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vendredi, 05 janvier 2018

Les migrants au coeur des discussions entre CDU et SPD

Une étude pour le ministère allemand de la Famille attribue une hausse récente de la criminalité aux migrants. Elle devrait nourrir les consultations qui débutent dimanche entre la CDU de Merkel et le SPD.

Un rapport attribuant aux réfugiés une hausse récente de la criminalité en Allemagne relance le débat sur l'immigration alors que la CDU d'Angela Merkel et le SPD de Martin Schulz débutent dimanche des consultations visant à former un gouvernement.

Selon une  étude réalisée en Basse-Saxe par trois chercheurs pour le compte du ministère fédéral de la Famille, la criminalité a augmenté de plus de 10 % en 2015 et 2016 dans ce Land où siège Volkswagen,  alors qu'elle y avait reculé de près de 22 % entre 2007 et 2014.

Selon les auteurs du rapport, 92 % de cette hausse peut être attribués aux migrants, dont le nombre a plus que doublé sur la période. Ils seraient à l'origine de plus de 13 % des actes criminels qui ont été rescencés, contre seulement 4 % à fin 2014.

Une adolescente poignardée

La publication de cette étude intervient quelques jours après le décès très médiatisé d'une adolescente de quinze ans, poignardée par un réfugié afghan se prétendant du même âge dans une droguerie à Kandel en Rhénanie-Palatinat.

 Ces conclusions devraient animer les discussions entre l'Union chrétienne-démocrate (CDU) et son alliée bavaroise (CSU) d'un côté, et le Parti social-démocrate (SPD) de l'autre. Les deux camps s'affrontent notamment sur la question du regroupement familial.

Le rapport souligne en effet que près des deux tiers des crimes violents attribués à des réfugiés proviennent de jeunes hommes de quatorze à trente ans, surreprésentés parmi les migrants. Or cette catégorie, quelle que soit son origine, est souvent plus violente.

Regroupement familial

« La demande en faveur du regroupement familial trouve ici sa justification en matière de criminologie », écrivent les auteurs, qui voient dans l'absence de présence féminine un facteur renforçant le risque de « spirale de violence » auprès de ces jeunes hommes.

Or la CDU-CSU veut prolonger la suspension du regroupement familial décidée en 2016 pour une période de deux ans pour certains migrants. Le SPD, qui avait soutenu la décision dans le précédent gouvernement, veut maintenant rétablir l'ancien régime.

Le rapport devrait également raviver la question des « pays d'origine sûrs », dont les ressortissants peuvent se voir refuser plus facilement leur demande d'asile. Les conservateurs et les sociaux-démocrates veulent ajouter les Etats du Maghreb à la liste actuelle.

Selon l'étude, les migrants issus d'Algérie, Tunisie et Maroc représentent 0,9 % de ceux inscrits en Basse-Saxe mais sont à l'origine de 17 % des violences commises par des réfugiés. Les auteurs évoquent notamment leurs « mauvaises perspectives de séjour ».

Thibaut Madelin

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L’homme de l’année : le migrant. Le scénario Raspail mais sans « camp des saints »

Raoul Fougax ♦
Journaliste.

On ne parle que d’eux. Ils sont l’objet de toutes les compassions médiatiques. Ils permettent à notre démagogie pleurnicharde de continuer sa stratégie de culpabilisation pour vitrifier toute résistance identitaire. Le migrant, le réfugié, le clandestin, l’ immigré… voià en France, l’homme de l’année.

Il est présenté comme une victime que l’on doit aider. Même le pape s’y met.

On est bien dans le scénario de notre prophète de la disparition sous les masses migratoires du « camp des saints ».

Il y a quand même des différences

Cette migration essentiellement musulmane s’inscrit dans un contexte où une partie de l’islam mène une guerre mondiale contre tout ce qui n’est pas elle et contre nous en particulier.
Et puis surtout il n’y a pas de camp des saints. On a cru un moment que le Fn pourrait, au niveau politique institutionnel, jouer ce rôle. Même cet espoir c’est envolé.
Mais un camp des saints est encore possible, une forteresse, un réduit, d’où pourrait éventuellement partir la reconquista de nos valeurs historiques et de notre identité.

