Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 29 septembre 2016

Immigration-invasion, il faut que ça cesse!

 

 

Asile: mesures provisoires au profit de l’Italie et de la Grèce (A8-0236/2016 – rapport  Ska Keller, 14/09/2016)

Par écrit. ‒ Ce texte est le constat d’échec de la politique de répartition des migrants décidée par les gouvernements européens en 2015. Il vise à modifier la dite décision pour prendre en compte l’accord de dupes passé avec la Turquie, en attribuant 54.000 des 120.000 places du plan de « relocalisation » aux réfugiés venant de Turquie, tout en constatant que le plan a été fort peu appliqué.
 
Nous n’avons pas à payer collectivement les mesures décidées par Mme Merkel dans le seul intérêt de l’Allemagne. J’ai bien dit les intérêts de l’Allemagne, qui s’imagine qu’elle a besoin de travailleurs à bas coût pour soutenir sa croissance et l’aisance de ses retraités. Il semble que les Allemands, eux, n’ont pas vraiment été consultés. A voir les claques électorales que prend Mme Merkel depuis plusieurs semaines et l’irrésistible ascension de l’AfD, ils ont décidé de faire connaître leur opinion.
 
Si nous devons aider la Grèce et l’Italie, c’est surtout à reconduire hors d’Europe les centaines de milliers de migrants qu’elles accueillent involontairement, à se protéger contre les nouvelles arrivées en menant la guerre aux passeurs, en aidant la Syrie, et en coupant les pompes aspirantes de l’immigration. Dont Mme Merkel fait partie. Mais ça, c’est aux citoyens allemands de le faire.
 

Marseille : le projet de grande mosquée bientôt enterré

 

 

La cité phocéenne, qui compte 220.000 musulmans sur 850.000 habitants, sera privée de grande mosquée. La mairie va résilier le bail du terrain sur lequel l'édifice devait être construit.
Marseille, qui compte 25% de musulmans, sera privée de grande mosquée. La mairie va résilier le bail du terrain où elle devait être construite. Elle va donc donner un coup d'arrêt à un projet emblématique, vieux de neuf ans, promis par le maire Jean-Claude Gaudin mais laissé en jachère depuis 2013. En cause : le manque de financements et les querelles internes qui rongent l'association porteuse du projet. 

Comme l'a révélé La Provence, le conseil municipal devrait officiellement voter lundi prochain la résiliation du bail emphytéotique, conclu pour 50 ans au bénéfice de l'association La mosquée de Marseille, sur le site des anciens abattoirs (8000 m2) au nord de la ville, dans le 15e arrondissement. 

Permis caduc, loyers impayés

 

La ville invoque plusieurs raisons. "Depuis 2013, nous avons des soucis de recouvrement" des loyers, a expliqué à l'AFP Marie-Agnès Caradec, l'adjointe à l'urbanisme en charge du dossier. "Aujourd'hui, les dettes cumulées s'élèvent à 62.000 euros", soit trois ans de loyer, précise-t-elle. D'autre part, "un permis de construire a été délivré en 2009. Le bail prévoyait 7 ans pour construire la mosquée. Aujourd'hui, rien n'a été entrepris", a-t-elle encore regretté. 

Après une série de recours en justice, déposés par le FN, la première pierre de l'édifice avait finalement été posée par le maire, Jean-Claude Gaudin, en 2010. Mais, faute de financements - sur fond de dissensions au sein de l'association porteuse du projet - le chantier n'a en réalité jamais vraiment commencé. Aujourd'hui, le terrain est à l'abandon et les bâtiments actuels ne sont toujours pas rasés.

Lci 

Isabelle Surply : Migrants - pourquoi cache-t-on la vérité aux habitants de Valfleury ?

 

À Valfleury, dans la Loire, une réunion a été organisée avec les services de la sous-préfecture pour que les habitants puissent poser leurs questions sur l’arrivée programmée de 80 migrants dans leur village. Isabelle Surply, conseillère régionale FN, a posé les questions qui fâchent…
***



Boulevard Voltaire 

« Je rétablirai le droit du sang ! »

 

 


Il y a un grave problème avec l’immigration. L’intégralité de la classe politique à laquelle il reste un soupçon de réalisme est aujourd’hui d’accord pour le reconnaître. « Que faire ? » est, en revanche, une question sur laquelle beaucoup déçoivent dans leurs réponses ou par leurs esquives, à commencer par ceux qui ont exercé des responsabilités sans n’avoir jamais changé les choses.

Je n’ai pas été l’un de ceux-là. Et si j’aspire à exercer des responsabilités, c’est parce que j’ai un projet clair et ferme, notamment sur cette question. Il faut d’urgence rétablir le droit du sang comme moyen privilégié d’accès à la nationalité française, et je suis le seul à le proposer parmi les candidats à la primaire ouverte de la droite et du centre.

