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jeudi, 04 janvier 2018

Enseignement de l’arabe ? Priorité au français quand on ne le maîtrise pas !

Certes, il vaut mieux que la langue arabe soit enseignée dans des établissements publics, par des professeurs formés et recrutés par l’Éducation nationale, que dans des mosquées ou des centres culturels musulmans. Mais la priorité, dans les milieux issus de l’immigration, quand les parents ne parlent que le dialecte de leur pays d’origine, devrait être donnée à la maîtrise de la langue française, qui est le premier facteur d’intégration.

On apprend qu’à Trappes, l’arabe est enseigné en langue vivante 2, dès la 5e, dans les trois collèges de la ville. Tant mieux si l’arabe est considéré comme une langue étrangère semblable aux autres. Mais, en l’occurrence, si l’on en juge par la photo publiée sur 78actu.fr, la très grande majorité de la classe semble issue de la diversité, comme on dit aujourd’hui.

D’aucuns prétendent que mieux l’enfant maîtrisera la langue dominante à la maison, plus il aura de facilité à apprendre une autre langue. C’est sans doute vrai dans des milieux privilégiés, où les parents parlent régulièrement à leurs enfants en alternant les langues ; mais, en la circonstance, il est loin d’être prouvé que l’apprentissage de l’arabe littéraire – bien éloigné des dialectes – soit de quelque utilité pour bien connaître la langue française.

Quand une élève se réjouit d’avoir choisi cette langue « pour pouvoir [s’]en servir avec [sa] mère dans la vie de tous les jours », on lui conseillerait volontiers de lui apprendre des rudiments de français ou de l’encourager à suivre des cours.

Tout le monde admet que la maîtrise de la langue française est fondamentale pour progresser dans toutes les disciplines. Ce devrait donc être la priorité absolue à l’école, avec des cours de soutien, pour ceux qui la connaissent mal – et qui ne sont pas tous d’origine étrangère. Elle est fondamentale, également, pour favoriser l’intégration. Il n’est pas certain que l’enseignement de l’arabe à de jeunes enfants issus de l’immigration y soit propice. Bien au contraire ! Sans compter que les professeurs d’arabe scientifiquement formés manquent cruellement : trois postes sont prévus, en 2018, à l’agrégation, quatre au CAPES !

 Mieux connaître le monde arabe pourrait être utile aux élèves pour comprendre les grandeurs ou les misères de cette civilisation. C’est le rôle des cours d’histoire, si l’enseignement est objectif, et, pour les spécialistes, de l’INALCO (Institut national des langues et civilisations orientales). Mais pour des enfants qui ont besoin de s’intégrer, ce n’est pas en les plongeant dans la culture de leur pays d’origine qu’on y parviendra. À moins qu’on ne soit partisan d’une société multiculturelle. Si on veut les sortir de leur milieu, leur donner des chances de s’intégrer, leur permettre une promotion sociale sans recourir à la discrimination positive, il faut, au contraire, leur donner tous les moyens de maîtriser la langue, la culture, le patrimoine littéraire du pays dans lequel ils sont destinés à vivre.

On pourrait dire – et je sais à quel point ce propos peut paraître iconoclaste – que la connaissance de la langue et de la culture arabes serait plus utile à ceux qui n’y connaissent rien qu’à ceux qui en sont imprégnés par leurs origines. Pour les premiers, comme le voyage pour Montaigne, le contact avec d’autres civilisations est enrichissant. Pour les seconds, la langue et la culture françaises permettent de s’intégrer et de s’épanouir dans le pays où ils vivent.

Bref, au lieu de cultiver le communautarisme, il faut cultiver l’appartenance à la culture française, qui est le ciment de notre unité, ce qui n’empêche pas l’ouverture sur autrui ni un esprit de tolérance, qui ne consiste pas à tout mettre sur le même plan mais à jeter sur le monde un regard éclairé.

Philippe Kerlouan

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Côte d’Ivoire. Le président Ouattara alerte sur les dangers de l’immigration

L’immigration est souvent critiquée dans les pays d’accueil. Mais, contrairement aux idées reçues, elle l’est aussi régulièrement dans les zones d’où partent les populations. C’est notamment le cas de la Côte d’Ivoire.

Le président alerte

La République de Côte d’Ivoire, état d’Afrique de l’Ouest peuplé par presque 27 millions d’habitants, voit une partie de sa jeunesse attirée par le chant des sirènes de l’Europe. Prenant le phénomène au sérieux, le président Alassane Ouattara a lancé un message à la jeunesse nationale pour stopper son exil. Il a ainsi profité des traditionnels vœux à la Nation du 31 décembre pour évoquer le sujet.

« Ne vous lancez pas à l’aventure au péril de vos vies ! ». Le propos est clair et Alassane Ouattara a aussi tenté de convaincre les jeunes qu’ils seraient bien mieux chez eux que chez les autres.

« Vous êtes mieux au pays »

 Le président de la République de Côte d’Ivoire a fait preuve d’un bon sens élémentaire dans son allocution dont nombre de chefs d’États européens pourraient s’inspirer. « Vous êtes mieux au pays et le pays a besoin de vous ».

Une recommandation qui prend tout son sens compte tenu des rêves souvent déchus des jeunes Ivoiriens candidats à l’exil. Et, signe d’un début de prise de conscience chez certains, les retours au pays se font de plus en plus nombreux. Le directeur général des Ivoiriens de l’extérieur (DGIE), Issiaka Konaté, a ainsi rapporté que quelques 2330 Ivoiriens qui se trouvaient en situation d’immigration clandestine ont choisi de rentrer en Côte d’Ivoire depuis 2015.

La Libye comme épouvantail

Il faut souligner que sur les 2330 retours, 1200 provenaient de Libye. Un pays où les immigrés en situation illégale ont connu des conditions de détention particulièrement difficiles. À la suite d’un travail commun entre le MIAIE (Ministère de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur) et l’OIM (Organisation internationale pour les migrations), des rapatriements ont pu être mis en place. Le dernier en date a eu lieu le 19 décembre dernier, lorsque 168 migrants ivoiriens ont quitté Tripoli pour Abidjan.

