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mercredi, 07 septembre 2016

Manipulation grossière d’I-Télé sur la bataille d’Alep

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Un reportage de début août sur la préparation de l’offensive des groupes djihadistes enclavés dans la partie orientale d’Alep comporte plusieurs inexactitudes, dont une grossière manipulation par l’image. Au début de la vidéo, les rebelles islamistes qui contrôlent cette zone de la ville sont présentés comme « des rebelles pro occidentaux ».  Il faut savoir que ces djihadistes lancent depuis ces quartiers des roquettes ayant tué des dizaines de civils des quartiers alépins contrôlés par le régime, notamment chrétiens. L’expert Fabrice Balanche explique que « les djihadistes et les salafistes dominent de façon écrasante la «rébellion», en particulier à Alep. » (Cité dans Le Figaro). 

Ensuite, I-Télé fait un lien direct entre le brisement du « siège d’Alep » par ces groupes et la reprise de l’aide humanitaire qui pourrait enfin accéder à ces quartiers. Les images des rebelles islamistes agitant le drapeau noir du djihad, en liesse, sont suivies d’images de véhicules humanitaires chargés de vivres. Les téléspectateurs sont donc enclins à se réjouir que des rebelles « pro occidentaux » permettent de rétablir l’aide humanitaire pour les civils. Sauf que les images présentées montrent un convoi humanitaire déployant les drapeaux russes, libanais et celui du régime…avec ce commentaire « des camions chargées de nourriture ont enfin pu accéder aux zones assiégées ».

I Télévision en flagrant délit de manipulation, un cas d’école de désinformation par l’image en temps de guerre si bien analysé en son temps par Vladimir Volkoff. 

Islamisation.fr

Une école coranique clandestine fermée par le maire d’Evry

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Fermeture. Le maire d’Evry, Francis Chouat, a fait fermer, vendredi 2 septembre, une école coranique cachée derrière un centre d’accueil pour enfants. Après une découverte similaire au sein de la mosquée Al-Islah de Villiers-sur-Marne le 31 août dernier, ces institutions clandestines seraient-elles les premières d’une longue lignée ?

Une école clandestine d’Evry a été fermée, vendredi 2 septembre, sur ordre de la préfecture de l’Essonne et du maire d’Evry. En effet, après une enquête de leurs services, les deux institutions ont décidé de faire fermer cette école qui se présentait comme « un centre d’accueil de loisirs et d’activités dites scolaires à l’attention de mineurs ».

Cela faisait plus d’un an que cette structure clandestine était dans le viseur de l’édile d’Evry. Et pour cause, l’association Tous ensemble qui l’avait mise en place, exerçait son activité « dans le dos de la mosquée d’Evry » qui propose, elle, des activités d’éducation au Coran en toute légalité.  « En soi, ce n’est pas un problème, mais une école coranique qui se cache, ça cache quelque chose » a conclu le maire d’Evry. De plus, aucune demande d’agrément n’avait été faite auprès de la préfecture.

Tout ce qui n’est pas à visage découvert doit être justifié et conforme

Francis Chouat  désire désormais apporter une attention particulière à ce type d’affaires. « Nous avons eu plus tendance à relativiser ces phénomènes qu’à les juger insupportables. Il aura fallu des traumatismes à répétition pour que l’on sorte de l’ambiguïté » a-t-il admis.

C’est dans cette optique que le maire d’Evry souhaite « appliquer cette démarche » à deux autres structures afin « d’être dans la clarté la plus totale ».  « J’ai décidé que tout ce qui n’est pas à visage découvert doit être justifié et conforme .A Evry, on ne se cache pas », une confession qui sonne la nouvelle politique du maire de la ville.

Valeurs actuelles

Calais, Marseille : la France sombre dans le chaos

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Deux personnes ont été tuées dans des réglements de compte à Marseille alors que la situation à Calais s'aggrave de jour en jour. Pour Xavier Saintcol, l'ensemble de la classe politique a fait du mot «délinquance» un nouveau tabou.


Xavier Saintcol est juriste.


Nous vivons une période étrange. Bien sûr le terrorisme a frappé la France à cinq reprises en 18 mois: 7 et 9 janvier, 13 novembre 2015, 14 et 21 juillet 2016. 250 personnes ont été tuées.

