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dimanche, 17 avril 2016

Marine Le Pen: "chaque pays devrait décider s'il veut rester ou non dans l'Union européenne"

La Grande-Bretagne va décider ou non de rester dans l’Union européenne, la dirigeante du parti d’extrême droite Front National demande la même chose pour tous les pays.

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Marine Le Pen, la dirigeante du parti d’extrême droite français Front National, a plaidé samedi pour que chaque pays puisse, comme la Grande-Bretagne, décider s’il veut ou non rester dans l’Union européenne, lors d’une conférence à Sinaia (centre de la Roumanie).

« Les Britanniques voteront dans deux mois, c’est un moment clef de l’histoire européenne », a déclaré Marine Le Pen en référence au référendum sur un « Brexit », qui décidera de l’avenir européen de la Grande-Bretagne.

« J’espère que les Français auront eux aussi sans trop attendre une occasion semblable. Je souhaite que chaque peuple puisse s’exprimer sur le sujet », a-t-elle ajouté.

Marine Le Pen intervenait dans le cadre d’une conférence-débat organisée par Laurentiu Rebega, vice-président roumain du groupe d’extrême-droite au Parlement européen « Europe des nations et des libertés ». D’autres représentants de mouvements d’extrême droite européens, notamment de la Ligue du nord italienne ou du FPÖ autrichien, étaient également invités à Sinaia, ville touristique des Carpates.

« Aucune crise n’est résolue » par l’UE, a-t-elle martelé, évoquant les migrants ou encore l’économie. Pour elle, « il faut un autre modèle de coopération entre les peuples, il faut respecter leur histoire, leur souveraineté, leur liberté ».

Source : Lacapitale.be

L’immigration massive et l’état d’esprit anti-blanc

Une vidéo extrêmement pertinente, à voir et à diffuser, tout particulièrement auprès des personnes qui n’ont pas encore pris conscience de la situation réelle mais qui peuvent encore être informées et changer d’opinion :

Cette vidéo aborde avec talent des points essentiels :

  • L’existence objective d’un génocide de la race blanche, et la nature fondamentalement anti-blanche du « multiculturalisme », de la « diversité », etc.
  • L’état d’esprit anti-blanc qui domine aujourd’hui, et ses innombrables contradictions. Cet état d’esprit est moins celui de nos ennemis raciaux que celui de blancs au cerveau lavé par la propagande et qui finissent par haïr les leurs.

En règle générale, ces blancs ne sont pas conscients des contradictions de leur pensée car ils ne sont jamais confrontés à la présentation de ces aspects contradictoires. Aussi, les forcer à y faire face est un bon moyen pour les inciter à remettre en cause leurs croyances, dans un premier pas vers un passage au nationalisme.

Le champ de bataille avec nos ennemis se trouve d’abord et avant tout dans l’esprit de tout ces blancs confus. Tout ce qui pousse les Blancs à accepter la propagande anti-blanche et à ne pas résister face à nos ennemis doit être combattu avec détermination, sans relâche.

Cette vidéo n’aborde pas (((l’une des principales causes du problème))), mais cela la rend sans doute aussi plus accessible : il est difficile d’assimiler trop de vérités choc d’un coup, et dès lors qu’une personne aura admis qu’on lui a menti tout du long de sa vie pour lui faire accepter la destruction de sa propre race, elle finira naturellement par se demander « pourquoi ». Pourquoi cela se passe-t-il donc ? Pourquoi donc les élites cherchent-elles la destruction de la race blanche ? Et nous pourrons alors leur répondre.

N’oubliez pas : diffusez, diffusez, diffusez. Les individus faisant chacun leur devoir constituent ensemble une puissante force collective qui finit par changer les choses.

Source : Blanche Europe

La Pologne, contre l’immigration, joue la politique familiale

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La Pologne fait le choix de la politique familiale plutôt que l’immigration de remplacement

A partir du 1er avril l’Etat polonais versera aux familles 500 zlotys (environ 120 €) par enfant et par mois à partir du deuxième enfant. Ce montant, dans un pays où le salaire net moyen est de 2800 zlotys par mois, représentera une aide non négligeable, notamment pour les familles avec 4 enfants et plus dont le quart environ vivent avec un revenu en dessous du minimum vital (statistiques de 2012). Depuis la chute du communisme en 1989-90, c’est la première fois que des allocations familiales de ce type sont mises en place en Pologne. Cette allocation ne sera pas conditionnée au niveau de revenu mais elle sera versée à partir du premier enfant pour les familles où le revenu par tête est inférieur à 800 zlotys (ou à 1200 zlotys pour les familles avec un enfant handicapé).


