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mardi, 17 mars 2009

Comment réagir aux injonctions ou menaces de la Halde ? N'obéissez jamais !

images.jpg- La Halde vous envoie une injonction (lettre recommandée, sommation de s'exécuter dans un certain délai). Réponse : Vous jetez le courrier à la poubelle.

- La Halde dispose-t-elle d'un droit de perquisitionner en dehors de toute intervention des pouvoirs judiciaires ou policiers ? Réponse : Non. Elle le souhaite, elle le réclame, mais les parlementaires ne l'ont jamais accepté (pour l'instant du moins).

- La Halde vous convoque pour une affaire vous concernant... Réponse : Vous jetez la convocation à la poubelle. Vous n'avez en effet pas à vous justifier en quoi que ce soit, ni à répondre à ses injonctions.

- La Halde a-t-elle un pouvoir législatif ou juridique ? Réponse : Non, quasiment aucun.

- La Halde vous ordonne de réexaminer telle décision que vous avez prise ou d'indemniser telle personne qu'elle estime victime d'une discrimination, et de rendre des comptes. Réponse : Idem, à la poubelle. Elle ne peut vous obliger à obéir à ses diktats.

- La Halde, par l'intermédiaire d'un de ses collaborateurs, vous contacte par téléphone et cherche à vous faire parler de façon informelle. Réponse : Ne répondez surtout pas ! Raccrochez immédiatement !

La Halde ne détient aucun pouvoir judiciaire. Si la Halde vous contacte demain pour vous demander des explications quant à votre décision d'embaucher tel candidat ou de louer votre appartement à telle personne plutôt qu'une autre, ne répondez surtout pas. Vous n'avez pas à vous justifier, car votre décision relève du droit contractuel. C'est à elle d'apporter la preuve d'une volonté discriminatoire.

En conclusion, ne répondez jamais à la Halde, n'obéissez jamais à ses injonctions ou à ses menaces. Rien ne vous y oblige !

Résistance passive et... légale !

Robert Spieler

vendredi, 10 octobre 2008

La N.D.P. solidaire de Fanny Truchelut...

images.jpgLe mercredi 8 octobre à 13h50, la cour d’appel de Nancy a rendu son délibéré dans l’affaire Truchelut (cette femme courageuse qui s'était opposée au port du voile islamique dans les parties communes de son gîte situé dans les Vosges).

 

Fanny Truchelut a été condamnée à deux mois de prison avec sursis, ainsi qu’à 4 000 euros d’amendes (l’ensemble des peines étant divisé de moitié par rapport au premier jugement prononcé au tribunal d’Epinal).

 

Sur le fond, la culpabilité religieuse (non acceptation du voile dans les parties communes du gîte) a été confirmée. Pour un Etat qui se veut laïc, la République Française n’en est pas à une contradiction près.

 

Fanny Truchelut a la ferme intention de se pourvoir en cassation. Cette affaire est trop importante pour que les dérives communautaires se trouvent ainsi légalisées.

 

La Nouvelle Droite Populaire apporte son plein soutien à Fanny Truchelut dans le combat des valeurs qu’elle mène.

 

François FERRIER

Conseiller régional (NDP) de Lorraine

samedi, 14 juin 2008

Islamisation : un musulman poursuit l’hôpital pour le handicap de son fils qu’il a lui-même provoqué

ishr-burka.jpgRadouane Ijjou retarde les soins pour l’accouchement de sa femme parce que le médecin est un homme… puis réclame à l’hôpital une indemnité pour le handicap qui en a résulté pour son fils Mohamed ! Demande rejetée… jusqu’à quand ?

Le 8 novembre 1998, l’épouse de Radouane Ijjou est en train d’accoucher à l’hôpital de Bourg-en-Bresse. Mais l’accouchement se révèle difficile et une césarienne doit être envisagée. Dans ce genre de situation, chaque minute compte : il faut à tout prix éviter le manque d’oxygène dans le cerveau de l’enfant, ce qui peut entrainer de lourdes séquelles cérébrales. La sage femme, en professionnelle consciencieuse, appelle donc d’urgence l’interne de garde. Oui, mais voilà, le futur père, musulman pratiquant, s’oppose catégoriquement - et physiquement ! - à l’intervention du médecin. Il refuse en effet qu’un homme examine sa femme. Après une demi-heure de palabres, l’interne parvient enfin à intervenir. Mais il est trop tard pour pratiquer la césarienne et il faut recourir aux forceps pour permettre l’extraction de l’enfant. Trente minutes, irrattrapables pour le cerveau du nouveau-né, ont été perdues et le jeune Mohamed, né dans ces conditions, va rester handicapé à 100 %.

