
Verra-t-on bientôt, en France, des recours exercés pour de tels motifs ? Il faut souhaiter que la Justice reste assez lucide pour ne pas céder à ce type d’arguments. Il y va de l’intérêt même des Français de confession musulmane.
Chaque fois qu’on cède sur les principes, que ce soit pour des raisons d’ordre religieux ou, plus généralement, au nom d’une idéologie, on entre un peu plus dans l’engrenage qui broie les valeurs fondamentales de notre société.

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Clermont-Ferrand : une stèle en mémoire du délinquant Wissam El-Yamni

Un monument doit être inauguré ce week-end, au cœur de Clermont-Ferrand, à la mémoire de Wissam El-Yamni. Une perspective qui suscite des réactions en chaîne. Presque six ans se sont écoulés, mais le sujet reste éminemment sensible. Wissam El-Yamni est décédé le 9 janvier 2012, au CHU, neuf jours après son interpellation mouvementée dans le […]

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Les prières musulmanes illégales doivent cesser, sinon, tous à Clichy le 24 novembre, à 12 heures !

Communiqué de Résistance républicaine et de Riposte laïque Le scandale dure depuis 8 mois. Tout a été tenté pour faire cesser l’intolérable, l’inacceptable. Même des élus, munis de leur écharpe tricolore ont essayé de faire entendre raison aux délinquants qui bafouent la République et ses lois semaine après semaine, alors qu’il y a déjà 1 […]

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Grande manifestation «Face aux islamistes : Défendons l’Europe !» à Paris le 25 novembre

 

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Islamisme : rien ne va plus entre Charlie et Médiapart

C'est un grand coup de gueule que le dessinateur Riss, patron de Charlie Hebdo, a poussé hier dans son éditorial, contre Médiapart, et plus particulièrement de son directeur, Edwy Plenel. Et il dénonce «un appel au meurtre.»

 

Voilà qui met en lumière une fracture profonde au sein de la gauche entre les défenseurs de la laïcité qui dénoncent les ravages de l'islamisme, et les «islamo-compatibles» qui accusent les premiers d'islamophobie. Une faille qui existe depuis longtemps, mais qui s'est brutalement rouverte avec l'affaire Ramadan. Cet «islamologue», qui semble avoir séduit une part de l'intelligentsia française, – notamment Edwy Plenel – malgré ses attaches indéniables avec les éléments d'un islamisme extrême, a été accusé d'agressions sexuelles.

Les indulgences de Médiapart pour Ramadan ont suscité une «une» de Charlie qui caricature Edwy Plenel : «Affaire Ramadan, Médiapart révèle : on ne savait rien.»

 

Réplique d'Edwy Plenel : il accuse «une gauche égarée, une gauche qui ne sait plus où elle est, alliée à une droite voire une extrême droite identitaire, trouvant n'importe quel prétexte pour en revenir à leur obsession : la guerre aux musulmans, la diabolisation de tout ce qui concerne l'islam et les musulmans».

«Cette phrase, ( la guerre aux musulmans) nous ne la pardonnerons jamais», a répliqué le directeur de Charlie Hebdo, Riss, blessé dans l'attentat du 7 janvier. «Cette phrase n'est plus une opinion, c'est un appel au meurtre».

«Tout le monde est sous protection actuellement, et désigner les gens de Charlie comme des gens qui font une guerre aux musulmans est un scandale», a abondé l'ancien directeur du journal, Philippe Val.

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Alain de Peretti : « Placée en garde à vue, la secrétaire de Vigilance Halal va porter plainte »

 

Le document audio en cliquant ici

Le Formule 1 de Chanas loge les « migrants » et laisse les Français dehors

Bonnes gens, sachez que l’hôtel « Formule Un » de Chanas (Isère) vient d’être réquisitionné pour loger des « migrants ». Au cas où vous auriez effectué une réservation à cet hôtel, sachez aussi qu’il n’y a personne qui soit intéressé pour vous avertir de devoir annuler votre réservation et vous adresser ailleurs. La mésaventure est arrivée à deux […]

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Sur les réseaux sociaux, un rappeur appelle ses fans à se rassembler à Bruxelles , ça vire à l’émeute

Des émeutes ont éclaté mercredi après-midi sur la place de la Monnaie à Bruxelles, indique la police locale. Essuyant des jets de projectiles, les policiers on été contraints de se replier. Des commerces et des voitures ont été vandalisés. La police locale demande le renfort de la police fédérale. (…) Selon le cabinet du bourgmestre […]

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Pays-Bas : Un groupe islamophobe souille une Mosquée

Pays-Bas : Un groupe islamophobe souille une Mosquée

Le terrain d’une future Mosquée au Pays-Bas a été souillé par un groupe islamophobe.

