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jeudi, 12 janvier 2017

L’islamisation galopante de la police française

Dénigrée, malmenée et bientôt entièrement islamisée. Voici le triste destin de la police française si aucune mesure forte n’est prise au cours des prochains mois. La police est victime d’un phénomène de grande ampleur que ne veulent pas voir la hiérarchie et encore moins les politiques qui accompagnent ce mouvement de radicalisation. Dans un ouvrage intitulé Où sont passés nos espions ? (Albin Michel) on apprend que dix-sept policiers de l’agglomération parisienne se sont radicalisés entre 2012 et 2015. Un chiffre bien en-deçà de la réalité. 

Soumise à rude épreuve depuis les attentats de Charlie Hebdo il y a deux ans, la police est entrée dans une spirale infernale. Non, pas celle de l’extrême-droitisation dont nous parlent sans cesse les médias friands de rentrer dans le jeu de la gauche écervelée, mais celle de l’islamisme radical qui gangrène de nombreux services de police. A en croire l’ouvrage Où sont passés nos espions ? qui vient de paraître et qui s’appuie sur une note en date du 9 novembre 2015 de la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP), dix-sept policiers travaillant dans l’agglomération parisienne se sont radicalisés.

Dix-sept. Ce chiffre laisse pantois. Comment des agents de police censés protéger les citoyens peuvent-ils être sujets au lavage de cerveau made in Daech ? Sauveurs de la veuve et de l’orphelin le jour et amateurs de vidéos de décapitation la nuit ? La réalité est bien plus inquiétante encore puisque ces policiers convaincus que la justice se trouve dans la charia et le massacre des non-musulmans sont de plus en plus nombreux et ne cachent pas leur haine contre la France et nos valeurs. Les dix-sept policiers sont en fait des centaines et nourrissent leur haine chaque jour un peu plus jusqu’au jour où ils se décideront à nous frapper.

Fermer les yeux et mourir

 

Il suffit de passer quelques jours dans une unité pour comprendre que l’islamisme radical est un problème particulièrement inquiétant. La hiérarchie, confrontée quotidiennement à ce problème ne fait aucune vague de peur d’être débarquée pour racisme et mal-pensance. Car au-dessus, les politiques veillent au grain et font tout leur possible pour qu’aucune information ne filtre à ce sujet. Les élites ferment les yeux et participent pleinement à la mise à mort de la France à travers l’islamisation bien réelle de la police.
Entre un agent obsédé par les chants religieux lors de ses patrouilles et une fliquette qui a honte d’être dans la police et qui appelle à la mise à mort des politiques, la police française prend les airs de milice islamique. Une autre policière auteure de graves propos tenus sur les réseaux sociaux a été écartée et mise en arrêt maladie ! Non contente de vouloir soumettre la France à ses desseins islamiques, elle est payée par nos impôts à préparer chez elle une attaque ! Lorsqu’on en arrive à de telles aberrations, la question de la fin de notre civilisation se pose avec acuité.

Régulièrement et dans la plus grande discrétion, des policiers qui ne sont que des terroristes en puissance sont écartés de leur service, mais on écope une partie infime et le bateau coule très rapidement. Seule une prise de conscience rapide et radicale pourra faire émerger un espoir de changement. Mais cette prise de conscience n’a-t-elle pas pu avoir lieu après les attentats de Paris, de Nice, de Saint-Etienne-du-Rouvray, Magnanville, etc… ? Apparemment non, les politiciens n’ont tiré aucun enseignement et attendent benoitement le prochain drame et espérant qu’ils ne seront pas désignés à la vindicte publique.

Mais où trouver l’homme politique qui prendra les mesures qui s’imposent ? A gauche, le combat est déjà perdu avec un Valls coupable (ministre de l’Intérieur puis Premier ministre), et des dangers comme Peillon et Hamon qui ne trouvent rien à redire à la situation religieuse et sociale dans le pays. Fillon ? L’inflexion pourrait arriver mais sera trop faible pour changer le fond du problème. Alors Le Pen ? De Le Pen, aucun salut n’est à attendre car dans sa volonté de se « normaliser » elle est prête à faire part d’un pseudo « sentiment de malaise » quand le candidat Républicain affirme être catholique. Malaise il y a. Celui d’être considéré comme un paria dès lors qu’on est catholique. Celui de voir une police et un pays s’enfoncer dans l’islamisme radical sans que personne n’ose même le dénoncer.

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Comment la Chine va devenir un géant du halal

 

 

Occitanie : Jean-Marie Le Pen lance sa campagne à Palavas et mine celle de Marine

L 'ancien leader du Front National tiendra son premier meeting national le samedi 21 janvier dans la cité côtière de l'Hérault.

Le lancement national de la campagne de Jean-Marie Le Pen et de ses comités Jeanne pour les Législatives de juin 2017 aura lieu samedi 21 janvier dans la salle Bleue de Palavas-les-Flots.A l'occasion d'un meeting et d'un banquet, il dévoilera sa stratégie en détail. Mais son attaché parlementaire revenu en grâce, Lorrain de Saint-Affrique en a déjà dévoilé les grandes lignes, hier, à Montpellier. La présentant comme une volonté de sauvegarder "les valeurs du FN", loin d'une "dérive à gauche" et de l'influence de Florian Philippot, dénoncées de concert.

 

Une trentaine de candidats en Occitanie

 

On peut y lire un nouvel épisode dans la guerre interne au parti d'extrême droite, marquée l'an dernier par l'exclusion de Jean-Marie Le Pen d'un parti, dont il reste - a confirmé la justice - président d'honneur.Il semble évident que les comités Jeanne, en plus d'occuper le terrain politique, ont bien l'intention de le miner.Pour les législatives mais aussi, l'air de ne pas y toucher, pour la présidentielle.

Ménard et Jamet ne viendront pas

 

Les organisateurs ont invité à Palavas le maire de Béziers, Robert Ménard. Joint, celui souligne qu’il n’ira pas. "J’ai dit non. C’est une division de plus par des gens qui affirment avoir les mêmes idées. C’est une mauvaise chose. Ils m’ont assuré qu’ils n’auraient pas de candidat ici."

Cofondateur du FN, Alain Jamet, ne fera pas non plus le détour : "Cette aventure, je la déplore, je la désavoue.Jean-Marie Le Pen est mal accompagné.Cette aventure est vouée à l’échec. L’expérience m’a appris qu’ils feront plus ou moins 1 %".

CAROLINE FROELIG

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Allemagne: l'AFD sceptique concernant une rencontre avec Marine Le Pen

Le parti de droite populiste allemand l'AFD, est partagé avant une rencontre avec Marine Le Pen, certains cadre la qualifiant de "socialiste".

Quand Macron fait l’éloge de la politique d’immigration de Merkel…

Europe, migrants, euros… Emmanuel Macron a profité de sa visite à Berlin, mardi 10 janvier, pour faire entendre sa voix sur quelques uns des sujets clés de son projet présidentiel, sans avoir peur d’aller à rebours de l’opinion publique française.
Depuis une usine de trains de la Deutsche Bahn, un opérateur ferroviaire allemand fournissant une formation à des demandeurs d’asile, le leader du mouvement En Marche ! n’a pas hésité à faire l‘éloge de la politique d’accueil des migrants d’Angela Merkel.
«Je veux saluer ce qu’a fait la chancelière, c’est une fierté et une force pour l’Europe», a-t-il déclaré, quelques jours après avoir publié une tribune rendant hommage à la chancelière allemande.
Un parti pris surprenant de la part de l’ex-ministre de l’Economie, au regard de l’effondrement de la popularité de la chancelière depuis sa décision d’accueillir en Allemagne un million de migrants, en 2015. Cette politique d’ouverture des frontières, en effet, a suscité de vives oppositions dans la société allemande, bouleversée notamment par les agressions sexuelles de masse du Nouvel An 2016 à Cologne et par la vague d’attentats qui a frappé le pays depuis l’été dernier (attentats dont certains impliquaient des réfugiés).
 
