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dimanche, 29 janvier 2017

Metz (57) : le maire (PS) réserve des jardins familiaux aux familles turques

 

 
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Durant le conseil municipal de Metz du 26 janvier 2017, la municipalité a présenté un plan pour les jardins familiaux destiné à déplacer et à aménger des jardins illégaux et à en réserver une partie à des famille turques.
« Et par ailleurs, on avait des jardins familiaux qui étaient complètement illégaux, qui ont été déplacés et on va recréer des jardins avec la mise en place de clôture, d’abris, des allées … »
« Ainsi on aura 61 nouvelles parcelles de jardins familiaux dont un certain nombre de jardins à destination de familles turques. »
Extrait audio à partir de 1m24 sur le site de la ville : Point 3 du conseil municipal du 26/01/2017. « Programme 2017 de travaux dans les parcs, jardins et espaces naturels. »

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Le tribunal enterre définitivement la Grande Mosquée de Marseille

Quelques mois après la résiliation du bail de la Grande mosquée de Marseille par le conseil municipal, la justice vient d’entériner définitivement la décision.

Dans une décision rendue mardi, le tribunal administratif vient d’autoriser la ville de Marseille à résilier complètement le bail de cette mosquée en projet depuis plus de 10 ans.

Mais le projet de cette mosquée n’est pas abandonné pour autant, précise Me Benoît Candon, avocat de l’association en charge du projet  qui a prévenu que les mosquées de la ville n’avaient pas les capacités pour accueillir les fidèles et prévient –menace ?- que ces gens devront donc prier dans la rue.

Ce bail avait été signé en 2007 entre la mairie de Marseille et l’association « La Mosquée de Marseille », mais des problèmes financiers et des dissensions internes ont eu raison de ce projet qui devait être bâti sur une superficie de 8000 m2.

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Japon : le nombre de travailleurs et d’étudiants étrangers a dépassé pour la première fois le million

Le nombre de travailleurs étrangers au Japon a dépassé pour la première fois en 2016 le million, a annoncé, vendredi 27 janvier, le ministère du travail japonais. Le pays est confronté à une population vieillissante et à un manque de main d’œuvre. Cette progression reflète essentiellement une arrivée plus importante d’étudiants étrangers et de travailleurs très qualifiés.


Près de 1,08 million d’étrangers travaillaient dans l’archipel à fin octobre 2016, un chiffre en hausse de 19,4% sur un an et un record. Ils étaient en priorité des Chinois (345 000 personnes, en hausse de 6,9 % sur un an), devant les Vietnamiens (172 000, un bond de 56, 4%) et les Philippins (128 000, en progression de 19,7 %).

 Le Japon a peu fait jusqu’à présent pour assouplir ses règles concernant les travailleurs étrangers, très strictes, malgré des appels en ce sens depuis des années. Mais le premier ministre Shinzo Abe a annoncé qu’il compte réformer la législation, en particulier pour répondre aux besoins du secteur de la construction avant les Jeux olympiques de 2020.

Le gouvernement a aussi révisé les lois migratoires pour accueillir plus d’infirmiers et de soignants dans le secteur de la santé.
Alors que la population vieillit à une vitesse jugée inquiétante par les pouvoirs publics, le Japon reste très réticent à l’accueil en masse d’étrangers. Ceux-ci ne totalisent que 1,75 million des habitants du Japon, soit 1,38 % de la population.

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Depuis sa cellule, il escroque 130 personnes

Un détenu de 39 ans a été mis en examen aujourd’hui, soupçonné d’avoir escroqué par téléphone, depuis sa cellule, plus de 130 personnes âgées pour un préjudice de 190.000 euros.


Ce détenu de la maison d’arrêt d’Osny, dans le Val-d’Oise, déjà condamné pour escroquerie et en prison depuis « plus de 10 ans », appelait ses victimes en se faisant passer pour « un faux policier », afin de leur soutirer leur numéro de carte bancaire ou de les convaincre d’acheter des cartes de téléphone prépayées, a précisé une source policière. Il utilisait ensuite l’argent pour jouer en ligne.
» Lire aussi – Portables en prison : la polémique relancée
En quatre mois, « il a fait des milliers de tentatives », utilisant 13 téléphones portables et 20 lignes différentes, a-t-elle ajouté, précisant que les victimes venaient de toute la France.

