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mardi, 24 mai 2016

Ribéry : « Ce n’est pas évident de trouver du jambon hallal ! »

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Si toutes les interviews des convertis étaient de ce tonneau, on rirait un peu plus : une perle par phrase ! Même s’il s’agit d’une parodie, on peut ne pas bouder son plaisir car Ribéry est tellement sot que cela paraît plausible. Et puis, quelqu’un qui appelle son fils « Glaive de l’islmam » ne mérite ni considération ni égards.

Franck Ribéry : « Je suis devenu musulman mais ça me manque de ne plus manger de poulet »

Entretien exclusif avec Franck Ribéry. Pour FootballFrance.fr, le joueur du Bayern Munich est revenu sur son parcours. Extraits.
C’est la première fois depuis de longs mois que Franck Ribéry accepte de répondre aux questions d’un journaliste français. L’ancien international tricolore s’est livré dans un entretien vérité sans langue de bois à paraître en mai prochain dans les kiosques.
En exclusivité, FootballFrance.fr vous dévoile quelques extraits de l’interview qui a été enregistrée le weekend dernier à Munich, au domicile de Franck Ribéry.
Franck Ribéry est revenu sur les raisons qui l’ont poussé à couper les ponts avec la France :
« Le traitement médiatique français m’a beaucoup blessé. Cela a même blessé mon entourage qui m’entoure. Je suis un grand joueur respecté dans tous les pays du monde sauf en France, c’est comme si Messi n’était pas aimé au Brésil. »
Franck Ribéry : « Je fais beaucoup de fautes d’orthographe à l’oral »
Pour l’ancien joueur de l’OM, les personnes le jugent sur ses choix de vie et non sur ses performances sur les terrains :
« Beaucoup de personnes me critiquent souvent à cause de mes fautes de français. C’est vrai que je fais beaucoup de fautes d’orthographe à l’oral, mais moi mon métier c’est footballeur, pas dictateur. Sinon j’aurais été Bernard Pivot. Dernièrement j’ai confondu des perles de bains avec des Dragibus, j’ai fini à l’hôpital et pendant ce temps-là on se moquait de moi en France. »
Le milieu de terrain bavarois veut être jugé pour ses performances sur les terrains :
« Certaines personnes me jugent même sur mes choix de vie, sur le fait par exemple que je me sois reconverti à l’Islam. Quel est le rapport avec mes performances dans le football ? Qui sont-ils pour me juger ? Ce sont juste des convictions personnelles, la religion est un choix de vie basé sur les concessions. Etre Musulman c’est ne plus manger de poulet, ce n’est pas évident pour moi, ancien fan du KFC. Et cerise sur le pompon, j’adore les croque-monsieur, et je dois avouer que ce n’est pas évident de trouver du jambon halal. »
Franck Ribéry souhaite revenir encore plus fort en 2016 :
« Je suis blessé depuis plusieurs mois, les matchs me manquent. Je vais revenir encore plus fort. Je fais beaucoup d’exercices individuels tout seul, je vais nager tous les matins à la pisciculture et je fais des pompes. Je souhaite apporter le maximum au Bayern Munich et ainsi terminer ma carrière dans ce grand club. »

Source : Résistance républicaine

Une « révolte populiste » contre l’immigration est prédite par l’ancien directeur du Secret Intelligence Service

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Sir Richard Dearlove est l’ancien chef du MI6, service secret britannique.

Lors de l’émission « World On the moove » de la BBC, cet officier de renseignement a annoncé que l’Europe fera face à une «révolte populiste» si elle ne met pas fin à l’afflux d’immigrés. Or, au stade actuel, les prévisions considèrent que des millions de nouveaux immigrés vont affluer en Europe au cours des cinq prochaines années.

« Si l’Europe ne peut pas agir de concert pour convaincre une majorité importante de ses citoyens qu’elle peut maîtriser sa crise migratoire alors l’UE se trouvera à la merci d’un soulèvement populiste, qui est déjà en gestation » a-t-il déclaré.

