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vendredi, 30 mai 2008

S'engager dans l'action politique pour combattre l'islamisation de la France...

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samedi, 24 mai 2008

Affaire L'Oréal : l'AGRIF intente un procès à Jean-Paul Agon...

772533361.2.jpgLe jeudi 15 mai dernier marque une étape importante dans le combat de l’AGRIF pour faire respecter notre identité française et chrétienne. Devant la XVIIème chambre correctionnelle se tenait l’audience du procès intenté par l’AGRIF à Jean-Paul Agon, directeur général de L'Oréal pour ses propos concernant les méthodes de recrutement de son groupe. « Un candidat qui a un prénom d’origine étrangère, il a plus de chance d’être recruté que celui qui porte un prénom français de souche », ce sont les propos de M. Agon poursuivit par l’AGRIF.

 

Ils ne font que dire tout haut ce que le système est train de mettre en place en douce dans le dos des Français, sous le couvert de bons sentiments tantôt évoqués sous le terme de diversité ou celui d'égalité des chances.

 

Ces propos qualifiés de « maladresse » par Me Veil, l’avocat de M. Agon, ont rapidement retrouvé tout leur sens par la plaidoirie de Me François Wagner. L’avocat de l’AGRIF n’a eu aucune peine à démontrer que le délit de provocation ou d’incitation à la discrimination défini par le code pénal était clairement établi et qu’il était difficile de s’en tenir à la « maladresse » alors que M. Agon avait lui même affirmé que cette politique relevait d’un « volontarisme », tout en assumant le concept de discrimination positive. Seul hic : le code pénal ne connaît qu’une forme de discrimination qui ne peut jamais être positive et qui constitue toujours un délit.

 

Le système a donc été mis devant ses contradictions à tel point que le Procureur a dû voler au secours de Me Veil en affirmant que les « calmes » propos de M. Agon ne relevait pas de la provocation à la discrimination au sens pénal du terme. Il ne reste donc plus qu’à dissoudre la Halde du bon docteur Schweitzer…

 

Autant dire que nous attendons avec impatience le jugement qui sera rendu le 16 juin prochain.

 

D’ici là, continuez de soutenir l’AGRIF en adhérant, en ré-adhérant pour faire entendre notre voix partout où cela est nécessaire.

 

Yann Baly

Source : le blog de Bernard Antony 

NDLR : Cette affaire avait fait l'objet d'un article dans le numéro 5 (automne 2007) de la revue Synthèse nationale. Nous vous proposons de lire, ou relire, cet article. Rappelons aussi que les propos de Jean-Paul Agon avaient entrainé une vive réaction militante du Bloc identitaire.

Article paru dans Synthèse nationale

mercredi, 14 mai 2008

Revue de presse : Michel Godet (*), l'immigration dévoilée...

Source : Bivouac ID 

 

863586245.jpgFaute d’intervenir vigoureusement sur les jeunes issus de l'immigration, le surcroît de naissances d’aujourd’hui apportera plus de problèmes que de solutions, prévient Michel Godet, professeur au Cnam, membre du Conseil d’analyse économique.


(...) D’après l’OCDE, les deux tiers des immigrés arrivant en France ont un niveau d’éducation inférieur au premier cycle des collèges, contre 30% seulement pour la Grande-Bretagne et 22% pour les Etats-Unis. En attendant, force est de constater que nous subissons une immigration trop centrée sur l’Afrique et le regroupement familial, et peu ciblée sur le travail : en 2005, il n’y a eu que 11 500 cartes de séjours délivrées au titre de l’emploi, soit 7% des flux.

 

La France va, comme ses voisins, manquer de bras et de cerveaux. Elle se réjouit pourtant d’avoir la meilleure fécondité d’Europe, mais cette médaille a son revers, comme le montre bien le rapport annuel sur l'immigration et la présence étrangère en France en 2006 de la Direction des populations et migrations. Hélas, ce rapport, que devait diffuser la Documentation française (il a été imprimé et retiré de la vente), sera sans doute mis au pilon.

 

En effet, les chiffres de ce rapport sont différenciés en fonction des origines ethniques des Français, ce qui est maintenant prohibé par le Conseil constitutionnel ! Va-t-on demander de retirer des bibliothèques les rapports des années précédentes, tout aussi répréhensibles ? On apprend ainsi dans les éditions précédentes de ce rapport que le taux de chômage des Maghrébins et des Africains du sud du Sahara est trois fois plus élevé que celui des Français, alors que celui des Chinois est équivalent.

 

Comment traiter un problème que l’on refuse de plus en plus de voir et de mesurer ? Il reste que les Français par acquisition méritent une attention particulière. Le taux de chômage des ressortissants du Maghreb ayant suivi des études supérieures (24%) est quatre fois plus élevé que pour l’ensemble des actifs du même niveau (6%) !

 

On apprend encore dans ce rapport, qui s’appuie sur les données OCDE de migrations internationales, que les jeunes issus de l'immigration  représentent aujourd’hui en France 25% de la tranche des 20-29 ans, dont un tiers nés en France d’un parent étranger, un autre tiers de deuxième génération (parents immigrés devenus Français) et un troisième tiers nés à l’étranger. Cette proportion devrait dépasser les 30% dans le futur en raison des statistiques de fécondité qui contredisent le discours officiel et lénifiant de l’Ined.

 

En effet, en 2006, sur 807 000 naissances, 152 000, soit 19% des naissances en France, étaient d’au moins un parent étranger, contre 120 000 en 2000, soit 13% des naissances de l’époque. On ne sait toujours pas officiellement combien d’enfants nés en France sont issus de l'immigration (seules des estimations circulent sous le manteau, avec les relevés officieux de prénoms dans les écoles de certaines académies).