Une information judiciaire a été ouverte aujourd’hui, notamment pour escroquerie en bande organisée et introduction d’objets illicites en détention, a indiqué le parquet de Pontoise. Sa compagne fait également l’objet de poursuites.

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Bolivie : une jeune missionnaire catholique assassinée

 

 
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La missionnaire coopérante catholique polonaise Helena Agnieszka Kmiec, 26 ans, a été retrouvée assassinée le 24 janvier à Pacata, près de Cochabamba en Bolivie. Elle était arrivée au tout début du mois de janvier en Colombie, pour travailler dans le cadre des œuvres des Missionnaires volontaires salvatoriens, congrégation à laquelle elle appartenait, dirigée par les prêtres polonais de la Société du Divin Sauveur (Salvatoriens). Elle avait prévu de rester travailler pour l’œuvre en Colombie pendant un semestre…
 

Soudan du Sud : un catéchiste assassiné à Kajo Keji

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Encore une effroyable nouvelle…
 
Un catéchiste de la paroisse du Sacré-Cœur [du comté de] Kajo Keji, au Soudan du Sud, a été tué dimanche 22 janvier en la chapelle sise dans la localité de Lomin. C’est ce qu’indique le Père Jesus Aranda, curé et missionnaire combonien. Selon le prêtre, le catéchiste, duquel est connu seulement le nom de baptême, Lin, a été tué en compagnie de cinq autres personnes par un groupe armé. Les fidèles ont abandonné la zone par crainte d’autres attaques. Le Père Aranda a pris possession de la paroisse le 3 décembre dernier et a immédiatement confronté à la situation dramatique de la zone. Plus de 50 000 habitants de Kajo Keji se sont réfugiés en Ouganda à cause de l’insécurité et des attaques perpétrées par l’armée du Soudan du Sud contre les villages de la zone, les populations locales étant considérées par cette dernière comme hostiles au gouvernement central de Juba.
 

"Ils se sont bagarrés entre eux pour savoir qui allait les violer en premier"

Un chauffeur de bus témoigne :

"Un soir, une dizaine de jeunes est montée dans le bus, vers la Place d’Italie, dans le XIIIe arrondissement. Deux jeunes filles étaient assises à l’avant, elles allaient en boîte de nuit et s’étaient fait belles. Les jeunes ont commencé à les aborder, à devenir de plus en plus pressants. Après des attouchements, ils se sont bagarrés entre eux pour savoir qui allait les violer en premier."

"Pendant ce temps, les autres voyageurs présents dans le bus baissaient la tête ou levaient leur journal pour ne pas voir la scène”.
Après avoir déclenché une “alarme discrète” pour prévenir la police sans alerter les voyous, le chauffeur s’interpose pour défendre les jeunes filles. La police arrive à temps pour l’empêcher de subir les foudres des individus. Il raconte la réaction de sa hiérarchie :
“L’un des directeurs m’a dit: 'Bon là, ça s’est bien terminé mais vous savez, il ne faut pas s’interposer. S’il était arrivé quelque chose, on se serait retournés contre vous'.
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Allemagne : grâce aux populations réfugiées du moyen et proche Orient, le pays n’a jamais été aussi peuplé

La population allemande a atteint 82,8 millions d’habitants en 2016 en raison de l’augmentation du solde migratoire. Le précédent record de 2002 est dépassé. Mais les menaces à long terme demeurent.


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L’Allemagne n’a jamais été aussi peuplée. Selon les chiffres préliminaires de Destatis, l’Office fédéral des Statistiques allemand, la population allemande à la fin de 2016 atteignait 82,8 millions d’habitants, soit 600.000 personnes de plus qu’un an plus tôt. Grâce à cette poussée, le précédent record de population, qui datait de 2002 et se situait à 82,5 millions d’habitants, a été dépassé. (…)

La raison de cette croissance démographique importante demeure le solde migratoire hautement positif, estimé pour 2016 à plus de 750.000 personnes. En 2015, ce solde migratoire se situait à 1,1 million de personnes. Le détail de ce chiffre n’est pas encore connu, mais il supposerait des entrées de personnes en Allemagne à un niveau proche de 1,5 million de personne l’an dernier.