Sir Richard Dearlove a également mis en garde contre le fait de dispenser les ressortissants turcs de l’obligation de détenir un visa pour voyager en Europe. L’ancien directeur des services secrets britanniques a comparé cet accord avec la Turquie au fait de stocker de l’essence à côté d’un feu.

Source : MPI

Les Suisses toujours plus attachés aux Bilatérales

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Selon un sondage, 63% des Suisses sont favorables à une mise en œuvre flexible de l’initiative UDC.

S’ils votaient aujourd’hui, seuls 36% des Suisses soutiendraient l’initiative «Contre l’immigration de masse» (47% contre, 17% d’indécis). Pour mémoire, 50,3% des citoyens l’avaient acceptée en février 2014. Depuis, le vent a tourné, si l’on en croit un sondage de GfS.Bern mandaté par Interpharma.

Cette étude est la troisième du genre. «La majorité en faveur de l’initiative baisse depuis 2014, lentement mais de façon continue», précise Claude Longchamp, de l’institut GfS.Bern. Le chercheur ajoute dans la NZZ am Sonntag, qui publie l’enquête: «Les arguments économiques prennent davantage de poids dans l’évaluation des Bilatérales.» Plus de 80% des sondés s’expriment ainsi pour une collaboration avec l’Union européenne (UE) sur la base des accords actuels. Conséquence, 63% privilégient une application flexible de l’initiative UDC. Seuls 31% soutiendraient une mise en œuvre stricte, qui risquerait de compromettre les Bilatérales. En ce qui concerne l’extension de la libre circulation à la Croatie, 60% la soutiennent. Rappelons que celle-ci a été acceptée au Conseil national, mais que la commission compétente des Etats hésite, alors que son plénum doit se prononcer en juin.

Soutien romand

Ce sondage confirme une tendance mise en évidence à plusieurs reprises. Au début du mois, l’analyse Vox montrait encore que, s’ils devaient choisir entre les accords bilatéraux et la mise en œuvre de l’initiative UDC, deux tiers des Suisses privilégieraient les premiers. Ce soutien est plus marqué côté romand. Et, précise le politologue Pascal Sciarini, il est davantage important chez les sondés les plus âgés et chez ceux qui font confiance au Conseil fédéral.

Le Genevois appelle à la prudence, estimant que l’opposition à l’initiative UDC est certainement surestimée. «Mais les gens ont une perception plus claire des conséquences de ce vote. Ses effets sur les programmes Erasmus et Horizon 2020 ont montré que Bruxelles ne bluffe pas.»

Proposition tessinoise

«Le discours des milieux économiques commence à être entendu», se réjouit pour sa part le conseiller national Laurent Wehrli (PLR/VD). Une application flexible de l’initiative? Le PLR cite le modèle proposé par le Tessin, qui prévoit des mesures spécifiques aux régions et aux secteurs économiques plutôt qu’une mise en œuvre homogène.

Pour son collègue Carlo Sommaruga (PS/GE), le Conseil fédéral peut désormais se montrer plus offensif. Et même retourner devant le peuple avec une solution «qui pourrait en partie effacer le premier vote». Dans l’immédiat, le conseiller aux Etats Filippo Lombardi (PDC/TI) voit dans ce sondage un appel à ce que la Chambre haute ratifie l’accord d’extension de la libre circulation avec la Croatie. Et au-delà? «Il y aura toujours plus d’initiatives difficiles à appliquer de façon littérale. Dans de tels cas, il est du devoir du parlement et du Conseil fédéral de trouver une solution. Ensuite, les initiants peuvent lancer un référendum s’ils ne sont pas satisfaits.»

«Ce que je vois, c’est que le peuple a accepté notre initiative en 2014. Et que les gens expriment toujours plus un besoin de maîtriser l’immigration», réplique Yves Nidegger (UDC/GE). Les relations avec l’UE? «L’UDC y est elle aussi attachée. Mais la question est de savoir si la libre circulation est acceptable ou pas. Quant à la souplesse dans l’application de notre initiative, il en faudra des deux côtés.»