Quand on voit le phénomène Macron, pourquoi pas un Macron de chez nous? Certains y pensent. Quand ils voient les succès en librairie des livres d’un général de Villiers ou ceux historiques de son frère, ceux d’un Buisson ou la résistance d’un Ménard, ils se disent que tout peut-être n’est pas définitivement perdu. Ils pensent à l’émergence d’un grand capitaine.

J’entends même parfois que finalement Macron pourrait jouer ce rôle.

Il est vrai que tout n’est pas à jeter dans le Macron et que parfois on le sent se croire investi d’une mission divine et président providentiel du retour de la France. Mais il est prisonnier de l’idéologie qui l’a façonné. Pour lui la colonisation et la guerre d’Algérie sont des crimes contre l’humanité. Il bégaye l’histoire qu’on lui a enseigné. Il ne ressent rien vis-à-vis d’une œuvre civilisatrice, de grandeur mondiale et de sa gloire. Sur l’immigration et les migrants, il sent bien qu’il faut arrêter, mais il ne le pourra pas, car ceux qui l’ont porté au pouvoir et notamment cette masse d’élus incultes de notre histoire et abrutis par la propagande de l’idéologie médiatique, ne le lui permettront pas.

Toute cette fin d’année les médias ont valorisé le migrant au nom de la lutte contre le racisme et l’exclusion. C’est le levier qui doit permettre d’imposer l’immigré, serai- il clandestin comme au cœur de leur république anti-nationale.

Oui c’est le migrant, l’homme de l’année et Raspail le prophète de la submersion démographique, de la misère mondiale des nations européennes qui après avoir conquis et dominé le monde lui apportant le meilleur et le pire sont au risque de disparaître.

Y aura-t-il chez nous un camp des saints… pas sûr et pourrait- il mieux résister que celui du roman, sans doute pas.

Mais nous ne sommes pas seuls en Europe et, de l’Allemagne à la Bulgarie en passant par l’Autriche, la Pologne et la Hongrie, des nations refusent la culpabilisation mortifère et le déferlement d’une invasion qui n’est pas que pacifique et humanitaire.

Aucun peuple ne veut disparaître même par bonté pour les autres. Le totalitarisme de la compassion se heurte de plus en plus à l’instinct de survie.
Le migrant est l’homme de l’année certes, mais l’Européen pourrait être celui de l’année prochaine, car si à l’ouest rien de nouveau, ça bouge à l’est.

Là bas, il y a des camps des saints. A quand le nôtre ?

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Progrès en terre d’islam : l’Égypte s’apprête à faire de l’athéisme un crime !

C’est, en quelque sorte, le cadeau de Noël des sunnites aux citoyens égyptiens : la préparation d’un projet de loi visant non seulement à interdire (!) mais à criminaliser l’athéisme.

Il ne suffit pas, à ces gens-là, de pourrir concrètement le quotidien des braves gens, il leur faut aussi prétendre régner sur les esprits, les consciences et les cœurs.

Le site JeuneAfrique.com nous livrait cette information le 29 décembre dernier, reprise par Marianne et Valeurs actuelles, mais force est de constater qu’elle n’est pas du type à défrayer la chronique. Par peur, sans doute, pour les grands médias, de se faire accuser d’islamophobie primaire, systématique et viscérale…

C’est le député Amr Amroush, président du Comité religieux du Parlement égyptien, qui porte cette belle idée. Il est soutenu dans son projet par Al-Azhar, la plus haute autorité religieuse sunnite. Au programme, des peines allant de l’amende à la prison ferme pour tenter d’éradiquer ce « fléau qui se propage surtout au sein de la jeunesse égyptienne », a-t-il confié au quotidien Al Chourouk. Et qu’importe si la Constitution du pays est censée garantir « la liberté de croyance », c’est son article 2 qui l’emporte puisqu’il déclare l’islam « religion d’État » et fait de la charia le fondement de la législation. Fort de quoi le grand mamamouchi du régime Mohamed Zaki, chef du Conseil suprême d’Al-Azhar, a renchéri :