Evidemment, comme en 2015, les populations réfugiées du moyen et proche Orient devraient représenter une grande partie de ces entrées sur le territoire allemand, mais il convient de ne pas oublier que plusieurs pays d’Europe méridionale et centrale (Pologne, Espagne, Grèce, Portugal) continuent de connaitre des soldes migratoires négatifs vis-à-vis de l’Allemagne. (…)

Reste que le solde migratoire a, en trois ans, apporté pas moins de 2,3 millions d’habitants supplémentaires à une Allemagne qui, par ailleurs, connaît une démographie naturelle préoccupante. Car, le solde naturel allemand, lui, continue à être très négatif. Destatis l’évalue dans une fourchette allant de 150.000 à 190.000 personnes. En 2015, il y avait eu outre-Rhin 188.000 décès de plus que de naissance en Allemagne, on devrait donc se situer un peu en deçà de ce chiffre en raison d’une stagnation des décès et d’une légère remontée des naissances. Mais ce déficit naturel demeure préoccupant pour deux raisons. D’abord en raison du vieillissement accru de la population qu’il induit. Ensuite, parce qu’il contraint l’Allemagne à maintenir un solde migratoire élevé de façon durable pour éviter de voir sa population reculer. Enfin, parce que ce solde naturel migratoire s’auto-amplifie en conduisant à une réduction de la population en âge de procréer. (…)

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Quand les policiers sont la cible quotidienne des dealers

On finirait par s’y habituer : c’est cela qui est grave ! Mercredi soir, à la cité des Tarterêts, un quartier difficile de Corbeil-Essonnes, un équipage de police mène une opération : un pavé lancé à travers le pare-brise blesse un policier. Cinq jours plus tôt, dans la même cité, c’est une policière qui a été touchée par un parpaing : avec un collègue, elle venait de conduire une personne placée en garde à vue au Centre hospitalier sud-francilien. 

Mercredi, les policiers intervenaient dans le cadre d’un trafic de stupéfiants. De quoi se mêlent-ils ? Ne peuvent-ils pas laisser ces auto-entrepreneurs faire tranquillement leur boulot ? Un pavé sur la tête ? La belle affaire ! Les CRS en ont reçu en 1968 : c’étaient des durs à cuire, eux, ils ne se plaignaient pas pour un bobo ! D’ailleurs, Benoît Hamon l’angelot va sans doute expliquer que, si on légalisait la vente du cannabis, toutes ces « incivilités » disparaîtraient. La coke et l’ecstasy aussi ?

Le syndicat Alliance n’est pas de cet avis. Il précise que les policiers ont été « pris à partie par une vingtaine d’individus déterminés ». L’un confie au Figaro : « Ce sont des représailles, parce qu’on fait notre boulot. » Un autre souligne que « nous sommes face à des individus animés d’un sentiment de défiance et d’impunité totale »

Oui, mais ce syndicat est classé à droite : il exagère forcément ! Et l’UNSA Police ? Dans un communiqué, il s’interroge sur l’ordre, donné le 21 janvier, de ne pas intervenir. Pourtant, les caméras de surveillance diffusaient les images « d’une dizaine d’individus gantés, ayant les visages dissimulés, les mains armées de pierres et se cachant derrière les buissons ». Après le nouvel incident du 25, il lance qu’« il est temps de privilégier les interventions efficaces permettant d’intervenir en toute sécurité […] afin de procéder à des interpellations plutôt que de favoriser les sécurisations stériles une fois l’attaque terminée ».

Autant parler dans le vide. Les incidents se multiplient : ces faits divers, dont l’issue pourrait être tragique, sont l’ordinaire des policiers. On peut comprendre leur ras-le-bol quand ils subissent quotidiennement les attaques de ces bandes, intouchables par crainte d’enflammer les banlieues ou pour d’obscures raisons politiciennes. Ou encore du fait d’un angélisme irresponsable, plus prompt à trouver des excuses aux trafiquants qu’à protéger leurs victimes.