Caroline Zuercher

Source : 24heures.ch

L'avertissement viennois

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Après la Hongrie, la Slovaquie, la Pologne, l’extrême droite autrichienne vient d’enregistrer hier un score historique à l’occasion de la présidentielle. Au moment où ces lignes étaient imprimées, le suspense n’était pas encore terminé. Mais quel que soit le résultat final publié aujourd’hui, le score de Norbert Hofer, le candidat du FPÖ autrichie, constitue, en soi, un tournant dans le paysage politique européen.

Depuis quinze ans, les spécialistes de la science politique scrutent et annoncent, élection après élection, la montée de forces nouvelles dites « populistes » ou « d’extrême-droite ». Ces forces n’ont pas toutes une histoire enracinée dans les mouvements totalitaires du XXème siècle. Mais elles ont une série de thématiques en commun, que les récentes crises économiques, terroristes  et migratoires ont rendu séduisantes. Le rejet de l’immigration, de l’islam, du multiculturalisme. Le refus de la mondialisation, de Bruxelles, de la finance. Le culte du référendum et une vision ethnique de la nation. Ce qui leur permet d’ailleurs de jongler habilement entre l’autonomisme régional et le patriotisme national.

L’annuaire de ces partis est de mieux en mieux connu. Du Front National aux Vrais Finlandais, de la Ligue du Nord italienne aux Parti Populaire Danois en passant par l’UDC de Suisse, le PVV hollandais ou le Jobbik hongrois, la liste est longue.

Certains de ces partis gouvernent déjà, dans les anciens pays communistes. A Varsovie, Budapest, Bratislava. Certains ont rejoint des coalitions de gouvernement, en Finlande, en Norvège. D’autres conditionnent fortement l’agenda politique (Pays-Bas, France, Italie). Même l’Allemagne, depuis la percée de l’Alternativ für Deutschland aux dernières régionales, n’est plus épargnée. La poussée autrichienne n’est donc pas isolée.

Populisme, le mot magique

Elle n’en est pas moins très préoccupante. Certes, cette poussée se nourrit pour une bonne part d’une colère des électeurs, justifiée à bien des égards. Certes, le vote viennois confirme, de manière éclatante, un effondrement des partis traditionnels de gouvernement, à gauche comme à droite, au profit de forces plus radicales. C'est d'ailleurs le principal défi que pose ce signal, il est lancé aux formations démocratiques qui n'ont manifestement pas su se rénover suffisamment, ou agir avec suffisamment d'efficacité, pour mériter l'onction populaire.

Mais ce qui est en cause à Vienne, et dans plusieurs autres capitales européennes, ce n’est pas la validité du vote populaire, condition nécessaire, bien que non suffisante, de la vie démocratique. C’est le sentiment diffus, et pour une part fondé, que ces partis émergents ne constituent pas seulement un renouvellement de la classe politique, ils seraient potentiellement porteurs d’un agenda autoritaire caché. Est-ce le cas? Pourquoi ?

D’abord, parce que l’Histoire du XXème siècle pèse encore. Voir l’Autriche dirigée par le représentant d’un parti fondé en 1955 par d’anciens nazis crée un profond malaise. Le FPÖ, un parti néonazi ? Bien sûr que non ! C’est trop grossier comme ficelle. Tellement grossier que cela exonère le FPÖ de renier ses origines, et les partis traditionnels d’apporter les réponses aux questions posées par les électeurs sur les sujets qui fachent, notamment l’immigration.

Ensuite, ce sentiment est fondé parce que certaines droites radicales menacent déjà les fondements de la démocratie parlementaire, libérale et constitutionnelle. C’est le cas de Viktor Orban en Hongrie, et du nouveau gouvernement polonais.

Enfin, parce que le mot « populisme » est un piège habilement récupéré par ces formations anti-élites. Ce mot, en les nommant, les sert. Qui, en démocratie, peut prétendre se positionner contre le peuple ? Or, aplatir la démocratie au seul rendez-vous électoral ou référendaire, comme le font ces nouvelles forces, c’est prendre le plus sûr chemin vers la démocratie autoritaire. Poutine et Erdogan en sont l’illustration parfaite. Avant eux il y eut même pire en Europe. A Vienne, notamment.

