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dimanche, 01 mai 2016

Allemagne: les données de 2.000 membres de l'AfD livrées sur Internet

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Les données personnelles de plus de 2.000 participants au congrès du parti populiste allemand AfD, qui se tient ce week-end à Stuttgart (sud-ouest), ont été publiées dans la nuit de samedi à dimanche sur un site internet marqué à gauche.

L'un des deux dirigeants de l'Alternative pour l'Allemagne (AfD), Jörg Meuthen, a annoncé la nouvelle dimanche matin à la reprise des débats, réclamant du gouvernement allemand qu'il se montre "aussi ferme avec les sites d'extrême gauche qu'avec les sites d'extrême droite".

Publiée à 00H01 (22H01 GMT) par un contributeur anonyme, la liste de plus de 2.000 noms, adresses, adresses mails, numéros de téléphone et cartes de membres de l'AfD était encore visible en milieu de matinée sur le site d'informations Indymedia, a constaté l'AFP.

L'AfD, devenue dans les sondages la troisième force politique d'Allemagne avec 12 à 14% des intentions de vote, suscite une opposition croissante en raison de sa dérive vers la droite, d'une ligne antieuro à une ligne antiréfugiés et islamophobe.

Samedi, l'ouverture de son cinquième congrès a été perturbée par près d'un millier de militants proches de l'extrême gauche, qui ont tenté de bloquer l'accès au lieu de la manifestation, au sud de Stuttgart. Environ 500 d'entre eux ont été interpellés quelques heures et trois policiers ont été légèrement blessés.

Une manifestation pacifique a également rassemblé quelque 1.800 personnes dans le centre de la ville, appelant à "stopper ensemble la droitisation", et une autre est prévue ce dimanche à 11H00 locales (09H00 GMT).

Créée au printemps 2013 et entrée depuis au Parlement européen et dans la moitié des parlements régionaux allemands, l'AfD doit finir d'adopter ce dimanche son premier programme en trois ans d'existence.

Parmi les motions soumises au débat figure la phrase "l'islam n'appartient pas à l'Allemagne" et l'interdiction des minarets et des appels à la prière du muezzin.

Source : afp via le point

Les terroristes veulent un 11 Septembre !

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Comment dire l’essentiel sans mettre en cause les politiques, comment expliquer la démarche terroriste sans parler de la mollesse de nos décideurs, comment enfin montrer simplement ce qu’est le vrai visage des tueurs sans critiquer les pseudo-spécialistes ?

Voilà le langage subtil mais franc et direct qu’a choisi le colonel Hubert Bonneau, commandant le GIGN, lors du forum Technology Against Crime de Lyon. Une intervention publique extrêmement rare pour cet homme de l’ombre. Heureusement, les auditeurs n’ont pas été déçus, les phrases énoncées par ce spécialiste de la prise d’otage ont claqué comme autant de coups de fouet sur nos gouvernants aveugles : « Les groupes terroristes profitent d’une véritable faiblesse de nos démocraties, j’ose le dire », a-t-il lancé à une salle attentive et médusée. « Ce sont des gens qui travaillent pour plonger la population, par leurs actions, dans la sidération… Ils agissent avec peu de matériel, peu de technologie et s’autofinancent. L’argent ne vient pas du Moyen-Orient, il vient de Cofidis et de Cetelem. »

Vendredi dernier, l’officier n’a pas mâché ses mots pour décrypter les attentats terroristes, expliquant que le terrorisme d’aujourd’hui s’édifie avec des rustines et deux bouts de ficelle et que son efficacité n’en est que plus redoutable : « En septembre 2015, le numéro 14 du journal de Daech a fait un retour d’expérience des attentats de janvier. C’était remarquable et très intéressant : on a cinquante pages qui disent ce qui a été bien fait et ce que les Kouachi et Coulibaly ont mal fait ou n’auraient pas dû faire. En substance, le magazine dit : pour l’avenir, voilà ce qu’on vous propose… c’est le petit marmiton.com du terrorisme : comment créer des grenades, confectionner des armes, etc. »

On le voit, le rapport « coût/efficacité » est maximum. « À Sousse, un type a abattu trente Occidentaux sur une plage. Le résultat ? C’est la faillite de la Tunisie. L’État coule. C’est l’économie qui est visée… Ça peut taper n’importe où, n’importe quand, sachant qu’on attaque des cibles molles… Ce n’est que lorsque l’opération débouche sur des morts que l’organisation terroriste la revendique… Une fois la fusillade terminée, celui qui tient bon face aux troupes d’élite cherchant à le neutraliser est ensuite glorifié sur les réseaux sociaux… Quand on résiste trente-six heures à un État, c’est imparable : on devient un héros. »