En 2012, Samia Ghali, sénatrice socialiste de Marseille, jugeait que seul un recours à l’armée pourrait rétablir le calme dans les cités « gangrenées par la drogue ». Force est de constater que la police n’a pas les effectifs suffisants pour contrôler ces quartiers interdits. Quant à l’armée, ou ce qu’il en reste, elle est déjà suremployée dans des missions extérieures ou dans le cadre de l’opération Sentinelle.

Ce nouveau guet-apens a fait réagir le député LR Éric Ciotti, qui a tweeté : « Nouvelle agression intolérable de policiers à #CorbeilEssonnes. Il est urgent de restaurer l’autorité de l’État partout sur le territoire ! » Belle résolution : que n’a-t-elle été mise en œuvre sous la majorité précédente ! Plus on attend, plus la situation s’aggrave.

Le pire, c’est que ces délinquants sont loin d’être tous des « sauvageons » qui se font de l’argent de poche : les plus dangereux, dont certains se reconvertissent en djihadistes, ont la haine de la France, ne reconnaissent que leur propre loi, rêvent de faire la peau à un flic. Chaque manifestation de faiblesse à leur égard, ils la considèrent comme un signe d’encouragement.

Jean-Michel Léost

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Jean-Yves Le Gallou : « Le clivage sur l’immigration traverse toutes les formations politiques »

 

 

Jean-Yves Le Gallou : "Le clivage sur l... par bvoltaire
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Benoît Hamon se dit fier d’être appelé « Bilal » par la fachosphère, quand Alain Juppé et François Fillon avaient été outrés d’être affublés de surnoms de la sorte : pour Jean-Yves Le Gallou, cela veut tout simplement dire que Benoît Hamon, élu à Trappes, est satisfait d’être assimilé à ses électeurs…

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Immigration : Donald Trump tient ses promesses


Donald Trump fait ce qu’il dit et dit ce qu’il fait. Il y a, d’ailleurs, quelque chose de fascinant à le voir changer le monde connu en signant quotidiennement des décrets. Paraissant ne pas connaître la peur, il surprend les observateurs parce qu’il agit. On croyait, à tort, que les dirigeants politiques n’avaient plus le contrôle. Visiblement, le Bureau ovale offre des leviers d’action importants pour qui en a la volonté. Au lieu de subir, Donald Trump change les règles du jeu qui ne lui conviennent pas. Gros chantier de sa présidence : l’immigration. Moins d’une semaine après sa prise de fonction, le nouveau président des États-Unis donnait le ton en signant un décret fixant comme objectif de « sécuriser la frontière sud des États-Unis grâce à la construction immédiate d’un mur ». Expliquant, très justement, qu’une « nation sans frontières n’est pas une nation », Donald Trump a décidé de les restaurer.

Le mur n’est qu’une étape d’une politique plus vaste, extrêmement ambitieuse. Symbole matériel d’une reconquête morale, le mur de Trump enverra un signal au monde : vous ne pouvez plus entrer aux États-Unis illégalement sans en subir les conséquences. Ancien président du Mexique, Vicente Fox l’a qualifié de « fucking wall ». Il aurait dû y penser avant en s’attaquant à la mafia mexicaine, monstrueux fléau. Ces trafiquants de drogue ont corrompu la classe politique mexicaine, semant la mort depuis près de trente ans. Donald Trump sera inflexible. Il a dit que le Mexique paierait le mur et il tiendra parole. L’État mexicain refusera de le financer directement ? Qu’à cela ne tienne : les produits mexicains seront surtaxés. 


Désormais, plus rien ne semble impossible.

Les clandestins seront renvoyés chez eux. Par train, par avion ou par bateau. Qu’un pays s’y oppose et les visas de tous ses ressortissants seront gelés. Les pays récalcitrants, parmi lesquels on compte notamment l’Algérie, l’Afghanistan ou la Mauritanie, verront aussi leurs aides financières disparaître. Dans le droit fil de ces mesures de bon sens, Sean Spicer, porte-parole de Donald Trump, a annoncé la création de nouveaux centres de rétention le long de la frontière, qui permettront de détenir à moindre coût les immigrés illégaux, puis de les renvoyer le plus rapidement possible. Les 750.000 clandestins arrivés mineurs aux États-Unis peuvent aussi dire au revoir au traité DACA, signé par Barack Obama, qui les protégeait.