Source : Ouest Fance

Eagles of Death Metal : la bien-pensance a encore frappé

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Le massacre du Bataclan n’a pas fini de faire partie de lui. Jesse Hughes, le leader du groupe Eagles of Death Metal dont les membres avaient échappé à la tuerie, vient de déclencher l’ire de deux festivals français de musique. Rock en Seine et le Festival du Cabaret Vert de Charleville-Mézières viennent purement et simplement d’annuler leurs concerts. C’est un tweet de François Missionnier, le créateur de Rock en Seine, qui nous le confirme : « En désaccord total avec les récents propos tenus à un média américain par Jesse Hughes, le chanteur des Eagles, les deux festivals ont décidé d’annuler les concerts du groupe. »

Claude Askolovitch vient d’en rajouter une couche en tweetant : « C’est en allant écouter un vieux con que des dizaines d’innocents ont rencontré leurs assassins. » Il est vrai que ce polémiste a largement pris une positon pro-islamiste dans son livre Nos mal-aimés. 

Mais qu’a donc déclaré le chanteur pour déclencher un tel séisme ? Je vous le donne en mille : Jesse Hughes s’est permis de critiquer l’islam. Il a osé accuser l’islam d’être responsable du carnage parisien.

Que l’on ose inviter un rappeur anti-français dont l’ancêtre « poilu » fait polémique et qui n’hésite pas à insulter la France et ses mécréants, rien n’est plus normal pour notre Président et ses médias. Mais que l’on ose signer un contrat avec un Jesse Hughes islamophobe dépasse tout entendement. Et pourtant, ce qu’il a déclaré au webmagazine libertaire Takimag.com n’a rien de scandaleux, à moins de mépriser la vérité. Car qui assassine chaque jour à travers le monde, souvent dans des conditions abominables (on l’a encore vu cette semaine avec 25 Irakiens plongés vivants dans des bacs d’acide !) ? De braves athées ? Des catholiques un peu trop vertueux ? Des bouddhistes ? Et au nom de quel prophète ? Moïse ? Élie ? Ézéchiel ? Jérémie ?

Jesse Hughes n’a donc énoncé que la vérité de ce qu’il a vu et vécu. Missionnier et ses amis auraient-ils préféré que les musiciens des Eagles of Death Metal tombent sous les balles des fous d’Allah ?

Voici quelques phrases extraites de l’entretien que Jesse Hughes a accordé à Takimag.com. Un entretien très intéressant sur le déroulé du massacre. Jesse avait repéré les assassins dans l’après-midi au cours des répétitions. Il pense même qu’ils avaient des complices parmi le personnel pour avoir eu accès aussi facilement à la salle du Bataclan.

« La crainte d’offenser les musulmans est la meilleure arme des terroristes… Nous préférons mourir que d’être considérés comme intolérants. Le politiquement correct tue ! ». Puis Jesse parle de l’argent arabe qui agit comme un polluant. Sur nos stades, dans les films. « George Clooney ne baise pas le cul des Arabes sans raisons. Les films américains sont la meilleure façon d’influencer les cœurs et les esprits. Vous ne voyez jamais les méchants dans les films qui sont des terroristes arabes. Ils sont toujours allemands ou français. »

« Les Français sont tellement préoccupés par le racisme qu’ils se laissent assassiner par les musulmans ! Le lendemain, au stade, les musulmans ont hué la minute de silence. La presse en a à peine parlé. J’ai vu des musulmans célébrer les attentats dans la rue alors qu’ils étaient en train de se produire. Je l’ai vu de mes propres yeux. En temps réel ! »

Et de conclure : « L’islam crie au loup sur l’islamophobie, pour nous anesthésier et faire de nous une proie plus facile. Les musulmans savent que nos gamins blancs sont stupides et aveugles, gavés depuis la maternelle par un environnement libéral. » 

Curieusement, Hollande l’islamophile n’a pas déclaré qu’il ferait tout pour sauver le soldat Jesse Hughes afin qu’il réintègre Rock en Seine.