« Il est nécessaire de promulguer des lois qui dissuadent les gens de violer les instincts naturels de l’homme et de punir ceux qui ont été séduits par l’athéisme. La force de dissuasion doit être sévère pour empêcher la propagation de cette pensée empoisonnée parmi les musulmans. »

​‌”

On ne sait pas si la foi en un Dieu est considérée comme « un instinct naturel de l’homme » ou si cette mise en garde vise l’homosexualité, autre obsession des barbus, mais l’un et l’autre peuvent désormais conduire en prison.

 

Cette histoire, scandaleuse dans l’instant, peut, si l’on y réfléchit bien, cacher une bonne nouvelle. Une seconde, je m’explique… Comme le dit très bien Pascal Bruckner dans le dernier chapitre de son livre Un racisme imaginaire(Grasset) :

« Une partie du monde musulman se radicalise non parce qu’il s’éloigne de nous pour revenir aux premiers temps du califat, mais parce qu’il se rapproche de l’Occident et se sent menacé, moins par les innovations scientifiques que par les libertés octroyées. »

​‌”

Ce qui se passe aujourd’hui en Égypte, et depuis quelques jours en Iran, en est une parfaite illustration. Beaucoup de fidèles du Coran, dit Bruckner, « voudraient avoir la possibilité, permise aux autres religions du monde, de croire à leur rythme et à leur guise, et surtout de ne pas croire, de laisser le Tout-Puissant sous la forme d’une interrogation ou d’un peut-être ».

La panique des mollahs est celle de voir s’effondrer leur monde d’hier, fait d’interdits et de contraintes par lesquels ils terrorisent et asservissent les populations. Or – et je pense que Bruckner a, là aussi, tout à fait raison – « ce dont les peuples veulent être libérés, ce n’est pas tant de la foi que du cléricalisme, de la bigoterie, de la superstition, de la bêtise ».

Même les tribus du fin fond de l’Amazonie ne peuvent plus ignorer le monde qui s’agite à la lisière de la forêt. Pourquoi en serait-il autrement des jeunes musulmans ?

Marie Delarue

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Le conseiller « immigration » du pape François : un Bilderberg, banquier d’affaire de Goldman Sachs !

Les médias du système le dépeignent comme le pape des pauvres, nouveau François des temps modernes ! Et si cette image idyllique n’était que du vent, une illusion pour mieux tromper les fidèles et les faire avancer vers une société globale sans nations souveraines ?

« Nous savons désormais depuis des années, écrit le journaliste catholique italien Maurizio Blondet sur son blog, que la position du pape François est parfaitement alignée sur le front de l’universalisme globaliste qui préconise la dissolution des nations et des cultures autochtones pour « accueillir et intégrer » les migrants du monde entier dans le but de construire un « nouveau monde » multi-culturel sans barrières et sans frontières. »

Son dernier message immigrationniste de la nuit de Noël et ses vœux pour 2018 en font une une figure de proue et une « autorité suprême » de l’idéologie mondialiste. Au point que Blondet se demande

« si les discours du pape argentin ne sont pas écrits par Georges Soros, le multi-milliardaire qui finance l’invasion de l’Europe et travaille à l’abolition des États et des confins. Qu’il en soit conscient ou pas, le pape Bergoglio, continue le journaliste, s’est mis au service des intérêts du grand capital financier qui œuvre pour les mêmes objectifs : un nouvel ordre mondial multi-culturel et globalisé où les entités supra-nationales auront la gestion du pouvoir. »

Le pape François se retrouve donc du côté de certains puissants et riches… qui sont bien loin des pauvres. Voisinage qui n’est pas qu’idéologique mais aussi pratique puisque il a nommé, en février dernier, révèle toujours Blondet, à la présidence de la Commission catholique internationale pour les Migrations et qu’il a fait conseiller de l’Administration du Patrimoine du Siège Apostolique, une personnalité de l’establishment mondialiste, lui-aussi « philanthrope humanitariste de l’abolition des frontières » et « banquier d’affaires » : Peter Sutherland.