Cela faisait partie des promesses électorales du PiS qui souhaite mener une politique familiale volontariste pour contrer le désastre démographique. Car avec 1,3 enfants par femme, la Pologne est un des pays au monde avec le taux de fécondité le plus bas. Les contraintes financières liées au niveau des salaires encore bien inférieur à celui des pays d’Europe occidentale n’y est sans doute pas pour rien, puisque les Polonaises résidant au Royaume-Uni ont au contraire un taux de fécondité supérieur à 2,1.


Parallèlement, la nouvelle majorité conservatrice (PiS) au pouvoir depuis novembre a voté il y a quelques jours une nouvelle loi qui interdit aux tribunaux de confisquer des enfants à leurs parents au motif de l’incapacité financière de ces derniers a assurer des conditions de vie suffisantes. Jusqu’ici, il n’était malheureusement pas rare que des juges retirent la garde d’enfants à leurs parents justement pour des motifs liés au niveau de vie et aux conditions d’habitation.

http://www.ndf.fr/nos-breves/26-03-2016/le-choix-de-la-po...

Alain de Catalogne

Source : Résistance républicaine

Beaucoup de musulmans "ont dansé" après les attentats, affirme un ministre belge

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Selon le ministre de l'Intérieur belge, Jan Jambon, une "partie significative de la communauté musulmane a dansé à l'occasion des attentats". 

Le ministre belge de l'Intérieur, le nationaliste flamand Jan Jambon, affirme que la politique d'intégration des étrangers en Belgique a échoué, y voyant pour preuve le fait qu'"une partie significative de la communauté musulmane a dansé à l'occasion des attentats", dans un entretien samedi avec le quotidien flamand De Standaard. Cette figure de proue de la Nouvelle alliance flamande (N-VA), parti qui est un pilier de la coalition de droite au pouvoir depuis octobre 2014, ne précise pas à quels attentats il fait allusion, ceux de Paris en 2015 (130 morts le 13 novembre) ou ceux de Bruxelles le 22 mars (32 morts). 

Des pierres lancées vers la police. Et Jan Jambon d'enchaîner : "ils ont jeté des pierres et des bouteilles en direction de la police et de la presse au moment de l'arrestation de Salah Abdeslam (le seul survivant des commandos djihadistes du 13 novembre à Paris, interpellé le 18 mars dans sa commune bruxelloise de Molenbeek, ndlr). C'est ça le vrai problème".

"Les terroristes, on peut les arrêter, les écarter de la société. Mais ils ne sont qu'une pustule. En dessous se trouve un cancer beaucoup plus difficile à traiter. Nous pouvons le faire, mais pas du jour au lendemain", assure encore le ministre, qui revendique de dépasser "la pensée politiquement correcte" et d'"appeler un chat un chat".

"Danger" lié à la radicalisation chez les jeunes issus de l'immigration. Il explique aussi que le "danger" lié à la radicalisation de jeunes issus des troisième et quatrième générations de l'immigration a désormais "trop profondément pris racine" dans certains quartiers, car la Belgique "a ignoré pendant des années les signaux de détresse". Après les attentats du 13 novembre, Jan Jambon avait créé la polémique en promettant de "nettoyer Molenbeek", quand il était apparu que plusieurs membres des commandos ayant frappé Paris étaient issus de cette commune qui a désormais la réputation d'être un des principaux foyers du djihadisme en Europe.

Source : Europe 1

Le Mali et l'UE s'accordent pour "gérer ensemble" l'immigration

Le Mali et l'Union européenne (UE) se sont accordés pour "gérer ensemble" l'immigration, en finançant des projets pour lutter contre ses causes et promouvoir la migration légale, selon un communiqué conjoint publié vendredi au terme de la visite à Bamako du ministre néerlandais des Affaires étrangères.