Floris de Bonneville

Souce : Boulevard Voltaire

 

Rome : des dizaines de milliers de jeunes italiens dans les rue aujourd'hui à l'appel de la Casa Pound

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Une énorme manifestation a rassemblé un nombre impressionnant de jeunes néo-fascistes dans les rues de Rome samedi 21 mai. Parmi les nombreuses banderoles, signalons-en une rendant hommage à Dominique Venner. Cette marche était organisée par Casa Pound , elle s'inscrit dans le vaste mouvement de prise de conscience nationale et identitaire des peuples d'Europe.

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Rappelons aussi que notre camarade Gabriele Adinolfi sera samedi prochain 28 mai à Paris

Source : Synthèse Nationale

A Madrid samedi, ils étaient des milliers pour défendre l'identité de l'Espagne...

Plusieurs milliers de Madrilènes ont manifestés hier samedi pour défendre l'identité espagnole à l'appel du Hogar social, mouvement comparable à Casa Pound à Rome

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Souce : Synthèse Nationale

A Ouistreham (14) les militants du Parti de la France disent non à l'ouverture d'un centre pour clandestins...

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Suite à l'annonce de l'ouverture d'un centre pour clandestins dans la petite ville de Ouistreham, les militants de Parti de la France du Calvados ont organisé en quelques jours une riposte qui n'est pas passée inaperçue. Samedi, ils ont manifesté dans le centre de la commune et entrainé ainsi l'approbation de nombreux habitants qui n'ont pas envie de voir leur cité transformée en Calais local.

Il y a quelques semaines le PdF avait mené une action similaire à Buzancay dans l'Indre, commune confrontée au même problème.

Le parti de Carl Lang fait preuve d'un dynamisme certain depuis son congrès national du 7 mai dernier . Il s'impose ainsi comme une force crédible d'opposition à l'immigration incontrôlée.

Source : Synthèse Nationale

La nouvelle mosquée El-Moustapha du quartier de Montreynaud de Saint-Étienne

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Le quartier de Montreynaud à Saint-Étienne a désormais sa mosquée. Les fidèles y viennent prier depuis juillet 2015, mais ce samedi, c'était le jour de l'inauguration en présence des élus comme le maire Gaël Perdriau et les représentants de l'Église dans la Loire également.

C'est l'association cultuelle des musulmans de Montreynaud Saint-Étienne qui a financé l'édifice à 100% dans un quartier de 8.000 habitants dont la majeure partie sont des musulmans. La mosquée El-Moustapha a coûté 1 million 400.000 euros et l'ACMMSE a pu bénéficier des dons de certains habitants du quartier. "Ils ont donné plus que leur capacité" souffle Radouane un fidèle. "Parfois des mois de salaire, parce qu'ils ont vraiment voulu voir naître ce projet" termine Radouane.

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Avant l'ouverture de la mosquée El-Moustapha (voir galerie-photos ci-dessous) dans le quartier à deux pas de l'église, les musulmans allaient prier dehors ou dans d'autres salles plus loin de chez eux. Aujourd'hui Hocine prie dans sa mosquée. Des prières en arabe et en français. "La plupart des gens ici sont francophones. Ce qui est profitable pour eux, c'est qu'ils puissent comprendre ce que l'Imam souhaite faire passer comme message. Donc le sermon se fait en arabe mais est traduit en français tout de suite après" explique celui qui prie une fois par semaine à la mosquée, le vendredi. Dans un petit bureau de la mosquée, une télévision diffuse les images des caméras de surveillance. Contexte oblige. Rachid Belhadj est le trésorier de l'association : "Nous avons 5 caméras extérieures et une à l'intérieur qui ne filme que l'Imam. Les caméras filment pratiquement tout le tour de la mosquée".

Source : iislammessage

Mosquée d'Hénin-Beaumont : les militants du Parti de la France dénoncent la trahison du maire FN !