Des retours d’expérience qui pourraient bien freiner les volontés de départ dans la jeunesse ivoirienne.

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Triste période !

 

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Bernard Plouvier

La jonction 2017-2018 a été fêtée à sa façon par la racaille de nos cités : 40% de voitures brûlées de plus qu’un an plus tôt. Et cela mérite quelques réflexions.

D’abord et à l’évidence, « l’état d’urgence » macronien n’est pas plus efficace que le soi-disant état d’urgence du mol Hollande... pour la bonne et simple raison que d’état d’urgence, il n’y a point.

On ne peut faire durer un tel système qu’en y intégrant les meilleurs citoyens et les plus actifs et ce n’est nullement « à gauche », au marais ou dans la droite évanescente qu’il faut les chercher !

En outre, fin décembre, le très chenu ministre de l’Intérieur, payé, et même grassement, pour faire régner l’Ordre (qui n’est pas plus républicain qu’impérial ou monarchique : l’Ordre, c’est avant tout l’ordre public, dans les rues, sur les marchés etc.), déclare qu’il ne « veut plus passer pour le ‘’facho’’ de service ».

C’est assez dire à quel point dé décrépitude est tombée la Ve République, agonisant dans la médiocrité, la corruption, la faiblesse tous azimuts. Même de Gaulle, qui n’était pourtant pas un homme d’État, n’aurait jamais accepté le désordre de deux mille cités de non-droit et un aveu de mollesse d’un ministre, davantage occupé de son ego que de maintenir le Bien commun.

En réalité, le titulaire de l’Intérieur, dans la Ve Ripoublique, comme dans les IIIe et IVe de lamentable mémoire, a surtout pour but de préparer les nouvelles échéances électorales, de façon à maintenir les prébendiers du régime dans leurs sinécures... et le seul ennemi dangereux du macronisme, platement soumis à l’Internationale de la Finance, c’est ce populisme qui ne règne pour l’heure qu’en quelques États d’Europe danubienne et de l’Est.

Il est plus urgent pour les princes qui font semblant de nous gouverner, à coup d’effets d’annonce et de tweets, de faire passer Poutine et sa Russie pour le Grand Méchant Loup de service, qu’il faut absolument abattre, plutôt que de protéger la Nation française et faire ce pourquoi on les paie : assurer l’Ordre et la protection du Bien commun.

En outre, la chienlit du passage 2017-18 annonce-t-elle un regain d’activité, en France, de la racaille la plus dangereuse : l’islamique ? Nul ne sait comment les maîtres du lobby de la haine anti-européenne vont orienter les fous furieux, maintenant que les terres pétrolifères en milieu mahométan sont presque toutes reprises en mains par la finance cosmopolite et que le tracé des oléoducs a été modifié pour ne plus être une cible facile pour des maîtres-chanteurs utilisant l’islam comme arme.

Ou bien les maîtres vont tenter de déstabiliser l’Europe danubienne, en excitant les haines ancestrales ou en multipliant les actes terroristes de mahométans (mais les pays populistes sont réfractaires à l’immigration bizarre et n’hésitent pas à donner l’ordre à leurs polices de « traquer au faciès »), et tenter de gêner le colosse russe par l’action de ses minorités mahométanes.

Ou bien, constatant l’état d’aveulissement extrême des populations d’Europe occidentale, encore amollies moralement par les prêches d’un pape fou d’amour mal ciblé ou vendu à la finance cosmopolite, les maîtres vont frapper et rudement, en activant davantage les réseaux de trafic de drogues pour détruire la jeunesse en voie de crétinisation accélérée par la propagande scolaire et télévisée, et en reprenant la série d’attentats mahométans, auxquels les molles populations occidentales réagissent par des pleurs et des paroles œcuméniques.

Il faut reconnaître qu’avec les Français, les Belges, les Allemands et les Scandinaves actuels, les nouveaux maîtres jouent gagnants sans prendre trop de risques. Comment leur reprocher de vouloir transformer en esclaves d’ignobles créatures qui ne demandent que de manger, boire et s’amuser. Face au consommateur idiot à force de béatitude, il y a peu, très peu, de citoyens en Europe occidentale.

Quant à la France, le mouvement populiste, sottement confié à une femme médiocre et à un dévirilisé roublard, il a été savamment démoli de l’intérieur... sans que personne ne veuille comprendre que là aussi s’applique l’adage : cherchez à qui profite le crime.

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Violences et mensonges de la presse télévisée : 2018 commence bien !

Ce lundi 1er janvier, RTL consacrait un sujet à la gestion de la nuit de la St Sylvestre par la police de Bruxelles en titrant : « Réveillon, aucun incident ».

Pourtant, dès le matin, de nombreux autres sites d’information reprenaient une dépêche de l’agence Belga qui annonçaient que la nuit en question avait été parsemée de nombreux actes de violence et de vandalisme : voitures incendiées, pompiers et policiers caillassés, etc… Au total, plus d’une quarantaine de personnes ont d’ailleurs été interpellés dont une quinzaine ont été arrêtées judiciairement.

Le « top » de la nuit aura consisté en une tentative d’incendie d’un commissariat de la région bruxelloise.

Ce qui démontre deux choses.

D’abord que malgré les rodomontades des « Jambon » et autres soi-disant « durs » de la NVA, l’insécurité est toujours aussi présente dans nos rues.

Ensuite qu’on a la preuve que la presse télévisée ment sur ordre. En effet, il est impossible que RTL n’ait pas été au courant de la dépêche Belga qui annonçait la série d’incident s de la nuit. Et donc titrer « Pas d’incidents » est un mensonge volontaire pour plaire au monde politique en place.

Alors s’il y a de bonnes résolutions à prendre pour 2018, ce serait par exemple d’aider un mouvement patriote comme NATION à se développer, à grandir, à avoir des élus afin qu’il puisse faire pression sur nos gouvernants pour qu’ils prennent enfin des mesures VRAIEMENT énergiques et efficaces contre l’insécurité de tout type.