À la manière de ce que nous connaissons en France, l’examen des dossiers d’asile peut prendre des années aux États-Unis. Suffisamment de temps pour que les délinquants du droit d’asile puissent s’évaporer dans la nature. Là encore, le volontarisme du POTUS (President Of The United States) ne peut être mis en défaut. Des procédures d’expulsion accélérée des clandestins arrêtés à la frontière seront mises en place, en expédiant leurs possibilités de recours et en assignant des juges de l’immigration aux frontières. Les villes dites « sanctuaires » seront privées de fonds fédéraux. Ces villes et ces juridictions locales américaines refusent de coopérer avec les services de l’immigration. Elles font preuve de mauvaise volonté en n’honorant pas les demandes d’incarcération en vue d’une expulsion. Pour que chaque citoyen américain en soit informé, Donald Trump publiera la liste de ces villes sur le site de la Maison-Blanche.

 
Dernier instrument de choix, le décret « Protéger la nation d’attaques terroristes par des étrangers » permettra de geler l’entrée des ressortissants de sept pays musulmans (Irak, Iran, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen). En outre, l’administration Trump n’acceptera plus de « réfugiés » pendant quatre mois et arrêtera définitivement l’accueil des « migrants » venus de Syrie. Donald Trump refuse que les États-Unis prennent le chemin de l’Union européenne d’Angela Merkel. La voie est tracée. Il ne nous reste plus qu’à l’emprunter. Inverser les flux migratoires n’est plus une utopie.

Gabriel Robin  

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Pendant la messe de Noël à Sisteron, on a commenté des sourates. Normal

 
C’est une histoire stupéfiante que Victor Loupan, théologien orthodoxe, a racontée le 13 janvier dernier dans l’émission « Le Grand Débat »sur Radio Notre Dame. Les faits se sont déroulés le 24 décembre dernier, à la cathédrale de Sisteron, où il s’était rendu en famille pour assister à la messe de Noël. À la fin de la messe, le prêtre a annoncé que plusieurs musulmans étaient présents dans l’assistance et les a invités à monter au pied de l’autel. Là, après avoir fait applaudir par les fidèles des hommes dont la plupart étaient vêtus de djellabas, la tête coiffée de la calotte islamique, il leur a donné la parole.

S’en est suivie une scène hallucinante : leur chef, visiblement inspiré par la fête de la Nativité de Jésus-Christ, a expliqué que le Coran contenait de nombreuses sourates relatives au « prophète » Jésus et à sa mère Marie. Puis il a commenté ces sourates, gardant la parole pendant environ dix minutes. Loupan expose qu’il n’a pas pu rester jusqu’au bout et que l’assemblée semblait très gênée. L’affaire a fait grand bruit auprès de l’évêché, dont le vicaire général a expliqué, embarrassé, que ce prêtre était attaché au dialogue interreligieux mais que le moment n’était peut-être pas bien choisi. On ne saurait moins en dire.

Naïveté ? Inconscience ? « Vivrensemble » ? On peut tout imaginer. Mais la question n’est pas là. Une telle initiative, le soir de Noël, fête chrétienne de la Nativité, est plus qu’une faute : c’est une imbécillité sans nom.

Pour les chrétiens, Jésus-Christ, vrai homme et vrai Dieu, est Dieu incarné venu partager notre humanité pour nous faire participer à sa nature divine et nous sauver du péché.

Aux yeux des musulmans, cette foi en Jésus-Christ fils de Dieu est un blasphème. Or, que fêtons-nous à Noël, si ce n’est cette incarnation ? Nous ne fêtons pas l’amitié ou la fraternité entre les peuples, choses tout à fait respectables en soi. Nous ne fêtons pas la paix dans le monde, objectif partagé par tous les hommes de bonne volonté. Nous fêtons la nativité de Jésus-Christ. Oublier cela, c’est supprimer l’essence même de Noël. Inviter des musulmans aux accoutrements de salafistes à exposer la vision coranique de Jésus et de sa mère Marie, c’est relativiser notre foi, c’est renier cette foi. Si Jésus n’est qu’un prophète, comme le soutiennent les musulmans, Noël n’a aucun sens.

