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samedi, 22 octobre 2016

Des musulmans privés de mosquée prient aux abords du Colisée

 

 Plusieurs centaines de musulmans ont prié vendredi aux abords du Colisée pour protester contre la fermeture de mosquées officieuses et pour faire valoir leur droit à pratiquer leur religion.

L'Italie compte 1,6 million de musulmans mais quelques mosquées seulement sont officiellement répertoriées. Beaucoup de fidèles sont donc contraints de prier dans des centres culturels ou des lieux privés, ce qui, selon l'aile droite de la classe politique, accentue le risque de radicalisation.

Le ministre de l'Intérieur Angelino Alfano a estimé en août que "les mini-mosquées dans les garages" ne devaient pas être tolérées.
Selon l'association Dhuumcatu, à l'origine de la manifestation de vendredi, la police a fermé trois mosquées officieuses, ces derniers, mois à Rome.

"Nous sommes lassés de la criminalisation de nos lieux de culte. Il n'y a pas de dispositions adéquates et nous ne pouvons pas inventer de solutions sans les autorités", dit-elle sur page Facebook. (Isla Binnie, Jean-Philippe Lefief pour le service français)

Zonebourse 

Prisons et religions: des chiffres difficiles à obtenir

 

 
 



Dans un livre paru ce 20 octobre, le sociologue Farhad Khosrokhavar, avance des estimations sur la proportion de musulmans dans les prisons françaises. Un sujet explosif et tabou, où les chiffres sont à prendre avec prudence. 

Lille. La justice valide l'évacuation d'un camp de migrants

 

 






Les 150 migrants installés dans le parc lillois des Olieux vont être évacués a annoncé le tribunal administratif de Lille qui examinait un recours formé par ces réfugiés contre les propositions de logement formulées par l'Etat.

Le tribunal administratif de Lille a donné son feu vert jeudi 20 octobre à l'évacuation de quelque 150 migrants vivant dans un parc de la ville, en rejetant le recours formé par ces réfugiés qui s'opposaient aux solutions de relogement proposées par l'État.
Dans son ordonnance, le tribunal, saisi le 11 octobre en référé, a estimé que « les solutions » de l'État « destinées à mettre à l'abri » les migrants occupant le parc des Olieux étaient applicables « immédiatement ».

Ces migrants devraient ainsi être hébergés dans une auberge de jeunesse à Dunkerque, dans un centre de répit temporaire à Cassel (Nord), à 50 km de Lille, ou encore dans un centre d'accueil pour demandeurs d'asile.

De nombreux mineurs isolés

 

Lorsque cette décision de justice aura été notifiée aux jeunes migrants et qu'ils auront « été invités à se rendre dans un des centres d'hébergement retenus », « ils ne justifieront plus d'aucun motif pour se maintenir sans droit ni titre dans le parc des Olieux », selon le tribunal.

Depuis début 2015, plusieurs dizaines de migrants, dont une majorité de mineurs, originaires principalement d'Afrique subsaharienne (Guinée, Mali, Côte d'Ivoire, Sénégal), s'étaient installés dans le jardin des Olieux, un parc de 8 000 m² situé dans le quartier populaire de Moulins, au sud de Lille.

L'avocate des migrants, Me Émilie Dewaele, a jugé que les solutions de relogement proposées par l'État étaient « insuffisantes ».

« 82 places pour 151 personnes »

 

« 82 places ont été proposées pour 151 présentes dans le parc (...) et les lieux désignés ne sont pas en adéquation avec les besoins des mineurs isolés », avait-elle notamment estimé lors de l'audience. En outre, ces mineurs « sont scolarisés » à Lille ce qui « reviendrait à briser les liens sociaux » qu'ils ont développés.
L'avocate demandait que l'État « procède à la réquisition d'un ou de plusieurs bâtiments pouvant accueillir 151 personnes avec la mise en place d'un accompagnement adapté » dans la métropole lilloise. « Aucune utilité », a estimé le tribunal administratif.
Le 1er septembre, la Métropole de Lille (MEL) avait été déboutée de sa demande en référé d'expulsion de ces migrants du parc à cause de « l'absence de toute solution de relogement annoncée ».