Irlandais, sioniste, ancien élève des jésuites, cet homme d’influence, « aux poches richement remplies », fut président de Goldman Sachs International (2005-2015) et du groupe Bilderberg dont il est toujours un membre actif du comité directeur, de BP (British Petroleum) et de la section Europe de la Commission Trilatérale. Technocrate bruxellois, agent de la globalisation, il a été notamment commissaire européen à la concurrence (1985-1989), secrétaire-général fondateur de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) (1993-1995). Artisan des grandes libéralisations de l’Union Européenne, il a été qualifié de « père de la mondialisation ». Actuellement directeur non exécutif de la Royal Bank of Scotland et président non exécutif de Goldman Sachs, depuis janvier 2006 il est le représentant spécial du Secrétaire-Général de l’ONU pour les migrations internationales. Il est aussi président honoraire de la Commission Trilatérale et président de la London School of Economics, fondée par la Fabian Society tout en étant chevalier de l’Ordre de Malte et membre de l’Opus Dei… Des connexions qui en disent long sur les dérives de ces groupes ecclésiaux…

Lorsque le pape jésuite l’a intronisé président de la Commission catholique internationale pour les Migrations, il n’a évidemment abandonné aucune de ses charges.

Peter Sutherland, analyse Blondet

« c’est le globaliste total et absolu, avec des attaches dans toutes les entités supra-nationales, peut-être la plus influente éminence grise de la mondialisation et du déracinement capitaliste dans l’intérêt de la finance transnationale. »

Il est vrai que Sutherland se déclara être en faveur « du développement de sociétés multiculturelles », le problème étant selon lui les populations qui cultivent « encore le sens de l’homogénéité et de différence d’avec les autres. Et c’est précisément cela que l’Union Européenne», à son avis, « doit tout faire pour éradiquer. Au nom de la future prospérité. […] C’est une dynamique cruciale pour la croissance économique. »

Cet artisan de la société multi-culturelle affirma de même que « l’on est passé des États qui choisissent leur migrants, aux migrants qui choisissent les États ». Par conséquent avait-t-il ajouté, l’UE ne doit plus sélectionner seulement des migrants « hautement qualifiés » parce que « à la base de tout, les individus doivent avoir la liberté de choix ».

Ainsi commente Maurizio Blondet

« c’est exactement l’idéologie de François, confusion et contradiction comprises. Mais l’on voit bien que l’inspiration vient du capitalisme mondialiste financier ; pour lequel les « homogénéités », c’est-à-dire les identités historiques et culturelles qui font les peuples variés et différents, sont un obstacle et un problème, une odieuse exigence, parce que le consommateur global type doit être littéralement « sans identité », sans communauté, « ouvert » aux « expériences », cosmopolite, nomade, sans « tabous », sans « préjudices » (et sans scrupules), de sexe variable. »

Dans cette exhortation de Sutherland il y a, précise le journaliste italien

« un « mépris » pour la culture qui fait les peuples. Mépris que partage le pape François lorsqu’il affirme que « les Européens ne sont pas une race née ici, ils ont des racines de migrants », évoquant une condition antérieure à la civilisation et à la culture. »

Tant pour le pape François que pour Sutherland, commente Blondet

« l’ »homogénéité » culturelle est un fastidieux lien qui « résiste » à l’ »intégration » sans limites, un « manque de charité » envers « l’accueil ». Dans la confusion éthique que le même Bergoglio a dispersée à pleines mains, l’ »homogénéité » nationale d’un peuple est comparée à un mal moral, et ce sera un mal de la sauvegarder. »

Et c’est à ce riche banquier d’affaires, cet homme du Bildeberg, ce membre influent des cercles mondialistes et capitalistes destructeurs des nations et des peuples, des identités et des cultures, que El papa sud-américain a confié, par idéologie immigrationniste et immigrophile, la Commission Catholique pour les Migrations !