S’étonnant, dans ces conditions, de voir Emmanuel Macron défendre les choix migratoires d’Angela Merkel, le dirigeant du mouvement Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, a tweeté : «Il est devenu FOU !»
 
Quelques internautes, de manière similaire, ont réagi avec colère aux propos d’Emmanuel Macron sur la politique migratoire allemande : l’un d’eux l’a par exemple qualifié de candidat «hors sol»…, tandis qu’un autre a évoqué «les Allemandes violées par des migrants» à Cologne.
Un discours en anglais qui passe mal
S’exprimant dans la soirée à l’université Humboldt de Berlin, le candidat à l’élection présidentielle, connu pour ses prises de positions pro-européennes, a surpris en affirmant que l’euro était aujourd’hui «un Deutsche Mark faible qui favorise l’industrie allemande».
 
Mais ce n’est pas tant la teneur de son discours que la langue qu’il a employée qui a provoqué de vives réactions chez les internautes… et les responsables du Front national (FN).
 
Dans une salle de conférence bondée (800 personnes, moitié journalistes, moitié étudiants, selon des reporters présents sur place), l’ex-salarié de la banque Rotschild a en effet choisi de s’exprimer dans la langue de Shakespeare. «Pauvre France !», a tonné la présidente du FN, Marine Le Pen, rappelant qu’Emmanuel Macron était candidat à l’élection présidentielle française.
 
De même, pour le vice-président du parti, Florian Philippot, qui estime que l’ancien membre du gouvernement Valls a ainsi fait preuve d’un manque de respect pour la francophonie et de son manque d’espoir en la nation française.
 
Du côté des internautes, les réactions étaient diverses : un utilisateur de Twitter, par exemple, a moqué l’usage de la langue anglaise dans un discours de défense du couple franco-allemand, tandis qu’un autre s’est indigné que l’on «bafoue» ainsi la langue de Molière.
 
Certains internautes ont néanmoins accueilli le choix d’Emmanuel Macron avec bienveillance, comme celui-ci, se félicitant qu’un candidat à la présidence de la République soit enfin en mesure de maîtriser l’anglais.
 
Emmanuel Macron doit poursuivre, mercredi 11 janvier, son voyage en Allemagne.
 

La police interdit un concert d'extrême droite

Suisse : La police a décidé d'interdire une manifestation dans le canton de St-Gall afin de préserver l'ordre public.

 

Le canton de St-Gall interdit un concert de soutien au Parti national suisse (PNOS) d'extrême droite qui devrait se dérouler quelque part en Suisse samedi. Le PNOS a été informé.

La police a appris que le PNOS a prévu d'organiser samedi «un concert d'extrême droite en Suisse», a indiqué mardi la police cantonale st-galloise. Aucune demande d'autorisation n'a été déposée jusqu'à présent. Le lieu du concert ne doit être connu qu'au dernier moment, selon la pratique habituelle de ces mouvements.
La police a décidé d'interdire cette manifestation dans le canton de St-Gall afin de préserver l'ordre public. Le président du PNOS a été officiellement informé de cette décision.

L'expérience montre que les rassemblements de l'extrême gauche ou de l'extrême droite mobilisent aussi les opposants des deux bords. C'est pourquoi il faut s'attendre à des manifestations, a encore indiqué la police.


Unterwasser et Kaltbrunn


La police st-galloise et le Ministère public cantonal ont été l'objet de critiques l'automne passé pour n'avoir pas empêché la tenue d'un concert d'extrême droite qui avait rassemblé environ 5000 personnes le 15 octobre à Unterwasser.

Une semaine plus tard, un musicien d'extrême droite interdit d'entrée en Suisse a participé à une assemblée du PNOS à Kaltbrunn (SG). Il n'a été ramené à la frontière qu'après le concert.
En décembre 2016, le Ministère public st-gallois a annoncé qu'il renonçait à ouvrir une enquête pénale après le concert d'Unterwasser. Il estimait qu'aucun acte délictueux n'avait pu être établi sur la base des rapports de police.

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Amiens : la construction de la nouvelle mosquée en suspens

La construction de la nouvelle mosquée d'Amiens, qui a pour but de remplacer l'ancienne, jugée trop petite, est au point mort. Le chantier a commencé il y a bientôt deux ans, mais de nouvelles expertises doivent être réalisées avant de reprendre les travaux. Par Célia Mascre


 Le chantier de la grande mosquée est au point mort boulevard de Roubaix, mais ce n'est plus qu'une question de temps, selon Régis-Djillali Debus, vice-président de l'association cultuelle et culturelle des musulmans français de Picardie. 
Pour l'association, le chantier reprendra au mieux fin janvier, sinon début février. En effectuant les travaux, les constructeurs se sont apperçus que le sol était meuble, ce qui nécessite un remblaiement afin de consolider le sol. Ils espèrent boucler le chantier d'ici 5 ans.


Un clin d'oeil à la cathédrale


Elle doit remplacer l'actuelle mosquée EL Feth, du boulevard de Beauviller qui est devenue trop petite. Son architectes roubaisien Oussama Bezzazi y fait un clin d'oeil au patrimoine amiénois avec des vitraux qui évoquent la cathédrale de la ville.

Le coût des travaux du projet est estimé à plus de 7 millions d'euros. Pour l'instant, les prémices du projets sont financés à hauteur de 800 000 euros par "des fidèles amiénois", selon l'association ACCMFP.

Il y a 4 mois, l'association a entamé un tour de France pour quêter dans les Mosquées, appelant à la générosités des fidèles musulmans. L'ACCMFP admet aussi faire "du démarchage auprès des pays musulmans". L'ACCMFP compte également se rendre en Grande-Bretagne.

L'extrême droite monte au créneau


Un nouveau recours contre le permis de construire a été porté devant le tribunal administratif. Manque de places de stationnement, hauteur trop élevée, accès des pompiers non conforme... Même s'ils se basent sur une problématique qui relève purement de l'urbanisme, leur rejet est aussi idéologique.

Parmi les plaignants, plusieurs élus et riverains sont affiliés au Front national. "Je ne demande pas les opinions des gens quand ils rentrent dans mon cabinet," précise Maître Maxime Moulin, avocat des parties plaignantes.

Le procès a lieu ce mardi 10 janvier. 


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Vendredi 13 janvier : galette des rois de Jeune Nation et du PNF à Lyon

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Dylann Roof condamné à mort pour ses neuf meurtres racistes

L’Américain Dylann Roof a été condamné aujourd’hui à la peine de mort, sans avoir exprimé de regrets ni d’excuses pour avoir tué neuf paroissiens noirs d’une église de Caroline du Sud en 2015, une tuerie qui avait choqué la planète.


Le jeune homme de 22 ans, qui a assuré lui-même sa défense ces derniers jours, a écouté l’énoncé du verdict sans trahir d’émotion. Les 12 jurés, à l’unanimité, sont tombés d’accord sur les facteurs aggravants en ce qui concerne ses homicides, sans trouver de circonstances atténuantes bénéficiant à l’accusé.

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Paris: dix-sept policiers radicalisés recensés

Dix-sept cas de policiers radicalisés ont été recensés entre 2012 et 2015 dans les rangs de la police de proximité de l’agglomération parisienne, selon une note révélée aujourd’hui par le livre Où sont passés nos espions ?