Une manière de mieux nous faire comprendre que la mort de Merah n’est pas un succès du RAID mais une victoire du terrorisme. Sa fin, idéalisée dans les banlieues, a suscité l’apparition d’autres apprentis assassins. Quel est le but de ces tueries ? Pour le gendarme, il est double : « Rassembler la communauté et frapper l’ennemi, qu’il soit proche ou lointain. » Or, l’ennemi numéro un, en dehors d’Israël, c’est la France. Il s’en prend ensuite aux services, aux analystes, à cet État qui n’a rien anticipé : « Faut être honnête, faut être clair : on n’a pas vu, en France, les choses arriver. Malgré les attentats de Londres et de Madrid, malgré les événements en Afghanistan, au Pakistan, etc. Si on ne les a pas vues, c’est parce que cela se passait loin de chez nous. »

Cette analyse lucide et courageuse fait froid dans le dos, surtout quand il termine en déclarant : « On est passé d’une entreprise centralisée et secrète à, aujourd’hui, une entreprise décentralisée qui marche sous forme de franchise. Leur stratégie est en place depuis longtemps. Ceux qui passent à l’acte en France sont ceux qui sont capables d’évoluer facilement dans nos sociétés… Ces terroristes vont rechercher un 11 Septembre. »

Après le général Soubelet, voilà un autre gendarme qui ne pratique pas la langue de bois !

J.-P. Fabre Bernadac

Source : Boulevard Voltaire

 

Patriarche Sako : l’État Islamique veut effacer la mémoire chrétienne de l’Irak

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Louis Raphaël Ier Sako, patriarche de Babylone des Chaldéens, a condamné la destruction, le 25 avril dernier, de l’église dite « de l’horloge » de Mossoul, par l’État Islamique  : il s’agit là « d’effacer la mémoire chrétienne de l’Irak au profit d’un État d’étrangers qui impose la terreur au nom de l’islam ». La ville de Mossoul comptait 45 églises quand elle est tombée entre les mains de l’État Islamique en juin 2014. À ce que l’on sait, la plupart des ces églises ont été détruites ou transformées en prisons ou en tribunaux islamiques…

Source : chistianophobie.fr

La laïcité est complice de l’islamisation de la France

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La laïcité (= la maçonnerie) :
1) a volé leurs églises aux catholiques, et offert des mosquées aux musulmans !
En 1905, églises et couvents sont volés aux catholiques. — Dès 1926, les champions du laïcisme utilisent l’argent public pour construire la mosquée de Paris, à la demande du très anticlérical Edouard Herriot, soutenu par le militant anticatholique François Albert (Ligue maçonnique de l’Enseignement).
« Aujourd’hui, les maires sont les premiers bâtisseurs de mosquées » (Dalil Boubakeur, Le Figaro, 13 décembre 2008).
2) a islamisé l’Algérie française, tout en déchristianisant la France.
En Algérie française, le gouvernement maçonnique a empêché les missions catholiques (« pas de prosélytisme »), multiplié les écoles coraniques et les Médersas (universités islamiques), financé et développé le culte musulman (faisant même venir des marabouts de Kairouan pour islamiser la Kabylie).
En même temps, le même gouvernement déchristianisait systématiquement la France. Jules Ferry organisait un enseignement totalitaire, centralisé par l’Etat, imposant aux enfants (catholiques à plus de 80%) l’idéologie maçonnique (« laïque »).
Entre 1901 et 1904, les laïcards ferment de force 13 904 écoles catholiques et expulsent plus de 50 000 religieux.
3) favorise aujourd’hui systématiquement l’islam aux dépens du catholicisme.
« [A la cantine,] nous servons de la viande hallal par respect pour la diversité ; mais pas de poisson le vendredi par respect de la laïcité » (Roland Ries, sénateur-maire de Strasbourg, 11 avril 2011).

Source : bibliotheque de combat

Allemagne: la droite populiste tentée par un cap anti-islam

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Galvanisée par des sondages au zénith, la droite populiste allemande de l'AfD boucle dimanche son premier programme en trois ans d'existence, avec une tonalité anti-islam et l'ambition de "conquérir des majorités".

