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mardi, 14 avril 2009

VIP au Bourget : Tareq Oubrou, Dieudonné et Alain Soral au congrès de l’UOIF

ramadandieudosoral.jpgLE BOURGET (NOVOpress) - L’humoriste Dieudonné et Alain Soral, président d’Egalité & Réconciliation et conseiller de Jean-Marie Le Pen durant la dernière campagne présidentielle, ont été les véritables vedettes du congrès de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) qui s’est tenu le week-end dernier au Bourget (Seine-Saint-Denis). L’occasion pour eux de discuter avec l’islamiste Tariq Ramadan (à gauche sur la photo).

L’hebdomadaire Minute révèle par ailleurs dans sa prochaine édition du 15 avril qu’Alain Soral et Tareq Oubrou se sont entretenus dans le salon des VIP avant leur prochaine rencontre qui aura lieu à Bordeaux le samedi 18 avril.

Contacté lundi soir par Novopress, Bruno Larebière, président du Collectif contre la Grande Mosquée de Bordeaux, déclare : « cela confirme que la personnalité doucereuse que Tareq Oubrou affiche à Bordeaux n’est que de façade ».

« Dieudonné et Alain Soral étaient au Bourget en tant que leaders d’une liste “antisioniste“ aux élections européennes en Ile-de-France. C’est à ce titre qu’ils ont été invités, à ce titre qu’ils ont été encouragés, est-ce à ce titre que l’imam Oubrou, qui prétend vouloir faire un “islam de France“, leur apporte son soutien ? » s’interroge M. Larebière qui poursuit : « Si Tareq Oubrou veut importer à Bordeaux le conflit proche-oriental, qui ne nous concerne en rien et ne peut que semer le trouble dans notre ville, qu’il ait au moins le courage de le dire. Il est décidément temps que la municipalité bordelaise rompe tout contact et cesse tout projet avec lui. »

mardi, 26 février 2008

Bordeaux : JUPPE FAVORABLE A LA CONSTRUCTION DU CENTRE ISLAMIQUE !

772533361.jpgDans un courrier envoyé le 23 janvier dernier, et déposé en main propre le même jour au cabinet du maire, Dies Irae sommait Monsieur Juppé, actuel maire sortant de Bordeaux, de s’opposer publiquement et fermement avant le 25 février au projet de construction du centre islamique dans le quartier de la Bastide à Bordeaux.

Un mois était laissé à Monsieur Juppé et son cabinet pour revenir sur un projet initié peu de temps avant sa condamnation et son exil forcé. Un mois pour réparer l’irréparable, pour empêcher notre ville de Bordeaux de favoriser le communautarisme religieux.

N’ayant eu aucune réponse de la mairie à la-dite date, nos équipes de militants se sont alors mises en action afin de faire savoir au plus grand nombre de bordelais l’existence et les conséquences de ce dossier qui se fait si discret pendant la campagne électorale.

Ainsi, trente de nos militants se sont fait fort de distribuer au soir du 24 février, nos 20 000 tracts explicatifs, privilégiant le quartier du futur centre islamique, ainsi que les quartiers votant majoritairement UMP.

Au vue des nombreux mails de soutien que nous avons déjà reçu depuis hier soir, tout semble présager que les électeurs potentiels de M. Juppé ont été ravis d’apprendre ce qui se passe dans les coulisses des municipales 2008.

Fabrice Sorlin

Président de Dies Irae

 Il va sans dire que le réseau Les Villes contre l'islamisation apporte tout son soutien à cette remarquable opération de nos amis de Bordeaux.

mardi, 12 février 2008

Revue de presse : JUPPE SOMME DE S'EXPLIQUER SUR LE PROJET DE GRANDE MOSQUEE A BORDEAUX...

Source : Minute du 30 janvier dernier

 

929dbd0226abef80deef7828d446447e.jpgOù en est le projet de « mosquée cathédrale » de Bordeaux ? En 2005, la municipalité, alors dirigée par Hugues Martin, s’était montrée disposée à accorder un bail emphytéotique à l’Association de Musulmans de Gironde pour l’édification d’une mosquée pouvant accueillir 2 000 personnes ! Ayant retrouvé son fauteuil de maire après son exil canadien, Alain Juppé n’y avait rien trouvé à redire. Et aujourd’hui ? Alors que la campagne électorale bat son plein, le sujet est évidemment tabou et, de tous les candidats en lice, il n’y a que Jacques Colombier, tête de liste Front national, pour s’en inquiéter.

 

Fabrice Sorlin, président de l’association Dies Irae, vient donc d’écrire à Alain Juppé pour se faire le porte-parole d’« une partie non négligeable de votre fidèle électorat », celui que le maire a un peu tendance à négliger au profit des centristes. Lui rappelant que l’association porteuse du projet est très proche des fondamentalistes de l’UOIF, il écrit :« Vos électeurs s’interrogent […] sur l’attitude d’un maire participant à l’islamisation de la ville […] Une déclaration d’opposition rapide, ferme et publique de votre part permettrait de lever tous les doutes. »

 

Faute de quoi ? Dies Irae le prévient que, faute de réponse au 25 février, 20 000 tracts détaillant le projet qui doit s’étendre sur 5 hectares seront distribués dans les boites aux lettres bordelaises. Et, comme la devise de l’association, capable de mobiliser plusieurs dizaines de militants à Bordeaux, est « La Pureté dans nos cœurs, la Vérité sur nos lèvres, la Force dans nos bras », la menace n’est pas à prendre à la légère.