Lire aussi – » «Pour éviter de nouveaux drames, il faut poser la question des failles du renseignement»

Le phénomène « a connu une accélération » en 2014″, pour les journalistes Eric Pelletier et Christophe Dubois, reprenant une note de la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP).

Un profil de ces policiers radicalisés se dégage. Ils semblent être « jeunes, entrés dans la police au milieu des années 2000 et issus d’un concours interne, nombre d’entre eux étant d’anciens adjoints de sécurité, les emplois jeunes de la police », expliquent-ils.
« Pour l’ensemble des ministères régaliens – Défense, Intérieur et Justice – nous dénombrons une centaine de cas de radicalisation », a expliqué une source chargée du suivi de ces questions aux journalistes Christophe Dubois et Eric Pelletier.

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Bosnie : les Serbes défient la communauté internationale

Une nouvelle provocation pour les uns, un droit souverain pour les autres. Lundi, les Serbes de Bosnie ont paradé dans les rues de Banja Luka pour célébrer leur « fête nationale » au grand dam des Bosniaques musulmans, l’autre composante ethnique de la république fédérale de Bosnie-Herzégovine.

IMMIGRATION L’Italie veut elle aussi accélérer les expulsions et les rapatriements

En Italie, le ministre des Affaires étrangères Angelino Alfano a donné le ton. Après de nouvelles tensions dans le pays, il souhaite « accélérer les expulsions et les rapatriements » de migrants hors des frontières du pays.

Cette annonce intervient après la révolte qui a secoué en début de semaine un centre d’accueil de migrants à Cona, au sud-ouest de Venise. Les pensionnaires, qui protestaient contre l’insalubrité et la surpopulation du site, s’indignaient surtout de la prise en charge jugée tardive d’une jeune femme ivoirienne de 25 ans décédée de maladie.

« Nous agissons avec rigueur et humanité : nous avons sauvé beaucoup de vies mais nous ne pouvons pas accepter de quiconque des violations des règles, a réagi Alfano mercredi dans un entretien au journal La Stampa. C’est pour cela que nous devons accélérer les expulsions et les rapatriements. Je travaille pour conclure des accords qui diminuent les arrivées et empêchent les départs. »

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Finistère : une trentaine de tombes vandalisées à Brennilis

 
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Ce sont au moins trente tombe, selon Ouest-France, qui ont été vandalisées et profanées dans le cimetière de la commune de Brennilis (Finistère), sans doute dans la nuit du vendredi 6 au samedi 7 janvier. Des croix ont été renversées, des crucifix brisés…
 
[…] Samedi soir, une femme qui se rendait au cimetière de Brennilis a constaté des dégâts sur plusieurs tombes. Au total, une douzaine d’entre elles ont été vandalisées, nous relate France 3 Bretagne, et une trentaine d’après Ouest-France, rapportant les propos du maire de la commune Alexis Manac’h : « Les dégâts sont importants, croix renversées, marbres brisés et renversés, au total une trentaine de tombes ont été dégradées. C’est révoltant. On ne comprend pas très bien ce qui a pu passer par la tête de ces gens », déplore-t-il. Des croix ont été renversées, des plaques cassées. Certaines auraient même fait l’objet d’une tentative d’ouverture. Aucune inscription n’a été trouvée sur les tombes. Le maire aussitôt alerté s’est rendu sur place puis a porté plainte auprès de la gendarmerie qui enquête sur cette profanation […] Le maire qui a été contacté, a précisé que ces dégradations ne ciblaient pas une famille ou un certain type de tombe en particulier. Le procureur de Quimper a ajouté que les investigations prendront un peu de temps avant que l’on puisse déterminer s’il s’agit d’un acte gratuit ou à connotation satanique. Disons-le, au-delà du vandalisme, il s’agit là encore d’une profanation. Mais sans doute l’acte d’un déséquilibré, nous rapportera-t-on probablement par la suite.
 

Toulouse : il cherchait à acheter une arme pour « tirer dans une église »

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Encore un individu qui a des problèmes “psychologique”, évidemment… On n’a guère d’information sur lui, mais comme on apprend qu’il n’était pas connu comme « radicalisé » on comprend que sa religion n’est pas difficile à deviner car « radicalisé » est un “mot code”…
 
Un jeune homme a été interpellé, dimanche après-midi [8 janvier], par les services de police. Ce dernier venait de se présenter à la cité Bourbaki à Toulouse où il démarchait des jeunes gens afin de se procurer une arme pour « aller tirer dans une église ». Les jeunes gens ont prévenu la police qui a procédé à son interpellation. Cet homme de 33 ans a été placé en garde à vue. Au vu de son état psychique, il a été hospitalisé d’office dimanche soir. Cet individu n’est pas connu pour être quelqu’un de radicalisé.
 

Belgique : 77% des sondés ne se sentent plus chez eux

Les deux médias belges Le Soir et la RTBF ont réalisé une enquête d’opinion, selon laquelle 77% des sondés affirment que “oui, ils ne se sentent plus chez eux comme avant”.

  • Plus d’un citoyen belge sur deux estime que “même après plusieurs générations, les descendants d’un immigré ne seront jamais vraiment belges”.
  • 67% des sondés estiment “qu'il y a trop d'immigrés dans notre société”
  • 66% estiment qu'ils sont “de plus en plus envahis”. P
  • Pour 60%, “la présence d'une communauté musulmane en Belgique est plutôt une menace pour l'identité du pays”.
  • 74% estiment que l'islam n'est pas une religion tolérante.
La classe politique s'inquiète sur ce défaut de vivrensemble, cette tentation identitaire, cette perte de foi dans la religion du padamalgam...
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Hausse globale des persécutions contre les chrétiens

Selon le directeur de Portes Ouvertes France, Michel Varton, interrogé par Eugénie Bastié dans Le Figaro :

INF942646b6-d71a-11e6-af62-787f14c203b5"[...] Dans 21 des 50 pays de l'index, 100 % des chrétiens sont persécutés. Nous effectuons un travail de recherche selon divers critères qui nous permet d'établir un score sur 100. Ce qui nous frappe, c'est l'augmentation des persécutions en Asie du Sud-Est. On parle beaucoup du Moyen-Orient et de l'Afrique subsaharienne, mais en termes d'intolérance, le troisième foyer de l'Asie du sud-Est est en train de les rattraper. On observe par exemple une hausse de la violence en Inde (attaques, tabassages, femmes violées): on estime que 15 chrétiens y sont attaqués chaque jour. Les violences et l'intolérance envers l'Église augmentent aussi au Vietnam, au Laos, au Bangladesh, au Bhoutan. Il y a un retour du nationalisme et de l'identité majoritaire dans tous ces pays, qu'ils soient de tradition communiste, musulmane, hindouiste ou bouddhiste.

Et la Chine ?

La Chine reste au même niveau qu'en 2015. Le réveil des chrétiens en Chine est le plus grand de l'histoire: on est passé de 600.000 à 100 millions de chrétiens en l'espace de 40 ans. Le gouvernement chinois est très inquiet de voir l'Église grandir, et essaie de la contrôler. [...]

La plupart des pays où l'on persécute les chrétiens sont à majorité musulmane. Est-ce une tendance récente?

Il y a évidemment un retour de la persécution des chrétiens dans les pays musulmans, avec une progression constante de l'extrémisme islamique depuis les années 1970. Dans certains pays, il y a un effet d'imitation de l'État islamique par certains groupes, comme au Bangladesh ou en Afrique. L'islam devient moins tolérant, c'est un phénomène mondial. Aujourd'hui, dans certains pays arabo-musulmans les femmes chrétiennes qui ne sortent pas voilées sont harcelées. [...]