Mais au-delà de ces tragédies épouvantables, la violence et la barbarie se répandent dans l'indifférence générale, noyées dans le maelström de l'actualité. L'hécatombe se poursuit à Marseille: deux meurtres supplémentaires dans la nuit de lundi à mardi. Cela porte à 25 le nombre des tués depuis le début de l'année dans la cité phocéenne livrée à la loi des gangs.

Mais il y a pire. Le 30 août, dans la même ville, un retraité de 80 ans, Eugène, qui effectuait sa promenade quotidienne en face de chez lui, a été dépouillé de sa chaîne en or et roué de coups jusqu'à la mort, sans que ce lynchage n'indigne ni ne fasse réagir. On pourrait aussi parler de ce couple de personnes âgées, de 77 ans, dans le Maine-et-Loire, agressé à son domicile, dont l'homme, victime de sept coups de couteau, s'en est sorti par miracle. Dimanche des milliers de personnes d'origine chinoise ont manifesté pour protester contre les persécutions dont leur communauté fait l'objet, à la suite du meurtre de l'un des leurs, dans le silence des intellectuels et des associations antiracistes. La violence, dirigée contre les personnes, surtout en état de faiblesse, donne le sentiment de se banaliser insidieusement.

La situation du Calaisis amplifie ce sentiment d'impuissance de l'autorité que ressentent les Français. Près de 10 000 personnes en situation illégale, n'ayant pas le droit de demeurer sur le territoire français, ont développé une zone de non droit livrée à la violence, aux trafics de personnes humaine, aux meurtres et à la violence anti-policière, mettant en place une économie parallèle dans un climat d'impuissance radicale de l'Etat, allant jusqu'à couper des arbres pour bloquer le trafic autoroutier. D'ailleurs, s'il est principalement question du Calaisis, on ne peut ignorer que ce genre de situation de bidonvilles insalubres se répand ailleurs, par exemple à Paris.

Ces événements ont un lien entre eux: ils reflètent le déclin de l'autorité, de l'Etat de droit en France et la montée de la barbarie.

On aimerait connaître les chiffres de la délinquance. Dans les années 2002 à 2012, les statistiques des dépôts de plainte étaient rendus publiques chaque mois par le gouvernement dans un climat de transparence. Bien sûr, ces statistiques n'étaient pas parfaites, mais au moins les Français avaient le sentiment d'un suivi du nombre de cambriolages, meurtres, attaques à main armée, violences gratuites... Aujourd'hui, ces données font l'objet d'une relative discrétion en dehors d'un bilan annuel aussitôt oublié après avoir été diffusé. D'ailleurs, en dehors de la presse écrite régionale, l'insécurité qui empoisonne la vie des Français n'occupe plus qu'une place marginale sur les écrans de télévision et les émissions de radio. Un mot d'ordre semble être tombé sur ces sujets: silence! La question est redevenue taboue: surtout, ne jamais en parler pour tenter de la faire oublier.

Elle n'intéresse même plus la classe politique française, noyée dans ses postures, ses haines et ses ambitions carriéristes. Les candidats à la primaire de droite en parlent à peine, comme si la question risquait de salir les mains ou de renvoyer aux échecs des uns et des autres. Même l'extrême droite n'en fait plus comme jadis ses choux gras. Tout se passe comme si la France dite d'en haut, la France de la politique nationale et médiatisée, de l'extrême droite à l'extrême gauche, avait délibérément choisi de laisser «la vile multitude» - la France des quartiers sensibles, du monde rural et des zones urbaines, des enfants et des personnes âgées en état de faiblesse - seule avec ses misères du quotidien. Il est tout de même étonnant que les questions de sécurité soient à tel point ignorées des plus hautes autorité de l'Etat. Le mot «délinquance» a-t-il jamais été, même une fois, prononcé par un chef de l'Etat qui parle quasiment tous les jours? La gauche, engoncée dans ses oripeaux idéologiques, veut éviter toute stigmatisation des «classes dangereuses» et baigne plus que jamais dans l'angélisme et le culte de l'excuse. La droite et l'extrême droite ont jugé plus efficace, en termes électoralistes, d'enfourcher le combat «identitaire» plutôt que celui de l'autorité de l'Etat. Dès lors, la sécurité dans la vie quotidienne n'intéresse plus personne et les Français les plus humbles, les plus fragiles, les plus exposés à la barbarie quotidienne, se sentent abandonnés par le monde politique alors que la France sombre imperceptiblement dans une zone de chaos banalisé.