On est loin du vrai amour des pauvres… Car ce qui appartient en propre à tous, aux pauvres comme aux riches, aux malades comme aux bien-portants, aux prisonniers comme aux travailleurs, c’est l’affiliation à une patrie et à une identité, c’est l’adhésion à une culture et à une civilisation, c’est la possession d‘une langue et d’une éducation… Et quand les pauvres n’ont plus rien, ils possèdent toujours cet héritage immatériel et intemporel, ce patrimoine spirituel, artistique, intellectuel et moral, qui a fait grandes les nations d’Europe…

Et c’est de cette richesse civilisationnelle transcendante, supérieure à tous les biens de consommation qu’ils peuvent rêver d’avoir, que les pauvres sont privés par les idéologues du multi-culturalisme et du « vivre-ensemble » !

Francesca de Villasmundo

 Extrait de: Source et auteur

Europe : la Pologne et la Hongrie veulent faire bloc contre l’immigration

Non seulement la politique migratoire de l’Union européenne ne fonctionne pas, mais elle a échoué de manière spectaculaire, a déclaré Viktor Orbán, en marge de sa rencontre avec le Premier ministre polonais ce mercredi à Budapest. Les deux chefs de gouvernement veulent former une alliance en matière économique et de sécurité.

Source

Halte au racisme anti-policier !

Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :

Comme chaque nouvelle année, et en d’autres occasions aussi, des milliers de Français ont retrouvé leurs voitures incendiées par des voyous quasiment jamais arrêtés et jamais condamnés.

Mais désormais, plus grave encore, se développe la pratique criminelle, plus que du tabassage, du lynchage des policiers.

Cette violence sauvage à laquelle se livrent des extrémistes de l’ultra-gauche et de l’islamo-gauchisme est l’expression de la haine raciste contre les policiers qui motive ces groupes, le plus souvent aussi anti-blancs et notamment anti-juifs.

L’AGRIF appuiera donc systématiquement les policiers agressés qui déposeront plainte pour violences racistes envers eux.

Source

La guérilla de la Saint-Sylvestre : le rapport choc – JT TVL 03/11/18

 

Source et Video

Banlieues : la guerre qu’on n’ose pas déclarer ?

L’année 2018 a commencé très fort avec deux agressions commises contre des policiers dans la banlieue parisienne, à Champigny-sur-Marne et à Aulnay-sous-Bois. Tout amalgame entre ces événements sans doute liés à l’ambiance festive de la nuit du Nouvel An et l’immigration africaine et musulmane dans les quartiers sensibles de la région parisienne est évidemment à proscrire parce que « politiquement incorrecte ». On sait bien qu’une population particulièrement jeune et qui manque de distractions ne demande qu’à se défouler pour oublier la rigueur du climat, les horreurs de la répression coloniale subie par les parents et les affres du chômage qu’une scandaleuse discrimination à l’embauche accentue dès qu’on n’est pas « souchien ». Alors, un soir de réveillon, il est normal d’allumer le feu, comme disait un grand disparu, de brûler 1.031 voitures (une centaine de plus que l’année dernière), de forcer la porte d’une soirée à laquelle on n’est pas invité, de voler un véhicule et, cerise sur le gâteau, de tabasser les uniformes qui viennent bêtement s’offrir au défoulement collectif. Lorsque c’est une femme qui est en « bleu », c’est encore plus drôle, parce que plus facile, et plus logique. Il faut respecter la seule hiérarchie qui compte : celle de la force physique.

Dans les jours qui suivent, les commentaires vont bon train.