La Corée du Nord reste pour la 16ème année consécutive en tête de notre classement. Le régime pratique un mélange de communisme, de philosophie de l'indépendance et de culte de la dynastie. Il n'y a tout simplement pas de liberté de conscience. On ne peut pas croire. Si on découvre que quelqu'un croit en Dieu, il disparaît, envoyé dans un camp, lui ses enfants, ses parents, ses cousins, toute sa famille. Des dizaines de milliers de chrétiens sont dans des camps ou en exil à l'intérieur du pays. Il ne faut pas oublier que la Corée du Nord était un pays très chrétien: on appelait Pyongyang la «Jérusalem d'Orient». Il y a des restes de cette église qui reste aujourd'hui souterraine. On estime à 300.000 personnes la communauté chrétienne, qui vit sa foi dans le secret le plus complet. [...]'

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Institut du monde arabe : la gestion catastrophique de Jack Lang

 

 
Jack Lang serait-il un mauvais gestionnaire ? Sa présidence de l’Institut du monde arabe est épinglée par un article du site Capital, qui a enquêté. Les résultats sont alarmants, l’ancien ministre de la Culture n’aurait pas redressé la barre financière de l’organisation. « Nous sommes pauvres mais sexy » , assume le président qui serait payé 9 000 euros par mois depuis sa nomination par François Hollande en 2013. En plus d’avoir perdu beaucoup de visiteurs, l’institution ne ferait pas dans l’économie. Les comptes afficheraient une « perte record » de 2,5 millions d’euros en 2015. C’est toujours grâce à une subvention annuelle de 12 millions d’euros versée depuis 2008 par le ministère des Affaires étrangères que le budget serait bouclé. Une enveloppe que le quai d’Orsay voudrait alléger sans succès. « Voilà deux ans qu’on veut nous rogner 750.000 euros. J’ai convaincu le Premier ministre de n’en rien faire », se félicite Jack Lang qui prévoirait encore de dépenser. 3 millions d’euros pourraient être investis en travaux. Il dit cependant tout faire pour que ces frais soient assumés par des mécènes et non par de l’argent public. Quelques chiffres chocs d’une vaste organisation qui nécessite beaucoup de personnel : 120 permanents auxquels il faut ajouter certains bénévoles comme sa femme Monique, qui selon Capital, pourrait bénéficier de notes de frais. Une gestion critiquée, mais que Jack Lang souhaiterait continuer. Il veut briguer un second mandat à la tête de l’Institut du monde arabe, à moins que le prochain président n’en décide autrement


Deux facettes du monde musulman : la Libye et l’Indonésie

Il est possible de comprendre la grande variété du monde musulman en comparant deux pays, l’Indonésie et la Libye.


 Par Yves Montenay.

Deux facettes du monde musulman : la Libye et l’Indonésie
 

 La région qui part du Sahel, traverse le monde arabe et se termine au Pakistan est en grande difficulté, voire en écroulement sanglant. Le contraste est frappant avec les masses musulmanes situées plus à l’est, de l’Inde à l’Indonésie. Les islamistes sont actifs partout, ainsi que de profondes divisions ethniques et religieuses, mais les États et les sociétés de l’Asie du Sud et du Sud-Est gèrent infiniment mieux ces questions. Nous allons prendre deux exemples extrêmes, l’Indonésie et sinon la Syrie, malheureusement trop connue, du moins la Libye moins suivie par les journalistes français.
La Libye et l’Indonésie sont tous deux des pays artificiels composés de régions disparates réunies par des puissances coloniales, respectivement Italie et les Pays-Bas. Mais ces oppositions internes sont beaucoup mieux gérées en Indonésie qu’en Libye.

 

La Libye, une voisine oubliée

 

Aujourd’hui, on parle beaucoup moins de la Libye. Dans les débats franco-français on se borne à accuser Nicolas Sarkozy, que l’on rend responsable de la montée du djihadisme par l’élimination de Khadafi et de l’arrivée des migrants, les trafiquants profitant du désordre général. En fait le djihadisme, comme d’ailleurs le tribalisme et la fragmentation territoriale du pays, datait de bien avant.

Un pays artificiel

 

Historiquement, la Tripolitaine, la Cyrénaïque et le Fezzan ont eu des histoires distinctes.  Dans l’Antiquité, la Tripolitaine était punique, alors que la Cyrénaïque était hellénique. Même quand les Romains domineront les deux provinces, ils les géreront séparément. Sous la domination arabe, la Tripolitaine était gérée de Tunis, alors que la Cyrénaïque l’était depuis le Caire. D’ailleurs, la limite entre ces deux régions, le golfe de Syrte, est à la fois une frontière entre les parlers maghrébin et égyptien et la limite orientale du couscous. En exagérant on pourrait dire que la Tripolitaine est maghrébine et la Cyrénaïque égyptienne.
À l’indépendance, le roi, issu de la confrérie Senoussi, choisit de s’implanter en Cyrénaïque et n’aura de cesse de marginaliser la Tripolitaine. Khadafi établira au contraire son pouvoir avec sa tribu en Tripolitaine contre la Cyrénaïque qui symbolisait l’ancien pouvoir. Il tentera d’éradiquer la confrérie Senoussi, et détruira les mausolées de la confrérie. Daech n’a rien inventé !

L’arrivée des djihadistes dès les années 1980

 

La Cyrénaïque a été dans les années 80-90 et jusqu’au milieu des années 2000 un sanctuaire djihadiste qui a ébranlé le pouvoir de Khadafi, le contraignant à bombarder au napalm maquis et population civile. Mais après la levée de l’embargo et l’embellie pétrolière, Khadafi a « récupéré » les djihadistes dans le mouvement « La Libye de demain » destiné à préparer le passage du pouvoir à son fils.

Au début de la révolution, les djihadistes étaient donc du côté du pouvoir, mais dès que ce dernier a été ébranlé ils ont rallié des révolutionnaires pour les contrôler. Ansar Al Charia a alors massacré tous ceux qui émergeaient de la société civile : le général Abdelfettah Younes, plus de 600 officiers, puis Abdeslam El Mismari, le coordinateur de la coalition du 17 février sans parler des militants des droits de l’homme et des journalistes.

Ensuite, toujours en Cyrénaïque, les djihadistes ont recruté les jeunes exaspérés par le général Haftar symbole de l’ancien régime, mais aujourd’hui soutenu par l’Égypte, le Qatar et vraisemblablement par des Occidentaux et la Russie. La guerre civile se prolonge donc dans cette région.

Pendant ce temps, le pouvoir « légitime » de Tripoli n’arrive pas à contrôler la seule Tripolitaine, et ce sont des milices locales qui ont très péniblement fini par chasser l’État Islamique de la ville de Syrte début décembre. Il a fallu six mois de combat !

Indonésie : un développement honorable, malgré les islamistes

 

En France, nous n’entendons pas beaucoup parler de l’Indonésie, pourtant le premier pays musulman du monde. C’est plutôt bon signe ! Le  développement y est honorable, surtout par rapport aux pays arabes, l’islam n’y est pas religion d’État par respect envers les minorités chrétienne et hindoue. Certes le pays souffre du ralentissement chinois, gros acheteur de matières premières minérales et agricoles et de la concurrence d’un Vietnam à très bas salaires pour l’accueil des investissements étrangers. L’objectif de 7% de croissance n’est donc plus atteint depuis quelques années, mais les 4 ou 5 % obtenus sont honorables, très au-dessus des performances européennes et même américaine. Rappelons toutefois que, comme pour la Chine, le rattrapage est plus facile que la course en tête, car il suffit d’en acheter les outils. Le retour en juillet 2016 d’Ani (Sri Mulyani Indrawati), ancienne ministre des finances respectée est de bon augure.