Vendredi 20 mai, les militants du Parti de la France, emmenés par Jean-François Vendeville, membre du Bureau Politique du PdF, ont collé des affiches anti-islamisation et distribué plusieurs milliers de tracts dénonçant la trahison du maire FN d'Hénin-Beaumont (62), Steeve Briois, qui a accordé sans tenter aucun recours le permis de construire à la mosquée Ennsar le 7 mars dernier .

Cette trahison prouve que le néo-FN de Marine Le Pen pratique le clientélisme politique et islamique au même titre que les autres partis politiques, alors même que les Héninois et Beaumontois lui ont accordé leurs suffrages afin de préserver leur identité française. Ceux-ci ont d'ailleurs réservé un excellent accueil à nos militants et ils se disent « dégoutés » de l'attitude de leur municipalité face à l'islamisation de leur ville.

Le Parti de la France entend dénoncer toutes les impostures, en particulier celles qui visent à mentir aux patriotes français pour obtenir leurs suffrages et ensuite pratiquer la même politique de collaboration avec l'invasion migratoire et islamique que ceux qu'ils feignent de combattre en période électorale.

Nous avons le droit et le devoir, en tant que Français, de défendre nos traditions, notre culture et notre mode de vie. Avec le Parti de la France, refusons la colonisation migratoire et l’islamisation de la France !

Voir les images ici

Immersion dans le "Hofer Land", l'Autriche qui vote extrême-droite

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De Vienne, la capitale, au Burgenland, région d’origine du candidat d’extrême droite Norbert Hofer, plongée dans cette Autriche qui s’apprête à porter un populiste à la présidence.

Trois cicatrices. Fines et blanches. Deux sous la joue gauche, une autre au-dessus de ses lèvres finement dessinées. Conséquences de rituels élitistes pratiqués par la fraternité d'extrême droite très fermée de l'Olympia dont la devise est "Allemand, uni, fidèle et sans crainte". "Des jeux stupides et infantiles", rien d'autre, selon Dietbert Kowarik, désormais cadre du Parti autrichien de la liberté (FPÖ), à Vienne. Le responsable du 15e arrondissement de la capitale est joli garçon. Grand, mince, le teint pâle, la coupe de cheveux quasi militaire. Costume gris cintré, cravate bleue à pois blancs et chemise blanche. Allure irréprochable, élégance naturelle. Le double juvénile, et sans la canne, de Norbert Hofer, arrivé en tête du premier tour de la présidentielle autrichienne.

L'assistance, regroupée autour de lui comme tous les mois depuis dix ans chez Bieriger, une auberge populaire du quartier de Rudolfsheim, est sous le charme. Une trentaine de convives dont un tiers de femmes. "On est fier que les gens simples qui votaient pour le Parti socialiste, alors qu'il ne l'est plus depuis longtemps, viennent désormais vers nous." Dietbert Kowarick a la victoire modeste et prudente. L'écart entre Hofer et son rival, le vert Alexander Van der Bellen s'est resserré tout au long de la semaine, suscitant une sourde inquiétude chez les militants du FPÖ. "Ça va être juste mais on va gagner", souligne tranquillement Dietbert Kowarik.

Pas de questions taboues pour ce clerc de notaire, d'ascendance bohême, fils d'un député FPÖ, petit-fils du premier secrétaire général du parti dans les années 1960. "La politique n'est pas un métier mais mon destin." L'animal politique dénonce les "atteintes injustes" de la presse internationale et "son traitement partial" du scrutin. Tout juste ses joues s'empourprent-elles quand est mentionné l'Olympia, cette corporation estudiantine ouvertement pangermanique, et le racisme ambiant en Autriche en ce moment. "C'est justement le contraire, ce sont les Autrichiens qui le subissent. Les femmes ne peuvent même plus aller au square."