Le chef de la diplomatie néerlandaise Bert Koenders, dont le pays assure la présidence de l'UE, a entamé jeudi par le Mali une tournée, au nom de l'Union, devant ensuite le mener au Ghana et en Côte d'Ivoire.
               Cette tournée est axée sur l'application du plan d'action adopté entre États européens et africains au sommet de La Valette sur l'immigration en novembre, a-t-il rappelé lors d'une rencontre avec le Premier ministre malien Modibo Keïa.
               "Nous avons essentiellement discuté de trois points", a-t-il indiqué, citant "comment faire en sorte que les gens profitent davantage à leur famille en restant qu'en partant en Europe", l'arrêt de l'immigration clandestine qui provoque des morts en Méditerranée et la promotion de la "migration légale: travail saisonnier, bourses, etc.".
               L'UE avait décidé à La Valette d'aider financièrement l'Afrique pour endiguer les flux de migrants, avec un fonds d'1,8 milliard d'euros.
               Bamako et Bruxelles "se sont engagés à gérer ensemble les flux migratoires dans tous leurs aspects", selon le communiqué conjoint, se référant aux "principes de solidarité , de partenariat, et de responsabilité partagée" face aux drames de la migration irrégulière".
               Les deux parties se sont notamment accordées pour "lutter contre les causes profondes" de ce phénomène par des investissements au Mali et "en créant des emplois décents" pour la jeunesse de ce pays, ainsi que par une "sensibilisation de la population contre les risques de la migration irrégulière".
               "Trois projets au profit du Mali ont déjà été approuvés pour un montant de 43,5 millions d'euros (soit environ 28,5 milliards de FCFA) et d'autres seront proposés pour adoption le 18 avril", indique le communiqué.
               Ces projets sont destinés à appuyer notamment la mise en oeuvre de l'accord, pour la paix au Mali, signé en mai-juin 2015 entre le camp gouvernemental et l'ex-rébellion, censé isoler définitivement les jihadistes qui ont contrôlé le nord du pays de mars-avril 2012 jusqu'au lancement en janvier 2013, à l'initiative de la France, d'une opération militaire qui se poursuit actuellement.
               M. Koenders, qui a été le premier chef de la Mission de l'ONU au Mali, a également visité le siège de la police de l'air et des frontières, qui délivre les passeports biométriques maliens mis en service le 4 avril, et promis le soutien de l'UE à la modernisation de l'état-civil au Mali.

Source : Portalangop

Des salafistes reconduits aux frontières de la wilaya de Sétif

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Plus d’une vingtaine de salafistes, habillés en tenues afghanes venus à bord de six véhicules, ont tenté, hier, de faire intrusion dans une mosquée du village Lota, commune de Souk-El-Tenine, pour faire un prêche religieux. Selon des sources locales concordantes, les citoyens du village ont aussitôt alerté les services de sécurité sur la présence de ces islamistes qui se réclament d’un islam rigoriste. Les services de la gendarmerie, selon toujours les sources locales, ont procédé à leur interpellation avant de les reconduire aux frontières de la wilaya de Sétif d’où, vraisemblablement, ils sont venus. Il y a lieu de rappeler que ces salafistes “prédicateurs” ont fait dans le passé des haltes dans les villes de la côte Est de Béjaïa sans être inquiétés. Puis, ils se sont manifestés, le 16 mars dernier, devant la mosquée Ibn-Badis de Béjaïa, pour prêcher “la parole de Dieu”. Leur apparition a soulevé, il faut le souligner, un tollé général dans la société civile et les partis politiques qui ont appelé les pouvoirs publics à “assumer leur responsabilité”. Ils appartiennent, apprend-on d’une source crédible, à une association de la prédication et ils activent dans de nombreux pays arabes.

L. Oubira

Source : Setif-info

Des dizaines de migrants ont tenté de forcer la frontière franco-italienne

Une cinquantaine de migrants ont tenté en vain de passer en force la frontière franco-italienne dans la nuit de vendredi à samedi à Menton, en bord de mer.

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«Tous les migrants qui avaient réussi à passer le poste-frontière, de même que ceux qui avaient emprunté la voie ferrée venant d’Italie, ont été interpellés et non-admis en France.» La préfecture des Alpes-Maritimes a reconnu qu'une cinquantaine de migrants avaient tenté de forcer la frontière à Menton, dabns la nuit de vendredi à samedi.