En faisant cela, ce prêtre n’a sans doute pas eu conscience un instant de l’importance symbolique de son acte. Pas plus qu’il n’a compris que le dialogue avec les autres religions n’avait pas sa place dans une église où il vient de célébrer le sacrifice de la messe. Mais, plus encore, il a oublié, lors de cette fête, les nombreux chrétiens qui ne mettent jamais les pieds à l’église, sauf deux ou trois fois par an. Ceux-là, pas forcément très instruits des mystères de la foi, ont assisté à ce spectacle incroyable de relativisme. Quel effet une telle scène a-t-elle produit sur eux ? Comment peut-on croire qu’une telle initiative les amènera à la foi, eux qui sont souvent des « tièdes » que l’Église a justement pour mission de réchauffer ?

Décidément, naïveté, inconscience ou bêtise, ce prêtre dont personne ne peut juger des intentions a commis une bourde monumentale. Espérons que l’Église de France, celle du père Hamel, ami des musulmans égorgé au pied de l’autel, comprendra un jour dans quelle impasse elle se fourvoie.

François Teutsch

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François Bousquet : « Le fait que Gauchet signe dans Éléments montre que les clivages se fissurent »

 

 

François Bousquet : "Le fait que Gauchet signe... par bvoltaire
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François Bousquet présente la revue Éléments, publication à la fois vénérable, puisqu’elle a 40 ans d’âge, et rajeunie, avec l’arrivée récente de jeunes plumes. Le dernier numéro – qui comprend un entretien exclusif avec Marcel Gauchet – est consacré à la fin du clivage gauche-droite, auquel se substitue une opposition entre la France d’en haut et la France d’en bas, les identitaires (de droite et de gauche) contre les « uniformitaires ». 

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Législatives : Metayer-Robbes, candidat du Parti de la France au Havre

Politique. Jean-Yves Metayer-Robbes, candidat du « Parti de la France » aux prochaines législatives, espère incarner « la nouvelle droite nationale ».

 
La victoire de Donald Trump, la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, la défaite d’Alain Juppé. Tous ces faits annoncent une année « anti-système », selon Jean-Yves Metayer-Robbes, candidat du Parti de la France - mouvement d’extrême droite - aux élections législatives dans la 7e circonscription de Seine-Maritime. Le candidat voit dans ces événements la volonté des citoyens d’assister à un renouvellement de l’offre politique dont il souhaite profiter pour « libérer la France de la pression exercée par la pensée unique » et s’opposer aux « multiples facettes de la stratégie guerrière du djihad pour tenter de conquérir le monde ».


Immigration zéro


Sur le plan politique, le Parti de la France - qui parraine la campagne de M. Metayer-Robbes, reste proche du Front national (FN) canal historique, notamment des « Comités Jeanne » de Jean-Marie Le Pen, et du mouvement catholique intégriste Civitas - se revendique de la « nouvelle droite nationale ». Son action s’inscrit dans le rejet du FN de Marine Le Pen dont il juge le discours économique « trop à gauche ». Sans être anti-européen, le mouvement se prononce en faveur d’une « Europe des patries ». Jean-Yves Metayer-Robbes souhaite contribuer, entre autres, à la diminution de la pression fiscale, la baisse des charges pour les entreprises, l’arrêt total de l’immigration, le rétablissement de la peine de mort pour les terroristes et la suppression de l’aide médicale d’État pour les étrangers. Le candidat entend ainsi incarner une « reconquête du pouvoir politique » face « au système » et à l’islam politique. « Je ne suis pas libre de venir m’installer chez vous sans y avoir été invité », précise le candidat « libéral-protectionniste » en faisant référence à l’immigration en France. Il fustige « un manque de courage politique et intellectuel » contemporain dont le corollaire serait, selon lui, une certaine timidité des représentants élus à défendre « nos héritages culturels, nos racines chrétiennes et la lutte contre l’immigration massive ».