Le Figaro

Les subventions de l’UE pour les chômeurs : données aux immigrés

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Cela se passe en Italie mais cela pourrait se passer dans n’importe quel pays d’Europe inféodé aux diktats des officines immigrationnistes et autres lobbies anti-racistes et anti-blancs!

La région Piémont a décidé de financer, dans la région de Biella, des cours professionnels pour les chômeurs avec les fonds alloués par l’Union Européenne mais elle a également décidé de favoriser les immigrés : à ces derniers elle accorde une prime de 400€ afin qu’ils assistent au moins à 2/3 des cours, aux Italiens, rien du tout.

C’est ça l’égalitarisme et la solidarité tant vantés par les bonnes consciences cléricales et laïques !

« Le travail est la chose la plus importante de la vie, dénonce Michele Mosca, secrétaire provincial de la Ligue du Nord. Et pourtant dans ce secteur ils réussissent à discriminer les Italiens, en faisant du favoritisme envers les étrangers. »

« Désormais la politique bien-pensante de notre pays nous fait assister tous les jours à des situations honteuses », déclare à son tour un conseiller municipal de la même formation politique.

Mais ces déclarations ne changeront rien à ce scandale. En Italie, il fait bon être un immigré au chômage.

Francesca de Villasmundo

Mpi

Les Britanniques fustigent l'immigration, notamment turque

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Selon un sondage, la Turquie se classe au dernier rang des nationalités que les Britanniques souhaitent accueillir sur leur territoire.

Les Britanniques semblent très majoritairement réfractaires à toute hausse de l'immigration. C'est du moins ce que révèle une enquête réalisée par l'institut de sondages YouGov qui a interrogé 1.668 adultes à la fin du mois d'août. Soixante-dix pour cent d'entre eux déclarent qu'il y a eu trop d'immigration dans le royaume ces dix dernières années.

Une tendance qui rejoint les débats qui ont animé le Royaume-Uni lors de la campagne en faveur du Brexit, adopté à 51,9% des voix le 23 juin 2016. La critique de l'immigration était en effet un des thèmes fers de lance des partisans de la sortie de l'Union européenne. 

 

Les sondés de YouGov ont ensuite été appelés à donner leur avis sur les nationalités qu'ils souhaiteraient ou non voir accueillies au Royaume-Uni. Et si les Anglo-Saxons sont massivement les bienvenus (États-Unis, Canada, Australie, Irlande), 53% des sondés fustigent l'immigration turque, 24% estimant qu'aucun membre de ce pays ne devrait plus venir vivre au Royaume-Uni. Les Turcs apparaissent donc en bas de cet étrange «classement», précédés par les Roumains et les Nigérians. 

 Un effet post-attentat ?

En comparaison la France et l'Allemagne se situent au milieu de la liste des pays proposés avec respectivement 49 et 52% d'opinion favorable.

Comme le souligne Quartz, la stigmatisation de la Turquie par les Britanniques est des plus surprenantes. Et ce d'autant plus que la population turque en Grande-Bretagne est sur le déclin. Elle ne représentait que 72.000 habitants en 2015, très loin des Polonais qui avec 831.000 habitants devancent maintenant les Indiens, selon les chiffres de l'Office for national statistics.

 

Quartz analyse ce rejet de la Turquie par la crainte pré-Brexit de voir le pays rejoindre l'Union européenne. Les décisions du gouvernement turc concernant la crise des réfugiés alimenteraient également les fantasmes. Une xénophobie ambiante sur laquelle le site américain conclut:

«Ceux qui se sentent le plus menacés par l'immigration sur leur île craignent l'islamisme radical et les attaques terroristes qui lui sont associés, ils sont tout simplement effrayés par leur plus proche voisin musulman

Marichesse

Le sort de la « jungle » de Calais lié à l’ouverture du camp parisien

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Le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, a promis, vendredi 2 septembre, d’évacuer la « jungle » de Calais « avant la fin de l’année ». Lundi 5 septembre, son entourage évoquait l’idée d’une opération concomitante à l’ouverture du camp humanitaire parisien, fin septembre ou début octobre.

Sur la question des migrants, Paris et Calais sont en prise directe. Mener ces deux opérations de front éviterait un afflux massif de migrants calaisiens cherchant un hébergement à Paris. Cela limiterait aussi les départs vers la « jungle » de Calais des migrants que l’Etat ne souhaite pas héberger en province à l’issue des cinq jours passés dans le camp d’accueil parisien. Notamment ceux qui, d’après les règles européennes, devraient faire leur demande d’asile dans le premier pays d’Europe qu’ils ont foulé.