Je n’ai jamais varié sur cette idée, parce que je crois qu’il faut enfin se donner les moyens d’endiguer le flux que nous ne savons pas gérer, et qu’il est temps de protéger la France d’une communautarisation croissante et conflictuelle. Dès lors, je refuse absolument que le fait de devenir français soit automatique et, parfois même, involontaire !

Il faut le redire clairement : l’intégration à la communauté nationale est un cadeau fait par les Français à des étrangers, et non l’inverse. La France ne sait plus qui elle est et ne pourra donc jamais accueillir en son sein des étrangers par millions, à moins de les laisser vivre comme dans leurs pays d’origine, ce que les Français refusent légitimement. Pour accueillir et offrir une nationalité, il faut être capable de savoir ce que l’on a à offrir. 

Nous devons commencer par là, et ce sera long. Le droit du sol a ouvert les portes d’une communauté nationale en la divisant en multiples communautés qui ne savent même pas ce qu’être français veut dire. 
  Des étrangers pourront, bien sûr, devenir français, exceptionnellement. Il faudra pour cela qu’ils parlent le français et qu’ils prêtent serment devant notre drapeau. Puisqu’ils seront moins nombreux et déterminés, il sera alors possible de les assimiler (ce qui demande un travail partagé !) et non plus seulement les « intégrer ». Il faut cesser de mentir : ces étrangers ne peuvent devenir français sans rien changer à leurs habitudes et sans inscrire leurs enfants dans la longue histoire qui est celle de notre pays. Un papier ne suffit pas !

Mais il faut également être lucide, et se tourner vers les pays d’origine de l’émigration. Avec certains, la mise en place de programmes solides de codéveloppement est nécessaire. Ils permettront aux ressources vives de ne plus éprouver le besoin (même biaisé) de quitter leur terre pour imaginer un avenir ailleurs.

Ouverture et identité ! Parce que sans savoir d’abord qui nous sommes, nous ne pourrons rien offrir et nous nous contenterons de poursuivre la dissolution du peuple français, et l’éclatement de la France. 

 Jean-Frédéric Poisson

Boulevard Voltaire 

La France envahie ? Un problème démographique…

 

 



Peu de gens ont commenté les chiffres relatifs au dépistage de la drépanocytose pour l’année 2015. Pour ceux qui l’ignorent, la drépanocytose est une maladie génétique qui concerne ultra majoritairement les populations extra-européennes, notamment subsahariennes, indiennes et maghrébines. Les Européens et les personnes du Sud-Est asiatique ne sont quasiment pas concernés. Se caractérisant par l’altération de l’hémoglobine, elle concerne 50 millions d’individus dans le monde, ce qui en fait l’une des maladies héréditaires les plus répandues dans le monde et… la première en France.

En 2015, 73,40 % des nouveau-nés ont été concernés par le dépistage de la drépanocytose en Île-de-France, contre 54,15 % en 2005. En région Provence-Alpes-Côte d’Azur, ils étaient 52,39 % à être dépistés en 2015, contre 32,51 % en 2005. Région moins atteinte, la Bretagne ne comptait que 8,13 % de nourrissons testés, contre 3,47 % en 2005. Si l’on prend la France dans sa globalité, 38,85 % des naissances présentaient un risque lié à la drépanocytose. Ce qui signifie, en français courant, que quatre enfants sur dix nés en France en 2015 n’étaient pas d’origine européenne.

On constate aussi que le nombre de nouveaux-nés n’ayant pas de parenté européenne est en constante augmentation, dans des proportions importantes. Songez que nous sommes passés d’un enfant sur deux à trois enfants sur quatre en Île-de-France en à peine dix ans. 

À l’heure actuelle, ces chiffres sont les seuls qui nous permettent de mesurer à peu près correctement les changements de population à l’œuvre en France. Si vous avez eu des enfants, vous devez vous rappeler que la sage-femme vous a posé des questions pour déterminer si votre bébé devait être dépisté ou non. Ce protocole existe depuis environ 20 ans. Auparavant, ce test n’était pas proposé, la proportion de naissances concernées étant alors infime. Dans ces conditions, comment continuer à laisser rentrer des centaines de milliers d’immigrés légaux et illégaux tous les ans ? Pareillement, comment peut-on imaginer inclure, intégrer ou assimiler ces nouveaux arrivants ? Un enfant français d’origine européenne qui naît en Île-de-France cette année aura toutes les chances de s’assimiler aux populations majoritaires, et non l’inverse. Qui dit français d’ascendance européenne en minorité en France dit culture française autochtone traditionnelle devenue minoritaire dans certains quartiers, puis progressivement effacée.

