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samedi, 20 janvier 2018

Mosquée de la Miséricorde : les musulmans de Nîmes s'offrent un bâtiment au centre-ville

Rédigé par Hanan Ben Rhouma

L’année 2018 commence bien pour les musulmans de Nîmes. Deux ans après la fermeture de la mosquée de la Miséricorde sur décision de la municipalité en raison de l’insalubrité du bâtiment, l’achat du bien a pu être finalisé. Reste encore à faire les nécessaires travaux de mise aux normes du bâtiment afin d’en jouir pleinement.

Ils sont sortis d’affaire par la grande porte. Après avoir été menacés de se retrouver sans lieu de culte en 2016, les responsables de l’Association culturelle islamique qui gèrent la mosquée de la Miséricorde sont désormais propriétaire du bâtiment abritant le plus vieux lieu de culte musulman de Nîmes (Gard) après avoir finalisé l’achat la veille de l’année 2018.

Ce sont environ 450 000 euros qui ont collectés pour s’approprier le bâtiment de 2 000 m² situé dans le centre-ville. Un luxe dans la mesure où de très nombreuses mosquées de France sont excentrées. L’Association culturelle islamique s’en est donné les moyens grâce au soutien de ses fidèles.

Rien n’est terminé pour autant. « Nous avons commencé les premiers travaux de mise aux normes de sécurité relatives à l’accessibilité aux personnes handicapées et le démantèlement des plafonds en lambris de la salle de prière principale », indique à Saphirnews Dominique Mimoun, vice-présidente de l’association, qui rappelle que ce fut « une des conditions de vente des locaux » instaurées par la mairie.
 

 

Devant la mosquée de la Miséricorde, à Nîmes (Gard). © ACI
Devant la mosquée de la Miséricorde, à Nîmes (Gard). © ACI

Les travaux de mise aux normes du bâtiment, une priorité

Mais « nous n’avons pas pu faire plus car actuellement nous sommes en récolte de dons pour la continuité des travaux », ajoute-t-elle. A cette fin, les fidèles sont encore appelés à donner 160 000 euros sur les 170 000 nécessaires, une estimation réalisée « par un maître d’œuvre et un cabinet d’expertise ».

« Normalement, nous devions effectuer ces travaux dans les six mois qui suit la signature de l’acte (le 28 décembre 2016, ndlr). Il nous a été impossible de tenir ces délais », signale Dominique Mimoun. « Notre priorité était donc, de récolter les fonds pour honorer les paiements. Si nous dépassions la date prévue, nous aurions dû payer des pénalités de retard de paiement de 6 % l’an. C’est pour cette raison qu’il est impératif de commencer les travaux le plus rapidement possible et que nous relançons un appel aux dons », prévient-elle. Espérons-lui le même succès que pour l’achat du bâtiment.
 

Jean-Pax Méfret au Casino de Paris

Au Casino de Paris, ce 13 janvier 2018, l’ambiance était tout à la fois décontractée, bon enfant et pleinement française. On annonçait complet. Tandis que la salle se remplissait, ceux qui avaient déjà pris place se remémoraient, chantonnaient, plaisantaient, tout simplement heureux d’être là, dans l’attente impatiente de l’artiste.

Jean-Pax Méfret au Casino de Paris.

Puis, la lumière s’éteint. Rythmant les scansions « Jean-Pax ! Jean-Pax ! », les applaudissements fusent, gonflent et explosent quand le « chanteur de l’Occident » (né pourtant en 1944 dans cet Orient nostalgique aux inoubliables parfums d’oranges et de jasmin), vêtu d’un costume sombre, foule enfin la scène d’un pas lent et sûr. Il attend, reçoit sans mot dire les vivats et acclamations chaleureuses et amicales de son public où se mêlent aficionados de la première heure et jeunots de vingt ans et plus qui connaissent déjà par cœur Les Barricades ou Les Oies sauvages. L’orchestre émet ses premières notes et le trouvère entonne ces premières paroles poignantes :

« Ils meurent victimes de leur foi,

Ils tombent à l’ombre de la Croix,

Dans un silence qui fait douter

Du cœur des hommes.

Et au milieu des corps sans vie,

Une petite fille prie

Tout près d’une statue brisée,

D’une croix de bois calcinée… »

La salle, mutique, semble prier à l’unisson de cette gamine arborant le visage de nos propres enfants et qui lance dans le désert et à la face d’un monde irrémédiablement sourd à sa supplique, le déchirant cri de détresse de son martyre et de celui de ses semblables, là-bas, aux fins fonds de l’Orient compliqué. Noun… !

Jean-Pax Méfret n’a pas son pareil pour communiquer une émotion d’autant plus sincère qu’elle entre en résonance avec notre être profond, fruit d’un héritage ancestral voire bien plus lointain.