Mais, pour lancer le démantèlement de la « jungle », le ministre de l’intérieur a besoin de deux conditions. D’une part, il lui faut l’aval du Conseil d’Etat pour fermer les commerces informels de la zone nord du camp, puisque, le 12 août, le tribunal administratif de Lille ne lui a pas reconnu ce droit. D’autre part, il a besoin de plus de 6 000 places d’hébergement disponibles dans d’autres régions de France en centres d’accueil et d’orientation.

L’Etat souhaite en effet éviter que les migrants ne s’installent dans les campements voisins, comme cela s’était produit au lendemain du démantèlement de la zone sud en février dernier. Une partie des exilés délogés se sont entassés dans la zone nord et les autres ont rejoint les petits campements du littoral, de la Bretagne à Rotterdam.

 Si M. Cazeneuve assure aujourd’hui avoir toujours voulu démanteler le plus grand campement de France, il avait d’abord été question, en mai, après le démantèlement de la moitié sud de la jungle, d’aménager la zone nord. Après que toutes les télévisions du monde eurent filmé la démolition des cabanes et la réinstallation de familles en zone nord, il n’était plus vraiment question, alors, de détruire le bidonville.

Blocage de l’autoroute

L’opposition de la maire de Calais à ces projets d’aménagement a sans doute pesé dans la décision récente du ministre. Aujourd’hui, la population du camp a atteint des records : 6 900 migrants selon l’Etat, 9 000 selon des associations, provoquant des appels multiples au démantèlement total de la part d’acteurs économiques et politiques locaux.

La journée de lundi 5 septembre, à Calais, a été marquée par des manifestations des acteurs économiques. Le blocage de l’autoroute aurait même été prolongé « [s’il n’y avait] pas eu confirmation du démantèlement rapide de la jungle », a déclaré David Sagnard, président départemental de la Fédération nationale des transporteurs routiers, à l’issue du mouvement. Les routiers éprouvent des difficultés croissantes à travailler, car les attaques des migrants sont de plus en plus violentes contre les camions.

Si une partie des migrants a renoncé à rejoindre l’Angleterre, les nouveaux venus tentent leur chance. D’autant que, malgré les démentis des autorités, et en dépit du renforcement de la présence policière, chaque nuit, un certain nombre d’entre eux parviennent à passer en Grande-Bretagne.

Maryline Baumard
 
Le Monde


Nouvelle évacuation d’un campement de centaines de migrants à Paris

Alors que la maire de Paris, Anne Hidalgo, présente mardi 6 septembre le centre d’accueil humanitaire qui doit ouvrir prochainement dans la capitale, un campement où vivaient plusieurs centaines de personnes dans le nord de la ville était en cours d’évacuation dans la matinée. Les migrants qui s’étaient installés dans des tentes sur le terre-plein de l’avenue de Flandres, dans le 19e arrondissement, ont commencé à monter dans un premier bus, vers 9 h 30, encadrés par des CRS.

Sac sur le dos et matelas de fortune sous le bras, Asam, 21 ans, originaire du Soudan, disait ne « pas comprendre ». « Je suis seul, sans famille, je ne sais pas où ils nous emmènent, je veux rester ici », s’inquiétait le jeune homme. Sur l’avenue, la circulation avait été bloquée.

Sites d’accueil temporaire humanitaire

Depuis juin 2015, plus d’une vingtaine d’évacuations et de « mises à l’abri » des migrants dans des centres d’hébergement, des gymnases ou des chambres d’hôtels, ont eu lieu dans la capitale. Les pouvoirs publics cherchent désormais à intervenir le plus en amont possible, lorsqu’un campement s’installe dans la capitale, pour éviter qu’il ne grossisse.

Fin août, des associations engagées dans l’accueil des migrants ont demandé qu’il soit « mis fin aux évacuations de campements » en l’absence d’hébergement disponible « ainsi qu’aux notifications d’obligation de quitter le territoire aux exilés souhaitant demander l’asile ». Les associations souhaitent l’ouverture de sites d’accueil temporaire humanitaire dans plusieurs métropoles régionales pour éviter la saturation de la capitale.