Ouest France 

Villejuif : le Conseil d’Etat rouvre le débat autour de la mosquée

 

 






Hier matin, au Palais Royal, à la demande du président de la cour d’appel de Paris, le Conseil d’Etat examinait la requête de l’Association des Musulmans de Villejuif (AMV) contre un arrêté municipal. Ces derniers demandent l’annulation du permis de construire accordé par le maire (LR) Franck Le Bohellec à une SCI, portée par les promoteurs franciliens Imestia et Pierre Promotion sur le terrain situé au 132-136 boulevard Maxime-Gorki.
 
 
Objet de tous les désirs : le terrain de l’ex-gendarmerie, non loin du métro. Initialement propriété du département, il avait été cédé à l’ancienne mairie communiste dirigée par Claudine Cordillot. Le conseil municipal avait accepté, en février 2014, de le louer à l’AMV pour 1 € symbolique avec un bail emphytéotique de 99 ans. Le changement de municipalité avait tout changé et la nouvelle équipe était revenue sur la parole de l’ancienne. Le 2 mars 2015, elle dé́livré un permis de construire à la SCICV Villejuif 132-136 Gorki pour la construction d’une résidence ́étudiante, un ensemble de logements en colocation, un ensemble d’habitations, un local associatif culturel et un local commercial à l’endroit même où l’AMV et l’Association des Musulmans du Val de Bièvre (AMVAB) voulaient édifier un bâtiment de 5 étages pouvant accueillir 1 200 fidèles. Le projet comprenait également une salle de prière pour hommes, une salle de prière pour femmes et différentes salles d’activités.
 
En novembre 2015, l’AMV saisit le tribunal administratif de Melun qui rejette sa demande. L’association a donc porté le dossier en appel devant le Conseil d’Etat. Ce mercredi, le rapporteur public, chargé d’instruire le dossier, a considéré qu’un vice de procédure invalidait ce premier jugement. Selon lui, l’ordonnance rendue par le tribunal de Melun aurait méconnu la jurisprudence qui a, notamment, permis à la Mosquée de Montreuil de lancer son projet d’extension. Il a donc proposé d’accueillir le pourvoi de l’AMV et de renvoyer l’affaire devant le tribunal administratif de Melun. La décision du Conseil d’Etat sera connue dans les prochaines semaines.

pageshallal 

Le Plessis-Robinson (92) : Après 119 vols, il finit devant les juges… trahi par son étron

 

 
[…] Un jeune homme de 21 ans, soupçonné d’avoir commis 119 vols dans des parkings souterrains du Plessis-Robinson (Hauts-de-Seine), a été interpellé grâce à l’ADN… d’un étron retrouvé à proximité d’un de ses forfaits. […]

Les vols à la roulotte, c’est-à-dire dans des véhicules stationnés, avaient eu lieu dans les parkings souterrains du centre-ville de cette commune située à l’ouest de Paris, à partir de février. […]

« Fin mars, les enquêteurs ont constaté des excréments entre deux véhicules ‘roulottés’ », a expliqué jeudi à une porte-parole de la police des Hauts-de-Seine. Une aubaine pour les enquêteurs.
« Ils ont procédé à des prélèvements ADN, qui ont permis l’identification d’un individu déjà connu pour ce type de faits. »
Quelques semaines plus tard, les policiers ont retrouvé dans un 4×4 volé les papiers d’identité du jeune homme. […]


Le voleur présumé a été interpellé mardi au domicile de sa mère, à Houilles (Yvelines), où une perquisition dans sa chambre a permis de retrouver un calepin sur lequel il faisait la comptabilité de ses vols, en notant dates, parkings et larcins.


Selon les enquêteurs, les 119 méfaits lui ont rapporté à peine 400 euros, tant les objets volés étaient bradés, d’une quinzaine d’euros pour un GPS à 20 euros pour des lunettes de soleil vendues dix fois plus cher en boutique. […]


Islamisme.fr

Est-on raciste parce qu’on utilise le mot « race » ?