"A l'été 2015, on nous donnait pour morts", a rappelé samedi à l'ouverture du rassemblement à Stuttgart (sud-ouest) la coprésidente du parti Frauke Petry, sourire revanchard aux lèvres: l'"Alternative pour l'Allemagne" (AfD) est remontée de 3% à une fourchette de 12 à 14% d'opinions favorables dans les sondages et siège depuis la mi-mars dans la moitié des parlements régionaux du pays.

Stimulée par le récent succès du parti d'extrême droite FPÖ au premier tour de l'élection présidentielle autrichienne et quelques mois après la poussée du Front National aux régionales françaises, la jeune formation allemande n'entend pas se contenter d'un rôle de "partenaire minoritaire" dans une coalition, ni se résigner à l'opposition, selon Mme Petry.

Au contraire, le programme que 2.400 membres finiront d'adopter dimanche doit permettre au parti "de conquérir des majorités" pour mettre en oeuvre son "contre-projet face à l'establishment politique", a poursuivi la figure de proue de l'AfD, avec les législatives de l'automne 2017 en vue.

Cette première journée a été marquée par des manifestations d'opposants au mouvement populiste à Stuttgart, ayant entraîné 500 interpellations pendant quelques heures par la police.

Le cinquième congrès de l'AfD, sur deux jours, doit définir pour la première fois ce "contre-projet" rêvé par Mme Petry, jusqu'alors aussi flou qu'évolutif, avec une ligne anti-euro devenue antiréfugiés à l'automne 2015 - au plus fort de l'afflux de demandeurs d'asile en Allemagne -, puis anti-islam depuis la fermeture des frontières.

'Infectée par la gauche'

Parmi les motions soumises au vote figurent la phrase "l'islam n'appartient pas à l'Allemagne" et l'interdiction des minarets, "symboles de la domination islamique", des appels du muezzin ainsi que du voile, "signe politico-religieux de soumission des femmes musulmanes aux hommes".

Mais bien que les dirigeants de l'AfD aient multiplié les déclarations sur ce thème avant le congrès, ils ont soigneusement évité samedi ce terrain polémique. "Gardez à l'esprit que toute l'Allemagne nous observe", a lancé à l'ouverture Alexander Gauland, chef de file du parti dans le Brandebourg (est).

Hôte de la manifestation, le coprésident de l'AfD Jörg Meuthen a défini sa formation comme un mélange de "conservatisme moderne", de "libéralisme conséquent" et de "patriotisme sain, partagé par tous les citoyens de bonne volonté".

Il a appelé à tourner le dos "à l'Allemagne de 1968 infectée par la gauche rouge-verte" et à valoriser "les aspects positifs de l'histoire allemande et fondateurs de son identité", déplorant que la mémoire officielle se "réduise" au passé nazi.

Et l'économie ?

Si l'AfD se rassemble autour d'une promotion de la démocratie directe et d'une vision conservatrice de la société, le parti reste divisé sur des sujets majeurs.

A quel point faut-il flirter avec l'extrême droite ? La question est plus périlleuse en Allemagne qu'ailleurs et oppose depuis la création de l'AfD son aile nationale-conservatrice très implantée en ex-RDA et son aile libérale-conservatrice plus puissante à l'Ouest, soucieuse d'éviter cette étiquette infamante.

Le parti a évité samedi un vote sur le rapprochement avec le Front national français, initialement prévu et symptomatique de ce débat. Mais l'un de ses députés européens, Marcus Pretzell, a décidé de son propre chef de rejoindre le groupe parlementaire emmené par le FN à Strasbourg.

Les questions économiques, très présentes à la création du parti, sont aussi très débattues, tant l'AfD rassemble des électeurs aux intérêts différents, populaires à l'Est et plus aisés à l'Ouest.

Selon les discours, l'AfD prétend tour à tour "défendre les petites gens" ou limiter au maximum les dépenses publiques, un grand écart que Jörg Meuthen a tenté de synthétiser samedi: "Il faut un Etat mince, dont la politique sociale ne consiste pas à arroser tout le monde" mais à "garantir un minimum vital à chacun".

