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vendredi, 22 décembre 2017

Bruxelles, un chaudron multi-ethnique

Par 

FIGAROVOX/TRIBUNE - Après les émeutes du 11 et 15 novembre, la presse belge publie les portraits de neufs individus recherchés par la police. Le sénateur belge, Alain Destexhe dénonce le refus des médias de nommer les responsables de ces dégradations.


Alain Destexhe est sénateur belge (Mouvement réformateur).


La publication par toute la presse belge ce jeudi 14 décembre, des portraits de neuf individus recherchés par la police pour leur participation aux émeutes du mois dernier à Bruxelles est une gifle aux journalistes des media traditionnels qui s'obstinent à refuser de voir le caractère ethnique des émeutes à répétition qui secouent la capitale de l'Europe.

Neuf portraits, neuf jeunes, blacks ou de type méditerranéen comme disait encore il y a peu la police, tous d'origine extra européenne et assez peu représentatifs, statistiquement, d'une population d'origine européenne. Tous recherchés pour destruction de mobilier urbain, pillages de magasins et agressions contre des policiers. Des faits criminels d'un nouveau genre, apparus il y a quelques années, qui n'étaient pas concevables, jadis, dans la ville de Jacques Brel.

Impossible cette fois de nier l'évidence de l'origine des auteurs: ce sont les photos communiquées par la police qui l'attestent. Unanime, la presse refuse pourtant de qualifier correctement les faits et leurs auteurs autrement que de «jeunes». Lorsque nos médias emploient ce terme, le commun des mortels comprend désormais et ajoute mentalement «d'origine étrangère». Des jeunes «Belges», sans doute puisqu'on a naturalisé à tour de bras, mais qui ne sont pas perçus par la population majoritaire comme faisant partie de la communauté nationale.

Il ne fallait pas faire un grand effort d'imagination pour voir que cette violence est d'origine communautaire ou ethnique.

Pourtant, il ne fallait pas faire un grand effort d'imagination pour voir que cette violence est d'origine communautaire ou ethnique. Ainsi le 20 octobre dernier, à la porte d'Anderlecht, ville du célèbre club de football, une centaine de migrants syriens et des jeunes (Belgo-marocains) s'affrontaient dans la rue pour le «contrôle de l'espace public du quartier», notamment la jouissance d'un parc public.

Le 11 novembre, c'est à la suite du match Côte d'Ivoire-Maroc que le centre ville s'enflammait. L'incitateur de ces émeutes avait posté, la veille sur Facebook ce message: «On va tout cramé à Lemonnier Maroc city». Lemonnier, c'est le nom du boulevard en question mais l'expression «Maroc city» peut-elle signifier autre chose qu'une volonté de s'approprier, au moins pour un soir, ce territoire? Cela n'a pas empêché un député écologiste de déclarer le plus sérieusement du monde à la télévision qu'on ne connaissait pas l'origine des émeutiers!

Quatre jours plus tard, sur la place de la Monnaie, un symbole de l'indépendance de la Belgique, de jeunes immigrés semaient à nouveau la panique et pillaient des commerces en plein centre-ville, à l'occasion de la venue de Vargasss92, un Youtubeur français prénommé Mansour («béni de Dieu pour être victorieux»). Le 10 décembre, c'est un jeune roumain de 29 ans qui est décédé au métro Bockstael à Laeken, après une bataille rangée entre bandes rivales dans les couloirs de la station. Plusieurs Roumains ont été arrêtés.

Un peu plus tôt, le 28 novembre, c'est à la suite d'une manifestation contre l'esclavage, rassemblant surtout des Africains dans le haut de la ville, près du quartier de Matongé (du nom d'une commune de Kinshasa), que des «jeunes» s'en sont pris aux commerces et aux forces de police. Arrivé peu après sur les lieux, policiers et témoins me confirmèrent que les fauteurs de troubles - une centaine de personnes - étaient tous des jeunes noirs, mais peut être s'agissait-il d'un groupe de skinheads qui s'était déguisé en pères fouettards pour semer le doute, au moins dans l'esprit des journalistes.

A propos de skinheads, je n'ai aucun souci à reconnaître qu'il s'agit d'un phénomène violent qui concerne presque exclusivement des individus « de race blanche » et je ne me sens nullement offensé.