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La mosquée de Lens visée par une tentative d’incendie criminel

La mosquée de Lens (Pas-de-Calais), située 10 rue François Mansart, a été la cible d’une tentative d’incendie criminel dans la nuit mercredi 25 au jeudi 26 janvier. 

La mosquée de Lens (Pas-de-Calais), située 10 rue François Mansart, a été la cible d’une tentative d’incendie volontaire dans la nuit mercredi 25 au jeudi 26 janvier. En se rendant dans leur lieu de culte pour la prière de l’aube vers 6 heures 45, les fidèles ont découvert la porte extérieure partiellement noircie.

Selon la Voix du Nord, les premiers éléments de l’enquête indiquent que l’origine criminelle ne fait guère de doute. Les enquêteurs du commissariat de Lens ont découvert une bouteille contenant un produit hydrofuge à proximité de la mosquée Abou bakr. Une plainte a été déposée dans la journée par Afkour Abdoullah, le secrétaire général du centre islamique et culture de Lens (CICL).

Rappel de l’imam de la mosquée de Lens

 

Lors de la grande prière du vendredi, l’imam de la mosquée de Lens a tenu à rappeler aux musulmans présents la nécessité « de ne pas céder à la colère. Il faut toujours être juste, et ne pas prendre de décision sous le coup de la colère, toujours mauvaise conseillère » rapporte l’Avenir de l’Artois.

Le commissaire de police de Lens a indiqué que l’enquête était toujours en cours

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Trois nouveaux noms dans la liste des criminels les plus recherchées de Belgique

La liste des personnes les plus recherchées (« Most Wanted ») par la police fédérale a été élargie ce vendredi.

 


 
La liste des personnes les plus recherchées (« Most Wanted ») par la police fédérale a été élargie vendredi à trois personnes supplémentaires. L’un d’entre eux est suspecté d’être l’auteur d’un home-jacking, le deuxième de viols et le troisième de faits d’exorcisme.
  • Aza Petrovic, 31 ans, né en ex-Yougoslavie, a été condamné le 10 octobre 2016 à une peine d’emprisonnement de 6 ans par le tribunal correctionnel du Hainaut, pour vol avec violence et prise d’otage. Le 11 juin 2014, 5 hommes armés et masqués ont pénétré dans l’habitation d’un couple à La Louvière pour commettre un home-jacking. Les actes de violence des auteurs ont entraîné un handicap physique permanent pour les victimes.
  • Ali Bounou, 29 ans, est de nationalité marocaine. Il a été condamné le 18 janvier 2010 à une peine d’emprisonnement de 10 ans par le tribunal de première instance de Bruxelles pour enlèvement, vols avec arme et viols. Durant la nuit du 28 au 29 mai 2009 à Bruxelles, une femme est tirée à l’intérieur d’une voiture et est emmenée dans un appartement près de la gare du Midi. La femme est violée dans l’appartement. Ensuite, durant la nuit du 11 au 12 juin 2009 Ali Bounou propose à deux touristes américaines de boire un verre et de leur faire visiter Bruxelles. Il utilise une ruse pour que les deux jeunes femmes le suivent jusqu’à un appartement où elles seront enfermées et violées à plusieurs reprises.
  • Othman Galouby, 35 ans, également de nationalité marocaine, a pour sa part été condamné le 25 mars 2016 à une peine d’emprisonnement de 10 ans par la Cour d’appel d’Anvers du chef de coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort. Se présentant comme un exorciste islamique, il avait prétendu vouloir chasser les mauvais esprits du corps de Layla A., une Anversoise de 18 ans. Une séance longue de trois jours qui aura coûté la vie à la jeune femme. Après avoir lu le Coran en bénissant et en aspergeant la nourriture de la victime d’eau bénite, le soi-disant exorciste lui a massé le corps d’huile d’olive, avant de lui verser un seau d’eau bouillante sur la tête et de l’acide sur les genoux et le ventre. Une substance qui, même après le décès de la pauvre jeune fille, est restée active dans son corps, comme le précise la police fédérale dans l’avis de recherche consacré à l’exorciste condamné le 25 mars 2016 à 10 ans d’emprisonnement par la cour d’appel d’Anvers pour ce qui a été qualifié de coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort.
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