 

 

L’alerte enlèvement lancée mardi soir a provoqué une polémique inattendue. Pour désigner le ravisseur de l’enfant, l’annonce a employé l’expression « individu de race noire ». Scandale ! Le ministère de la Justice, devant les réactions, modifie rapidement son texte, remplaçant le syntagme incriminé par « individu à la peau noire », puis « de couleur noire ». Il reconnaît que « la polémique est légitime » et que « ce terme » [de race], « très regrettable, n’aurait jamais dû s’y trouver », se défaussant par ailleurs, selon la presse, de toute responsabilité : le message est rédigé « par le terrain », c’est-à-dire par la police en lien avec le parquet, « dans un laps de temps très court ».

On peut d’abord s’étonner qu’une partie des téléspectateurs se soient plus émus de l’emploi du mot « race » que de l’enlèvement d’une petite fille de quatre mois : « C’est Nadine Morano qui est l’auteur de ça ? » s’indigne un tweeter, tandis qu’un autre commente, plus opportunément : « Retrouvons le bébé d’abord, on s’occupera du fan de Morano et sa “race noire” après. » Les associations antiracistes, comme la LICRA ou SOS Racisme, n’ont pas tardé à réagir, soit en se félicitant de la prise de conscience rapide de l’erreur commise, soit en dénonçant l’emploi du terme « race » dans un texte de l’État, exigeant des explications sur cette « aberration », ainsi que des mesures pour que de tels faits ne se reproduisent pas.

Mais, au-delà de ces réactions, il faut s’interroger sur la pertinence de cette polémique. On se souvient qu’en 2013, l’Assemblée nationale avait adopté, avec le soutien des socialistes, un texte du Front de gauche supprimant le mot « race » de la législation. François Hollande s’était même engagé, en 2012, à l’ôter de la Constitution. Paradoxe ! Ce terme fut introduit dans le préambule de la Constitution de 1946 – auquel celle de 1958 se réfère – pour mettre fin aux discriminations et rejeter les théories racistes : « Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés », peut-on lire dans la première phrase. Va-t-on accuser de racisme ceux qui ont combattu le nazisme ? 

Si le concept de race a pu servir de prétexte au racisme, le terme n’est pas, en lui-même, porteur de connotations négatives.
Cette polémique montre combien il est difficile de s’exprimer sur certains sujets sans risquer de se faire accuser des pires intentions. Au lieu d’expliquer ses dérives possibles vers des idéologies discriminantes, au lieu de démontrer, sans agressivité, que le terme de « race » n’est pas scientifiquement exact, au lieu de faire preuve de mesure et de discernement, on interdit l’emploi du mot. On recouvre le langage d’une chape de plomb de conformisme. Mais ce n’est pas en instaurant de nouveaux tabous qu’on supprimera le racisme. Bien plus : les censeurs les plus intransigeants, dans leur comportement manichéen, ont tendance à pratiquer eux-mêmes une exclusion à rebours. 
  Le plus étonnant, dans cette histoire, c’est l’outrance du tollé qu’elle a suscité. Ceux qui ont employé le mot « race » naturellement, sans penser à mal, seront-ils cloués au pilori avec, autour du cou, la marque de leur infamie ? Le président Obama, dans un discours prononcé à Philadelphie en 2008, n’avait pas hésité, lui, à l’utiliser : « La race est une question que notre pays ne peut se permettre d’ignorer » » déclara-t-il. En France, il serait taxé de racisme. C’est un comble !

Jean-Michel Léost

Guillaume Bernard : « Le clivage a changé ; il y a désormais les réalistes contre les idéalistes »

Au centre, Macron et Juppé marchent sur les mêmes plates-bandes électorales. N’y aurait-il plus ni droite ni gauche ?

Guillaume Bernard s’inscrit en faux.