Source : La depeche

Islamisation : « L’assimilation, c’est terminé. Place à la remigration »

Source : Lesobservateurs.ch

Allemagne-Incidents en marge du congrès de l'AfD à Stuttgart

Des manifestants d'extrême gauche ont affronté la police et des partisans de l'AfD 
(Alternative pour l'Allemagne) en marge du congrès du parti d'extrême droite réuni à Stuttgart, samedi dans le sud-ouest de l'Allemagne. Quelque 400 d'entre eux ont été interpellés, a déclaré Lambert Maute, un porte-parole de la police. Les protestataires ont temporairement bloqué les accès routiers au site de la conférence annuelle du parti anti-immigration en brûlant des pneus et en formant des chaînes humaines, a-t-il précisé. Les incidents ont débuté vers 06h00 et se sont poursuivis pendant quatre heures, contraignant l'AfD à retarder l'ouverture de son congrès de deux jours. "La police a interpellé environ 400 manifestants violents qui ont jeté des pierres sur les agents et les ont attaqués avec des fusées d'artifice", a déclaré Lambert Maute. Plus de 1.000 policiers étaient déployés, face au même nombre de manifestants, a-t-il dit. Les forces de l'ordre ont fait usage de gaz au poivre et d'un canon à eau pour disperser les contestataires, pour la plupart cagoulés et habillés de noir. "Votre campagne de haine nous dégoûte", pouvait-on lire sur une pancarte brandie par les manifestants. (Michael Nienaber et Tina Bellon; Jean-Stéphane Brosse pour le service français)
Source : Boursorama

Allemagne: manifestations contre le parti anti-immigration à Stuttgart

Des centaines de personnes sont descendues samedi dans la rue pour manifester contre le parti anti-immigration à Stuttgart, dans le sud-ouest de l'Allemagne, et des heurts ont éclaté avec la police.

Les manifestants ont essayé de bloquer des rues à Stuttgart pour couper l'accès au congrès fédéral du parti de droite Alternative pour l'Allemagne (AfD) prévu les 30 avril et 1er mai.

Un millier de policiers anti-émeutes ont encerclé les manifestants, et la police a utilisé du gaz poivre.

L'AfD a été créé en 2013 et critique l'euro et les plans de sauvetage. Depuis la démission de son fondateur l'année dernière, le parti a mis l'accent sur la lutte contre la politique du gouvernement sur les réfugiés en appelant à la réintroduction du contrôle des frontières.

Source : xinhuanet

Une mosquée incendiée à Ajaccio, la piste islamophobe privilégiée [ VIDÉO ]


Une salle de prière musulmane détruite par les... par corse-matin

 

Une mosquée incendiée à Ajaccio, la piste islamophobe privilégiée [ VIDÉO ]

C’est dans la nuit de vendredi soir que la Mosquée d’Ajaccio a été incendiée.Le préfet a fait savoir que des traces d’hydrocarbures ayant été retrouvées, la piste « criminelle » est privilégiée.

Ce lieu de culte avait été la cible de plusieurs profanations islamophobes sans vraisemblablement de réaction proportionnée des pouvoirs publics et c’est dans ces conditions que ce qu’il convient plus vraisemblablement d’appeler une attaque terroriste islamophobe contre la mosquée a eu pu avoir lieu.

La communauté musulmane paye aujourd’hui une fois de plus son silence face à la campagne islamophobe incessante que les médias et les politiques mènent contre notre religion et notre communauté.

Car c’est bien les traitrises et l’attitude vile du CFCM qui permettent aujourd’hui que la communauté musulmane puissent subir tous les jours agressions, profanations et maintenant attentats sans que rien ne soit fait en profondeur par les pouvoirs publics pour changer le cours des choses. Car c’est bien le pire qui nous attend. Cette mosquée aurait très bien pu abriter des fidèles, des femmes et des enfants et le bilan aurait été alors beaucoup plus lourd.

La responsabilité des politiques et des médias et de leurs obligés de la communauté est lourde dans la vague islamophobe que connait la minorité musulmane en France. Et pourtant aucun média, aucun politique ne tiendra à « faire la une » de cet attentat islamophobe car fondamentalement ils le considèrent comme un non évènement ou un fait divers touchant une population négligeable en soi.

Pire que les faits et les attaques islamophobes, leur déni total.

Source : islametinfo

Non, il n'y aura pas de plages réservées aux femmes voilées en Espagne cet été

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Des médias français se sont fait l'écho vendredi d'un projet de plages réservées aux femmes voilées en Espagne, proposé par un cercle d'Espagnols convertis à l'islam proche du parti Podemos. "Un hoax d'extrême-droite", dénonce un jounaliste.