A propos de skinheads, je n'ai aucun souci à reconnaître qu'il s'agit d'un phénomène violent qui concerne presque exclusivement des individus «de race blanche» et je ne me sens nullement offensé, stigmatisé ou victime d'amalgames, pour reprendre les expressions médiatiquement consacrées, si on le décrit comme tel.

Car ces nouveaux phénomènes d'émeutes, de cocktails Molotov lancés contre des commissariats, de policiers victimes d'embuscades, de pompiers empêchés d'intervenir, de contrôleurs de la société de transport public tabassés, de bandes urbaines, de zones de non droit,… sont tous et toujours reliés aux conséquences de la politique d'immigration incontrôlée que la population belge a subie depuis 30 ans, sans jamais avoir la possibilité d'en débattre. Décrire ces nouveaux types de délinquance sans les relier à l'immigration et à l'échec de l'intégration est en soi une désinformation.

Le système médiatique n'autorise à nommer correctement les choses que lorsqu'il s'agit de le présenter sous l'angle de la victimisation. Ainsi, lors d'une émission de la RTBF (la chaîne publique) consacrée aux émeutes, seule l'invitée voilée d'origine immigrée, a été autorisée à parler de «la jeunesse issue de l'immigration marocaine, maghrébine, disons de confession musulmane» pour dénoncer son «abandon». Le même discours, s'il était tenu par un politique belgo-belge pour caractériser les délinquants aurait été qualifié de «grave dérapage».

Puisqu'il s'agit de faits pourquoi ce refus de parler de «jeunes Maghrébins», de «jeunes noirs», de «jeunes Congolais», lorsque, régulièrement des opposants au régime du président Kabila créent des troubles à Bruxelles?

Sans doute parce que l'intégration des communautés étrangères a totalement échoué, même si beaucoup d'individus l'ont réussie.

Sans doute parce qu'il ne faut pas admettre que Bruxelles, est une poudrière incontrôlable, qui commence a ressembler à ce hell hole (trou d'enfer) décrit par Donald Trump, expression que, curieusement, la presse belge a traduite de manière créative par «trou à rats».

Bruxelles est une juxtaposition de communautés qui vivent entre elles, sans rien partager.

Sans doute parce qu'il faut nier que Bruxelles est une juxtaposition de communautés qui vivent entre elles, sans rien partager, ne lisant plus les mêmes journaux, ne regardant plus les mêmes chaines de télévisions et ne célébrant plus les mêmes fêtes. Et qu'il faut masquer cette triste réalité à grand renfort de slogans comme le «vivre ensemble» ou de couteuses campagnes célébrant la «diversité» ;

Sans doute parce qu'il ne faut pas nommer la grande responsable, l'immigration incontrôlée, tellement massive qu'elle empêche l'intégration, une immigration voulue par des dirigeants de presque tous les partis politiques pressés de vivre dans le paradis multiculturel et de jeter par dessus bord l'ancien monde de la «Belgique de papa».

Sans doute parce qu'il faut minimiser l'exode des classes moyennes d'origine belge (mais aussi d'origine immigrée plus ancienne) qui cherchent par tous les moyens à fuir certains quartiers de la capitale et sont contraintes de s'exiler en Flandre ou en Wallonie.

Sans doute parce que nul ne sait que faire face à la montée en puissance inquiétante de l'islam et de l'islamisme alors que le reste de la société belge est de plus en plus sécularisée.

Sans doute aussi parce que Bruxelles est une ville en voie de paupérisation avec un revenu par habitant qui diminue où 90% des allocataires sociaux sont d'origine immigrée.

Enfin et surtout parce qu'il faut masquer l'échec total de la gestion du Parti socialiste au pouvoir dans la région bruxelloise depuis… 28 ans sans interruption.

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Ferrette : l’institutrice enseigne aux migrants

Voilà une histoire inhabituelle. Ferrette est une commune du Sundgau (Sud de l’Alsace, à la frontière suisse) de 683 habitants. Le village avait fait la une il y a un an, car c’était un des premiers villages en Alsace à accueillir des migrants. Plus de 80 migrants, soit plus de 10% de la population du village, ont été accueillis. Aujourd’hui, loin de l’idylle décrit par les journalistes, les habitants en ont assez. En cause, l’absence d’école pour les enfants du village depuis 5 semaines.