Le visage triste et apeuré de l’innocence enfantine s’imprimait encore dans nos esprits quand surgit, telle une muse oubliée, le long d’un mur honteux qui masquait alors les pires turpitudes des zélotes des fallacieux lendemains qui jamais ne chanteront, le non moins doux visage de Veronika :

« Elle avait des cheveux blonds fous, Véronika

Les yeux bleus tristes et un air doux, Véronika

À Berlin-Est, elle balayait les allées

Lorsque je l’ai rencontrée »

À cet instant, tel le docteur Youri Jivago incapable de choisir entre Tonia sa femme aimante et Lara, sa tendre maîtresse, mon cœur balançait en pensant à Nathalie, la jolie guide moscovite de Gilbert Bécaud, narrant à ce dernier « en phrases sobres […] la révolution d’Octobre ». Et l’on se dit que la poésie est sans doute le meilleur moyen d’entrevoir la vérité, où qu’elle se niche…

Mais évoquer Jean-Pax Méfret (Jean comme tout le monde, Pax comme personne, Méfret comme son père, affectionne-t-il de répondre à qui l’interroge sur les origines de ce prénom mystérieux), sa musique et ses chansons authentiquement engagées (aux antipodes des rebelles en peau de lapin venant promouvoir leur insipide soupe pseudo-artistique sur les plateaux sabbatiques du service public), revient aussi et surtout à se souvenir de nos temps glorieux et moins glorieux. L’héroïque sacrifice des 62 légionnaires de Camerone, la douloureuse époque de la fin de l’Algérie française, ravivée par des couplets bouleversants (« je viens d’un pays perdu qui n’existe plus », « Notre-Dame des déracinés », « l’été 62 sur les quais du chagrin », « les grandes souffrances de ceux qui ont choisi la France »…), les barouds d’honneurs de Dien Bien Phu, le martyre des Vendéens, etc.

Alors que nous venons de tourner le dos à 2017, année du centenaire de la révolution russo-léniniste de 1917, de sinistre mémoire, Jean-Pax demeure présent et droit pour nous rappeler que si « l’un de vous a chanté Potemkine / Moi je viens chanter Soljenytsine ». Une manière opportune de souligner combien les totalitarismes athées du XXe siècle (le nazisme est évoqué elliptiquement dans Jour J quand le communisme est explicitement dénoncé dans Le Camp 36, Sibérie, Goulag, Professeur Müller ou Budapest) inspirés des pires folies criminelles depuis Robespierre et ses épigones, constituent le canevas renouvelé du socialisme libéral-sociétal, sarko-hollando-macronien du XXIe.

Les paroles du Vieux Soldat témoignent, à elles seules, de la déliquescence d’une civilisation française désormais livrée aux hyènes de l’amnésie volontaire et du déracinement méa-culpant :

« Ça lui fait mal, toutes ces insultes,

Cracher sur la France que l’on traite de pute.

Ça lui fait mal, le drapeau brûlé, le drapeau souillé

La mémoire tachée.

 

Ça lui fait mal, il l’a mauvaise,

Lorsque l’on siffle la Marseillaise

Ça lui fait mal, voir son pays livré au mépris,

Il en est meurtri.

Le respect, il veut du respect,

Juste du respect, le respect »

Tout comme Pas politiquement correct fustige les snipers stipendiés de la pensée unique, ce bas clergé du désordre immoral qui, quoi qu’ils disent ou veulent faire croire, en dépit de sporadiques soubresauts identitaires ou populistes, détiennent encore largement le pouvoir politico-culturel :

 

« On ne peut plus rien dire

Sans s’attirer leur foudre

Qu’ils brandissent à plaisir

Pour te réduire en poudre »

Comme l’écrivait récemment le politologue Jean-Yves Camus, « tous ceux qui étudient la pensée de droite devraient aller assister à un concert de Jean-Pax Méfret » (tempsprésents.com, 16 janvier), même si ce dernier représente bien plus, c’est-à-dire, les valeurs éternelles de nos pères et de notre pays. Un autre universitaire osait assez justement le comparer à l’auteur de La Colline inspirée : « une sorte de Barrès pied-noir, le Barrès d’après-1919 où ont disparu les ennemis extérieurs, battus, et intérieurs, intégrés par le sacrifice militaire [1] ».

Respect.

[1] Paul Airiau, « Jean-Pax Méfret, chanteur anticommuniste et républicain populiste », Histoire@Politique. Politique, culture, société, N°7, janvier-avril 2009.

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4 personnes s’échappent du centre de rétention administrative de Palaiseau

Quatre personnes retenues au sein du centre de rétention administrative de Palaiseau dans l’Essonne se sont évadées dans la nuit du 16 au 17 janvier. 


4 clandestins s’échappent de nuit

Une évasion digne d’un film. C’est en sciant des barreaux et en fabricant une corde avec des draps que quatre hommes se sont échappés du centre de rétention administrative de Palaiseau.

Selon le journal Le Parisien, qui a révélé cette affaire en premier, il n’y aurait que 4 gardiens pour 20 personnes retenues dans l’enceinte du centre. Les hommes ont pris la fuite dans la nuit du mardi 16 au mercredi 17 janvier.

Ces quatre hommes étaient entrés de façon illicite sur le territoire français. Ils devaient faire l’objet d’une reconduite dans leur pays d’origine prochainement.

