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dimanche, 08 juin 2008

Bruxelles : la révolte des petits blancs...

Article de Philippe Vardon publié le 7 juin 2008

26539696_p.jpg"On est chez nous ! On est chez nous !"

Simple comme slogan n'est-ce pas? C'est que voyez-vous celui-ci n'a pas été forgé par un quelconque conseil scientifique ou comité de campagne présidentielle, il n'a pas été commenté et argumenté pendant douze pages dans le fil de discussion d'un forum internet. Plus qu'un slogan, il est en réalité un cri du coeur.

Depuis 15 jours, à Anderlecht, des Européens font face chaque week-end à la racaille qui déferle de tout Bruxelles(1). On a lu ici ou là qu'il s'agirait de terribles hooligans, ce terme tendant désormais à désigner tout supporter blanc moyennement résigné à se fondre dans le moule mondialisé et sans saveurs du foot business(2). Dernier espace rebelle et sourd aux merveilles du "vivre-ensemble" les tribunes de foot? Quoi qu'il en soit, supporters ou pas, politisés ou pas(3), les petits blancs se rebiffent! Et l'on oublie juste d'expliquer que les premiers accrochages ont pour cause le viol dégueulasse d'une petite belge de 14 ans par de sympathiques "chances pour la Belgique".(4)

J'entends déjà les avis autorisés de la révolution européenne expliquer que c'est n'importe quoi! De la réaction épidermique, de la xénophobie de beauf', de l'anarchie, des bandes de racailles blanches. Oui, oui, certainement... Sauf que pour moi mon petit gars, ça s'appelle de la Reconquista. Mur après mur, rue après rue, place après place, quartier après quartier.

Dans cette même ville de Bruxelles, on a vu jeudi les pêcheurs français et italiens expliquer de manière très concrète à la Commission Européenne ce qu'ils pensaient du stalino-jacobinisme qui empêche aujourd'hui des milliers d'hommes de vivre de leur travail (on aimerait bien que la Commission soit aussi sourcilleuse avec les porcs qui vivent comme des princes grâce au capital amassé sur le travail - ou le licenciement! - des autres).

Enfin, à Anderlecht toujours, les policiers ont déposé un préavis de grève suite à la remise en liberté du sieur Mimoun par le Parquet de Bruxelles lundi matin. Ce sympathique "allochtone" avait tiré sur un Belge samedi soir dans un café. Cette réaction de policiers exaspérés par la situation à laquelle ils doivent faire face et (surtout) par la lâcheté de la justice me semble être un signal très fort.

Pour sûr, il y a quelque chose de pourri au royaume de Belgique. Tout comme il est certain qu'il y a là-bas quelques leçons de courage à prendre.

(1) Ville où il est bon de rappeler que sur les dix premiers prénoms donnés aux nouveaux-nés, sept sont à consonance arabe!

(2)Jean-Michel Aulas - dirigeant de l'Olympique Lyonnais et assassin du football populaire - aurait souhaité que le Trophée des Champions qui voit chaque année s'affronter vainqueur du championnat et vainqueur de la coupe ait lieu à Chicago ou Goa en Inde...
(3)Voir l'excellente et courageuse prise de position du mouvement NATION.
(4) Après le viol collectif pour un GSM, les familles des victimes du Parc Astrid ont reçu des menaces

 

 

samedi, 24 mai 2008

Affaire L'Oréal : l'AGRIF intente un procès à Jean-Paul Agon...

772533361.2.jpgLe jeudi 15 mai dernier marque une étape importante dans le combat de l’AGRIF pour faire respecter notre identité française et chrétienne. Devant la XVIIème chambre correctionnelle se tenait l’audience du procès intenté par l’AGRIF à Jean-Paul Agon, directeur général de L'Oréal pour ses propos concernant les méthodes de recrutement de son groupe. « Un candidat qui a un prénom d’origine étrangère, il a plus de chance d’être recruté que celui qui porte un prénom français de souche », ce sont les propos de M. Agon poursuivit par l’AGRIF.

 

Ils ne font que dire tout haut ce que le système est train de mettre en place en douce dans le dos des Français, sous le couvert de bons sentiments tantôt évoqués sous le terme de diversité ou celui d'égalité des chances.

 

Ces propos qualifiés de « maladresse » par Me Veil, l’avocat de M. Agon, ont rapidement retrouvé tout leur sens par la plaidoirie de Me François Wagner. L’avocat de l’AGRIF n’a eu aucune peine à démontrer que le délit de provocation ou d’incitation à la discrimination défini par le code pénal était clairement établi et qu’il était difficile de s’en tenir à la « maladresse » alors que M. Agon avait lui même affirmé que cette politique relevait d’un « volontarisme », tout en assumant le concept de discrimination positive. Seul hic : le code pénal ne connaît qu’une forme de discrimination qui ne peut jamais être positive et qui constitue toujours un délit.

 

Le système a donc été mis devant ses contradictions à tel point que le Procureur a dû voler au secours de Me Veil en affirmant que les « calmes » propos de M. Agon ne relevait pas de la provocation à la discrimination au sens pénal du terme. Il ne reste donc plus qu’à dissoudre la Halde du bon docteur Schweitzer…

 

Autant dire que nous attendons avec impatience le jugement qui sera rendu le 16 juin prochain.

 

D’ici là, continuez de soutenir l’AGRIF en adhérant, en ré-adhérant pour faire entendre notre voix partout où cela est nécessaire.

 

Yann Baly

Source : le blog de Bernard Antony 

NDLR : Cette affaire avait fait l'objet d'un article dans le numéro 5 (automne 2007) de la revue Synthèse nationale. Nous vous proposons de lire, ou relire, cet article. Rappelons aussi que les propos de Jean-Paul Agon avaient entrainé une vive réaction militante du Bloc identitaire.

Article paru dans Synthèse nationale