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lundi, 28 juillet 2008

GRANDE REUNION EUROPEENNE A COLOGNE CONTRE L'ISLAMISATION...

Robert Spieler, membre de la direction nationale de la Nouvelle droite populaire, prendra la parole à Cologne le 20 septembre prochain :

images.jpgA l'initiative de l'association PRO-KÖLN, qui se bat contre l'érection d'une gigantesque mosquée à Cologne, en Allemagne, une grande réunion  publique rassemblant ceux qui se battent en Europe pour la préservation de leur terre et la défense de leur identité, se tiendra, à Cologne, samedi 20 septembre. La lettre d'invitation qui m'a été adressée évoque, et je m'en félicite "la nécessaire lutte contre l'invasion et l'islamisation de NOTRE PATRIE EUROPEENNE". Trop longtemps, les mouvements identitaires allemands se sont cantonnés dans un nationalisme daté. J'ai rencontré à Anvers les dirigeants, dont Markus Beisicht, du mouvement Pro-Köln. Ils sont remarquables.

Invité pour représenter les forces identitaires alsaciennes et françaises aux côtés du député allemand Henry Nitzsche, du président du FPÖ autrichien Strache, de Jean-Marie Le Pen (NDLR : celui-ci aurait, selon certaines sources proches duFN renonçé à participer à cette réunion européenne) , et de mes amis, le député européen autrichien Mölzer, Filip Dewinter, porte-parole du Vlaams Belang, et du député européen de la Ligue du Nord, Mario Borghezio, je prendrai la parole pour désigner les responsables de la submersion de l'Europe et appellerai à la résistance.

La veille de la réunion publique, les responsables politiques européens présents signeront une résolution commune, destinée à fixer les objectifs de notre combat.

Plusieurs amis m'ont exprimé leur souhait d'être présents. Voilà quelques informations que je compléterai : La réunion publique se tiendra Roncalliplatz, à proximité de la cathédrale de Köln. A 14 h, samedi 20 septembre.

Robert Spieler

dimanche, 15 juin 2008

REVUE DE PRESSE : Le Conseil Français du Culte Musulman est tout sauf français et, sans paradoxe, c’est heureux !

Outre le fait qu’il n’y a guère de culte dans l’islam sunnite, les dernières élections pour désigner les élus au Conseil d’Administration du Conseil Français du Culte Musulman montrent une nouvelle fois, s’il en était besoin, combien l’islam en France est surtout rattaché aux pays d’origine de ses pratiquants.

 

Ces élections amènent d’abord les constatations suivantes :

 

- La Fédération Nationale de la Grande Mosquée de Paris, sous contrôle algérien, celle que préside le docteur algérien Dalil Boubakeur si cher à Jacques Chirac et à Nicolas Sarkozy, avait décidé de boycotter les élections. Le docteur Boubakeur, en fait, n’arrivait pas du tout à contrôler l’institution.

 

- La liste qui remporte le plus de voix (43 %), est celle du Rassemblement des Musulmans de France (RMF) qui est en fait le rassemblement des musulmans marocains en France.

 

- Vient après elle (30 %), la liste de l’Union des Organisations Islamiques de France (UOIF) qui n’est autre que la représentation du mouvement islamiste révolutionnaire, d’origine égyptienne, des Frères Musulmans, ce que la plupart des médias ont soigneusement occulté.

 

- Vient ensuite notamment le Comité de Coordination des Musulmans Turcs de France (13 %) qui a du moins le mérite d’afficher son appartenance.

 

 

Seuls les esprits légers pourraient être chagrinés par le fait qu’à l’évidence il n’y a pas encore « d’islam français ». L’islam en France est ainsi majoritairement raccordé soit à différents pays appartenant à l’oumma islamique, soit à une internationale des Frères Musulmans. Un Etat français soucieux de préserver l’unité de notre peuple devrait à l’évidence encourager le retour de ces ressortissants, évidemment d’appartenance étrangère, même s’ils ont administrativement acquis la nationalité française.