Cette procédure de non-admission, qui implique que les personnes interpellées soient remises directement aux autorités italiennes, est en vigueur depuis le rétablissement, dans la foulée des attentats du 13 novembre, des contrôles aux frontières.

Une autre tentative dans l'arrière-pays niçois

«Ce genre d’événement n’est pas une première, nous avions déjà connu ce type de phénomène l’an dernier», souligne la même source, ajoutant que ces derniers jours à Vintimille une «légère augmentation» du nombre de migrants avait été constatée.

Par ailleurs, une vingtaine de migrants, qui avaient quant à eux réussi à pénétrer en France, ont également été interpellés à L’Escarène, dans l’arrière-pays niçois, au cours de la même nuit, à la suite d’un contrôle de gendarmerie. Tous, selon la préfecture, ont fait, l’objet d’une procédure de non-admission ou d’une demande de réadmission en Italie.

116 migrants recueillis en Méditerranée

Par ailleurs, l’association européenne SOS Méditerranée, qui a affrété un navire, l’Aquarius, avec Médecins du Monde pour secourir des migrants, a annoncé avoir recueilli samedi matin 116 personnes dont trois blessées par balles. Deux d'entre-eux étaient mineurs et ont été touchés par des projectiles il y environ une semaine.

SOS Méditerranée a dénombré des naufragés provenant «de Côte d’Ivoire, Gambie, Guinée Conakry, Mali, Nigéria, Sénégal, Togo, Cameroun, Soudan et Libéria».

«En l’espace d’un mois, ce sont près de 700 personnes désormais qui ont été recueillies à bord de l’Aquarius», indique encore l’ONG qui indique que la campagne de sauvetage qui «devait initialement s’arrêter le 30 avril prochain, a été reconduite jusqu’à la fin décembre 2016».

Source : Le républicain lorrain

«Nous avons expulsé 80 prêcheurs de haine […]. Celui-là ne l’est pas, il est français, mais son lieu de prière, […] ce lieu de haine, a été fermé.»

Quelques jours après le 13 Novembre, la mosquée Al-Sunna où l’imam Rachid Abou Houdeyfa exerce, ainsi que son domicile, ont été perquisitionnés. Sans qu’aucune poursuite judiciaire ne soit engagée. Depuis, il a continué ses activités dans son lieu de prière, qui n’est donc pas fermé. Outre le fait que personne n’a pointé jeudi soir, lors de l’émission Dialogues citoyens sur France 2, les erreurs du Président, le procédé a aussi de quoi étonner. Depuis la diffusion d’une vidéo polémique de l’imam en 2014, elle est régulièrement utilisée pour illustrer le cas des «prêcheurs de haine» salafistes, dénoncés comme responsables de la radicalisation des jeunes, avec en toile de fond le jihadisme. Jeudi soir encore, face à cette mère dont le fils est mort en Syrie, on a, tout au long de la séquence, flirté sur la confusion entre jihadisme et salafisme. Pourtant, si les propos de l’imam peuvent être condamnables moralement, ils ne le sont pas juridiquement. Comme le rappelait à Libération le sociologue Raphaël Liogier en novembre : «Pas un seul jihadiste aujourd’hui n’est passé par le salafisme et le néofondamentalisme comme le prône Abou Houdeyfa. Ceux qui se revendiquent du salafisme quiétiste rejettent le jihad parce qu’ils trouvent ça trop moderne.»

G.K.

Source : Libération

Un des terroristes de Bruxelles apparaît dans un documentaire sur l'intégration

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Osama Krayem, soupçonné d'être impliqué dans les attentats de Paris et de Bruxelles et de faire partie d’un réseau terroriste, a participé à la réalisation d’un documentaire sur l'immigration réussie à Malmö.

Osama Krayem, un Suédois d'origine syrienne âgé de 23 ans, a été arrêté plus tôt dans le mois avec Mohamed Abrini, terroriste connu comme étant "l'homme au chapeau" des attentats de l’aéroport de Bruxelles.