Qu’est qu’un centre de rétention administrative (CRA) ?

Sur son site internet le ministère de l’intérieur explique ce qu’est un CRA. On en dénombre 25 pour 1755 places au total.

“Les centres de rétention administrative ont été officiellement crées par la loi du 29 octobre 1981.

Le centre de rétention administrative est un bâtiment surveillé par la police ou la gendarmerie nationale où l’administration peut retenir, pour une durée limitée et sous contrôle juridictionnel, les étrangers faisant l’objet d’une procédure d’éloignement et ne pouvant pas quitter immédiatement la France. La phase de placement est appelée la rétention administrative.

Le centre de rétention administrative ne relève pas de l’administration pénitentiaire. Il n’est pas une prison car la privation de liberté ne relève pas d’une décision judiciaire. Le placement dans un CRA relève d’une décision administrative. La privation de liberté n’a pas un caractère coercitif. Il faut donc parler de rétention et non de détention ou d’emprisonnement.”

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Fleury-Mérogis : des détenus refusent de regagner leur cellule

Paris Vox – Plus d’une centaine de détenus de la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne) ont refusé de regagner leur cellule, aujourd’hui,  en pleine journée d’action des surveillants contre leurs conditions de travail.


«  A la fin de la promenade, 123 détenus ont refusé de regagner leur cellule. Il n’y a pas de revendications, pas de violence. Des ERIS (Equipes régionales d’intervention et de sécurité) sont en route pour leur faire réintégrer les cellules  » a déclaré la Direction de l’administration pénitentiaire (DAP).

Les détenus « font de l’immobilisme »  et refusent de regagner leur cellule depuis midi. Cette action serait la conséquence  d’un  temps de promenade  écourté. La tension dans l’établissement, plus grand d’Europe, serait très forte.

Selon une source syndicale citée par le Figaro : « Le mouvement national de blocage des prisons perturbe les parloirs et les promenades. Face à ça, les détenus ont montré leur colère, en tapant sur les portes, en insultant le personnel  et les ERIS ont été déployées pour  éviter tous débordements et faire du maintien de l’ordre  ».

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Les Aztèques ont été victimes de l'immigration

 

Article intéressant de Pauline Mille sur RITV :

Images-5"La salmonellose qui fait l’actualité chez Lactalis frappait déjà au seizième siècle au Mexique : des millions d’Aztèques en sont morts, l’analyse ADN des squelettes l’établit. Voilà une nouvelle qui liquide la légende noire élaborée par les ennemis de l’Espagne et de l’Eglise, qui parlaient de génocide des Indiens, longtemps reprise par des historiens peu scrupuleux. [...]

Une terrible épidémie serait survenue entre 1545 et 1550, soit vingt-cinq ans après que le conquérant espagnol Fernando Cortès eut touché la côte mexicaine en un endroit qu’il nomma Vera Cruz. Elle a frappé les témoins de l’époque. Il en subsiste quelques rares traces. Selon l’anthropologue française Danièle Dehouve, spécialiste du Mexique et directrice de recherche au CNRS, quelques textes d’époque « décrivent les symptômes du mal. Il existe aussi quelques images de la fin du XVIe siècle montrant des morts ayant des petits points sur le corps, ce qui correspond aux symptômes de la fièvre typhoïde. Nous avons aussi le codex Telleriano-Remensis, un manuscrit d’époque montrant des morts, ou des malades, avec des choses qui leur sortent de la bouche et du nez ». Mais ces indications ne suffisaient pas à porter un diagnostic. Aujourd’hui, l’affaire est tranchée, selon Danièle Dehouve, grâce à l’analyse ADN : « l’ADN est une preuve beaucoup plus sérieuse ».

La revue Nature Ecology and Evolution vient en effet de publier que la pandémie de 1545 -1550 serait une gigantesque salmonellose : une salmonelle aurait provoqué une fièvre typhoïde qui aurait causé la mort de millions d’Aztèques. Combien ? C’est l’objet de « nombreuses polémiques », selon Danièle Dehouve. « Les Espagnols n’ont commencé à recenser les populations qu’à partir de 1540 ». Encore ne tenaient-ils pas tout le pays et les statistiques étaient rudimentaires. Mais « on estime que 80 % des Aztèques sont morts dans les terres côtières, et 50 % dans les terres plus centrales ». Au doigt mouillé. [...] L’équipe qui a publié dans Nature Ecology and Evolution a pu travailler sur 29 squelettes découverts dans des cimetières et datés, et l’analyse ADN a établi sans ambiguïté la présence de l’agent infectieux, les salmonelles (probablement introduites par le cheptel amené par les Espagnols), dans la fièvre mortelle.

On est donc face à un drame de l’immigration. C’est l’importation d’humains et d’animaux tout à fait étrangers aux écosystèmes de l’Amérique latine qui a provoqué la catastrophe. De même que certains végétaux ou animaux ne trouvent pas de prédateurs dans un biotope où ils sont inconnus, de même les agents infectieux apportés par les Espagnols, et qui pour eux étaient relativement bénins, signifièrent-ils la mort pour de nombreux Indiens. A noter : à partir du dix-septième siècle, les populations aztèques ont recommencé à croître, se croisant souvent avec les Espagnols. Contrairement à la légende noire, ceux-ci n’ont pas remplacé les autochtones comme cela s’est passé dans la Caraïbe ou aux États-Unis, mais se sont métissés avec les populations conquises."

