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mardi, 19 mai 2009

Lutter contre la prolifération des mosquées en France, c’est possible, c’est nécessaire

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Une Grande Mosquée à Bordeaux, pour Alain Juppé, le maire UMP de la ville, c’est plus que concevable : souhaitable ! Pas pour les Bordelais, qui sont en train de se réunir au sein d’un Collectif contre la Grande Mosquée constitué par Bruno Larebière, rédacteur en chef de Minute et directeur de la rédaction du Choc du mois.

Monde & Vie : A Bordeaux, c’est le choc des civilisations ?

Photo 063.jpgBruno Larebière : [Rires] Pas encore, et nous nous efforçons justement de faire en sorte que cela n’arrive pas. Car le projet pharaonique, auquel Alain Juppé a donné son aval, c’est justement d’ériger une « mosquée cathédrale » dont la finalité est d’affirmer, de façon monumentale, que l’islam est devenu la deuxième religion pratiquée en France – on dit déjà la « deuxième religion de France » – et qu’elle est destinée à le demeurer, voire à devenir la première. Accepter cette édification, c’est l’assurance, étant donné la nature profonde de l’islam, que la confrontation aura lieu.

Pourquoi refusez-vous que les musulmans puissent pratiquer leur culte ?

Nous ne refusons pas que les Français de confession musulmane pratiquent leur culte. Ils disposent d’ailleurs pour cela de plusieurs mosquées dans Bordeaux et à la périphérie dont nous ne demandons pas la fermeture. Nous nous opposons à une « mosquée cathédrale » qui est conçue, par sa surface (plus de 11000 m2 de surface au sol), sa contenance (au moins 2000 personnes) et le complexe dit culturel qui l’accompagnerait (sur un terrain de 1,5 ha à 5 ha, on ne sait pas trop), non pas pour que les Français musulmans viennent prier, mais au bénéfice des musulmans résidant en France ou appelés à venir dans notre pays. Vous avouerez que c’est très différent !

Et ce sont les Bordelais qui paieraient ?

Pour le terrain, oui, puisque la mairie veut acquérir le terrain dont les musulmans ont besoin pour ensuite le rétrocéder pour un loyer symbolique (le fameux bail emphytéotique) à l’Association des musulmans de la Gironde! C’est même du jamais vu en France, car, dans les autres villes, les mairies cèdent des terrains dont elles prétendent qu’elles n’ont pas d’autre usage. Là, la ville de Bordeaux veut carrément l’acheter pour le leur offrir !

Alain Juppé n’y trouve rien à redire ?

Non puisque c’est lui qui en défend l’idée! Voilà un homme tout à fait étrange. D’un côté, il a eu des mots pour le moins désobligeants à l’égard de Benoît XVI après les propos de celui-ci sur le préservatif, qu’il n’avait bien sûr pas lus intégralement, en se permettant de dire que le pape commençait à « poser un vrai problème ». Dans la foulée il explique qu’il n’a pas « d’objection politique ou idéologique » à l’extension du travail dominical. Et en même temps, il défend cette Grande Mosquée, qui serait contrôlée par l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), c’est-à-dire par les Frères musulmans, soit la branche la plus radicale de l’islam !

Vous êtes certain de l’implication de l’UOIF ?

Certain, c’est écrit dans les statuts de l’Association des musulmans de la Gironde! Il suffit de lire l’article 11: « En cas de dissolution volontaire ou juridique de l’AMG, l’actif de l’association passe à l’Union des organisations islamiques de France (UOIF). » Tareq Oubrou, l’imam de Bordeaux, est d’ailleurs un ponte de l’UOIF, formé dans son école de la Nièvre, et les principaux cadres de l’UOIF viennent de Bordeaux, qui est un vivier de la radicalité.

Vous êtes opposé à cette Grande Mosquée, fort bien. Mais concrètement, que faites-vous ?

Il y a d’abord eu les actions de sensibilisation menée par le Bloc identitaire, qui ont suscité d’énormes retombées médiatiques. La première action du Collectif, qui a pris le relais pour rassembler le plus largement possible, a consisté à se rendre, mi-avril, à une conférence donnée par l’imam Oubrou devant une assistance très majoritairement musulmane. Au milieu des femmes voilées, un membre du Collectif a pris la parole pour expliquer, très calmement, pour quelles raisons civilisationnelles nous étions opposés à ce projet. Nous voulions montrer que nous sommes partout chez nous, qu’il n’est pas d’enclave musulmane à Bordeaux et que l’imam nous trouverait partout sur son chemin en terre de Chrétienté.

C’est courageux, voire téméraire, mais cela ne suffira pas à bloquer le projet…

Certes, mais cela montre notre détermination. Pour faire échouer ce projet, nous allons utiliser plusieurs moyens. Premièrement, la voie juridique. Avec un avocat spécialisé en droit administratif, nous allons porter l’affaire devant les tribunaux.

Chaque acte administratif fera l’objet d’un recours, avec des argumentations que vous me permettrez de ne pas dévoiler pour le moment.

Deuxièmement, la bataille de l’information. L’ignorance est grande, y compris au sein de la municipalité, sur la véritable nature des responsables musulmans à Bordeaux. Nous préparons un Livre noir de la Grande Mosquée, qui informera de façon extrêmement précise l’ensemble des « décideurs » bordelais (les élus bien sûr mais aussi tous ceux qui ont un poids religieux, économique, politique, culturel) de la mainmise de l’UOIF sur l’islam à Bordeaux.