Osama Krayem a été accusé de "meurtres terroristes" et serait impliqué dans les préparatifs de l'attaque de Bruxelles, notamment celle du métro.

Le journal suédois Aftonbladet a rapporté vendredi que Krayem avait tourné en 2005 dans un documentaire qui montrait comment le sport avait contribué à l'intégration des immigrants à Malmö (Sud de la Suède).

Dans ce film sur le sport et l'intégration, intitulé "Without Borders" (Sans Frontières), on peut voir un enfant de 11 ans expliquer comment l'équipe de Malmö l'avait aidé à s'intégrer dans la société suédoise. Ce film montre "le rôle essentiel du sport pour l'intégration" à travers l'exemple des "fils fous de football " de la famille Krayem, les protagonistes du documentaire.

"Nous voulions montrer l'importance de l'intégration. Les garçons devaient fréquenter l'association pour voir ce que les autres Suédois faisaient et comprendre que les associations de football étaient importantes pour l'intégration et donnaient un accès à l’emploi", a déclaré au sujet du film Christer Girke, directeur du marketing pour le club de football de Malmö. 

Il a également souligné que le père d'Osama Krayem voulait que son fils intègre la société suédoise et a quitté Rosengard, un quartier de Malmö essentiellement peuplé d’immigrés, pour s’installer dans le quartier plus diversifié d'Oxie, situé à la périphérie de la ville.

"J'avais l'impression que le père était convaincu qu'il fallait quitter Rosengard et je sais qu'ils l'ont finalement fait pour que leurs enfants puissent être inscrits dans l'école d’Oxie, considérée comme meilleure", a déclaré M.Girke. 

"Osama était maussade et était toujours en arrière-plan. Mais c’était un bon joueur. Il n'a jamais posé de problèmes", a-t-il ajouté.

Osama Krayem a réussi à obtenir en 2013 un emploi au conseil municipal de Malmö en tant que stagiaire en gestion.

Mais en juin 2014, il a disparu sans avertissement. Un ami de la famille a déclaré au journal que peu de temps avant de disparaître, Osama Krayem avait commencé à s'habiller différemment. 

"Plus traditionnellement, je dirais. Il a commencé à porter la barbe. Il a dit que tout allait bien quand je lui ai demandé", a-t-il dit.

En janvier 2015 il est apparu dans des photos de djihadistes en Syrie postées sur Facebook. Il est ensuite retourné en Europe via la Grèce, en se présentant comme un migrant.

En septembre 2015, il a été enregistré comme migrant sur l'île grecque de Leros. En Octobre, il était de retour en Europe continentale et a été recruté dans un hôtel de la ville allemande d'Ulm par Salah Abdeslam, un des coordinateurs des attentats du 13 novembre à Paris.

La famille d'Osama Krayem a confirmé au journal local que leur fils apparaissait bien dans le documentaire.

Une série d'explosions, dont l'une au moins serait l'œuvre d'un kamikaze, ont frappé le 22 mars l'aéroport et le métro de Bruxelles, faisant, selon le dernier bilan, 35 morts et environ 340 blessés. 

Le 13 novembre 2015, Paris a été secoué par une série d'attaques d'une ampleur sans précédent. Des assaillants ont tué 130 personnes et en ont blessé 352 autres à six endroits distincts, notamment au Bataclan, une salle de spectacles de la capitale. Cette vague d'attentats a été revendiquée par le groupe terroriste Daech (Etat islamique).

Source : Sputnik

Réfugiés : Angela Merkel reprend la main

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Editorial du « Monde » On connaissait le slogan d’Angela Merkel sur sa politique d’asile : « Wir schaffen das » (« on va y arriver »). Mais jusqu’à présent, nul ne savait comment la chancelière comptait s’y prendre. Elle a apporté une première réponse, jeudi 14 avril, après une nuit de négociations avec ses alliés sociaux-démocrates (SPD) et les chrétiens-sociaux de Bavière (CSU). Celle-ci tient en deux mots jumeaux, que seul un tréma distingue : « fördern und fordern » : « exiger et encourager ».