Acte I – L’institutrice du village part enseigner le français aux migrants

Comme dans beaucoup de centres d’accueil, des cours sont dispensés par l’Éducation Nationale, afin de favoriser une meilleure intégration des nouveaux venus : la langue française est ainsi enseignée, car peu la maîtrisent vraiment. Une vingtaine d’enfants de 4 à 8 ans sont arrivés en début d’année dans ce centre. L’institutrice du village est ainsi affectée à leur instruction. Bien évidemment, une remplaçante vient faire cours aux élèves de Ferrette : pas question en effet d’abandonner ces enfants, leur instruction est obligatoire, rappelons-le. Tout à été prévu.

Vraiment ?

Acte II – La remplaçante tombe malade

Les aléas de la santé, la remplaçante tombe malade. Visiblement c’est assez grave, puisque voilà 5 semaines que celle-ci n’a pas pu donner des cours. Le problème est ici : rien n’a été prévu pour remplacer la remplaçante, et les enfants de Ferrette n’ont donc pas école depuis 5 semaines. Une situation difficilement acceptable pour les habitants, sachant que les migrants ont eux des cours assurés par l’ancienne institutrice.

Acte III – Les habitants en colère

Pour les parents d’élèves, la pilule est difficile à avaler. Leurs enfants vont avoir des lacunes à cause de cette interruption longue de l’enseignement. Il faudra rattraper ce retard. Bien évidemment, une telle situation ne renforce guère la sympathie des autochtones pour les migrants. Le maire aurait ainsi fait détruire l’ancienne caserne de pompiers pour éviter qu’on y loge des migrants supplémentaires.

L’Éducation Nationale, mise en cause, va devoir trouver rapidement une solution…

Article paru sur le site Alsace Actu.

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Edouard Philippe a cédé un presbytère pour une école salafiste au Havre

 

Lu sur l'Observatoire de l'islamisation :

Images"Cela commence en mars 2015 avec la création de l’association « Ecole Musulmane Maurice Bucaille « , destinée à ouvrir une école primaire musulmane. Son trésorier est Ibrahim Wane, connu comme étant de la mouvance salafiste. Les responsables de l’association contactent alors la mairie d’Edouard Philippe afin de trouver un local. Les équipes de la mairie proposent un presbytère, loué jusque là au diocèse, à une SCI créée spécialement par un proche de l’association – aux antécédents judiciaires peu reluisants – pour la somme sous évaluée de 155000 euros pour 150 mètres carrés d’habitat et de 876m2 de terrain. Une aubaine, la vente se fit le 11 décembre 2015. La « SCI PRESBI » put alors signer un bail commercial avec l’école musulmane le 21 novembre 2016. L’école avait un stand en mai 2016 au salon le l’UOIF au Bourget afin de trouver des financements, où nous avions réalisé un reportage montrant la radicalité de l’évènement.

En novembre 2015, dans le cadre d’une réunion d’information ouverte au public, portant sur le thème : « Quels héritages pour nos enfants », les membres de l’association  accueillirent au Havre, le Cheikh Hassen Bounamcha, imâm à Aubervilliers, menacé par l’Intérieur d’expulsion en 2013 pour ses nombreux dérapages. Les prises de positions qui gênent nos services sont les suivants :  dans une conférence, le Cheikh Hassen a affirmé, entre autres, que « la mixité hommes / femmes est un vice, que la femme occidentale est une femme sans honneur », justifiant le mariage forcé par le fait « qu’une femme n’a pas le droit de tomber amoureuse ».