En effet, plus d’une quinzaine de personnes a participé à un rituel au cours duquel un homme habillé en prêtre a barbouillé à l’aide d’une brosse de toilette une croix en bois, avec du sang de cochon sur le terrain appartenant  au futur lieu de culte.

Le groupe islamophobe n’a pas hésité a publier la vidéo de son “rituel” islamophobe sur les réseaux sociaux.

La nouvelle mosquée d’Enschede devrait être la plus grande des Pays-Bas. Il est vrai que de nombreux riverains s’étaient opposés à cette construction mais le conseil municipal avait finalement tranché en faveur de la construction de ce lieu de culte afin de mettre fin à cette polémique. Visiblement, cette autorisation ne suffit pas à un bon nombre d’islamophobes qui pense avoir le droit de se filmer en train d’insulter la confession d’une minorité de leurs concitoyens.

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Londres : un migrant syrien ayant obtenu l’asile condamné à 16 mois de prison pour une série d’agressions sexuelles

Un réfugié syrien a commis une série d’agressions sexuelles un mois après que lui et sa famille aient reçu un asile spécial «accéléré», il a été condamné à 16 mois de prison. Quelques semaines après son arrivée en Grande-Bretagne, Hasan Alkhabbaz a agressé six femmes dans le métro de Londres. L’homme de 22 ans se […]

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Dortmund (All.) : un chien policier permet l’arrestation de 4 migrants irakiens suspectés d’agression sexuelle

Dimanche dernier, à 4h du matin, des jeunes femmes ont dû se défendre contre des individus qui les ont agressé sexuellement sur le parvis de la gare de Dortmund. Après qu’elle aient alerté les autorités, le chien de la police Ivo a permis l’arrestation de trois suspects dans le Keuningpark quelques heures après les faits, […]

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Genève : un détenu sur deux est musulman

Prochaine « une » de GHI, le journal gratuit genevois

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Trappes (78) : Trois policiers blessés par un migrant

  L’histoire ne dit pas comment il en est arrivé là, mais un homme de 22 ans s’est fait remarquer par les policiers en patrouille alors qu’il était en train de mettre le feu à un pantalon de survêtement au niveau du mail de l’aqueduc à Trappes. Lors du contrôle d’identité, ils s’aperçoivent que l’homme […]

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Londres : un migrant syrien ayant obtenu l’asile condamné à 16 mois de prison pour une série d’agressions sexuelles

Un réfugié syrien a commis une série d’agressions sexuelles un mois après que lui et sa famille aient reçu un asile spécial «accéléré», il a été condamné à 16 mois de prison. Quelques semaines après son arrivée en Grande-Bretagne, Hasan Alkhabbaz a agressé six femmes dans le métro de Londres. L’homme de 22 ans se […]

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Meddeb: « L’islam, tel qui se présente à nous aujourd’hui, est fortement détestable »

 

Abdelwahab Meddeb (mort en 2014), professeur de littérature comparée, dirigeait l’émission Culture d’islam sur France Culture.  Dans Libération du 23 novembre 2006  il écrivait : »Nous avons à faire à un Prophète qui a été violent, qui a tué et qui a appelé à tuer. La guerre avec les Mecquois fut une guerre de conversion. Il y a eu aussi la guerre avec les juifs et le massacre des juifs à Médine, décidé par le Prophète (…)L’islamisme est, certes, la maladie de l’islam, mais les germes sont dans le texte lui-même. « 

Sur la oumma en terre d’islam, dans le Nouvel Observateur du 17.1.2008 :  « La crainte que suscitent les femmes et les étrangers est le signe d’une communauté grégaire fermée sur elle-même, empêtrée dans l’endogamie, la réclusion des femmes, la xénophobie »

Aussi, dans l’émission Ce soir ou jamais face à Tariq Ramadan :

« Ce que je voyais monter au fur et à mesure, un islam qui changeait de plus en plus, que je n’aimais plus, que je trouvais très inquiétant.