Apprentissage de la langue et formation

Le plan d’intégration part d’une hypothèse pertinente : une grande partie des réfugiés resteront en Allemagne, même après la guerre en Syrie. Les Allemands ne comptent pas sur un retour massif, comme le firent les Bosniaques après la guerre en Yougoslavie dans les années 1990. Ils ne font plus la même erreur que celle commise dans les années 1960, lorsqu’ils crurent que les immigrés turcs n’étaient que des travailleurs invités (Gastarbeiter), appelés à rentrer promptement en Anatolie.

Forts de ce constat, les Allemands vont faire un effort massif sur l’apprentissage de leur langue et la formation, clés d’entrée sur le marché du travail. Les illusions de l’automne, qui donnaient le sentiment que les réfugiés syriens étaient tous ingénieurs ou médecins, se sont dissipées. Il faut former et adapter les nouveaux venus. L’affaire tombe d’autant mieux qu’environ 40 000 places d’apprentissage sont vacantes outre-Rhin.

Ensuite, le marché du travail sera ouvert aux réfugiés. Dans les régions les plus prospères, qui jouissent du plein-emploi, le chef d’entreprise n’aura pas à vérifier au préalable que le poste peut être pourvu par un Allemand. Par ailleurs, quelque 100 000 emplois seront créés pour eux. Il s’agira essentiellement de travaux d’intérêt général – les fameux jobs à 1 euro, ce qui ne veut pas dire que les aides aux réfugiés ne demeurent pas. Mais c’est aussi un pari : ces emplois sont censés servir de tremplin et non de voie de garage.

La contrepartie est assez exigeante. Les réfugiés devront résider dans des localités désignées par les autorités, pour éviter une trop forte concentration dans les grandes villes ; l’octroi de permis de séjour et d’aides sera fonction des efforts d’intégration accomplis.

Des critiques se font déjà entendre : les capacités des écoles de langue seraient dépassées. Débordée, l’administration allemande serait largement responsable des difficultés d’intégration. Il n’empêche, l’Allemagne propose au million de réfugiés un donnant-donnant crédible et généreux, pour un coût de plus de 10 milliards d’euros par an.

Après des mois de difficultés, Mme Merkel reprend la main. Il était temps, après les agressions des femmes allemandes dans la nuit du 31 décembre 2015, à Cologne, la poussée de l’extrême droite aux élections régionales de mars, et la contestation de sa politique, tant en Europe qu’en Allemagne. Ce temps est peut-être révolu : le flux de migrants se réduit grâce à l’accord contesté avec la Turquie. Sa coalition est ressoudée, du moins provisoirement. Mme Merkel semble en mesure de s’en sortir. Ce serait justice pour elle et pour son pays.

L’Allemagne propose à ses réfugiés un parcours d’intégration fait de droits et de devoirs. Tactiquement, la chancelière satisfait à la fois son aile droite, qui veut pouvoir expulser les migrants qui ne joueraient pas le jeu de l’intégration, et la gauche, qui demandait pour eux une ouverture du marché du travail.
 


Italie: près de 6.000 migrants arrivés depuis mardi

Près de 6.000 migrants sont arrivés en Italie depuis mardi, au moment où vient de démarrer la « saison » des traversées, s’est alarmé vendredi l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).

Seulement 174 arrivées signalées

« Cette semaine, presque toutes les arrivées » ont été enregistrées en Italie, a indiqué un porte-parole de l’OIM, Joel Millman. Au total, 5.664 arrivées ont été enregistrées en Europe depuis mardi, mais seules 174 d’entre elles ont été signalées en Grèce, et 357 personnes sont arrivées ce vendredi matin à Messine (Italie), selon l’OIM

Source : Boulevard Voltaire

Attentats de Bruxelles: toujours 44 personnes hospitalisées

Vendredi 15 avril, 44 victimes des attentats terroristes perpétrés le 22 mars à Bruxelles étaient toujours hospitalisées en Belgique, dont 23 placés sous soins intensifs. Une semaine après les attentats qui avaient fait 340 blessés, 94 personnes étaient encore hospitalisées. Les attentats jihadistes avaient par ailleurs fait 32 morts.

La capitale belge, avait été frappée dès 7h58 par un double attentat-suicide à l’aéroport de Bruxelles-Zaventem puis, environ une heure plus tard, par un troisième kamikaze dans le métro.

Source : Boulevard Voltaire