PS : ce mardi soir, la même chaine RTL a bien été obligée de parler de ce qui s’était passée sans se remettre en cause, un seul instant. Autre démonstration que la presse dit tout et son contraire, sans état d’âme…

 

Émilie König, la Bretonne devenue VIP de l'État islamique

PORTRAIT - Cette Lorientaise, considérée comme "une personnalité dans la communauté djihadiste", avait quitté la France pour la Syrie en 2012. Elle vient d'y être arrêtée par les forces kurdes.  

"Quand je croise des militaires dans la rue, ma seule pensée est de prendre leurs armes pour m'en servir." En 2012, le propos d'Émilie König est déjà on ne peut plus clair. La jeune femme n'a pas 30 ans et l'organisation État islamique n'existe pas encore. Mais, filmée par la sociologue et documentariste Agnès de Féo, spécialiste des sujets sur les femmes et l'islam radical, elle raconte sa solitude, sa conversion à l'islam et son choix de porter le voile intégral, après le vote de la loi l'interdisant. Quelques mois plus tard, la Bretonne s'envole pour la Syrie et devient l'un des visages phares de la propagande djihadiste. Elle vient d'y être arrêtée par les forces kurdes.

Vendeuse en alternance. Rien ne prédestinait pourtant Émilie König à embrasser l'islam, et encore moins l'islamisme radical. Née à Lorient d'un père gendarme, elle est la benjamine d'une famille de quatre enfants. Ni bonne ni mauvaise élève, elle abandonne un cursus de sport-études en gymnastique acrobatique et décroche un CAP de vendeuse en alternance. D'anciens collègues du magasin de vêtements où elle travaille se souviennent auprès de Ouest-France d'une "gentille fille", "coquette", "joyeuse, heureuse de vivre". "Et puis, elle s'est imprégnée de la culture musulmane."

La jeune femme se marie une première fois à un Algérien, emprisonné pour trafic de drogue. Elle apprend l'arabe, se fait appeler Samra et se convertit à l'âge de 17 ans. "Depuis l'enfance, quand j'entrais dans une église, j'avais envie de prier", confiera-t-elle à Agnès De Féo. "Je suis devenue musulmane car j'ai toujours côtoyé des musulmans." Émilie König devient barmaid dans une boîte de nuit. Elle a deux enfants.

 "Elle était très seule". En 2010, Émilie Köning ne sort plus sans niqab. "Elle venait prier le vendredi à la mosquée, à Lorient", a raconté à Ouest-France un responsable de l'Association culturelle et islamique locale, dont elle a été éloignée après avoir distribué des tracts salafistes. Deux ans plus tard, elle se rend au tribunal de Lorient intégralement voilée et filme son altercation avec un agent de sécurité, qui lui demande de se découvrir. La vidéo est postée sur Youtube.

 Elle est en Syrie ? Qu'elle y reste !

Le père d'Émilie König, à Ouest-France
 
La même année, Émilie König déménage en banlieue parisienne et traque l'amour sur les réseaux sociaux salafistes. "Elle cherchait un homme désespérément, elle était très seule", se souvient Agnès de Féo. À distance, elle épouse un combattant se trouvant déjà en Syrie et décide de le rejoindre, confiant ses fils à sa mère.

Une propagande intense. Émilie devient alors "Ummu Tawwab" (la mère qui pardonne). Sur les réseaux de propagande, elle diffuse des dizaines de vidéos appelant au djihad, entièrement voilée, maniant parfois des armes. Dans l'une d'entre elles, elle s'adresse à ses enfants : "n'oubliez pas que vous êtes musulmans". Dans d'autres, elle appelle à commettre des actions violentes. Selon Libération, la jeune femme aurait convaincu plus de 200 femmes françaises de rejoindre l'organisation État islamique. "C'est une dure. Sur zone, elle a très probablement été en contact avec Hayat Boumedienne, la veuve d'Amedy Coulibaly, le terroriste de l'Hyper Cacher", juge un policier du renseignement intérieur, interrogé par la même source.

En 2015, la Bretonne est la première femme à rejoindre la liste américaine des "combattants terroristes étrangers". "C'est une personnalité dans la communauté djihadiste, elle est très active sur les réseaux sociaux, sert à la propagande et au recrutement de volontaires", confie alors un responsable de la lutte antiterroriste. "Elle est en Syrie ? Qu'elle y reste !" lance son père, interrogé par Ouest-France. Sa mère continue, elle, d'élever ses deux petits-enfants. Émilie König, qui a eu un autre fils de son deuxième mari, mort en Syrie, puis deux filles, est désormais emprisonnée dans un camp de réfugiés kurdes. Les modalités de son éventuel retour en France, où elle est visée par plusieurs procédures judiciaires, ne sont pas connues.

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Saint-Sylvestre : feu d’artifice de violences – JT TVL 2 janvier 2018

A la une de cette édition, retour sur la nuit de violences de la Saint-Sylvestre ! Alors que la plupart des Français ont célébré le passage à la nouvelle année dans une ambiance festive, le nombre de dégradations et de véhicules incendiés a augmenté par rapport à l’année dernière avec en point d’orgue l’agression de deux policiers à Champigny-sur-Marne, dans le Val-de-Marne.

Source et Video

Le message de Noël : l’Évangile du migrant selon François

Depuis plus de deux mille ans, les quatre évangiles, ceux de Matthieu, Marc, Luc et Jean, relatant la vie de Jésus et son enseignement, soutiennent la foi des fidèles. Dès les temps primitifs de l’Église catholique, les autorités ont protégé leur ouailles des fausses mystiques en interdisant des textes sur la vie du Christ mensongers et au souffle gnostique que l’on nomme communément « les évangiles apocryphes ». Mais depuis l’avènement de Jorge Maria Bergoglio sur le siège pétrinien, il existe comme un cinquième évangile, un évangile à l’esprit mondialiste, l’Évangile du migrant selon François !