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Presque un tiers des naissances issues de familles composées d'au moins un parent immigré

 

B_1_q_0_p_0L'augmentation du nombre des demandeurs d'asile en 2017 est spectaculaire :

  • 20 000 en 1997,
  • 61 468 en 2012,
  • plus de 100 000 en 2017.

Un rapport de la Cour des Comptes d'octobre 2015 souligne que 96 % d'entre eux, même déboutés, ne repartent jamais.

La hausse de l'immigration régulière, mesurée par le nombre des «premiers titres de séjour» délivrés, explose également :

  • 125 000 en 1995 ;
  • 186 116 en 2002 ;
  • 183 893 en 2008 ;
  • 193 655 en 2012 ;
  • 210 940 en 2014 ;
  • 215 220 en 2015 ;
  • 230 353 en 2016 ;
  • 262 000 en 2017.

Le pourcentage des naissances dans les familles composées d'au moins un parent immigré est passé de 26,3 % en 2007 à 30,4 % en 2016 (Ined). En Île-de-France, 38 % des femmes ayant eu un enfant en 2015 sont immigrées (Insee). Mais à part cela, il n'y a pas de grand remplacement...

Dans la loi de finances de 2017, l'aide médicale d'État (la gratuité des soins dont bénéficient 300 000 migrants en situation irrégulière) est en augmentation, passant de 812 millions à 882 millions d'euros.

La politique de Macron est ridicule : sa mesure phare, la prolongation de la rétention administrative de 45 à 90 jours, n'aura qu'un impact limité dès lors que le pouvoir de décision est laissé au juge des libertés, dont le réflexe naturel est souvent de refuser une prolongation de la rétention après 48 heures. La réforme prévue ne suffira pas à améliorer de manière significative un dispositif d'éloignement paralysé par sa lourdeur (6 600 reconduites hors de l'Union européenne en 2017).

Source

Le métro ne s’arrête plus, trop de délinquants : ils font comment, les Sans-Dents, Hidalgo ?

 

Source et nombreux documents

Trudeau pleurnichait sur la gamine voilée « agressée » : elle avait tout inventé

 

Source, document et video

Marie-France Lorho : allez-vous enfin proposer aux Français un referendum sur l’immigration ?

Excellent discours, quoique très court, de Marie-France Lorho, député de la Ligue du Sud ( elle a remplacé Bompard,  maire d’Orange, quand il a été élu et a dû choisir entre la Mairie ou la députation  ).

Sa question au gouvernement :

Source et Video

Bruxelles transformée en zone étrangère, à quand le grand chambardement ?

http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/17/77-des-belges...

La dernière fois que nous sommes allées à Bruxelles c’était vers 2008 – l’ambiance nous effrayait : le nombre d’allochtones bruyants avait transformé notre Bruxelles, que nous aimions (j’y ai fait le lycée, y ai habité et travaillé).

Dans l’îlot sacré (le cœur historique de la ville) les magasins de souvenirs, qui vendent des babioles made in China (et de la dentelle de Bruxelles made dans les Philippines) étaient tenus par des Pakistanais et dans les restaurants les serveurs parlaient arabe entre eux.

10 ans ont passé… Depuis, le quartier de Molenbeek, où nous aimions nous promener au marché aux puces, est devenu, de par le monde, synonyme de catastrophe. Le problème c’est qu’en Belgique il y a 13 Molenbeek à la douzaine. La transformation de Bruxelles en zone étrangère (immigrés + institutions européennes) est un des éléments qui causent la scission de la Belgique car la Flandre ne considère plus Bruxelles comme sa capitale, mais Anvers.

Ajoutez-y la suffocation de toute la région par le trafic dans lequel on peut rester bloqué pendant de heures. Pour aller chez mes parents, en Flandre, nous évitions Bruxelles en faisant un énorme crochet par le sud : Namur – Charleroi – Dilbeek – soit nous parcourions les deux petits côtés d’un triangle rectangle au lieu de parcourir le trajet qui correspond à l’hypoténuse, c’est dire l’allongement des km, mais qui nous faisait gagner du temps et éviter les bouchons. Depuis la mort de mes parents, pour nous, Bruxelles est enterrée, elle aussi.

77% des belges sont fâchés ? Cela ne m’étonne pas, tout le monde vous le dira en privé, mais puisqu’ils ne peuvent pas le dire ouvertement, ils accumulent ce que j’appelle « la haine silencieuse ». Quand une dame d’un certain âge, tout à fait BCBG vous dit « je ne sais plus les voir, je ne sais plus les sentir, ils me font dégueuler, etc. » Quand une autre dame tout aussi normale vous dit « on a bien foutu les Allemands à la porte, on finira bien par foutre aussi ceux-là à la porte », vous vous dites que le mécontentement n’est pas une figure de style.