 


Guillaume Bernard : "Le clivage a changé ; il y... par bvoltaire

 

Boulevard Voltaire

Le monstre de Calais

 

 






En lisant, ce soir dans l’avion, l’article du Figaro écrit par Delphine de Mallevoüe suite au viol d’une interprète d’origine afghane qui accompagnait un journaliste de France 5 dans la jungle de Calais, j’ai eu un haut-le-cœur. L’article y rappelle l’effroyable situation qui s’est désormais installée là-bas, depuis de nombreux mois. Je peine à croire que, dans notre climat de paix contrainte et factice, nous soyons parvenus à fabriquer un tel monstre, et qu’on puisse en tolérer les méfaits.

Je dis bien fabriquer, car il n’y aurait pas de Calais sans le consentement béat de responsables qui se dédouanent sciemment de cette responsabilité. Il n’y aurait pas de Calais sans la fuite en avant d’une civilisation qui se gargarise de générosité en méprisant et piétinant ses victimes. La générosité ne violente pas, ne viole pas et n’agresse pas. Si, donc, nous avons là les fruits d’une générosité supposée, c’est surtout qu’elle est imaginaire et sans effet. 

Calais existe parce qu’il n’y a pas d’autres choix quand ceux à qui incombe la lourde charge du bien commun préfèrent se vautrer dans l’adulation de leur propre estime. Calais est le monstre que nous avons fabriqué en contemplant un veau d’or idéologique, dans son sens biblique : l’adoration d’une image qu’on se forge. Pourtant, si le migrant n’est pas par définition une menace, c’est en le sublimant au-delà des réalités de la nature humaine qu’on en méprise le risque.
Je ne suis ni pour ni contre le migrant. Mais à l’heure où on se scandalise à juste titre des légèretés douteuses de Cyril Hanouna et de son équipe sur une femme après 35 heures de direct, à l’heure où à juste titre le moindre abus de clercs dévale en torrent les pentes de nos colonnes infernales, comment en vient-on à passer sous silence les viols d’enfants et de femmes constatés et répétés dans une jungle qui porte horriblement bien son nom ? Livrerait-on les plus fragiles de ce territoire perdu (migrants aussi, pour certains) en proie à des personnes dont la seule qualité fut d’être un immigré ?

 J’ai honte, si honte.

La question ne concerne plus la xénophobie ou le rejet de l’autre. La gloire et la grandeur d’une civilisation se mesurent à la protection, coûte que coûte, du plus faible parmi nous. La jungle est un monstre où s’est désintégrée (je pèse mes mots) la civilisation. Ce n’est pas simplement un bazar désagréable, ni même un glauque bordel. C’est le théâtre de sordides et nauséeux crimes ou agressions qui peuvent surgir à tout moment sur des êtres faibles, en particulier femmes et enfants. Dans un éclair succinct de ma pensée, j’y vois ma femme, ou mes enfants, et je vomis le monstre que nous avons engendré. Je n’ai aucune solution magique, mais beaucoup de dégoût. 

Pourtant, les acteurs publics responsables de ce désastre ne pourront que détourner le regard, le visage en extase tourné vers leur générosité parfaite. Non parce que tout ceci est insoutenable (et ça l’est), mais parce que le plus dur, pour un être, est de se regarder en face.

Olivier Martineau 

Boulevard Voltaire

Aux grands maux de la police, les gros mots de Cazeneuve

 

 






Sur fond de nouvelles attaques – à Vénissieux, notamment, où plusieurs dizaines d’émeutiers ont attaqué une patrouille de police -, le ministre de l’Intérieur recevait les syndicats de police. Dans le même temps, d’autres rassemblements de policiers se tenaient un peu partout en France, comme pour exprimer leur refus de voir leur message récupéré, craignant, sans doute à juste titre, qu’il ne soit ni compris ni suivi d’effets. 