Les visites que je faisais en Egypte, entre l’Egypte de 1975, dix ans après 1985 je vois une Egypte totalement changée, incompréhensible pour moi, je reviens en 1997 le mal est encore pire.

La concession faite par l’islam officiel, l’islam des états, au message des islamistes, des prêches terribles que j’entendais à la télévision officielle, un certain Charaoui par exemple, un diffuseur de superstition, d’obscurantisme « tout est dans le coran de l’atome à l’électricité », des choses aberrantes !

Je suis arrivé en Egypte pour un séjour en septembre à la veille des attentats de Louxor, et quand ces attentats ont eu lieux personnellement je n’étais pas du tout surpris car j’ai eu l’impression que ces attentats étaient le passage à l’acte de tout ce que j’entendais »

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Le Monde arabo-musulman, un baril toujours plus dangereux ? (I)

Le chaudron du Moyen-Orient ne s’éteint pas. Alors que l’État islamique succombe sous les attaques « croisées » de ses ennemis, la mixture que l’on y voit bouillir prend l’apparence d’un affreux brouet immangeable. Lors des interventions américaines en Irak, la lecture de la situation était relativement claire. Les États-Unis profitaient de l’effondrement de l’URSS, pour liquider un dangereux dictateur qui menaçait, selon eux, la paix dans la région, et notamment les deux alliés les plus importants, l’Arabie Saoudite et Israël, avec de puissants moyens de destruction massive, dont on cherche toujours la trace. Saddam Hussein, membre du Baas, représentait l’une des deux branches du réveil politique arabe, dont l’origine remonte aux années 1930, le nationalisme appuyé sur les militaires. C’est lui qui avait suscité Nasser en Egypte, Assad (le père) en Syrie, Kadhafi en Libye, et Arafat en Palestine. Moscou les avait tous soutenus contre Washington et l’Occident en général, jusqu’à instrumentaliser le terrorisme. Carlos qui croupit dans nos prisons est un fossile vivant de cette époque. Que l’Amérique veuille terrasser cet ennemi n’avait rien d’étonnant. Ce qui l’était davantage, c’était la chronologie. En 2003, le dictateur de Bagdad était bien affaibli. Ses agressions contre l’Iran puis le Koweit avaient été de cuisants échecs, dont le premier constituait d’ailleurs plutôt une opération menée avec le soutien des Occidentaux. Les 58 paras français tués dans l’attentat du Drakkar en ont hélas payé le prix sous Mitterrand. Depuis 1979, l’Iran chiite avait quitté le camp occidental avec la chute du Shah, et était devenu un ennemi de l’Amérique. Depuis 2001, l’autre branche du réveil arabe, nourrie de fondamentalisme religieux sunnite, avait surgi comme un second adversaire, plus acharné encore. Le djihadisme manipulé par les Américains, aidés de leurs alliés saoudiens et pakistanais, avait servi à faire plier l’armée soviétique en Afghanistan, et voilà que la créature s’était retournée contre son maître, un certain 11 Septembre 2001. G.W. Bush se trouvait devant trois ennemis et il s’attaquait au plus faible d’entre eux, sans doute poussé par des préoccupations pétrolières autant que politiques.