Le président de la République, qui s’était bien gardé d’évoquer ce problème « français » lors de ses vœux, parle de « lynchage », en introduisant une note américaine, qui est une sorte de lapsus révélateur. Ce mot américain désignait l’exécution sommaire d’un présumé coupable par une foule en colère en dehors de toute procédure judiciaire avec, pour exemple caricatural, la pendaison d’un Noir accusé de viol. Ce mot appelle deux remarques : d’abord, la situation est inverse. Ici, c’est un représentant de la loi qui est « lynché » par des barbares, ce mot ayant le mérite de les désigner exactement et d’être identique à lui-même en verlan. En second lieu, l’américanisation de notre société, avec une immigration excessive, une communautarisation ethnique et une ségrégation urbaine, produit des effets qu’il n’était nullement indispensable de provoquer dans le pays alors qu’ils sont inscrits dans l’histoire profonde des États-Unis.

 Nous vivons une catastrophe nationale que l’on se refuse obstinément à nommer, à stopper, et qui est aggravée par la pensée unique imposée par les médias, l’aveuglement des autorités et les contradictions de notre système. La réalité est qu’une immigration non assimilée et même pas intégrée a créé, il y a longtemps, des enclaves où non seulement la loi n’est pas respectée, mais où elle est combattue au travers de ceux qui la représentent.

En France, il n’y a que l’État qui détienne le monopole de la violence légitime. Ses agents ne composent pas des équipes qui devraient affronter celles de l’autre camp sous l’arbitrage d’un rappeur ou du réalisateur du brûlot cinématographique La Haine. Ils doivent faire respecter la loi à tout prix, ce que les politiques par couardise, et les juges par idéologie, ont oublié. Pour éradiquer les nids du terrorisme, les foyers d’islamisme, les réseaux de trafics, les repaires de la violence urbaine, ces lieux que fuient nos compatriotes juifs et où une partie de la population vit sous une loi et des coutumes qui ne sont ni celles de la République, ni celles de la France, il faut d’abord, comme le disait le regretté Charles Pasqua, que la peur change de camp, qu’un délinquant ou un criminel qui ne respecte pas la loi, avec le sentiment d’une totale impunité, sache désormais qu’il encourt à coup sûr une longue et pénible perte de sa liberté assortie d’un travail obligatoire, et risque même sa vie s’il s’en prend à un policier armé. Nous en sommes évidemment loin. Lorsqu’on tentera une nouvelle fois de reconquérir les territoires perdus de notre nation, il sera sans doute trop tard…

Christian Vanneste

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Racailles’ blues dans l’Aveyron

Tandis que nos médias nous abreuvent de bêtisiers, tous plus débiles les uns que les autres, pour faire rire le Français lambda, ils font silence sur des saloperies aux conséquences autrement plus importantes.

Les auteurs de ces « bêtises » sont généralement des gamins issus de banlieues difficiles, des « victimes » de la société injuste, raciste, aux relents colonialistes, nauséabonde, qui les laisse à l’abandon, sans argent, sans soutien, sans cadeau de Noël, et blablabla…

Ambulance volée et retrouvée hors d’usage à Millau, agressions violentes à Decazeville : les pompiers de l’Aveyron ont vécu une nuit de Noël compliquée et ont porté plainte après une série d’événements inacceptables alors qu’ils étaient en mission. Titre de La Dépêche du Midi : « Ambulance volée, secouristes agressés : dure nuit de réveillon de Noël pour les pompiers »(1) ; titre du Figaro : « Les pompiers de l’Aveyron ont vécu une nuit de Noël compliquée. »(2)

C’est beau, les faits rapportés par nos journalistes (Notez les « dure nuit » et « nuit compliquée ») !

Des gamins ont décidé de jouer aux pompiers avec un vrai camion, un vrai volant, et de vraies roues et surtout, de vrais médicaments et autres possibilités de s’envoyer en l’air, sans compter la revente pour d’autres défavorisés, voire déséquilibrés.

Au moment de redescendre de l’appartement et d’évacuer la victime vers l’hôpital, les pompiers ont eu la mauvaise surprise de ne pas retrouver leur véhicule en bas de l’immeuble. Après avoir pris soin d’appeler du renfort pour prendre en charge la personne âgée, ils sont partis à pied à la recherche de l’engin dans les rues voisines.