Si les « vieux » pensent comme ça, comment pensent les jeunes ? Jusqu’à quand cette situation peut-elle tenir ? Cela explosera-t-il en guerre civile, entrainant la scission de la Belgique, la fin de la monarchie, etc. ?

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Espagne : des affiches exhortent les musulmans à épouser les non musulmanes pour propager l’islam

Des centaines d’affiches exhortent les musulmans à épouser des non-musulmanes comme stratégie de la propagation de l’islam

15 janvier 2018 par Ezequiel Doiny |

http://conservativepapers.com/news/2018/01/15/hundreds-of...

En Espagne, on a trouvé des affiches telles que celle en photo ci-dessus pour exhorter les musulmans à épouser des non-musulmanes comme stratégie de propagation de l’islam. Cette affaire avait été révélée le 8 mars 2017 sur le site Breitbart (http://www.breitbart.com/london/2017/03/08/muslims-marry-...). Des centaines d’affiches avaient été placardées dans des quartiers de Barcelone. « Frère, entrez en partenariat avec un Espagnol, apprenez-lui que l’islam est la vraie religion. La loi islamique dicte que les fruits de cette alliance suivront l’islam, ce qui renforcera encore notre communauté », lit-on dans le corps du texte.

Un enfant est musulman si son père est musulman, indépendamment de la religion de la mère. Les musulmans sont autorisés à épouser des non-musulmanes. Par contre, les musulmanes ne sont pas autorisées à épouser des non-musulmans à moins que leur mari ne se convertisse à l’islam. Le nombre de mariages interconfessionnels en Espagne n’est pas disponible, mais en Grande Bretagne, le nombre est considérable et dépasse 21 000 par an. Au cours de la dernière décennie, la population musulmane de Grande Bretagne a doublé, faisant de l’islam la religion à la croissance la plus rapide.

Une recherche faite par le forum Pew publiée en 2013 a précisé que « les musulmans du monde entier s’accordent à dire que l’islam est la seule vraie foi qui mène au salut ». Beaucoup de musulmans disent aussi que c’est leur devoir religieux de convertir les autres à l’islam. La croyance que les musulmans sont obligés de faire du prosélytisme est particulièrement répandue en Afrique subsaharienne. Dans toute cette région, au moins les trois quarts des musulmans croient qu’il est de leur devoir religieux d’essayer de répandre l’islam auprès des non-musulmans. Une majorité de musulmans dans les pays du sud asiatique interrogés disent aussi que le fait d’essayer de convertir les autres à l’islam est un devoir religieux. Ce sens est presque universel en Afghanistan, où 96 % des musulmans croient que le prosélytisme est un devoir de leur foi. Au Pakistan, 85 % des musulmans partagent ce point de vue. Au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, une bonne majorité de musulmans dans la plupart des pays interrogés pensent que le fait d’essayer de convertir les autres est un devoir religieux, dont environ neuf sur dix en Jordanie (92 %) et en Égypte (88 %). (http://www.pewforum.org/2013/04/30/the-worlds-muslims-rel...)

Au printemps 2009, Uriya Shavit et Frederic Wiesenbach ont écrit dans la publication trimestrielle Middle East Quarterly que «… les érudits musulmans ont appelé les musulmans immigrés à s’impliquer dans la conversion des non-musulmans à leur foi ». En effet, l’appel au prosélytisme des immigrés musulmans est devenu central dans les écrits islamiques contemporains. En Occident, la liberté de religion permet aux personnes de toutes confessions de convaincre les autres que la leur est la seule et unique vérité ; par contre, dans certaines sociétés musulmanes, les non-musulmans sont poursuivis et la promotion des autres religions est une infraction punissable. Les données exactes sur le nombre de convertis à l’islam en Occident sont incomplètes car les conversions ne sont pas forcément enregistrées. Tandis que les données ne suggèrent pas une vague massive de nouveaux croyants, cette vague fait tout de même preuve d’une certaine importance. Ainsi, en Allemagne, les statisticiens estiment que plusieurs milliers de chrétiens se convertissent à l’islam chaque année. En Espagne, le nombre de convertis a atteint environ 20 000 en 2006, et au Royaume-Uni  peut-être 14 000 ont été convertis en 2006. Aux États-Unis, de 20 000 à 25 000 personnes par an se convertissent à l’islam.

De nombreux érudits sunnites exhortent leurs coreligionnaires en Occident à diffuser activement la parole de Dieu. L’appel à la conversion, qui a augmenté avec le nombre d’immigrants musulmans permanents en Europe, fait partie d’un cadre plus large d’identité et de devoirs diffusés par les savants religieux sunnites dans le monde arabe depuis les années 1970. Les érudits islamiques ont constaté que bannir ou ignorer la migration massive des musulmans ne ferait que s’aliéner les immigrants. Au lieu de cela, ils se sont concentrés sur le renforcement de l’identité musulmane des immigrés tout en les utilisant au service de l’islam. Ils ont appelé les immigrants musulmans à se considérer comme faisant partie d’une nation musulmane mondiale, à légitimer leur présence sur les terres non musulmanes en agissant comme des musulmans idéaux, à construire des institutions musulmanes telles que des mosquées et des organisations caritatives, à servir les intérêts politiques des musulmans dans le monde entier et à faire du prosélytisme.