Restent les islamistes. Leur dernière revendication est d’exiger l’arrestation d’Ahok chrétien d’origine chinoise, pour blasphème. Du coup, ce candidat au poste de gouverneur de la capitale a rétrogradé dans les sondages.

Le président de la république est monté au créneau pour « stopper la montée du radicalisme ». Il a réuni les plus hautes figures militaires, politiques et religieuses pour une réunion de « concorde nationale ». Des rassemblements ont eu lieu dans plusieurs villes à l’appel de la police et de l’armée, les participants priant et chantant pour «appeler à l’unité», et les grandes organisations musulmanes se sont désolidarisées du mouvement anti-Ahok.

La pression islamiste reste sensible, même si les partis qui les représentent sont divisés et ont chacun peu de voix aux législatives. Par ailleurs les minorités indigènes peuplant le pays avant l’arrivée de Malais (centre de Bornéo, Papous… souvent chrétiens) sont refoulées dans les forêts des montagnes.

Un outil original ayant contribué à l’unité indonésienne, malgré ses 13 000 îles et la variété de ses langues et de ses religions, est la langue officielle, artificielle et très simple que chacun peut facilement apprendre en plus de la langue locale, alors que dans les pays arabes, et surtout au Maghreb, on impose dogmatiquement un arabe standard que personne ne parle. Dans le monde musulman, Indonésie comprise, l’arabe est une langue sacrée mais on n’en tire pas les mêmes conséquences pratiques.

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Le djihad et les incertitudes de l’Occident

Le rejet radical du progrès sous toutes ses formes par les jeunes djihadistes représente une exacerbation extrême des doutes sur le progrès qui ont touché le monde occidental depuis plusieurs décennies. 


 Par Patrick Aulnas.

Le djihad et les incertitudes de l’Occident

La jeunesse djihadiste, occidentale ou non, pose un problème nouveau à l’humanité. Elle remet en cause, sans en être vraiment consciente, toute notion de progrès. Elle porte ainsi à son point extrême un doute qui s’était peu à peu immiscé en Occident. Le progrès politique et social, le progrès scientifique et économique ont, pendant plus de deux siècles, représenté le sens de l’histoire occidentale.

L’avenir était perçu comme une amélioration du présent et la boussole pour choisir le cap s’appelait progrès. Mais deux facteurs principaux avaient déjà remis en cause ces certitudes avant même que les enfants perdus du djihad ne portent à l’incandescence leur combat contre l’humanisme.

Les doutes occidentaux sur le progrès politique et social

 

Le progrès politique et social a pu être analysé comme un recul progressif des phénomènes de domination formelle, désormais perçus comme illégitimes : par exemple domination du maître sur l’esclave (abolition de l’esclavage), domination des hommes sur les femmes (égalité des droits), domination des possédants sur les non possédants (suffrage universel et non censitaire).

Les règles juridiques consacrant ces inégalités ont été modifiées afin d’instaurer une société reposant sur deux principes : l’autonomie individuelle et l’égalité des droits de tous les êtres humains. Le monde occidental est parvenu, au début du XXIe siècle à supprimer pratiquement toutes ces situations d’inégalité fondées en droit. On considère donc de façon consensuelle qu’un progrès politique a eu lieu dans de nombreux pays depuis plusieurs siècles.

 Le doute sur ce type de progrès provient aujourd’hui, dans les pays occidentaux, d’une interrogation nouvelle. La suppression des situations de domination formelle n’élimine pas les situations de domination réelle (l’héritier et celui qui n’hérite de rien, le riche et le pauvre, le diplômé et l’inculte, etc.). Or, il semble beaucoup plus difficile de lutter contre elles.

Le radicalisme islamique rejette totalement le progrès politique et social

 

La réinstauration de situations de domination formelle est pourtant une revendication de l’islamisme radical, en particulier l’inégalité hommes-femmes. Aucune idéologie n’avait à ce point contrecarré la notion de progrès politique.

Les totalitarismes nazi et communiste eux-mêmes n’avaient pas été aussi loin. Les nazis ont glorifié une société fortement hiérarchisée et désigné les Juifs comme boucs émissaires. Mais leur horrible dérive historique reposait sur une idéologie intellectuellement indigente. L’islamisme radical repose sur une croyance, une interprétation fondamentaliste de la parole divine.

La société que souhaitent mettre en place les islamistes radicaux se fonde donc sur des principes politiques que l’on croyait définitivement écartés. Les valeurs associées au progrès politique et social sont totalement rejetées par une petite partie de la jeunesse contemporaine. Certes, cette jeunesse djihadiste ne représente statistiquement pas grand-chose, mais il est significatif qu’elle puisse rejeter les principes fondamentaux de la philosophie des Lumières, comme si elle souhaitait retourner vers une sorte de Moyen Âge. De ce point de vue, elle nous interroge sur la robustesse de notre conception de l’avenir.

Les limites du progrès scientifique et économique

 

Le second aspect du concept de progrès concerne son aspect scientifique et économique. Joseph Schumpeter a montré qu’un processus de destruction créatrice permettait de mettre en œuvre les connaissances nouvelles dans les domaines scientifique et technique.

Les technologies anciennes disparaissent et les innovations techniques sont mises en œuvre. Ce processus conduit à une diffusion de l’innovation dans l’ensemble du tissu économique et permet à toute la population de bénéficier du progrès scientifique et technique. L’élévation du niveau de vie, l’amélioration du cadre de vie constituent ainsi des éléments tangibles du progrès scientifique, diffusés par l’évolution économique.

Le doute s’est lentement instillé dans les esprits occidentaux au sujet de ce type de progrès à partir de la fin du XXe siècle. La croissance économique peut-elle être infinie ? Les ressources naturelles sont-elles inépuisables ? La puissance et l’ampleur de l’activité productive humaine n’ont-elles pas des répercussions climatiques ? Bref, en exploitant sans mesure son environnement terrestre l’homme n’est-il pas en train de scier la branche sur laquelle il est assis ?

Annihilation symbolique du progrès scientifique

 

Dans le fondamentalisme islamique, le recentrage de la problématique sur une spiritualité archaïsante annihile la croyance dans le progrès technique et le questionnement écologiste. Il ne s’agit plus de savoir si le matérialisme occidental a un avenir, mais d’adhérer à une croyance religieuse méprisant ce matérialisme. L’amélioration des conditions de vie par le développement économique ne représente rien pour les jeunes djihadistes.
Bien au contraire, il s’agit d’une sorte d’addiction à éviter à tout prix. Consommer des produits sans cesse renouvelés, vivre confortablement et sagement, voilà bien les aspirations médiocres des mécréants de l’Occident décadent.

Instrumentalisation politique et affaissement moral occidental

 

Le rejet radical du progrès sous toutes ses formes par les jeunes djihadistes représente ainsi une exacerbation extrême des doutes sur le progrès qui ont touché le monde occidental depuis plusieurs décennies. Certes, cette jeunesse à la dérive est instrumentalisée à des fins politiques par les leaders des diverses composantes du salafisme.

Ceux-ci ont pour ambition de mettre à genoux le monde occidental, sa liberté et son humanisme pour perpétuer leur domination. L’occidentalisation des sociétés dominées par l’Islam est perçue comme totalement inacceptable par de nombreux dirigeants traditionalistes musulmans.