De fêtes religieuses en journées mondiales de ci de ça, aux rencontres internationales, le pape jésuite revisite les évangiles pour en donner une synthèse toute personnelle centrée sur la figure du migrant, le nouvel Adam des temps post-modernes, incarnation ultime d’un Christ immigré…

Ce dernier Noël n’a pas failli à la règle : le « réfugié » fut au cœur du sermon bergoglien. Au cours d’une messe célébrée à 21 h 30, parce qu’en Notre Temps d’homo festivus où tout le monde s’éclate jusqu’à point d’heure, où les papes post-concile font des marathons sociaux et œcuméniques à chaque voyage apostolique, il semble cependant de plus en plus infaisable de rester éveillé jusqu’à minuit pour commémorer l’Enfant-Dieu -, Marie, Joseph et l’enfant Jésus sont devenus de mythiques migrants dans la bouche du pontife argentin :

« Par décret de l’empereur, Marie et Joseph se sont vus obligés de partir. Ils ont dû quitter leurs proches, leur maison, leur terre… Dans leur cœur, ils étaient pleins d’espérance et d’avenir à cause de l’enfant qui était sur le point de naître; leurs pas, au contraire, étaient chargés d’incertitude et des dangers propres à qui doit quitter sa maison.

« […] À Bethléem, s’est ouverte une petite brèche pour ceux qui ont perdu leur terre, leur patrie, leurs rêves; même pour ceux qui ont cédé à l’asphyxie causée par une vie renfermée.  […] Dans les pas de Joseph et de Marie, se cachent de nombreux pas. Nous voyons les traces de familles entières qui, aujourd’hui, se voient obligées de partir. Nous voyons les traces de millions de personnes qui ne choisissent pas de s’en aller mais qui sont obligées de se séparer de leurs proches, sont expulsées de leur terre. »

Le parallèle que fait le pape François entre la Sainte Famille et les familles de migrants est plutôt tirée par les cheveux : la sainte Famille n’allait-elle pas se faire recenser à Bethléem, pays de leurs ancêtres ? Retour aux racines, aux sources, à l’identité première… tout le contraire en somme d’un migrant qui s’exile loin de sa terre ancestrale !

Pour appuyer sa gentille fable mondialiste de cette avant-nuit de Noël, et conjointement la loi immigrationniste préconisant le droit du sol à la place du droit du sang rejetée en Italie quelques jours auparavant, le pape François n’en est pas à une incongruité près : Jésus devient un chantre de la citoyenneté globale, il est

« celui qui vient nous donner à tous le document de citoyenneté. Celui qui, dans sa pauvreté et dans sa petitesse, dénonce et manifeste que le vrai pouvoir et la liberté authentique sont ceux qui honorent et secourent la fragilité du plus faible » ;

les bergers juif, des étrangers en Israël : 

« des hommes et des femmes qui devaient vivre en marge de la société, […] païens, pécheurs et étrangers ».

Ppour bien faire passer son message immigrophile, il a poursuivi son prêche en appelant les fidèles non à une conversion spirituelle mais à une conversion sociétale :

« la foi de cette nuit nous porte à reconnaître Dieu présent dans toutes les situations où nous le croyons absent »,

« nous incite à faire de la place à une nouvelle créativité sociale, à ne pas avoir peur de faire l’expérience de nouvelles formes de relation dans lesquelles personne ne doit sentir qu’il n’a pas de place sur cette terre ».

Afin qu’en « l’Enfant de Bethléem » professe le pontife argentin,

« nous n’ayons pas peur de prendre dans les bras, de soulever et d’embrasser celui qui a soif, l’étranger, celui qui est nu, celui qui est malade, le détenu »

« En cet Enfant, Dieu fait de nous des protagonistes de son hospitalité. »

Et pour conclure en beauté cette envolée altruiste, l’Enfant-Dieu dans cet Évangile du migrant selon François, n’est pas seulement le migrant-type, mais aussi le révolutionnaire et l’idéologue immigrophile, bâtisseur d’un meilleur des mondes melting-pot :

« Que ta tendresse révolutionnaire nous amène à nous sentir invités à prendre en charge l’espérance et la tendresse de nos gens. »  

Francesca de Villasmundo

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Armé d’un sécateur et au cri de « Allah Akbar », un « déséquilibré » perturbe la messe de Noël à la basilique Notre-Dame-de-la-Garde

Un individu est entré dans la basilique Notre-Dame-de-la-Garde, à Marseille, et y a perturbé la messe de Noël, armé d’un sécateur, en criant « Allah Akbar ».

L’individu a été interpellé par la police et interné en hôpital psychiatrique. Comme d’habitude, il nous est présenté comme un « déséquilibré ».

Son irruption à Notre-Dame-de-la-Garde a pu se faire malgré les 54.000 policiers, 36.000 gendarmes et 7.000 militaires de l’opération Sentinelle mobilisés en France pour sécuriser les fêtes de Noël, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur.

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L’imam marseillais qui prêche le djihad

Mi-décembre, la mosquée As-Sounna, située en plein cœur de Marseille, a été fermée pour six mois par le préfet de police des Bouches-du-Rhône. A cause des prêches de l’imam Hadi Doudi. Il exhortait au djihad et son influence s‘étendait, et s’étend encore, bien au-delà des murs islamiques.

Dans une enquête parue hier, jour de la nativité, le quotidien Le Figaro revient sur l’activité salafiste d’As-Sounna. Djihad et loi du talion étaient les principaux enseignements de Hadi Doudi, enseignements qui se répandent dans toute la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, jusqu’au confins avec l’Italie.

« Nous ne créons pas de problème, nous obéissons toujours au “gouverneur” (pouvoir en place).” L’homme, qui s’exprime à deux pas de la mosquée marseillaise As-Sounna, fermée pour six mois par les autorités à la mi-décembre pour les prêches de son imam radical, se revendique salafiste. “La fermeture de la mosquée est une attaque contre les musulmans ! Si un prêtre est accusé de pédophilie, ils ne ferment pas son église ! » (Le Figaro) 

Pourtant la fermeture de la mosquée a pour base un document de 45 pages qui retrace l’activité du temple salafiste du 2012 au 2017. En particulier, les enquêteurs ont répertorié une trentaine de prêches en arabe de l’imam Abdelhadi Doudi et d‘autres autorités musulmanes. L’objectif des enseignants religieux est clair : légitimer le djihad, tuer les mécréants et les adultères ainsi que les juifs, lapider les femmes et adopter la loi du talion. Même selon le vice-président du conseil régional du culte musulman, Abderrahmane Ghoul, l’influence de Doudi s’étend jusqu’à Vitrolles, Avignon ou Aix-en-Provence.