Hamdi Hassan, professeur d’études médiatiques à l’Université al-Azhar du Caire, a écrit que la présence musulmane en Europe était un exemple de prosélytisme musulman passant du mode défensif, qui l’a caractérisé au cours des XVIIIème et XIXème siècles, à un nouveau mode d’expansion. Dans des écrits saoudiens, ces notions de prosélytisme prennent un ton militant et conflictuel. Une source de ces écrits est le savant saoudien Safr al-Hawali, qui a invoqué la nécessité de conquérir l’Occident par la da’wa (Définition de Wikipédia : « inviter les non musulmans à écouter le message de l’islam »), en utilisant des termes sans équivoque dans leur combativité : « Et si on demandait : pourquoi ne devrions-nous pas envahir la Corée et le Japon, puisque les musulmans ont des ressources humaines pour la da’wa ? Ce à quoi quelqu’un devrait répondre : non, nous devrions diriger les ressources humaines pour la da’wa vers l’Europe et l’Amérique. Qui a raison ? Celui qui cite l’Occident ; pourquoi ? Parce que l’Occident est l’ennemi que nous devons pénétrer en profondeur. C’est l’ennemi qui va nous attaquer et qui est plus dangereux pour nous »… « Le droit de toute personne à faire du prosélytisme, ou le droit de toute personne de se convertir à une religion de son choix, est un principe fondamental des sociétés libérales occidentales. Le contexte unique des efforts de conversion faits par certains musulmans ne doit pas être ignoré : ils n’envisagent pas deux civilisations vivant en harmonie, mais une seule, l’islam, finissant par dominer le monde ». (http://www.meforum.org/2104/muslim-strategies-to-convert-...)

Note de l’auteur, Ezequiel Doiny : « Le but de cet article est d’avertir et de protéger les femmes non-musulmanes contre la pratique de certains musulmans qui ciblent les femmes non-musulmanes non par amour ou pour un plaisir romanesque, mais en tant que stratégie pour répandre l’islam ».

(Voici un commentaire écrit par Jan Sobieski III à la suite de cet article : « Ceci est le cheval de Troie de l’Europe. Les gauchistes sont trop aveugles et politiquement corrects pour le voir. Nous ne pouvons qu’espérer qu’ils sortent leur tête du sable avant qu’elle ne soit tranchée par les islamistes ».

Traduit pour Résistance républicaine par Jack

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Pour Dieudonné, le cerveau des attentats du 13 novembre 2015 est une victime

« Le cerveau des attentats du 13 novembre 2015 est une victime. » Ne quittez pas cette page, quelle que soit la réaction que vous inspirent ces propos, ils ne sont pas de l’auteur de ces lignes mais de l’incomparable Dieudonné. « L’humoriste » a beau être adulé par une bande de déficients du QI, ses propos ne sont pas drôles du tout. Il souhaite rencontrer Salah Abdeslam et lui a écrit une lettre dont le contenu fait frémir.

« Nous ne voulons pas parler des actes qui vous sont reprochés. Ce qui nous intéresse est de comprendre votre état d’esprit et les raisons qui vous ont poussé à agir. La violence est un mode d’expression qui surgit quand tous les autres ont échoué : l’attentat a pour but d’envoyer un message fort qu’on ne peut transmettre autrement. C’est en tout cas comme ça que nous le comprenons. En discutant avec vous, nous espérons mieux comprendre la profonde révolte qui vous habite et à laquelle la société reste sourde.
J’ai moi-même été condamné pour apologie d’acte de terrorisme, au moment de ce qu’il est convenu d’appeler les attentats de Charlie Hebdo, pour ne pas m’être senti assez Charlie : on m’a reproché d’avoir écrit sur Internet : “Ce soir, en ce qui me concerne, je me sens Charlie Coulibaly.” »

​‌”Salah Abdeslam est accusé d’actes de terrorisme qui ont provoqué 130 morts et des centaines de blessés, au nom de l’islam. Le propos de Dieudonné peut être retourné, manipulé dans tous les sens : il s’agit bien d’une évidente marque de sympathie envers un individu qui n’en mérite aucune, un criminel, un assassin, qui ne regrette rien, ne renie rien et ne dit rien.

Les avocats de Dieudonné tentent de relativiser. Selon eux, il s’agit d’une « volonté de comprendre le moteur qui a conduit à ces actes ». Laissons cela aux psychiatres. En réalité, ne serait-ce pas plutôt l’antisémitisme obsessionnel de Dieudonné qui le rapproche d’un terroriste musulman dont l’amour pour les juifs doit être assez modéré ? Chacun se souvient des propos tenus par ce triste bouffon, sur lesquels monsieur Valls s’était rué pour faire interdire son spectacle, lui assurant ainsi une vaste publicité. Pour le plus grand bonheur des racailles de banlieue pour qui balancer du feuj est un des sports favoris.