La prestance de Kowarik, la facilité à éviter les chausse-trapes collent parfaitement à cet objectif que le FPÖ est en passe d'atteindre après des années de toilettage : être un parti comme les autres. Pour se débarrasser de l'image d'épouvantail d'extrême droite "que certains s'obstinent à lui coller". "Je ne suis pas pour ces distinctions gauche droite, poursuit l'élu, ce sont des frontières qui s'estompent. La preuve : dans notre programme, nous avons des propositions jugées très à gauche et d'autres non." Le public de cette soirée à connotation plus populiste que réellement d'extrême droite est, à lui seul, une victoire. Il y a là un médecin, des retraités, des artisans, des cadres ou encore des entrepreneurs. "Le FPÖ touche tous les segments de la population, nous sommes au pouvoir dans certains Länder, nous avons prouvé notre compétence."

"L'Autriche d'aujourd'hui est terriblement clivée"

Parmi les participants, le plus jeune, Riccardo, 16 ans, venu tout seul comme un grand. En apprentissage dans une entreprise d'informatique, le jeune homme ne veut pas se contenter de mettre son premier bulletin de vote dans les urnes dimanche, mais demande aussi à être assesseur. Son voisin, un monsieur de 77 ans, passé de la gauche à la droite classique, vote désormais FPÖ. Le père de Charles Bohatsch s'est battu sur tous les fronts de la Seconde Guerre mondiale, finissant même sur le plus meurtrier, le front russe. "Notre région a été libérée par les Russes. Toutes les femmes ont été violées et puis on a eu à subir les bombardements des alliés." Soupirs. Il est clair que cet ancien journaliste se souvient de cette époque avec souffrance et amertume. Mais sans hostilité envers les Allemands. C'est sans doute là que réside la force du FPÖ, cette capacité à surfer sur une fibre nationaliste qui joue sur les ambiguïtés d'un passé mal digéré. "Je veux que l'avenir de mes petits-enfants soit assuré, c'est la raison pour laquelle, je vote FPÖ." Le fils de Charles votera comme lui mais sa fille donnera sa voix à Alexander Van der Bellen, le candidat vert. "L'Autriche d'aujourd'hui est terriblement clivée."

Sauf dans le Burgenland, le fief de Norbert Hofer. Les résultats du premier tour en sa faveur ont de quoi faire tourner les têtes. Plus de 60 % dans certaines communes. Le Burgenland, région de vignobles, où la collaboration avec les nazis pendant la guerre fut intense. Comme à Rechnitz, où 600 juifs furent contraints aux travaux forcés. Où, dans la nuit du 24 au 25 mars 1945, peu de temps avant l'arrivée de l'Armée rouge, les nazis massacrèrent quelque 200 juifs hongrois. Un massacre précédé d'une grande fête dans le château de la ville, désormais détruit. Le Burgenland, une région frontalière où la population parle allemand, hongrois, slovène et croate. Sans oublier la communauté rom extrêmement présente. C'est à Oberwart, une ville de moyenne importance, et qui a voté pour Hofer, qu'en 1995, un attentat raciste causa la mort de quatre Roms. Il y a dix ans, Francis Papai, 67 ans, a frappé à toutes les portes des partis politiques. Seul le FPÖ a répondu. "Ils sont tous venus me voir, Hofer et les autres, chez moi!" Une sœur morte au camp de Ravensbrück, une mère à Auschwitz, et pourtant sa voix ira au FPÖ. Mieux, il est encarté et a raté un poste de conseiller municipal du parti de Hofer, à une voix, en 2015. Le Burgenland est une région à l'identité mélangée où le désir de ne faire qu'un est palpable, où le patriotisme local est exacerbé.

Revirement historique de la gauche sociale-démocrate

Au prix d'une alliance avec le diable. Comme à Pinkafeld, à 120 km de Vienne, la ville natale de Hofer. Le SPÖ (social-démocrate) a brisé un tabou, l'an dernier, lors des élections régionales. Arrivé en tête, il a choisi néanmoins de s'allier avec le FPÖ qui n'avait pourtant obtenu que 15 % des suffrages. Ce revirement historique de la gauche sociale-démocrate sera présenté comme une "expérience". Pinkafeld, un an plus tard, 5.400 habitants, 90 demandeurs d'asile, dont 20 mineurs non accompagnés a voté à 61% Hofer. Wiesfleck, le hameau d'à côté, 649 habitants, a explosé le compteur avec 64% en faveur de Hofer. Kurt Maczek, 61 ans, descendants de grands-parents polonais et maire SPÖ de Pinkafeld se retranche derrière le choix du peuple pour justifier une alliance pointée du doigt. Il n'a donné aucune consigne pour la présidentielle d'aujourd'hui mais son propos est sans ambiguïté. "Le monde en est resté à une lecture de fin 1945 sur l'Autriche. C'est une erreur parce que le FPÖ n'est pas nécessairement un parti d'extrême droite."