La mosquée forme les musulmans au salafisme dès le plus jeune âge puisque son école coranique accueille les enfants à partir de 5 ans. Elle inspire aussi les étudiants. Comme le précise la préfecture

« les prêches influencent les habitants du quartier et dans les écoles les étudiants reprennent les discours de haine tenus dans la mosquée, au point que les jeunes légitiment des attaques comme celle de Charlie Hebdo ».

Combien de mosquées visibles ou dissimulées, combien d’imams en France, avec le même profil, la même activité ? Par-ci, par-là, le gouvernement ferme un temple salafiste pour faire croire aux Français qu’il agit contre l’islamisme et par corrélation le terrorisme. Et en continu, la France accueille des « clandestins » musulmans dont on ne connaît pas le passé et dont on ne peut sereinement envisager l’avenir. Puisque régulièrement une voix officielle en Europe admet, même si cela est à contre cœur, que parmi eux se cachent de nombreux djihadistes…

Francesca de Villasmundo

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Allemagne – Un Afghan poignarde une jeune fille de 15 ans dans un supermarché

Allemagne – Un jeune immigré afghan de 15 ans a poignardé une jeune fille allemande du même âge à Kandel, en Rhénanie-Palatinat.

L’agression mortelle avait été précédée d’une première altercation entre l’agresseur et sa victime dans une pharmacie, selon le parquet de Landau et la préfecture de police de Rhénanie-Palatinat.

La jeune fille a succombé à ses blessures à l’hôpital.

Des clients du supermarché ont immobilisé le criminel afghan jusqu’à l’arrivée de la police.

Source : Merkur.de
 

Un individu menace d’égorger les fidèles lors d’une messe à Mantes-la-Jolie en présence du maire

C’est au détour d’un bref article publié seulement le 29 décembre par Le Parisien qu’on apprend qu’un individu a interrompu la fin de la messe du dimanche 24 décembre en l’église Saint-Jean-Baptiste, dans le quartier du Val-Fourré, en menaçant d’égorger les fidèles !

Il est symptomatique de constater que cette information fait l’objet d’une simple brève publiée en catimini dans un journal régional alors que les faits se sont pourtant déroulés en présence du maire de Mantes-la-Jolie, Raphaël Cognet (LR).

Le maire et le curé de l’église du Val-Fourré ont d’ailleurs porté plainte contre l’individu qui n’a toujours pas été retrouvé. Bien sûr, selon la formule consacrée, il s’agirait d’un « déséquilibré ».

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« Trop de viols par les immigrés » : les femmes suédoises se révoltent

A Malmö, les femmes suédoises ont manifesté pour protester, avant Noël, contre la vague de viols qui déferle sur leur ville. Elles ont été une centaine à descendre dans la rue pour contester le chef de la police locale et la façon dont est gérée la sécurité.

Le dernier atroce épisode concernait une jeune fille de 17 ans violée et torturée par un gang d’immigrés.  « Il s’agit d’un crime horrible, particulièrement grave et avec une violence extrêmement brutale », a déclaré Andy Roberts, chef de la police de secteur à North Malmo au Helsinborg Dagblad. C’est le troisième cas en trois semaines, en plein centre de la ville suédoise et c’est la troisième fois en une semaine que les auteurs sont identifiés au sein de bandes d’immigrés qui arrêtent et violentent les femmes.

La seule réponse de la police fût un laconique communiqué du responsable local :

« Ne vous aventurez pas seules dans la ville, après le coucher du soleil. »

Une déclaration qui a mis en colère les Suédoises. Mais non pas à cause de l’immigration invasive comme l’on pourrait le croire. Non ! à l’avant-garde dans la lutte pour l’égalité des droits cette déclaration sonne pour elles comme l’échec de toutes les politiques égalitaristes. D’où cette protestation publique de la part des féministes de Suède. Jamais le couvre-feu pour les femmes n’avait été envisagé quand la Suède était montrée comme le modèle d’intégration et de cohabitation entre toutes les cultures et les ethnies… modèle qui tombe en ruine et laisse apparaître son vrai visage conflictuel.

Pour faire front, le porte-parole de la police locale, Anders Nilsson, a admis que son communiqué était maladroit et confus tout en précisant :

« C’est une question de bon sens. Nous n’avertissons pas les gens de ne pas être dehors, mais de réfléchir à deux fois et peut-être de ne pas marcher seuls tard dans la nuit et d’aller plutôt avec les autres ou de prendre un taxi. »

Car garantir la sécurité des personnes à Malmö est devenu une urgence absolue.

A quelques mois de distance, les paroles de Donald Trump qui comparait la Suède à une poudrière sur le point d’exploser à cause de l’importante présence d’immigrés islamistes prennent une dimension prophétique. Pourtant, à l’époque, elles furent la cible de l’ironie et des contestations de la part du gouvernement suédois. Aujourd’hui, à la lumière de l’attentat de Stockholm et des nombreux viols de la région de Malmö, ces déclarations vont relues avec un autre regard et beaucoup plus de sagesse…

Francesca de Villasmundo

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L’Etat Islamique revendique l’attentat contre une église copte qui a fait neuf morts

Egypte – Un attentat revendiqué par l’Etat Islamique a frappé une église copte du Caire et fait au moins neuf morts.

Outre les neuf victimes, le terroriste est également mort dans l’attaque, abattu par la police.

Selon la chaîne de télévision d’Etat, un officier de police figure parmi les personnes tuées dans l’attaque, qui a eu lieu à Helwan, une banlieue au sud de la capitale. Le terroriste a également blessé cinq gardes de sécurité qui assuraient la protection de l’église.

 Le terroriste a commencé à ouvrir le feu à l’extérieur de l’église puis a tenté de pénétrer à l’intérieur du lieu de culte chrétien avant d’être abattu par la police. La police est à la recherche d’un possible autre terroriste en fuite.

En avril 2017, 45 personnes avaient été tuées dans deux attaques suicide revendiquées par l’Etat Islamique en pleine célébration des Rameaux à Alexandrie, deuxième ville du pays, et Tanta, dans le nord de l’Egypte. En mai, le groupe djihadiste avait revendiqué une autre attaque contre un bus de pèlerins coptes qui s’était soldée par la mort de 28 personnes.