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Égypte : des centaines de jeunes chrétiennes enlevées, converties et mariées de force

Ce n’est pas la première fois que nous signalons l’augmentation du nombre des jeunes filles (voire de fillettes) chrétiennes enlevées en Égypte, voyez ici ! Voici l’extrait d’un article récent du Journal Chrétien qui, à mon avis, sous-estime le nombre des chrétiens en Égypte : ils ne seraient pas 9 mais 12 millions selon les registres de l’Église copte orthodoxe, soit 15 % de la population…

Selon les rapports égyptiens et occidentaux parvenant à Release International, une organisation qui soutient les chrétiens persécutés à travers le monde, des centaines de jeunes chrétiennes coptes ont été kidnappées, forcées de se convertir et d’épouser leurs ravisseurs, une stratégie délibérée de persécution contre la minorité chrétienne en Égypte. Il y aurait environ 9 millions de chrétiens en Égypte qui sont régulièrement pris pour cible par des extrémistes islamistes. De nombreux enlèvements ont lieu en Haute-Égypte, une zone rurale pauvre située à des kilomètres du Caire, où les attitudes sont extrêmement conservatrices et où la persécution des chrétiens est la plus sévère […] Selon les partenaires égyptiens de Kate Ward qui travaille avec Release International au Royaume-Uni près de 2 500 familles feraient face quotidiennement au problème des enlèvements […] L’augmentation des enlèvements remonte à cinquante ans en arrière mais a pris des proportions inquiétantes au cours de la révolution égyptienne, lorsque les frères musulmans sont arrivés au pouvoir. Katy Ward décrit l’assaut contre les chrétiens comme « une tentative délibérée de débarrasser l’Égypte de sa minorité chrétienne par des militants, qui refusent de tolérer toute autre forme de violence. »

Source : Journal Chrétien, 19 décembre

Arrivé en 1992 en tant qu’étudiant, l’imâm radical de Torcy va être expulsé

La mosquée de Torcy est épinglée dans l’enquête Mosquées Radicales parue en 2016.

Lu dans Le Parisien du 20 décembre 2017 (extrait):

Mohammed Tlaghi, l’imam suppléant de la mosquée Rahma de Torcy, est visé par une procédure d’expulsion. Considérée comme « un lieu de référence influent de la mouvance salafiste », la mosquée est fermée depuis le 10 avril dernier par le ministère de l’Intérieur.

De nationalité marocaine, ce père d’un enfant français de 14 ans, était présenté ce mercredi à la commission d’expulsion des étrangers qui se réunit au tribunal de grande instance de Melun.

« Il contribue à l’entretien d’un enfant mineur mais son expulsion constitue une nécessité impérieuse pour la sûreté de l’Etat ou la sûreté publique », a indiqué la représentante de l’Etat à l’audience, citant l’article L521-2 du code des étrangers.

« Le ministère de l’Intérieur a demandé son expulsion en raison de prêches à teneur radicale (…) et de sa contribution aux activités de l’association Rahma malgré sa dissolution », a-t-elle détaillé.

Dans la note blanche le concernant, il est indiqué qu’à compter de 2011, l’imam aurait « opposé les musulmans aux non-musulmans et incité les fidèles à la défiance envers ces derniers, encourageant un repli communautariste ».

Après l’incendie de Charlie Hebdo, en novembre 2011, il aurait suggéré que « les juifs étaient derrière tout ça » mais aussi que « la police avait provoqué » les émeutes de Trappes (Yvelines) de 2013 en contrôlant une femme portant le niqab.

Courant juillet 2013, il aurait « incité les fidèles à prier pour ceux qui ont été arrêtés, faisant allusion aux interpellations dans le cadre de l’affaire de la cellule terroriste Cannes-Torcy ».

« Les prêches récents sont plus modérés, mais il a légitimé le djihad les 20 et 27 janvier derniers demandant qu’Allah aide tous les djihadistes dans le monde », ajoute la représentante de l’Etat.

Mohammed Tlaghi a nié en bloc, dénonçant « une atteinte à son honneur ». Le quinquagénaire est arrivé en France en 1992 comme étudiant. Depuis 2009, il bénéficie d’une régularisation par délivrance d’une carte annuelle de séjour. Il vit en concubinage avec une ressortissante algérienne titulaire d’un titre de séjour. Auparavant agent d’entretien (SIC), il a cessé de travailler en 2012. Lire la suite dans Le Parisien.

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70% de Suisses ne veulent pas que la population musulmane augmente

Mireille Vallette

Un sondage réalisé auprès de 17’000 personnes montre une peur croissante de l’islam. Elles surestiment le nombre de ses adeptes. Les journalistes sont très étonnés.