Anne Hidalgo, maire de Paris, sera présente au Monde Festival à la table ronde « Accueil des réfugiés : des maires s’engagent », le samedi 17 septembre avec Giusi Nicolini maire de Lampedusa, et Pascal Brice.

Chronique de la taqyia : diplôme de non-radicalisation

 

D'Yves Daoudal :

Unknown-55"Certaines universités françaises, depuis l’an dernier, délivrent aux musulmans qui veulent être officiellement imams ou aumôniers dans les hôpitaux et les prisons, un « diplôme universitaire » qui garantit que son possesseur est un musulman républicain pur porc. Enfin, purement... laïque. Et, contrairement à d’autres DU, ceux-là sont subventionnés par l’Etat.

Naturellement, l’intitulé du diplôme en question, qui est clairement un diplôme de « non-radicalisation », ne fait aucune référence à l’islam. Ainsi à Rennes il s’appelle « Religion, droit et vie sociale ». Bien entendu il est ouvert à tous, mais seuls des musulmans suivent les cours, puisqu’il s’agit d’obtenir un diplôme certifiant que l’on n’est pas radicalisé… A Toulouse il s’appelle « Droit et religions »…

On apprend qu’en janvier prochain l’Université Paris II-Assas va ouvrir à… Melun, avec le soutien du ministère de l'Intérieur, une classe pour une trentaine d’« étudiants » voulant acquérir un tel diplôme, dont on ne connaît pas encore le nom. Je trouve quant à moi que « diplôme universitaire de taqyia » conviendrait bien.

« Ces cours devront être un espace de dialogue. Il ne faut surtout pas stigmatiser cette religion (…) Je vais choisir des enseignants représentant différents courants», dit Frédéric Debove, le directeur de l’institut de droit et d’économie de Melun…"

Michel Janva

Le salon beige

L'ONU met en garde contre les populistes

Droits de l'hommeLe haut-commissaire aux droits de l'homme a fustigé Trump et Wilders.

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Le haut-commissaire de l'ONU aux droits de l'homme a vivement critiqué lundi les responsables politiques populistes, citant notamment Donald Trump et le dirigeant néerlandais d'extrême droite Geert Wilders. Il a appelé à arrêter de tels «démagogues».

S'exprimant de La Haye, le Jordanien Zeid Ra'ad Al Hussein a déclaré qu'il était un homme musulman, dont le rôle était de «défendre et de promouvoir les droits de l'homme de chacun, partout».

«Et je suis en colère, aussi, à cause des mensonges et des demi-vérités, des manipulations et de la propagation de la peur de Geert Wilders, a-t-il dit lors de l'inauguration de la fondation pour la paix, la justice et la sécurité de La Haye.

Le mois dernier, le parti néerlandais d'extrême droite PVV a lancé sa campagne pour les législatives de mars 2017 en affirmant vouloir «fermer toutes les mosquées» et «interdire le Coran» en cas de victoire.

Un passé qui n'a jamais existé

Le parti pour la liberté (PVV), en tête dans les sondages, souhaite également «désislamiser» le pays notamment en fermant les frontières et centres de demandeurs d'asile, en interdisant l'arrivée de migrants originaires de pays musulmans, le port du foulard dans la fonction publique et le retour aux Pays-Bas de personnes parties en Syrie.

Le chef de l'ONU des droits de l'homme s'en est vivement pris aux propositions du PVV. Il a assuré que Geert Wilders avait beaucoup de choses en commun avec le candidat républicain à l'élection présidentielle américaine Donald Trump, le premier ministre hongrois Victor Orban, la dirigeante du parti d'extrême droite français, Marine Le Pen (Front national), et l'ex-dirigeant du parti britannique europhobe Nigel Farage.

Il a également affirmé qu'ils partageaient tous des similarités avec l'idéologie prônée par l'Etat islamique (EI). «Ils cherchent tous, à des degrés divers, à réanimer un passé, sous une forme merveilleuse et si pure, où les champs ensoleillés sont habités par des peuples unis par l'ethnicité ou la religion», a-t-il expliquant, soulignant que ce passé «qui très probablement, en réalité, n'a jamais existé où que ce soit, jamais».