L’arrivée d’Obama, alors que l’armée américaine venait de reprendre le dessus en Irak après les bourdes commises dans la foulée de l’occupation du pays, correspondit à la fois à une plus grande clarté des discours et à une inaction qui leur enlevait toute cohérence. Les Américains se retiraient militairement de l’Irak. Ils combattaient les djihadistes là où ils le devaient, mais de loin, avec des missiles, des drones ou des commandos. L’exécution de Ben Laden aura été le point fort de cette stratégie. En revanche, la situation se dégradait en Irak où se développait une guerre civile entre les sunnites chassés du pouvoir et minoritaires, et les chiites installés à Bagdad qui prenaient maladroitement leur revanche. L’ordre et la paix reculaient aussi en Afghanistan où les talibans gagnaient du terrain. Pendant ce temps, au Caire et ailleurs, Obama et ses comparses occidentaux disaient tout le bien qu’ils pensaient de l’islam, tentaient d’introduire une subtile distinction entre l’islamisme fanatique d’Al Qaïda et l’islam modéré des Frères Musulmans, que des esprits aussi « éclairés » chez nous qu’Alain Juppé, ne manquaient pas de complimenter. Nul doute que cette « religion d’amour et de paix » allait, comme elle le faisait déjà en Turquie, être à la démocratie dans les pays musulmans, ce que la démocratie chrétienne a été en pays catholique. Tous les zozos et les bobos de la terre, grands admirateurs d’Obama et de Clinton s’esbaudissaient à l’éveil du Printemps Arabe. La démocratie victorieuse du communisme allait franchir la Méditerranée, permettre l’union des riverains, sur les décombres des dictatures nationalistes du sud. Cela méritait bien l’écrasement de Kadhafi après les chutes de Ben Ali et de Moubarak. Restait Assad le fils, dont on ne ferait qu’une bouchée. Quant à l’Iran, ni arabe, ni sunnite, on comptait sur sa sagesse, et l’effet des sanctions économiques pour qu’il renonçât à l’atome militaire.

Pendant ce temps, on ignorait cette pauvre Russie, bien diminuée par le démantèlement de l’URSS, démotivée par la fin du communisme et demeurée impuissante lors de l’écrasement de ses ancien alliés, les Serbes en Europe, les Irakiens ou les libyens dans le monde arabe. Ce fut une erreur grossière de la part d’Obama et de ses supplétifs. La Russie de Vladimir Poutine n’était plus marxiste, mais elle demeurait un pays fier et puissant qui n’accepterait pas d’être humilié davantage. (à suivre)

Padamalgam : il y a une vingtaine de musulmans "de la planète entière" contre le terrorisme

 

CHier avait lieu à Paris, une marche des musulmans contre le terrorisme. Cette marche organisée pour commémorer le deuxième anniversaire des attentats du 13 novembre avait aussi pour but de s'opposer au terrorisme islamique. Cette marche partie du mur de la Paix au Champ de Mars s'est terminée au Bataclan. Organisée par l'écrivain Marek Halter, cette marche a réuni des musulmans "de tous horizons" (selon RTL) pour commémorer le deuxième anniversaire de ces attentats. Ils étaient une vingtaine (25 selon FDesouche)... RTL écrit sans honte :

"Des Imams et des musulmans de la planète entière étaient présents afin de marcher pour la paix et s'opposer au terrorisme islamique."

Mohamed Amghar a confié au micro de RTL :

"J'étais aussi invité par le maire de Saint-Denis au Stade France, mais j'ai choisi de venir ici pour marcher".

On se dispute les musulmans modérés...

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Islamo-gauchisme : c'est la guerre entre Mediapart et Charlie Hebdo

Voici le dernier éditorial de Charlie :

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L’icône américaine Barbie officiellement voilée par Mattel… quel symbole !

Le groupe Mattel vient de sortir la première Barbie portant hijab. Pour éteindre dans l’œuf toute polémique, il est précisé que celle-ci est inspirée de la championne Ibtihaj Muhammad, la première athlète voilée à avoir représenté les États-Unis (aux Jeux olympiques de Rio en 2016.) Une championne sportive ne peut être qu’un symbole de libération de la femme. Une femme en hijab est donc potentiellement une femme libérée. Fermez le ban.

Anecdotique, dites-vous ? Pas sûr.

Voiler Barbie, c’est voiler THE icône américaine. Et pourquoi pas, non plus, la statue de la Liberté ? Même si l’entreprise est en perte de vitesse, 92 % des Américaines ont eu une Barbie entre l’âge de 3 et 12 ans (Times International). Barbie – diminutif de Barbara, fille du fondateur de Mattel – a pénétré dans tous les foyers. En Europe, aussi. Quand j’étais à l’école primaire, une fille sans Barbie était comme une maison sans télévision : une anomalie suspecte.