La Tribune de Genève publie le résultat d’un sondage consacré entre autres à la question musulmane. Le principal résultat ? Quelque 70% des Suisses seraient dérangés par une augmentation de cette population. Mais pas les Verts, ni les socialistes (38% tout de même).

L’éditorialiste s’étonne, vu que «l’écrasante majorité des musulmans ne pose aucun problème». C’est vrai, mais cette écrasante majorité ne réagit ni aux calamités que produit sa religion ni à la petite minorité qui fait progresser son offensive. A quoi sert-elle donc ? Principalement à rassurer.

Le journaliste souligne que les sondés surestiment le pourcentage de la population musulmane en Suisse : 17% en moyenne, alors qu’elle n’est que de 5%. Le plumitif s’adresse alors à un spécialiste de la victimisation pour tenter de comprendre cet étrange phénomène. Réponse : «Quand une minorité est stigmatisée, pointée du doigt, il est courant d’exagérer sa présence.»

«La peur de l’islam augmente avec l’âge», nous apprend encore le quotidien : plus des trois quarts des plus de 65 ans… mais encore 57% chez les 18-34 ans.

Oui, l’islam fait peur

Il fait peur, car il a généré des dizaines de milliers de terroristes (dont près d’une centaine en Suisse), et l’Etat le plus féroce de la planète.

Il fait peur, car dans les pays qu’il régit, les apostats sont pourchassés, les femmes opprimées, les minorités discriminées et de plus en plus persécutées.

Il fait peur, car il est capable d’inventer des lois qui obligent les femmes violées à épouser leur violeur.

Il fait peur, car il montre régulièrement des foules fanatisées qui réclament la peine de mort des dissidents.

Il fait peur, car l’antisémitisme ronge ses adeptes.

Il fait peur, car dans nos pays, ses porte-étendard ne cessent de revendiquer des droits moyenâgeux au nom de leur Dieu, et ne cessent de les obtenir.

Il fait peur, car il étend son emprise en Europe sur un nombre de quartiers, voire de villes de plus en plus nombreux. Les conséquences de cette quasi-sécession ? Règne du mâle, dogmatisme, domination des commerces «ethniques», délinquance, dégradation de l’environnement.

L’islam fait peur, car il est protégé par les politiques, les antiracistes, les journalistes, les universitaires, les Centres islam et société… Soit quelque 30% de chantres de la diversité qui détiennent le pouvoir et étouffent la voix de ceux qui font un lien entre ces fléaux et leur origine.

L’islam fait peur, car ses prosélytes et leurs compagnons de route ont réussi à neutraliser les voix dissidentes en faisant passer leur lucidité pour de la maladie mentale, du racisme, voire du fascisme.

L’islam fait peur, car ses pieux adeptes refusent de reconnaître les germes de la violence et du rejet que contient leur livre adoré, parfait et incréé. Et encore moins de les déclarer caduques.

Il fait si peur et produit tant de conflits que la population en vient à croire que ses adeptes sont trois fois plus nombreux qu’ils ne sont en réalité.

Quoi de plus normal ?

Mireille Vallette pour Dreuz.info.

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Twitter censure Génération Identitaire

 


Twitter censure Génération Identitaire !


 


Dans la nuit du 19 décembre, Twitter a décidé de censurer notre compte sans donner d'explications. Le premier mouvement politique de jeunesse de France sur les réseaux sociaux et ses dizaines de milliers d'abonnés se retrouvent ainsi bâillonnés.

Après l'interdiction de manifester à Paris fin novembre, après la lourde et scandaleuse condamnation de nos militants pour l'occupation du chantier de la mosquée de Poitiers, après la fermeture d'une cagnotte Leetchi en notre soutien, c'est au tour de Twitter de jouer les censeurs. Le moins que l'on puisse dire, c'est que la liberté d'expression n'est plus qu'une illusion dans notre pays.

Dénoncer l'immigration et l'islamisation, mettre en garde notre peuple sur les dangers qui le guettent se paie plus que jamais au prix fort. Un comble dans un pays où les islamistes ont déjà tué plus de 200 Français depuis 2015.

Génération Identitaire compte bien utiliser tous les recours possibles pour mettre fin à cette censure politique. Rien ni personne ne nous empêchera de défendre notre peuple.