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Invasion migratoire : Europe centrale, terre de résistance

Les pays de la Mitteleuropa ne considèrent pas l’immigration comme une chance…  Paru en ce jour sur le site FdeSouche, une carte mise en ligne sur Twitter le 22 décembre par le site Europe Elects révèle les résultats d’un sondage posant la question suivante : « Pensez-vous que l’immigration extra-européenne est plutôt un avantage ou un inconvénient pour l’Europe ? »

Les résultats sont sans appels :

Hongrie : AVANTAGE 4 % – INCONVENIENT 89 % – SANS OPINION : 7 %

Slovaquie : AVANTAGE 8 % – INCONVENIENT 89 % – SANS OPINION : 3 %

Tchéquie : AVANTAGE 9 % – INCONVENIENT 88 % – SANS OPINION : 7 %

Bulgarie : AVANTAGE 14 % – INCONVENIENT 80 % – SANS OPINION : 6 %

Croatie : AVANTAGE 14 % – INCONVENIENT 74 % – SANS OPINION : 12 %

Serbie : AVANTAGE 19 % – INCONVENIENT 73 % – SANS OPINION : 8 %

Roumanie : AVANTAGE 20 % – INCONVENIENT 75 % – SANS OPINION : 5 %

Slovénie : AVANTAGE 23 % – INCONVENIENT 68 % – SANS OPINION : 9 %

Pologne : AVANTAGE 25 % – INCONVENIENT 59 % – SANS OPINION : 16 %

Autriche : AVANTAGE 26 % – INCONVENIENT 63 % – SANS OPINION : 11 %

Allemagne : AVANTAGE 33 % – INCONVENIENT 58 % – SANS OPINION : 9 %

Oui, même l’Allemagne… Décidément, cet élargissement de l’Union Européenne à l’Europe centrale est intéressant. Notons également qu’à l’exception de l’Autriche, tout ces pays ont connu une longue période de communisme, donc de résistance à une occupation étrangère, résistance fondée sur la religion et le nationalisme. La chanson disait : « A l’est la dictature des barbares communistes, à l’ouest la pourriture de l’égout matérialiste ». Visiblement, on survit mieux au premier qu’au second…

Hristo XIEP

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Réveillon : pour éviter les agressions envers les femmes, Berlin les enferme dans un ghetto

Tout le monde se souvient encore des agressions sexuelles massives commises surtout par des migrants envers les femmes à Cologne, et autres villes d’Allemagne, lors du réveillon de fin d’année de 2016. Les images avaient fait le tour des réseaux sociaux et des médias de ré-information. Et les témoignages des victimes faisaient froid dans le dos.

Depuis l’ange noir du peuple allemand, Angela Merkel, n’a pas mis pour autant un holà aux vagues migratoires qui submergent le territoire germanique. Ni à l’utopique « vivre-ensemble » dont elle se repaît sur le dos de ses concitoyennes.

Mais il faut bien protéger, spécialement à l’approche des fêtes de la Saint-Sylvestre, la gente féminine de ces hordes de mâles extra-communautaires éduqués dans l’irrespect du sexe faible. La municipalité de Berlin a donc eu une idée lumineuse : pour le réveillon du Nouvel An, une zone de la ville sera exclusivement réservée aux femmes ! Quelqu’un, fort à propos, l’a comparée à un ghetto… Les femmes inverties s’y trouveront peut-être à leurs aises mais certainement pas les femmes normales…

Les autorités publiques ont communiqué sur les différentes mesures de sécurité mises en place pour cette dernière nuit de l’année. Et parmi les diverses procédures, cette innovation a soulevé bien des contestations et a fait la une des journaux allemands mais pas uniquement. Un porte-parole des forces de l’ordre berlinois a confirmé au quotidien britannique The Daily Telegraph que les policiers surveilleront particulièrement cette zone afin de garantir la sécurité des femmes présentes.

Les policiers, en outre, patrouilleront, en uniforme ou en civil, avec des cameras portatives sur leur casquette, l’espace devant la Porte qui, pour toute la durée du réveillon, sera bondé de centaines de milliers de personnes. Les sacs particulièrement volumineux sont interdits, les sac-à-dos, les bouteilles en verre, et la consommation d’alcool. 1 600 hommes seront mis en renfort de ceux déjà en service.

Berlin espère ainsi, en parquant les femmes dans une zone hyper-surveillée, éviter les massives agressions sexuelles des fêtes de fin d’année.

En Allemagne ce sont donc les femmes que l’on met dans « des camps » pour les protéger des « réfugiés »… le monde à l’envers !

Francesca de Villasmundo

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Bruxelles : une grande mosquée sous influence salafo-wahhabite ?

Un rapport parlementaire préconise de rompre la convention liant l’État belge et l’Arabie saoudite en charge de la gestion de la Grande Mosquée qui professerait un «islam salafo-wahhabite» contraire aux valeurs belges.

Le directeur de la Grande Mosquée, Tamer Abou el-Saod, est catégorique. En cette fin d’après-midi, il nous reçoit dans son bureau au deuxième étage de la plus belle mosquée de Bruxelles. […] L’entretien, lui-même, est improvisé. Cet ancien consultant, de nationalité suédoise, n’est pourtant pas surpris de nous voir. Depuis les attentats de Bruxelles qui ont fait 32 morts le 22 mars 2016, la Grande Mosquée, cédée il y a près de 50 ans au roi Fayçal d’Arabie saoudite, est pointée du doigt.

Fin octobre, la commission parlementaire belge chargée d’enquêter sur les causes de ces attentats a rendu des conclusions accablantes, après l’audition des responsables de la mosquée. Elle affirme, entre autres, que l’islam prêché dans l’établissement depuis cinquante ans « peut être catégorisé comme salafo-wahhabite », et est vecteur de repli communautaire, en contradiction avec la Convention européenne des droits de l’homme. Principal responsable, selon elle : la Ligue islamique mondiale, un réseau religieux basé à Riyad, qui gère plusieurs mosquées en Europe, dont celle de Bruxelles.