La nouvelle avait tout pour enflammer les plus farouches adversaires du communautarisme. Un cercle rattaché au parti politique espagnol de gauche Podemos, constitués de membres convertis à l'islam, qui propose la mise en place de plages réservées aux femmes voilées. L'idée pourrait même "faire son chemin" à Podemos... Problème, cette information est un hoax, repris vendredi par quelques médias français. 

"A l'instar des plages nudistes ou des plages spécifiquement réservées au public gay, nous pourrions délimiter des zones de plage exclusivement pour les femmes musulmanes. (...) Ce serait la plus importante preuve de tolérance" auraient avancé les défenseurs de cette idée. Sur Twitter, le correspondant en Espagne de la radio Europe 1, Henry de Laguérie, interpelle Marianne, Le Point et Atlantico, qui ont repris l'information. Cette histoire de plage est un "hoax" "lancé en 2015 par un site espagnol d'extrême-droite", se désole le journaliste. 

Marianne rectifie

L'hebdomadaire Marianne a depuis rectifié, ce samedi, son article publié vendredi, indiquant que "cette information déjà relayée par les médias espagnols en août 2015 relève plus d'une volonté de discréditer Podemos que de prendre en compte des faits établis". L'hebdomadaire se refuse cependant à qualifier l'histoire d'information fausse, et s'excuse auprès de ses lecteurs pour l'avoir relayée "telle quelle", tout en promettant d'apporter plus d'informations.

Source : L'Express

Allemagne: un député AfD s'allie au FN français au Parlement européen

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Un député européen du parti populiste allemand AfD a annoncé samedi rejoindre le groupe emmené au Parlement de Strasbourg par le Front national français, à l'occasion du congrès de son parti, globalement réticent à une alliance avec le FN.

Les quelque 2.400 membres de l'AfD présents samedi et dimanche à Stuttgart (sud-ouest), pour le cinquième congrès de cette jeune formation, ne voteront finalement pas sur un rapprochement avec le parti de Marine Le Pen au Parlement européen, contrairement à ce qu'avait annoncé leur parti. 

Mais Marcus Pretzell, chef de file de l'AfD en Rhénanie-du-Nord-Westphalie (ouest), a indiqué samedi qu'il avait décidé de son propre chef d'intégrer le groupe "Europe des Nations et des Libertés" (ENL), fondé en juin 2015 et coprésidé par Marine Le Pen. 

L'ENL comprend aussi des élus du FPÖ, largement en tête du récent premier tour de la présidentielle autrichienne, de la Ligue du Nord italienne et du PVV néerlandais de Geert Wilders, des formations d'extrême droite auxquelles l'AfD évitait jusqu'à présent d'être assimilée. 

La deuxième députée européenne de l'AfD, l'ultraconservatrice Beatrix von Storch, a de son côté rejoint en avril le groupe "Europe liberté démocratie directe" (ELDD) emmené par l'Ukip britannique de Nigel Farage, faute de se reconnaître dans un FN trop "socialiste" à ses yeux. 

Marcus Pretzell, par ailleurs compagnon de la coprésidente de l'AfD Frauke Petry, a dit espérer "parvenir cette année à fonder un important groupe eurocritique au Parlement", en surmontant les divergences entre ENL et ELDD. 

Début mars, le groupe parlementaire Conservateurs et réformistes européens avait demandé aux deux élus AfD de partir, menaçant de voter leur exclusion. 

Depuis sa création au printemps 2013 sur une ligne anti-euro, l'AfD a dérivé à droite, adoptant d'abord un discours antiréfugiés au plus fort de l'afflux de demandeurs d'asile en Allemagne, à l'automne dernier, avant de concentrer ses attaques sur l'islam.

Source : L'Express

400 interpellations en marge d’un congrès de l'extrême-droite allemande

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Des militants hostiles au parti d'extrême droite ont été appréhendés par la police de Stuttgart.

L'ouverture du congrès du parti populiste Alternative pour l'Allemagne (AfD), qui doit voter le premier programme de cette jeune formation, a été perturbée samedi matin par des militants hostiles à leur mouvement d'extrême droite.

"Gardons les réfugiés et virons les nazis !" La police locale a interpellé près de 400 personnes qui tentaient de bloquer l'accès des membres de l'AfD au Centre de congrès et à l'aéroport de Stuttgart. La circulation aux abords de ces infrastructures a momentanément souffert de cette manifestation.