Il n’empêche qu’une remise en cause aussi fondamentale, touchant aussi des jeunes formés en Occident, doit nous conduire à réfléchir aux faiblesses de notre modèle de développement. La possibilité d’instrumentalisation de la jeunesse est signifiante. Avons-nous fait la part trop belle à la croissance économique et délaissé d’autres aspirations des peuples ? Le matérialisme occidental ne suffit pas à remplir une vie et lorsque le chômage se répand, d’autres aspirations prennent le dessus dans une jeunesse sans espérance.
La débauche de consommation qui se manifeste sans aucune retenue à l’occasion d’une fête religieuse comme Noël illustre parfaitement le mal occidental. L’ostentation avec laquelle certains nouveaux riches affichent leur réussite alors que des millions de personnes vivent dans la précarité représente aussi un symbole d’affaissement moral. La richesse matérielle doit rester discrète, sinon elle s’acoquine avec la misère éthique.

L’interrogation sur l’avenir

 

Pour que de petits délinquants ordinaires se donnent à quelques gourous lointains pour trouver des raisons de vivre, il faut nécessairement que nous soyons incapables de les leur offrir. L’embrigadement de la jeunesse n’a rien d’original ni de bien nouveau.

La liberté étant souvent lourde à porter, il apparaîtra toujours préférable à certains de sombrer dans l’obéissance servile. Mais lorsque l’espoir n’est même plus l’instauration future par la violence d’une société sans classes mais une plongée profonde dans le passé, avec retour vers l’obscurantisme le plus sombre, nous sommes confrontés à une interrogation majeure sur notre conception de l’avenir.

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Détenus toxicomanes : plutôt que des seringues, si on essayait de les sevrer ?

Le Point rapporte que « le gouvernement réfléchit à introduire en cellule du matériel permettant aux détenus toxicomanes de se droguer sans attraper de maladies infectieuses ».

Chère République, c’est ce qui s’appelle filer un mauvais coton d’Ancien Régime ! Précisément, la Révolution, dont se réclament tous ces démocrates, préconisait un minimum de souffrances pour les condamnés, d’où l’adoption de la guillotine qui, à l’époque, constituait un net progrès si l’on regarde les tortures infligées quelques années plus tôt au régicide Robert François-Damiens, qui tenta d’assassiner Louis XV. Eh oui, le contenu des seringues est une mort lente et atroce. 

Admettre ces seringues, c’est admettre leur contenu : une substance illicite, a fortiori dans une prison, lieu censé punir les contrevenants à la loi. Substance dont la vente alimente le grand banditisme, voire pire. Car il est loin, le temps où l’héroïne made in France inondait le marché américain à des fins strictement mercantiles. 

Désormais, le trafic de drogue arme aussi les terroristes qui, le moment venu, massacreront quelques mécréants, histoire de mériter leurs vierges au paradis !
 La main sur le cœur, on nous affirme que « pour bénéficier d’une seringue propre, le détenu toxicomane devra avoir obtenu au préalable l’accord du chef d’établissement, être seul en cellule et être emprisonné dans un établissement qui n’est pas touché par la surpopulation carcérale ». Cela rendra-t-il le détenu potentiellement moins dangereux ? J’en doute.

Quelle riche idée, en effet, dans ces temps où le personnel pénitentiaire, dont on a considérablement réduit les prérogatives – notamment en ce qui concerne les fouilles (article 57 de la loi n° 2009-1436) –, subit régulièrement menaces et agressions !
Pendant que les victimes et leurs familles sont passibles du mur des cons du Syndicat de la magistrature, on finit par en oublier pourquoi un détenu est en prison, étant entendu qu’on n’incarcère plus personne de nos jours sur simple lettre de cachet, même s’il subsiste des erreurs judiciaires !

Pas étonnant que la « consommation de drogue [soit], selon plusieurs études concordantes, plus élevée à l’intérieur des murs d’une prison qu’à l’extérieur ». Les prisons sont devenues des passoires.

Maintenant, imaginons ce que certains détenus, déjà capables de confectionner un couteau avec des morceaux de plastique, feront avec l’aiguille d’une seringue, comme s’en inquiètent à juste titre certains syndicats. 

Ce tout-permissif – seulement à destination de la criminalité, issue de préférence des minorités opprimées par les vilains Blancs ! – illustre dramatiquement la dérive d’une société qui rechigne à faire respecter la loi. L’impunité engendre le crime. 

Quitte à prôner la réinsertion, si on commençait par sevrer les toxicomanes incarcérés ? Une fois dehors, on aurait plus de chances de ne pas les voir replonger dans la délinquance pour se payer leurs doses ! 

Charles Demassieux

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Non, la police ne harcèle pas les migrants, n’en déplaise à MSF…


365 jours sur 365, de 6 h 30 à 23 h, 70 policiers se relaient, par équipes, pour porter aide et assistance aux personnes sans abri. Ces policiers appartiennent à une unité de la police nationale, la BAPSA (Brigade d’aide aux personnes sans abri), dont la création remonte à l’hiver 1954-1955 qui, déjà, avait été d’une rare rudesse. La mission de ces agents, dont le relais est pris après 23 heures par les policiers du service général ou le secteur associatif, consiste en des maraudes, sur appel du SAMU social, dans les rue de la capitale, afin de proposer un hébergement d’urgence aux plus démunis. Ce dernier s’effectue, le plus souvent, au centre d’hébergement et d’assistance aux personnes sans abri situé à Nanterre ou, si le centre est complet, dans l’un des autres centres d’urgence parisien. Les places y sont malheureusement comptées. Les moyens d’action de ces policiers sont donc des plus limités. Ils ne sont là que pour faire face à l’urgence, et n’ont pas le statut de travailleurs sociaux.
La police nationale et l’ensemble des policiers qui la composent n’ont donc pas attendu la création d’associations caritatives prestigieuses, mais qui lui sont largement postérieures, pour s’impliquer pleinement dans l’aide humanitaire.

Ce volet fait même partie de son ADN, et chaque année, nombreux sont ceux de nos concitoyens, nationaux ou étrangers, sans abri ou mieux lotis, riches ou pauvres qui trouvent, auprès des gardiens de la paix, l’aide dont ils peuvent avoir besoin.
 Mais les missions de la police ne s’arrêtent pas là. Elle est aussi comptable, sous l’autorité de l’État et de ses chefs, de l’ordre public et de la sécurité. Ces missions, sans doute moins valorisantes que celle évoquée ci-dessus, n’en sont pas moins indispensables à la paix publique. C’est dans ce contexte que la gestion de milliers de migrants et de sans-abri peut s’avérer extrêmement délicate.
Ainsi, Médecins sans frontières, qui vient d’accuser la police parisienne de « harcèlement » et de « violences » à l’égard des migrants, ne peut ignorer la situation sans précédent que les forces de l’ordre ont aujourd’hui à gérer. Le démantèlement, à Paris, de 29 camps de migrants au cours de ces 18 derniers mois n’a fait que rendre la situation encore plus confuse, en dispersant des milliers d’individus dans la nature. Actuellement, les dispositifs d’aide à ces personnes sont totalement dépassés à cause de l’imprévoyance de ceux qui, sans aucune préparation ni clairvoyance, ont laissé déferler sur notre pays une vague migratoire devenue, d’un point de vue social et sécuritaire, totalement incontrôlable.