Bref, tout va bien dans ce pays qui se préparait à une prochaine Saint Sylvestre brûlante comme d’habitude, dans les quartiers « déshérités », et à de nouveaux records d’incendies de voitures, de nouvelles agressions de policiers, et surtout de pompiers qui viendront faire le boulot. Un boulot dont les journalistes de la bien-pensance éviteront de parler pour ne pas gâcher la fête et qui redoubleront de bêtisiers pour faire rire le bon peuple et surtout pour le lobotomiser.

Mais rassurez-vous, braves gens, la réaction des autorités ne s’est pas fait attendre et la célérité de celles-ci a été rapide : le Service Départemental d’Incendie et de Secours (SDIS) de l’Aveyron a déposé plainte pour ce vol et condamne avec une grande fermeté ces atteintes aux personnels et au matériel qui affectent le niveau de sécurité des citoyens. Il ne sera pas dit que rien n’a été fait et nous ne doutons pas un seul instant du déclenchement d’une action policière de grande envergure et d’un classement rapide à la verticale par le procureur. Non mais !

Suite et fin : dans la nuit du 24 au 25 décembre, des pompiers sont agressés à Decazeville. Ils avaient été appelés, dans le quartier de Fontvergnes, pour secourir un homme blessé, mais surtout fortement alcoolisé… qui les a agressés « verbalement et physiquement ». Bilan : deux pompiers volontaires ont reçu des coups. Pour l’un, un coup de genou dans le bas-ventre et pour l’autre, un coup de pied dans l’abdomen.

Là aussi, les autorités du Service Départemental d’Incendie et de Secours (SDS) se sont montrées fermes ! Ils ont aidé les pompiers à déposer plainte.

L’agresseur a été interpellé par la police. Placé en cellule de dégrisement après avoir été examiné au centre hospitalier, puis entendu le lundi matin, il a ensuite été relâché et devra s’expliquer prochainement devant la justice. Notez au passage le « devra s’expliquer prochainement ». Il doit être terrorisé par cette terrible épée de Damoclès judiciaire ! Bon, il est vrai que Damoclès, ce « jeune » ne doit pas trop savoir qui c’est !

Mais il n’y a pas que les pompiers. Des « adolescents » avaient décidé de fêter les vacances en saccageant leur collège, soit sans doute le plus sûr moyen d’éviter la rentrée prochaine ! Ils ont saccagé des ordinateurs, des rétroprojecteurs, renversé du mobilier, cassé des armoires et du matériel pédagogique. Les dégâts se chiffrent en milliers d’euros…

On notera au passage l’édulcoration des faits : « des adolescents » en remplacement des « jeunes ». Comme si la jeunesse appelait à la compréhension, à la compassion. Ce n’est rien, ils sont jeunes, ils s’ennuient, la société ne fait rien pour eux et patati et patata…

L’un d’eux a tenté de frapper un policier à l’aide d’un marteau. Scolarisés dans le collège, ils étaient toujours en garde à vue ce samedi et le parquet des mineurs devra décider des suites judiciaires (on est mort de peur pour eux !).

La justice va statuer, leur dire son fait, sévir… et probablement les libérer en les rappelant à la loi pour cause de peur du MRAP, de la LDH, de la LICRA, de SOS Racisme, du CRAN…

Je ne vous fais pas un dessin sur la suite de ces évènements. Aucun parent ne sera sollicité. Tout juste pour leur dire que ce n’est pas bien. Aucun de ces délinquants ne sera jugé au niveau des dégâts commis. Les frais resteront à la charge des contribuables et aucun dédommagement n’aura lieu sur les aides et autres allocations perçues par les parents…

Bonne année à tous.

Notes

(1) (https://www.ladepeche.fr/article/2017/12/25/2710949-ambul...)