 « Nous ne voulons pas parler des actes qui vous sont reprochés. » N’est-ce pas quand même l’essentiel ? « L’attentat a pour but d’envoyer un message fort qu’on ne peut transmettre autrement. » Si les mots ont un sens, ils constituent une apologie. Nulle condamnation, nul recul, nulle dénonciation d’une abomination. Dieudonné « comprend » les mobiles du crime, qu’il ne condamne pas. À ce compte, on peut raisonner de la même manière à l’égard de tous les criminels de masse dont les tueries ont ensanglanté le XXe siècle. Certains ne s’en sont pas privés. Les apologistes de l’horreur communiste, bien sûr. Mais aussi les négationnistes que la loi Gayssot voue à l’emprisonnement.

Cette loi de répression est liberticide et doit être abrogée. Et Dieudonné doit bénéficier de la liberté d’exprimer ce qu’il pense, sans condamnation a priori et encore moins automatique. Mais cette liberté n’est pas absolue et implique une responsabilité : lorsqu’elle est utilisée de telle manière qu’elle aboutit à justifier des horreurs, il n’est pas illégitime que la société poursuive leurs auteurs, tout simplement pour atteinte à la dignité humaine.

Les propos de Dieudonné sont simplement abjects. Le juge d’instruction a rejeté sa demande de communiquer avec le terroriste. Comme le note Marianne avec acidité, il pourra se consoler en rencontrant son ami Carlos. On a les fréquentations qu’on mérite…

François Teutsch

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Le djihadisme, ce n’est pas à la carte : on prend tout le menu ou rien !

« Il est honteux d’être sans honte », disait saint Augustin. Il semblerait que la honte n’éclabousse pas tous les rivages théologiques.

Après une plainte pour « meurtre avec circonstances aggravantes » déposée par le père de Mohammed Merah en 2012, suite à l’exécution – inévitable, compte tenu des circonstances – de son fils à Toulouse, voici que « des avocats de femmes et d’enfants de djihadistes français récemment capturés par les forces kurdes en Syrie ont annoncé […] déposer plainte contre les autorités françaises pour “détention arbitraire” et “abus d’autorité” » (Le Figaro).

Cette initiative pour le moins obscène est ainsi justifiée par les avocats dans un communiqué : « Le Kurdistan syrien n’ayant aucune existence légale et ne disposant par là même d’aucune institution souveraine, ces femmes et ces enfants sont tous détenus sans droit ni titre. »

On passera sur les crimes – très vraisemblablement – commis par ces ressortissants sur place, qui n’ont de français que les papiers puisqu’ils abhorrent désormais tout ce que représente viscéralement la France, pour s’interroger sur la recevabilité d’une telle démarche.

Le Kurdistan syrien n’est, en effet, pas reconnu par les instances internationales, mais ce territoire se situe dans un pays souverain, à savoir la Syrie, dont le président, Bachar el-Assad, est toujours en fonction. C’est donc à la justice syrienne qu’il reviendrait de juger les actes perpétrés sur son sol par des étrangers au service d’une armée d’invasion – à savoir Daech.

 Quant aux Kurdes, ils ont la légitimité de leurs sacrifices au combat et, très franchement, s’ils décidaient d’exécuter leurs impitoyables ennemis – même s’ils viennent de chez nous –, je m’en remettrais. Le gouvernement français a pour le moment tranché – mais les avis changent, pas toujours pour le meilleur – en déclarant « que les djihadistes devaient être jugés par “les autorités locales” » (Le Monde).

On ne peut vouloir le beurre et l’argent du beurre. Autrement dit, on ne saurait mettre un pays à feu et à sang et, lorsque ça tourne au vinaigre, exiger de rentrer au bercail, là où la justice est plus douce. Car, parmi les djihadistes attrapés dans les filets kurdes, il y a de gros poissons, dont « Thomas Barnouin, originaire d’Albi et proche de la nébuleuse djihadiste du Sud-Ouest, ou Émilie König, une Bretonne devenue la première femme djihadiste inscrite sur la liste noire des terroristes internationaux établie par les autorités américaines » (20 Minutes).

Il serait temps de mettre un terme à cette mascarade, qui envoie par ailleurs un signal déplorable aux viviers de l’intégrisme islamique essaimant sur notre sol. Faut-il rappeler que les djihadistes ne sont pas des braqueurs de banques ? Il y a peu de chances qu’ils se rangent des affaires. Leur rapatriement mettrait encore plus en danger les citoyens français, qui ont déjà eu leur dose.

Enfin, le djihadisme, ce n’est pas à la carte : on prend tout le menu ou rien !

Charles Demassieux

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La Hongrie entend taxer les ONG accusées de faciliter l’immigration

Le gouvernement hongrois souhaite taxer à 25% les financements étrangers des ONG de défense des droits civiques dans le pays qu’il accuse d’aider les . En ligne de mire : les organisations subventionnées par le milliardaire .