C’est bien parce que Barbie est un enjeu, parce qu’elle symbolise pour la fillette LA femme, parce qu’elle envahit son imaginaire, parce qu’en lui servant de jouet, elle prête son apparence à l’enfant pour que celle-ci se projette dans sa vie d’adulte, que la Barbie a été au cœur de tant de polémiques féministes. Une Barbie n’est pas « extérieure » comme un poupon, elle n’est pas le bébé de la fillette, elle est la fillette elle-même.

Barbie, depuis son origine, a toujours été une femme de son temps. Enfin, une caricature de femme de son temps. Car un jouet d’imitation doit forcer le trait pour être reconnu. La poupée née dans les Trente Glorieuses, avec son nez court, sa bouche en cœur, ses cheveux blonds crêpés, son décolleté pigeonnant, sa taille exagérément fine, ses jambes vertigineusement fuselées ressemble à Tippi Hedren dans Pas de printemps pour Marnie. Si cette Barbie eut, une fois ou l’autre, la tête couverte, c’était à la façon Grace Kelly, d’un carré Hermès, pour ne pas se décoiffer dans le cabriolet.

Puis on eut droit à Barbie Carrie Bradshaw dans Sex and the City. Toujours la même plastique incendiaire, mais en version moins guindée, et c’est un euphémisme : les escarpins sont devenus cuissardes, les jupes ont rétréci jusqu’à ne plus être que timbres-poste, infiniment compliquées à enfiler sur le plastique mou pour des doigts de fillette. Dans la boîte, on pouvait trouver (entre autres accessoires) le caniche, le roller et parfois un Ken falot.

 Est venue ensuite, collant aux évolutions de la société, la diversité, tant dans la couleur de peau, la texture des cheveux, la morphologie que dans les styles de métier. Il ne s’agissait pas de cantonner Barbie à celui d’infirmière, d’institutrice, de princesse ou d’hôtesse de l’air. Même si – les petites filles étant incorrigibles – les Barbie cosmonautes se retrouvent souvent avec une étiquette rouge dans les bacs de soldes après Noël.

Barbie change, la réalité demeure : les fillettes veulent s’identifier. Je coupais, quant à moi, au ciseau à ongles les tignasses trop blondes et bouclées des Barbie pour leur donner un peu de chic français, et écartais les Ken à costume brillant façon chanteur d’ABBA – qui me semblaient faire des maris bien peu fiables – pour chercher dans les caisses de jouets de garçon des G.I. Joe plus virils. Le problème résidait évidemment, parfois, dans les palmes inamovibles, qui nuisaient passablement à la solennité du mariage. Mais, comme dirait Osgood, nobody’s perfect.

Il est évident que les petites filles du Moyen-Orient, évoluant dans un univers de femmes voilées, n’avaient pas besoin d’une « Barbie à Hijab » pour en faire une à leur main, comme moi, enfant, à la mienne. Que cherche donc Mattel par ce tonitruant nouveau modèle ? Flatter un marché à conquérir ? Suivre l’évolution de la société ? La devancer ? L’influencer ?

Au delà des intentions, il y a les faits, qu’on lira peut-être un jour à l’aune de l’Histoire : en 2017 est apparue la première Barbie voilée.

Gabrielle Cluzel

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Un simple bracelet électronique pour des revenants de Syrie dénonce Marsaud

Marsaud, fondateur du parquet anti-terroriste et ex député. 13 novembre sur RMC.

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La Mosquée de Clichy porte plainte contre le maire Rémy Muzeau

La Mosquée de Clichy porte plainte contre le maire Rémy Muzeau

Cela fait plusieurs mois que les musulmans de Clichy prient dans la rue du fait de leur expulsion violente de leur Mosquée par le maire islamophobe Rémi Muzeau.

Vendredi dernier celui-ci n’a pas hésité à charger les prieurs pendant la prière avec des élus islamophobes dont des élus Front National. Depuis il multiplie sur les plateaux télévision les mensonges et les calomnies pour tenter de discréditer les musulmans de Clichy réclamant leur lieu de culte.

Il est à noter que c’est le Maire qui avait promis à la communauté musulmane locale devant témoin qu’une fois élu, il faciliterait l’accès à l’achat de la Mosquée de centre ville.