Que des rixes et des échauffourées se produisent dans les files d’attente et aux alentours des centres d’accueil est une réalité incontournable et malheureuse, mais tristement humaine. Cependant, elles ne sont pas le fait des policiers qui interviennent alors pour éviter que la situation ne dégénère, que l’espace public ne soit livré à l’anarchie et que la loi du plus fort ne finisse par s’imposer. Faut-il rappeler, dans ce contexte, les 5.674 policiers blessés en mission au cours de l’année 2015, parmi lesquels un sur quatre était en poste à la préfecture de police de Paris, et dont les blessures sont parfois advenues en portant secours ?

Une fois encore, on ne peut que regretter que, in fine, les carences, les manquements, les erreurs et les fautes de nos décideurs ne retombent sur celles et ceux qui, avec le peu de moyens dont ils disposent, tentent pourtant de faire au mieux. 

 Olivier Damien

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Miss Helsinki victime du « vivre ensemble » obligatoire !

 

Avec l’élection de Miss Helsinki, les Finlandais ont découvert les joies surnaturelles de l’idéologie du « vivre ensemble ». Comme chacun pourra le constater en cliquant sur ce lien, l’heureuse élue est, de loin, la moins jolie des concurrentes… Et même de très loin. Pas l’air mauvaise fille, mais disons plutôt prédestinée à une carrière de doublure lumière. Un physique de radio… Ou top model pour voile intégral. Bref, les débouchés sont nombreux. 

Pour les membres du jury, adeptes sans aucun doute du métissage de gré ou de force, la couleur noire de la candidate Sephora Ikalaba a représenté l’atout suprême, le canon de beauté absolu à côté duquel il ne restait plus aux autres créatures qu’une seule option : aller se présenter au concours de Miss Ouagadougou.

Cela dit en passant, et sans vouloir offusquer ces messieurs-dames de la sainte LICRA, si Sephora est censément l’une des plus jolies représentantes des jeunes filles d’origine africaine vivant en Finlande, la question se pose de savoir à quoi peuvent bien ressembler les non-sélectionnées ? On en frémit. On préfère ne pas y penser. On évite le sujet… Ouh la la… Non. Disons, pour ne vexer personne, qu’il n’y avait en Finlande qu’une seule citoyenne de couleur, et pas de bol… c’était Sephora. Partant de là, le « Grand Remplacement » est remis à une date ultérieure. Le mâle reproducteur inspiré par Miss Helsinki se fait rare dans le pays.
Certains se cachent, d’autres émigrent… 

 
Face à un jury africain aussi bête que le jury finlandais, une candidate blanche avec un bec-de-lièvre et une jambe de bois a toutes ses chances de monter sur le podium. Se voir bombarder reine de beauté. 

Empêtrés dans leur antiracisme de pacotille, les « vivre-ensemblistes » européens perdent la tête et sont en passe d’aboutir à l’effet inverse de celui recherché. Le trucage idéologique agit, ici, comme un repoussoir auprès du public. Ce genre d’opération déroule le tapis rouge à ces partis populistes qu’ils exècrent. Leur bêtise les tuera. 

Est-il bien nécessaire de rappeler que choisir un personnage sur des critères de couleur de peau est un comportement objectivement raciste ? Faut-il répéter jusqu’à l’épuisement que le génie musical de Stevie Wonder n’a rien à voir avec sa coupe de cheveux ? Les bourrins qui composaient le jury d’Helsinki causent un grand tort aux Noirs. Par ces méthodes, ils les infantilisent. Les font passer pour des gens qu’on est obligé d’imposer, tant leurs qualités feraient défaut. C’est épouvantable. « Nauséabond », comme ils disent. Tiens… Ils nous rappellent les heures les plus sombres de notre Histoire… Le temps où l’être parfait devait être blanc. Aryen, blondinet… Le contraire relève de la même démarche et ils ne s’en aperçoivent même pas… Leur bêtise les tuera, vous dis-je…

 Jany Leroy

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Une enquête choc sur le « vivre ensemble » en Belgique !

C’est le type de sondages qui, lorsqu’ils sont publiés dans les médias traditionnels, sont accompagnés de commentaires pontifiants. Devant le choc provoqué par les résultats de l’enquête, l’éditorialiste en chef du Soir, principal quotidien belge francophone, a donc appelé à « redessiner un possible » et à « recréer du lien », un mantra répété inlassablement depuis de nombreuses années.

L’enquête « noir-jaune-blues » révèle que, pour 77 % des Belges, « on ne se sent plus chez soi comme avant » dans le pays. Pour 53 % d’entre eux, « même après plusieurs générations, les descendants d’un immigré ne seront jamais vraiment belges ». 64 % pensent que « les étrangers viennent profiter du système de protection sociale » et 63 % ont peur de l’afflux de réfugiés car « ce sont principalement des musulmans ».

Le Soir, qui a publié l’enquête, s’inquiète, en une, du « sombre portrait d’un Belge qui ne croit plus aux institutions et rejette l’étranger ». Le plus inquiétant ne se situe, pourtant, probablement pas dans ce constat du citoyen sensible à la question de son identité qui s’évapore dans les brumes d’un « vivre ensemble » qui a échoué à faire émerger une société cosmopolite apaisée.

En effet, les musulmans de Belgique ont également été interrogés.
Les résultats sont alarmants. 34 % parmi eux n’aiment pas la culture, les mœurs et le mode de vie occidentaux (autonomie des femmes, érotisme, alcool) et 18 % se disent mitigés sur la question ; 29 % (et 11 % de mitigés) estiment que les lois de l’islam sont au-dessus des lois belges ; de ce constat découle que 34 % des musulmans (avec 26 % de mitigés) préféreraient un système politique inspiré par le Coran…
 À l’analyse des chiffres, un bon tiers des musulmans de Belgique, avec une majorité qui, au vu des indécis, se dessine lentement mais sûrement, rejettent nos valeurs et nos lois. Une question perle rapidement du constat : que se passera-t-il lorsque les musulmans seront démographiquement majoritaires, dans une ville-région comme Bruxelles ?

D’autres résultats du sondage sont tout aussi édifiants : pour 80 % des Belges, la finance a pris le pouvoir ; pour 63 %, les responsables politiques ne sont plus en mesure d’améliorer leur quotidien. Comme réponse, 70 % des sondés souhaitent un pouvoir fort.

Les sociologues appelés à la rescousse par le quotidien vespéral nuancent les résultats sur l’immigration : les questions présenteraient des biais, les chiffres ne seraient pas significatifs… On connaît la chanson. Et, pour conclure, une scientifique avertit : « Le risque, c’est que des groupes d’extrême droite passent à l’action. Attendez qu’une mosquée flambe en Belgique. »

L’extrême droite serait donc le grand danger. Le sondage indique, pourtant, que près d’un musulman sur dix ne condamne pas les attentats ! Une question mal posée ou mal comprise, sans doute…

 Gregory Vanden Bruel

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Hidalgo : oui aux migrants, non aux voitures !


Anne Hidalgo commence l’année 2017 pied au plancher. Dès le 8 janvier, elle annonçait de nouvelles mesures, avec toujours la même obsession : automobilistes, fuera, dehors !

Dès le 8 janvier, elle nous sortait donc un nouveau projet, dont le point fort serait un tram-bus électrique (bien sûr) qui traverserait Paris d’ouest en est. Prix à payer : circulation automobile fermée sur un kilomètre, de Concorde à Palais Royal.

Elle a décidé, en outre, d’augmenter les amendes pour non-paiement des parcsmètres. En 2011, le tarif était déjà passé de 11 euros à 17 euros. 

Cette fois, on pourra atteindre 50 euros, et cela sera géré par des sociétés privées.
 Elle a enfin confirmé un autre objectif fort : éradiquer le diesel dans Paris pour 2020 !