 


 

 

 

Comment Edouard Philippe céda un presbytère pour une école salafiste au Havre


Aami Hassen, prédicateur invité par l’école Maurice Bucaille qui y évoqua la mort annoncée des « mécréants » par Allah. Preuve vidéo.

Nous avions déjà évoqué la politique philo islamiste du Premier ministre en tant que maire du Havre (2010- mai 2017), qui inaugura une mosquée frériste édifiée sur un terrain municipal en septembre 2013. L’affaire des 8500 mousses au chocolat destinées aux cantines de la ville jetées car haram (illicite en islam) est aussi connue (Le Parisien).

Nous avons trouvé un autre coup de pouce aux islamistes. Vérifiable par tous les citoyens. 

Cela commence en mars 2015 avec la création de l’association « Ecole Musulmane Maurice Bucaille « , destinée à ouvrir une école primaire musulmane. Son trésorier est Ibrahim Wane, connu comme étant de la mouvance salafiste. Les responsables de l’association contactent alors la mairie d’Edouard Philippe afin de trouver un local. Les équipes de la mairie proposent un presbytère, loué jusque là au diocèse, à une SCI créée spécialement par un proche de l’association – aux antécédents judiciaires peu reluisants – pour la somme sous évaluée de 155000 euros pour 150 mètres carrés d’habitat et de 876m2 de terrain. Une aubaine, la vente se fit le 11 décembre 2015. La « SCI PRESBI » put alors signer un bail commercial avec l’école musulmane le 21 novembre 2016. L’école avait un stand en mai 2016 au salon le l’UOIF au Bourget afin de trouver des financements, où nous avions réalisé un reportage montrant la radicalité de l’évènement. 

En novembre 2015, dans le cadre d’une réunion d’information ouverte au public, portant sur le thème : « Quels héritages pour nos enfants », les membres de l’association  accueillirent au Havre, le Cheikh Hassen Bounamcha, imâm à Aubervilliers, menacé par l’Intérieur d’expulsion en 2013 pour ses nombreux dérapages. Les prises de positions qui gênent nos services sont les suivants :  dans une conférence, le Cheikh Hassen a affirmé, entre autres, que « la mixité hommes / femmes est un vice, que la femme occidentale est une femme sans honneur », justifiant le mariage forcé par le fait « qu’une femme n’a pas le droit de tomber amoureuse ».

Plus récemment,le 28 avril 2017,  la page Facebook de l’association a partagé une conférence du prédicateur salafiste Eric Younous, formé au wahhabisme à l’université Médine, et suivi à ce titre par nos services :

Source, Video et document

Vendredi 5 janvier : Scipion de Salm à Nice

 

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Florence (Italie) : la mosquée sera construite sur un terrain cédé par l’Église catholique

Source: La Nazione, traduction Fdesouche

Sesto Fiorentino (Firenze), 14 décembre 2017 – La mosquée à Sesto Fiorentino se fera. Et ce sera sur un terrain de l’Eglise, après une entente entre l’archidiocèse de Florence, la communauté musulmane, la municipalité de Sesto Fiorentino et l’université de Florence.

Dans un communiqué on apprend que la signature du protocole d’accord pour la cession du terrain aura lieu le vendredi 22 décembre, à quelques jours de Noël.

« La commune de Sesto Fiorentino et la Communauté islamique – peut-on lire dans le communiqué – ont initié des travaux qui ont amené à la sélection d’un terrain rue Pasolini pour lequel le Réglement d’Urbanisme en vigueur prévoyait déjà la réalisation de bâtiment dédié au culte et aux activités à caractère religieux (AUNC IIIa). Sollicité par la commune de Sesto Fiorentino, l’Archidiocèse de Florence, propriétaire du terrain, s’est rendu disposé à le céder à titre onéreux à la Communauté Musulmane de la Province de Florence afin qu’elle puisse y bâtir une mosquée au service des fidèles du territoire et un centre culturel islamique; en échange l’Archidiocèse obtiendra un terrain cédé par l’université de Florence.

Source

Noël en insécurité – Merci l’immigration, merci l’islamisation

Noël en insécurité – Merci l’immigration, merci l’islamisation !