 

Il resterait bien sûr alors à assurer les principes de la préférence nationale et bien sûr du respect de la liberté religieuse à tous les musulmans qui sont issus des familles de ceux qui ont combattu pour la France et choisi le patriotisme français.Car le refus de l’islam en tant que société totalitaire ne s’accompagne évidemment pas du refus de reconnaître la dignité personnelle des musulmans, ni leur droit à la prière, ni celle de pratiquer leurs exigences alimentaires.

 

Pour ce qui est du mariage, la polygamie n’est pas un impératif de l’islam, elle est interdite en Turquie comme en Tunisie. Mais le respect des droits des musulmans ne s’accompagne évidemment pas de conformer à leurs exigences l’ensemble de la population française chrétienne ou autre !

 

 

Bernard Antony

lundi, 09 juin 2008

DIAPORAMA A VOIR, REVOIR ET FAIRE VOIR...

Remarquable réalisation...

Revue de presse : Les dernières élections au CFCM sur fond de règlement de comptes entre Algériens et Marocains

20070810fraterniteinside.jpgLes Marocains du Rassemblement des Musulmans de France (RMF) ont raflé la mise dimanche au conseil d’administration du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), obtenant 43,2 % des votes. Les gros médias francaoui se sont félicités de la participation massive à ces élections (81 %). Précisons que seuls 4.862 délégués pouvaient prendre part au vote, chacune des 1.039 mosquées concernées ayant préalablement désigné un nombre de délégués proportionnel… à sa surface ! Et bien entendu en dehors de tout contrôle démocratique. Petite visite au pays d’Ubu à babouches…

« L’islam au mètre-carré » privilégie les mosquées ouvertes ces dernières années, notamment en banlieue, nombreuses et plus spacieuses. Or ce sont plutôt les Marocains qui ont construit ces mosquées. Selon le ministère de l’Intérieur, ces derniers gèrent environ 40 % des lieux de culte en France alors que les Algériens, bien que plus nombreux, ne « pèsent » que 15 % des surfaces cultuelles.

Le RMF devance l’Union des organisations islamiques de France (UOIF, soutenue et financée entre autre par l’Arabie saoudite et la mouvance islamiste dure, dans laquelle les Marocains sont également majoritaires), qui a obtenu 30,2 % des votes, suivie par le Comité de coordination des musulmans turcs de France (CCMTF),12,7 %, une liste “divers”, 12,5 %, et enfin la Fédération nationale des musulmans de France (FNMF), 1,4 %. Cette dernière, d’obédience marocaine comme le RMF, était la composante la plus importante du précédent conseil d’administration du CFCM. Eclaboussée en 2006 par le scandale des vrais-faux certificats halal révélé par le journal Le Soir d’Algérie, elle avait perdu toute crédibilité.

La Fédération nationale de la Grande mosquée de Paris (FNGMP), présidée par Dalil Boubakeur, soutenue par l’Algérie, s’était retirée d’un jeu qu’elle estimait truqué. Présentant le 22 avril dernier sa démission du comité chargé de veiller à la régularité des élections – comité qu’il a qualifié de « machin » - M. Abdallah Zekri, représentant de la FNGMP, a précisé qu’il ne pouvait « en aucun cas cautionner la fraude pratiquée à grande échelle et les manipulations de certains responsables de Fédérations avec la complicité de leurs membres [qui surévaluent] les surfaces des lieux de culte qui leur sont favorables »

Parlant de « mascarade » et de « mafia de l’islam », M. Zekri a ajouté qu’il entendait « laisser nos frères marocains gérer seuls ces instances et […] régler leurs comptes pour le pouvoir ». Bonjour la fraternité dans l’Oumma…

Depuis la création du CFCM en 2003, le pouvoir avait imposé le « modéré » Boubakeur à la présidence, en dépit du fait que la FNGMP n’a jamais remporté les élections. Trois candidats sont en lice pour prendre les rennes du CFCM après les élections de dimanche : les Marocains Mohamed Moussaoui (RMF) et Fouad Alaoui (UOIF), et le Turc Haydar Demiryurek (CCMTF).

Plus de 75 % de barbus intégristes au CFCM ! C’est Sarko, l’immortel inventeur du « machin », qui doit être content. Chassez le réel…

Henri Dubost pour Novopress France