 
 
 
 
 

Tamer Abou el-Saod fait partie de cette ligue. Il a dû remplacer au pied levé son prédécesseur, rappelé à Riyad après une audition jugée troublante devant la commission d’enquête. Aujourd’hui, c’est lui qui est en difficulté. Il s’est vu retirer en octobre sa carte de séjour par le ministre de l’Immigration, Théo Francken, qui affirme avoir reçu des « signaux très clairs d’un homme très radicalisé, très conservateur ». Le nouveau directeur balaie ces accusations. « Ce sont des gens modérés qui viennent ici. » Cette mauvaise image de la Grande Mosquée, c’est avant tout un problème de communication. « Nous n’avons peut-être pas été assez ouverts par le passé », reconnaît-il. […]

Le Point

Merci à PierreTerrail

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Allemagne/extrême droite: controverse après un tweet anti-réfugiés

Une polémique a éclaté mardi en Allemagne après le retrait forcé des réseaux sociaux, en vertu d'une nouvelle loi, d'un message anti-réfugiés de l'extrême droite.

Le parquet de la ville a indiqué en parallèle avoir été saisi de plusieurs centaines d'autres plaintes sur le même sujet provenant de particuliers.

Dans un message diffusé sur ses comptes Twitter et Facebook après le Nouvel An, la députée avait dénoncé le fait que la police de Cologne ait publié ses messages de prudence et d'information à la population locale également en arabe pour la Saint-Sylvestre.

"Que diable se passe-t-il dans ce pays ? pourquoi la police publie-t-elle désormais ses messages officiels en arabe ?", s'est emportée Beatrix von Storch.

"S'adresse-t-elle par ce biais aux hordes d'hommes barbares, musulmans et violeurs pour chercher à les amadouer ?", a-t-elle ajouté. Une référence explicite aux agressions sexuelles dont avaient été victimes de nombreuses femmes à Cologne lors du Réveillon de la Saint-Sylvestre 2016 de la part de jeunes migrants, une affaire qui avait scandalisé le pays.

Tant Twitter que Facebook ont retiré le message controversé des comptes de l'élue AfD, en vertu d'une nouvelle législation en Allemagne visant à sanctionner plus durement les prises de position considérées comme incitant à la haine sur les réseaux sociaux.

Entrée en vigueur au 1er janvier, cette loi oblige les plateformes comme Facebook, Twitter ou YouTube à supprimer le plus souvent dans un délai de 24 heures les messages au contenu pénalement punissables, sous peine de fortes amendes.

Le co-président de l'AfD, Alexander Gauland, a dénoncé une législation "liberticide". "Ces méthodes dignes de la Stasi me rappelle la RDA", a-t-il dit mardi, en référence à l'ancienne police politique du régime communiste.

Beatrix von Storch a elle parlé de "la fin de l'Etat de droit en Allemagne".

L'AfD a enchaîné les succès électoraux en Allemagne depuis l'arrivée de plus d'un million de demandeurs d'asile en 2015, en provenance notamment de Syrie.

Le parti d'extrême droite a réussi en septembre à faire son entrée à la chambre nationale des députés, compliquant sérieusement la tâche de la chancelière Angela Merkel pour y trouver une majorité et former un gouvernement.

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Nouvel an: hausse du nombre de véhicules incendiés par rapport à 2016

Dans un communiqué, le ministère de l'Intérieur rapporte que plus d'un millier de véhicules ont été brûlés durant la nuit de la Saint-Sylvestre.

Le nombre de "désordres" de la Saint-Sylvestre de 2017 est en légère hausse par rapport à celui de l'année précédente. Au cours de la nuit de dimanche à ce lundi, 1031 véhicules ont été incendiés et 510 personnes ont été interpellées en France, selon des chiffres publiés sur Twitter par le ministère de l'Intérieur via communiqué. 

La nuit de dimanche a notamment été marquée par la violente agression dont ont été victimes deux policiers à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne). Au total, le ministère de l'Intérieur a comptabilisé huit policiers et trois militaires de l'opération Sentinelle blessés. 

8 policiers et 3 gendarmes blessés

Dans le communiqué, il est écrit que le ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb, "fait part de sa profonde gratitude aux 140 000 policiers, gendarmes, militaires, sapeurs-pompiers et personnels des associations de secours" qui ont été mobilisés dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier. Un propos tenu par le locataire de la place Beauvau en début de soirée, lorsqu'il s'est rendu à Champigny-sur-Marne pour afficher son soutien aux forces de l'ordre.  

Dans sa déclaration liminaire, Gérard Collomb en a profité pour préciser que, malgré la violence des images dans lesquelles on voit une policière se faire rouer de coups à terre, la nuit de la Saint-Sylvestre s'était bien passée dans l'ensemble.  

"On a cependant, comme chaque année, pu constater un certain nombre de désordres", tempère le communiqué du ministère. La nuit du 31 décembre 2016, seuls 935 véhicules avaient été incendiés, soit près d'une centaine de moins que cette année. Le nombre d'interpellés est également supérieur à celui de 2016 (454). "Au cours de ces opérations [d'interpellation], 8 fonctionnaires de police et 3 militaires de la gendarmerie ont été blessés", déplore le communiqué, avant de développer sur l'incident particulier de Champigny-sur-Marne.

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Deux islamistes radicaux interpellés

Paris Vox-  La Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI) a interpellé deux islamistes radicaux. Un des deux suspects vivait en agglomération parisienne. 

Bien que l’on en parle moins actuellement, la menace terroriste plane malheureusement toujours sur la France. En témoigne l’information révélée par nos confrères du Figaro. Deux personnes, une femme et un homme, ont été interpellées par la DGSI le 18 et le 22 décembre dernier.

La DGSI indique que les deux suspects interpellés avaient des projets d’attentats sur le territoire national. L’une des personnes interpellées vivait en région lyonnaise et l’autre en région parisienne. Rien n’atteste de liens à ce jour entre ces deux personnes. La DGSI fait état d’activités sur les réseaux sociaux et de liens avec des membres de groupes terroristes tel l’Etat Islamique.

Si les projets n’étaient pas aboutis selon le Figaro, plusieurs repérages auraient été faits dans les deux affaires. Alors que l’un voulait s’en prendre à des militaires, le second souhaitait s’attaquer à des forces de l’ordre.