Enfin, nous avons établi un partenariat avec l’Observatoire de l’islamisation, qui nous vient en aide, et bénéficions de l’appui de personnalités de tous horizons, y compris, et ce n’est qu’un exemple, d’un chercheur américain très réputé spécialiste des Frères musulmans. Il se dévoilera le moment venu.

Il ne vous manque donc rien ?

Si, il nous manque le soutien de tous ceux qui, par leur nom, par leur fonction ou par leurs compétences, peuvent renforcer la mobilisation. Et il nous manque de l’argent. Le Livre noir comme les actions en justice demandent des moyens financiers importants. Pour l’heure, nous finançons tout sur nos propres deniers. L’aide financière de tous ceux qui pensent, avec nous, que l’échec du projet de Grande Mosquée de Bordeaux peut être une victoire décisive dans le combat contre l’islamisation de la France nous est indispensable.

Propos recueillis par Eric Letty

Chèques de soutien à l’ordre de : Collectif contre la Grande Mosquée de Bordeaux, 306 bis, avenue Aristide Briand, 33700 Mérignac.
Contact : collectif-mosquee@orange.fr

SOURCE : MONDE et VIE

mardi, 09 décembre 2008

A Lausanne, comme à Bordeaux, face aux collabos des cercles du silence, la résistance s'organise...

A Bordeaux, Thibault du Réau rompt le cercle des collabos de l'exploitation des immigrés...

mardi, 26 février 2008

Bordeaux : JUPPE FAVORABLE A LA CONSTRUCTION DU CENTRE ISLAMIQUE !

772533361.jpgDans un courrier envoyé le 23 janvier dernier, et déposé en main propre le même jour au cabinet du maire, Dies Irae sommait Monsieur Juppé, actuel maire sortant de Bordeaux, de s’opposer publiquement et fermement avant le 25 février au projet de construction du centre islamique dans le quartier de la Bastide à Bordeaux.

Un mois était laissé à Monsieur Juppé et son cabinet pour revenir sur un projet initié peu de temps avant sa condamnation et son exil forcé. Un mois pour réparer l’irréparable, pour empêcher notre ville de Bordeaux de favoriser le communautarisme religieux.

N’ayant eu aucune réponse de la mairie à la-dite date, nos équipes de militants se sont alors mises en action afin de faire savoir au plus grand nombre de bordelais l’existence et les conséquences de ce dossier qui se fait si discret pendant la campagne électorale.

Ainsi, trente de nos militants se sont fait fort de distribuer au soir du 24 février, nos 20 000 tracts explicatifs, privilégiant le quartier du futur centre islamique, ainsi que les quartiers votant majoritairement UMP.

Au vue des nombreux mails de soutien que nous avons déjà reçu depuis hier soir, tout semble présager que les électeurs potentiels de M. Juppé ont été ravis d’apprendre ce qui se passe dans les coulisses des municipales 2008.

Fabrice Sorlin

Président de Dies Irae

 Il va sans dire que le réseau Les Villes contre l'islamisation apporte tout son soutien à cette remarquable opération de nos amis de Bordeaux.

mardi, 12 février 2008

Revue de presse : JUPPE SOMME DE S'EXPLIQUER SUR LE PROJET DE GRANDE MOSQUEE A BORDEAUX...

Source : Minute du 30 janvier dernier

 

929dbd0226abef80deef7828d446447e.jpgOù en est le projet de « mosquée cathédrale » de Bordeaux ? En 2005, la municipalité, alors dirigée par Hugues Martin, s’était montrée disposée à accorder un bail emphytéotique à l’Association de Musulmans de Gironde pour l’édification d’une mosquée pouvant accueillir 2 000 personnes ! Ayant retrouvé son fauteuil de maire après son exil canadien, Alain Juppé n’y avait rien trouvé à redire. Et aujourd’hui ? Alors que la campagne électorale bat son plein, le sujet est évidemment tabou et, de tous les candidats en lice, il n’y a que Jacques Colombier, tête de liste Front national, pour s’en inquiéter.

 

Fabrice Sorlin, président de l’association Dies Irae, vient donc d’écrire à Alain Juppé pour se faire le porte-parole d’« une partie non négligeable de votre fidèle électorat », celui que le maire a un peu tendance à négliger au profit des centristes. Lui rappelant que l’association porteuse du projet est très proche des fondamentalistes de l’UOIF, il écrit :« Vos électeurs s’interrogent […] sur l’attitude d’un maire participant à l’islamisation de la ville […] Une déclaration d’opposition rapide, ferme et publique de votre part permettrait de lever tous les doutes. »

 

Faute de quoi ? Dies Irae le prévient que, faute de réponse au 25 février, 20 000 tracts détaillant le projet qui doit s’étendre sur 5 hectares seront distribués dans les boites aux lettres bordelaises. Et, comme la devise de l’association, capable de mobiliser plusieurs dizaines de militants à Bordeaux, est « La Pureté dans nos cœurs, la Vérité sur nos lèvres, la Force dans nos bras », la menace n’est pas à prendre à la légère.