Tdg.ch

Allemagne: Victoire des identitaires, défaite d’Angela Merkel battue dans son fief sur sa politique immigrationniste

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C’est dans une région de l’ex RDA, ex-partie communiste de l’Allemagne, fief d’Angela Merkel avec sa circonscription de Stralsund, que le parti AfD identitaire a enregistré un  fulgurant succès électoral, dimanche, en arrivant deuxième aux élections régionales de Mecklembourg-Poméranie occidentale. La CDU d’Angela Merkel en ressort une nouvelle fois désavouée et humiliée.
Le parti AFD, créé seulement en 2013, vient d’infliger un éclatant revers à la chancelière allemande qui l’année dernière avait ouvert les portes de l’Union européenne à l’immigration clandestine musulmane. Une humiliation infligée dans une région de l’ex-RDA communiste, dont est issue la chancelière allemande.

Le parti AFD de Frauke Petri, avec 22% des voix, surgi de nouveau sur la scène politique allemande, à travers ce land, derrière les sociaux-démocrates du SPD qui arrivent en tête dans le Mecklembourg-Poméranie occidentale avec moins de 30% des voix, perdant 6 points par rapport à 2011. La gauche ex-communistes de Die Linke, tombent à 12,5% en perdant prés de 6 points dans ce qui était un de leurs bastions. les partis gauchistes immigrationnistes sont balayés du parlement régional. Le FDP, ainsi que les Verts n’arrivent respectivement pas à 5%.

C’est surtout un cinglant démenti à la politique invasive de l’Union européenne par l’Allemagne, dont la chancelière allemande s’est faite la championne, puisque son parti la CDU n’arrive qu’en troisième position avec 19% des voix, derrière l’AFD. Ceci dans un contexte de matraquage médiatique contre le parti AFD qualifié de populiste. Qualificatif qui prend valeur d’insulte dans ce débat où les perdants détenaient la vedette. Une nouvelle victoire des identitaires parmi les pays membres de l’Union européenne, qui s’annonce de bon augure pour les présidentielles de 2017 en France, ce qu’à bien compris Nicolas Sarkozy qui tente de fagociter les voix identitaires de France alors qu’il a fait tout le contraire lorsqu’il détenait les rênes du pouvoir. Marine Le Pen, quant à elle se réjouit: « Ce qui était impossible hier est devenu possible: les patriotes de l’AFD balaient le parti d’Angela Merkel. »

« Le pompom, c’est qu’on laisse la CDU de Merkel derrière nous […] et peut-être même est-ce le début de la fin pour la chancelière Merkel », s’est félicité Leif-Erik Holm, chef de file de l’AFD dans cette région.

De revers en revers à un an des législatives (élections générales) en Allemagne:

L’AFD est désormais représenté dans 9 des 16 régions (länder) avec ses succès électoraux dans trois régions au printemps, dont son record de 24% en Saxe-Anhalt (ex-RDA). Le scrutin de dimanche est de bon augure, il faudra surveiller celui de Berlin le 18 septembre prochain. Pour Angela Merkel, c’est un des plus retentissants revers, puisque trois ans après sa création, l’AfD démontre qu’il gagne du terrain en Allemagne, partout où les électeurs ont l’opportunité de s’exprimer depuis l’appel d’Angela Merkel aux immigrés du monde islamique. Ce n’est pas le premier revers non plus du front immigrationniste en Europe, du Brexit aux élections présidentielles en Autriche, en passant par la Pologne, la Hongrie et les pays du du Nord européen, partout où les populations ont eu l’opportunité de s’exprimer, les Européens ont plébiscité le respect de leur identité, de leur civilisation et leur désapprobation d’une immigration de masse à caractère islamique. 

Le patron du SPD et vice-chancelier Sigmar Gabriel, bien qu’arrivé en tête, ne se fait pas la moindre illusion:  « comment faire pour que la colère et les inquiétudes des gens ne se retrouvent pas dans l’AfD » s’est-il affolé, insultant l’électorat.

Le secrétaire général de la CDU, Peter Tauber, déplore une « amère » défaite  et essaie de tromper les électeurs ou de se consoler en qualifiant de protestataire le vote AfD. Un argument éculé ressorti à chaque revers par les adversaires de la civilisation chrétienne en Europe. 

Les identitaires font ainsi une entrée en grande pompe au Parlement régional pour leur première participation à un scrutin dans ce Land de l’ex-RDA, un an après la décision de la chancelière d’ouvrir grand les portes de l’Allemagne aux clandestins.