Radouane Ijjou « se défend d’être intégriste, il a toujours refusé cette étiquette qu’on a voulu lui coller »

Situation inacceptable pour la famille qui a déposé plainte contre l’hôpital de Bourg-en-Bresse en réclamant une « indemnité provisionnelle de 100.000 euros, et à titre personnel, une somme de 10.000 euros ». La plainte a été rejetée en mai 2006 par le tribunal administratif de Lyon, rejet confirmé le 10 juin dernier par la Cour administrative d’Appel. Les juges ont estimé que « l’état de l’enfant [était] totalement imputable à l’attitude de M. Radouane Ijjou.» En outre, ils ont condamné les plaignants à payer 1.000 euros pour les frais de justice; et ce, malgré la curieuse plaidoirie de l’avocate de la famille, Me Isabelle Damiano, selon qui « l’hôpital aurait dû faire intervenir les forces de police » contre son client, ajoutant que ce dernier « se défend d’être intégriste, il a toujours refusé cette étiquette qu’on a voulu lui coller ». Un simple musulman ordinaire, en somme ? (2)

Cette affaire n’a en soi rien d’étonnant. Elle confirme, d’une part, la judiciarisation d’une société française qui, comme son modèle américain, se tourne de plus en plus fréquemment vers les tribunaux pour tenter de transmuter ses malheurs divers et variés en espèces sonnantes et trébuchantes. Avec pour corollaire une déresponsabilisation de ses membres que révèle le commentaire de l’avocate : « la décision est très dure, on dit à l’enfant qu’il n’a qu’à s’en prendre à ses parents ». Et à qui d’autre devrait-il s’en prendre ? Peut-être au cochon de contribuable qui va devoir mettre la main à la poche pour payer ses soins et sa pension d’invalidité ?

« Il est obligatoire qu’il y ait présence d’une tierce personne au moment de l’examen médical afin que les deux sexes opposés ne se trouvent pas en tête à tête sauf s’il y a urgence »

L’affaire vient, d’autre part, grossir la liste des incidents similaires auxquels est confronté le personnel soignant : un nombre croissant de patientes allogènes ou leurs conjoints refusent l’intervention d’un soignant de sexe masculin, même en cas d’urgence, respect de l’islam oblige. Cela va parfois jusqu’à l’agression physique, comme pour ce gynécologue de l’hôpital Robert Debré à Paris, le 9 Septembre 2006. C’est sans doute pour éviter ce type de « bavures» - mis en lumière en 2003 devant la commission Stasi sur la laïcité (1) – que l’Association des médecins musulmans français rappelle désormais qu’« une soignante peut porter secours à un homme et vice versa, mais il est obligatoire qu’il y ait présence d’une tierce personne au moment de l’examen médical afin que les deux sexes opposés ne se trouvent pas en tête à tête sauf s’il y a urgence ». Laïcité et Diversité, à l’instar de la carpe et de lapin, ne font pas forcément bon ménage…

Mais l’intérêt de l’« accouchement musulman » de Bourg-en-Bresse réside également dans la façon dont il a été relaté par la « grande » presse. Les 1.000 euros que devra verser le père au titre des « frais de justice » (Le Figaro) deviennent une « amende » dans les colonnes du Point, de 20 minutes.fr ou du Nouvel Observateur, autrement dit une peine pécuniaire du droit répressif. Erreur de terminologie diront certains. Pourtant, l’impact psychologique des deux mots est totalement différent, ce qui n’est pas innocent : la participation aux frais de procédure générés par une plainte abusive devient la condamnation d’un homme déjà lourdement frappé par le malheur. L’acharnement judiciaire n’est pas loin.

20 minutes.fr fait très fort en titrant « Condamné pour le handicap de son fils » . Le « gratuit » se contente prudemment d’évoquer des « motifs religieux » en se gardant bien de préciser le nom du père et surtout sa religion. Pas indispensable, sans doute, pour cette dernière : tout le monde l’aura devinée. Mais la palme de la désinformation par omission revient sans conteste au Nouvel Obs qui réussit ce tour de force de passer complètement sous silence le motif religieux invoqué par le père. Encore une chance que celui-ci ne soit pas devenu « Jean Dupont » !

Xavier Merlin pour Novopress France

(1) La commission de réflexion sur l’application du principe de laïcité dans la République, créée le 3 juillet 2003 en pleine polémique sur le voile islamique, a été présidée par Bernard Stasi, celui-là même qui avait publié en 1984 un ouvrage visionnaire d’une rare pertinence : « L’immigration : une chance pour la France ».
(2) Il semble qu’à aucun moment la Cour n’ait prononcé les termes de « secte », de « comportement sectaire » ou de « dérive sectaire ». Pourtant, « Parmi les indices permettant de supposer l’éventuelle réalité de soupçons conduisant à qualifier de secte un mouvement se présentant comme religieux, [la
Commission parlementaire française d’enquête sur les sectes] a retenu, faisant siens les critères utilisés par les Renseignements généraux dans les analyses du phénomène sectaire auxquelles procède ce service et qui ont été portées à la connaissance de la Commission :
• la déstabilisation mentale ;
• le caractère exorbitant des exigences financières ;
• la rupture induite avec l’environnement d’origine ;
• les atteintes à l’intégrité physique ;
• l’embrigadement des enfants ;
• le discours plus ou moins anti-social;
• les troubles à l’ordre public ;
• l’importance des démêlés judiciaires ;
• l’éventuel détournement des circuits économiques traditionnels ;
• les tentatives d’infiltration des pouvoirs publics.
»
Secte en deçà d’un certain nombre d’adeptes, religion au-delà ?

mardi, 03 juin 2008

LORSQUE LA LIBERTE REGRESSE...