Mais Remi Muzeau trahit sa parole et n’accepte vraisemblablement pas que des musulmans, à l’instar des autres communautés, puissent bénéficier d’un lieu de culte décent au centre ville.

Pire les fidèles affirment avoir subi une véritable agression durant leur prière pacifique du vendredi. Une plainte a donc été déposé contre le maire et ses supports islamophobes violents.

Le cas Clichy est significatif du naufrage d’une caste qui voudrait éternellement prolonger une ségrégation confessionnelle qui n’a que trop duré en France.

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Une fête nationale marquée par des slogans islamophobes en Pologne

Plus de 50 000 personnes ont manifesté samedi dernier à Varsovie lors d'un événement organisé par l'extrême droite nationaliste.

Tanguy GARREL- JAFFRELOT | OLJ
 

Une marée de drapeaux rouge et blanc ont envahi la capitale polonaise samedi dernier. À l'occasion de la fête de l'Indépendance, 60 000 personnes ont marché dans les rues de Varsovie. De nombreux slogans racistes, xénophobes et islamophobes ont pu être entendus au cours du défilé.

« La Pologne pure, la Pologne blanche », scandaient en chœur certain manifestants tandis que d'autres s'exclamaient à l'unisson : « Foutez le camp avec vos réfugiés ! » Mais ce sont sans doute les propos tenus par les organisateurs dans le cortège qui ont le plus choqué : « La culture chrétienne est supérieure à la culture islamique. »

Il a fallu deux jours aux autorités pour condamner officiellement ces débordements. Samedi, le ministre de l'Intérieur, Mariusz Błaszczak, estimait pour sa part que « la possibilité de manifester avec de tels slogans puis d'en discuter était une manifestation de liberté ».

Face à l'indignation internationale, le président de la République Andrzej Duda a finalement pris la parole avant hier : « Dans notre pays, il n'y a ni place ni accord pour la xénophobie, pour un nationalisme maladif et pour l'antisémitisme. »

La marche était organisée par des associations d'extrême droite qui se vantent chaque année de réunir « la plus grande manifestation patriotique et nationale d'Europe ». L'une d'entre elles, le Camp national radical (ONR), se réclame du fascisme et de l'antisémitisme des années 30. Leur ligne politique ? L'arrivée de réfugiés syriens en Europe ferait partie d'une conspiration menée par des financiers juifs, qui travailleraient avec les communistes de l'Union européenne pour amener des musulmans en Europe avec la charia et l'homosexualité.

 Sentiment xénophobe


Les manifestants présents sur place n'étaient pas tous néonazis. De nombreux Polonais se sont joints au cortège sans motivations politiques ni religieuses. Ils ont battu le pavé par simple fierté nationale. Les dérives observées révèlent cependant une certaine radicalisation de l'opinion publique polonaise. Selon un sondage publié en juin dernier, 57 % des Polonais préféreraient quitter l'UE plutôt que d'accueillir des réfugiés de religion musulmane.

La haine des réfugiés est d'ailleurs si importante que l'Église a dû mettre le holà. Le primat de Pologne, Wojciech Polak, déclarait mi-octobre que tout prêtre participant à des manifestations antimigrants serait désormais immédiatement suspendu.

Présent au Parlement depuis 2015, le parti ultranationaliste du Droit et de la Justice (PiS) a régulièrement recours à cette rhétorique antimigrants en refusant tout plan de répartition des demandeurs d'asile à l'échelle européenne.

Dans son rapport d'octobre, l'ONG Human Rights Watch tire pour sa part la sonnette d'alarme et parle de dérive autoritaire du gouvernement. « Depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement polonais a systématiquement cherché à éroder l'État de droit et les protections des droits humains », affirme Lydia Gall, chercheuse sur les Balkans et l'Europe de l'Est à Human Rights Watch.
Cela n'empêche pas le parti au pouvoir de triompher dans les sondages. 52 % des Polonais se disaient satisfaits de la politique de la Première ministre Beata Szydlo en septembre.

Les mises en garde de l'Union européenne restent lettre morte, et ce malgré la mise en place du « mécanisme de protection de l'État de droit » à l'encontre de la Pologne. Depuis juillet dernier, la Commission européenne menace de suspendre le droit de vote de la Pologne.

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