Et si le rideau de fer avait empêché les Allemands de l’Est de se détester ?

emiliedefresne@medias-presse.info

Mpi

"Le début de la fin pour l'ère Merkel"

 

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Le parti allemand d'extrême droite anti-migrants AfD a déjà devancé la CDU, le parti politique de la chancelière allemande Angela Merkel, lors d'une élection régionale. L'extrême droite parviendra-t-elle à détrôner la dame de fer?

Le parti allemand d'extrême droite anti-migrants AfD a remporté sur la CDU, le parti politique de la chancelière allemande Angela Merkel, lors de l'élection régionale en Mecklembourg-Poméranie occidentale (nord-est), dimanche 4 septembre.

Ces résultats ont suscité différentes réactions au sein de la famille politique allemande. Interrogés par Sputnik, des hommes politiques allemands se sont exprimés à ce sujet. Ainsi, le Leif-Erik Holm, chef de file du parti d’extrême droite Alternative pour l'Allemagne (AfD), s'est montré plus qu'optimiste. "Maintenant à la CDU aussi ils vont comprendre qu’on ne peut pas continuer la politique migratoire de la chancelière, ils vont réfléchir sur ce qu’ils doivent faire. C'est peut-être le début de la fin pour la chancelière Merkel", a-t-il lancé, emporté par l'émotion. Mathias Brodkorb, le ministre de l'Enseignement, de la Science et de la Culture de Mecklenburg-Vorpommern et également député SPD, estime aussi que la plus grande erreur de la chancelière allemande résidait dans son attitude à l'égard de la crise migratoire. M.Brodkorb s'est également souvenu de la déclaration d'Angela Merkel lorsqu'elle a martelé que si sa ligne politique n'était pas soutenue, ce ne serait plus son pays. "Je la trouve trop dure. Cela me rappelle la République démocratique allemande en 1953, lorsque Bertolt Brecht a dit au gouvernement: "Si le peuple ne vous convient pas, vous devriez en chercher un autre". Il est également d'avis que dans une société démocratique, le dirigeant devrait penser davantage aux besoins et aux craintes de son peuple. Björn Höcke, le chef de la fraction de l'ADF dans le parlement de la Thuringe pense également que la chancelière a eu tort de mener une telle politique migratoire. "La politique à l'égard des réfugiés, même s'il est difficile d'appeler cela une +politique+, a été plutôt l'ouverture incontrôlée des frontières. Ici s'ajoute le thème de l'éducation. Bien sûr que cette élection était également un vote sur l'avenir d'Angela Merkel en tant que chancelière", a-t-il conclu. D'après lui, outre la politique migratoire, les sanctions antirusses seraient aussi une grosse erreur de la chancelière allemande. "Ces sanctions sont nuisibles pour notre pays, notamment pour les PME. Nous devons les suspendre le plus vite possible.", confie-t-il. Lors de l'élection régionale en Mecklembourg-Poméranie occidentale, l'Union chrétienne-démocrate (CDU), le parti d'Angela Merkel, a seulement remporté 19% des voix, tandis que 20,8% des électeurs ont dit "oui" au parti d’extrême droite Alternative pour l'Allemagne (AfD). Les sociaux-démocrates du SPD sont arrivés en tête avec 30,6% des voix. Die Linke, la Gauche allemande, a notamment collecté 13,2% des voix tandis que les Verts terminent le top 5 avec 4,8% des voix.

Sputniknews

La joie de l’extrême droite allemande après sa percée aux élections régionales

 

Un an après la décision d’Angela Merkel d’ouvrir l’Allemagne aux réfugiés, le parti populiste antimigrants AfD a remporté un succès électoral important dans une région de l’ex-RDA communiste, infligeant un camouflet au parti de la chancelière à un an des législatives.

Si les sociaux-démocrates du SPD arrivent en tête dans le Mecklembourg-Poméranie-Occidentale avec environ 30 % des voix, soit cinq points de moins qu’en 2011, c’est avant tout l’AfD qui a le cœur à la fête.

Avec environ 21 %, selon des résultats préliminaires dimanche, ce parti né en 2013 devance nettement la CDU de Mme Merkel, pourtant élue de la région, qui se classe troisième avec un peu plus de 19 % des voix.

La problématique de l’intégration du million de demandeurs d’asile arrivés l’an dernier en Allemagne a monopolisé la campagne électorale. Selon un sondage de la chaîne de télévision ZDF un électeur sur deux a jugé ce thème crucial.

Le Monde