Acharnement judiciaire contre celle qui ne veut pas se taire... Soutien total à BB !

Brigitte Bardot condamnée à 15.000 euros d'amende pour incitation à la haine raciale
[03/06/2008 14:48]

772533361.jpgPARIS (AP) -- Brigitte Bardot a été condamnée mardi à 15.000 euros d'amende par le tribunal correctionnel de Paris pour provocation à la discrimination et à la haine raciale envers la communauté musulmane.

Le ministère public avait requis deux mois de prison avec sursis et 15.000 euros d'amende à son encontre.

Le tribunal a estimé que «les propos poursuivis faisaient clairement référence à la communauté musulmane et revêtaient le caractère de délit» de provocation à la discrimination et à la haine raciale.

L'ancienne égérie du cinéma français a également été condamnée par la 17e chambre correctionnelle à verser 1.000 euros de dommages et intérêts au Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (MRAP), ainsi qu'un euro symbolique pour la Ligue des droits de l'Homme et la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (LICRA).

«Le tribunal a coupé la poire en deux», a réagi devant la presse l'avocat de «BB», Me François-Xavier Kelidjian. Il a précisé qu'il allait examiner avec sa cliente l'éventualité d'un appel. «Elle est lasse de ce type de poursuites. Elle a l'impression qu'on veut la faire taire. On ne la fera pas taire dans sa défense animale».

Dénonçant des propos d'une «violence inouïe», l'avocate de la LICRA, Me Bénédicte Graulle, a regretté que «le tribunal n'ait pas totalement suivi les réquisitions du parquet». «L'amende est néanmoins conséquente», a-t-elle nuancé.

Il est reproché à Brigitte Bardot des propos tenus dans une lettre envoyée en décembre 2006 à Nicolas Sarkozy, ministre de l'Intérieur à l'époque, et publiée dans la revue de la Fondation Brigitte Bardot, L'Info-Journal.

«Il y en a marre d'être menés par le bout du nez par toute cette population qui nous détruit, détruit notre pays en imposant ses actes», déclarait-elle en référence à la fête musulmane de l'Aïd el-Kébir et aux pratiques d'abattage des moutons.

Brigitte Bardot a déjà été condamnée à quatre reprises pour incitation à la haine raciale, écopant d'amendes allant de 10.000 FF en 1997 à 5.000 euros en 2004. AP

samedi, 24 mai 2008

Affaire L'Oréal : l'AGRIF intente un procès à Jean-Paul Agon...

772533361.2.jpgLe jeudi 15 mai dernier marque une étape importante dans le combat de l’AGRIF pour faire respecter notre identité française et chrétienne. Devant la XVIIème chambre correctionnelle se tenait l’audience du procès intenté par l’AGRIF à Jean-Paul Agon, directeur général de L'Oréal pour ses propos concernant les méthodes de recrutement de son groupe. « Un candidat qui a un prénom d’origine étrangère, il a plus de chance d’être recruté que celui qui porte un prénom français de souche », ce sont les propos de M. Agon poursuivit par l’AGRIF.

 

Ils ne font que dire tout haut ce que le système est train de mettre en place en douce dans le dos des Français, sous le couvert de bons sentiments tantôt évoqués sous le terme de diversité ou celui d'égalité des chances.

 

Ces propos qualifiés de « maladresse » par Me Veil, l’avocat de M. Agon, ont rapidement retrouvé tout leur sens par la plaidoirie de Me François Wagner. L’avocat de l’AGRIF n’a eu aucune peine à démontrer que le délit de provocation ou d’incitation à la discrimination défini par le code pénal était clairement établi et qu’il était difficile de s’en tenir à la « maladresse » alors que M. Agon avait lui même affirmé que cette politique relevait d’un « volontarisme », tout en assumant le concept de discrimination positive. Seul hic : le code pénal ne connaît qu’une forme de discrimination qui ne peut jamais être positive et qui constitue toujours un délit.

 

Le système a donc été mis devant ses contradictions à tel point que le Procureur a dû voler au secours de Me Veil en affirmant que les « calmes » propos de M. Agon ne relevait pas de la provocation à la discrimination au sens pénal du terme. Il ne reste donc plus qu’à dissoudre la Halde du bon docteur Schweitzer…

 

Autant dire que nous attendons avec impatience le jugement qui sera rendu le 16 juin prochain.

 

D’ici là, continuez de soutenir l’AGRIF en adhérant, en ré-adhérant pour faire entendre notre voix partout où cela est nécessaire.

 

Yann Baly

Source : le blog de Bernard Antony 

NDLR : Cette affaire avait fait l'objet d'un article dans le numéro 5 (automne 2007) de la revue Synthèse nationale. Nous vous proposons de lire, ou relire, cet article. Rappelons aussi que les propos de Jean-Paul Agon avaient entrainé une vive réaction militante du Bloc identitaire.

Article paru dans Synthèse nationale