Les protestataires ont clamé des slogans comme "Aucun droit à la propagande nazie !" ou "Gardons les réfugiés et virons les nazis !" La confrontation entre AfD et militants réactive le débat qui n'en finit pas d'agiter la société allemande depuis le début de la crise des réfugiés en Europe.

Construite après-guerre sur un sentiment de culpabilité vis-à-vis de l'altérité, l'Allemagne moderne de la chancelière Merkel ne pouvait pas simplement refouler les migrants à la frontière. D'un autre côté, l'Allemagne connaît une poussée populiste, comme beaucoup d'autres pays d'Europe. L'AfD a choqué l'Allemagne en proposant de tout simplement tirer à vue, avant que sa présidente Frauke Petry ne précise que les policiers ne devaient faire usage de leur arme à feu "qu'en cas d'urgence." En dépit de ces déclarations, l'AfD a connu une percée remarquable aux régionales de mars dernier (en Saxe-Anhalt, Rhénanie-Plalatinat et Bade Wuremberg).

Ce congrès du 30 avril doit servir notamment au parti d'extrême droite pour définir son programme, mais aussi pour juger d'une éventuelle alliance avec le Front national français et le FPÖ autrichien au Parlement européen.

Source : Europe 1

L’Etat Islamique appelle à tuer l’imam de Bordeaux

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Les menaces se font de plus insistantes. Dans son dernier numéro, le magazine de propagande francophone de l’Etat islamique, « Dar al-Islam », cible une nouvelle fois Tareq Oubrou, le recteur de la mosquée de Bordeaux : il y est désigné – photo et adresse à l’appui – comme « une tête pensante de la mécréance qui appelle à l’égarement » et « recherché mort ».

Au mois de janvier déjà, Tareq Oubrou – surnommé l' »imam de la République » – avait fait l’objet de menaces sur un site internet proche de l’organisation terroriste.

« Il doit être tué sans hésitation », recommande Dar al-Islam à son sujet.

Source : Riposte catholique

L’immigration en Normandie : britannique à l’ouest, africaine à l’est (selon l’Insee)

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Ouverte sur le monde, avec son littoral et ses ports, la Normandie se serait pourtant pas une terre d’immigration. Selon l’Insee, elle se plaçait en 2010 au 11ème rang des 13 régions françaises actuelles avec 3,7% d’immigrés, juste devant la Bretagne (2,9%) et les Pays de la Loire (2,8%).

La Normandie : terre d'accueil ?

En 2010, la Normandie représentait 5,3% de la population française et ne concentrait que 2,2% des immigrés vivant en France .
En chiffres bruts, la Normandie comptait 120.000 immigrés pour 3.312.000 habitants. A titre de comparaison, l’Ile de France accueillait 2,2 millions d’immigrés soit 17,7% de sa population. 

Surtout dans les grandes agglomérations

Comme ailleurs en France, les immigrés étaient majoritairement concentrés dans les agglomérations. Le quart d’entre eux vivait même dans les trois principales villes stricto sensu : Rouen (10.600, soit 9,5% de la population), Le Havre (13.064, 7,5%) et Caen (7.104, 6,6%).
Relativement faible, le nombre d’immigrés a progressé, de 1968 à 2010, quatre fois plus vite que l’ensemble de la population dans l’ex-Haute-Normandie. Dans l’ex-Basse-Normandie, le rythme était encore plus soutenu (six fois) alors qu’il n’était que de 1,5 fois supérieur dans l’ensemble de la France de province.

Des séniors britanniques à l'Ouest de la région

Depuis 1980, l’ouest de la région se distingue par une immigration d’origine britannique "guidée avant tout par un choix résidentiel", selon l’Insee. Ces immigrés, souvent seniors, sont attirés "par les conditions de vie qu’offre le territoire". Entre 2003 et 2008, ces Britanniques représentaient 30% des nouveaux entrants en Basse-Normandie loin devant les Algériens (6%), les Marocains (5%) et les Turcs (4%). Seuls le Limousin, Poitou-Charentes et Midi-Pyrénées affichaient des taux supérieurs.

Immigration africaine à l'Est de la région

En revanche, dans l’est de la région historiquement industrielle et portuaire, les immigrés restent très majoritairement des travailleurs, en provenance d’Afrique, le plus souvent. Entre 2003 et 2008, les Algériens arrivaient en tête avec les Marocains (12%) devant les Turcs (5%) et les Sénégalais (4%).

DM avec l'Agence Normande d'Informations

Source : France 3 régions