Action devant le marché de Noël de Rouen par Génération Identitaire Normandie

Il y a un an, le marché de Noël de Berlin subissait l’attaque d’un terroriste islamiste faisant 12 morts.

Aujourd’hui tous les pays d’Europe vivent dans la crainte d’un attentat terroriste islamiste et plus particulièrement lors des fêtes de Noël.

Par cette action, Génération Identitaire a voulu rappeler que c’est la politique d’immigration irresponsable de nos dirigeants politiques qui est la cause de cette situation.

Maroc : plus de 50% des actes de violence contre les femmes sont commis par leur conjoint

Dans son deuxième rapport annuel couvrant l’année 2016, l’Observatoire national de la violence à l’égard des femmes a mis en évidence que ce sont les jeunes femmes âgées entre 18 et 30 ans (plus de 40%) qui sont les principales victimes de la brutalité de leur conjoint, suivies des épouses de 31 à 45 ans, soit en âge d’exercer un métier, du moins en théorie, et par conséquent d’être moins dépendantes financièrement de leur époux.

Lors d’une conférence de presse qui s’est déroulée en présence de Bassima Hakkaoui, la ministre marocaine de la Famille, de la Solidarité, de l’Égalité et du Développement social, les responsables de l’Observatoire ont précisé que les chiffres avancés sont irréfutables et s’appuient sur les actes de violence dûment répertoriés par les tribunaux, les hôpitaux, les postes de police et de gendarmerie.

La persistance de plusieurs cas d’agression qualifiés de « dangereux », car pouvant entraîner la mort, avec ou sans préméditation, est également ressortie de ce sombre état des lieux, tandis qu’il apparaît que les femmes sans travail, n’ayant aucune source de revenus, sont les proies faciles de cette violence, notamment sexuelle. A cet égard, la moitié des violences sexuelles (65% en 2015 et 68% en 2016) ont été infligées à des jeunes femmes de moins de 30 ans, selon des données de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).

Dans la hiérarchisation des violences à caractère sexuel perpétrées au Maroc, le viol caracole tristement en tête, comme l’attestent les recensements des cellules institutionnelles relevant du ministère de la Justice et de la gendarmerie royale, qui font état d’une hausse alarmante du nombre de femmes déclarant en être victimes ou ayant besoin d’une assistance auprès du personnel de santé.

L’âge ne protège pas contre les agressions portant gravement atteinte à l’intégrité de la gent féminine, si l’on en juge par les 883 femmes seniors (plus de 61 ans) qui ont subi des actes de maltraitance en 2015 (6% des cas), et les 792 autres en 2016, (soit 5% des cas).

Si, aujourd’hui encore, le havre de paix du foyer se transforme en enfer pour un trop grand nombre de femmes marocaines, le danger les guette toujours autant à l’extérieur, à chaque coin de rue, dans l’infiniment grand de l’espace public où le plus grand nombre d’actes de violence verbale, physique et sexuelle est enregistré, les prenant pour cibles de prédilection.

Source

 

 

La neige est raciste

 

ImagesAprès la tempête dans le verre d'eau du politiquement correct provoquée par le propos de Miss France (elle a osé dire « Après une blonde, une brune, une miss à la crinière de lionne… Pourquoi pas une rousse ? »), c'est d'outre-Manche que nous vient cette nouvelle excitation antiraciste :

"Alors qu’on annonçait d’éventuelles chutes de neige en Angleterre, l’université londonienne UCL avait envoyé ce message à ses étudiants :

« Vous rêvez d’un Noël blanc ? Nos campus seront ouverts et fonctionneront pleinement aujourd’hui, lundi 11 décembre, donc venez comme prévu. (Nous ne pouvons garantir la neige mais nous essaierons !) »

Le tweet ayant été dénoncé comme offensant et raciste, l’université s’est platement excusée :

« Nous avons très mal choisi nos mots hier, nous pensions à cette chanson : White Christmas. Nous sommes désolés et nous choisirons nos mots de façon plus prudente à l’avenir. »"

Les vrais déséquilibrés sont de sortie.

Source

Désinformation : ces immigrés qui franchissent un col de montagne

C'est un reportage de France 2 qui tente de faire pleurer dans les chalets :

Source et Video