(2) http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2017/12/25/97001-20171225FILWWW00090-aveyron-agression-de-pompiers-et-vol-d-ambulance-a-noel.php

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Champigny : “Ils se sont acharnés sur eux ” décrit un témoin de l’agression de policiers

Deux policiers, qui intervenaient après une rixe à Champigny dans le Val-de-Marne lors d’une soirée pour la Saint-Sylvestre dimanche soir, ont été pris à partie et tabassés. Les deux policiers de Chennevières-sur-Marne faisaient partie d’un groupe d’intervention appelé aux environs de 23 heures pour évincer un groupe de plusieurs dizaines de personnes qui tentaient de rentrer dans une soirée privée. “Quelqu’un a crié ‘tapez-les! Tapez-les! Ils sont tout seuls’”, relate un témoin qui était présent au moment de l’agression. Ce même témoin est venu en aide à la policière blessée. “Elle baissait la tête, elle saignait de la joue, elle parlait pas du tout, elle était choquée”, explique-t-il. Les auteurs de l’agression sont toujours recherchés :

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“Quelqu’un a crié ‘Tabassez les, prenez leurs armes'”

Deux policiers intervenus après une rixe à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) dans la nuit de dimanche à lundi ont été pris à partie et tabassés. Ali, témoin de la rixe, raconte :

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Nouvelles agressions sexuelles en Allemagne durant la nuit du Nouvel An

« L’Allemagne de nouveau frappée par des agressions sexuelles pendant la nuit du réveillon malgré la mise en place de zones sécurisées pour les femmes, 2 ans après les événements de Cologne. »

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Alternative Police sur le lynchage d’une policière : « Ils veulent la mort de policiers »

Denis Jacob (Alternative Police) réagit au lynchage de la policière de Champigny-sur-Marne : « C’est un déferlement bestial. On ne peut pas considérer que ce sont des êtres humains qui se sont comportés comme ça, quand on voit notre collègue féminine au sol se faire rouer de coups. Quand on entend des individus allumer le feu, qu’est-ce qu’on veut ? On veut la mort de policiers, on ne veut rien d’autre. »

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Dimitri Casali, historien : “Nous sommes en pleine régression intellectuelle” à cause de la révolution numérique et en terre d’islam

L’intellectuel est interrogé par Le Midi Libre :

Je vois un lien évident avec la révolution numérique. Cela a démarré dans les années 2000 où on a assisté à une surinformation qui a conduit à l’ignorance. Les 15-29 ans ne lisent plus de livres. En revanche, ils lisent davantage sur les réseaux sociaux, les blogs… D’après une étude de l’Université de Yale, la lecture sur internet n’est pas la même : les informations se superposent les unes aux autres alors que la lecture d’un livre permet de pénétrer les pensées de l’auteur et de structurer les informations. Cela organise le cerveau. D’autres études sont à rapprocher de cela : les Français auraient perdu 4 points de QI entre 1989 et 2009, phénomène mesuré aussi en Angleterre ou aux États-Unis. Wikipédia est le plus bel exemple des effets pervers d’internet. On a donné la culture aux imbéciles. Si dans le domaine scientifique, les notices sont rédigées par des experts, dans le domaine de la littérature et en histoire, c’est un agrégat d’informations nivelées par le plus grand nombre. Il n’y a plus de hiérarchisation du savoir. On est à l’époque du relativisme culturel. Tout se vaut. Ainsi la page de Kim Kardashian sera bientôt plus longue que celle de Montaigne et le grand poète grec Homère a déjà moins d’articles que Homer Simpson.

Selon une récente projection de l’ONU, l’an prochain, le monde arabe comptera 25 % d’analphabètes. Et il publie actuellement moins de 1 % du marché mondial du livre. Le monde arabe a publié plus de livres entre VIIIe et le XIIe siècle qu’aujourd’hui. Il y a ces prédicateurs saoudiens qui apprennent à leurs étudiants que la terre est plate et dernièrement, à l’Université de Sfax en Tunisie, qui est pourtant l’un des pays arabes les plus avancés, une chercheuse voulait démontrer aussi que la terre était plate et qu’elle ne tournait pas autour du soleil.

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