Que s'est-il passé? Une insécurité fantasmée face à un taux de criminalité quasi inexistant. Les voilà donc au banc des accusés ces "Asylanten", un mot intraduisible, extrêmement péjoratif et utilisé par Maczek pour désigner les demandeurs d'asile (Asylbewerber). Héritage lexical direct de feu Jörg Haider, l'ancien patron du FPÖ. Le terme est à usage exclusif du FPÖ ou de ceux qui sont hostiles à cette vague de demandeurs d'asile. Tous les acteurs locaux, y compris les partisans d'un accueil des migrants, concèdent que leur arrivée massive l'année dernière et la gestion chaotique, voire inexistante, de la coalition au pouvoir, a quelque chose à voir avec le score vertigineux du FPÖ. "Il y a beaucoup de femmes seules qui subsistent avec 800 € par mois, poursuit le maire de Pinkafeld, et le ressentiment est grand, lorsque les nouveaux arrivants touchent, eux, 2000 €." Un faible taux de chômage, mais la disparition des usines textiles a poussé bon nombre d'habitants de la région à aller travailler à Vienne. Accepter les nouveaux venus, c'est craindre de se faire prendre le peu d'emplois qui reste ou de voir son niveau de vie encore baisser. Le maire, Kurt Maczek, comprend le vote FPÖ.

Face à la mairie, se dresse un magnifique cabinet médical tenu par le docteur Rainer Oblak. Lui et 16 personnes ont monté l'association Pink-up. Un îlot de résistance, le bastion de ceux qui disent "oui" aux étrangers et qui leurs apportent de l'aide. On devine à leurs mines que les rapports sont tendus avec la mairie, que le score du FPÖ est mal vécu. Alors embarrassés le docteur Oblak et ses amis par la perspective d'avoir demain un président d'extrême droite? "Oui, mais si je suis embarrassé, ce n'est pas parce que je suis autrichien mais parce que je suis un être humain et le citoyen d'un pays respectable."

Karen Lajon

Source : Le Jdd

La France avant et après l'islamisation.

La video !

1979 Les musulmans ont une mosquée

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" Chez les musulmans, les jeunes sont les moteurs de la propagation de la croyance. Actuellement l'élan islamiste est dans la jeunesse, les vieux ont la Sagesse et les coutumes."

L'un des responsables rémois de l'association islamique, M.Decelle, présente rue du Chanoine Lallement la mosquée mise à la disposition des musulmans par l'Association d'accueil des travailleurs migrants (Atrami). Il s'agit d'un bâtiment préfabriqué, mais cet ancien bâtiment administratif est tout de même plus vaste que les salles improvisées jusqu'alors dans les foyers Bienfait, Pont-Assy et Vasco-de-Gama. Désormais le millier de pratiquants musulmans comptabilisés sur Reims (surtout des Magrébins, des Turcs et des " Africains noirs et français" note l'union pourront, comme l'exige le Coran, faire leur prière communautaire du vendredi dans cette mosquée. Simultanément est créée l'association des musulmans de la mosquée et du centre islamiste. Les musulmans envisagent déjà pour l'avenir la construction d'une mosquée en dur avec un minaret " qui invite à la prière."

Après l'appel du muezzin devant l'une des fenêtres, les étudiants musulmans se réunissent dans une vaste pièce où l'on ne rentre que déchaussé. Après la prière en langue arabe, l'un des fidèles dit le sermon en français.

 Alain Moyat

Source : Reimshistoires