Particulièrement encadré au sein de la police nationale, le dialogue social est, et a toujours été, solidement tenu par les syndicats et l’administration. Les occasions de voir « la base » s’exprimer directement ont été extrêmement rares, ce qui confère aux événements que nous vivons actuellement une réelle gravité.
N’en déplaise à la haute hiérarchie policière et administrative, cette gravité ne réside pas dans la forme que revêt cette action. Elle réside dans le contenu d’un message qui explique, sans détours et sans intermédiaires, les préoccupations et les peurs ressenties par celles et ceux qui, tous les jours, mettent leur vie en danger.
Leurs préoccupations concernent l’avenir d’un pays dont ils sentent bien que le pouvoir politique a perdu le contrôle. Elles visent, également, les faiblesses d’une hiérarchie qui n’assume plus ses responsabilités, car tenue aux ordres d’un gouvernement en pleine dérive. Elles signifient, enfin, l’état de délabrement organisationnel d’une corporation en perte totale de confiance en elle même, et en ceux qui la dirigent.

À cela vient s’ajouter la peur. La peur de mourir, bien entendu, sous les coups de criminels que la justice aurait pu, dans bien des cas, mettre hors d’état de nuire. 

La peur de blessures irréparables à même de gâcher définitivement une vie. La peur de « surréagir », en utilisant son arme dans un contexte où le soutien des politiques et, par voie de conséquence, de la hiérarchie reste des mots.
 Face à cette incertitude et cette peur du lendemain, où chaque policier part en mission sans savoir si ça ne sera pas la dernière, les syndicats n’ont pas de réponses. Ils n’ont pas la confiance de ces agents de terrain qui savent pertinemment que s’ils sont utiles, voire incontournables, pour négocier un avancement ou une mutation, ils sont inopérants pour résoudre les graves questions de sécurité qui touchent notre pays aujourd’hui.

Et ce ne sont pas les mesures annoncées par Cazeneuve qui seront de nature à rassurer les forces de l’ordre. Concertation avec les préfets au niveau départemental. Pour dire quoi ? Pour faire quoi ? Alors que le gouvernement est dans une impasse sécuritaire totale. Lancer un plan « de sécurité publique » ? Ne sommes-nous pas en état d’urgence ? La sécurité publique ne devrait-elle pas être depuis des mois une priorité ? Recentrer les policiers sur leur cœur de métier ? De grandes phrases, de grands mots, qui n’ont plus aucun sens dans la bouche de ceux qui ont failli et qui devraient avoir, depuis longtemps, quitté le gouvernement d’incapables qu’ils incarnent si bien.

Reste les sanctions et la discipline. L’IGPN, la police des polices, a été chargée de mener une enquête « sur les manquements individuels aux règles statutaires » qui auraient pu être commis à l’occasion de ces rassemblements spontanés de policiers. Nous sommes là dans la tragi-comédie. À souhaiter simplement que, le moment venu, le peuple demande des comptes à ceux qui nous gouvernent aujourd’hui pour les manquements innombrables qui auront marqué leur passage à la tête du pays.

Olivier Damien 

 Boulevard Voltaire

Paris : braquage chez le joailler Boucheron, 500.000 euros de préjudice

 

 





Deux hommes ont braqué le joaillier Boucheron rue de la Paix, en plein Triangle d’or parisien, jeudi en fin d’après-midi, emportant avec eux un butin évalué à environ 500.000 euros, a-t-on appris de sources policières.

Vers 17H00, « deux hommes se sont fait passer pour des coursiers pour se faire ouvrir la porte« , a expliqué une source policière. Une fois entrés dans la boutique, ils ont menacé le personnel avec notamment des bombes lacrymogène, selon une autre source policière. Les deux hommes se sont enfuis « avec une dizaine de montres » pour un préjudice « estimé à 500.000 euros« .