Il faut souligner, que lors des perquisitions, aucune arme n’a été découverte chez ces islamistes radicaux.

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Le vivre-ensemble a encore frappé

La nuit du 31 décembre a été émaillée de son lot de violences et de voitures brûlées, comme chaque année. Pour assurer la sécurisation du 31 décembre, ce sont 56000 policiers, 36000 gendarmes, 7000 militaires de l’opération « Sentinelle » et 39800 sapeurs-pompiers, sapeurs-sauveteurs et démineurs, soit un total de 139 400 effectifs des forces de sécurité, qui étaient mobilisés sur l’ensemble du territoire.

Outre les centaines de voitures brûlées, partout en France, 3 policiers ont été blessés à Champigny-sur-Marne, dans le Val-de-Marne, lors de leur intervention en marge d’une soirée qui a dégénéré. Un capitaine et une policière se sont vus prescrire respectivement 8 et 7 jours d’ITT, et un policier a été légèrement contusionné. Le commissariat local a été saisi de l’enquête. Plusieurs vidéos postées sur les réseaux sociaux montrent un groupe de voyous lyncher une femme policière. Sur cette affaire, ce sont les réseaux sociaux qui ont répandu l'information, la presse commerciale n'a fait que suivre. Emmanuel Macron et Gérard Collomb ont réagi.

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Ce que l’on sait sur l’agression de deux policiers à Champigny-sur-Marne le soir du réveillon

Deux policiers qui intervenaient après une rixe à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) lors d’une soirée de la Saint-Sylvestre dimanche ont été pris à partie et passés à tabac. Les deux policiers de Chennevières-sur-Marne faisaient partie d’un groupe d’intervention appelé aux environs de 23h pour évincer plusieurs dizaines de personnes qui tentaient de s’introduire dans une soirée privée organisée dans un hangar à Champigny-sur-Marne :

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Moins de voitures brûlées à la Saint-Sylvestre : une forêt sous laquelle couvent des braises ?

Lors de la nuit du Nouvel An 2016, sur l’ensemble du territoire national, ce ne sont pas moins de 650 voitures qui avaient été incendiées, et près de 450 individus interpellés par les forces de l’ordre. La fin de l’année 2017 semble avoir été plus calme. En effet, à part une dizaine de véhicules détruits par le feu à Valence et à Romans-sur-Isère, et des échauffourées entre policiers et jeunes des quartiers à Creil, Montataire et Beauvais, lesquelles ont abouti à la destruction d’une autre dizaine de véhicules, il semblerait que l’année 2018 commence sous de meilleurs auspices que les précédentes.

Bien entendu, il convient de ne pas oublier les heurts, maintenant traditionnels, qui ont eu lieu à Strasbourg, Colmar et Mulhouse, mais rien à voir avec les scènes de violences urbaines quasi généralisées auxquelles nous avions assisté ces dernières années. On ne peut donc que se réjouir de ces progrès. Toutefois, il convient de ne pas sombrer dans la naïveté. Car on sait aussi que ce genre d’informations est très contrôlé, et que les chiffres susceptibles de noircir un tableau politique avantageux sont le plus souvent délivrés avec parcimonie.

Premier indice de ce contrôle rigoureux, le peu de chiffres délivrés sur le sujet par les médias nationaux. À commencer par les chaînes d’information en continu, lesquelles se sont montrées – c’est le moins que l’on puisse dire – peu prolixes sur le sujet. Ensuite, la tendance à la minimisation des phénomènes observés. Alors que, les années précédentes, de larges commentaires étaient faits sur le nombre des interpellations et celui des policiers blessés, cette année, silence sur les ondes. Enfin, la technique de la diversion qui, en ce début d’année, aura été servie par un règlement de comptes à coups de kalachnikov, assez providentiel, à Marseille. Il est vrai que, quinzième du genre en douze mois, et premier de l’année 2018, plus personne, ou presque, n’y fait plus attention !

Néanmoins, et pour être complet, trois facteurs peuvent avoir contribué à la baisse du nombre des exactions habituellement observées en cette période de fêtes. Tout d’abord, le nombre des forces de l’ordre engagées. Près de 140.000 policiers, gendarmes, militaires et sapeurs-pompiers ont ainsi contribué au maintien de la paix publique lors de cette nuit du Nouvel An. Ils étaient plus de 10.000 en Île-de-France, et pas moins de 2.000 pour la seule avenue des Champs-Élysées. Un dispositif jamais atteint, mais justifié par des menaces d’attentats encore très prégnantes. Ensuite, une volonté politique forte de ne pas « rater » ce premier rendez-vous sécuritaire majeur. Ainsi, les moyens colossaux développés étaient-ils à la mesure de cet enjeu important, et la saturation de l’espace public en effectifs policiers aura sans doute permis de faire face efficacement à la situation. Enfin, une raison plus subjective, mais que tout responsable de la sécurité publique ne peut écarter : la volonté de certains caïds de nos quartiers sensibles de ne pas trop se faire remarquer. En effet, un récent rapport de l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies, faisait remarquer la prospérité des trafics de drogue dans plusieurs villes de France au nombre desquelles Paris, Lille, Lyon, Marseille ou encore Bordeaux, Metz, Toulouse et Rennes. Et ce document de souligner les efforts des trafiquants « pour satisfaire les demandes des usagers en diversifiant les techniques de vente » et « en multipliant les produits ». Or, tout le monde sait que les débordements trop importants, qui génèrent l’arrivée massive de policiers et de gendarmes dans les quartiers concernés, sont mauvais pour « les affaires ».

 Alors, moins de voitures brûlées en 2018 ? Sans doute, et tant mieux. Mais l’arbre de cette nuit de la Saint-Sylvestre 2018 ne cache-t-il pas une forêt sous laquelle couvent des braises qui tôt ou tard risque de s’enflammer à son tour ?

NDLR : depuis l’écriture et la publication de cet article, les chiffres ont été revus à la hausse et le nombre de véhicules incendiés durant la nuit de la Saint-Sylvestre a, en réalité, augmenté par rapport à l’an dernier.

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