 
Sans prise de conscience globale du problème, nous serons une communauté comme les autres en France, avant que l’Europe toute entière ne subisse le même sort. Pour que la communauté nationale puisse rester unie, il faut que la France reste française dans ses grands traits, a fortiori quand la démographie du Sud devient délirante. Il est temps de mettre un terme à l’immigration de peuplement. Il en va purement et simplement de notre salut en tant que nation. S’il n’y a plus de Français en France, et que les immigrés ne veulent pas embrasser la culture historique de notre nation, il n’y aura plus de France. Regardons attentivement ces chiffres : ils sont l’enjeu du siècle et la question politique fondamentale des années à venir.

 Gabriel Robin

Boulevard Voltaire 

Deux mois de prison pour le musulman Aurier, cauchemar du PSG

 

 





Le Paris Saint-Germain (appelé Paris Qatar par les mauvaises langues) joue de malchance avec ses rares musulmans. Sa grosse recrue de l’année, Hatem Ben Arfa, n’est même plus retenue dans le groupe par le nouvel entraîneur espagnol, Unai Emery.

L’autre disciple d’Allah de l’équipe, Serge Aurier, vient de vivre un week-end des plus compliqués. Sur le terrain, contre Toulouse, il a réussi à provoquer un penalty, à se faire expulser, et donc à laisser ses partenaires finir à dix, et concéder une nouvelle défaite.

Et pour tout arranger, il était convoqué devant les juges, ce lundi, et s’est vu condamner à deux mois de prison ferme.

En effet, le 30 mai dernier, au petit matin, sortant d’une boîte aux Champs-Élysées, il n’avait rien trouvé de mieux que de refuser d’abord de descendre de sa Porsche, à la demande des policiers, puis de coller un bon coup de poing au thorax d’un représentant des forces de l’ordre.

Cela s’ajoutait au fait que, par quatre fois dans le passé, l’international ivoirien avait été contrôlé au volant de sa voiture sans permis de conduire. D’où les deux mois ferme, les sursis étant tombés.

En dehors de ces péripéties judiciaires, le joueur commence à avoir un dossier des plus accablants.

L’an passé, à trois jours du match le plus important de l’année, le quart de finale de la Coupe d’Europe des clubs qui devait opposer le Paris Saint-Germain à Manchester City, il réussissait à diffuser une vidéo, sur Periscope, où il qualifiait son entraîneur, Laurent Blanc, de « fiotte ». D’autre part, il bavait sur nombre de ses coéquipiers, évoquant notamment, dans des termes fleuris, l’homosexualité supposée d’un gardien de but. 

Beaucoup d’observateurs ont estimé que l’ambiance délétère qui a suivi ces déclarations avait tenu un rôle important dans l’élimination du PSG.
 Fait accablant pour le défenseur musulman ivoirien : quelque temps auparavant, il avait réussi, toujours sur les réseaux sociaux, à qualifier l’arbitre, M. Kuipers, qui officiait en Coupe d’Europe dans un match opposant le PSG à Chelsea, de « fils de pute ». Cela se fait sans doute à Sevran, d’où Aurier se vante de venir, mais en Coupe d’Europe, cela coûte trois matchs de suspension et des excuses publiques.

Certes, il s’est trouvé l’ineffable Anelka, dont plus aucun club ne veut, pour voir dans la condamnation de son coreligionnaire la preuve du racisme et de l’islamophobie qui séviraient en France. Il s’est même appuyé sur Tariq Ramadan et Dieudonné pour soutenir le défenseur parisien !

Mais le milieu du football commence à en avoir marre d’Aurier, tandis que la gestion de ce joueur par le PSG interroge sérieusement. Il insulte publiquement son entraîneur, mais c’est Laurent Blanc qui est viré, à la fin de la saison, tandis qu’Aurier est toujours présent. Les Qataris cherchent à donner une image respectable du club parisien, en recrutant essentiellement des joueurs bien élevés, majoritairement latino-américains ou européens. Le PSG est l’équipe, dans le championnat de France, qui recrute le moins d’Africains.

Mais pour le plus grand malheur des Qataris, leur seul musulman titulaire réussit, en un week-end, à provoquer un penalty, à se faire expulser et à se prendre deux mois de prison, ce qui fait désordre pour la réputation d’un club qui rêve toujours de gagner la Coupe d’Europe !

Avec Ben Arfa qui cire le banc de touche depuis le début de l’année, voilà de quoi dégoûter à jamais Nasser Al-Khelaïfi, le président du club, de recruter des coreligionnaires ! 

Pierre Cassen 

Boulevard Voltaire 

L’islamo-business, ou comment on finance les djihadistes…

L’islamo-business, c’est plus de 1.000 milliards de dollars par an. Que représente-t-il exactement et à quoi sert-il ? Jean-Paul Gourévitch dresse dans son nouveau livre un état des lieux de la galaxie islamiste…

Explications.


L'islamo-business, ou comment on finance les... par bvoltaire

 

Boulevard Voltaire

Nicolas Bay (FN) : « France Terre d’Asile vit de l’immigration. Les Français en meurent. »