Belle continuité. En 2017, unilatéralement, elle avait décidé de fermer une partie des berges, entraînant des bouchons monstres, qui polluent encore davantage la capitale. Une décision prise sans concertation, qui entraîne un recours judiciaire de Valérie Pécresse, soutenue par 168 maires franciliens.

En outre, les automobilistes souvent pauvres, possédant une voiture antérieure au 1er janvier 1998, sont désormais interdits de séjour dans la capitale.

Et, comme si cela ne suffisait pas, on leur a fait le coup des numéros pairs et impairs, une journée sur deux, pour lutter contre de prétendus pics de pollution. On attend, avec impatience, d’autres mesures plus contraignantes, par exemple seulement un jour par semaine…

Faut-il parler des tarifs de parking exorbitants de Vinci, qui bénéficie de la privatisation, pourtant fort peu socialiste, qui lui a été attribuée ? Et comme à présent, avec les places réservées aux voitures électriques, on ne peut pratiquement plus se garer, on n’a souvent guère d’autre choix.

Autre record parisien : une voiture se retrouve en fourrière toutes les deux minutes, soit 250.000 par an, dix fois plus qu’à Marseille ou Lyon. Et comme on a fait passer les amendes de 126 à 150 euros, et triplé le prix de la garde quotidienne, en plus des différentes taxes… Là encore, c’est le privé qui gère.
Depuis que les socialistes sont arrivés à la mairie de Paris, on en est à 30 % d’automobilistes en moins, mais manifestement, leur éradication doit s’accélérer.

Hidalgo et ses bobos nous diront qu’il y a des transports en commun, et que les banlieusards n’ont qu’à les prendre. Sauf que ce n’est pas eux qui se font quotidiennement insulter, menacer ou agresser, qui subissent tous les jours les retards des RER A, B ou C, les grèves suite à une agression ou mouvement social, les wagons tagués, les banquettes lacérées, les glaces rayées, les musiques à tue-tête, les communications bruyantes des portables, les pieds sur les banquettes, etc.

Par ailleurs, le maire de Paris, si sensible à la prétendue pollution automobile, paraît beaucoup plus tolérante quand ses amis de Nuit debout, durant de longues semaines, imposent une pollution sonore, toutes les nuits, aux habitants proches de la place de la République, transformant le lieu en un gigantesque cloaque, qualifié par une habitante de « pissotière géante ».

La multiplication des camps de migrants, qu’elle encourage à Paris – quand nos SDF, eux, meurent de froid -, ne paraît pas non plus trop heurter sa grande sensibilité écologique, pas davantage que la saleté (selon l’expression de Bertrand Delanoë) qui gagne Paris.
Finalement, le résumé de la politique d’Hidalgo, c’est « Bienvenue aux migrants, dehors les automobilistes ! »

 Pierre Cassen

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Youssouf Fofana : retour au XIVe siècle !

Youssouf Fofana est connu pour être le chef du « Gang des barbares » qui, un jour de 2006, a enlevé puis torturé à mort Ilan Halimi, parce qu’il était juif, et donc présumé riche. Un fait épouvantable pour lequel Fofana a pris « perpète », avec une peine incompressible de 22 ans. Il pourrait donc sortir fin 2028, ce qui est rassurant, au moins jusque-là. Ensuite…

Mais cet aimable garçon n’en était pas à son coup d’essai. Loin d’être une petite frappe de banlieue, il s’adonnait depuis au moins 2002 à un autre genre de sport : des tentatives d’extorsion accompagnées de menaces de mort auprès de quarante-deux personnes, dont certaines suffisamment fortunées pour attirer l’attention du barbare.

C’est ainsi que les patrons d’entreprises telles que Philips, Rolex, Sony, BMW ou Mercedes recevront des menaces mises en scène de manière très particulière. Des lettres leur réclamant des « contributions » allant jusqu’à 500.000 dollars, accompagnées de photographies d’individus cagoulés prises devant le domicile des victimes, de cassettes vidéo mettant en scène des hommes armés ou, pour aller plus loin, de cocktails Molotov dans leur jardin. En l’absence de réponse, les victimes recevaient une relance délicatement tournée :
« Vous venez de recevoir l’annonce du déclenchement de la mort qui prendra effet dans 24 heures après réception. Vous et les vôtres êtes devenus un objectif prioritaire pour notre organisation. »
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C’est à l’occasion de l’enquête sur l’assassinat d’Ilan Halimi que les policiers font le lien entre le principal suspect, arrêté en Côte d’Ivoire, et l’auteur de ces menaces, à cause d’une adresse mail du même type que celle utilisée pour appâter le jeune juif. 

L’instruction dure longtemps et Fofana refuse de s’exprimer.
Il a été jugé par le tribunal correctionnel de Paris ce 10 janvier, et condamné à dix ans de prison. Totalement inconscient, à moins qu’il ne s’agisse de provocation, le prévenu a récusé son avocat, le très médiatique Emmanuel Ludot qui, en dépit de cela, n’a pas manqué de commenter une décision d’audiencement « politique », en regrettant que l’affaire Halimi ait été jugée avant alors que les faits sont postérieurs. 

Fofana a refusé d’assister à toute l’audience, après une déclaration préalable qui fait froid dans le dos. Il s’est, en effet, présenté comme un « trader de la terreur ».

Fofana est, hélas, très révélateur de la régression d’une société qui revient, avec de tels faits, à des pratiques qu’on croyait disparues. Il fait immanquablement penser à ces soldats perdus de la guerre de Cent Ans, formant les « grandes compagnies », qui trompaient leur désœuvrement en « chauffant » les pieds des paysans pour leur extorquer leurs maigres avoirs. Nous voici revenus au XIVe siècle… Extorquer par la violence, la menace et la torture, jusqu’à la mort si la victime résiste : Halimi en a fait les frais. D’autres, peut-être, auraient pu subir le même sort.

Youssouf Fofana est français, par le droit du sol. Un « Français » qui, manifestement, n’a pas compris dans quelle civilisation ses parents ivoiriens l’avaient fait naître. Un de plus.

 François Teutsch

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« L’énergie criminelle des Maghrébins est alarmante » selon une figure du parti Vert allemand

Winfried Kretschmann, le seul « premier ministre » vert d’une région en Allemagne (le land de Bade-Wurtemberg), ne se fera aucun ami au sein de son parti avec sa dernière déclaration. Dans une interview au Rheinische Post, il a déclaré que son gouvernement régional serait disposé à soutenir la classification du Maroc, de la Tunisie et de l’Algérie comme pays d’origine sûrs, ce qui faciliterait l’expulsion des demandeurs d’asile rejetés par ces pays.
Kretschmann, expliquant son raisonnement déclare : « L’énergie criminelle que vous trouvez parmi les groupes de jeunes gens de ces pays est alarmante et doit être résolument combattue. »

Villeurbanne : il brandit une arme pour racketter des collégiens


Le jeune homme cherchait à extorquer des fonds à ses jeunes victimes…

Un Caluirard de 18 ans a été interpellé lundi à 15h15 rue du 8 mai 1945 à Villeurbanne par la BAC. Le jeune homme avait été aperçu devant un collège à Caluire le 3 janvier dernier, menaçant avec une arme deux élèves pour leur soutirer de l’argent.

Le cas a été présenté au parquet ce mercredi, le jeune homme a été chargé de « violences volontaires aggravées, menaces de commettre un crime ou un délit sur une personne dépositaire de l’autorité publique et tentative d’extorsion de fonds ».

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