La Hongrie a détaillé le 18 janvier un projet de loi prévoyant l’instauration d’une taxe spéciale pour les ONG accusées par Budapest de faciliter l’immigration, une mesure visant des organisations financées par le milliardaire américano-hongrois George Soros, bête noire du Premier ministre conservateur .

Les ONG concernées feront l’objet «d’une taxe de 25% sur leurs financements étrangers, dont le produit sera affecté à la défense des frontières», a déclaré à la presse le directeur de cabinet de , Janos Lazar.

Le projet de loi, qui doit être soumis au Parlement en février, prévoit également des interdictions de territoire pour les ressortissants étrangers soupçonnés de favoriser l’entrée en Hongrie de demandeurs d’asile.

Des barbelés aux frontières serbe et croate pour contrer l’immigration illégale

Farouchement opposées à toute immigration illégale, les autorités hongroises ont fait ériger en 2015 une clôture barbelée aux frontières serbe et croate de la Hongrie et mènent depuis plusieurs mois une campagne contre , que Budapest accuse de vouloir favoriser une «immigration de masse» vers l’.

Le milliardaire américain d’origine hongroise, qui finance plusieurs ONG dans le pays, a réfuté ces allégations, les qualifiant de «mensongères» et à tonalité «antisémite». Pour autant, sa fondation Open Society ne fait pas mystère de son intense travail de lobbying pour faire avancer ses idéaux auprès des eurodéputés, dont elle a répertorié ses «alliés fiables» dans un document. lui-même, en outre, fustige le «nationalisme» qui serait devenu «l’idéologie dominante» dans le monde.

Le 18 janvier, le porte-parole du gouvernement hongrois, Zoltan Kovacs, a une nouvelle fois accusé George Soros de soutenir «des groupe d’aide aux , déguisés en organisations de défense des droits de l’Homme».

Dans une précédente mesure visant le milliardaire, la Hongrie avait adopté en juin une loi obligeant les ONG recevant plus de 24 000 euros de financements étrangers par an à se soumettre à un enregistrement spécifique, ce qui avait provoqué l’ouverture par Bruxelles d’une procédure d’infraction.

1 291 réfugiés accueillis malgré tout en Hongrie

La nouvelle offensive contre George Soros intervient alors que , qui briguera un troisième mandat d’affilée lors d’élections législatives en avril, est chahuté par son opposition après la publication de statistiques selon lesquelles la Hongrie a accueilli 1 291 réfugiés en 2017, en contradiction apparente avec la affichée par le gouvernement.

Le gouvernement hongrois a toutefois assuré s’être simplement plié à ses obligations internationales en matière d’asile, et n’avoir jamais tenu de chiffre secret.

La Commission européenne a renvoyé en décembre trois pays, dont la Hongrie, devant la justice européenne pour avoir refusé les quotas européens d’accueil de réfugiés. La Hongrie a souligné vouloir pouvoir décider par elle-même des personnes qu’elle accueille

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Autriche: une «unité de protection des frontières»

Migrants L'Autriche lance une unité qui pourra intervenir pour «sécuriser un passage frontalier et mener des contrôles d'identité».

Le nouveau ministre de l'Intérieur autrichien (FPÖ, extrême droite), Herbert Kickl, a annoncé jeudi la création d'une «unité de protection des frontières». Il veut faire face à un afflux de migrants similaire à celui de 2015.

«Il n'est pas question de permettre une répétition de 2015. J'ai donc donné des instructions pour la création d'une 'unité de protection des frontières'», affirme Herbert Kickl, 49 ans, dans un entretien au quotidien Tiroler Tageszeitung.

 
«L'objectif est d'assurer une gestion ordonnée des frontières en quelques heures», précise l'ancienne plume de Jörg Haider, chef historique du Parti de la liberté d'Autriche (FPÖ) mort en 2008.

Cette unité pourra être mobilisée pour «sécuriser un passage frontalier et mener des contrôles d'identité. Se contenter de laisser passer les gens ne se reproduira pas», promet-il.

Nombre record de demandes d'asile

Des centaines de milliers de personnes sont passées par l'Autriche en cherchant à se rendre en Allemagne ou ailleurs en Europe lors de la crise des migrants en 2015. Cette année-là, l'Autriche a enregistré un nombre record de demandes d'asile.

Entré en fonctions mi-décembre, le gouvernement du chancelier conservateur Sebastian Kurz comporte six portefeuilles FPÖ, dont les ministères régaliens de l'Intérieur, de la Défense et des Affaires étrangères.

La semaine passée, Herbert Kickl avait proposé de cantonner les demandeurs d'asile de façon «concentrée» dans des centres dédiés. L'utilisation de ce terme interprété comme faisant écho aux camps de concentration nazis avait déclenché un tollé.

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L'OLRA, une toute nouvelle association qui veut s'attaquer au racisme anti-blanc

Nouvellement créée, l'Organisation de lutte contre le racisme anti-blanc veut «faire reconnaître [le racisme anti-blanc] en lui donnant une tribune et une visibilité». Un racisme qui est «un problème d’envergure nationale», pour l'association.

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