Islamisme.fr 

Paris : une lycéenne dépouillée, rouée de coups et poussée à l’eau sur l’Île Saint-Louis

 

 





La rencontre cauchemar… Mathilde*, 17 ans, était tranquillement en train de pique-niquer sur un banc du quai d’Orléans sur l’Île Saint-Louis (IVe), en plein cœur de Paris, avec comme paysage la Seine. Jusqu’à ce qu’elle rencontre une bande infernale. […]


Les faits ont eu lieu mercredi, à 21 heures. Alors que la jeune fille mangeait son panier-repas, quatre jeunes, quatre garçons et une fille, d’environ 17 et 18 ans, l’abordent. Les choses vont crescendo. Ils lui demandent d’abord « normalement » une cigarette, puis de l’argent. Et de plus en plus agressifs, la terrorisent. Une « gifle dans la tête », « des coups de poing et des coups de pied ». Ils lui arrachent les cheveux. Mathilde est alors jetée à terre. L’un tire sur son sac tandis que les autres la poussent dans la Seine ! Puis partent en courant. […]

Le quatuor infernal, lui a disparu, non sans lui a volé son sac à dos avec ses cours mais aussi son portefeuille avec ses papiers d’identité, ses cartes bancaires, de cantine, de bibliothèque…

Islamisme.fr 

Saint-Dalmas-de-Tende (06) : un bâtiment squatté par des associations pro-migrants

 

 
Ce jeudi matin vers 7h45, policiers, gendarmes, représentants de la préfecure des Alpes -Maritimes, procureur de la République et douaniers se sont présentés au squat des réfugiés érythréens arrivés via l’Italie et hébergés depuis ce lundi à Saint-Dalmas-de-Tende.

Dans ce « lieu d’accueil humanitaire de transit » comme le nomme l’association Roya Citoyenne, ils ont procédé à l’évacuation de 39 mineurs et 5 adultes. D’autres migrants installés là depuis lundi, avaient déjà quitté les lieux sachant leur expulsion proche.

Saint Dalmas de Tende ; le point mercredi soir

 Il s’agit d’un groupe d’Erythréens pris en charge par un collectif d’associations. Ils se sont installés lundi soir dans un bâtiment en friche à Saint-Dalmas-de-Tende


Un centre d’accueil sauvage a été installé lundi soir, à Saint-Dalmas-de-Tende dans la vallée de la Roya, par un collectif d’associations de défense du droit des demandeurs d’asile. Les portes de l’ancien centre de vacances « Les Lucioles », appartenant à la SNCF, ont été fracturées dans la soirée de lundi. Une cinquantaine de migrants en majorité Erythréens, y sont accueillis depuis.

La SNCF dépose plainte ce mardi et met en avant des problèmes de sécurité , liés à ce bâtiment à l’abandon. Les associations, dont la Cimade, La Ligue des droits de l’homme, le MRAP ou encore « habitat et Citoyenneté » estiment qu « ‘il est de son devoir de mettre à l’abri des hommes, femmes et enfants »dans ce lieu d’accueil humanitaire de transit »

Les gendarmes encerclent le bâtiment en attente d »instruction.La préfecture des Alpes-Maritimes de son coté a estimé que cette installation « est illégale et irresponsable ».

Islamisme.fr 

Rennes (35) : couple torturé devant ses enfants, 3 jeunes dealers mis en examen

 

 





La police judiciaire de Rennes a interpellé à Paris trois jeunes d’une vingtaine d’années, connus pour des affaires de stupéfiants, plus d’un an après la violente agression d’une famille de commerçants rennais en août 2015.


Les trois malfaiteurs attendaient, vers 3 h 30 du matin, fin août 2015, le gérant du restaurant devant chez lui dans le quartier de Maurepas à Rennes.

Quand il est descendu de son véhicule, ils l’ont menacé avec une arme de poing.L’homme a été roué de coups ainsi que sa femme. Les agresseurs ont arrosé l’épouse d’eau de javel et l’ont forcée à en boire. Ils ont aussi pointé l’arme sur la tempe de l’aîné des fils, terrorisé.

Les braqueurs voulaient savoir où le couple cachait une forte somme en argent liquide qui n’existait vraisemblablement pas. Ils sont repartis au petit matin. Ils ont volé des bijoux en or conservés dans un coffre, pour une valeur de 20.000 €. […]

Islamisme.fr