 

La peur de savoir et l’idéologie sont là pour masquer la réalité : il y a, on le sait, 5 millions d’immigrés en France, dont 2 millions sont devenus Français par acquisition (1 million depuis 2000) et 3 millions qui sont des étrangers nés à l’étranger. L’illusion mensongère est entretenue sur l’intégration en marche, mesurée par les mariages mixtes (18% des mariages avec au moins un étranger) alors que, le plus souvent, il s’agit de deux immigrés dont l’un est devenu Français par acquisition.

 

Au vu des chiffres précédents, on peut avancer qu‘au moins 25% des naissances de 2006 étaient issues de deux parents immigrés. Sans cet apport, l’indicateur de fécondité aurait été en 2006 plus proche de 1,7 que de 2 !

 

La population des immigrés en Ile-de-France représente plus de 20% de la population totale et au moins 40% des naissances. *

 

Dans certaines écoles de Seine-Saint-Denis, la proportion d’enfants d’origine immigrée dépasse les 80 à 90%. Comment progresser en français, là où personne ne le parle correctement ?

 

Ne nous voilons pas la face ; faute d’intervenir vigoureusement sur la mixité scolaire et l’éducation des jeunes issus de l'immigration, le surcroît de naissances d’aujourd’hui apportera plus de problèmes que de solutions : les étrangers représentent le quart des chômeurs d’Ile-de-France pour 8% de la population.

 

Par contraste, les Portugais représentent près de 20% de la population active étrangère et ont un taux de chômage presque deux fois plus faible que celui des Français. Dommage que tous les Français ne soient pas d’origine portugaise !

 

Donnons une idée, pour l'immigration choisie, il n’y a plus de Portugais mais tous les Brésiliens que l’on veut. Les Latino-américains considèrent l’Europe comme leur deuxième patrie, leur expansion démographique est vigoureuse, accueillons-les à bras ouverts comme le fait l’Espagne. Il n’y aura même pas d’église à construire, puisque les nôtres sont à moitié vides !

 

Michel Godet (*)

 

(*) Michel Godet est professeur au Cnam, membre du Conseil d’analyse économique, auteur du “Courage du bon sens : pour construire l’avenir autrement”, Editions Odile Jacob (nouvelle édition 2008) Source : La Tribune

jeudi, 08 mai 2008

A la pointe du combat contre l'islamisation : la revue Synthèse nationale...

1503192860.jpgAu sommaire de ce nouveau numéro (n°8 - mai/juin 2008) de Synthèse nationale, la revue politique et culturelle nationale et identitaire :

- la situation actuelle de la droite nationale et sur la création de la Nouvelle Droite Populaire... (Robert Spieler, Jean-François Touzé, Bruno Mégret)

- l'écologie et la surpopulation... (Jean-Philippe Wagner, Francis Verdavoine-Bourget)

- Mai 1968 (Chantal Spieler, Patrick Gofman, Patrick Parment, Philippe Randa)

- les rubriques consacrées à l'actualité (Arnaud Raffard de Brienne, Pieter Kerstens, Jean-Claude Rolinat) ou à l'histoire (Lionel Baland, Pierre Descaves)

Et bien d'autres sujets traités...

124 pages, 12,00 € (Abonnement : 50,00 € - Bulletin d'abonnement)

Disponible à la Librairie Primatice, 10 rue Primatice Paris XIIIème (métro : Place d'Italie).

lundi, 05 mai 2008

Fondation des œuvres de l’Islam : bientôt aux mains de l’islam radical ?

Altermedia


1589600692.jpgLa Fondation des œuvres de l’islam de France officiellement installée le 14 octobre dernier par, le ministre de l’intérieur, Michèle Alliot-Marie, est, avec le CFCM, l’autre volet du dispositif sarkozyste en faveur de l’implantation de l’islam en France.

En violation parfaite avec la loi de séparation des église et de l’Etat qui interdit à l’Etat de s’impliquer dans l’organisation des religions, cet organisme, reconnu d’« utilité publique », a pour directeur général un fonctionnaire du Ministère de l’Intérieur.

Aujourd’hui aux mains de Dalil Boubakeur (président en perdition du CFCM), la présidence tournante de la Fondation reviendra dans deux ans à la Fondation au vice-président de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), Fouad Alaoui c’est-à-dire aux Frères Musulmans.

En “parrainant” la Fondation, le ministère de l’intérieur ne cache pas son projet de parvenir à un maillage organisé du territoire concernant les constructions de mosquées. “Je souhaite que soit élaboré un schéma directeur des implantations en étroite concertation avec les élus et notamment les maires, légitimement attentifs à ces questions”, avait  insisté Mme Alliot-Marie lors de mise en place de cette structure.

Selon les statistiques officielles, un lieu de culte musulman s’ouvre chaque semaine sur le territoire sans compter les initiatives non recensées.

L’éviction progressive du docile Dalil Boubakeur au profit d’organisations musulmanes extrémistes constitue pour le gouvernement sarkozyste un cuisant échec. En effet, contrairement l’évolution annoncée par le gouvernement, ce sont, à terme, toutes les places fortes de la représentation du culte musulman qui sont ou seront récupérées par les radicaux.

Pour la France et les Français, le montage de cette Fondation, bras financiers de l’islamisation, ou de sa branche politico-religieuse, le CFCM, par des politiciens irresponsables conduit au pire.